Lecture cursive de l'etranger: le procès de Kafka.

Si le début de cette oeuvre était une couleur, ce serait...

3 arguments attendus.

Commentaires

1. Le 28 septembre 2014, 14:57 par Julie C

Si le début de cette oeuvre était une couleur ce serait le noir car je n'ai rien lus de positif, tout semble sombre et triste. De plus dans les premières pages l'auteur décrit un paysage de nuit, le ciel sombre, les étoiles, la lune.. "Partout brillait le clair de lune". Enfin, K. doit porter obligatoirement, a un moment du livre, un costume noir.

2. Le 28 septembre 2014, 17:15 par Charlotte

Pour moi le début de ce texte est gris. Entre le noir et le blanc car je trouve qu’il se base sur l’absurdité. Je le trouve ABSURDE et quelque peu dénué de sens. Le personnage Mr. K. est arrêté. Personne ne sait pourquoi, pas même les gardiens, l’inspecteur et Mr. K.. De plus, le raisonnement de certains personnage lors de certaine situation n’as aucun sens et je me suis plusieurs fois posé la question « POURQUOI ? ». Pour moi ce texte est le lieu d’un combat entre : la compréhension, l’absurdité, l’incohérence, et la logique. Alors pour moi ce début est gris.

3. Le 28 septembre 2014, 18:24 par William

Si le début de ce roman était une couleur, la couleur serait : Gris.
J'ai choisis cette couleur car K. semble perdu à travers la lecture de ces premiers chapitre. Le gris est une couleur entre le blanc et le noir et justement tout n'est ni blanc ni noir dans ce début d'histoire. Soit c'est blanc : K. et Mlle. Bürster, soit c'est noir : K. se fait arrêter sans savoir pourquoi.
Gris parce que le caractère de K. semble lunatique. Il n'a pas le même caractère avec le capitaine, avec Mme. Grubach ou Mlle.Bürster.
Et gris car son histoire avec Mlle.Bürster semble s'annonçait mouvementée avec des hauts et des bats.

4. Le 28 septembre 2014, 21:00 par Allan

Pour ma part se début de texte aurait été de couleur gris ou noir mais j'opte pour le Rouge.
En effet ,celle couleur représentative de la mort m'évoque plus de liens avec ce debut de texte oû l'incomprehension est certe présente mais nous voyons que cela touche Mr K qui parait perturbé et blessé par cette arrestation et par tout les doutes qui pesent sur lui, cela lui arrive comme "une fleche en pleins coeur" en effet cette acte arrive de nul part et sans justification on l'accuse presque pour une chose dont il n'a aucune idée et attaque directement le personnage principal .

5. Le 29 septembre 2014, 15:03 par Gladys

Si le début du roman étais une couleur se serait le gris.

J'ai choisis cette couleur car c'est une couleur entre le blanc et le noir et cela désigne bien le roman car on ne sait pas trop quoi pensé, K. semble autant perdu que nous, tous tourne autour de l'incompréhension et l'absurdité, personne ne sait les raisons de son arrestation. Ensuite K. fréquente plusieurs femmes avec qui il entretient des relations différentes puis j'ai comme l'impression que " une fois c'est blanc, une fois c'est noir " puis le début du livre est basé sur des interrogations auquel nous n'avons aucune réponse et le gris est une couleur qui peut désigné le désarroi ce qui correspond bien a K.

6. Le 29 septembre 2014, 16:25 par Segretin

Si le début de ce roman était une couleur, la couleur serait le gris.
J'ai choisis cette couleur car la situation est flou. On ne sais pas pour K est arrêté personne ne saient.
Le gris représente aussi le changement de caratere de K d'une personne à l'autre.

7. Le 29 septembre 2014, 17:46 par Aurélien

Pour moi, le début du " Procès " de Kafka, est représenté par la couleur "gris" car

- Aucun personnage ( K, inspecteurs, brigadier, ...) ne savent rien sur l'affaire, même sur l'histoire.

- Mr. K est désorienté par cette histoire donc le lecteur est désorienté.

- Enfin, l'histoire se passe principalement toujours dans un environnement diurne et urbain ( dans une ville, l'immeuble de K et les autres, la banque où travaille K et ses 3 collectes, ...), mais aussi noir ( environnement nocturne), K est presque souvent dans une pièce obscure avec un trait de lumière qui entre par la porte.

8. Le 29 septembre 2014, 17:51 par Xavier.C

Si le début de ce roman était une couleur, ce serait le gris car nous sommes dans l'incomprehension. Il est arrêté pour une raison inconnue de tous.
Tout est négatif, au début du roman, l'auteur décrit le seine comme sombre, triste. Rien ne me fait penser a la couleur
le gris est un mélange du blanc et du noir, pour montrer d'un Coté sa relation avec mlle bürster et le fait qu'il soit arrêté pour une raison inconnue

9. Le 29 septembre 2014, 18:11 par Léa

Pour ce début de texte j'opterais comme plusieurs l'ont fait pour le gris. J'ai choisi cette couleur car elle oscille entre le blanc et le noir tout comme le texte qui n'est ni blanc ni noir. Il est dur d'exprimée quelque pensé qu'il soit à propos de ce texte, qui pour moi me fait posée une simple question : pourquoi ?
K. est arrêté sans savoir pourquoi et personne n'est capable de lui en donner la raison voilà une première situation "entre deux".
Le personnage principal est lunatique on peut le constater avec son comportement au près de Mlle Bürster par exemple.
Le roman commence par l'arrestation de K. qui est enfermé a l'intérieur de son appartement , presque cloitré dans sa chambre , puis lorsqu'il rentre de son travail plus personne n'est sur les lieux et ses vas et viens ne sont aucunement surveillés.

10. Le 29 septembre 2014, 18:15 par Agathe

Personnellement, si le début de ce texte serait une couleur ce serai le gris.
Tout simplement car le début de l'oeuvre est une sorte de brouillard. On ne comprend pas pourquoi Mr.K est arrêté ni personne d'ailleurs. On peut être troublé et "gêné " par ce début d'oeuvre. La question que je me suis posé le plus est " pourquoi?" car personne ne connait la vrai cause de l'arrestation de Mr.K. Le gris est aussi composé par du blanc, et je dirai que le blanc représenterai la relation entre Mr.K et Mlle Bürster.

11. Le 29 septembre 2014, 18:25 par Maxime F

Si le début du texte était une couleur, pour ma part, ce serait le gris.
Tout d'abord, Mr K est arrêter et on ne sait pas pourquoi ? Donc pour moi le gris est signe d'incompréhension car c'est un mélange de blanc et de noir.
Ensuite, Mr K est lunatique, il n'a pas le même caractère avec les personnages,par exemple son caractère est différent avec le capitaine qu'avec Mlle Burstner.
Pour finir le gris est une couleur assez apaisante et calme, et pour moi en tant que lecteur je trouve que la réaction de Mr K quand il se fait arrêter, est relativement calme.

12. Le 29 septembre 2014, 18:40 par Maël

Je choisis la couleur "noir " pour ce début du " procès " de Kafka . Je choisis cette couleur car le début du livre est très mystérieux : - les agents qu'ils arrêtent sans lui dire la raison .
- Le nom de famille du personnage principal Joseph est " K " juste une lettre . ( peut être un rapport avec Kafka lui même ? )
K. est un personnage " perdu " entre son arrestation et sa convocation au tribunal et ses relations avec les femmes avec " Mme Bürster " qui ne l'aident pas. La date du procès est vague , son arrestation est vague . Dans ce début de livre , rien n'es vraiment précis .

