écrire un paragraphe de commentaire sur la fin de l'etranger.

de "Lui parti" à "des cris de haine".

Commentaires

1. Le 23 septembre 2014, 14:05 par aurelien

Pour ce texte, j'ai envie de vous parler de la mort de meursault et est ce il est heureux de mourir ?

2. Le 23 septembre 2014, 14:05 par Nicolas B 1ES2

Pour ce texte, j'ai envie de parler l'approche de la mort d'un proche qu'a Meursault, qui n'est plus froidement officielle mais réfléchie, comme si elle n'avait pris un sens que trop tardivement.

3. Le 23 septembre 2014, 14:05 par William

J'ai envie de parler de l'indifférence de Meursault face à sa mort qu'il considère comme un évènement car il veut qu'il y ait beaucoup de spectateurs qui l'accueillent avec des cris de haine, il a envie de " se donner en spectacle ". avant sa mort, Meursault prend du temps pour repenser à sa vie et à sa mère...

4. Le 23 septembre 2014, 14:05 par Quentin

J'ai envie de parler de l'étrange changement de comportement de Meurseault.

5. Le 23 septembre 2014, 14:06 par JulieA_1es2

J'ai envie de parler des sentiments que le lecteur peut ressentir face aux phrase de Meursault.

6. Le 23 septembre 2014, 14:06 par Nicolas D 1es2

Pour ce texte, j'ai envie de parler de l'attitude de Meursault lorsqu'il est en prison. Comment le vit-il ? Pourquoi ?

7. Le 23 septembre 2014, 14:07 par Aymeric V.D.R.

J'ai envie de parler de ce que ressent Meursault, plus particulièrement des sentiments positifs.
En effet le point le plus choquant est le fait qu'il accepte sa mort qui est imminente de façon douce, Meursault semble renaitre grâce a elle.

8. Le 23 septembre 2014, 14:07 par Gladys

J'ai envie de parler de l'étrange changement de comportement de Meursault, de sa " renaissance ". Meursault s'ouvre enfin au monde, on sait ce qu'il ressens, cela est une révélation du personnage. Il est confiant et il ressens comme une " hâte " de quitter ce monde.

9. Le 23 septembre 2014, 14:14 par Antoine.

j'ai envie de parler de l'étrange changement de comportement de Meursault.

10. Le 23 septembre 2014, 14:16 par Thomas C

J'ai envie de parler de la solitude de Meursault lorsqu'il se trouve dans la prison.

11. Le 23 septembre 2014, 14:18 par Maxime F

J'ai envie de parler de la mort imminente de Meursault, ce qu'il ressent.

12. Le 23 septembre 2014, 14:29 par William

J'ai envie de parler de l'indifférence de Meursault face à sa mort qu'il considère comme un évènement car il veut qu'il y ait beaucoup de spectateurs qui l'accueillent avec des cris de haine, il a envie de " se donner en spectacle ". avant sa mort, Meursault prend du temps pour repenser à sa vie et à sa mère...
En effet, Meursault ne réagit pas comme toutes personnes réagiraient face à l'annonce de leur mort. Il considère sa mort comme une renaissance( " je me suis senti prêt à tout revivre " ) grâce à laquelle il pourra être vu ( " il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs... " " qu'ils m'accueillent avec des cris de haine" ). Il a une vision du monde qui est presque idyllique ( " merveilleuse paix de cet été... " " je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage " ). On peut interpréter ceci par le fait que pour Meursault, il fait déjà parti d'un autre monde. Tout au long du livre on découvre qu'il a sa propre façon de penser, mais ici elle est encore plus accentuée.

13. Le 23 septembre 2014, 14:30 par Nicolas B 1ES2

J'ai envie de parler des sentiments positifs de Meursault. Alors que Meursault se trouve séparé de la mort par une poignée d'heures, ses pensées ont repris un sens moral, le désespoir laisse place à un point de vue compréhensif de sa mort, il est très descriptif vis à vis de ses ressentis "Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissait mes temps"; "La merveilleuse paix de cet été endormi". Il devient pensif à propos de sa mère, il n'y avait plus pensé depuis longtemps et il vient à se rendre compte

14. Le 23 septembre 2014, 14:30 par Quentin

Dans cette partie nous allons nous intéresser à l'étrange changement de comportement de Meursault.
Nous pouvons voir le comportement du personnage principal Meursault change au cours du texte. En effet, nous observons que les idées présentes dans l'incipit sont brèves. Aucune pensée de Meursault y est présente. Tandis que dans l'explicit les pensées de Meursault sont plus précisent "j'ai pensé à maman". Meursault nous dévoile même ce qu'il ressent

15. Le 23 septembre 2014, 14:30 par JulieA_1es2

J'ai envie de parler des sentiments que le lecteur peut ressentir face aux phrases de Meursault.
La majorité de ces phrases touchent le lecteur. Certaines d'entre elles peuvent procurer une certaine tristesse chez le lecteur, or le personnage en lui même n'ai pas triste. Mais pourtant à travers la tournure de ces phrases il arrive à attrister le lecteur "Pour la première fois depuis bien longtemps j'ai pensé à maman".
D'autre d'entre elles peuvent au contraire apaiser le lecteur. On peut penser à une sorte de poésie ou même une chanson. "La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marrée" c'est une phrase très poétique. Les rimes la rende d'autant plus belle à entendre.
Le sujet triste comme la mort semble tourné d'une façon douce, en lisant cela le lecteur n'éprouve pas de peine car Meursault lui même embellis et positive ce sujet. Dans ces phrases on n'aperçois ce côté sensible

16. Le 23 septembre 2014, 14:30 par Thomas C

Meursault lorsqu'il est en prison, n'a personne à qui se dévoiler, il est seul dans sa cellule. Il repense à ce moment-là à sa mère, à ce qu'il ressens pour elle. Avant le jour de l'exécution il souhaite qu'il y ait beaucoup de monde car il se sent seul et veut se montrer aux yeux de tous, "(...) pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs".

17. Le 23 septembre 2014, 14:30 par Maxime F

Tout d'abord, on a l'impression que Meursault est heureux de mourir pour ce qu'il a fait : "j'ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore ". Comme nous montre le texte, il ne regrette rien : "je me suis senti prêt à tout revivre ".

18. Le 23 septembre 2014, 14:30 par Antoine.

j'ai envie de parler de l'étrange changement de comportement de Meursault ;
En effet a la fin du livre on découvre un autre Meursault, car dans l'incipit le personnage principal était quelqu’un de réservé plutôt inexpressif et indifférent a ce que lui faisait subir la vie. Alors que dans l'explicite Meursault ce libère il est heureux et a envie d'évasion, le lyrisme bucolique renforce cette aspect avec par exemple : "des bruits de campagnes" , "des odeurs de nuits de terre"

Ensuite il repense a sa mère chose qu'il n'avait pas fait depuis très longtemps. Il sent qu'il va mourir et ne veut pas terminer sur une chute mais sur une renaissance, sur toutes les bonnes choses qui s'est passé durant sa vie. La dernière vignette de la BD montre ce coté "finir en apothéose"
Maintenant Meursault voit le verre à moitié pleins tandis qu'avant il le voyait à moitié vide.

19. Le 23 septembre 2014, 14:30 par Nicolas D 1es2

Pour ce texte, j'ai envie de parler de l'attitude de Meursault lorsqu'il est en prison. Comment le vit-il ? Pourquoi ?
Meursault seul dans sa cellule face a la mort quasiment transparente dans son esprit. On peut croire que sa mort n'est qu'un détail minime dans sa vie. En effet à aucun moment il exprime ses émotions face à cette sensation de fin de vie.

20. Le 23 septembre 2014, 14:31 par Aurélien

On peut s'intéresser à la mort de meursault et est ce il est heureux de mourir ? En effet, pour Meursault, la mort n'est pas une fin pour lui mais plutôt une renaissance comme il le dit "pourquoi maman avait joué à recommencé " et même il est heureux de partir de ce monde qui pour lui indifférent. Mais Jacques Fernandez, reprend le symbole de la mort pour Meursault car la dernière pages de la Bd reprend ce symbole et ne cadre plus Meursault et cadre les barreaux de sa cellule, la prison pour montrer à la fin le ciel.

21. Le 23 septembre 2014, 14:36 par Aymeric V.D.R.

J'ai envie de parler de ce que ressent Meursault, plus particulièrement des sentiments positifs.

  En effet le point le plus choquant est le fait qu'il accepte sa mort qui est imminente de façon douce, Meursault semble renaitre grâce a elle., comme une renaissance. La mort qui est imminente lui offre en quelque sorte une nouvelle vie, un nouveau départ.

Cette renaissance, et cette mort pourrait nous faire penser a la mère de Meursault, en effet sa mère avant de mourir "avait joué a tout recommencer" en prenant un "fiancé". Meursault se sent alors comme elle, "libérée et prête a tout revivre".

  Le deuxième point choquant est la manière dont Meursault voit, admire le paysage. Chose qu'il ne prenait pas le temps de faire avant, hors il n'a plus le temps.
22. Le 23 septembre 2014, 14:45 par gladys

1) pas de parenthèse pour les citations, il faut introduire votre citation dans la commentaire de manière fluide
2) Ne pas mélanger toutes les idées, séparer et approfondir les idées dans un paragraphe différent
3) Ne pas mettre JE
4) La majorité de ces phrases touchent le lecteur , le lecteur doit être le personnage principale de votre commentaire.
5) une citation doit être expliquer : il faut caractérisé les mots utilisés est que ce sont des mots doux, violent..
6) ne pas faire référence a la BD

23. Le 23 septembre 2014, 14:45 par Nicolas B 1ES2

Conseils :
-Pas de parenthèse pour les citations, il faut introduire votre citations dans le commentaire de manière fluide donc pas de parenthèses.
-Séparé et approfondir les idées dans des paragraphes différents et expliquant l'idée.
-Ne pas mettre "je" mais "on".
-Le sujet de nos phrases de commentaires doit être le lecteur : Le lecteur doit être le personnage principal de votre commentaire.
-Une citation doit être expliquée : Caractérisé les mots utilisés.
-Ne pas faire référence à la bande dessiner.

24. Le 23 septembre 2014, 19:34 par Gladys

Nous allons s'intéresser a l'étrange changement de comportement de Meursault, de sa "renaissance". Dans le premier passage vu en classe nous constatons que Meursault est un homme renfermer on ne sait pas ce qu'il ressens et semble indifférent tandis qu'à l'explicite il laisse le lecteur entrer dans ses pensées, il s'ouvre enfin et semble être " intégré " c''est un personnage plus doux. Malgré que le jour de son exécution approche il est confiant et serein puis montre un aspect différent de la mort qui est plutôt positif on a l'impression qu'une nouvelle vie va commencer pour lui et il " se sent près à tous revivre " comme si il avais hâte de mourir, de tous recommencer alors que le lecteur ressens de la peine pour lui.

25. Le 23 septembre 2014, 20:29 par Agathe.

J'ai envie de parler de la solitude que doit éprouver Meursault malgré qu'il est l'air indifférent à ce qu'il se passe autour de lui.

26. Le 24 septembre 2014, 13:56 par Mme Baudry

Attention. Il faut écrire un paragraphe de commentaire à partir de la problématique.

27. Le 24 septembre 2014, 18:58 par Thomas K.

J'ai envie de parler du changement d’attitude de Meursault, de ses émotions. Pourquoi ou comment Meursault a-t'il eu se changement d'attitude ?

En effet Meursault au début du roman ne se préoccupe pas de la mort de sa mère et à hâte que tout cela se finisse afin de pouvoir reprendre son travaille, comme si la mort de sa mère était une corvée.
Meursault ne nous montre aucun sentiment vis à vis de sa mère. Il ne laisse passé au lecteur aucunes émotions et aussi pour quelque soit les personnage du roman (Céleste, Marie, Raymond,...), il ne se contente que d'une réponse brève ou de faire ce qu'on lui demande de faire comme si Meursault était un robot.
Mais vers la fin du roman Meursault montre un tout autre visage, il ne semble pas triste avant son exécution, il a même l'air un peu heureux comme si la mort était une sorte de libération, de renouveau, une porte pour tout recommencer. Meursault pense aussi pour la première fois dans le roman à sa mère, qu'il l'appelle familièrement Maman, ce qui montre un attachement a sa mère.

Ce changement d’attitude serrait dû à son exécution qui lui donnerait un sentiment de libération comme pour pouvoir quitter se monde monotone et sans émotions afin de pouvoir rejoindre sa mère pour pouvoir tout recommencer.

28. Le 24 septembre 2014, 19:54 par Thms D

J'ai envie de parler de l'indifférence de Meursault. On dirait qu'il à toujours connu pire et qu'il pense que ce qu'il lui arrive n'est pas important. Le personnage est froid (la couleure bleue dans les dernieres planches de la bd est bien choisie).

29. Le 24 septembre 2014, 20:35 par Nicolas Bourelier 1ES2

J'ai envie de parler des sentiments positifs de Meursault. Alors que Meursault se trouve séparé de la mort par une poignée d'heures, ses pensées ont repris un sens moral, le désespoir laisse place à un point de vue compréhensif de sa mort.

Il est très positivement descriptif vis à vis de ses ressentis "Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissait mes temps"; "La merveilleuse paix de cet été endormi", ce qui parait étonnant après toutes les fois il laissé pensé que tout lui semblait si indifférent.

Il devient pensif à propos de sa mère, il n'y avait plus pensé depuis longtemps et il vient à se rendre compte de tout ce qui a pu mener sa mère à un quelconque bonheur par une tentative de renouveau.

Il vient lui aussi à se convaincre qu'il "a été heureux et qu'il l'est encore", alors que pendant toutes ses péripétie, la question de son bonheur, des choix qui décideraient de sa vie futur, on toujours été évités.

On le découvre enfin. Il semble chercher à se dire de quel façon il aurait pu recommencer sa vie. A ce moment où il est si proche de sa propre exécution, qu'il approche paisiblement et sereinement.

Comme si cette nouvelle l'avait rassuré, comme un religieux à qui était promis le paradis malgré tant d'erreur, paradoxalement à sa phobie religieuse.

30. Le 24 septembre 2014, 20:43 par Julie C

J'ai envie de parler du changement de comportement de Meursault. Pourquoi etait-il si indifférent lorsqu'il était en vie et pourquoi est-il si heureux maintenant qu'il va mourrir?

Dès les premières pages du livre, nous nous attendons à une situation difficile ou le personne souffre, on s'attend a un texte lyrique dans le quel le personnage va exprimer ce qu'il ressens, exprimer sa tristesse, son desespoir, cependant Meursault ne va rien exprimer de tout cela. Dans la première parti du livre il n'exprime aucuns sentiments, il semble indifférent a tout ce qui ce passe autour de lui, même la mort de sa mère ne semble pas le touché. Il est indifférent, soumis a la société qui l'entoure, il n'à de points de vues sur rien, il ce laisse vivre sans rien ressentir du moins, sans rien exprimer. Nous pouvons illustrer le fait qu'il soit soumis a la société qui l'entoure par le moment ou Meursault dit à son patron qu'il va devoir s'absenter pendant deux jours pour les funérailles de sa mère et qu'il en vient a dire que ce n'est pas de sa faute. Cependant, à la fin du livre, Meursault sait qu'il va mourir et il semble pourtant commencé à vivre. Il décrit et apprécie les bruits, les odeurs... Il dit que la mort lui est indifférent, comme si il commencerait à vivre le jour ou il mourrait. Il parle enfin de sa mère et semble la comprendre. Il nous exprime clairement que si près de la mort, il se sent prêt à tout revivre. Il dit aussi, que toute cette colère, tout ses mauvais moments l'ont purgé du mal, qu'il n'espère plus rien. Il assume s'ouvrir pour la première fois au monde, et dit qu'il a été heureux et qu'il l'est encore. Il ne veut plus ce sentir seul, il veut que beaucoup de monde soit présent lorsqu'il va mourir.

Nous assistons a la renaissance de Meursault, juste avant sa mort.

31. Le 25 septembre 2014, 19:54 par Nabil B

J'ai envie de parler des sentiments de Meursault,a travers la lecture il renvoi une impression assez étrange. A travers la lecture on a l'impression qu'il n'est jamais heureux, une indifférence a tout les fait de sa vie et tout ses choix.
Cependant maintenant qu'il va mourir il n'a plus l'air triste mais plus ou moins heureux réaction assez étrange la mort nous effraie, nous ne pouvons pas savoir a quel moment nous allons mourir et je pense que si nous le savions nous ne serions pas heureux

32. Le 27 septembre 2014, 14:40 par Aymeric V.D.R

J'ai envie de parler de ce que ressent Meursault, plus particulièrement des sentiments positifs.

En effet le point le plus choquant est le fait qu'il accepte sa mort qui est imminente de façon douce, Meursault semble renaitre grâce a elle., comme une renaissance. La mort qui est imminente lui offre en quelque sorte une nouvelle vie, un nouveau départ.
Cette renaissance, et cette mort pourrait nous faire penser a la mère de Meursault, en effet sa mère avant de mourir "avait joué a tout recommencer" en prenant un "fiancé". Meursault se sent alors comme elle, "libérée et prête a tout revivre".

Le deuxième point choquant est la manière dont Meursault voit, admire le paysage. Chose qu'il ne prenait pas le temps de faire avant, hors il n'a plus le temps. En faite il donne l'impression au lecteur qu'il admire le paysage, il le décrit de manière "endormie"...
Meursault lui même ne l'admire pas vraiment car en réalité il ne le peux tout simplement pas car il est emprisonné.
Meursault donne au lecteur un sentiment de liberté, de libération, c'est d'ailleurs comme cela que Meursault prend la mort, une fois mort il sera satisfait, ce sera pour lui une nouvelle vie alors que c'est la fin de sa vie. Il attend, et il est pressé, il estime avoir "été heureux" et qu'il l'est encore.
Malgré tout, le personnage de Meursault est solitaire, il est seul mais ne le montre pas forcement, il l'exprime a travers ses sentiments. Il se sent tellement seul au'il veut que lors de son exécution, il y ait "Beaucoup de spectateurs" et qu'ils l'accueillent "avec des cris de haines." .

33. Le 27 septembre 2014, 15:59 par Aurélien

On peut s'intéresser à la mort de Meursault et au fait de savoir s'il est heureux de mourir.

En effet, pour Meursault, la mort n'est pas une fin en soi mais plutôt une renaissance comme il le dit en pensant à sa mère "pourquoi elle avait recommencé" et il est même heureux de partir de ce monde qui est, pour lui, indifférent.

Car dans « Elles annonçaient des départs pour un monde qui m'était à jamais indifférent », il y a les mots « à jamais indifférent » comme pour dire qu'il ne veut plus avoir de problèmes ou avoir à faire avec ce monde. Il y a aussi le mot « départs » comme s'il se trouvait dans un port, un aéroport ou une gare et qu'il était prêt à embarquer, cela donne au lecteur un sentiment de voyages, de changements, ...

Le lecteur s'attend à ce qu'il est peur de la mort, mais non lui il souhaite « qu'il y ait beaucoup de spectateurs » et « qu'ils l'accueillent avec des cris de haines ». On est frappé par cette contradiction.

Le lecteur a l'impression que Meursault veut mourir seul comme s'il ne pouvait supporter plus que toute sa vie soit programmée, à tel point qu' il ne voulait que personne ne l'aide même pas le lecteur qui suit son histoire comme le témoigne « Lui parti, j'ai retrouvé le calme ». Il veut mourir au calme alors que dans la dernière phrase du texte il dit qu'il veut « beaucoup de spectateurs, qu'ils l'accueillent avec des cris de haines » : encore une contradiction.

On a l'impression qu'il prépare sa propre mort et qu'il veut être seul puis il change d'avis car il veut que le lecteur se souvienne de lui, c'est comme s' il n'arrivait pas choisir entre deux idées de fin.

34. Le 28 septembre 2014, 11:18 par Xavier.C

J'ai envi de parler du comportement de meursault, malgré sa situation il n'éprouve aucun regrets. Sa mort est proche mais son esprit revi.Il comprend que l'aproche de la mort libère l'esprit et fait revivre certains moment important de la vie. Il est vidé de ses mauvais sentiments. Apres avoir ressenti une grande colère l'envahir, il est vidé de ses mauvais sentiments et se retrouve face à une indifférence agréable qui lui permet de vivre ses derniers moments sereinement.

35. Le 28 septembre 2014, 12:43 par Hugo

J'ai envie de parler des réactions de Meursault, de son insensibilité face à certaines nouvelles, ses prises de conscience et ses sentiments. pourquoi cet étrange changement de comportement ?

Dans ce dernier passage du livre, Meursault semble plus assagit qu'au début du roman. Il ressent des émotions contrairement à ce qu'on a pu constater tout au long du roman: "La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée". Meursault est complètement transformé, il se sent bien et on dirais même que le fait de mourir ne l'atteint pas plus que ça et qu'au contraire il se sent libéré.
On peut également constater, que Meursault "s'ouvre à nous" et laisse enfin paraitre ses sentiments: "pour la première fois depuis bien longtemps j'ai penser à maman." Cette phrase est agréablement surprenante venant de sa part, lui qui au début du roman, attendait que l'enterrement soit passer afin que se soit "une affaire classée". De plus, Meursault qui avait envoyé sa mère à l'asile car il ne pouvait plus subvenir à ses besoins et à qui il ne rendait très rarement visite comprend enfin sa mère:" il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un << fiancé >>, pourquoi elle avait joué à recommencer." A travers ces quelques mots Meursault nous laisse entendre qu'il se pose beaucoup de question quand on relation qu'il avait avec sa mère. Meursault est moins fermé au monde extérieur qu'avant et le dis lui même:" je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde."
On en conclue donc que Meursault sentant la mort approché réfléchi beaucoup au sujet de sa vie, de ses actes et même peut-être de ses paroles et se remet en question quand au relation qu'il avait avec le monde, avec sa mère... La mort ne lui fait pas peur, au contraire même "l'amuse": "il me restait plus qu'à souhaiter qu'il y'ait beaucoup de spectateur le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine."

36. Le 28 septembre 2014, 14:21 par Léa P.

Nous allons nous intéresser à l'évènement que Meursault veut faire de sa mort.
Tout au long du livre nous avons pu remarquer l'étrange comportement qu'avait Meursault face à la mort qui est souvent appréhendée, redoutée... parallèlement à ce que pense Meursault qui pour lui n'est pas une source d'inquiétude, cela ne paraît pas être la "fin" d'une vie mais plutôt une renaissance "Et moi aussi, je me suis sentis prêt à tout revivre" car c'est une façon d'effacer le passé pour tout recommencer. Il n'y apportait pas grande importance tout comme il avait agit pour la mort de sa mère.
Et c'est ainsi que Meursault bouleverse ce qu'il pensait de la mort jusqu'à présent, que ce n'était pas quelque chose dont on doit s'intéressé, en souhaitant faire de sa mort un évènement, il veut "se sentir moins seul". On pourrait penser que Meursault veut qu'on lui accorde de l'importance peu importe si ce n'est pas gentiment "qu'ils m'accueillent avec des cris de haines". Meursault accorde soudainement une certaine importance à la mort, il veut en tout cas faire de la sienne un spectacle.

37. Le 28 septembre 2014, 14:34 par Mme Baudry

:-) Certains bons textes. Cependant, vous avez besoin de cadrage méthodologique (ce que nous verrons en cours demain). Par exemple, le texte de Camus n'est pas assez présent dans vos commentaires si bien que vous avez tendance certains à commenter davantage l'incipit que l'explicit en question ou à faire de la paraphrase.
D'autre part, votre texte doit manifester plus de distance pour être lu par un professeur: il est temps de passer au "on", à utiliser davantage "le lecteur" plutôt que le "je".
Sur le fond, l'idée de contradiction développée par le commentaire 33 est à retenir. Peut-on dire que la mort "amuse" Meursault comme on peut lire dans le commentaire 35? ce serait à justifier davantage...De même le fait que le personnage soit emprisonné pose en effet problème quand on lit la relation privilégiée qu'il entretient avec les éléments naturels (voir commentaire 32). A réfléchir aussi.
Enfin, des commentaires bien trop courts, qui sont loin d'un niveau attendu en première.

38. Le 28 septembre 2014, 14:51 par JulieA_1es2

J'ai envie de parler des sentiments que le lecteur peut ressentir face aux phrases de Meursault.
La majorité de ces phrases touchent le lecteur.

Certaines d'entre elles peuvent procurer une certaine tristesse chez le lecteur, or le personnage en lui même n'ai pas triste. Mais pourtant à travers la tournure de ces phrases il arrive à chagriner le lecteur "Pour la première fois depuis bien longtemps j'ai pensé à maman". Cette phrase va attendrir le lecteur car elle est affective, la présence du mot "maman" attire l'attention et parler d'une mère touche toujours une personne.

D'autres d'entre elles, peuvent au contraire apaiser le lecteur. On peut penser à une sorte de poésie ou même une chanson. Comme un refrain entraînant qu'on chantonne. "La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marrée" c'est une phrase très poétique. Les rimes la rende d'autant plus belle à entendre.

Dans l'ensemble de cet incipit les sentiments ressentis à travers la lecture restent positifs. En effet le sujet triste comme la mort semble tourné d'une façon douce, en lisant cela le lecteur n'éprouve pas de peine car Meursault lui même embellis et positive ce sujet. Dans ces phrases on n'aperçois ce côté sensible qui amène à toute sorte d'émotions.

39. Le 28 septembre 2014, 16:56 par Charlotte

Dans ce commentaire nous allons nous intéresser à l’étrange changement de comportement de Meursault et des conséquences que cela a sur la structure du texte.

