le village de Marianna

                             

                                   Le village de Marianna.

                             Il était une fois, un petit village dans un royaume fort, fort lointain. Les habitants y  vivaient paisiblement, y habitait aussi une jeune           fille nommée Marianna. Agée de dix-sept ans, elle était  intelligente, belle et douce. Elle vivait avec sa grand-mère, Léopoldine, sa mère, Viviane, son père, Arthur et ses deux petites sœurs, Lila et Nina.

               Un jour, surgit dans le village un ogre, immense, plein de pustules, poilu et de lui dégoulinait un suc, qui, dès qu’il atteignait le sol, grillait tout ce qu’il y effleurait. Perché sur son épaule, un sorcier. Ensemble, ils saccageaient tout sur leurs passages. Les habitants essayaient de se protéger, en vain.

Avant de partir, le sorcier envoya sur le village un sort puissant qui glissa tout les habitants dans la torpeur. Marianna, qui était allée chercher du bois pour le feu, ne fut pas atteinte par le sort. Mais, dès qu’elle vit ce qui se passait au village, qu’elle ne fut pas sa terreur. Elle se souvient alors que dans un village voisin vivait un Mage dont les capacités étaient connues du monde entier. Elle alla au village et le trouva dans sa maison. Elle lui expliqua :« Mage, un puissant sorcier a jeté un sort sur le village, l’enveloppant dans une étrange torpeur. Ne pourriez-vous pas les sauver ?

- Oui j’ai bien un antidote, mais…hésita le Mage.

-Mais quoi ?demanda la jeune fille.

-Il me manque du racorni de gambole et ça ne se trouve que là où le ciel touche la terre.

-Comment faire pour y aller ? le questionna-t-elle

-Il suffit de marcher tout droit sans jamais dévier de sa route.

-J’irai le chercher affirma la jeune fille. »

                              Le Mage avait un neveu qui voulut l’accompagner. Il était fort et courageux, alors, Marianna accepta. Il pourrait la protéger. Ils commencèrent alors leur périlleux voyage.

Une nuit, qu’ils dormaient, ils furent réveillés par des grognements. Ils ouvrirent les yeux et virent l’ogre. C’est à ce moment-là que tout ce gâta car l’ogre attaquait. Le neveu du Mage, qui se nommait Robin, fut pris par surprise. Ils se trouvaient dans une vallée, il n’y avait donc pas d’endroit où se réfugier. Alors, bravement, il lui fit face. Il ferma les yeux, attendant le coup

venir, mais, il ne vint pas. Alors, il les rouvrit. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il vit l’ogre se faire balancer par un jet de magie bleue. Il se retourna et vit Marianna regarder ses mains, ahurie. Elle ne le croyait pas ! Elle avait de la magie ! Elle ! Une fois l’émotion passée ils reprirent leur route. Ils arrivèrent enfin à destination après des mois de marche.

                                   Devant eux se dressait un temple grec, ils allaient y entrer quand l’ogre surgit de nouveaux devant eux, il était envoyé par le sorcier. Il avait survécu à sa chute ! Marianna voulut en finir et lança sa magie, espérant que l’ogre n’était pas immunisé. Heureusement pour eux, le sorcier avait oublié ce détail. L’ogre fut foudroyé. Ils purent enfin entrer dans le temple. Posé sur un piédestale de verre trônait le racorni de gambole. Le temple était finement décoré et des roses égayait l’endroit. Robin, qui voulait en finir, le prit, mais à ce moment là, tout se mit à trembler et le toit commença à s’écrouler. Ils coururent jusqu’à la sortie, espérant y réchapper. Puis après avoir contemplé les gravas, ils prirent le chemin du retour et le voyage se passa sans autre problème. Ils rapportèrent l’ingrédient au Mage et tous les trois, ils partirent pour le village.

Arrivés là-bas, ils virent le sorcier. Marianna, qui en avait assez, fit comme pour l’ogre, elle le foudroya. Il tomba raide mort !

                             Ils éliminèrent le sort et remirent en ordre le village (la magie de Marianna aida beaucoup se jour-là) dévasté par l’ogre et le sorcier.

                          Robin, qui, pendant le voyage, s’était épris de Marianna, la demanda en mariage. Elle accepta et les réjouissances durèrent cinq jours. Ils vécurent heureux mais n’eurent pas d’enfant. Mais ne me demander pas pourquoi 

                                                                                 FIN

                                                                                                                      Salomé Fernandez   6°6