13. Le 29 septembre 2014, 18:58 par Thomas K.

De mon point de vue si le début du roman serrait une couleur se serrait le gris.
Le gris, car le personnage de Mr K. ne fait que répondre de manière simple et brève, comme si le personnage semblait désabusé par les événements qui lui arrive.
Il y a aussi l'environnent qui m'influence sur ce choix, c'est à dire que la description des pièces où Mr K. va, ne sont pas décrite de manière précise ce qui me donne une impression de vide.
Enfin, la tenue que Mr K. qui porte pour se faire interroger est un simple veston noir, cela peut sembler étrange mais le noir, comme le gris est une couleur froide qui fait penser à la solitude.
Tout sa pour dire que le gris est une couleur toute à fait représentatif du début du roman car cette couleur se mélange parfaitement avec l'attitude de Mr K. qui est froid, et de son environnement qui semble vide et sans ambiance.

14. Le 29 septembre 2014, 19:46 par JulieA_1es2

Si cette partie était une couleur se serait une sorte de bleu foncé ou dans tout les cas une couleur sombre qui reste assez froide.
Pour moi ce ne serait pas le noir, le noir devrais être assimilé avec un texte vraiment très sombre,brutal, froid, tragique ... quelque chose avec un côté triste ou violent. Je ne trouves pas que ce texte soit si sombre pour être désigné par du noir.

Tout d'abord je choisis une couleur froide car c'est loin d'être une lecture qui m'ai parus joyeuse, plaisante ou autre. Donc aucune couleur chaude ne convient, personnellement je trouve que même l'histoire reste fade, et froide. L'histoire ne bouge pas, c'est farfelues, ennuyant et si long pour raconter une seule chose UNE ARRESTATION DONT ON NE CONNAIT PAS LA CAUSE.
C'est vrai, autant de page pour dire ca? Aucun suspens, aucun intérêt de lecture on tourne toujours "autour du pot" , j'attendais avec impatiente toute sorte de révélations qui ne sont jamais venues. J’espère que la suite seras beaucoup plus prenante et que mes impressions négatives vont s'envolé. Je conclus en disant qu'une couleur froide du bleu foncé ou même du violet convient à ce texte car mes ressentis vis à vis du texte sont froid c'est à dire négatif.

Parallèlement j'ajouterais qu'une seule chose dans ce texte pourrait éventuellement être qualifié comme rouge donc une couleur chaude, car on peut s’apercevoir d'une relation amoureuse entre K. et Mlle. Bürster qui pourrait "peut être" se crée par la suite. Et quoi de mieux que le rouge pour qualifié l'amour?! Cependant pour ma part je pense que cette relation qui serait possible seras gorgé d'obstacle donc rien de très beau ou à l'au de rose. Donc également le rouge pour le sang qui serait assimilé aux obstacles à surmonter ou qui stopperait tout.

15. Le 29 septembre 2014, 19:59 par manon

Si le début de ce livre était une couleur, pour ma part ce serait le noir.
Tout d’abord parce que le personnage principal semble perdu, aveugler par ces actions qui se passent tellement vite, comme s'il était dans un trou noir, sans recours, démunie, sans pouvoir contourner son destin qui est d’être arrêter alors que cela est totalement dénuer de sens. C'est pourquoi je pense que le noir représenterait très bien ce début de roman, car rien ni personne ne montre une once de bonheur.

16. Le 29 septembre 2014, 20:14 par Amandine

Si le début de cette oeuvre était une couleur, ce serait du noir.
En effet, on peux constater le fait que à un certain moment du roman, on oblige K. à porter un costume de couleur noir.
Le début de ce roman semble bien sombre et triste, celui-ci ne comprend absolument pas la cause de son arrestation et ne comprend pas non plus pourquoi toute ses personnes sont présente autour de lui pour quelque chose dont il ne connait même pas la raison.
On peut aussi constater que plusieurs fois dans cette première partie est évoqué un paysage de nuit, le soir etc.
Pour finir, on remarque aussi que les autres personnes sont pour la plupart habillés en noir comme il est décrit dans le roman.

17. Le 29 septembre 2014, 20:15 par Nabil B

Pour ma part Si le début de cette oeuvre était une couleur, ce serait une couleur plutôt sombre du noir ou un gris pale de brouillard incompréhensible.
J'ai choisi cette couleur noir car tout ce qui passe est bizarre K. ce fait tout de même arrêté par des inspecteurs qui ne nous donne aucune information, ils l’arrêtent sans que nous sachions encore pourquoi.
Le gris pale qui me fait penser a un brouillard car la scène est assez trouble, incompréhensible car l'arrestation ce fait sans justification. De plus les inspecteurs le laisse finalement partir travailler ce que je trouve incohérent.
Et pour conclure encore du noir, sa relation avec Melle Bürstner n'a pas l'air de bien tourné, elle refuse en vint de le voir jusqu'au point d'envoyer Montag pour le dire a K.

18. Le 29 septembre 2014, 20:23 par Quentin

Si ce début de roman avait été une couleur, ça aurait certainement été le noir car je trouve ce début de roman sombre, en effet aucune information ou presque n'est divulguée sur cet "arrêt" de Joseph K. C'est pour cela que je lui donne cette couleur noire.

19. Le 29 septembre 2014, 20:36 par AlexisM

Si le début de cette oeuvre devait être une couleur , elle serait sombre , probablement grise pour moi. En effet , K. tout comme le lecteur sommes un peu perdus pour le moment , nous nous questionnons beaucoup et le gris est la couleur du brouillard , du flou ... Le gris est également une couleur peu joyeuse , tout comme l'est le début du texte de Kafka. Enfin , le texte commence par la fin , ce qui est complètement incompréhensible , et la couleur gris exprime le mieux cette incompréhension pour moi.

20. Le 29 septembre 2014, 20:52 par Nicolas D

Si ce début de roman était une couleur, je l'associerai au noir.
En effet le noir signifie la peur, le désespoir mais aussi l'élégance.
La peur car il est effrayé de ce qui va lui arriver, il ne sait pas pourquoi il est arrêté !
Le désespoir car il malheureux à l'idée que Mlle Burstner ne veut plus le voir.
Et l'élégance car on sent que c'est un homme d'une certaine classe sociale par sa façon de parler et par sa profession (il travaille dans une banque et peut licencier du monde) qui n'est pas accessible par tout le monde.

21. Le 29 septembre 2014, 20:55 par Thomas D.

Si ce début de texte devait être une couleur, ce serai du gris.
-Le gris ce situe entre le noir et blanc, elle est indécise, comme le texte. J'étais perdu en le lisant, je ne comprenais pas grand chose, je n'arrivai pas à me placer dans la situation.
-Le gris reflète aussi une couleur froide, comme le vocabulaire et l'image apportée par le texte.

22. Le 29 septembre 2014, 21:12 par Morgan

Si le début de cette oeuvre avait été une couleur ça aurai été le gris (mélange entre noir et blanc) car on est dans incompréhension total :

- K est arrêté et personne ne sais pourquoi
- Le nom de famille du personnage principal est " K " juste une lettre, on en sais pas plus 
-K est in personnage très lunatique (mélange blanc noir)
-le gris aussi représente sa relation avec Melle Bürstner car il se comporte de différentes façons avec elle.
23. Le 29 septembre 2014, 21:31 par Sarah.V

Pour moi si le début de ce roman avait été une couleur celle-ci aurait probablement été le noir. Premièrement parce-que c'est la première couleur que j'ai imaginé dès le début de ma lecture. En effet, on retrouve dès les premières pages des adjectifs et des mots rappelant cette couleur : "vêtu de noir","obscure", "sombre", "pénombre" etc.. Deuxièmement, parce-que ce début de roman est assez sombre et vaste, nous n'avons aucune information sur l'arrêstation de K. On a du mal à comprendre ce qu'il se passe, on tourne en rond, on ne prend pas beaucoup de plaisir à lire. C'est pourquoi je pense que le noir est une couleur qui qualifirait bien ce début de roman.

24. Le 29 septembre 2014, 21:49 par Martin

Pour moi, la couleur qui se dégage du début de ce texte est également le gris. En effet le début du texte n’est pas claire personne ne sait le pourquoi de son arrestation, c’est le brouillard total. De plus le texte se passe en ville et on pense à la grisaille des bâtiments. Enfin je pense que le gris représente l’alternance du blanc et du noir et le changement constant de comportement de K.