Dans l’incipit de l’Etranger, le lecteur est face à un Meursault complétement renfermé sur lui-même et qui ne communique pas avec lui. En effet l’incipit se compose de phrase courte, et très peu expressive, en référence au télégraphe que Meursault a reçu « Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués. ». Le lecteur est comme mis de côté, il « n’apprend » rien sur les sentiments du personnage, il est mis à l’écart comme « témoin » si l’on peut dire.
Cependant dans l’explicit du roman, les phrases deviennent plus longues et poétiques « Je crois que j’ai dormi car je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage ». Le lecteur voit clairement le changement radical de comportement de Meursault à travers la structure du texte. Meursault s’attarde sur des détails, ce qu’il ne faisait pas avant « des odeurs de nuit, de terre et de sel ». Le lecteur peu éprouvé grâce à cela un sentiment d’apaisement, comme si le début du roman avait été noir et dénué de sens et que la fin devenait plus claire, plus colorée. De plus Meursault parle maintenant de sa mère de façon tendre et compréhensive en opposition à l’incipit où sa mère était un problème

40. Le 28 septembre 2014, 17:29 par Martin

J'ai envie de parler de la relation entre Meursault et la mort, de son indifférence face à elle, sa manière positive de la voir pour sa mère mais surtout pour lui qui est tout de meme jeune pour mourir. Je vais m'intéresser au paradoxe entre sa mort et le fait qu'il veuille tout revivre (malgré qu'il soit athée ce qui est aussi paradoxal).
J'ai également envie de montrer qu'il ne pense meme pas au pourquoi de sa présence ici et à son indifférence voir son absence de remords face à son crime.

41. Le 28 septembre 2014, 17:41 par Segretin

J'ai envie de parler du changement de comportement de Meursault de la première page à la dernière.

      
         Dans le début du livre, Meursault paraît comme insensible, inhumain "Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut être hier. " Cette phrase nous explique d'emblée dans quelle état d'esprits est Meursault. On peut suppose que celui-ci est indifférent à ce qui se passe, perdu.

Meursault totalement perdu va culpabilise de la mort de sa mère auprès de son patron. " J'ai demandé deux jours de congés à mon patron. (...) il n'avait pas l'air content. Je lui est même dit < ce n'est pas de ma faute>. On peut penser que Meursault semble emprisonner dû à l'oppression de la société, ici représenté par son patron. Ce qui conduit Meursault à agir comme sa.
Ce comportement va progressivement changer en un tout autre Meursault.

            Meursault après avoir commis l'irréparable, il sera juger et sera condamné a la mise a mort.

La révélation de sa mise à mort va être comme un électrochoc pour Meursault, au moment de sa remise en cellule, il va être pris d'une prise conscience. "Il me semble que je comprend pourquoi à la fin d'une maman avait pris un <fiancé>, pourquoi elle avait jouer à recommencer". On peut imaginer que Meursault admire sa mère pour ce qu'elle a fait, la phrase <fin d'une vie> peut nous faire penser à une réincarnation (renaissance) qui sont dans les religions de l'hindouisme et du bouddhisme, se caractérisant par une résurrection. Il y a aussi le Christianisme avec l'idée du paradis.
Meursault se dit enfin prêt a revivre."Et moi aussi, je me sens prêt a tout revivre". On peut distinguer dans cette phrase comme une libération pour Meursault. En effet, Meursault semble soulagé de quitter ce monde qui l'oppresse pour vivre une nouvelle vie sûrment avec sa mère dans l'haut delà.

          On peut conclure que Meursault a vécu oppressé tous sa vie et revit seulement après l'annonce de sa mise a mort qui la purge de tout le mal qu'il avait.
42. Le 28 septembre 2014, 18:04 par Mme Baudry

8-O attention au dernier commentaire. Le texte qui précède l'explicit (la confrontation avec l'aumônier) montre au contraire que Meursault ne croit en aucune vie après la mort!! ce serait un contresens de penser cela. Il ne va pas rejoindre sa mère dans une autre vie!!! il faut relire le texte car rien à voir avec la réincarnation. ATTENTION!

43. Le 28 septembre 2014, 18:11 par AlexisM

J'ai envie de parler de l'influence de la mère de Meursault sur cette dernière page. Je parlerais également de l'étrange rapport entre Meursault et la mort , qu'il ne redoute absolument pas. Je parlerais également des nombreux mots relatifs à la nature et à la nuit. Enfin je parlerais de l'importance de la "foule" sur Meursault , foule dont il ne considère pas faire parti.

44. Le 28 septembre 2014, 18:15 par manon

J'ai envie de parler du fait que Meursault s'ouvre enfin a nous, lecteurs.
Comme au début du roman le personnage principal nous exprime qu'il est fatigué mais au début du livre Meursault ne nous donne pas vraiment de détails sur ses ressenti alors que dans ce passage il nous informe avec beaucoup plus de détails, il vas même jusqu’à nous donner des informations sur les odeurs, la façon dont il s'est réveiller « avec des étoiles sur le visage » .Il continu a décrire les environs comme au début du récit mais a la fin du roman il nous partage toutes ces émotions par exemple quand il parle du fait qu'il est « pensé a sa mère » , il nous fait même rentrée dans sa vie intime en nous confiant la fin de la vie de sa mère , et son envie de faire la même chose « tout recommencer » on peut voir dans ses paroles qu'il ouvre les yeux, enfin sur la vie, il est moins renfermer nous dit même « qu'il a été et qu'il est toujours heureux » alors que plus tôt dans le roman on ne savait absolument pas ses sentiments, il nous montre même qu'il reste fière en « espèrent qu'il y est beaucoup de spectateurs le jour de son exécution et qu'il l’accueillent avec des cris de haine », on peut même remarquer du sarcasme dans ces dernières paroles, ce qui nous montre un tout nouveau Meursault .

45. Le 28 septembre 2014, 18:17 par William

J'ai envie de parler de l'indifférence de× Meursault face à sa mort qu'il considère comme un événement car il veut qu'il y ait beaucoup de spectateurs qui l'accueillent avec des cris de haine, il a envie de " se donner en spectacle ". avant sa mort,Meursault prend du temps pour repenser à sa vie et à sa mère...

En effet,Meursault ne réagit pas comme toutes personnes réagiraient face à l'annonce de leur mort. Il considère sa mort comme une renaissance " je me suis senti prêt à tout revivre " grâce à laquelle il pourra être vu " il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs... " " qu'ils m'accueillent avec des cris de haine". Il a envie d'être accueilli, comme si c'était une grande personne.

Il a une vision du monde qui est presque idyllique lorsqu'il dit " merveilleuse paix de cet été... " " je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage ". Il y a donc une sorte d'antithèse entre ce monde idyllique et son exécution qui va suivre. Il découvre la beauté du monde en prenant son temps, juste avant d'en finir.

On peut interpréter ceci par le fait que pour Meursault, il fait déjà parti d'un autre monde. Tout au long du livre on découvre qu'il a sa propre façon de penser, mais ici elle est encore plus accentuée car ses réactions face à cette péripétie ne sont pas communes. Il considère sa mort comme un événement mais fait une antithèse avec un monde merveilleux.

46. Le 28 septembre 2014, 18:59 par Maël

J'ai envie de parler du changement de Mersault entre la fin et l'incipit de l'étranger. Dans l'incipit , Merault apparaît désemparé en manque de repaire entre la mort de sa mère qu'il fais paraître comme une chose banale et a régler au plus vite et l'autorité de son patron . Dans la fin de l'étranger , nous voyons un Mersault sûr de lui qui attend la mort , il fais paraître la mort comme un autre événement marquant de sa vie mais sans lui apporter grande importance. Mersault dis qu'il est heureux et qu'il a été heureux mais du fait qu'il ressasse tous ces souvenirs montre qu'il est comme même mélancolique . Entre la fin et l'incipit , nous voyons un changement radical qui marque que les événements l'ont endurci . Mais on vois un paradoxe , il est enfermé mais il a l'esprit libre a la fin de l'étranger alors qu'au début il est libre mais a l'esprit entraver. Il se compare beaucoup à sa mère et ça mort a la sienne . Mersault dis même que c'est la première fois qu'il pense à " maman " . Il dis qu'il est prêt a tout revivre et montre qu'il ressens comme même de la mélancolie et de la craindre . Ces sentiments montrent le coté vraiment " humain " de Mersault qu'il n'avait pas pendant l'annonce de sa mère ou en tout cas n'as pas montrer beaucoup de tristesse.Ce qui montre que son travail et l'autorité de son patron l'affectait énormément .

47. Le 28 septembre 2014, 19:06 par Quentin

Dans cette partie nous allons nous intéresser à l'étrange changement de comportement de Meursault.
Nous pouvons voir le comportement du personnage principal Meursault change au cours du texte. En effet, nous observons que les idées présentes dans l'incipit sont brèves. Aucune pensée de Meursault y est présente. Tandis que dans l'explicit les pensées de Meursault sont plus précisent "j'ai pensé à maman". Meursault nous dévoile même ce qu'il ressent "Et moi aussi je me suis senti prêt à tout revivre (...) j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'était encore ". Il parle également de sa mère "Il m'as semblé que je comprenais pourquoi (...) maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre" . Cette partie du roman ou Meursault se dévoile est inédite.

48. Le 28 septembre 2014, 19:13 par Erwan

J'ai choisi de parler de l'étrange changement de comportement de Meursault à l'approche de la mort. Meursault à toujours fait preuve d'indifférence. A l'approche de sa mort, il semble particulièrement calme et serein : " Lui parti, j'ai retrouvé le calme." . Et lui est si indifférent au monde qui l'entourait jusqu'à présent, semble être moins indifférent à ce monde qu'il va quitter à jamais : " je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. ". Il pense à sa mère et contrairement au début il commence à regarder la mort de sa mère d'un autre œil : "Si près de la mort, maman devait si sentir libérée et prête à tout revivre." . Il réalise qu'il a été heureux alors qu'il était dépourvu de sentiments durant toute l'histoire. C'est au moment de le quitter qu'il s'ouvre au monde qui l'entoure. Pour lui la mort n'est pas tragique comme pourrais penser le lecteur, c'est une sorte de renouveau : " Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre". Il est prêt à recommencer une nouvelle vie. Pour qu'il se sente moins seul, il souhaite que le monde entier le voit mourir. Et " qu'ils m'accueillent avec des cris de haine ".

49. Le 28 septembre 2014, 19:45 par SarahB

J'ai envi de parler du changement de comportement de Meursault. Au début du livre Meursault semble indifférent a tout ce qui se passe autour de lui, a la mort de sa mère de plus les phrases sont courtes, flou. On peut supposer que Camus a fais exprès de mettre des phrases courte au début du texte pour faire référence au télégramme qu'à reçu Meursault pour lui annoncer la mort de sa mère. A la fin du texte contrairement au début du livre Meursault semble "revivre" il nous fais part de ses sentiments, il nous parle de sa mère on en apprend plus sur lui en quelque sorte. On remarque aussi que les phrase sont plus longue. Ce préparant a l'idée de mourire Meursault n'a pas d'autre choix que t'accepter la mort et ce sent près 'a tout revivre" .

50. Le 28 septembre 2014, 19:49 par Nicolas D

Dans cette extrait du livre "l'étranger", je vais parler de l'attitude que Meursault en prison.
Comment le vit-il ? Pourquoi ?

      Meursault face à la mort ne ressent aucune frayeur il vit ses derniers moments en étant "prêt à tout revivre".

Il repense à sa mère chose qu'il n'avait pas fait depuis très longtemps. Ils comprend enfin les derniers jours de sa mère.
Sa propre mort le fait redevenir "fils" il utilise d'ailleurs le mot "maman".
Dans ce passage du roman Meursault n'indique qu'il est en prison, il parait indifférent. Ses pensées, ses retours en arrière le font être libre.
Peut être parce qu'il sait qu'il va mourir, il essaye d'embellir sa fin en "s'ouvrant pour la première fois à la tendre indifférence".
Cette réaction de Meursault peut-être expliquée par sa façon de ne jamais exprimée ses sentiment envers tout ce qui lui arrive.
"Vidé d'espoir" Meursault n'espère qu'une ne chose ne pas mourir seul mais entouré de "spectateur" hurlant leur haine envers lui.
Cette façon de mourir rendra sa mort moins solitaire lui qui avait compris qu'il avait été heureux et qui l'était encore.

51. Le 28 septembre 2014, 19:50 par Morgan

J'ai envie de parler de indifférence de meursault face à sa propre mort mais également face à celle de sa mère. Pour la mort de sa mère meursault a été plus déstabilisé par le télégramme que par la nouvelle en elle même. Meursault nous donne l'impression de ne rien ressentir. Même pour sa propre mort, il veut, justement, qu'il y est beaucoup de spectateurs et qu'ils l'accueillent avec des cris de haine, le jour de son exécution. Meursault reste indifférent a toutes sorte de sentiments.

52. Le 28 septembre 2014, 20:06 par Sarah.V

J'ai envie de parler de l'étrange comportement de Meursault, du fait qu'il se sente "heureux" juste avant sa mort. En effet tout au long du livre, le lecteur n'a pas beaucoup d'informations sur les émotions de Meursault, il est tout le temps indifférent, même à l'annonce de la mort de sa mère. Pourquoi est-il heureux et "prêt à tout revivre" lorsqu'il va mourir ? Pourquoi ce changement de comportement ?

53. Le 28 septembre 2014, 20:46 par Amandine

J’ai envie de parler de l’indifférence que Meursault a face à sa mort. Celui-ci semblerai presque heureux de mourir et nous le fait comprendre lorsqu’il dit « Je sens que j’ai été heureux, et que je le suis encore. », il semble paisible et est prêt à être exécuté comme si cela ne lui faisait pas peur.
On penserai presque que Meursault prend son exécution comme un évènement car celui-ci dit « Il me reste à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution »
En effet, Meursault nous fait ressentir sa mort comme si celle-ci était une renaissance ou une nouvelle vie qui s’ouvrit à lui. « Je me sens prêt à tout revivre. »
Celui-ci ne sait même pas battu lors de son procès pour essayer d’atténuer la sentence qui aurai pu être une autre, comme si la seule chose qu’il souhaitait était de mourir. Malgré tout ce qui lui arrive et sa situation, Meursault n’éprouve pas de regrets.

54. Le 28 septembre 2014, 21:22 par Maxime F

J'ai envie de parler de ce que ressens Meursault sur sa mort imminente.

Tout d'abord, pour Meursault, ce n'est pas la fin de sa vie mais au contraire une renaissance et on a l'impression qu'il est satisfait de mourir : " Elles annonçaient des départs pour un monde qui maintenant m'étais à jamais indifférent".
Ensuite Meursault n'a pas peur de la mort, il veut que cela soit un événement, ce qui nous choque nous en tant que lecteur : "qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m’accueillent avec des cris de haine".
Meursault est plus sentimentale à la fin du roman on ressens plus ses sentiments, par exemple qu'il soit triste en pensant à sa mère ou qu'il soit heureux de mourir.
Enfin Meursault n'éprouve aucun regret sur ce qu'il fais ce qui est étonnant pour nous les lecteur : "Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre"

55. Le 28 septembre 2014, 21:25 par Romain

J'ai envie de parler du côté paradoxal de Meursault.
Il est seul, proche de son exécution , il pense à sa mère morte ... Tout cela est triste mais Meursault lui est pour le première fois de sa vie heureux . Il comprend sa vie et il comprend des choix de sa mère. Sa mort sera pour lui comme un grand final et il souhaite qu'il y ait beaucoup de spectateurs .
« Rien n'a d'importance» pour Meursault. C'est en quelque sorte la «morale» du discours à l'aumônier. C'est la mort qui est censée «justifier» l'existence. La mort devient le « destin» qui « élit» tout le monde. Finalement le vocabulaire du prêtre est réutilisé par le personnage (frères, destins, privilégiés) pour montrer que la mort seule donne du prix à la vie ce qui est très paradoxale comme il va bientôt mourir.

56. Le 28 septembre 2014, 22:08 par agathe.

J'ai envie de parler de la solitude que doit éprouver Meursault. On pourrait penser que celui-ci est serein, voire indifférent à ce qui se passe autour de lui. Cependant, il évoque le souvenir de sa mère, peut-être parce qu'il se sent seul. En effet, seul face à sa mort imminente, il repense à elle et recherche un peu de réconfort.

57. Le 28 septembre 2014, 22:47 par Xavier.C

J'ai envie de parler des contradictions de pensées de Meursault a la veille de son exécution. On peut voir que le personnage apres le départ de l aumônier (lui parti) se retrouve seul face a lui même. Il est même prive de la lumière du soleil (je me suis réveille avec des étoiles sur le visage).Meursault est serein et sent les parfums de la nature.soudain les sirènes des bateaux lui rappelle qu il ne
pourra plus voyager dans ce monde qu il va quitter. On sent chez le personnage la mélancolie et la tendresse
quand il évoque sa mère et la fin de sa vie. On peut
comprendre qu'il ressent du respect pour elle. A la fin du
récit les pensées de MEursault sont contradictoires avec le
début.la dernière phrase : qu'ils m accueillent avec des cris
de haine : contredit les pensées de désir du personnage a
etre seul loin du monde. Son seul souhait a la fin est de ne
pas mourir Dans l'indiffrence des hommes.

58. Le 28 septembre 2014, 23:35 par Thomas C

J'ai envie de parler de la solitude de Meursault à la fin du roman.

Quand Meursault est en prison on sent vraiment qu'il est seul, perdu,sans personne à qui se confier...C'est à ce moment-là qu'il repense à sa mère mais à lui aussi, vus que sa mère est décédée il n'a personne pour le soutenir, il ne fais penser il ne parle pas reellement, pour lui il ne lui reste une fois, il voudrait qu'il y ait beaucoup de mondes pour son exécution il veut que sa mort "marque" les esprits il veut être vus car lorsqu'il se trouve en prison cela ne change rien à la vie des gens, c'est comme ci il n'existait pas...

59. Le 29 septembre 2014, 09:04 par Yanis

Scène finale. Roman qui retrace la vie de Meursault perso-narrateur. Un jeu de circonstance l'amène à tuer un arabe,et il est condamné à mort. Peu de temps avant l'exécution, un aumônier pénètre dans sa cellule pour essayer de le réconforter et de lui faire accepter Dieu et la repentance.Ces paroles de douceur et d'espoir mettent Meursault hors de lui Après une longue période de révolte, Meursault a une révélation qui lui permet de trouver enfin le bonheur.

60. Le 29 septembre 2014, 14:45 par antoine

(j'ai envie de parler de l'étrange changement de comportement de Meursault et entre autre celui vis à vis de sa mère.)




En effet a la fin du livre on découvre un autre Meursault, car dans l'incipit le personnage principal était quelqu’un de réservé plutôt inexpressif et indifférent, racontant sa vie de façon ferme et bref. Nous pouvons le voir avec des phrases courtes et qui vont droit au but "Aujourd'hui, maman est mort." Tandis que dans l'explicite, Meursault ce libère il est heureux et a envie d'évasion, le lyrisme bucolique renforce cette aspect avec par exemple : "des bruits de campagnes" , "des odeurs de nuits de terre". Les phrases sont plus longues plus expressives et certaines rimes entre elles.

Au fil de l'explicite Meursault se confie petit à petit aux lecteurs, on peut ressentir ce sentiment  lorsqu'il parle de sa mère. Il l’appelle "maman" signe qu'il éprouve des sentiments vis a vis d'elle. Sa mère est au centre de l'explicite notamment avec : "Et moi aussi, je me suis senti près a tout revire." dans cette phrase nous pouvons remarquer qu'il s’identifie à sa mère, il nous laisse entrer dans son intimité il nous fais pars de ses sentiments avec "je me suis senti a tout revire" il ce libère, nous avons l'impression d'être son confident .

Au début de l'incipit Meursault voyait la mort de sa mère comme une affaire classée quelque chose qui devait arrivé mais au quel, il n'apporterait pas plus d'importance que ça, il apparaissait désemparé en manque de repaire tandis que dans l'explicite il change de point de vue vis a vis de sa mère il la comprend :"Il me semblais que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un "fiancé" pourquoi elle avait jouer a recommencer." cette phrase est douce, surement grâce aux verbes conjugués à l'imparfait et au passé simple il ce remémore sa vie chose qu'il n’aurait jamais fait au début du livre.

61. Le 29 septembre 2014, 19:17 par William

J'ai envie de parler de l'indifférence de Meursault face à sa mort qu'il considère comme un événement car il veut qu'il y ait beaucoup de spectateurs qui l'accueillent avec des cris de haine, il a envie de " se donner en spectacle ". avant sa mort,Meursault prend du temps pour repenser à sa vie et à sa mère...
En effet,Meursault ne réagit pas comme toutes personnes réagiraient face à l'annonce de leur mort. Il considère sa mort comme une renaissance " Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre ", les mots utilisés sont doux, il n'y a aucune haine ou colère même si il va mourir. Le sujet triste comme la mort semble tourné d'une façon douce. Grâce à cet événement il pourra être vu " Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine". Il a envie d'être accueilli, comme si c'était une grande personne. Seul «  exécution » et « cris de haine » sont là pour rappeler la triste fin. Cette phrase paraît plutôt apaisante, avec un rythme fixé par la ponctuation, la répétition de «  pour que » et du son «  é » qui est assez présente. Cela donne une certaine musicalité à cette phrase, Meursault dédramatise sa mort, le lecteur ressent moins la tristesse car Meursault se sert de sa mort pour se libérer.
Il a une vision du monde qui est presque idyllique lorsqu'il dit " merveilleuse paix de cet été... " " je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage ". On y trouve une dimension poétique dans ces phrases, Meursault utilise des termes connotés positivement «  merveilleuses paix ». Cela permet au lecteur de visualiser l'état d'esprit qu'à Meursault avant sa mort . Il y a donc une sorte d'antithèse entre ce monde idyllique et son exécution qui va suivre. Il découvre la beauté du monde en prenant son temps, juste avant d'en finir. Ce changement d’attitude serrait dû à son exécution qui lui donnerait un sentiment de libération comme pour pouvoir quitter se monde monotone.
On peut interpréter ceci par le fait que pour Meursault, il fait déjà parti d'un autre monde. Ceci expliquerait que cet excipit soit d'avantage positif et utilisant des termes et des phrases d'une certaine douceur. Tout au long du livre on découvre qu'il a sa propre façon de penser, mais ici elle est encore plus accentuée car ses réactions face à cette péripétie ne sont pas communes. Il considère sa mort comme un événement mais fait une antithèse avec un monde merveilleux, car pour lui ce n'est pas une mort mais une renaissance.

62. Le 29 septembre 2014, 21:39 par Alechou

J'ai envie de parler de l'indifférence de meursault face à sa mort, puis celle de sa mère. À la mort de la mère de Meursault, notre heros a été plus déstabilisé par le télégramme que par la nouvelle en elle même. Meursault nous donne l'impression d'etre vide. Pour ce qui est de sa propre mort, il veut justement, qu'il y est beaucoup de mondes, pour qu'ils l'accueillent avec des cris de haine, le jour de son exécution. Notre hero reste indifférent a toutes sorte de sentiments. Et nous donne l'impression qu'il est une machine prête a etre reprogrammer.

;-)
63. Le 29 septembre 2014, 22:18 par Erwan

J'ai choisi de parler de l'étrange changement de comportement de Meursault à l'approche de la mort. Meursault à toujours fait preuve d'indifférence. A l'approche de sa mort, il semble particulièrement calme et serein : " Lui parti, j'ai retrouvé le calme." "La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée." Cette phrase est douce et calme, mais elle est rythmé. Cette citation montre le contraste entre le sentiment de paix et de plénitude. Le mot "marée" conote l'envahissement, cette vague qui le submergé de ce sentiment de paix. Il ne lutte pas, il reste paisible. Cette phrase inspire la tranquillité et le bien être. Et lui qui était si indifférent au monde qui l'entourait jusqu'à présent, semble être moins indifférent à ce monde qu'il va quitter à jamais : " je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. ". "Si près de la mort, maman devait si sentir libérée et prête à tout revivre". Cette phrase est coupée en deux, une partie parle de "la mort" et l'autre parle de "revivre". Il y a un paradoxe entre la fait de mourir et de tout revivre. Cette citations montre bien que Meursault ne voit pas la mort comme une fin mais comme un renouveau. Pour lui l'approche de la mort est une source de bonheur plus que de malheur, il pense que sa mère ressentait la même chose. Il pense à sa mère et contrairement au début il commence à regarder la mort de sa mère d'un autre œil. Il réalise qu'il a été heureux alors qu'il était dépourvu de sentiments durant toute l'histoire. C'est au moment de le quitter qu'il s'ouvre au monde qui l'entoure. Pour lui la mort n'est pas tragique comme pourrais penser le lecteur, c'est une sorte de renouveau : " Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre". Il est prêt à recommencer une nouvelle vie. Pour qu'il se sente moins seul, il souhaite que le monde entier le voit mourir. Et " qu'ils m'accueillent avec des cris de haine ".

64. Le 29 septembre 2014, 22:55 par Allan

Je fais un renvoie puisque l'autre est apparament pas passé :/

Je voulais parler du paradoxe a la fin du texte entre la mort et le fait qu'il est envie de tout recommencer :
-Pour moi le fait qu'il veulent tout revivre n'indique pas qu'il regrette mais simplement qu'il souhaite profiter un nouveau de ses derniers moments a passé a sa mère et continuer a nous donné sa vision du monde.
-De plus cette mort qu'il attend le fait réagir et lui fait naître un esprit critique sur sa mère et la vie qu'il a jusqu'à présent vécu.
-C'est une sorte de renaissance qu'il se donne avec cette phrase comme pour annoncer enfin une délivrance, non pas qu'il croit a une vie après la mort mais plutôt comme un esprit "enfantin" ou "d'enfant" qui se traduit par le fait qui malgré ses envies ne peut pas les satisfaire et il ne regrette meme pas car il est heureux, presque comme un innocent qui du jour au lendemain va subir la peine capital mais lui ne pense qu'a une chose ne pas etre seul le jour de sa mort.

65. Le 30 septembre 2014, 14:27 par Gladys

Nous allons s'intéresser a l'étrange changement de comportement de Meursault. Dans le premier passage vu en classe nous constatons que Meursault est un homme renfermer on ne sait pas ce qu'il ressens on a l’impression qu’il est « neutre » et semble indifférent comme si il n’avait pas d’âme et que le vide se propageait en lui peut importe les événements tandis qu'à l'explicite Meursault est métamorphosé, il ressens des émotions et déclare un discourt sans fin qui lui redonne de la dignité comme si il vivait pour la première fois contrairement à ce qu’on a pu constater tout au long du roman "Pour la première fois depuis bien longtemps, j’ai pensé a maman" cette phrase est surprenante venant de Meursault les mots sont tendres et le mot ’maman’ montre une marque d’affection d’autant plus que la structure de la phrase est régulière et précise il laisse le lecteur entrer dans ses pensées. Il s'ouvre enfin et semble être " intégré " c''est un personnage plus doux "Je m‘ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. " les mots employés par le personnage sont tous nouveaux et c’est une phrase longue et qui inspire la tranquilité et nous remarquons que " pour la première fois " est souvent répéter dans quelques phrases ce qui prouve son changement de comportement il n’oublie aucun détails, ne cesse de s’exprimer il prend un prise de conscience et s’identifie a sa mère la compréhension règne enfin et nous fait part de tous cela en nous laissant entrer dans son intimité . Malgré que le jour de son exécution approche il est confiant et serein et montre un aspect différent de la mort qui est plutôt positif quelques heures avant de mourir il se sent vivant et se sent près à tous revivre comme si il avais hâte de quitter ce monde alors que le lecteur ressens de la peine pour lui.