25. Le 29 septembre 2014, 21:49 par Hugo

Si le début de cette œuvre était une couleur se serait d'après moi, le noir car K. un homme banal, sans problème, à qui du jour au lendemain tous s'écroule, des hommes viennent pour l'arrêter alors qu'il n'a rien a se reprocher, il ne comprend pas, il est perdu.
De plus, pendant le roman on impose à K. de porter un costume noir.
Enfin, la pièce ou se déroule l'action, comme il est précisé dans le texte est très sombre avec peu de rayon de lumière.

26. Le 29 septembre 2014, 22:18 par Erwan

Pour moi si le début de cette œuvre était une couleur, ce serait le gris car le début de cette œuvre est flou. Joseph K. ne sait même pas pourquoi il a été arrêté, et les gardiens aussi.L'arrestation n'est pas justifier. Le gris c'est un peu la couleur du flou et pour moi ce début d'œuvre est assez flou. Comme l'œuvre K. est flou, il est lunatique, il n'a pas le même comportement avec tous les personnages de l'œuvre. K. se retrouve souvent dans l'obscurité, dans l'ombre mais pas noir total le gris est donc cohérent.

27. Le 29 septembre 2014, 22:33 par Aymeric V.D.R

Pour ma part et comme la majorité des gens, j'opterai pour une couleur ni trop sombre, ni trop lumineuse, entre le blanc, le noir et le vert fonces.
Je m'explique, pour résumé, on n'y comprend rien !
Son arrestation, les causes? Autant de pages, autant de suspens pour rien...
Les relations que K. entretient aussi avec Mlle Burstner est très ambiguë et porte a confusion comme tout ce début de roman d'ailleurs.
Je ne vois dans aucun passage une marque de lumière présente mis a part peut-être "Le clair de lune".
Mon avis sur la couleur changera surement au cours du roman.

28. Le 29 septembre 2014, 23:09 par Thomas C

Si je devais donner une couleur ce serait gris, nous sommes dans le brouillard, c'est flou on se pose beaucoup de questions...On ne sait même pas pourquoi K. à été arrêté on est dans le vague on ne comprend pas trop certaines choses, les inspecteurs ne donnent aucunes informations, encore une fois nous sommes dans le vague, je dirai que l'histoire n'est pas claire nous sommes dans l'impréhension.

29. Le 30 septembre 2014, 08:07 par Nicolas Bourelier 1ES2

Si ce début de texte devait être une couleur, celle-ci devrait être un bleu foncé.

Ce bleu représenterait le froid qui s'impose dans chaque pages du livre, toutes les pièces de son appartements paraissent tellement humide et ancienne, presque glauque et sans vies.

Tout est tellement peu compréhensible et peu précis ! L'arrestation de Mr.K lui tombe dessus sans même qu'on ne lui explique quoi que ce soit, on apprends quelques petits détails sur lui mais rien de suffisant pour que ce soit d'interpréter ou de comprendre, Mr.K se réveille et tombe sur une multitude d'homme dans son propre appartement qui ne connaissent pas plus que lui pourquoi ils sont là.

Ce bleu s'accorderait aussi bien à certains paysage nocturne, et froids décrit à travers de cette "introduction".

Ce bleu serait un peu l'abysse de cette intrigue quasi-suréaliste qui n'avance pas mais tourne en rond, tout cela pour rester dans l'inconnu !

30. Le 30 septembre 2014, 09:17 par Antoine

Si le début de ce roman était une couleur pour moi ce serai le gris car le gris symbolise la solitude comme K en début de roman il peut également symboliser un personnage perdu comme dans la BD de l'étranger le noir et blanc symboliser une partie sombre, une partie de solitude (Kafka est caractérisé comme le cousin de Meursault) . Dans Le Procès de Kafka nous pouvons retrouver la même idée en effet K est tout seul et ne comprend pas ce qui lui arrive quand les deux personnes de la police débarque chez lui pour lui dire qu'il est en état d’arrestation. Le gris peut donc symboliser l'incompréhension.
Le gris est la couleur qui colle le mieux au titre du livre, en effet dans un procès il y règne une atmosphère froide. Le gris symbolise la subjectivité je trouve car c'est une couleur peux prononcer et qui est a cheval entre le noir et blanc.

La couleur aurait également pu être un gris un peux rosé car il y une légère histoire d'amour mais qui n'est pas réciproque mais personnellement la couleur qui domine reste le gris.

31. Le 30 septembre 2014, 10:01 par Yanis

Je choisis la couleuir noir car ces un roman assez mysterieux , on ne sais pas pourquoi K. Est arreter, K est habille en noir aussi. Les relations avec Mlle burster ce finit mal donc j'ai choisis la couleure noir car dans le debut du roman tout se passe pas pour le mieux pour K. Avec son proces, arrestation etc..

32. Le 30 septembre 2014, 21:05 par Gladys

Si le début du roman étais une couleur, ce serai le gris.
Cette couleur coresspond bien au texte de K. car nous sommes dans l'incomphréhension, K. semble autant perdu que nous, personne ne sait les raisons de son arretation c'est le brouillard total et pour le moment tous a l'air sombre. Ensuite le gris est une couleur qui est entre le noir et le blanc ce qui correspond bien au changement de comportement de K. qu'il a avec les différentes personnes qu'il fréquente. Le gris est une couleur qui peut signifé le désarroi, ce qui va plutôt bien au personnage principal.

33. Le 01 octobre 2014, 07:42 par Mme Baudry

Ces commentaires manquent cruellement d'approfondissement...J'avais demandé trois arguments, non?
Pour la suite du travail, je vous demande un paragraphe de justification plus étoffé, qui s'appuie davantage sur le texte.
Donc, pour les chapitres jusqu'à "l'oncle": si cette partie de l’œuvre était une couleur et si c'était un plat. Trois arguments à chaque fois pour vous justifier.

34. Le 04 octobre 2014, 14:04 par Segretin

Si le début était une couleur je choisirais le couleur rouge. Cette couleur me fait penser au comportement de K passant du rien au tout c'est à dire qu'il s'emporte plusieurs fois, la première fois c'était face à un vieillard devant l'estrade le retenant par le bras, la deuxième fois s'était face à un l'étudiant qui emmenait la femme et la troisième fois face à un accusé a qui il avez demandé pourquoi il était là, et il la violemment poussé.
Si je devais choisir un plat sa serait un plat de pâtes car les pâtes sont entremêlées, simple au départ et deviennent compliqué à la fin.

35. Le 05 octobre 2014, 16:15 par William

Si je devais choisir une couleur pour représenter ce deuxième parcours de lecture je choisirais le rouge :
- Le rouge pourrait représenter l'état d'esprit de K. , K. est convoqué pour un interrogatoire, il n'en connait toujours pas la raison, il ne sait pas l'heure à laquelle il est convoqué, ni même le lieu exact.
- Le rouge pourrait représenter la femme de l'huissier, cette tentatrice si convoitée.
- Le rouge pourrait également représenter la haine, la violence du fouetteur qui fouette Willem et Franz pour les punir.On peut dire que K. est presque honteux de ne pouvoir les aider, il rougirait donc.
Si je devais choisir un plat je choisirais des lasagnes :
- Les lasagnes contiennent du rouge, comme la couleur choisis
- Les lasagnes sont composées de plusieurs " étages " et K. se perd dans ces étages, et dans les bureaux du greffe.
- Les lasagnes pourrait représenter les différentes étapes de K. va devoir surmonter ( les étages ).

36. Le 05 octobre 2014, 19:18 par Aurélien

Pour les trois chapitres suivants, la couleur représentée est le rouge car :



-K se révolte plusieurs fois mais surtout avec la justice et ses hauts fonctionnaires.



-Ils sont violents, on parle de sang; le bourreau fouette les deux inspecteurs;l'huissier parle de faire battre jusqu'au sang l'étudiant, s'il le pouvait; mais surtout avec les mots que dit K...

-Ils parlent et montrent surtout pour le chapitre 3 et 4, des sujets obscènes comme à la fin de l'interrogatoire, où la femme de l'huissier rentre brusquement avec l'étudiant, ou quand K découvre un livre du juge qui montre un homme et une femme nus, ou encore quand l'étudiant embrasse la femme dans le cou.




Et si les trois chapitres étaient un plat, ce serait la poêlée de champignons (hallucinogènes) car :



-K n'arrête pas de rêver même d'halluciner ( quand il croit se trouver sur un bateau en pleine tempête, la scène du bourreau et des deux inspecteurs, ... ).



-K a un malaise quand il est dans les bureaux de la justice à cause de la chaleur ( il est un peu comme Meursault dans l’Étranger ) mais il dit que c'est la première fois que cela lui arrive après avoir accepté les termes de son procès.



-Quand K est interrogé, la salle est remplie de monde et de fumée qui rappelle les hallucinations et de plus à la fin, K remarque que tout le monde travaille dans les bureaux de la justice donc ce sont TOUS des fonctionnaires qui ont joué un rôle.

37. Le 06 octobre 2014, 14:29 par Aymeric V.D.R.

Pour cette suite de roman, ma couleur de départ étant initialement le noir, j'opterais maintenant pour une coueur plus vive mais pas trop non plus.
J'obterais pour du rouge.
Le rouge fait penser a la passion, au désir, et c'est exactement ce que K. ressens pour la femme de l'huissier, il l'a trouve attirante, il en devient même jaloux envers l'étudiant.
K est souvent en colére, il s'emporte plutôt vite, le rouge représente la colére et dans ces chapitres, la colére est assez bien traduite, nottement dans le chapitre du fouetteur, mais aussi lorsque K. s'énerve contre un suspect dans les greniers ou la chaleur est insoutenable (Cf = Meursault)
K. est énergique et préssé, il veut que cette affaire se termine le plus vite possible, il le dit au juge lorsqu'il s'apprete a partir, mais que le public (qui est aussi fonctionnaires) le retient.
Il lui dit que cette affaire n'a ni début ni fin et il propose d'en rester la.
En ce qui concerne le plat, j'opterais pour une barre énergétique même si ce n'est pas un plat, je trouve que cela correspond parfaitement au événements qui se sont déroulés.

38. Le 06 octobre 2014, 16:02 par Gladys

Pour moi si les trois chapitres suivants seraient une couleur se serait le rouge :

- K. fait preuve de différents comportements, des comportements assez violent, il s'emporte rapidement comme si il avait de la haine ce qui reflete bien le rouge.
- Certaines femmes tentent de séduir K. il y a de la tentation, il couche avec Leni puis K. trouvre des magasines pornographiques qui appartiennent au juge le rouge représenterai ici la tentation, l'amour et la sexualité.
- K. se perd souvent dans ce grand immeuble et rencontre toujours des personnes et la plupart du temps il lui arrive des choses comme les disputes qu'il a eu avec certaines personnes, quand il voie le fouetteur entrain de fouetter Willem et Franz...

Si ce serait un plat ce serai les pâtes :
- Il y a différentes sorte de pates ce qui pourrait montrer dans le texte les différentes personnes que cotoie K.
- On peut cuisiner les pates de manières differentes ce qui représenterai les etapes dont fait preuve K.
...

39. Le 06 octobre 2014, 17:37 par Léa

Pour moi la couleur choisie restera le gris, les pages lus sont toutes aussi confuses qu'au début. Le comportement de K oscille entre le calme et l'énervement sans en savoir bien les causes (noir et blanc), nous sommes toujours dans une sorte de flou..
Je choisirais un plat de spaghettis qui s'entremêlent tous les un entre les autres ce qui représente la confusion générale du livre ainsi que du comportement de Meursault.

40. Le 06 octobre 2014, 17:40 par JulieA_1es2

Si je devais choisir une couleur ce serait le rouge: car se texte est plein de mauvais sentiments la colère et la haine il n'y a aucun passage qui est saint. En effet K agit de façon excessive face à l'étudiant, il n'est pas aimable avec le vieillard et le juge non plus. Il est toujours sec et dur dans les propos même quand il s'adresse à l'accusé qui était assis j'ai trouvé son comportement exagéré il n'avait pas à prendre ce ton ni à parler ainsi à un inconnus Même la femme de l'huissier je trouve que c'est une femme très facile qui serait donc ouverte à tout, donc une sorte de tapis rouge emmenant les hommes à ses côtés, mais ce tapis rouge serait en quelque sorte péjoratif il n'aurait rien de très élogieux. Le passage du fouetteur est très violent le rouge est vraiment une des couleurs qui représente au mieux ces scènes.

Pour le plat je pense que je vais aller un peu trop loin dans mon interprétation et c'est assez tordus cependant c'est la première chose qui me soit venu à l'esprit et dont je trouvais des arguments pour définir ma pensée, j’ai pensé à des Rāmens en boite.
Les ramens ont un coté fouillis, tout est emmêlés et mélangés tout comme son arrestation qui est compliqué, on ne sait toujours pas le pourquoi du comment.
En effet dans le texte en lui même la partie qui m'a marquer c'est quand K suit l'huissier et se retrouve dans les bureaux. K se sent extrêmement mal et manque de s’évanouir, l’air était très lourd et oppressant. Donc j’ai pensé à un plat qui se mange très vite et qui est super chaud. Tout comme K qui était si pressé de s’en aller et de sortir de ces bureaux !
Ce qui m’a le plus fais pensé aux rāmens c’est le fait que quand on ouvre la boite il y a beaucoup vraiment beaucoup de vapeur qui sort et c’est super chaud. Du coup moi ça m’a pousser dans ma réflexion j’ai même fais un rapport avec K car je me suis dis : c’est comme K quand on lui a ouvert la porte il s’est sentis libéré et rafraîchis. Dans ma tête je me suis fais un petit dessin qui était : l’âme de K serait la vapeur qui s’échappe pour vite partir de l’endroit où elle se trouve. La vapeur ma fais penser aux sentiments que K éprouvait cette sorte de liberté et de vouloir vite sortir des bureaux.

41. Le 06 octobre 2014, 18:17 par nicolas D

Si cette partie était une couleur je l'associerais comme pour la partie précédente à la couleur noir.
En effet le noir est synonyme d'élégance, de mystère mais aussi de tristesse.
L'élégance pour le fait que Joseph K côtoie de grands hommes pour son arrestation.
Mais aussi le mystère car pour l'instant il n'est pas mieux éclairé à propos de son arrestation.
Mais encore la tristesse car nous sentons que Joseph K est déçu par la réaction Mlle Bürstner.

42. Le 06 octobre 2014, 18:21 par Xavier.c

Pour ces 3 chapitres suivants, la couleur rouge serait bien représentative car:
-celle-ci représente la violence (le bourreau qui fouette les inspecteurs,la dispute entre K et un etudiant a propos d'une femme ..)
- la révolte, K. Se révolte beaucoup: il est arrête sans en connaitre la raison,
- la "honte", ce sentiment d'être impuissant lorsque le bourreau fouette les 2 agents et qu'il ne peut intervenir, également lorsque m elle Montag lui demande de ne plus importuner Melle Burstner.
Si cette partie était un plat, ce serait un lapin a la broche.En effet le lapin est en opposition avec la violence, on éprouve donc des sentiments de révolte a la vue de cet animal embroche, ainsi que de la honte

43. Le 06 octobre 2014, 18:42 par Romain

Alors pour moi ce début de texte serait la couleur ou plutôt l'absence de couleur :noir.
- Le personnage s'arrete on ne sait pas pourquoi ...
-Beaucoup d'incompréhension le lecteur et trop désorientée ou du moins autant que Mr.K
-Le noir représente aussi l'atmosphère du texte , le personnage est toujours(souvent) dans des endroit dénuée de lumière.