66. Le 30 septembre 2014, 17:40 par Léa

Nous souhaiterions mettre ici en avant l'évènement que souhaite faire Meursault de sa mort. Cet explicit est un paradoxe de l'incipit : lorsque Meursault apprend la mort de sa mère il n'y accorde pas grande importance et paraît indifférent alors que dans la fin du roman Meursault nous montre un tout nouveau visage. Le personnage semble prendre du recul et repenser au passé comme lorsque l'on lit "Pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman". C'est ici un personnage plus émotif , plus sentimental que l'on découvre. Meursault parait enfin s'ouvrir à la vie paradoxalement à son comportement au début où il semblait absent à la vie et dépourvu de tout avis.
"Et moi aussi , je me suis senti prêt a tout revivre." à peine quelques heures avant son exécution Meursault semble calme , il utilise des mots simples , c'est une phrase qui "sonne" douce lorsqu'on la lit. Meursault accepte sa mort sans réaction de haine. C'est un nouveau Meursault que l'on découvre si proche de sa mort "Pour que tout sois consommé , pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haines." il nous le prouve à travers cette phrase en nous envoyant pleins de sentiments , il accepte effectivement sa mort mais il ne veut pas mourir seul lui qui pourtant fut souvent tout seul au cours de sa vie. Meursault souhaite "se donner en spectacle" avant de partir définitivement de ce monde. Il accorde soudainement de l'importance à la mort. Et veut qu'on en accorde à la sienne.

67. Le 30 septembre 2014, 19:53 par Hugo

Dans ce dernier passage du livre, Meursault décrit ce qu’il ressent « Je crois que j’ai dormi parce que je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage. » Nous pouvons nous pencher davantage sur cette phrase. En effet en la décomposant, nous pouvons remarquer que Meursault semble s’être endormi, il est perdu et n’est même plus sur de ce qu’il a dit, il y’a peut-être un rapport avec sa discussion avec l’aumônier qui ne s’est pas vraiment bien passé et qui l’a surement agacé. Il dit ensuite qu’il s’est réveillé avec des étoiles sur le visage, les étoiles sont un symbole de liberté, alors sue celui-ci se trouve en prison, Meursault se sent libre malgré tout, le faite d’être en prison ne l’atteint pas plus que ça. De plus cette phrase est accentué par « Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. » Le mot « aussi » fait rapport avec le fait que sa mère ressentait les mêmes choses, ils ont le même destin, tous deux sous l’emprise de la mort, il se sente libre, la mort ne leur fait pas peur et veulent profiter de leur derniers instants sur terre.

Meursault semble plus assagit qu'au début du roman. Il ressent des émotions contrairement à ce qu'on a pu constater tout au long du roman: « La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée ». Meursault est complètement transformé, il se sent bien et on dirait même que le fait de mourir ne l'atteint pas plus que ça et qu'au contraire il se sent libéré.
On peut également constater, que Meursault "s'ouvre à nous" et laisse enfin paraitre ses sentiments: « pour la première fois depuis bien longtemps j'ai pensé à maman. »  Cette phrase est agréablement surprenante venant de sa part, lui qui au début du roman, attendait que l'enterrement soit passé afin que ce soit « une affaire classée ». De plus, Meursault qui avait envoyé sa mère à l'asile car il ne pouvait plus subvenir à ses besoins et à qui il ne rendait très rarement visite comprend enfin sa mère: « il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un «  fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer. » A travers ces quelques mots Meursault nous laisse entendre qu'il se pose beaucoup de question quand on relation qu'il avait avec sa mère. L’auteur utilise une figure de style afin d’insister, il se sert d’un oxymore « tendre indifférence », ces deux mots sont de sens contraire et donc ressorte de la phrase: «  je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. » Meursault est donc moins fermé au monde extérieur et le dit lui-même.
On en conclue donc que Meursault sentant la mort approché réfléchi beaucoup au sujet de sa vie, de ses actes et même peut-être de ses paroles et se remet en question quant aux relations qu'il avait avec le monde, avec sa mère. Meursault ne considère pas la mort comme quelque chose de dramatique et veut que sa mort soit un évènement « il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine. » Meursault attend donc que sa mort soit un spectacle alors qu’on sait que son père auparavant avait vu à quoi ressembler une exécution, et ceci l’avait écœuré. Le destin de Meursault rejoint donc celui de sa « maman ».
68. Le 30 septembre 2014, 20:20 par Mme Baudry

voici quelques sites qui peuvent vous aider:

http://www.lyc-descartes-montigny.a...
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69. Le 01 octobre 2014, 14:41 par Manon

J'ai envie de parler du fait que Meursault s'ouvre enfin a nous, lecteurs.
Comme au début du roman le personnage principal nous exprime qu'il est fatigué mais au début du livre Meursault ne nous donne pas vraiment de détails sur ses ressenti alors que dans ce passage il nous informe avec beaucoup plus de détails, il vas même jusqu’à nous donner des informations sur les odeurs, la façon dont il s'est réveiller « avec des étoiles sur le visage » .Il continu a décrire les environs comme au début du récit mais a la fin du roman il nous partage toutes ces émotions par exemple quand il parle du fait que "pour la première fois et depuis bien longtemps" il pense à sa mère ,on peut voir qu'il ouvre enfin les yeux sur le fait qu'il est été longtemps indifférent, il insiste dans cette phrase sur le cadre temporel en appuyant ses paroles sur "la première fois et depuis bien longtemps" puis il nous parle enfin de sa mère mais pas de n'importe quelle façon il donne un nom affectueux a celle ci en l'appelant "maman" cela montre qu'il se rend compte du temps qu'il a mît pour penser à sa mère quelqu'un que en fin de compte ne le laisse pas indifférent. Cette phrase est tendre car cela ressort comme une prise de conscience et termine en douceur. Il nous fait même rentrée dans sa vie intime en nous confiant la fin de la vie de sa mère , et son envie de faire la même chose « tout recommencer » on peut voir dans ses paroles qu'il ouvre les yeux, enfin sur la vie, le fait qu'il veuille revivre sa vie nous montre qu'il n'étais pas complètement vivant et qu'il n'a sans doute pas assez profiter, il remet donc en question dans ses paroles la vie qu'il a mener. Il est moins renfermer nous dit même « qu'il a été et qu'il est toujours heureux » alors que plus tôt dans le roman on ne savait absolument pas ses sentiments, il nous montre même qu'il reste fière en « espèrant qu'il y est beaucoup de spectateurs le jour de son exécution et qu'ils l’accueillent avec des cris de haine », on peut même remarquer du sarcasme dans ces dernières paroles cela paraît absurde étant donner que le seul souvenir qu'il a de son père est qu'il avait assisté à une exécution cela l'avais totalement écœuré, mais à ce moment le personnage attend justement que plein de personne comme son père auparavant vienne le voir et l'acclamer , ce qui nous montre un tout nouveau Meursault .

70. Le 01 octobre 2014, 15:59 par Segretin

J'ai envie de parler du changement de comportement de Meursault du début du livre à l’approche de sa mort. Dans le début du livre, Meursault paraît comme insensible, inhumain "Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier. ". Les mots « aujourd'hui » et « hier » sont des compléments de temps. Cette phrase nous explique d'emblée dans quel état d'esprits est Meursault. On peut supposer que celui-ci est indifférent à ce qui se passe, perdu. Meursault totalement perdu va culpabilise de la mort de sa mère auprès de son patron. " J'ai demandé deux jours de congés à mon patron. (...) il n'avait pas l'air content. Je lui ai même dit « ce n'est pas de ma faute ». On peut penser que Meursault semble emprisonner dû à l'oppression de la société, ici représenté par son patron. Ce qui conduit Meursault à agir ainsi. Meursault à l’approche de sa mort va changer de comportement.

           A l’approche de sa mort Meursault paraît calme et serein « Lui parti, j’ai retrouvé le calme », il paraît comme changé.
Meursault après avoir commis l'irréparable sera jugé et sera condamné à la mise à mort. La révélation de sa mise à mort va être comme un électrochoc pour Meursault, au moment de sa remise en cellule, il va être pris d'une prise conscience. «  Pour la premiere fois depuis bien longtemps, j’ai pensé à maman » Cette phrase qui est tout à fait inoffensif et douce nous montre bien que Meursault à évoluer car au début livre il considérait que après l’enterrement serait « une affaire classée » et là enfin il s’ouvre à nous.

Meursault s’ouvrent de plus en plus à nous et semble commencer à comprendre les nombreux choix que sa mère a fait « Il me semble que je comprends pourquoi à la fin maman avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer ». Cette phrase nous laisse suppose que Meursault se pose de nombreuses questions sur la relation qu’il avait avec sa mère.
Meursault se dit enfin prêt à revivre "Et moi aussi, je me sens prêt à tout revivre". On peut distinguer dans cette phrase comme une libération pour Meursault. En effet, Meursault semble soulagé de quitter ce monde qui l'oppresse pour vivre une nouvelle vie.
Il dit se sentir s’ouvrir au monde « je m’ouvrais pour la premiere à la tendre indifférence du monde », on peut observer deux mots s’opposent « tendre » et « indifférence ». Par ailleurs cette phrases nous montrent bien que Meursault est libéré et accepte sa destiner. Meursault ayant passé sa majeur partit seule ne veut pas mourir seule, celui-ci espère qu’il y aura beaucoup de monde le jour de son exécution.

         On peut en conclure que Meursault a vécu oppressé, à subit les éléments de la nature toute sa vie et que maintenant, il se sent enfin  revivre a l’approche de sa mort.
71. Le 01 octobre 2014, 16:05 par Aymeric V.D.R

J'ai envie de parler de ce que ressent Meursault, plus particulièrement des sentiments positifs.

En effet le point le plus choquant est le fait qu'il accepte sa mort qui est imminente de façon douce, Meursault semble renaitre grâce a elle., comme une renaissance. La mort qui est imminente lui offre en quelque sorte une nouvelle vie, un nouveau départ.
Cette renaissance, et cette mort pourrait nous faire penser a la mère de Meursault, en effet sa mère avant de mourir "avait joué a tout recommencer" en prenant un "fiancé". Meursault se sent alors comme elle, "libérée et prête a tout revivre". Cette phrase est synonyme de compréhension, Meursault semble comprendre sa mère, lui qui ne s'en occupait pas, qui l'avait mis en maison de retraite, la situation de cette phrase est semblable a la situation de Meursault, sa mère avait joue a tout recommencer a la fin de sa vie, et Meursault lui souhaite recommencer mais ne le peut pas car sa mort est proche.

Le deuxième point choquant est la manière dont Meursault voit, admire le paysage. Chose qu'il ne prenait pas le temps de faire avant, hors il n'a plus le temps. En faite il donne l'impression au lecteur qu'il admire le paysage, il le décrit de manière "endormie"... Par ailleurs, "La merveilleuse paix de cet été endormie entrait en moi comme une marée" , est selon moi la plus jolie phrase de l’épilogue. Il y a une part de beauté, de douceur et de violence, c'est d'ailleurs une violence douce. "Merveilleuse paix ... comme une marée". Il est aussi drôle de constater que Meursault décrit l’été comme endormie, alors que le soleil ne lui avait jusqu’à présent porter que malheur sans aucun répit.
Meursault lui même ne l'admire pas vraiment car en réalité il ne le peux tout simplement pas car il est emprisonné.
Meursault donne au lecteur un sentiment de liberté, de libération, c'est d'ailleurs comme cela que Meursault prend la mort, une fois mort il sera satisfait, ce sera pour lui une nouvelle vie alors que c'est la fin de sa vie. Il attend, et il est pressé, il estime avoir "été heureux" et qu'il l'est encore.
Malgré tout, le personnage de Meursault est solitaire, il est seul mais ne le montre pas forcement, il l'exprime a travers ses sentiments. Il se sent tellement seul au'il veut que lors de son exécution, il y ait "Beaucoup de spectateurs" et qu'ils l'accueillent "avec des cris de haines." .

72. Le 01 octobre 2014, 16:05 par JulieA_1es2

J'ai envie de parler des sentiments que le lecteur peut ressentir face aux phrases de Meursault.
La majorité de ces phrases touchent le lecteur.

Certaines d'entre elles peuvent procurer une certaine tristesse chez le lecteur, or le personnage en lui même n'ai pas triste. Mais pourtant à travers la tournure de ces phrases il arrive à chagriner le lecteur "Pour la première fois depuis bien longtemps j'ai pensé à maman". Cette phrase va attendrir le lecteur car elle est affective, et tendre, la présence du mot "maman" attire l'attention et parler d'une mère touche toujours une personne. Cela met en valeur un Meursault plus émotif et sentimental ce qu’il n’était pas. Le lecteur entre alors dans ses pensées, car Meursault lui même semble s’ouvrir à nous, en nous disant ce qu’il ressent. Ce qui est assez surprenant car il était indifférent à ce qui l’entourait, et ne nous dévoiler rien de ces sentiments, il était comme bloqué, justement il ne ressentait rien. Mais en prononçant c’est quelque mot on s’aperçoit qu’il a changé et que cette phrase déborde de sentiments.

D'autres d'entre elles, peuvent au contraire apaiser le lecteur. On peut penser à une sorte de poésie ou même une chanson. Comme un refrain entraînant qu'on chantonne. "La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marrée" c'est une phrase très poétique. Les rimes la rendent d'autant plus belle à entendre. Les mots employés comme « paix » « endormis » sont calme et nous donne l’impression d’être dans une atmosphère très tranquille et bienveillante, douce. Le mot "marée" connote l'envahissement, cette vague qui le submergé de ce sentiment de sérénité.

Dans l'ensemble de cet incipit les sentiments ressentis à travers la lecture restent positifs. En effet le sujet triste comme la mort semble tourné d'une façon douce, en lisant cela le lecteur n'éprouve pas de peine car Meursault lui même embellis et positive ce sujet. « Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre » cette citation est pure, il n’y a aucune haine ou colère. Les mots ne sont pas agressifs. Encore une fois cette phrase est associée à sa mère. En disant cela il pense toujours à sa mère. Le « aussi » souligne bien cela, il se compare à sa mère et eux deux on pour point commun de vouloir tout revivre alors qu’ils sont sur le point de mourir. C’est comme si il avait un destin commun, tout deux était sur le point de mourir, ils n’ont pas peur, ils acceptent cela et profite des derniers instants qui leur restent. On s’aperçoit que Meursault juste avant de mourir pense beaucoup à sa mère ce qu’il ne faisait jamais avant.

Dans ces phrases on aperçoit ce nouveau côté sensible qui amène à toute sorte d'émotions.

73. Le 01 octobre 2014, 17:38 par Martin

J'ai envie de parler de la relation entre Meursault et la mort, de son indifférence face à elle, sa manière positive de la voir pour sa mère mais surtout pour lui qui est tout de meme jeune pour mourir. Je vais m'intéresser au paradoxe entre sa mort et le fait qu'il veuille tout revivre (malgré qu'il soit athée ce qui est aussi paradoxal).
J'ai également envie de montrer qu'il ne pense meme pas au pourquoi de sa présence ici et à son indifférence voir son absence de remords face à son crime.
« Et moi aussi je me suis senti prêt à tout revivre ». On voit dans cette phrase le paradoxe entre la mort de Meursault et le fait qu’il veuille revivre. Quand on parle d’une seconde vie après la mort on ne peut s’empécher de penser à la religion. Or Meursault est athée. De quoi parle-t-il alors ? Que signifie tout revivre ? De plus en utilisant l’expression « moi aussi », il se rapproche de sa mère, peutetre leurs trajectoires se rejoignent-elles. En disant « je me suis senti prêt à tout revivre », il semble plus déterminé qu’au début du livre, il semble avoir un but. Le « à tout » rend compte que Meursault admet avoir vécu des choses et ne pas etre vide.
« De l’éprouver si pareil en moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux et que je l’étais encore ». L’emploi du verbe « éprouver » et « senti » dans cette phrase montre que contrairement à ce que l’on peut penser en lisant ce livre, Meursault ressent bien des sentiments et le « si pareil en moi » montre que lui-même en est surpris. Le reste de la phrase « j’ai senti que j’avais été heureux et que je l’étais encore » montre que Meursault s’ouvre à sa sensibilité avant de mourir et le fait qu’il soit « encore » heureux nous conforte dans l’idée qu’il n’est pas décu de mourrir

74. Le 01 octobre 2014, 17:39 par Aurélien

On peut s'intéresser à la mort de Meursault et au fait de savoir s'il est heureux de mourir.

En effet, pour Meursault, la mort n'est pas une fin en soi mais plutôt une renaissance comme il le dit en pensant à sa mère "pourquoi elle avait jouer à recommencer" et il est même heureux de partir de ce monde qui est, pour lui, indifférent.

Car dans « Elles annonçaient des départs pour un monde qui m'était à jamais indifférent », les mots principaux sont « départs », « mondes », « indifférent » qui sont des mots neutres mais Camus en rajoutant la négation « m'était à jamais » transforme cette citation en une expression dure comme pour dire qu'il ne veut plus avoir de problèmes ou avoir à faire avec ce monde. Le rythme de cette citation est irrégulier mais a un côté poétique. Le mot « départs » fait comme s'il se trouvait dans un port, un aéroport ou une gare et qu'il était prêt à embarquer, cela donne au lecteur un sentiment de voyages, de changements, … Enfin les verbes « annonçaient » et «m'était » sont tournés à l'imparfait comme pour dire qu'il est déjà parti, qu'il est déjà monté dans le train, l'autobus ou le bateau ce qui donne le sentiment qu'il a déjà tout revécu et qu'il est déjà monté sur l'échafaud.

Le lecteur s'attend à ce qu'il est peur de la mort, mais non lui il souhaite « qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution » et « qu'ils l'accueillent avec des cris de haines », ces deux citations commencent par « qu'il », elles sont positives et se terminent pareille, mais la citation est comme tranchée par le « et », cela rappelle « Lui parti, j'ai retrouvé le calme », normalement cela devrait donner un rythme irrégulier mais à cause du « et » cela en fait un rythme régulier. Enfin, cette citation est écrite pour donner l'impression qu'il y en a deux et que la première est positive et la deuxième négative comme pour dire que Meursault est toujours vivant dans notre monde et que dans la deuxième il y est mort. Il veut mourir au calme alors que dans la dernière phrase du texte il dit qu'il veut « beaucoup de spectateurs, qu'ils l'accueillent avec des cris de haines » : donc on est frappé par cette contradiction.

Le lecteur a l'impression que Meursault veut mourir seul comme s'il ne pouvait supporter que toute sa vie soit programmée, à tel point qu' il ne voulait que personne ne l'aide même pas le lecteur qui suit son histoire comme le témoigne « Lui parti, j'ai retrouvé le calme », où la citation est coupée en deux, la première partie est « Lui parti », qui est une phrase nominale sans verbe mais juste un pronom et un participe passé tandis que la deuxième partie est « j'ai retrouvé le calme » où là c'est une phrase verbale avec la première personne, le verbe avoir, un participe passé suivie d'un nom et son déterminant, séparé par une virgule donc c'est un rythme régulier, comme si Camus voulait séparer deux parties/paragraphes, comme si Meursault changeait de comportement, En effet, il passe d'un état où il parle beaucoup avec l'aumônier à un état où il ne dit plus rien, ce fait est accentué par la coupure nette entre l'expression «lui parti» et le mot « le calme ». On a l'impression que le départ de l'aumônier fait qu'il accepte la mort. Encore une autre contradiction.

Pour conclure, on a l'impression qu'il prépare sa propre mort et qu'il veut être seul puis il change d'avis car il veut que le lecteur se souvienne de lui, c'est comme s' il n'arrivait pas choisir entre deux idées de fin.

75. Le 01 octobre 2014, 17:53 par Quentin

Dans cette partie nous allons nous intéresser à l'étrange changement de comportement de Meursault.
Nous pouvons voir le comportement du personnage principal Meursault change au cours du texte. En effet, nous observons que les idées présentes dans l'incipit sont brèves. Aucune pensée de Meursault y est présente. Tandis que dans l'explicit les pensées de Meursault sont plus précisent "j'ai pensé à maman".Cette phrase du texte contient le mot "maman" qui est un mot familier, affectueux et tendre, ce mot nous montre bien que Meursault appréciait sa mère. Meursault nous dévoile même ce qu'il ressent "Et moi aussi je me suis senti prêt à tout revivre (...) j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'était encore ".Cette citation est importante dans le texte car elle nous fait comprendre que Meursault est prêt à mourir. Il parle de sa mère une seconde fois dans le texte "Il m'as semblé que je comprenais pourquoi (...) maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre" . Cette partie du roman ou Meursault se dévoile est inédite.

76. Le 01 octobre 2014, 19:01 par Thomas K.

J'ai envie de parler du changement d’attitude de Meursault, de ses émotions. Pourquoi ou comment Meursault a-t'il eu se changement d'attitude ?

En effet Meursault au début du roman ne se préoccupe pas de la mort de sa mère et à hâte que tout cela se finisse afin de pouvoir reprendre son travaille, comme si la mort de sa mère était une corvée.
"Après l'enterrement, au contraire, se sera une affaire classé et tout aura revêtu une allure plus officielle"
Meursault ne nous montre aucun sentiment vis à vis de sa mère. Il ne laisse passé au lecteur aucunes émotions et aussi pour quelque soit les personnage du roman (Céleste, Marie, Raymond,...), il ne se contente que d'une réponse brève ou de faire ce qu'on lui demande de faire comme si Meursault était un robot.
Mais vers la fin du roman Meursault montre un tout autre visage, il ne semble pas triste avant son exécution, il a même l'air un peu heureux comme si la mort était une sorte de libération, de renouveau, une porte pour tout recommencer. Meursault pense aussi pour la première fois dans le roman à sa mère, qu'il l'appelle familièrement Maman, ce qui montre un attachement a sa mère.
"Pour la première fois depuis longtemps, je pense à Maman,"

Ce changement d’attitude serrait dû à son exécution qui lui donnerait un sentiment de libération comme pour pouvoir quitter se monde monotone et sans émotions afin de pouvoir rejoindre sa mère pour pouvoir tout recommencer.
"... Et moi aussi, je me sens prêt à tout revivre,"

77. Le 01 octobre 2014, 19:47 par Maxime F

J'ai envie de parler de ce que ressens Meursault sur sa mort imminente.

Tout d'abord, pour Meursault, ce n'est pas la fin de sa vie mais au contraire une renaissance et on a l'impression qu'il est satisfait de mourir : " Elles annonçaient des départs pour un monde qui maintenant m'étais à jamais indifférent".
Ensuite Meursault n'a pas peur de la mort, il veut que cela soit un événement, ce qui nous choque nous en tant que lecteur : "qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m’accueillent avec des cris de haine".
Meursault est plus sentimentale à la fin du roman on ressens plus ses sentiments, par exemple qu'il soit triste en pensant à sa mère ou qu'il soit heureux de mourir.
"Pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman." Cette citations, nous laisse penser nous en tant que lecteurs, que quand il pense à la mort, il repense à sa mère, dans les mots qu'il transmet, on a l'impression qu'il est touché par ce qu'il dit, les mots sont doux et touchant.
Enfin Meursault n'éprouve aucun regret sur ce qu'il fais ce qui est étonnant pour nous les lecteur : "Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre"

78. Le 01 octobre 2014, 19:58 par nicolas D

Dans cette extrait du livre "l'étranger", je vais parler de l'attitude de Meursault en prison.
Comment le vit-il ? Pourquoi ?

Meursault face à la mort ne ressent aucune frayeur : il nous le montre par "je crois que j'ai dormi parce que je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage." Cette phrase nous montre à quel point Meursault paraît perdu. Effectivement en employant le verbe "je crois" il apparaît comme une personne vivant une situation sans être vraiment certain que ses de sa vie qu'il est l'acteur. "Des étoiles sur le visage" représente plus un rêve qu'une vie qui se termine. Il vit ses derniers moments en étant "prêt à tout revivre". Ces quelques mots prouvent de nouveau sa désinvolture.

Il repense à sa mère chose qu'il n'avait pas fait depuis très longtemps. Il comprend enfin les derniers jours de sa mère.
Sa propre mort le fait redevenir "fils" il utilise d'ailleurs le mot "maman" pour parler d'elle.
Dans ce passage du roman Meursault n'indique jamais qu'il est en prison, il parait indifférent. Ses pensées, ses retours en arrière le font être libre.
Peut être parce qu'il sait qu'il va mourir, il essaie d'embellir sa fin en "s'ouvrant pour la première fois à la tendre indifférence".
Cette réaction de Meursault peut-être expliquée par sa façon de ne jamais exprimer ses sentiments envers tout ce qui lui arrive.
"Vidé d'espoir" Meursault n'espère qu'une chose ne pas mourir seul. "... il me restait a souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine". En employant le verbe "souhaiter" Meursault se met enfin dans la peau d'un condamné, il continue en utilisant le mot exécution. Pour rendre son exécution plus juste il espère entendre des cris de haine ce qui l'aideraient à quitter ce monde sans remord.
Cette façon de mourir rendra sa mort moins solitaire lui qui avait compris qu'il avait été heureux et qui l'était encore.