Pour un plat je choisirais le gratin dauphinois car:
-il y a beaucoup d'ingrédients et donc de l'incompréhension
-il y a des étages comme quand Mr.K se perd .
- on se brûle souvent en entamant ce plat car il se sert chaud et pour moi sa représente la chaleur qui créa le malaise de Mr.K

44. Le 06 octobre 2014, 19:29 par Amandine

Si cette partie de lecture était une couleur, celle-ci serait le rouge.

- Pour commencer, je pense que la couleur rouge représente bien la femme de l'huissier, c'est une femme qui attire beaucoup les hommes, on peut l'associer à l'amour et au désir, d'où la couleur rouge.
-Ensuite, on peut associer la couleur rouge à la couleur du sang, le mot "sang" revient d'ailleurs souvent dans cette partie, comme lorsque le bourreau fouette les deux inspecteurs ou alors lorsque l'huissier nous décrit une scène dont il rêve, c'est à dire de taper l'étudiant jusqu'à ce que celui-ci tombe et reste couvert de sang sur le sol sans se relever. On peut aussi associer cette couleur à la violence.
-Pour finir, je trouve que la couleur rouge représente bien la lutte de K contre la justice.

Si cette partie de lecture était un plat, celui-ci serait des spaghetti à la bolognaise.

-Pour commencer, j'associe ce plat en particulier à cette partie du fait que la couleur que j'ai choisie pour celle-ci est le rouge et que la sauce bolognaise est rouge.
-Ensuite, je pense que ce plat convient parfaitement à cette partie, du fait que comme la sauce bolognaise est rouge elle représente parfaitement la couleur du sang, du désir, de l'amour et de la violence.
-Pour finir, les pâtes de ce plat sont des spaghetti et elles sont emmêlées, elles représentent un gros sac de nœud, qui est difficile à d'emmêler au début puis de plus en plus facile jusqu'à la fin et je trouve donc que ce plat correspond parfaitement à cette partie qui est "pleines de nœuds" c'est à dire avec plusieurs histoires en même temps mais aussi un gros désordre au niveau de celles-ci.

45. Le 06 octobre 2014, 19:31 par Thomas K.

Pour ma part je choisirais la couleur rouge pour les chapitres suivants.

-Car K. contrairement aux chapitres précédents, se révolte et ne se laisse pas faire.
-Cette couleur me fait pensée à la tentation, et la tentation, la femme de l'huissier.
-Enfin le rouge pour la violence du bourreaux qui fouette Willem et Franz.

Si je devais choisir un plat se serais : des fajitas.

-Les fajitas pour le coté épicé, nerveux, que ces chapitres nous montre contrairement aux précédents.
-Dans les fajitas il y a du poivron rouge, qui me fait penser à la colère,la haine qu'inspire le bourreaux.
-Enfin les fajitas car on peut dire que l’atmosphère entre K. et la femme de huissier est caliente ! LOL

46. Le 06 octobre 2014, 19:51 par Maxime F

Pour ma part la couleur représentatives des 3 chapitres suivant est le rouge :

-Tout d'abord car il se met en colère plusieurs fois avec la justice et ses collègues, et la colère s'accorde avec le rouge.
-Ensuite à un moment deux agents se font fouetter, jusqu'au sang malgré la proposition d'argent de K. . Et la sang est de couleurs rouge.
-Enfin le rouge est un peu la couleur d'amour et "sexy" et cela pourrait s'accorder avec la femme de l'huissier qui est tentatrice.

Si c'est 3 chapitres étaient un plat se serait pour ma part des spaghetti à la bolognaise:

-Tout d'abord parce qu'il y a du rouge dans ce plat, ce qui est synonyme de colère.
-Ensuite les spaghettis sont présenté dans le "désordre", et cela se rapproche de K. car il est un peu perdu dans son procès.
-Enfin il y a du rouge dans la bolognaise et cela me fait aussi penser au sang des deux agents qui se font fouetter

47. Le 06 octobre 2014, 19:52 par Hugo

Si ce passage était une couleur, ce serait d'après moi le rouge:
-Le rouge car dans le dernier chapitre Franz et Willem se font fouettés, rouge couleur du sang.
-Le rouge car l'huissier parle de battre l'étudiant
-K. est révolté et le montre souvent. Comme le dit l'expression "être rouge de colère"
-De plus le rouge est couleur du désir de l'amour, peut être celui que ressent K. à l'égard de la jeune femme.
Si ce passage était un plat, ce serait d'après moi des fajitas car
-Les épices pimentées pourrait faire penser à la colère exprimée par K.
-Le fait de manger épicé rend le visage rouge, rouge couleur que j'ai choisi, on pourrait penser que le personnage de K. rougirait face a certains évènements.

48. Le 06 octobre 2014, 20:01 par Julie C

Si ces prochains chapitres étaient une couleur je choisirai le rouge car :

- A la page 62 (faisant partie des premiers chapitres a lire mais cette partie est plus en accord avec la couleur que je choisi pour les chapitres a lire maintenant) K. reste un petit bout de temps avec Mlle Bürstner pour s'excuser des désagréments qu'il a commit (indirectemment) dans sa chambre, la conversation finit par dériver et ils arrivent a parler des mésaventures de K., celui ci lui raconte, a la fin de la conversations, après quelques rapprochements "et tandis qu'elle se laissait retomber contre le coussin, il lui baisa le front", ils finissent par s'embrasser ""il l'attira contre lui, l'embrassa sur la bouche puis sur tout le visage", les roses rouges sont le symbôle de l'amour, même si celui ci n'est pas réciproque, cela me rappel la couleur rouge.

- Le rouge représente également la haine, la violence (le sang) cette violence est représenté par le fouetteur qui fouette Willem et Franz pour les punir. K. s'en veut de ne pas pouvoir les aidés, il a honte. Et la honte, la gêne est un sentiment qui peux faire rougir.

Si ses chapitres étaient un plat ce serait ce serait un "couscous", les grains de semoule représenteraient tout le monde présent dans la salle lorsque K. ce fait intérrogé, ainsi que tout les fonctionnaires dans les bureaux. Les merguez sont a peu près "rouge" ce qui représente la couleur choisi. Le fait que le couscous sois un ensemble de plusieurs aliments cela me fait penser au "changements de sujet" a chaque chapitre, comme si il y avait pleins de petites choses différentes dont il fallait parler.

49. Le 06 octobre 2014, 20:09 par Manon

Pour ces chapitres suivants, si ils étaient une couleur ce serait le blanc :
- tout d'abord parce que l'on pense être éclairer sur la cause de l'arrestation du personne et en fin de compte absolument pas on est plutôt aveugler (blanc-lumière aveuglante ) par tout ces événements surprenant et encore une fois incompréhensible
-en revanche nous sommes éclairer sur le caractère de Monsieur K que l'on découvre
- mais enfin le blanc car on a l'impression que K est "blanc comme neige " par rapport en fin de compte à toutes les obscénités dans ce tribunal

Si ces chapitres étaient un plat je dirais même un aliment ce serait le cornichon

- car cette histoire à un goût amer de part l'incompréhension et l'absurdité des événements
- mais aussi encore une fois des obscénités trouver dans le tribunal
- et pour finir comme l'argent qu'il essaye de donner au bourreau, cela a un coter amer (argent "sale")

50. Le 06 octobre 2014, 20:28 par Alexis G.

Pour moi, si le début de ce texte serait une couleur ce serai le gris. Pourquoi ?

-Le début de l'œuvre est comme la brume des matins d’automnes. On ne comprend pas pourquoi Mr.K est arrêté, ni personne d'ailleurs. Pourquoi cet homme est autant surpris par cette nouvelle.

-Tout comme L’étranger, l’incipit du procès de Kafka est confuse, elle ne respecte pas les normes « officielles » d’un début de roman. Le lecteur est vite perdu, et se trouve sous un effet de manque, il est à la recherche des moindres informations.

-On est troublé par l’incipit.

-Le nom de famille du personnage principal, " K " ? « K » ? Pourquoi ? C’est un nom particulièrement troublant.

Ce roman serait un mystérieux champignon.

Le « Caterpillar-fungus» ?

--> http://www.grumo.fr/wp-content/uplo...

51. Le 06 octobre 2014, 20:48 par Nicolas Bourelier 1ES2

Concernant les trois suivants chapitres, le rouge serait la couleur dominante.
La dominance de la haine, du bourreau au fouet qui s'attaque aux inspecteurs Willem et Franz, du caractère sanglant et violent des événements imaginés voir hallucinés par Mr.K, et les scènes obscènes à la fin de l'interrogatoire par exemple.

Si ces parties devaient être un plat, ce serait un plat épicée. Un plat brulant. Des épices rouges qui rappellerait la couleur choisie, mais aussi alors qu'il est pris d'un malaise à cause de la chaleur et qu'il à l'air paniqué par les événements incompréhensible qui se suivent de rebondissement étonnant.

52. Le 06 octobre 2014, 21:21 par antoine

En premiere couleur j'avais choisis le le gris un peux rosé cette fois si la couleur pour moi serai un peux pareille avec une rose beaucoup prononcé représentant la blanchisseuse, femme de l'huissier.
Et mon plat serai un plat de fruit de mere avec un monstre marin inconnu car ces chapitres sont tres durs et amer pour K. (et n'étant pas un amateur de fruit de mer je trouve cela colle bien) et un monstre marin car je trouve que la situation de K ne fait que s’aggraver il tombe de charybde en scylla.

53. Le 06 octobre 2014, 21:34 par Maël

Je choisis la couleur " blanc " par défaut car je trouve pas de couleur associé a ces chapitres . J'ai trouvé les situations de ce chapitre très " comiques " même absurde , et bizarre . avec l'épouse de l'assistant de justice qui essaie de séduire n'importe qu'elle inconnu . Les livres du Magistrat qui contiennent que des images pornographiques .Le mari qui "laisse" faire ça femme a toute séduction comme si il était habituer . L'interrogatoire dont K. ne connait ni le lieu précis ni l'heure . Et dont on lui reproche le retard . L'interrogatoire se passe dans un lieu pauvre alors que normalement c'est dans un lieu représentative de la justice. La scène des agents : Willem et Frantz est aussi très bizarre et absurde car c'est 2 agents sont fouettés par un homme . Et il demande a K. de les aider il essaie en essaient de soudoyer l'homme mais il n'arrive pas . Laissant les deux hommes se faire fouettés encore .Comme plat je choisis un " kebab " car il y a pleins de chose de situation dans le livre qui se passe . Et qui sont marrantes , et j'ai pensé au kebab car dans ce livre les situations sont comiques mais au bout d'un moment devienne vite lassants et comme un kebab t'en mange plus d'un ca devient vite bourratif .

54. Le 06 octobre 2014, 21:34 par Allan

Pour les 3 chapitres qui suivent je choisirais le rouge ,

-En effet la encore k ne sait toujours pas pourquoi il est convoqué et la justice parait ici etre assez cruel et injuste comme un peu "le diable" ,en effet elle a le plein pouvoir de decision ,se qui amenent le personnage K et le lecteur dans une sorte de proces injuste et perdu d'avance
-le rouge correspond bien a la cruauté de la scene qui mène encore une fois le lecteur a l'incomprehension totale, on ne sait toujours pas pourquoi il y a un procés et tout est fait pour tourner en quelque sorte autour du 'pot'.
Si c'était un plat je choisirais un "Steak tartare" ;
-Je m'explique ,le steak tartare reste dans le thon du rouge mais permet d'etre metaphorique avec les éléments de la scene ( la scene du fouetteur, ,les actes obscènes qui se cumulent ) apportent ici un texte assez cru et froid comme un steak tartare.

55. Le 06 octobre 2014, 21:57 par Morgan

Si cette partie était une couleur ce serai du rouge car :

- Le rouge pourrait également représenter la haine à l’égard du bastonneur
-Le rouge pourrait représenter la femme de l'huissier
-K se révolte plusieurs fois mais surtout avec la justice et ses hauts fonctionnaires

Si cette partie était un plat ce serai de la soupe car :

-La soupe est liquide et ça rappelle le sang au moment ou les gardien se font frapper 
-Quelque fois on ne sais pas de quoi est composé la soupe et la on ne sais rien du motif de l'arrestation de K
-La soupe est un plat chaud se qui nous fait pensé a la scène entre l’étudiant et la femme de l'huissier.
56. Le 06 octobre 2014, 21:58 par Martin

Si je devais choisir une couleur pour ce passage je prendrais le rouge car il représente la colère de K qui s’emporte plusieurs fois ainsi que la haine. Le rouge pourrait également représenter le sang et la violence des coups portés par le fouetteur qui fouette Willem et Franz.à la banque de K.

57. Le 06 octobre 2014, 22:07 par Thomas C

La couleur que j'ai choisis est le rouge:
- K. passe de quelqu'un plutôt de clame à une personne qui se révolte.
- K dénonce la Cour et les fonctionnaires pour corruption.
- K refuse de participer aux procédures de la salle d'audience et quitte la salle, il devient plus agressif que avant.
- Il y a des scènes assez choquantes comme lorsque K. ouvre la porte et voit les deux gardes qui l'avaient arrêtés en train de se faire fouetter, il y a aussi quand K découvre que les cahiers du juge d'instruction sont en fait des romans pornographiques, de plus l'huissier a des rapports avec la juge mais est l'époux de la blanssicheuse qui elle est rapidement séduite par K.
- Pour finir K ne se sent pas très bien à plusieurs reprises l'atmosphère est quelques fois "lourd", K a chaud il se sent faible lorsqu'il se trouve par exemple dans les bureaux.
Je n'ai pas trouvé de plat adéquat pour justifier le choix de ma couleur.

58. Le 06 octobre 2014, 22:43 par Charlotte

Si ce passage était une couleur je pense que la couleur la plus adaptée à la situation serait le gris, comme pour la première partie.

En effet le lecteur a l’impression d’être plongé dans un véritable procès. L’ambiance qui se dégage du roman est très oppressante puisqu’on ne voit pas le temps passer : aucun repère temporel et géographique, ce qui est très troublant. Le procès est représenté d’une manière symbolique, comme une étape qui s’interpose dans la vie du héros. Les évènements n’ont toujours aucun sens et le texte passe du coq à l’âne : Joseph K. retourne dans l’immeuble pour son deuxième interrogatoire, qui n’a finalement pas lieu, et il se retrouve à courtisé la Dame de l’huissier qui se fait ensuite « enlevée » par Berthold. Les humeurs et les actions de K. sont imprévisibles et déroutantes : il n’avait aucune envie de suivre l’huissier dans les bureaux du greffe et pourtant il se retrouve entouré de personnes « importantes » il en vint même à la colère, puis à l’hallucination.

Si ce passage était un plat ce serait des spaghettis bolognaise.

Cette partie est chargée d’émotion négative : au cours de l’instruction il humilie littéralement le juge qui ne parle même pas « Vous pourriez m’objecter que ce n’est nullement une procédure, et vous auriez raison, car ce n’est une procédure que si je reconnais que s’en est une » les mots employés y sont fort, direct et sans détour ce qui poussa à croire que K. ne reconnait pas la justice, il s’impose lui-même comme juge de son procès et donc ne l’accepte pas. Ce passage est chargé de faux semblant comme l’assemblée présente à l’instruction dont tous les membres étaient en fait des fonctionnaires qui jouaient un rôle, comme dans une mauvaise pièce de théâtre. Ensuite  De plus il y a deux références au sang et à la violence dans cette partie : L’huissier lui confie son « rêve » de tuer Berthold « J’en rêve tout le temps. Là un peu au-dessus du planché, il est écrabouillé, les bras tendus, les doigts écartelés, ses jambes écartées coulées en rond et, tout autour, des giclées de sang », et le passage ou les deux gardiens se font fouettés par le bastonneur.
59. Le 06 octobre 2014, 23:39 par Samy

Le rouge pourpre est sûrement la couleur la plus fascinante et ambiguë qui soit. Elle joue sur les paradoxes, anime des sentiments. Cette couleur ne laisse donc pas indifférent... Tout comme l'injustice que subie Joseph K. lors de ces premiers chapitres.