79. Le 01 octobre 2014, 20:00 par Thomas D.

"Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre"
Pour une fois, Meursault prend conscience que c'est bientôt fini. J'ai envie de montrer cette phrase parce qu'il s'identifie enfin à sa mère, en disant qu'elle devait se sentir prête à tout revivre 2 phrases avant. Le "moi aussi" insiste bien sur le fait qu'il se compare à sa mère et qu'il adopte une vision positive d'elle. Meursault utilise le mot "prêt" comme si il avait le choix. Il utilise aussi "à tout" ce qui signifie qu'il admet avoir vécu beaucoup de choses malgré son semblant d'indifférence tout au long du texte.
Je m'appuie sur la phrase "pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman" pour démontrer que la vision que Meursault porte à sa mère à changée: des mots qui reviennent tel que "maman", le fait qu'il ai pensée à elle alors que sa mort le laisse indifférent depuis le début du texte (du moins il le laisse paraître)... Pour conclure, Meursault à évoluer au fil du texte, mais dans cette partie où Meursault semble enfin prendre conscience et se dévoiler, c'est aussi la fin... Trop tard

80. Le 01 octobre 2014, 20:32 par Sarah.V

Je souhaite parler du changement de comportement de Meursault juste avant son exécution, de sa prise de conscience et du fait qu'il se sente enfin libre. Tout au long du livre, Meursault éprouve une certaine indifférence aux gens, à tout ce qui l'entoure et également à ce qui lui arrive. Le lecteur ne peut pas vraiment cerner ses émotions. Pourtant, dans l'explicit, on découvre un Meursault changé. "La merveilleuse paix de cet été endormis entrait en moi comme une marais". Cette phrase casse le côté indifférent et négatif de Meursault et révèle une certaine douceur. En effet, il utilise des mots doux et un vocabulaire mélioratif. Cette phrase est une phrase belle et poétique, différente du Meursault que l'on connaît qui n'utilise habituellement jamais de vocabulaire poétique. "La merveilleuse paix ... entrait en moi comme une marais". Meursault est en paix juste avant sa mort. Il qualifie même cette paix de "merveilleuse", comme si il l'avait longtemps attendu.
D'autre part, on remarque une certaine prise de conscience de Meursault. En effet, juste avant sa mort, il prend conscience des choix de sa mère : "Il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer." Meursault, maintenant qu'il va mourir, comprend pourquoi sa mère avait pris un fiancé avant de mourir, chose qu'il ne comprenait pas avant, ce qui souligne un changement de comportement de sa part. De plus, il appelle sa mère "maman", ce qui est un mot familier et tendre. Ce nom crée un lien plus fort entre Meursault et sa mère, comme si la mort allait les rapprocher d'une certaine façon.

81. Le 01 octobre 2014, 20:58 par Romain

Dans l'excipit de l'étranger , Meursault n'est pas compréhensible. Il est a la veille de exécution , dans une cellule et il ressent des émotions mais a la fin de sa vie : <<Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes>>.
Il nous décrit même ce qu'il ressent en nous détaillant les odeurs de <<rafraîchissante>> . Cette phrase est assez douce et Meursault nous parle de ce qu'il ressent alors qu'au début du livre il était fermer et ne donnait pas vraiment d'images douce de lui même .

Meursault est vraiment incernable a la dernière page : <<Personne , personne n'avait le droit de pleurer sur elle .>>. Meursault défend sa mère ? lui qui disait que une fois qu'il sera allé a son enterrement sa sera devenue une "affaires classée" . On dirait que Meursault nous interdit même le droit de pleurer pour se mère . Peut etre que Meursault veut se racheter d'avoir été un" fils indigne" selon le tribunal .
82. Le 01 octobre 2014, 21:01 par Julie C

J'ai envie de parler de l'étrange comportement de Meursault et de ce qu'il ressens face à la mort.

Le comportement de Meursault change tout au long du texte. Dans l'incipit, il semble soumis à la société qui l'entoure, et indifférent à tout, il ne ressens rien, ne pense rien, il agit tel un robot. Ses phrases sont courtes et brèves. Tandis que dans l'explicit, il s'ouvre enfin au lecteur. "j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore" pour la première fois Meursault dit être heureux, et l'avoir été, ses phrases sont plus longues, il s'exprime enfin, il parle même de sa mère, lui qui disait qu'après son enterrement ceci serait "une affaire classée", "pour la première fois depuis bien longtemsp j'ai pensé à maman" il emploie un vocabulaire plus familier, il l'appelle même "maman","si près de la mort, maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre" il emploie des mots qui nous renvoie une sentation de calme, ce qui change des évènements ce passant tout au long du texte, il le dit d'ailleurs "comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé d'espoir", il est à présent plus sereint, et nous avons enfin l'impression de le connaitre. "La merveilleuse paix de cette été endormi entrait en moi comme dans une marée", Meursault n'à jamais été si explicit, tout ses mots semble avoir un sens positif, comme "merveilleuse", tout semble joyeux autour de lui ce qui peut paraître "bizard" en sachant ce qui va lui arriver quelques heures plus tard. Meursault va mourir, une situation qui doit attirer la tristesse, la peine, mais qui pourtant attise en lui tout le contraire, c'est à ce moment là de sa vie qu'il s'ouvre le plus, qu'il dit être heureux, il est soulagé.

83. Le 01 octobre 2014, 21:04 par Xavier.c

J'ai envie de parler des contradictions de pensées de Meursault a la veille de son exécution. On peut voir que le personnage apres le départ de l aumônier (lui parti) se retrouve seul face a lui même. Il est même prive de la lumière du soleil (je me suis réveille avec des étoiles sur le visage).Meursault est serein et sent les parfums de la nature.soudain les sirènes des bateaux lui rappelle qu il ne
pourra plus voyager dans ce monde qu il va quitter. On sent chez le personnage la mélancolie et la tendresse
quand il évoque sa mère et la fin de sa vie. On peut
comprendre qu'il ressent du respect pour elle. "Meuresault a changé d'état d'esprit: "je m'ouvrais pour la premiere fois à la tendre indifférence du monde". "premiere fois" , "tendre indifference" expriment un changement et nous montrent l'importance qu'il accorde a ses derniers instants de vie. A la fin du
récit les pensées de MEursault sont contradictoires avec le
début.la dernière phrase : qu'ils m accueillent avec des cris
de haine : contredit les pensées de désir du personnage a
etre seul loin du monde. "M'acceuillent" et "haine" se contredisent. Meursault souhaite avoir une certaine reconnaissance même si cela ce passe dans la haine. Son seul souhait a la fin est de ne
pas mourir Dans l'indiffrence des hommes.

84. Le 01 octobre 2014, 21:13 par Maël

J'ai envie de parler du changement de Mersault entre le début du texte et la fin . Mersault change et le Mersault qui es soumis a l'autorité a changé au long du texte . Nous voyons un Mersault plus " humain " qui attend la mort heureux mais qui a comme même de la mélancolie de mourir maintenant . " Pour la première fois depuis bien longtemps , j'ai pensé à maman " dans cette phrase Mersault se livre enfin sur sa mère dont il n'as pas beaucoup parlé dans le livre . Il lui accorde de l'importance chose qu'il n'avais pas fait lors de l'annonce de sa mort et son enterrement . La virgule dans cette phrase fait effet de pause comme si il reprenait son souffle , le " j'ai pensé a maman " est une phrase courte mais qui es le plus important . L'expression " maman " rend cette phrase douce et affectueuse même si les propos en lui même est assez violent car ça veut dire qu'il ne pensait jamais a ça mère . Cette phrase a une structure musicale avec les rime " longtemps " -"maman " . Cette phrase représente bien le changement de position de Mersault .
Une autre phrase m'as interpellé " Il m'a semblé qie ke comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avais pris un fiancé , pourquoi elle avait joué a recommencer . Nous remarquons que la même structure de phrase que la phrase d'avant avec une virgule qui opère comme pause avec une partie longue , la virgule et puis une partie plus courte . cette phrase montre bien que Mersault a changé car il prend du recul sur comment il c'est comporter avec sa mère et il comprend pourquoi elle avait choisis un fiancé . Il se compare a sa mère car lui aussi a pris une fiancé avant de mourir . Mersault est pensif alors que au début Mersault est un personnage discret qui ne réfléchit pas beaucoup .

85. Le 01 octobre 2014, 21:18 par Charlotte

Dans ce commentaire nous allons nous intéresser à l’étrange changement de comportement de Meursault et des conséquences que cela a sur la structure du texte.

Dans l’incipit de l’Etranger, le lecteur est face à un Meursault complétement renfermé sur lui-même et qui ne communique pas avec lui. En effet l’incipit se compose de phrases courtes, et très peu expressives, en référence au télégraphe que Meursault a reçu « Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués. » Dont les mots sont très dur. C’est comme si ces phrases non verbale était là pour instaurer directement une distance entre le lecteur et Meursault. Le lecteur est comme mis de côté, il « n’apprend » rien sur les sentiments du personnage, il est mis à l’écart comme « témoin » si l’on peut dire.

Cependant dans l’explicit du roman, les phrases deviennent plus longues et poétiques « Je crois que j’ai dormi car je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage ». Meursault est en prison mais ici le lecteur voit clairement que le personnage devient sensible. Avec l’expression « des étoiles sur le visage » Meursault donne une dimension céleste à sa sensibilité. Dans un second temps le lecteur pourrait penser que le mot « étoiles » à un rapport avec les cieux et donc la religion, mais ce raisonnement serait contradictoire avec le Meursault du roman qui n’est absolument pas croyant. Le lecteur voit clairement le changement radical de comportement de Meursault à travers la structure du texte. Meursault s’attarde sur des détails, ce qu’il ne faisait pas avant « des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraichissaient mes tempes ». Le lecteur peu éprouvé grâce à cela un sentiment d’apaisement, comme si le début du roman avait été noir et dénué de sens et que la fin devenait plus claire, plus colorée. De plus Meursault parle maintenant de sa mère de façon tendre et compréhensive en opposition à l’incipit où sa mère était un problème.

Pour finir le lecteur peut voir cette dernière page comme un renouveau pour le personnage « De L’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore ». Avec l’emploi du « si » et du « je » répété à deux reprise chacun on sent que cette phrase est sincère, forte, les mots employé sont doux et font éprouver au lecteur de la compassion. De plus avec l’expression «j’ai sentie que j’avais été heureux », on pense que Meursault fait allusion à une partie de sa vie inconnue du lecteur : Meursault a été heureux, mais pas dans le roman, et avec « je l’étais encore » Meursault se fait une révélation a lui-même : à quelques heure de sa mort, Meursault choisit de « tout revivre ».

86. Le 01 octobre 2014, 21:19 par Amandine

J'ai envie de parler du changement de comportement de Meursault et de ses sentiments qu'il nous dévoile.
On peut constater que tout au long du texte, le personnage de Meursault se dévoile un peu plus. En effet, celui-ci qui ne se confiait absolument pas à nous au début du texte, mais nous montre à la fin ce qu'il ressent. On peut constater que dans l'incipit, Meursault n'utilisait que des phrases brèves, tandis que dans l'explicit, celui-ci nous précise ces pensées, comme lorsqu'il dit "J'ai pensé à maman.", cela montre bien que Meursault nous fait part de ce qu'il pense et de ce qu'il ressent. L'emploi du mot "maman" qui exprime de la tendresse et de l'affection, nous laisse penser que malgré tout celui-ci était lié avec sa mère et qu'il l'aimait. Du fait que il utilise le mot "maman", celui-ci laisse aux lecteurs une sorte de confiance, comme si il parlait de quelque chose d'intime.
De plus, lorsque Meursault s'exprime en disant " Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre." et "J'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore." celui-ci nous fait part de ce qu'il ressent à travers les mots "senti", "prêt", "heureux" et "l'était encore". Il s'ouvre enfin à nous et nous montre un être moins dur que dans l'incipit.
En effet, c'est la seule partie du roman ou celui-ci nous dévoile vraiment ses pensées et ce qu'il ressent. Il se confie aux lecteurs.

87. Le 01 octobre 2014, 21:32 par Alechou

J'ai envie de parler de l'indifférence de meursault face à sa mort, puis celle de sa mère.
À sa mort, Meursault a été plus déstabilisé par le télégramme que par la nouvelle en elle même.
Meursault nous donne l'impression d'etre vide.
Pour ce qui est de sa propre mort, il veut justement, qu'il y est beaucoup de mondes, pour qu'ils l'accueillent avec des cris de haine, le jour de son exécution. Notre hero reste indifférent à toutes sorte de sentiments, et nous donne l'impression qu'il est une machine prête a être reprogrammer.
"Elles annonçaient des départs pour un monde qui maintenant m'étais à jamais indifférent"
Meursault nous donne l'impression qu'il n'est pas indifférant face à la mort.
"Qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m’accueillent avec des cris de haine"
Meursault n'a pas peur de la mort, il veut que cela soit un événement, ce qui et assez choquant en tant que lecteur.
"Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre"
Ce n'est pas une fin, mais au contraire une renaissance.
Notre personnage, ressent lui aussi tout comme ça mère, le coût de la vie, c'est comme si, Meursault avait ouvert les yeux.

88. Le 01 octobre 2014, 21:37 par AlexisM

Je veux montrer l'influence de la mère sur Meursault dans la fin de ce texte. En effet , dans la phrase "Là bas , Là bas aussi, autour de cet asile où des vies s'éteinaient , le soir était comme une trêve mélancolique." plusieurs éléments font le rapprochement entre les deux personnages. La répétition de "Là-bas" et l'ajout du mot "aussi" mettent en rapport les deux personnages et leur histoire. "L'asile où des vies s'éteignaient" fait penser à la prison dans laquelle Meursault est emprisonné. Enfin , "le soir" peut être comparé à la mort qui plane sur ces deux lieux et qui finalement , libère des personnes qui sont soient condamnées soit trop vieilles pour vivre , d'où l'utilisation de mots doux comme "trêve mélancolique".

La phrase qui suit , "Si près de la mort , maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre" confirme d'ailleurs mes affirmations précédentes. "La mort" est maintenant explicitement citée , tout comme la "maman". Enfin les mots "libérée" et "prête à tout revivre" rendent la proximité de la mort moins grave , plus légère.

Enfin , la phrase "Et moi aussi , je me suis senti prêt à tout revivre" rend les deux destins "tragiques" , bien que la mère et Meursault acceptent leur sort , similaires. Camus nous confirme explicitement que les deux histoires se rejoignent en un sens , la mère est enfermée dans l'asile à attendre son heure arrive , Meursault l'est dans une prison. Une nouvelle fois l'expression "prêt à tout revivre" rend la mort légère , le héros sait qu'il va mourir mais préfère vivre pleinement ces dernières heures sur Terre plutôt que de se morfondre sur son sort.

89. Le 01 octobre 2014, 21:48 par Morgan

J'ai envie de parler de la mort de Meursault et du fait qu'il l'accepte.
En effet dans l'explicit de l'oeuvre Meursault fini par accepter le fait qu'il va mourir comme le montre la phrase "lui parti, j'ai retrouvé le calme". Cette phrase montre que Meursault a l'aire serein alors qu'il sait déjà qu'il va mourir.
"Elles annonçaient des départs pour un monde qui m'était à jamais indifférent". Dans cette phrase les mots important sont "départs", "monde" et "indifférents. le mot "départs" montre que Meursault est près a partir et quitter le monde dans lequel il vivait. Ensuite l'auteur utilise le mot "monde" pour parler de la vie actuelle de Meursault. Le fait d'utiliser ce mot montre que, pour meursault, il a déjà quitter son monde et qu'il en a déjà oublier tout les détails. Enfin il utilise le mot "indifférent" pour justifier que, pour lui il ne fait plus partit de se monde et que quoi qu'il se passe cela ne l’intéresse plus.
Par ailleurs "Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs et qu'ils m'accueillent avec des cris de haines" montre que Meursault ne veut pas être seul. Le mot "consommé" montre que la vie de meursault est presque fini et que tout le cauchemars qu'il a vécu va enfin cesser. Ensuite le mot "souhait" montre la dernière volonté de Meursault : "qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'il m'accueil avec des cris de haines". Les mots "exécution" et "haine" sont des mot violents. Ils expriment a eux deux toute la haine de Meursault. Et c'est par cette haine que se termine d’ailleurs le roman.
En conclusion, Meursault est près a mourir. Et il fait de sa mort une sorte d’événement tout en espérant qu'il y est du monde le jour de son exécution et qu'il respectent sa dernière volonté.

90. Le 01 octobre 2014, 22:00 par Thomas C

J'ai envie de parler de la solitude et du changement du comportement de Meursault par rapport à sa mère à la fin du roman.

Quand Meursault est en prison on sent vraiment qu'il est seul, perdu,sans personne à qui se confier...C'est à ce moment-là qu'il repense à sa mère mais à lui aussi, vus que sa mère est décédée il n'a personne pour le soutenir, il ne fais penser il ne parle pas reellement, pour lui il ne lui reste une fois, il voudrait qu'il y ait beaucoup de mondes pour son exécution il veut que sa mort "marque" les esprits il veut être vus car lorsqu'il se trouve en prison cela ne change rien à la vie des gens, c'est comme ci il n'existait pas.
Quand il dit qu'il souhaite qu'il y ai beaucoup de mondes lors de son exécution c'est une phrase longue et "positive" pour lui car il insiste vraiment sur cela et ceci est positif car il veut être observé être reconnu, remarqué contrairement au début du roman.
Meursault est aussi indifférent de ce qui l'entoure, "pour la première fois depuis bien longtemps j'ai pensé à maman" cette phrase exprime bien que c'est "nouveau" pour lui que ce n'est pas habituel de plus cette phrase est courte, brève.Il pense à sa mère et la comprend " Il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer" il se met soudainement à la comprendre ce qui ne s'étais jamais produis auparavant comme par exemple à l'incipit vus en classe, il est complètement neutre sans avis il est comme pour ainsi dire dans sa "bulle".

Meursault est un personnage mystérieux qui ne sait pas trop où il en est, au début du roman il n'était pas du tout expressif plutôt neutre et ne répondais que par des mots brefs et ne pensais pas du tout à sa mère alors que dans la dernière page du roman il est complètement différent il repense à sa mère , l'a comprend et se dévoile enfin au lecteur et souhaite être reconnu.

91. Le 01 octobre 2014, 22:11 par SarahB

J'ai envi de parler du changement de comportement de Meursault. Au début du livre Meursault semble indifférent a tout ce qui se passe autour de lui, a la mort de sa mère. Pour la première fois depuis bien longtemps, j’ai pensé a maman" cette phrase est douce,tendres et le mot ’maman’ montre qu'il est encore un jeune garçon dans sa tête c'est en quelque sorte une marque d’affection qu'il porte pour sa defeinte mère de plus on ressent de la tendresse pour lui car il nous fait part de ce qu'il pense. Meursault nous laisse imaginer qu'il se sent libre "et moi aussi, je me senti prêt a tout revivre" la virgule marque un temps de pause, dans cette phrase on ressent ni colère ni mépris ni haine venant de Meursault.
Ce dernier souhaite que son exécution soit en quelque sorte un spectacle " espèrant qu'il y est beaucoup de spectateurs le jour de son exécution et qu'ils l’accueillent avec des cris de haine " il nous fait part d'un aspect positif de la mort et non négatif ce qui est surprenant venant de Meursault. Il espère qu'il y aura du monde présent le jour de son jugement dernier ce qui nous montre qu'il n'a pas une vision de la mort si indifférente que ça et qu'il souhaite mourire face a des "spectateurs" et non seul face a lui même. Peut être justement qu'il ne veut pas se retrouver seul face a lui même mais au contraire face a un public.

92. Le 01 octobre 2014, 22:22 par Yanis

Nous allons nous intéresser au comportement de meuseault
Le comportement de Meursault est celui d’un étranger, étranger à la communauté sociale, aux moeurs, aux croyances, à la vie. "Ça m'est égal" est une phrase qu'il répète souvent, indiquant son éloignement des choses qui l'entourent. Son attitude envers la société est un crime d’indifférence. Même si Meursault n’en est pas conscient, il pressent l’absurdité du monde, l’absence d'un sens qui justifie fondamentalement l’existence.

93. Le 01 octobre 2014, 22:33 par agathe.

J’ai envie de parler de la solitude éprouvée par Meursault peu avant son exécution.
Il faut attendre les dernières lignes, pour constater que Meursault s’avoue à lui-même qu’il est seul. En effet, la phrase : « Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine ».
Dans ce passage, on observe que Meursault en arrive à souhaiter que beaucoup de monde assiste à son exécution. Meursault nous a donné une image solitaire et indépendante tout le long du livre mais lorsque sa fin approche il ressent le besoin d’être entouré, même si les personnes « l’accueillent avec des cris de haine. » On pourrait penser que Meursault souhaite avoir une vision positive de sa propre fin, pour ne quitter ce monde dans la tristesse et la solitude.
Ainsi dans la phrase « Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine », les mots principaux sont « seul », « beaucoup », « exécution », « cris de haine ».
La structure de la phrase est répétitive (utilisation par deux fois de « pour que » et également par deux fois « qu’il/qu’ils ») comme si il souhaitait insister et se persuader lui-même qu’il ne sera pas seul, pour une fois.
Dans cette phrase, Camus oppose les mots « seul » (la solitude de Meursault) et « beaucoup » (les spectateurs). L’auteur souhaite donner une autre image de Meursault, l’image d’un être qui éprouve le besoin d’être avec les autres.
Si peu de temps avant de quitter ce monde, dans cette nouvelle sérénité, Meursault prend conscience de sa solitude et se rend finalement compte qu’il fait partie de ce monde.
Dans « Il m’a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d’une vie, elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer. », Meursault comprend enfin les raisons pour lesquelles sa mère décide de profiter de cette dernière partie de sa vie. Il y a une similitude entre la fin de la vie de sa mère et sa propre fin, une volonté de ne pas mourir « seul ».
La phrase est rythmée par le mot « pourquoi ». Tout en posant la question il en donne la réponse.
Cette phrase est régulière parce que les deux parties sont construites de la même façon, et que le mot « fiancé » rime avec le mot « recommencer ».
Il se peut que Camus souhaite nous faire prendre conscience que les sentiments que peut ressentir Meursault à la fin de sa vie sont presque similaires à ceux de sa mère.

94. Le 02 octobre 2014, 00:05 par Samy

L'étranger est un roman d'Albert Camus, écrivain du XIX ème siècle qui développa une théorie philosophique toute personnelle appelée philosophie de l'absurde suite à une longue et douloureuse expérience de vie. Il fut en effet né en Algérie en 1913, dans un milieu modeste, ravagé par la pauvreté et la guerre, et était attaché fortement à sa mère suite à la perte de son père dans sa tendre enfance. Meursault , qui apprend la mort de sa mere par un telegramme , ne semblera pas troubler par cette funeste nouvelle . Il fera des rencontres bien plus qu'innatendues comme marie ou raymond , ces rencontres vont l'amener à comettre un meutre . Il sera juge , puis en amont , condamne à mort , à travers cette oeuvre fortement engage , albert camus denonce ici la justice injuste ainsi que la peine de mort. Dans cet excipit deL'Etranger , le narrateur, Meursault a été condamné à mort suite à l'assassinat d'un Arabe, et attend dans sa cellule le jour de l'exécution. Un prêtre vient le voir,aussi bien pour le confesser que pour comprendre l'esprit de cet homme, mais ne fait que s'attirer la colère et la fureur de Meursault.Cet extrait final, narratif et écrit sur un ton neutre, montre les dernières pensées d'unhomme qui sait qu'il va mourir et est ainsi l'aboutissement de cet exemple de la philosophie de l'absurde de Camus.La scène commence alors que le prêtre vient tout juste de partir. En quoi cet excipit nous montre-t-il une certaine évolution par rapport au personnage de Meursault ? Nous allons d ans un premier temps aborder (...) , (...) puis enfin (...).

On observe plusieurs champs lexicaux majeures , dont celui du sommeil («J’étais épuisé» )et («je me suis jeté sur ma couchette») , ( j’ai dormi je me suis réveillé») Le premier sentiment qu’il exprime est alors un sentiment d’apaisement, dû au départ de l’aumônier, et au fait qu’il se soit retrouvé seul : « Lui parti, j’ai retrouvé le calme ». Le déchainement verbal et pulsionnel auquel il s’est livré semble l’avoir vidé de toute animosité (« j’étais épuisé », « Comme si cette grande colère m’avait purgé du mal, vidé d’espoir »), de sorte qu’il s’endort (« Je crois que j’ai dormi »). On a l’impression que ce sommeil, en plus d’être réparateur, symbolise une sorte de renaissance du personnage, qui se réveille calme et tous les sens en éveil, dépourvu de toute crainte liée à sa mort prochaine.La colère et la révolte de Meursault face à l’aumônier ont eu une dimension thérapeutique pour le personnage (« m’avait purgé du mal, vidé de tout espoir ») car elles ont débouché sur une certaine sérénité, sur la prise de conscience de son amour de la vie, de son appartenance intégrale au monde et de son bonheur passé mais aussi actuel (« j’ai senti que j’avais été heureux et que je l’étais encore »). Ainsi que Champ lexical de la nature («je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage») , («Des bruits de campagne montaient jusqu’à moi») et («Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes»).(«La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée»).Bien qu’enfermé dans sa cellule, Meursault semble entrer en communion avec la nature, comme le montre le fait que chaque évocation de la nature est rattachée à la personne de Meursault, à son corps métaphore , avec («Des odeurs de nuit, de terre et de sel») , («rafraîchissaient mes tempes».)Le lecteur n’a pas l’impression qu’il se trouve dans une cellule, mais à l’extérieur , la gradation avec («Des bruits de campagne montaient jusqu’à moi».) («Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes».) («La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi») . Au fur et à mesure que le texte progresse, la nature se rapproche de Meursault, au point même d’entrer en lui. . On peut egalement le Champ lexical de la nuit ( «Étoiles»),(«à la limite de la nuit»),(«devant cette nuit chargée de signes et d’étoiles» ) Le cadre temporel est favorable à cette tranquillité : il fait nuit , on note aussi la comparaison («le soir était comme une trêve mélancolique».) Champ lexical des sens avec («des étoiles sur le visage».),(Des bruits de campagne),(«Des odeurs de nuit, de terre et de sel»),(«rafraîchissaient mes tempes».),(«La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée».),L’attachement du personnage aux sensations transparaît bien ici : on note la référence à des sensations visuelles, auditives et olfactives, comme si, au moment de mourir, la vie prenait une importance inédite, comme si chaque chose acquérait une certaine valeur. La comparaison («La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée.») montre que le personnage est bien réconcilié avec lui-même.