En effet, au départ, K. est certain que sa position, son "rang" pourra le sauver de cette situation incongrue. La couleur pourpre représente la dignité des cardinals, c'est un synonyme de souveraineté. A l'image de K. qui pense que de s'adresser à des fonctionnaires de son niveau aidera à déméler la situation ou lorsqu'il annonce ouvertement faire cadeau de ses interrogatoires.

Le pourpre est la couleur qui représente le mieux celle du Sang. L'expression "avoir un coup de sang" démontre la colère qui habite K. Il ne comprend pas ce dont on l'accuse, ni même quelle autorité le met en accusation. Sa vision de la justice est bafouée. Sa colère est également motivée par les conséquences qui peuvent découler de tels accusations. Il a peur qu'on nuise à sa réputation ou que l'on ébranle sa situation professionnelle dont il est si fier. Il est contrarié de devoir par exemple refuser l'invitation du directeur adjoint pour se rendre à un de ses interrogatoires.

Le pourpre est également symbole de passion, comme les sentiments pour Melle Bûrstner dont il parait animé. Il s'emporte quand Me Grubach fait des médisances sur elle. Il menace même de donner congé pour cela. Elle est passionnée de justice et doit intégrer un cabinet d'avocat. Il est heureux, soulagé de pouvoir partager les évenements du matin et son histoire avec elle afin de quérir son aide. Après un baiser échangé, K. sera contrarié lorsqu'elle le fuira et refusera son invitation.

Pour le plat, je choisirai la Buche de Noël au foie gras, un Trompe l'Oeil. Pensant déguster un dessert sucré, on goute un met salé. C'est l'effet inattendu, ce n'est pas à cela qu'on s'attendait au départ. Comme K. qui pensait que de part son innocence, il n'aurait rien à craindre.Ou parce qu'il prend au départ, cette situation pour une farce de ces collègues. Un autre effet surprenant viendra avec le public d'une audience qu'il pensait acquis à sa cause.

60. Le 07 octobre 2014, 09:51 par Quentin

Si ces trois chapitres avaient une couleur, ce serait le rouge.
Le rouge pourrait représenter la violence et la haine du bourreau qui fouette Willem et Franz afin de les punir.
Le rouge représenterai également la "révolte" de K vis à vis de la justice.
Le rouge est pour moi la couleur la plus appropriée.
De plus K ne semble plus avoir le même comportement par rapport au début du roman.

Si ces chapitres étaient un plat ce serait des tomates farcies pour renvoyer à cette couleur rouge ( tomates).

61. Le 07 octobre 2014, 09:57 par Nabil B

Si je devais choisir un couleur pour cette deuxième parti se serait le rouge parce que dans cette partie K. n'a plus le même état d’esprit il se révolte a multiple repris pendant son interrogatoire. L'évolution de son enquête est toujours nul, K. n'a pas de réponse , il ne connait toujours pas la raison de son interpellation. Le rouge pourrait également représenter la violence du fouetteur qui fouette Willem et Franz et les blessure qu'il ont reçu, les traces surement rouge
Si je devais choisir un plat ce serrai une purée de piment, le piment qui revient a la couleur rouge pour cette deuxième partie et la purée pour cette histoire melangé ou l'on ne comprend pas tous ce qui se pour K.

62. Le 07 octobre 2014, 09:57 par Yanis

J'aì choisie le plat le couscous épicée car il y un mélange de beaucoup de chose, un peux comme l'histoire qui est brouillon avec Beaucoup d'action.

63. Le 07 octobre 2014, 21:08 par Mme Baudry

;-) Je ne regrette pas du tout de vous avoir proposé de trouver un plat pour comparer Le Procès, c'est assez savoureux...
plus fort encore: pour les parties "l'oncle, Léni" et "l'avocat, l'industriel et le peintre", voyons ce que vous trouvez: on garde la couleur, le plat et on ajoute le sport...Toujours avec le même principe de justification en 3 arguments pour chaque entrée. O-)

64. Le 07 octobre 2014, 21:40 par Erwan

Si ces trois chapitres étaient une couleurs, se serait le rouge car le rouge représente la violence et le sang quand le bourreau fouette les deux inspecteurs qui avaient arrêté K., la haine et la colère quand K. se révolte et s'emporte facilement, la tentation et la séduction quand K. couche avec Léni, le rouge représente aussi le diable.

Si ces trois chapitres étaient un plat, pour moi se serait des tomates mozarella car les tomates représenteraient la couleur rouge avec toutes ses significations évoqué avant et le blanc de la mozarella représenterai le flou, le mystère qui plane encore sur ces trois chapitres.

65. Le 08 octobre 2014, 21:46 par Yanis

J'ai preferer l'etranger car apres l'avoir lu en classe je me suis attache a Mersault . Dans le texte 1 , c'est dans une epoque lointaine j'arrive pas a m'identifier au personnage c'est trop ceremonial. Et dans le texte 2 , j'ai bien aimée parce que la situation m'as faire rire avec la demande de Jean .

66. Le 11 octobre 2014, 15:51 par William

SI je devais choisir :
-Une couleur, ce serait le blanc, dans cette partie K. revoit son oncle qui veut absolument qu'il soit innocenté pour garder une bonne image de la famille, le blanc pourrait représenter l'innocence,de plus,K. repart de zéro car il décide de se débrouiller de lui-même afin de s'innocenter, avec l'aide de ses relations. Et le blanc pourrait représenter une feuille blanche où K. écrit son histoire. Et le blanc est la couleur de départ des toiles du peintre qui va l'aider à s'acquitter.
- Un plat, je choisirais une pièce montée, car c'est un dessert plutôt difficile à réaliser, comme son affaire. C'est un dessert avec plusieurs étages, représentant la hiérarchie des avocats, des fonctionnaires... Et c'est un dessert composé de plusieurs éléments, K. a besoin de plusieurs éléments afin de conclure cette affaire.
- Un sport, je choisirais l'athlétisme, c'est un sport avec un point de départ et un point d'arrivé. K. a besoin que son affaire se termine, de plus , de son bureau d'avocat il doit aller chez le peintre, rentrer chez lui, retourner au bureau... Il court ! Et c'est un sport fatigant, la fatigue peut être ressentie car K. dort moins, il doit prendre en main son affaire.

67. Le 12 octobre 2014, 15:28 par Julie C

Si ces trois chapitres étaient :
- une couleur : se serait le blanc car ici K. semble vouloir tout reprendre à zéro, il va ce débrouiller seul. Le blanc est symbôle de pureté, ce qui pourrait représenté ce que K. veux prouver : son innocence. Comme si rien ne c'était passé.
- un plat : je choisirai un gateau au yaourt car c'est un désert qui ne contient presque aucuns aliments, pas de goûts particuliers, de couleur clair, qui pourrait toujours représenté la pureté pour les mêmes raisons que le début, il veut prouver son innocence, son casier judiciaire vierge.
- un sport : la boxe, car je trouve que les premiers chapitres étaient très violent, et là même sans scènes de violences particulières, je trouve que c'est violent moralement qu'il doive ce retrouver seule pour prouver son innocence, il est pratiquement seul contre tous, comme sur un ring face à son adversaire (l'accusation), il ce bat pour prouver son innocence.