95. Le 02 octobre 2014, 07:40 par Nicolas Bourelier 1ES2

J'ai envie de parler des sentiments positifs de Meursault. Alors que celui-ci se trouve séparé de la mort par une poignée d'heures, ses pensées ont repris un sens moral, le désespoir laisse place à un point de vue compréhensif de sa mort.

Il est très positivement descriptif vis à vis de ses ressentis "Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissait mes temps"; "La merveilleuse paix de cet été endormi", ce qui parait étonnant après toutes les fois il laissé pensé que tout lui semblait si indifférent, le narrateur utilise des mots très poétiques et apaisant dans une phrase rythmée

Il devient pensif à propos de sa mère, il n'y avait plus pensé depuis longtemps et il vient à se rendre compte de tout ce qui a pu mener sa mère à un quelconque bonheur par une tentative de renouveau, "Pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman", il est très affectueux à son égare "Maman", la phrase est coupé d'une virgule, comme si Meursault reprenait son souffle,

Il vient lui aussi à se convaincre qu'il "a été heureux et qu'il l'est encore", alors que pendant toutes ses péripétie, la question de son bonheur, des choix qui décideraient de sa vie futur, on toujours été évités.

On le découvre enfin. Il semble chercher à se dire de quel façon il aurait pu recommencer sa vie. A ce moment où il est si proche de sa propre exécution, qu'il approche paisiblement et sereinement. "Qu'il y ait beaucoup de spectateurs (...) qu'il m'accueille avec des cris de haine.", on trouve dans la phrase une répétition de "Qu'il" qui laisse paraitre une ressemblance entre les deux parties de phrase. Coupées en deux par "Et", on a l'impression qu'on retourne à "Et lui partit", comme si tout tournait en rond dans sa cellule.

Comme si cette nouvelle l'avait rassuré, comme un religieux à qui était promis le paradis malgré tant d'erreur, paradoxalement à sa phobie religieuse.

96. Le 02 octobre 2014, 15:29 par Mme Baudry

Voici le temps de la rédaction du commentaire.
A la fin de la séance, il faut envoyer sur le blog un devoir complet qui comprend:
- une introduction (voir vocabulaire ci-dessous)
- un développement en deux ou trois parties avec une transition (un court paragraphe d'une ou deux phrases qui rappellent ce que vous avez voulu dire dans la 1ère partie et annonce ce qui duit) entre les parties.
- une conclusion (bilan et ouverture: pourquoi pas sur la BD)
Pour vous donner des pistes:
http://www.weblettres.net/blogs/art...
Les tournures utiles du commentaire
Dans une introduction :
- pour présenter un texte :
• Le texte ……extrait de ……………………a été écrit par………….en……….
• Le passage qui nous est proposé est extrait de ………………/ se situe au chapitre………/ correspond à l’épisode de…………………
• Cet extrait traite du thème de ………………………Il parle de ………………..
• Dans cet extrait, l’auteur développe l’idée selon laquelle…………………./ évoque ……………./ expose sa vision de ……………………..
• Le lecteur est d’emblée frappé par…………. / peut ressentir à la lecture de ce texte…………

- pour dégager les enjeux du texte et annoncer la problématique :
• on peut donc dégager un enjeu essentiel dans ce texte :…………..
• ce passage présente donc un double enjeu………
• on peut donc se demander si………………………….
• La question que l’on peut se poser alors, c’est………………………..
• Il semble donc que le texte s’oriente autour de la problématique suivante :……………

- pour annoncer le plan du commentaire
• c’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord étudier/ examiner/ s’intéresser à/ voir/expliquer/ se demander comment
• Dans un deuxième temps, on montrera / analysera/ mettra en évidence
• Enfin, on pourra/ il sera possible de/ il conviendra de………..

97. Le 02 octobre 2014, 16:48 par AlexisM

Le texte final extrait de l'Etranger a été écrit par Albert Camus en 1942. Cet écrivain engagé, prix Nobel de littérature en 1957, se fait remarquer suite à ce roman. On distingue très distinctement dans cet extrait l'influence de la mère du héros , morte avant même que le roman ne commence, ainsi que la légèreté avec laquelle la mort approche des protagonistes. C'est pourquoi , on pourra étudier plusieurs phrases extraites de l'explicit de l'oeuvre , qui rapproche les deux protagonistes plus ou moins subtilement.

C'est pourquoi , dans la phrase "Là bas , Là bas aussi, autour de cet asile où des vies s'éteinaient , le soir était comme une trêve mélancolique." plusieurs éléments font le rapprochement entre les deux personnages. La répétition de "Là-bas" et l'ajout du mot "aussi" mettent en rapport les deux personnages et leur histoire. "L'asile où des vies s'éteignaient" fait penser à la prison dans laquelle Meursault est emprisonné. Enfin , "le soir" peut être comparé à la mort qui plane sur ces deux lieux et qui finalement , libère des personnes qui sont soient condamnées soit trop vieilles pour vivre , d'où l'utilisation de mots doux comme "trêve mélancolique".

La phrase qui suit , "Si près de la mort , maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre" confirme d'ailleurs les affirmations précédentes. "La mort" est maintenant explicitement citée , tout comme la "maman". Enfin les mots "libérée" et "prête à tout revivre" rendent la proximité de la mort moins grave , plus légère. On voit pour la première fois de l'oeuvre Meursault comprendre sa mère , avec qui il n'était pas si proche de son vivant , alors qu'il est emprisonné et à la fin de son existence. Lui qui , au début de l'oeuvre , ne comprenait pas pourquoi elle avait « joué à tout revivre » dans cet asile glauque , la comprend finalement , signe d'une maturité acquise par les épreuves endurées.

Enfin , la phrase "Et moi aussi , je me suis senti prêt à tout revivre" entre dans cette idée que les deux histoires sont liées et rend les deux destins "tragiques" , bien que la mère et Meursault acceptent leurs sorts , similaires ou presque. Camus nous confirme explicitement que les deux histoires se rejoignent en un sens , la mère est enfermée dans l'asile à attendre que son heure arrive , Meursault l'est dans une prison. Une nouvelle fois l'expression "prêt à tout revivre" rend la mort légère , le héros sait qu'il va mourir mais préfère vivre pleinement ces dernières heures sur Terre plutôt que de se morfondre sur son sort. C'est une petite touche d'optimisme dans un texte principalement négatif , qui diffère totalement des chapitres précédents , remplis de lamentations.

Au final , la mère de Meursault est presque au centre de l'explicit. Elle influence la mentalité de Meursault à la toute fin de sa vie , il ne la comprend réellement qu'à ce moment de sa vie alors qu'il n'avait auparavant « rien à lui dire ». On constate pourtant que dans l'adaptation de l'oeuvre en bande-dessinée par Jean Fernandez , elle n'apparait pas du livre alors qu'elle aurait peut-être eu sa place en fond de la dernière page du livre dans le ciel noir de la nuit , Jean Fernandez privilégiant probablement sa présence implicite ...

98. Le 02 octobre 2014, 16:49 par Agathe

Le texte extrait de « L'Etranger » a été écrit par Albert Camus en 1942. Le passage qui nous est proposé se situe dans la 2eme partie du libre dans le dernier chapitre. Cet extrait parle d'un homme, Meursault, devant surmonter toutes les péripéties qu'il lui arrive. Cet un roman engagé, traitant plusieurs sujets divers allant jusqu'à l'exécution. On pourra donc parler de la solitude éprouvée par Meursault peu avant son exécution.

Tout d'abord nous devons attendre les dernières lignes, pour constater que Meursault s’avoue à lui-même qu’il est seul. En effet, la phrase : « Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine ».
Dans ce passage, on observe que Meursault en arrive à souhaiter que beaucoup de monde assiste à son exécution. Meursault nous a donné une image solitaire et indépendante tout le long du livre mais lorsque sa fin approche il ressent le besoin d’être entouré, même si les personnes « l’accueillent avec des cris de haine. » On pourrait penser que Meursault souhaite avoir une vision positive de sa propre fin, pour ne quitter ce monde dans la tristesse et la solitude.

Ainsi dans la phrase « Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine », les mots principaux sont « seul », « beaucoup », « exécution », « cris de haine ».
La structure de la phrase est répétitive (utilisation par deux fois de « pour que » et également par deux fois « qu’il/qu’ils ») comme si il souhaitait insister et se persuader lui-même qu’il ne sera pas seul, pour une fois.
Dans cette phrase, Camus oppose les mots « seul » (la solitude de Meursault) et « beaucoup » (les spectateurs). L’auteur souhaite donner une autre image de Meursault, l’image d’un être qui éprouve le besoin d’être avec les autres.

Enfin si peu de temps avant de quitter ce monde, dans cette nouvelle sérénité, Meursault prend conscience de sa solitude et se rend finalement compte qu’il fait partie de ce monde.

Dans « Il m’a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d’une vie, elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer. », Meursault comprend enfin les raisons pour lesquelles sa mère décide de profiter de cette dernière partie de sa vie. Il y a une similitude entre la fin de la vie de sa mère et sa propre fin, une volonté de ne pas mourir « seul ».
La phrase est rythmée par le mot « pourquoi ». Tout en posant la question il en donne la réponse.
Cette phrase est régulière parce que les deux parties sont construites de la même façon, et que le mot « fiancé » rime avec le mot « recommencer ».

En conclusion il se peut que Camus souhaite nous faire prendre conscience que les sentiments que peut ressentir Meursault à la fin de sa vie sont presque similaires à ceux de sa mère. On pourrait même croire que Meursault à peur de cette solitude, qu'il en assez d'être seul et que pour la première fois dans le roman et malheureusement les derniers moments de sa vie, il souhaite être entouré, accompagné. Meursault nous a pourtant fait comprendre que la mort de sa mère ne le touchait pas plus que ça au début du livre. Alors une remise en question s'impose. Meursault ,seul, en prison, c'est donc peut-être rendu compte qu'il y avait une sorte de lien entre eux. Celui de ne pas être seul.

99. Le 02 octobre 2014, 16:50 par yanis

Nous allons nous intéresser au comportement de Meursault
Le comportement de Meursault est celui d’un étranger, étranger à la communauté sociale, aux moeurs, aux croyances, à la vie. "Ça m'est égal" est une phrase qu'il répète souvent, indiquant son éloignement des choses qui l'entourent. Son attitude envers la société est un crime d’indifférence. Même si Meursault n’en est pas conscient, il pressent l’absurdité du monde, l’absence d'un sens qui justifie fondamentalement l’existence.

Ont a envie de parler du comportement de meursault

Le texte présenté est extrait de L'Etranger de Albert Camus fait en 1942. L'œuvre de Camus se distingue par deux thèmes principaux., Camus présente un homme dont circonstances vont l’amener à commettre un crime et qui en le repérant va permettre d’assister a son jugement.

Dès les premières pages du livre, le comportement de Meursault est troublant. Après l’annonce de la mort de sa mère, il n’a aucune réaction ni démonstration. Le décès ne change en rien pour lui, c’est une chose abstraite, pas encore tout à fait réelle. Pour le moment c’est un peu comme si maman n’était pas morte. Après l’enterrement, au contraire.
Il y a une distance par rapport à l’événement, une façon formelle de voir les choses. La mort de sa mère lui paraîtra plus concrète après que tous les rituels sociaux auront eu lieu. C’est un dossier à consulter, la veillée, et à ranger ensuite dans un tiroir, l’enterrement. Le décès est ici vu comme une chose avant d’être un événement à part entière.

Pourtant, Meursault n’est pas indifférent à tout. Il éprouve parfois certains sentiments, par exemple lorsqu’il sent les cheveux de sa compagne. Il est proche de la nature également.
Le Roman de Camus, dénonce l’absurdité de la vie. En effet, chaque être sur terre est destiné, un jour ou l’autre, à mourir. Personne ne peut y échapper. Tout cela remet donc en question le sens de la vie. A quoi sert de vivre, si nous sommes destinés à mourir ? C’est cette question que se pose Meursault.

La fin tragique de Meursault et son comportement après la mort de sa mère.
On ne se tromperait donc pas beaucoup en lisant dans l’étranger l’histoire d’un homme qui sans aucune attitude héroïque accepte de mourir pour une vérité jugée immorale par le monde qui l’environne. Son comportement reflète sa personnalité, est les acte qui l’ont pousser a l’erreur sans cela meursault n’aurais jamais pue faire tous les dommage qu’il a créer.

100. Le 02 octobre 2014, 16:50 par Segretin

Le texte de L’Etranger écrit par Albert Camus en 1942. Le passage que nous allons proposer est tiré de la fin du livre de l’Etranger, qui a été adapté en Bande Dessiner par Jean Fernandez .Cet extrait traite de la prise de conscience soudaine de Meursault à l’annonce de sa mise mort et qui engendrât sa renaissance, il nous parlera de son dernières moment sur terre.

C’est pourquoi nous étudierons le comportement de Meursault face à sa mort tout au long du livre. Nous parlerons dans un premier temps du comportement qu’il avait au début du livre, puis nous montrerons son changement de comportement soudain. On sera donc possible de démontrer son changement.

           Dans le début du livre, Meursault paraît comme insensible, inhumain "Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier. ". Les mots « aujourd'hui » et « hier » sont des compléments de temps. Cette phrase nous explique d'emblée dans quel état d'esprits est Meursault. On peut supposer que celui-ci est indifférent à ce qui se passe, perdu. Meursault totalement perdu va culpabilise de la mort de sa mère auprès de son patron. " J'ai demandé deux jours de congés à mon patron. (...) il n'avait pas l'air content. Je lui ai même dit « ce n'est pas de ma faute ». On peut penser que Meursault semble emprisonner dû à l'oppression de la société, ici représenté par son patron. Ce qui conduit Meursault à agir ainsi. Meursault à l’approche de sa mort va changer radicalement de comportement.
          A l’approche de sa mort Meursault paraît calme et serein « Lui parti, j’ai retrouvé le calme », il paraît comme changé.

Meursault après avoir commis l'irréparable sera jugé et sera condamné à la mise à mort. La révélation de sa mise à mort va être comme un électrochoc pour Meursault, au moment de sa remise en cellule, il va être pris d'une prise conscience. « Pour la première fois depuis bien longtemps, j’ai pensé à maman » Cette phrase qui est tout à fait inoffensif et douce nous montre bien que Meursault à évoluer car au début livre il considérait que après l’enterrement serait « une affaire classée » et là enfin il s’ouvre à nous.
Meursault s’ouvrent de plus en plus à nous et semble commencer à comprendre les nombreux choix que sa mère a fait « Il me semble que je comprends pourquoi à la fin maman avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer ». Cette phrase nous laisse suppose que Meursault se pose de nombreuses questions sur la relation qu’il avait avec sa mère.
Meursault se dit enfin prêt à revivre "Et moi aussi, je me sens prêt à tout revivre". On peut distinguer dans cette phrase comme une libération pour Meursault. En effet, Meursault semble soulagé de quitter ce monde qui l'oppresse pour vivre une nouvelle vie.
Il dit se sentir s’ouvrir au monde « je m’ouvrais pour la première à la tendre indifférence du monde », on peut observer deux mots s’opposent « tendre » et « indifférence ». Par ailleurs cette phrases nous montrent bien que Meursault est libéré et accepte sa destiner. Meursault ayant passé sa majeur partit seule ne veut pas mourir seule, celui-ci espère qu’il y aura beaucoup de monde le jour de son exécution.

        On peut en déduire que Meursault a vécu toute sa vie éloigne de tout, indifférent, oppressé par la société caractérise ici par son patron et a subit les éléments de la nature cependant Meursault a l’annonce de sa mise a mort sortira de sa tendre indifférent au monde, il se sentira  enfin revivre, libre même si il ne l’est pas réellement.
101. Le 02 octobre 2014, 16:51 par Aymeric V.D.R.

PARAGRAPHE DE COMMENTAIRE FINAL :

L'épilogue que l'on va traiter est extrait de L'étranger qui à été écrit par Albert CAMUS en 1942.
Cet extrait traite du théme de la mort du personnage, Meursault. A travers ce roman, l'auteur expose sa vision de la peine de mort, pour laquelle il est contre.
Nous étudierons dans cet épilogue, les sentiments positifs que ressents le personnage principal, Meursault.

Nous étudierons tout d'abord le fait qu'il accepte sa mort qui est imminente de façon douce, Meursault semble renaitre grâce a elle, comme une renaissance. La mort qui est imminente lui offre en quelque sorte une nouvelle vie, un nouveau départ.
Cette renaissance, et cette mort pourrait nous faire penser a la mère de Meursault, en effet sa mère avant de mourir "avait joué a tout recommencer" en prenant un "fiancé". Meursault se sent alors comme elle, "libérée et prête a tout revivre". Cette phrase est synonyme de compréhension, Meursault semble comprendre sa mère, lui qui ne s'en occupait pas, qui l'avait mise en maison de retraite, la situation de cette phrase est semblable a la situation de Meursault, sa mère avait jouée a tout recommencer à la fin de sa vie, et Meursault lui, souhaite recommencer mais ne le peut pas car sa mort est proche. Ce n'est pas vraiment une renaissance, car Meursault étant totalement athée et critiquant même toutes les religions, est contraire a l'idée d'une renaissance. C'est donc pour lui une nouvelle vie que lui apporte la mort.
Il voit la mort de façon magnifique et non horrifique, c'est ce que nous traiterons dans le point suivant.

La manière dont Meursault voit, admire le paysage. Chose qu'il ne prenait pas le temps de faire avant, hors il n'a plus le temps maintenant. En faite il donne l'impression au lecteur qu'il admire le paysage, il le décrit de manière "endormie"... Par ailleurs, "La merveilleuse paix de cet été endormie entrait en moi comme une marée" , est la plus jolie phrase de cet épilogue. Il y a une part de beauté, de douceur et de violence, c'est d'ailleurs une violence douce. "Merveilleuse paix (...) comme une marée". Il est aussi drôle de constater que Meursault décrit l’été comme endormie, alors que le soleil ne lui avait jusqu’à présent porter que malheur sans lui laisser aucun répit.
Meursault lui même ne l'admire pas vraiment car en réalité il ne le peux tout simplement pas car il est emprisonné, Il l'imagine peut-être par sa fenêtre.
Meursault donne au lecteur un sentiment de liberté, de libération, c'est d'ailleurs comme cela que Meursault prend la mort, une fois mort il sera satisfait, ce sera pour lui une nouvelle vie alors que c'est la fin de sa vie. Il attend, et il est pressé, il estime avoir "été heureux" et qu'il l'est encore.
Malgré tout, le personnage de Meursault est solitaire, il est seul mais ne le montre pas forcément, il l'exprime a travers ses sentiments. Il se sent tellement seul qu'il veut que lors de son exécution, il y ait "Beaucoup de spectateurs" et qu'ils l'accueillent "avec des cris de haines.".

C'est alors un Meursault proche de la mort, mais aussi proche de la vie, que nous retrouvons dans cette fin de roman. L'auteur a su a travers cette histoire, a travers ces personnages fictifs, nous donner à nous lecteur, un avis sur la peine de mort, et la justice qui était ici carricaturé.

102. Le 02 octobre 2014, 16:52 par charlotte

Ce passage qui nous est proposé est un extrait de l’Etranger écrit par Albert Camus et correspond à l’explicit du roman. Cette œuvre a été publiée en 1942. On peut donc ce demandé si l’étrange changement de comportement de Meursault à des conséquences sur la structure et le vocabulaire du texte. C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord étudier la différence de la place du lecteur entre l’incipit et l’explicit du roman, puis au changement de structure et du vocabulaire du texte, et pour finir du nouveau sentiment qu’éprouve Meursault et aux conséquences qu’ils engendre chez le lecteur.

Dans cette partie nous allons nous intéresser à la place qu’occupe le lecteur dans l’incipit et l’explicit du roman. Dans l’incipit de l’Etranger, le lecteur est face à un Meursault complètement renfermé sur lui-même et qui ne communique pas avec lui. En effet l’incipit se compose de phrases courtes, et très peu expressives, en référence au télégraphe que Meursault a reçu « Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués. » Dont les mots sont très dur. C’est comme si ces phrases non verbale était là pour instaurer directement une distance entre le lecteur et Meursault. Le lecteur est comme mis de côté, il « n’apprend » rien sur les sentiments du personnage, il est mis à l’écart comme « témoin » si l’on peut dire. En contradiction totale avec l’explicit du roman où l’on peut qualifié le lecteur comme le destinataire du texte. Meursault s’ouvre, c’est comme si le personnage se livrait au lecteur, il partage ses sentiments « Il m’a semblé », « j’avais été heureux », « une trêve mélancolique », dans ces expressions les mots utilisés par Meursault sont doux, poétique et lyrique.

Dans ce paragraphe nous allons étudier les changements de structure et de vocabulaire du texte ainsi que ses significations. Dans l’explicit du roman, les phrases deviennent plus longues et poétiques « Je crois que j’ai dormi car je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage ». Meursault est en prison mais ici le lecteur voit clairement que le personnage devient sensible. Avec l’expression « des étoiles sur le visage » Meursault donne une dimension céleste à sa sensibilité. Dans un second temps le lecteur pourrait penser que le mot « étoiles » à un rapport avec les cieux et donc la religion, mais ce raisonnement serait contradictoire avec le Meursault du roman qui n’est absolument pas croyant, cependant le mot « étoile » peut aussi représenté le sentiment de liberté qu’éprouve Meursault face à la mort. Dans ce vocabulaire ont sens que Meursault est en harmonie avec le « cosmos », les éléments, mais ceci est également contradictoire car le personnage est derrière les barreaux. Le lecteur voit clairement le changement radical de comportement de Meursault à travers la structure du texte. Meursault s’attarde sur des détails, ce qu’il ne faisait pas avant « des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes ». Le lecteur peu éprouvé grâce à cela un sentiment d’apaisement car les mots « odeurs », « nuit », « terre » et « sel » désignent la nature alors que le mot « tempes » renvoie à une partie du corps. On peut donc en déduire qu’il y a un rapprochement entre les éléments naturels, la nature, et le corps de Meursault. C’est comme si le début du roman avait été noir et dénué de sens et que la fin devenait plus claire, plus colorée. De plus Meursault parle maintenant de sa mère de façon tendre et compréhensive en opposition à l’incipit où sa mère était un problème. Il l’appelle « maman » ce qui signifie qu’il y a un lien très important entre les deux personnages, et qui contrairement à l’incipit n’est pas paradoxale à la structure du texte et à la tournure des phrases.

Dans cette partie nous allons nous intéresser aux sentiments de Meursault et aux conséquences que cela engendre chez le lecteur. Pour finir le lecteur peut voir cette dernière page comme un renouveau pour le personnage « De L’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore ». Avec l’emploi du « si » et du « je » répété à deux reprise chacun on sent que cette phrase est sincère, forte, les mots employé sont doux et font éprouver au lecteur de la compassion. De plus avec l’expression «j’ai sentie que j’avais été heureux », on pense que Meursault fait allusion à une partie de sa vie inconnue du lecteur : Meursault a été heureux, mais pas dans le roman, et avec « je l’étais encore » Meursault se fait une révélation a lui-même : à quelques heure de sa mort, Meursault choisit de « tout revivre ».

103. Le 02 octobre 2014, 16:55 par romain

Le lecteur peut ressentir à la lecture de ce texte une certaine incompréhension face à ce que Meursault ressent a la fin du livre pour la première fois .

La question que l’on peut se poser alors, c’est est-ce que Meursault revient à la vie avant de mourir ?
Dans un deuxième temps,on montrera que Meursault à changé a la fin du roman.

 Dans l'excipit de l’étranger, Meursault n'est pas compréhensible. Il est a la veille de son exécution, dans une cellule et il ressent des émotions mais a la fin de sa vie : <<Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes>>.

Il nous décrit même ce qu'il ressent en nous détaillant les odeurs de <<rafraîchissante>>. Cette phrase est assez douce et Meursault nous parle de ce qu'il ressent et nous donne une images douce de lui même pour la première fois .C’est comme si Meursault revivait avant de mourir ce qui est très paradoxale étant donné que Meursault est en prison et que ses jours son compté.

Meursault est vraiment incernable a la dernière page : <<Personne, personne n'avait le droit de pleurer sur elle. >>. Meursault défend sa mère ? Lui qui disait que une fois qu'il sera allé a son enterrement sa sera devenue une "affaires classée». On dirait que Meursault nous interdit même le droit de pleurer pour se mère. Peut être que Meursault considérer comme fils indigne par la société et par le tribunal il change son image en défendant sa mère. Il a donc changé de manière radical il est devenu aimant de la vie et fils modèle entre le début et la fin du livre.
Il a même indifférent maintenant a la société qu’il dérangeait tant avant.

104. Le 02 octobre 2014, 16:55 par Maël

Introduction :

Le texte que nous allons étudié est l’explicit extrait du Livre d’Albert Camus paru en 1942. Camus . Albert Camus est

Dans cet extrait, l'aumônier vient de quitter la cellule de Meursault, et celui-ci s'ouvre à de nouvelles réflexions sur la vie. Il semble donc que le texte s’oriente autour de la problématique suivante : le changement de Mersault entre la fin et l’incipit de l’étranger .

Dans l'incipit , Merault apparaît désemparé en manque de repaire entre la mort de sa mère qu'il fais paraître comme une chose banale et a régler au plus vite et l'autorité de son patron . Dans la fin de l'étranger , nous voyons un Mersault sûr de lui qui attend la mort , il fais paraître la mort comme un autre événement marquant de sa vie mais sans lui apporter grande importance. Mersault dis qu'il est heureux et qu'il a été heureux mais du fait qu'il ressasse tous ces souvenirs montre qu'il est comme même mélancolique . Entre la fin et l'incipit , nous voyons un changement radical qui marque que les événements l'ont endurci . Mais on vois un paradoxe , il est enfermé mais il a l'esprit libre a la fin de l'étranger alors qu'au début il est libre mais a l'esprit entraver. Mersault dans ca cellule est livrée a lui-même et exprime ses sentiments chose qu’il ne faisait pas avant . Nous voyons un Mersault plus humain grâce au sentiments qu’il as. « De l’éprouver si pareil à moi , si fraternel enfin , j’ai senti qu’j’avais été heureux et que j’étais encore « Dans l’incipit , Mersault est indifférent il emploie des phrases courtes comme le télegramme , tandis que dans cette dernière page les phrases sont de plus en plus longues . Meursault ressent des sentiments , il le dit ouvertement . On semble enfin connaître Mersault .

" Pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman " dans cette phrase Mersault se livre enfin sur sa mère dont il n'as pas beaucoup parlé dans le livre . Il lui accorde de l'importance chose qu'il n'avais pas fait lors de l'annonce de sa mort et son enterrement . La virgule dans cette phrase fait effet de pause comme si il reprenait son souffle , le " j'ai pensé a maman " est une phrase courte mais qui es le plus important . L'expression " maman " rend cette phrase douce et affectueuse même si les propos en lui même est assez violent car ça veut dire qu'il ne pensait jamais a ça mère . Cette phrase a une structure musicale avec les rime " longtemps " -"maman ". Mersault comprend enfin sa mère nous pouvons le voir avec cet citation : " Il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avais pris un fiancé , pourquoi elle avait joué a recommencer . Nous remarquons que la même structure de phrase que la phrase d'avant avec une virgule qui opère comme pause avec une partie longue , la virgule et puis une partie plus courte . Cette phrase montre bien que Mersault a changé car il prend du recul sur comment il c'est comporter avec sa mère et il comprend pourquoi elle avait choisis un fiancé . Il se compare a sa mère car lui aussi a pris une fiancé avant de mourir . Mersault est pensif alors que au début Mersault est un personnage discret qui ne réfléchit pas beaucoup .

105. Le 02 octobre 2014, 16:55 par manon

Le passage qui nous est proposé est extrait du roman L'étranger de Camus il s'agit de l'excipit du livre.La question que l’on peut se poser alors, c’est de quelle façon Meursault s'ouvre enfin a nous, lecteurs a la fin de ce roman.C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord examiner les ressentis de Meursault dans son environnement, dans un deuxième temps,on analysera les révélations qu'il nous fait au sujet de sa relation mère/fils qui est mit en évidence dans cet excipit.Enfin, on pourra parler des sentiments de Meursault durant ces derniers instants.


 Comme au début du roman le personnage principal nous évoque qu'il est fatigué mais au début du livre Meursault ne nous donne pas vraiment de détails sur ses ressenti alors que dans ce passage il nous informe avec beaucoup plus de détails, il va même jusqu’à nous donner des informations sur les odeurs, la façon dont il s'est réveiller « avec des étoiles sur le visage » on peut commencer a voir le changement de comportement de Meursault dans cette phrase car sa phrase a une tournure très poétique et pourtant aussi surprenant soit il le personnage est en prison c'est pourquoi cette expression est paradoxale étant donner que les étoiles sont un signe de liberté  .

  Après nous avoir confier ses ressentis sur son environnement Meursault nous fait part de ses pensées.
  Il continu a décrire les environs comme au début du récit mais a la fin du roman il nous partage toutes ces émotions par exemple quand il parle du fait que "pour la première fois et depuis bien longtemps" il pense à sa mère ,on peut voir qu'il ouvre enfin les yeux sur le fait qu'il est été longtemps indifférent, il insiste dans cette phrase sur le cadre temporel en appuyant ses paroles sur "la première fois et depuis bien longtemps" puis il nous parle enfin de sa mère mais pas de n'importe quelle façon il donne un nom affectueux a celle ci en l'appelant "maman" cela montre qu'il se rend compte du temps qu'il a mît pour penser à sa mère quelqu'un que en fin de compte ne le laisse pas indifférent. Cette phrase est tendre car cela ressort comme une prise de conscience et termine en douceur.
  Cette prise de conscience et ce changement de comportement va amener Meursault a une volonté de revenir en arrière.
  Il nous fait même rentrée dans sa vie intime en nous confiant la fin de la vie de sa mère , et son envie de faire la même chose « tout recommencer » on peut voir dans ses paroles qu'il ouvre les yeux, enfin sur la vie, le fait qu'il veuille revivre sa vie nous montre qu'il n'étais pas complètement vivant et qu'il n'a sans doute pas assez profiter, il remet donc en question dans ses paroles la vie qu'il a mener. Il est moins renfermer nous dit même « qu'il a été et qu'il est toujours heureux » alors que plus tôt dans le roman on ne savait absolument pas ses sentiments, il nous montre même qu'il reste fière en « espérant qu'il y est beaucoup de spectateurs le jour de son exécution et qu'ils l’accueillent avec des cris de haine », on peut même remarquer du sarcasme dans ces dernières paroles cela paraît absurde étant donner que le seul souvenir qu'il a de son père est qu'il avait assisté à une exécution cela l'avais totalement écœuré, mais à ce moment le personnage attend justement que plein de personne comme son père auparavant vienne le voir et l'acclamer , ce qui nous montre un tout nouveau Meursault .
  Pour conclure nous voudrions faire une ouverture sur la bande dessiner de Mr Fernandez qui est inspiré de ce roman, l'ouverture de ce personnage, a nous lecteurs, nous touche encore plus en appuyant ces paroles sur des images. Ce retournement de situation termine ce livre excellemment bien.
106. Le 02 octobre 2014, 16:56 par Sarah.V

Le texte est l'explicit de l'Etranger qui a été écrit par Albert Camus en 1942. Le passage qui nous est proposé se situe dans le chapitre 5 de la deuxième partie. Cet extrait parle des dernières pensés et du ressenti de Meursault avant son exécution, qui change bizarrement de comportement. Dans cet extrait, l'auteur nous montre un Meursault changé, prêt à accepter le sort qui lui est réservé. Dans un premier temps, nous traiterons l'étrange changement de comportement de Meursault. Deuxièmement, nous traiterons sa prise de conscience.

  Tout au long du livre, Meursault éprouve une certaine indifférence aux gens, à tout ce qui l'entoure et également à ce qui lui arrive. Le lecteur ne peut pas vraiment cerner ses émotions. Pourtant, dans l'explicit on découvre un Meursault changé, comme nous le montre la phrase "La merveilleurse paix de cet été endormis entrait en moi comme une marais.". Cette dernière casse le côté indifférent et négatif de Meursault et révèle une certaine douceur. En effet, il utilise des mots doux et un vocabulaire mélioratif. Cette phrase est une phrase belle et poétique, agréable à lire, différente du Meursault que l'on connaît qui n'utilise jamais ce genre de vocabulaire. "La merveilleuse paix [...] entrait en moi comme une marais." Meursault est en paix juste avant sa mort, il est prêt à accepter le sort qui va lui être affligé. Il qualifie cette paix de "merveilleuse", il la valorise comme si il l'avait longtemps attendu.
 De plus, dans les phrases : "Des bruits de campagne montaient jusqu'à moi.", "Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes." "La merveilleuse paix de cet été endormis entrait en moi comme une marais.", Meursault utilise beaucoup de vocabulaire qui nous rammène à la nature, au monde extérieur. En effet, on observe les mots "campagne", "nuit", "terre", "sel", "été", "marais". Ces mots créent un paradoxe avec le fait que Meursault soit en prison. Cela montre un changement de comportement de sa part car il est habituellement indifférent à ce qui l'entoure, et il évôque la nature alors qu'il est coupé de celle-ci.

D'autre part, on remarque une certaine prise de conscience de Meursault. En effet, juste avant sa mort, il prend conscience des choix de sa mère : "Il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer." Meursault, maintenant qu'il va mourir, comprend pourquoi sa mère avait pris un fiancé avant de mourir, chose qu'il ne comprenait pas avant, ce qui souligne un changement de comportement de sa part. De plus, il appelle sa mère "maman", ce qui est un mot familier et tendre. Ce nom crée un lien plus fort entre Meursault et sa mère, comme si la mort allait les rapprocher d'une certaine façon.

 Par ailleurs, Meursault prend conscience de détails sur lui-même : "j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore." Il réalise qu'il n'avait peut-être pas assez profité de sa vie et pris le temps d'apprécier les choses, lui qui avait toujours vécu indifférent, sans exprimer ses émotions.
107. Le 02 octobre 2014, 16:56 par Léa

Nous allons traiter de l'explicit de L'Etranger d'Albert Camus. Nous souhaiterions mettre ici en avant l'évènement que souhaite faire Meursault de sa mort entremêlé à une certaine renaissance.
C’est pourquoi l'on pourra tout d'abord étudier le comportement que Meursault a face à la mort.
Dans un second temps par le désir de faire de sa mort un spectacle.
Enfin nous analyserons ce qu'il vit comme une renaissance si près de sa mort.

Nous avons pu apprendre à connaître un Meursault indifférent à la mort. N’y apportant aucune importance. Mais c’est un nouveau Meursault que l’on découvre à la fin de ce livre, lui qui est si proche de sa mort commence à changer sa vision sur cela. C’est ainsi que ça nous mènera à parler de son désir de se « donner en spectacle ».



"Pour que tout sois consommé , pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haines." Meursault nous prouve à travers cette phrase en nous envoyant pleins de sentiments, qu’il accepte effectivement sa mort mais il ne veut pas mourir seul lui qui pourtant fut souvent tout seul au cours de sa vie. Meursault souhaite "se donner en spectacle" avant de partir définitivement de ce monde. Meursault bouleverse ce qu'il pensait de la mort jusqu'à présent, que ce n'était pas quelque chose dont on doit s’intéresser, en souhaitant faire de sa mort un évènement, il veut "se sentir moins seul". On pourrait penser que Meursault veut qu'on lui accorde de l'importance peu importe si ce n'est pas gentiment "qu'ils m'accueillent avec des cris de haines". Il accorde soudainement de l'importance à la mort. Et veut qu'on en accorde à la sienne.

"Et moi aussi, je me suis senti prêt a tout revivre." à peine quelques heures avant son exécution Meursault semble calme, il utilise des mots simples, c'est une phrase qui "sonne" douce lorsqu'on la lit. Meursault parait enfin s'ouvrir à la vie paradoxalement à son comportement du début où il semblait absent à la vie et dépourvu de tout avis. Meursault paraît tout autre à la fin de sa vie, il réfléchi à sa vie passé, repense à sa mère et à Marie. Meursault ne regrette rien mais se laisse le temps pour songer à sa vie. Il ne reste que quelques heures avant sa mort et il veut vivre ses dernières heures comme les premières.

Pour conclure, nous pouvons dire que la mort de Meursault est « un mal pour un bien » car c’est à ce moment que Meursault devient plus sentimentale, pensif.
Pour confirmer notre idée, nous pouvons nous appuyé sur la bande dessiné de Ferandez.

108. Le 02 octobre 2014, 16:57 par Thomas K.

Nous allons nous intéresser sur le roman L’Etranger d’Albert Camus parut en 1942. Ce roman trace l’histoire d’un jeune homme se nommant Meursault qui vient de recevoir un télégramme de la mort de sa mère et la mort de sa mère va influencer tout le déroulement de ce roman. Nous allons nous focaliser sur la fin du roman, c'est-à-dire plutôt le changement d’attitude de Meursault qui parait étrange par rapport au début du roman. On peut donc se demander comment et à cause de quoi ce changement d’attitude est-il dut ?
En un premier temps nous allons nous intéresser a ce que peut ressentir Meursault dans la première partie du roman afin de faire une comparaison de son attitude à la fin du roman.
En effet Meursault au début du roman ne se préoccupe pas de la mort de sa mère et à hâte que tout cela se finisse afin de pouvoir reprendre son travaille, comme si la mort de sa mère était une corvée. "Après l'enterrement, au contraire, se sera une affaire classé et tout aura revêtu une allure plus officielle".
Meursault ne nous montre aucun sentiment vis à vis de sa mère. Il ne laisse passé au lecteur aucunes émotions et aussi pour quelque soit les personnage du roman (Céleste, Marie, Raymond,...), il ne se contente que d'une réponse brève ou de faire ce qu'on lui demande de faire comme si Meursault était un robot. Ce qui nous fait penser à une sensation de monotone se traduit par le peu de mot qu’il emploi, par exemple le "Oui" qu’il dit au soldat dans le bus.
Meursault parait neutre des évènements qui lui arrive et c’est pour cela que dans un second temps nous allons nous intéresser à la fin du roman de l’Etranger qui est en quelque sorte une sorte de contraste au début du roman.
Vers la fin du roman Meursault montre un tout autre visage, il ne semble pas triste avant son exécution il semble pensif, il réfléchit, il a même l'air un peu heureux comme si la mort était une sorte de libération, de renouveau, une porte pour tout recommencer. Meursault pense aussi pour la première fois dans le roman à sa mère, qu'il l'appelle familièrement Maman, ce qui montre un attachement a sa mère. "Pour la première fois depuis longtemps, je pense à Maman,"Ce changement d’attitude serrait dû à son exécution qui lui donnerait un sentiment de libération comme pour pouvoir quitter se monde monotone et sans émotions afin de pouvoir rejoindre sa mère pour pouvoir tout recommencer. "... Et moi aussi, je me sens prêt à tout revivre, …"
Ce changement d’attitude est dut au fait que qu’il soit emprisonné, seul, ce qui le permet de réfléchir sur ses actes, sur ce qu’il pense de sa mère. C’est aussi le fait qu’il va se faire exécuter ce qui lui donne un sentiment de liberté de renaissance.

109. Le 02 octobre 2014, 16:57 par Hugo

Le passage qui nous est proposé est l’explicite du roman L’Etranger, D’Albert Camus publié en 1942.Nous pourrons parler des réactions de Meursault, de son insensibilité face à certaines nouvelles, ses prises de conscience et ses sentiments. Pourquoi cet étrange changement de comportement ? Dans un premier temps nous étudierons l’environnement dans lequel se trouve Meursault. Dans un second temps nous nous pencherons principalement sur les émotions de celui-ci. Puis, dans un troisième nous parlerons des sentiments, du ressenti que Meursault a sur la vie. Dans un dernier temps, nous nous intéresserons plutôt sur les derniers instants du personnage principal, et sur sa mort.

Dans ce dernier passage du livre, Meursault décrit ce qu’il ressent « Je crois que j’ai dormi parce que je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage. » Nous pouvons nous pencher davantage sur cette phrase. En effet en la décomposant, nous pouvons remarquer que Meursault semble s’être endormi, il est perdu et n’est même plus sur de ce qu’il a dit, il y’a peut-être un rapport avec sa discussion avec l’aumônier qui ne s’est pas vraiment bien passé et qui l’a sûrement agacé. Il dit ensuite qu’il s’est réveillé avec des étoiles sur le visage, les étoiles sont un symbole de liberté, alors que celui-ci se trouve en prison, Meursault se sent libre malgré tout, le faite d’être en prison ne l’atteint pas plus que ça. De plus cette phrase est accentué par le fait que Meursault ressent ses derniers instants comme une renaissance : « Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. » Le mot « aussi » fait rapport avec le fait que sa mère ressentait les mêmes choses, ils ont le même destin, tous deux sous l’emprise de la mort, il se sente libre, la mort ne leur fait pas peur et veulent profiter de leurs derniers instants sur terre.

Après avoir évoqué l’environnement dans lequel se trouve Meursault nous allons maintenant traité des émotions de celui-ci.

Meursault semble plus assagit qu'au début du roman. Il ressent des émotions contrairement à ce qu'on a pu constater tout au long du roman: « La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée ». Meursault est complètement transformé, il se sent bien et on dirait même que le fait de mourir ne l'atteint pas plus que ça et qu'au contraire il se sent libéré.

Nous allons maintenant s’occuper de parler des sentiments du personnage.

On peut également constater, que Meursault "s'ouvre à nous" et laisse enfin paraître ses sentiments: « pour la première fois depuis bien longtemps j'ai pensé à maman. » Cette phrase est agréablement surprenante venant de sa part, lui qui au début du roman, attendait que l'enterrement soit passé afin que ce soit « une affaire classée ». De plus, Meursault qui avait envoyé sa mère à l'asile car il ne pouvait plus subvenir à ses besoins et à qui il ne rendait très rarement visite comprend enfin sa mère: « il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer. » A travers ces quelques mots Meursault nous laisse entendre qu'il se pose beaucoup de question quand on relation qu'il avait avec sa mère. L’auteur utilise une figure de style afin d’insister, il se sert d’un oxymore « tendre indifférence », ces deux mots sont de sens contraire et donc ressorte de la phrase: « je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. » Meursault est donc moins fermé au monde extérieur et le dit lui-même.

Nous allons désormais évoquer le ressenti du personnage quant au dernier instant de sa vie.

On en conclue donc que Meursault sentant la mort approché réfléchi beaucoup au sujet de sa vie, de ses actes et même peut-être de ses paroles et se remet en question quant aux relations qu'il avait avec le monde, avec sa mère. Meursault ne considère pas la mort comme quelque chose de dramatique et veut que sa mort soit un évènement « il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine. » Meursault attend donc que sa mort soit un spectacle alors qu’on sait que son père auparavant avait vu à quoi ressembler une exécution, et ceci l’avait écœuré. Le destin de Meursault rejoint donc celui de sa « maman ».

Nous pouvons en conclure que cet explicit est présenté sous deux formes. Nous pouvons comparer la bande dessinée de Fernandez et le texte d’Albert Camus. La bande dessinée retrace les derniers instants de Meursault. Il insiste plus que dans le texte sur le fait que Meursault se trouve en prison mais se sent plus libre qu’il ne l’a jamais été et se sent prêt à tous revivre, enfin. Le fait de représenter un texte sous forme d’image peut nous aidé sur la compréhension du texte.

110. Le 02 octobre 2014, 16:57 par Allan

Le texte est un extrait du livre d'Albert Camus « L'étranger » (1942) qui est un extrait de la fin du livre ou nous pouvons voir les diverses visions que propose Camus a travers ses derniers ecrits, nous allons parler du paradoxe entre la mort et le fait qu'il est envie de tout recommencer.
S'agit-il d'une scène qui met en œuvre la mort d'un personnage ou d'une funeste rennaissance avant sa mort  ?

Une envie de tout recommencer est exprimé par le personnage :
-Le personnage dit clairement que « je me suis senti prêt à tout revivre », « je m'ouvrais pour la premiere fois a la tendre indifference du monde », En effet a ce moment Meursault est en prison et le fait qu'il veulent tout revivre n'indique pas qu'il regrette mais simplement qu'il souhaite profiter un nouveau de ses derniers moments a penser a sa mère et continuer a nous donné sa vision du monde.
Meursault comprend enfin les actes de sa mère et face a la mort il pense a elle.

De plus le champ lexical de la compassion est présent dans le texte « il m'a semblé que je comprenais », « sentir libérée » cette mort qu'il attend le fait réagir et lui fait naître un esprit critique sur sa mère et la vie qu'il a jusqu'à présent vécu. Meursault semble s'ouvrir ou lecteur comme il s'ouvre a sa mère et nous partage les sensation qu'il éprouve face a la mort qui l'attend.
« J'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore »C'est une sorte de renaissance qu'il se donne avec cette phrase comme pour annoncer enfin une délivrance, non pas qu'il croit a une vie après la mort mais plutôt comme un esprit "enfantin" ou "d'enfant" qui se traduit par le fait qui malgré ses envies ne peut pas les satisfaire et il ne regrette meme pas car il est heureux, presque comme un innocent qui du jour au lendemain va subir la peine capital mais lui ne pense qu'a une chose, ne pas etre seul le jour de sa mort.

Meursault a accepté sa mort et pense maintenant au jour de son execution.

111. Le 02 octobre 2014, 16:57 par Martin

Le texte que nous allons étudier est la dernière page de L'étranger qui a été écrit par Camus en 1942. On peut donc dégager un enjeu dans ce texte : nous allons traiter des pensées et sentiments de Meursault. C'est pourquoi nous allons d'abord parler de la relation entre Meursault et la mort puis de son ouverture soudaine à sa sensibilité et ces sentiments.

Nous allons nous intéresser à la relation entre Meursault et la mort. Il semble que Meursault la voit d'une manière positive pour sa mère mais surtout pour lui qui est tout de meme jeune pour mourir.. Il fait d'abord le rapprochelment entre lui et sa mère en affirmant que « elle devait se sentir prete à tout revivre » puis quelques lignes plus tard « Et moi aussi je me suis senti prêt à tout revivre ». On voit dans cette phrase le paradoxe entre la mort de Meursault et le fait qu’il veuille revivre. Quand on parle d’une seconde vie après la mort on ne peut s’empécher de penser à la religion. Or Meursault est athée. De quoi parle-t-il alors ? Que signifie tout revivre ? De plus en utilisant l’expression « moi aussi », il se rapproche de sa mère, peutetre leurs trajectoires se rejoignent-elles. En disant « je me suis senti prêt à tout revivre », il semble plus déterminé qu’au début du livre, il semble avoir un but. Le « à tout » rend compte que Meursault admet avoir vécu des choses et ne pas etre vide.

Meursault semble également s'ouvrir à sa sensibilité et aux événements éxterieurs « la douceur de cette nuit endormie entrait en moi comme une marée ». C'est paradoxale de se rendre compte de ces choses là quand on est enfermé et dans le couloir de la mort comme on le ressent dans la phrase. « De l’éprouver si pareil en moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux et que je l’étais encore ». L’emploi du verbe « éprouver » et « senti » dans cette phrase montre que contrairement à ce que l’on peut penser en lisant ce livre, Meursault ressent bien des sentiments et le « si pareil en moi » montre que lui-même en est surpris. Le reste de la phrase « j’ai senti que j’avais été heureux et que je l’étais encore » montre que Meursault s’ouvre à sa sensibilité avant de mourir et le fait qu’il soit « encore » heureux nous conforte dans l’idée qu’il n’est pas décu de mourir.

Dans cette dernière page on est confronté aux sentiments de Meursault. Comme le représente très bien la bande déssiné de Fernandez avec une prise de vue de plus en plus éloigné adaptée de L'étranger  Meursault semble libéré et sensible aux éléments éxterieurs alors qu'il est enfermé.
112. Le 02 octobre 2014, 16:58 par Gladys

Le texte que nous allons étudier est la derniere page du roman de ' L'etranger ' qui a été ecrit par Albert Camus en 1942. Nous pouvons donc dégager un enjeu essentielle dans ce texte qui est l'étrange changement de comportement de Meursault, de sa renaissance c'est pourquoi l'on pourra tout d'abord s'interesseser a la différente personnalité que Meursault a à l'incipite et l'explicite du roman puis dans un second temps de sa renaissance.

     Dans le premier passage vu en classe nous constatons que Meursault est un homme renfermer sur lui même il est soumis a la société, nous avons l'impression qu'il est ' neutre ' et semble indiférent comme si il n'avais pas d'âme et que le vide se propager en lui peut importe les évenements comme quand il apprend le décés de sa mère par le télégramme envoyer par l'asile et semble être dépasser par l'évenement et affirme que justement après l'enterment cela sera enfin ' une affaire classée '. Il se comporte comme un télégramme et cela tous au long du roman. Tandis qu'a l'explicite Meursault est métarmorphesé, il ressens des émotions et déclare un discourt sans fin qui lui redonne de la dignité c'est un personnage vivant pour la premère fois contrairement a l'incipite où Meursault semble être un personnage mort. Il nous laisse rentrer dans son intimité ' Pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé a maman ' cette phrase est surprenante venant du personnage les mots sont tendre et le surnom ' maman ' montre une marque d'affection d'autant plus que la structure de la phrase est régulière et precise, il laisse le lecteur entrer dans ses pensées.
     Ensuite,  Il s'ouvre enfin et semble être  intégré  c'est un personnage plus doux "Je m‘ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. " les mots employés par le personnage sont tous nouveaux et c’est une phrase longue qui inspire la tranquilité et nous remarquons que " pour la première fois " est souvent répéter dans quelques phrases ce qui prouve sa renaissance  il n’oublie aucun détails, ne cesse de s’exprimer il prend une prise de conscience et s’identifie a sa mère la compréhension règne enfin et nous fait part de tous cela en laissant le lecteur savoir qui il est vraiment à ce moment là. Malgré que le jour de son exécution approche il est confiant et serein et montre un aspect différent de la mort qui est plutôt positif quelques heures avant de mourir il se sent vivant et se sent près à tous revivre comme si il avais hâte de quitter ce monde alors que le lecteur ressens de la peine pour lui, c'est un paradoxe très intéressant car il revit avant de mourir.

Nous pouvons donc constater que tous au long du roman Meursault étais un homme renfermer et ne laisser personne entrer dans ses pensées c'est à la fin du roman, avant son éxécution que Meursault change enfin et laisse le lecteur entrer dans son intimité en montrant un paradoxe entre la vie et la mort qui est totalment différent de la normal il nous a donc fallu attendre la fin du roman pour connaître un Meursault métamorphosé qui laisse le lecteur entrer dans ses pensées et qui se sent revivre en ayant hâte de quitter ce monde.

113. Le 02 octobre 2014, 17:47 par Nicolas B 1ES2

Le passage qui nous est proposé est l'explicit de L'étranger, qui a été écrit par A.Camus en 1942. Ce texte parle du personnage principal qui, après qu'on lui ai annoncé sa mise à mort, se retrouve en cellule face à son court futur. On peut donc se demander pourquoi Meursault laisse paraitre des sentiments positifs, alors que celui-ci se trouve séparé de la mort par une poignée d'heures, ses pensées ont repris un sens moral, le désespoir que l'on aurait pu attendre laisse place à un point de vue compréhensif et appréhender de sa mort.
C'est pourquoi l'on pourra tout d'abord analyser le contenu de ses pensées intimes et final de Meursault et ses caractéristique. Puis dans un second temps s’intéresser à sa "renaissance". Puis il conviendra de confirmer que sa mort est heureuse.

Tout d'abord il est très positivement descriptif vis à vis de ses ressentis "Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissait mes temps"; "La merveilleuse paix de cet été endormi",des mots très poétiques et apaisant sont proposés dans une phrase rythmée, on pourrait y entendre une chanson sur les soirs d'été, on peux presque percevoir une rime entre "Rafraîchissait" et "Paix" ou entre "Nuit" et "Endormi".
Par la suite il devient pensif à propos de sa mère, "Pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman", il n'y avait plus pensé depuis longtemps et il vient à se rendre compte de tout ce qui a pu mener sa mère à un quelconque bonheur par une tentative de renouveau, il est très affectueux à son égare par des mots presque enfantin comme "Maman", la phrase est coupé d'une virgule, comme si Meursault reprenait son souffle, celle-ci permet aussi de bien mettre en valeur le "j'ai pensé à maman.", même si ça n'as l'air que d'une "pensée", il donne l'impression d'en avoir fait son principal sujet de débat alors qu'il est face à lui même. A travers ces pensées intimes, on découvre Meursault, comme s'il renaissait moralement.

Pour finir, après que l'on ai saisi ses sujets, on vient à comprendre cette renaissance, il vient à se convaincre qu'il "a été heureux et qu'il l'est encore" comme l'as été sa mère, alors que pendant toutes ses péripétie, la question de son bonheur, des choix qui décideraient de sa vie futur, on toujours été évités ou quasi-ignoré. On le découvre enfin. Il semble chercher à se dire de quel façon il aurait pu recommencer sa vie. A ce moment où il est si proche de sa propre exécution, qu'il approche paisiblement et sereinement. "Qu'il y ait beaucoup de spectateurs (...) qu'il m'accueille avec des cris de haine.", on trouve dans la phrase une répétition de "Qu'il" qui laisse paraitre une ressemblance entre les deux parties de phrase. Coupées en deux par "Et", on a l'impression qu'on retourne à "Et lui partit", comme si tout tournait en rond dans sa cellule. on peux s'attendre à un nouveau départ pour lequel il se préparerait en étudiant chaque parcelle de sa propre histoire pour en tirer leçon et conséquence.

Comme si cette nouvelle l'avait rassuré, comme un religieux à qui était promis le paradis malgré tant d'erreur, paradoxalement à sa phobie religieuse. Il s'approche serein, en s'imaginant presque un événement "Normal" pour lequel on a l'habitude d'accueillir ses acteurs par "des cris de haine" comme Meursault voudrait que l'on l'appelle. En attendant il se contente de savourer les dernières heures avant son châtiment pour se souvenir.

114. Le 02 octobre 2014, 17:47 par Thomas D.

Le texte « L’Etranger » de Albert Camus écrit en 1942 mets en scène les diverses péripéties de Meursault après la mort de sa mère. Ce dernier laissait paraître une forme d’indifférence à son égard. Nous avons étudié l’explicit de l’Etranger. Dans ce passage, nous découvrons un personnage condamné mort vivant ses derniers instants. La question que l’on peut se poser alors, c’est quelle vision Meursault a-t-il de sa mère désormais, a-t-elle évoluée ? Son comportement a-t-il changé ?

Pour une fois, Meursault prend conscience que c'est bientôt fini. On peut montrer qu'il s'identifie enfin à sa mère : "Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre".

En disant qu'elle devait se sentir prête à tout revivre 2 phrases avant, le "moi aussi" insiste bien sur le fait qu'il se compare à sa mère et qu'il adopte une vision positive d'elle. Meursault utilise le mot "prêt" comme si il avait le choix. Il utilise aussi "à tout" ce qui signifie qu'il admet avoir vécu beaucoup de choses malgré son semblant d'indifférence tout au long du texte.

On peut s'appuyer sur la phrase "pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman" pour démontrer que la vision que Meursault porte à sa mère à changée: des mots qui reviennent tel que "maman", le fait qu'il ai pensée à elle alors que sa mort le laisse indifférent depuis le début du texte (du moins il le laisse paraître)... Pour conclure, Meursault à évoluer au fil du texte, mais dans cette partie où Meursault semble enfin prendre conscience et se dévoiler, c'est aussi la fin... Trop tard

Toujours dans l’optique d’étudier le changement de comportement de Meursault, il est clair que d’après les paragraphes précédents, il a ôté son masque d’indifférence.

Il vient lui aussi à se convaincre qu'il "a été heureux et qu'il l'est encore", alors que pendant toutes ses péripétie, la question de son bonheur, des choix qui décideraient de sa vie futur, on toujours été évités.
A ce moment où il est si proche de sa propre exécution, qu'il approche paisiblement et sereinement. "Qu'il y ait beaucoup de spectateurs (...) qu'il m'accueille avec des cris de haine."
Comme si cette nouvelle l'avait rassuré, comme un religieux à qui était promis le paradis malgré tant d'erreur, paradoxalement à sa phobie religieuse.

Pour conclure, le dénommé Meursault a évolué. Mais un peu tard, la veille de son exécution. Meursault devrait avoir peur, se rétracter, mais non. Au contraire. Ce personnage se dévoile maintenant, il repense à sa mère, mais il est trop tard. Demain il va mourir et tout sera fini. Cependant on peut penser qu’Albert Camus s’engage contre la peine de mort ; ainsi il essaie de prouver que ce châtiment n’est pas si terrible…

115. Le 02 octobre 2014, 17:51 par nicolas D

L’Étranger, écrit par Albert Camus. Albert Camus né en 1913 en Algérie, meurt d'un accident de voiture en 1960. C'est un philosophe, romancier est un militant dans la résistance. Il a fait de nombreuses critiques dans une critique de totalitarisme soviétique.
Ce texte est l'explicit du roman l'Etranger de Camus. Dans cette œuvre le texte se situe au 5ème chapitre de la deuxième partie. Ce texte n'est ni tragique ni amusant, malgré qu'il parle de la mort du personnage et de ça mère qui elle aussi est morte. Dans ce texte l'auteur veut montrer l'indifférence de Meursault face à la mort. Le lecteur est d’emblée frappées par ce que ce dit le personnage avant sa mort. En effet est près à tout revire, il préfère se redonner un espoir de revivre.
On peut donc se demander si sa mort le concerne, ce qui met le lecteur dans une situation d’incompréhension face au texte et face à l'attitude de Meursault.
C'est pourquoi nous allons parler de l'attitude de Meursault face à la mort : comment le vit-il ? pourquoi ?
Dans un premier temps nous allons parler des pensées que Meursault a en prison, quelles sont ses derniers désirs ? Ses derniers souhaits ?
Puis nous allons enchaîner sur sa mort, comment le vit-il ? pourquoi ?

Meursault face à la mort ne ressent aucune frayeur : il nous le montre par "je crois que j'ai dormi parce que je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage." Cette phrase nous montre à quel point Meursault paraît perdu. Effectivement en employant le verbe "je crois" il apparaît comme une personne vivant une situation sans être vraiment certain que ses de sa vie qu'il est l'acteur. "Des étoiles sur le visage" représente plus un rêve qu'une vie qui se termine. Il vit ses derniers moments en étant "prêt à tout revivre". Ces quelques mots prouvent de nouveau sa désinvolture.

   Il repense à sa mère chose qu'il n'avait pas fait depuis très longtemps. Il comprend enfin les derniers jours de sa mère.
   Sa propre mort le fait redevenir "fils" il utilise d'ailleurs le mot "maman" pour parler d'elle.
   Dans ce passage du roman Meursault n'indique jamais qu'il est en prison, il parait indifférent. Ses pensées, ses retours en arrière le font être libre.
   Peut être parce qu'il sait qu'il va mourir, il essaie d'embellir sa fin en "s'ouvrant pour la première fois à la tendre indifférence".
   Cette réaction de Meursault peut-être expliquée par sa façon de ne jamais exprimer ses sentiments envers tout ce qui lui arrive.
   "Vidé d'espoir" Meursault n'espère qu'une chose ne pas mourir seul. "... il me restait a souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine". En employant le verbe "souhaiter" Meursault se met enfin dans la peau d'un condamné, il continue en utilisant le mot exécution. Pour rendre son exécution plus juste il espère entendre des cris de haine ce qui l'aideraient à quitter ce monde sans remord.
   Cette façon de mourir rendra sa mort moins solitaire lui qui avait compris qu'il avait été heureux et qui l'était encore.
116. Le 02 octobre 2014, 17:53 par xavier.c

le passage qui nous est proposé est extrait de « 'etranger » d'Albert Camus écrit en 1942. cet extrait est situé à l'explicit du roman. Camus denonce la justice ainsi que la peine de mort qui fait terreur à cette époque. Meursault est condamné à mort, on pourraobserver son étrange changement de comportement façe à la mort. Il luttera jusqu'au bout pour enfin axepter son destin. Il éprouve des sentiments qu'il n'éprouver en aucun cas au début du roman. "je m'ouvrais pour la premiere fois à la tendre indifférence du monde".Nous allons parler des contradictions de penser de Meursault à la veille de son execution.
On peut voir que le personnage apres le départ de l aumônier (lui parti) se retrouve seul face a lui même. Il est même prive de la lumière du soleil (je me suis réveille avec des étoiles sur le visage).Meursault est serein et sent les parfums de la nature.soudain les sirènes des bateaux lui rappelle qu il ne ourra plus voyager dans ce monde qu il va quitter.

On sent chez le personnage la mélancolie et la tendresse

quand il évoque sa mère et la fin de sa vie. On peut
comprendre qu'il ressent du respect pour elle. "Meuresault a changé d'état d'esprit: "je m'ouvrais pour la premiere fois à la tendre indifférence du monde". "premiere fois" , "tendre indifference" expriment un changement et nous montrent l'importance qu'il accorde a ses derniers instants de vie.
A la fin durécit les pensées de MEursault sont contradictoires avec le
début.la dernière phrase : qu'ils m accueillent avec des cris
de haine : contredit les pensées de désir du personnage a
etre seul loin du monde. "M'acceuillent" et "haine" se contredisent. Meursault souhaite avoir une certaine reconnaissance même si cela ce passe dans la haine. Son seul souhait a la fin est de ne
pas mourir Dans l'indiffrence des hommes.

      Meursault s'ouvre au monde à quelques instants de son éxecutions, ceci est contradictoire. C'est comme si lorsqu'il etait libre il était en réaliter mort et parralelement au moment de son execution on à le sentiment qu'il vie enfin.
117. Le 02 octobre 2014, 17:54 par Maxime F

L'exciptit de l'Etranger a été écrit par Albert Camus en 1942. Le passage qui nous est proposé se situe au dernier chapitre. Cet extrait parle des dernières heures de Meursault en prison avant son exécution. Avant de mourir il repense à sa mère ce qui est troublant pour nous en tant que lecteur, il souhaite qu’il y ai beaucoup de spectateurs le jour de son exécution comme si c’étais un spectacle. Le lecteur est d’emblé frapper par ce que ressens Meursault. La question que l’on peut se poser est : qu’est ce que ressent Meursault sur sa mort imminente. C’est pourquoi l’on pourra d’abord étudier la « renaissance » de Meursault. Dans un deuxième temps on examinera le jour de son exécution. Enfin on pourra expliquer pourquoi Meursault n’a aucun regret de ce qu’il a fait dans sa vie

Tout d’abord, on va étudier de la renaissance de Meursault.
« Elles annonçaient des départs pour un monde qui m’étais à jamais indifférent » cette citation nous laisse penser que pour Meursault il va rejoindre un autre monde, qu’il va commencer a vivre à partir du jour de son exécution.
Ensuite Meursault veut que sa mort soit un événement.
Il veut du monde le jour de son exécution, comme si c’étais un spectacle : «qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m’accueillent avec des cris de haine » ce qui nous choque nous en tant que lecteur car cela est totalement contraire à la vie réelle.
Enfin Meursault na aucun regret de mourir, il est même satisfait de mourir quand il dit « Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre », pourtant à nos connaissance il à tué quelqu’un avant d’être la. Ce qu’il a fait est plutôt grave, et il ne regrette rien malheureusement.

En conclusion Meursault, n’a aucun regret de mourir, il se donne même en spectacle ce qui est plutôt dommage, car il aurait pu regretté d’avoir fait ce meurtre. On nous donne pas trop de description physique de Meursault, s’il a le visage ferme ou heureux. Pour le savoir on pourrait lire la BD de J.Ferrandez.

118. Le 02 octobre 2014, 17:54 par Thomas C

L’explicit à été extrait du roman de Albert Camus « L’étranger » écrit en 1942, le passage présenté est la fin du roman dans le dernier chapitre juste au moment où Meursault se trouve en prison avant le jour de son exécution. Dans l’extrait proposé l’auteur parle de Meursault et de ce qu’il ressent quand il est en prison. Le lecteur peut être troublé par le changement de comportement de Meursault et peut ressentir en lisant ce texte une sorte d’étonnement. On peut donc se demander pourquoi Meursault change-t-il soudainement de comportement à l’égard de sa mère ? Dans un premier temps nous allons parler de la solitude de Meursault lorsqu’il se trouve en prison. Dans un second temps on va parler du changement de comportement de Meursault par rapport à sa mère et qu’il l’a comprend.

Quand Meursault est en prison on sent vraiment qu'il est seul, perdu,sans personne à qui se confier...C'est à ce moment-là qu'il repense à sa mère mais à lui aussi, vus que sa mère est décédée il n'a personne pour le soutenir, il ne fais penser il ne parle pas réellement, pour lui il ne lui reste une chose, il voudrait qu'il y ait beaucoup de mondes pour son exécution il veut que sa mort "marque" les esprits il veut être vus car lorsqu'il se trouve en prison cela ne change rien à la vie des gens, c'est comme ci il n'existait pas.
Quand il dit qu'il souhaite qu'il y ai beaucoup de mondes lors de son exécution c'est une phrase longue et "positive" pour lui car il insiste vraiment sur cela et ceci est positif car il veut être observé être reconnu, remarqué contrairement au début du roman.

Meursault change soudainement de comportement dans l’explicit on dirait qu’il se rend « enfin » compte de ce qui s’est passé dans le roman. Meursault était indifférent dans l’incipit , "pour la première fois depuis bien longtemps j'ai pensé à maman" cette phrase exprime bien que c'est "nouveau", que ce ne s’étais pas passé depuis très longtemps pour lui, que ce n'est pas habituel de plus cette phrase est courte, brève, il ne dit pas plus de chose il dit que c’étais la première fois. Il pense à sa mère et la comprend " Il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer" il se met soudainement à la comprendre ce qui ne s'étais jamais produis auparavant comme par exemple à l'incipit vus en classe, il est complètement neutre sans avis il est comme pour ainsi dire dans sa "bulle", il se met à la comprendre « Il m’a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d’une vie, elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer. » il s’exprime et n’est plus aussi neutre que dans l’incipit.

Pour finir Meursault comprend à la fin sa mère, il se pose des questions, il change complètement de comportement et ne devient plus neutre que auparavant. Il y a eu une BD faites pas J. Ferrandez représentant l’explicit qui démontre bien ce que ressent le personnage et qui nous donne une idée de ce que peut ressentir le personnage, la BD rajoute des éléments manquants dans la fin du roman.

119. Le 02 octobre 2014, 17:54 par JulieA_1es2

Le passage qui nous est proposé est extrait de «l' Étranger d' Albert Camus» paru en 1942, ce passage correspond à l’explicite de l’œuvre.
L’Étranger est un œuvre engagée qui met en scène un personnage nommé Meursault qui apprend la mort de sa mère par télégramme. Il n'est pas touché par la mort de sa mère et d’ailleurs il n'est pas touché par le monde qui l'entoure. Cependant dans l’explicite du texte on s'appercoit d' un changement chez le personnage, il nous fait par de ses sentiments chose qu'il n'avait pas avant.
Dans quelle mesure ce texte a un impact sur le lecteur?
Nous allons nous intéressez aux sentiments que le lecteur peut ressentir face aux phrases de Meursault. Dans un premier temps nous allons étudiez les sentiments négatifs ou plutôt triste qui peuvent être éprouvés. Et dans un second temps les sentiments positifs. Enfin on pourras s'éloigner et s’intéresser à l'ensemble de l'incipit. Nous terminerons par une conclusion qui nous ouvriras sur une autre œuvre.

La majorité de ces phrases touchent le lecteur.

       Tout d'abord, certaines d'entre elles peuvent procurer une certaine tristesse chez le lecteur, or le personnage en lui même n'ai pas triste. Mais pourtant à travers la tournure de ces phrases il arrive à chagriner le lecteur "Pour la première fois depuis bien longtemps j'ai pensé à maman". Cette phrase va attendrir le lecteur car elle est affective, et tendre, la présence du mot "maman" attire l'attention et parler d'une mère touche toujours une personne. Cela met en valeur un Meursault plus émotif et sentimental ce qu’il n’était pas. Le lecteur entre alors dans ses pensées, car Meursault lui même semble s’ouvrir à nous, en nous disant ce qu’il ressent. Ce qui est assez surprenant car il était indifférent à ce qui l’entourait, et ne nous dévoiler rien de ces sentiments, il était comme bloqué, justement il ne ressentait rien. Mais en prononçant c’est quelque mot on s’aperçoit qu’il a changé et que cette phrase déborde de sentiments.
      Ensuite, d'autres d'entre elles, peuvent au contraire apaiser le lecteur. On peut penser à une sorte de poésie ou même une chanson. Comme un refrain entraînant qu'on chantonne. "La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marrée" c'est une phrase très poétique. Les rimes la rendent d'autant plus belle à entendre. Les mots employés comme « paix » « endormis » sont calme et nous donne l’impression d’être dans une atmosphère très tranquille et bienveillante, douce. Le mot "marée" connote l'envahissement, cette vague qui le submergé de ce sentiment de sérénité.
      Pour finir, dans l'ensemble de cet incipit les sentiments ressentis à travers la lecture restent positifs. En effet le sujet triste comme la mort semble tourné d'une façon douce, en lisant cela le lecteur n'éprouve pas de peine car Meursault lui même embellis et positive ce sujet. « Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre » cette citation est pure, il n’y a aucune haine ou colère. Les mots ne sont pas agressifs. Encore une fois cette phrase est associée à sa mère. En disant cela il pense toujours à sa mère. Le « aussi » souligne bien cela, il se compare à sa mère et eux deux on pour point commun de vouloir tout revivre alors qu’ils sont sur le point de mourir. C’est comme si il avait un destin commun, tout deux était sur le point de mourir, ils n’ont pas peur, ils acceptent cela et profite des derniers instants qui leur restent. On s’aperçoit que Meursault juste avant de mourir pense beaucoup à sa mère ce qu’il ne faisait jamais avant. Dans ces phrases on aperçoit ce nouveau côté sensible qui amène à toute sorte d'émotions.



      Pour conclure, on s'apperçois qu'à travers ce passage le lecteur peu ressentir toute sorte d'émotion. C'est un passage très émouvant et remplis d'émotion de Meursault, ce qui est est nouveau dans l’œuvre et permet de surprendre le lecteur,
Cependant ressent-on ces sentiments parce que le passage n'est pas illustré et qu'il nous permet de nous imaginer la scène nous même. Cette œuvre et même ce passage peut être lié avec l’œuvre de J- Fernandez qui a adapté l''Étranger en bande dessinée. Cependant à travers la bande dessinée le lecteur ressent moins d'émotions, ce qui prouve que l'absence d'image permet un ressentis plus fort dût à l'imagination et à l'avis propre qu ce fait le lecteur.
120. Le 02 octobre 2014, 17:54 par Morgan

Le texte de l'explicit extrait de l'ouvre L’étranger a été écrit par Albert Camus en 1942. Le passage qui nous est proposé se situe au dernier chapitre de la deuxième partie.Il correspond à l’épisode qui succède le départ de l'aumônier. Cette œuvre est une œuvre engagée contre la justice et la peine de mort. Cet extrait traite des dernières pensées de Meursault avant de se faire exécuter publiquement. Comment l'auteur s'y prend t-il pour montrer que dans cet explicit Meursault accepte le fait qu'il va mourir mais qu'il ne veut pas être seul quand cela arrivera ?

Dans un premier temps on montrera le fait que Meursault accepte sa mort. Dans un second et dernier temps on expliquera que Meursault ne veut pas être seul quand il va mourir et qu'il fait de sa mort un événement.

En effet dans l'explicit de l’œuvre Meursault fini par accepter le fait qu'il va mourir comme le montre la phrase "lui parti, j'ai retrouvé le calme". Cette phrase montre que Meursault a l'aire serein alors qu'il sait déjà qu'il est condamné à mort.
"Elles annonçaient des départs pour un monde qui m'était à jamais indifférent". Dans cette phrase les mots important sont "départs", "monde" et "indifférents. le mot "départs" montre que Meursault est près à partir et quitter le monde dans lequel il vivait. Ensuite l'auteur utilise le mot "monde" pour parler de la vie actuelle de Meursault. Le fait d'utiliser ce mot montre que Meursault a déjà quitter son monde et qu'il en a déjà oublier tout les détails. Enfin il utilise le mot "indifférent" pour justifier que, pour lui il ne fait plus partit de se monde et que quoi qu'il se passe cela ne l’intéresse plus.

Par ailleurs la phrase "Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs et qu'ils m'accueillent avec des cris de haines" montre que Meursault ne veut pas être seul. Le mot "consommé" montre que la vie de meursault est presque fini et que tout les cauchemars qu'il a vécu vont enfin cesser. Ensuite le mot "souhait" montre la dernière volonté de Meursault : "qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'il m'accueillent avec des cris de haines". Les mots "exécution" et "haine" sont des mot violents. Ils expriment à eux deux toute la haine de Meursault. C'est d'ailleurs par cette haine que se termine d’ailleurs le roman. Après, le mot « spectateur »et le verbe « m'accueillent » font que Meursault perçoit sa mort comme un événement. Il veut que les gents se souvienne de lui et de cette exécution.

En conclusion, dans le début de l'ouvre on apprend la mort de la mère de Meursault et a la fin du texte on apprend la mort de Meursault. La boucle est bouclé. Meursault est près a mourir. Et il fait de sa mort une sorte d’événement tout en espérant qu'il y est du monde le jour de son exécution et qu'il respectent sa dernière volonté.

121. Le 02 octobre 2014, 17:54 par Amandine

Le texte de l'explicit extrait de l’Étranger a été écrit par Albert Camus en 1942. Le passage qui nous est proposé se situe au dernier chapitre du livre. Il correspond à l'épisode qui succède le départ de l'aumônier après une violente dispute entre Meursault et celui-ci. Cet extrait traite du thème de la mort et de l'indifférence de Meursault face à celle-ci et aussi de ses souvenirs. Il parle de l’exécution de Meursault, celui-ci est condamné à mort et va être exécuté publiquement. L’Étranger est une œuvre engagé contre la peine de mort mais aussi contre la justice. Le lecteur est d’emblée frappé par la fait que Meursault ne ce fait pas de soucis du fait qu'il va être exécuté et est presque heureux de mourir. Ici, nous allons voir comment l'auteur s'y prend-il pour montrer aux lecteurs le changement de comportement de Meursault et comment celui-ci nous exprime ses sentiments au cours de l'explicit.

Pour commencer, dans une première partie, on montrera le fait que Meursault se dévoile beaucoup plus dans l'explicit que dans l'incipit mais aussi que celui-ci nous fait enfin part de ses sentiments envers sa mère et pour finir, dans une deuxième partie, on montrera le fait que celui-ci nous dit ce que lui ressent de tout cela.

On peut constater que tout au long du texte, le personnage de Meursault se dévoile un peu plus. En effet, celui-ci qui ne se confiait absolument pas à nous au début du texte, mais nous montre à la fin ce qu'il ressent. On peut constater que dans l'incipit, Meursault n'utilisait que des phrases brèves, tandis que dans l'explicit, celui-ci nous précise ces pensées, comme lorsqu'il dit "J'ai pensé à maman.", cela montre bien que Meursault nous fait part de ce qu'il pense et de ce qu'il ressent. L'emploi du mot "maman" qui exprime de la tendresse et de l'affection, nous laisse penser que malgré tout celui-ci était lié avec sa mère et qu'il l'aimait. Du fait que il utilise le mot "maman", celui-ci laisse aux lecteurs une sorte de confiance, comme si il parlait de quelque chose d'intime.

De plus, lorsque Meursault s'exprime en disant " Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre." et "J'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore." celui-ci nous fait part de ce qu'il ressent à travers les mots "senti", "prêt", "heureux" et "l'était encore". Il s'ouvre enfin à nous et nous montre un être moins dur que dans l'incipit.
En effet, c'est la seule partie du roman ou celui-ci nous dévoile vraiment ses pensées et ce qu'il ressent. Il se confie aux lecteurs.

Pour conclure, on pourra alors constater que Meursault n'est plus que à quelques heures de sa mort et que celui-ci en ferai presque un événement. Il se dévoile enfin aux lecteurs et exprime enfin ce qu'il ressent, ses sentiments à lui. On remarquera aussi qu'il nous parle de sa mère et que de la manière dont il en parle, on sent que celle-ci était bien plus importante pour lui que ce qu'il nous a montré au cours du roman.

122. Le 02 octobre 2014, 17:55 par William

Le passage qui nous est proposé est extrait de « l'Etranger », une œuvre de Meursault écrite en 1942. Cet extrait se situe au dernier chapitre de la deuxième partie et correspond donc à l’explicit du livre. A travers ce passage, l'auteur aborde le thème de la justice, de la peine de mort et de la réaction de Meursault face à cet événement. On y découvre Meursault, songeur, à quelques heures de son exécution. A la lecture de ce texte, le lecteur est frappé par ce personnage qui ne réagit pas comme on pourrait l'imaginer. On peut donc se demander quelles sont les raisons qui le poussent à avoir ce comportement.
Tout d'abord, on parlera de la réaction de Meursault face à sa mort imminente, et enfin de la vision du monde à travers ce personnage mystérieux.

Meursault ne réagit pas comme toutes personnes réagiraient face à l'annonce de leur mort. En effet il considère sa mort comme une renaissance " Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre ", les mots utilisés sont doux, il n'y a aucune haine ou colère même si il va mourir. On peut relever une hyperbole, car il se sent prêt à tout revivre, «  tout » est exagéré, se sent-il réellement prêt à revivre toute son existence ? Le sujet triste comme la mort semble tourné d'une façon plus douce. Grâce à cet événement il pourra être vu " Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine". Il a envie d'être accueilli, comme si c'était une grande personne, finir sa vie entouré de personne présente pour lui. Seul «  exécution » et « cris de haine » sont là pour rappeler la triste fin. Cette phrase paraît plutôt apaisante, avec un rythme fixé par la ponctuation, la répétition de «  pour que » et du son «  ou » qui est assez présente. Cette allitération donne une certaine musicalité à cette phrase, Meursault dédramatise sa mort, le lecteur ressent moins la tristesse car Meursault se sert de sa mort pour se libérer. On ressentirait presque de la joie pour lui. Ce passage lui permet de réfléchir à la vie, à sa vie.

Il a une vision du monde qui est presque idyllique lorsqu'il dit " merveilleuse paix de cet été... " " je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage ". On y trouve une dimension poétique dans ces phrases, Meursault utilise des termes connotés positivement «  merveilleuses paix ». La métaphore présente dans «  je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage » renforce ce coté poétique. Cela permet au lecteur de visualiser l'état d'esprit qu'à Meursault avant sa mort . Il y a donc une sorte d'antithèse entre ce monde idyllique et son exécution qui va suivre. Il découvre la beauté du monde en prenant son temps, juste avant d'en finir. Ce changement d’attitude serait dût à son exécution qui lui donnerait un sentiment de libération comme pour pouvoir quitter ce monde monotone. Cette façon de voir le monde donne un coté d'euphémisme pour le lecteur qui sera moins brutalisé par la mort de Meursault. Il atténue cette idée d'exécution.

       On peut interpréter ceci par le fait que pour Meursault, un autre monde s'est déjà ouvert à lui. Ceci expliquerait que cet excipit soit d'avantage positif et utilisant des termes et des phrases d'une certaine douceur. Tout au long du livre on découvre qu'il a sa propre façon de penser, mais ici elle est encore plus accentuée car ses réactions face à cette péripétie ne sont pas communes. Il considère sa mort comme un événement mais fait une antithèse avec un monde merveilleux, car pour lui ce n'est pas une mort mais une renaissance. Cette idée est reprise par Ferrandez, un auteur aillant fait une adaptation de cette œuvre en bande dessinée. Dedans, l'explicit se finit par une idée d'ouverture, s'éloignant petit à petit et donnant l'image d'un ciel étoilée, la renaissance est présente.
123. Le 02 octobre 2014, 17:55 par SarahB

Le texte de l’Etranger écrit par Albert Camus parut en 1942, mettant en scène un personnage se prénommant Meursault, ce dernier apprend la mort de sa mère par un télégramme. Le passage qui nous est proposé est extrait de l’explicite. Cet extrait traite du thème d’un homme se prénommant Meursault qui est sur le point d’être exécuté pour le meurtre qu’il a commit. Dans cette extrais on y découvre un homme qui en prison reprend coût a la vie. Le lecteur est d’emblée frappé par la manière dont Meursault attend la mort.

On peut donc dégager un enjeu essentiel dans ce texte qui est le changement de comportement de Meursault. Au début du livre Meursault semble indifférent a tout ce qui se passe autour de lui, a la mort de sa mère. « Pour la première fois depuis bien longtemps, j’ai pensé a maman » Cette phrase est douce, tendres et le mot ’maman’ montre qu'il est encore un jeune garçon dans sa tête c'est en quelque sorte une marque d’affection qu'il porte pour sa défunte mère, ce mot en particulier rend cette phrase douce et affectueuse de plus on ressent de la tendresse pour ce dernier car il nous fait part de ce qu'il pense, ce qu’il ressent. Cette phrase a une structure musicale avec les rimes " longtemps " -"maman ". Cette phrase représente bien le changement de position de Meursault.

Toujours dans l’optique d’étudier le changement de comportement de Meursault, il est clair que d’après les précédents paragraphes, il a ôté son masque d’indifférence pour faire place a un Meursault plus expressif.

Ce dernier souhaite que son exécution soit en quelque sorte un spectacle " espérant qu'il y est beaucoup de spectateurs le jour de son exécution et qu'ils l’accueillent avec des cris de haine " il nous fait part d'un aspect positif de la mort et non négatif, ce qui est surprenant venant de Meursault. Il espère qu'il y aura du monde présent le jour de son jugement dernier ce qui nous montre qu'il n'a pas une vision de la mort pas si indifférente que ça et qu'il souhaite mourir face a des "spectateurs" et non seul face a lui même. Peut être justement qu'il ne veut pas se retrouver seul face a lui même mais au contraire face a un public.

Pour conclure, on a l'impression qu'il prépare sa propre mort. Il nous donne l’impression qu'il veut être seul lors de son exécution, mais cependant on constate qu’il change d'avis car au contraire, il veut qu’on se souvienne de lui.

124. Le 02 octobre 2014, 17:56 par Antoine

Nous allons nous interesser a l'oeuvre « L'Etranger » ecrite par Albert Camus et publié en 1942. Nous allons parler de l'explicite de cette œuvre où nous decouvrons un Meursault different. En effet le changement de comportement du personnage est très marqué entre le début et la fin c'est pourquoi nous allons étudier l'étrange changement de comportement de Meursault et entre autre celui sur sa mere.

Premierment a la fin du livre nous découvrons un autre Meursault, car dans l'incipit le personnage principal était quelqu’un de réservé plutôt inexpressif et indifférent, racontant sa vie de manière breve et ferme. Nous pouvons le voir avec des phrases courtes et qui vont droit au but "Aujourd'hui, maman est mort." « Aujourd'hui » place le cadre temporel et « maman et morte » est un paradoxe (le mot maman est doux et morte est un mot très brusque) qui fait rentré le lecteur dans le vif du sujet. Tandis que dans l'explicite, Meursault ce libère il est heureux et a envie d'évasion, le lyrisme bucolique renforce cet aspect avec par exemple : "des bruits de campagnes" , "des odeurs de nuits de terre". Les phrases sont plus longues plus expressives (et certaines rimes entre elles) notament avec « Pour la premiere fois depuis bien longtemps, j'ai pensé a maman » « pour la premiere fois depuis bien longtemps » insiste sur le fait que Meursault avait une relation avec sa mere tres disstante. « j'ai pensé a maman » Meursault pense a sa mère il ce rememort surement les peux d'instants passé avec elle.

Nous venons de voir que Meursault à changé vis a vis de sa mere mais aussi dans la maniere de s'exprimé,il nous laisse a nous lecteurs, la possibilité d'etre son confident.

Au fil de l'explicite Meursault se confie petit à petit aux lecteurs, on peut percevoir ses pensées lorsqu'il parle de sa mère. Il l’appelle "maman" signe qu'il éprouve des sentiments vis a vis d'elle. Sa mère est au centre de l'explicite notamment avec : "Et moi aussi, je me suis senti près a tout revire." dans cette phrase nous pouvons remarquer qu'il s’identifie à sa mère, il nous laisse entrer dans son intimité il nous fais pars de ses sentiments avec "je me suis senti a tout revire" il ce libère, nous sommes pour sûr son confident.

Dans ce paragraphe nous avons vus comment Meursault ce confié au lecteur et la gradations du point du vue de sa mere, il finit par la comprendre.

Au début de l'incipit Meursault voyait la mort de sa mère comme une affaire classée quelque chose qui devait arrivé mais au quel, il n'apporterait pas plus d'importance que ça. Tandis que dans l'explicite il change de point de vue vis a vis de sa mère il la comprend :"Il me semblais que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un "fiancé" pourquoi elle avait jouer a recommencer." cette phrase est douce, surement grâce aux verbes conjugués à l'imparfait qui est la pour décrir ces pensées et au passé simple. Il ce remémore sa vie chose qu'il n’aurait jamais fait au début du livre.

Pour conclure nous pouvons dire que Meursault a apprit de la vie, un peux tard, mais il quittera ce monde serain et heureux.

125. Le 02 octobre 2014, 17:56 par Erwan

COMMENTAIRE :

   L’explicit extrait de L’étranger a été écrit par Albert Camus en 1942. Le passage qui nous est proposé est extrait de L’étranger et se situe au dernier chapitre à la fin du livre. Cet extrait parle de Meursault qui est sur le point de mourir. Dans cet extrait, l’auteur développe l’idée selon laquelle la mort n’est pas une tragédie mais plutôt une  délivrance, un renouveau, expose sa vision de la mort. Le lecteur est d’emblée frappé par l’indifférence de Meursault à l’approche de la mort. On peut donc dégager un enjeu essentiel dans ce texte : le comportement de meursault face à la mort. C’est pourquoi on pourra commencer par parler de l’attitude et des sentiments de meursault. Dans un second temps on mettra en évidence le fait que Meursault n’est plus indifférent au monde qu’il va bientôt quitter, qu’il pense à sa mère.
   On pourra parler  de l'étrange changement de comportement de Meursault à l'approche de la mort. Meursault a toujours fait preuve d'indifférence. A l'approche de sa mort, il semble particulièrement calme et serein : " Lui parti, j'ai retrouvé le calme." "La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée." Cette phrase est douce et calme, mais elle est rythmée. Cette citation montre le contraste entre le sentiment de paix et de plénitude. Le mot "marée" co-note l'envahissement, cette vague qui le submergé de ce sentiment de paix. Il ne lutte pas, il reste paisible. Cette phrase inspire la tranquillité et le bien être. A ce moment où il est si proche de sa propre exécution, qu'il approche paisiblement et sereinement. "Qu'il y ait beaucoup de spectateurs (...) qu'il m'accueille avec des cris de haine.", on trouve dans la phrase une répétition de "Qu'il" qui laisse paraître une ressemblance entre les deux parties de phrase. Coupées en deux par "Et", on a l'impression qu'on retourne à "Et lui partit", comme si tout tournait en rond dans sa cellule.
   Et lui qui était si indifférent au monde qui l'entourait jusqu'à présent, semble être moins indifférent à ce monde qu'il va quitter à jamais : " je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. ". "Si près de la mort, maman devait si sentir libérée et prête à tout revivre". Cette phrase est coupée en deux, une partie parle de "la mort" et l'autre parle de "revivre". Il y a un paradoxe entre la fait de mourir et de tout revivre. Cette citation montre bien que Meursault ne voit pas la mort comme une fin mais comme un renouveau. Il devient pensif à propos de sa mère, il n'y avait plus pensé depuis longtemps et il vient à se rendre compte de tout ce qui a pu mener sa mère à un quelconque bonheur par une tentative de renouveau. « pour la première fois depuis bien longtemps, j’ai pensé a maman" cette phrase est douce,tendres et le mot ’maman’ montre qu'il est encore un jeune garçon dans sa tête c'est en quelque sorte une marque d’affection qu'il porte pour sa défunte mère de plus on ressent de la tendresse pour lui car il nous fait part de ce qu'il pense. Pour lui l'approche de la mort est une source de bonheur plus que de malheur, il pense que sa mère ressentait la même chose. Il pense à sa mère et contrairement au début il commence à regarder la mort de sa mère d'un autre œil. Il réalise qu'il a été heureux alors qu'il était dépourvu de sentiments durant toute l'histoire. C'est au moment de le quitter qu'il s'ouvre au monde qui l'entoure. Pour lui la mort n'est pas tragique comme pourrais penser le lecteur, c'est une sorte de renouveau : " Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre". Il est prêt à recommencer une nouvelle vie. Pour qu'il se sente moins seul, il souhaite que le monde entier le voie mourir. Et " qu'ils m'accueillent avec des cris de haine ".
   Pour conclure on pourrait dire que Meursault a vécu une mort heureuse. On aurait dit qu’il accueillait la mort à bras ouvert. Il était « prêt à tout revivre ». A la fin de cet œuvre il n’est plus indifférent au monde contrairement au début de l’œuvre, alors qu’il est sur le point de quitter ce monde qui lui était « indifférent à jamais ». Il ne veut pas une mort banal, il veut qu’on l’accueil avec « des cris de haines ».
126. Le 02 octobre 2014, 17:56 par Nabil B

Le livre l’Etranger a été écris en 1942 par Albert Camus. Le passage qui nous est proposé est l’explicit. Dans se passage on apprend la condamnation a mort du personnage principale, Meursault. Lors de ses derniers moments on observe son changement de comportement. Lui qui ne dégageait que peu de sentiment, y comprit envers sa mère. Meursault comprend maintenant sa mère, Pourquoi son changement de comportement maintenant près de la fin ?

Tout d’abord on voit Meursault comme on ne la jamais vu, il renvoi une impression assez étrange. A travers sa manière de penser il renvoi une image plus humain. On vois qu’il ne veut pas mourir mais qu’il accepte son choix il qu’il veut revivre. Meursault suit un parcours parallèle a celui de sa mère « Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre» ce passage montre la tragédie qui va suivre.

Malgré tout on peut penser que Meursault récent tout de même une certaine tristesse intérieur même si il ne le montre pas vraiment il a l’air indifférent cependant il n’est plus maître de sa vie et de tout ses choix. On voit qu’il accepte son destin « il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution » il souhaite même des cris de haine.

Meursault s’ouvre enfin il devient plus pensif, on le trouve plus proche que jamais de nous lecteur.

127. Le 02 octobre 2014, 17:56 par Quentin

L'explicit extrait de l’Étranger a été écrit par Albert Camus en 1942. Camus est un romancier-philosophe qui est né le 7 Novembre 1913 en Algérie, c'est un auteur engagé dans la résistance française. L’œuvre de l’Étranger est donc engagée contre la justice et la peine de mort ici. Ce passage qui nous est proposé se situe à la fin du chapitre V de la deuxième partie. Ce texte montre les pensés de Meursault le personnage principal avant de mourir, à travers ce texte il parle de sa mère décédée au début du roman. Ce texte peut apporter au lecteur une certaine tristesse.
Nous pouvons donc dégager un enjeu essentiel dans le texte : le radical changement de comportement de Meursault. Nous allons d'abord étudier ce changement à travers les sentiments du personnages plus présents dans ce texte que dans l'incipit, puis le ressenti qu'il possède vis à vis de sa mère qui est différent par rapport au début.

Nous pouvons voir que le comportement du personnage principal Meursault change au cours du texte. En effet, nous observons que les idées présentes dans l'incipit sont brèves. Aucune pensée de Meursault y est présente. Tandis que dans l'explicit les pensées de Meursault sont plus précisent. Meursault nous dévoile même ce qu'il ressent "Et moi aussi je me suis senti prêt à tout revivre (...) j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'était encore ". Cette citation est importante dans le texte car elle nous fait comprendre que Meursault est prêt à mourir. Cette partie du roman ou Meursault se dévoile est inédite.

Nous remarquons que Meursault parle de sa mère, ce qu'il ne faisait pas au début du roman "j'ai pensé à maman". Cette phrase du texte contient le mot "maman" qui est un mot familier, affectueux et tendre, ce mot nous montre bien que Meursault appréciait sa mère. Il parle de sa mère une seconde fois dans le texte "Il m'as semblé que je comprenais pourquoi (...) maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre". Cette longue citation que Meursault accorde à sa mère accentue le fait qu'il n'est pas indifférent comme il pourrait y paraitre dans l'incipit à la mort de sa mère.

128. Le 02 octobre 2014, 17:57 par Julie C

Le texte est l'explicit extrait du roman « L'étranger » qui à été écrit par Albert Camus en 1942. Cet extrait traite du thème d'un homme, Meursault, qui perd sa mère et qui l'apprend par télégramme. Cela ne semble pas le toucher, comme tout ce qui l'entoure. Il agit dans la société, tel un Robot. Tout au long du livre il fait des rencontres innatendu qui le mèneront a commaitre un meurtre, c'est d'ailleurs pour cela qu'il ce retrouvera en prison et y sera condamné a mort. Là-bas, son changement de comportement sera flagrant, tout comme son ressenti face à sa mort qui approche. A travers cette œuvre engagé, dans cet extrait l'auteur dénonce la justice. Le lecteur est d’emblée frappé par la réaction du personne principal face a la mort, il peut ressentir à la lecture de ce texte, un choc, face a une tel réaction. Cependant en le lisant, nous le comprenons.
Il semble donc que le texte s'oriente autour de la problématique suivante: Pourquoi ce changement de comportement de Meursault, et pourquoi cette réaction face a la mort ?
C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord s’intéresser à son comportement au début du texte, se demander comment peut être possible un t-elle changement. Dans un deuxième temps on annalysera son «nouveau » comportement, nous mettrons en évidence celui qu'il est devenu mais aussi son comportement face a une mort qui ce rapproche. Enfin nous expliquerons pourquoi cela à été possible.

Dans l'incipit, Meursault est un homme qui semble ne rien ressentir, il est indifférent a tout, il semble même soumis a la société qui l'entoure. Ce caractère nous est renvoyé par des phrases courtes et brèves de sa part. Face a l'annonce du décès de sa mère, il ne réagit pas, il dit qu'après son enterrement se sera une «affaire classée», il s'excuse même a son patron de devoir rater deux jours de travails pour participer aux funérails, ce qui semble d'ailleurs absurde.

Toujours dans l'optique d'étudier le changement de comportement de Meursault, il est clair que dans les prochains paragraphes il à ôté son masque d'indifférence.

Le comportement de Meursault change tout au long du texte. Dans l'explicit, il s'ouvre enfin au lecteur. "j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore" pour la première fois Meursault dit être heureux, et l'avoir été, ses phrases sont plus longues, il s'exprime enfin, il parle même de sa mère, lui qui disait qu'après son enterrement ceci serait "une affaire classée", "pour la première fois depuis bien longtemsp j'ai pensé à maman" il emploie un vocabulaire plus familier, il l'appelle même "maman","si près de la mort, maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre" il emploie des mots qui nous renvoie une sentation de calme, ce qui change des évènements ce passant tout au long du texte, il le dit d'ailleurs "comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé d'espoir", il est à présent plus sereint, et nous avons enfin l'impression de le connaitre. "La merveilleuse paix de cette été endormi entrait en moi comme dans une marée", Meursault n'à jamais été si explicit, tout ses mots semble avoir un sens positif, comme "merveilleuse", tout semble joyeux autour de lui ce qui peut paraître étrange en sachant ce qui va lui arriver quelques heures plus tard. Meursault va mourir, une situation qui doit attirer la tristesse, la peine, mais qui pourtant attise en lui tout le contraire, c'est à ce moment là de sa vie qu'il s'ouvre le plus, qu'il dit être heureux, il est soulagé.

Tout ses évènements semble l'avoir complètement changé, comme dit précédemment «comme si cette grande colère m'avait purgé du mal », il est enfin libre, heureux, et près a mourir. Il attend sa mort, se sera pour lui un soulagement.

129. Le 02 octobre 2014, 17:58 par Aurélien

Le texte de l'explicit est extrait de « l'Etranger » qui a été écrit par Albert Camus en 1942. L'oeuvre est une œuvre engagé contre la Justice injuste et la peine de mort. L'explicite se situe au chapitre 5 de la deuxième partie. La fin du texte parle d'avant l'exécution de Meursault, où après d'être énerver sur l'aumônier, il redeviens calme et même se libère du poids de la vie en acceptant de tout revivre et donc accepte sa propre mort. Donc ce passage présente donc un double enjeu qui est la mort de Meursault et de savoir s'il est heureux de mourir. C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord examiner qu'il veut partir et comprend sa mère quand elle est parti tout revivre, qu'il est impatient de partir comme un enfant qui impatient d'avoir un cadeau. Puis dans un deuxième temps, on mettra en évidence que Meursault n'a pas peur de la mort, qu'il est même heureux. Enfin, il sera possible de parler de la solitude ou pas de Meursault.

En effet, pour Meursault, la mort n'est pas une fin en soi mais plutôt une renaissance comme il le dit en pensant à sa mère "pourquoi elle avait jouer à recommencer" et il est même heureux de partir de ce monde qui est, pour lui, indifférent. Car dans « Elles annonçaient des départs pour un monde qui m'était à jamais indifférent », les mots principaux sont « départs », « mondes », « indifférent » qui sont des mots neutres mais Camus en rajoutant la négation « m'était à jamais » transforme cette citation en une expression dure comme pour dire qu'il ne veut plus avoir de problèmes ou avoir à faire avec ce monde. Le rythme de cette citation est irrégulier mais a un côté poétique. Le mot « départs » fait comme s'il se trouvait dans un port, un aéroport ou une gare et qu'il était prêt à embarquer, cela donne au lecteur un sentiment de voyages, de changements, … Enfin les verbes « annonçaient » et «m'était » sont tournés à l'imparfait comme pour dire qu'il est déjà parti, qu'il est déjà monté dans le train, l'autobus ou le bateau ce qui donne le sentiment qu'il a déjà tout revécu et qu'il est déjà monté sur l'échafaud. Nous avons vu, dans ce paragraphe que Meursault est comme un enfant impatient de partir et un voyageur qui déjà parti, où même qu'il est dans le train ou le bateau ou ...

Le lecteur s'attend à ce qu'il est peur de la mort, mais non lui il souhaite « qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution » et « qu'ils l'accueillent avec des cris de haines », ces deux citations commencent par « qu'il », elles sont positives et se terminent pareille, mais la citation est comme tranchée par le « et », cela rappelle « Lui parti, j'ai retrouvé le calme », normalement cela devrait donner un rythme irrégulier mais à cause du « et » cela en fait un rythme régulier. Enfin, cette citation est écrite pour donner l'impression qu'il y en a deux et que la première est positive et la deuxième négative comme pour dire que Meursault est toujours vivant dans notre monde et que dans la deuxième il y est mort. Il veut mourir au calme alors que dans la dernière phrase du texte il dit qu'il veut « beaucoup de spectateurs, qu'ils l'accueillent avec des cris de haines » : donc on est frappé par cette contradiction. Nous avons remarqués que Meursault change de comportements immédiatement entre le paragraphe avec l'aumônier et celui sans l'aumônier car il est plus calme quand il accepte la mort.

Le lecteur a l'impression que Meursault veut mourir seul comme s'il ne pouvait supporter que toute sa vie soit programmée, à tel point qu' il ne voulait que personne ne l'aide même pas le lecteur qui suit son histoire comme le témoigne « Lui parti, j'ai retrouvé le calme », où la citation est coupée en deux, la première partie est « Lui parti », qui est une phrase nominale sans verbe mais juste un pronom et un participe passé tandis que la deuxième partie est « j'ai retrouvé le calme » où là c'est une phrase verbale avec la première personne, le verbe avoir, un participe passé suivie d'un nom et son déterminant, séparé par une virgule donc c'est un rythme régulier, comme si Camus voulait séparer deux parties/paragraphes, comme si Meursault changeait de comportement, En effet, il passe d'un état où il parle beaucoup avec l'aumônier à un état où il ne dit plus rien, ce fait est accentué par la coupure nette entre l'expression «lui parti» et le mot « le calme ». On a l'impression que le départ de l'aumônier fait qu'il accepte la mort. Encore une autre contradiction. Nous avons vu que Meursault au début, il veut mourir seul et à la fin il veut qu'on se souviennent de lui.

Pour conclure, on a l'impression qu'il prépare sa propre mort et qu'il veut être seul puis il change d'avis car il veut que le lecteur se souvienne de lui, c'est comme s' il n'arrivait pas choisir entre deux idées de fin. Cela rappelle la fin de la BD de Ferrandez où à la fin le plan s'ecarte de Meursault pour regarder le ciel etoilé.

130. Le 02 octobre 2014, 19:15 par Alexis.G

Le texte présenté est extrait de « L'Etranger » d’Albert Camus, paru en 1942. L'œuvre de Camus se caractérise par deux thèmes principaux celui de l'absurde et celui de la révolte conçu par le spectacle des crimes engendrés par les hommes. Dans L’Etranger, Camus présente un homme dont les circonstances vont amener à commettre un crime et qui assiste indifférent, à son procès, et à sa condamnation à mort. Ce tragique épisode correspond à la partie 2 du roman.

   Nous allons donc parler de ce que l’on peut ressentir à la lecture de ce texte, de l'indifférence de Meursault face à sa mort qui se rend compte du caractère éphémère de la vie.

   Dans un premier temps, nous évoquerons l'effet d’indifférence que nous montre Meursault face à sa mort, en second lieu, ses sentiments vis-à-vis de sa mère enfin il conviendra de parler du caractère éphémère de la vie, de cette liaison parallèle entre Meursault et sa mère.
   Tout d’abord, nous voyons de suite que Meursault déteint sur nous un effet d’indifférence, assez flagrant.
   Le jour de son procès, celui-ci se trouve exclue, lorsqu’il veut prendre la parole son avocat lui ordonne de se taire « Taisez-vous, cela vaut mieux pour votre affaire » Meursault obéit sous l’emploi péremptoire de son avocat comme en témoigne l’emploi de l’impératif. Meursault se sent isolé, perdu comme l’en témoigne les verbes de perceptions «  me gênait », « j’ai mis du temps à comprendre », « je ne comprenais pas ». Meursault semble étranger au procès d’autant plus qu’il ne s’y intéresse même pas ! Bien que notre héro essaye de suivre « il est toujours intéressant d’entendre parler de soi », « moi j’écoutais et j’entendais » notre ami ne se reconnait pas dans le portrait criminel qui est fait par le procureur et se lasse de cette situation. Pour ce qui est de sa propre mort, Meursault à l’air, plutôt ironique : "Qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m’accueillent avec des cris de haine". En effet celui-ci reste indifférent à toute sorte de sentiments, et nous donne l'impression qu'il est une machine.
   Pour continuer, nous allons démontrer que Meursault ressent des sentiments vis-à-vis de sa mère.
   Notre héro devient pensif à propos de sa mère, il voulait enterrer l’affaire, cependant, « Pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman » A ce moment, Meursault se rend compte de tout ce qui a pût faire et pût dire à propos de sa mère. A un quelconque bonheur, par le biais d’une tentative de renouveau. "Pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman", Meursault est très affectueux à son égard, "Maman", la phrase est coupée d'une virgule, comme si Meursault reprenait son souffle.
   Enfin, nous allons parler du caractère éphémère de la vie, de cette liaison parallèle entre Meursault et sa mère.
   "Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre". Ce n'est pas une fin, mais au contraire une renaissance, tout comme ça mère : Meursault vit, Meursault voit, Meursault comprend. Leurs deux destins sont tragiques, parallèlement similaire : Meursault qui est enfermé dans une prison à attendre son exécution, ça mère dans un asile qui n’avait que quelques temps à vivre.
   Cette partie de L'Etranger présente un personnage en apparence assez simple mais qui devient de plus en plus complexe au file du roman. Sa super sensibilité aux éléments, sensations, et à sa vision confuse du monde annoncent une fin tragique. Comme le dit le titre, Meursault est étranger au monde il ne mesure pas la portée des événements.
131. Le 08 octobre 2014, 22:11 par Alexis.G

J'ai préféré le commentaire de Nabil, pourquoi ?
Il est tout simplement, direct et bref. Les éléments sont là, et la question et bien reprise dans l’introduction. Le « parcours parallèle à celui de sa mère » est un caractère important à énumérer, ici dans le texte de Nabil il est bien mis en avant. Il reprend donc tous les éléments important pour traiter un commentaire sur la fin de l’étranger, cependant il manque de po-finement et à mon avis, de temps. Cordialement.