68. Le 12 octobre 2014, 17:13 par JulieA_1es2

Si ces parties étaient une couleur se serait du blanc, car L'oncle veut garder sa bonne image il ne veut pas que K salisse l'image de la famille avec ce procès. Il veut garder une image respectable et de bonne allure, une image propre. C'est pour cela que je trouve que le blanc est ce qui représente le mieux, c'est une couleur qui représente la pureté et l'innocence tel un ange. Ce qui ma également fait penser au blanc c'est lors de la partie du peintre en effet les toiles du peintre sont blanche. Le blanc pourrait aussi désigné le vide, aucune couleur donc une utilité minime qui feraient référence à l'avocat qui ne sert à rien car il n'est d'aucune aide.

Si ces parties étaient un plat je choisirais une lasagne car les lasagnes se composent de plusieurs couches. Les couches feraient référence aux rencontre que K fais durant ces parties: l’oncle, l'avocat, le chef de bureau, Léni, le peintre… Cela signifierait toutes les étapes et réalités douloureuses que K doit franchir pour se sortir de ce procès. En effet la dernière couche représenterait la discussion plutôt mauvaise avec le peintre qui le décourage et lui dis qu’aucun acquittement définitif n’est possible ce qui touche K.

Si c’était un sport j’aurais dis une course longue durée ou un relais. En effet K dans ces parties ce bouge enfin et commence à prendre son procès en main. Il fait des rencontre d’affilés sans jamais s’arrêter. Ce qui montre sa détermination à éclairer et à se sortir de là. Cependant toute ces rencontres sont assez inutiles et ne l’aide pas vraiment.
Ce qui m’a fais penser à ces sport c’est que dans une course longue durée on ne voit jamais la fin on ne sait jamais quand on va s’arrêter et pour le procès c’est pareil, rien ne bouge vraiment on ne voit pas la fin du procès. L’acharnement et l’épuisement se font tout au long de ce sport (tout comme K) Le relais car il rencontre et essaye de trouver de l’aide autour de lui c’est comme si il transmettait ses soucis du procès (le relais) à autrui et essayer de gagner ensemble (le procès).

69. Le 12 octobre 2014, 18:31 par Samy

Dans la nature, la couleur bleu nuit se retrouve dans le monde maritime bien au large des côtes, lorsque l’océan plonge dans les abysses d’un monde inexploré. Tel un gouffre sans fin dans lequel est plongé K... Et c'est donc la couleur que je choisirai pour représenter ces parties du livre.

Le bleu Nuit est présent également dans l’immensité du ciel nocturne, lorsque les constellations apparaissent. Dans la situation sombre ou se trouve Joseph K, les constellations pourraient être les personnes lui apparaissant comme pouvant l'aider, des espoirs avant de disparaitre :

- Son Oncle, sa figure paternelle qui est stupéfait devant la confirmation du procès et qui très vite cherche à faire culpabiliser K devant son attitude passive et l'humiliation qu'il pourrait apporter à sa famille si celui ci était perdu.

- L'avocat Huld, un "ami" de l'oncle, qui était déjà au courant du procès de K. Alité, paraissant mourant, il parait comme ressuscité dès qu'il s'agit de l'affaire. Très vite, nous découvrons que l'avocat ne pose pas de questions et préfère se lancer dans de grands discours où il préfère se vanter de ses relations et où il humilie son client. Il ne le tient pas au courant et travaille constamment sur la première requête sans jamais la finir.

- Leni, l'infirmière aux doigts palmés et aux yeux noirs de Judas, qui propose son aide à K sous couverts que celui-ci ne s’entête pas et avoue. Devant le refus de K. d'avouer un crime qu'il ne connait pas et dont il est innocent, elle retirera sa proposition d'aide pour l'affaire.

En plat, je choisirai le "Pie Floater" ("Tarte à la dérive") un plat australien : une tourte à la viande, submergé la tête en bas dans un bol de soupe aux pois verts fluo. Ce plat qui n'a pas l'air très appétissant, est souvent présenté comme un bon remède contre la "gueule de bois". K.parait comme cette tourte s'enfoncer dans cette soupe, ce magma épais sans parvenir a remonter à la surface.

Cette soupe de pois pourrait être le système judiciaire plus que particulier où la justice du Palais de Justice s'oppose à celle du grenier. Mr Huld, l'avocat, confira même à K. que "la défense n'est pas expressément permise par loi"(seulement tolérée) ou que "c'est une justice qui n'admet pas les preuves".

En sport, je choisirai le Squash qui se joue sur un terrain de jeu entièrement entouré de murs. Pris au piège de ce système, K. tente de renvoyer la balle (de répondre, de comprendre, de se défendre) jusqu'à l'épuisement.

- Après les obstacles venant de son propre défenseur, Joseph K. décide de rédiger lui même sa première requête. Mais comment rédiger une requête quand on est hors de son domaine de compétence et surtout sans connaître la Nature Même de l'Accusation?

- K.tente de la rédiger au bureau, ou la nuit ; est épuisé et a du mal à faire son travail. Son Directeur Adjoint s'en sert à son profit. Il décrédibilise K devant les 2 industriels et lui vole les clients représentant la firme. Joseph K. en retire un esprit revanchard "quand j'en aurai finit avec mes ennuis, il sera le premier à le sentir".

- Le peintre, un personnage fantasque, qui tend la main à K. en lui expliquant le système de justice et les 3 modes d'acquittement. Joseph K. relève très vite les contradictions du peintre. Pour K qui est innocent, l'acquittement réel est le meilleur. Mais le peintre n'a pas d"influence "pour celui-ci. Découragé par ces alternatives, K achète plusieurs tableaux en guise de remerciement et part.

Joseph K. parait se noyer dans une abysse sans fond et chaque lueur d'espoir disparait très vite, même après avoir repris les choses en mains. Il est épuisé.

70. Le 13 octobre 2014, 16:16 par Segretin

Si je devais choisir une couleur sa serait le blanc car Meursault prend sa défense lui même, blanc pour rappeler l'aide du peintre qui fait son portrait sur une toile blanche.
Si c'était un sport je choisirai le footing car sa va être le commence de la lutte de meursault pour qu'il se fasse aquiter, c'est une course contre la montre que Meursault doit gagner
Si c'était un plat je choisir un plat de plusieurs étage de bonbon car sa rappelle les couleur que le peu tre à pu utiliser pour faire le portrait de meursault , sa représente aussi la hiérarchie

71. Le 13 octobre 2014, 17:22 par Aurélien

La couleur que je choisirais serait le BLANC car c'est une couleur de révélation, de pureté. De plus, le blanc est la couleur de la neige, de l'hiver, du froid.

- Les chapitres 6 et 7, surtout le chapitre 7 se déroulent l'hiver (même la neige tombait).
- A partir du chapitre 6, on révèle au lecteur l'histoire de K (son prénom, son oncle, ...)
- Le lecteur en connaît plus sur l'histoire, sur le procès. Il y a plus de précision sur la durée du procès.

Si c'était un plat difficile à réaliser, ce serait le Kouing Aman (célèbre gâteau breton), il est simple en ingrédients (beurre, sucre, ...) mais est très difficile et très long à réaliser.

- La requête que K doit rédiger prend des heures,
- Les processus du procès pour se défendre lui-même sont compliqués, comme un millefeuille, comme la pâte du kouing Aman,
- Quand le peintre parle de l'acquittement réel/apparent et l'atermoiement illimité, cela a l'air simple quand on l'entend mais à faire c'est long, périlleux et difficile.

Si c'était un sport, ce serait la course de relais :

- Les deux chapitres donnent l'impression au lecteur que Kafka veut se débarrasser de ces passages car l'oncle n'arrête pas de courir, tous les personnages sont pressés par l'histoire (les heures passent trop vite), la rapidité de l'examen (l'industriel), peu de temps pour les entretiens ...
- K est fatigué, épuisé de ce procès (il se lava à l'eau froide).
- On dirait également que même l'auteur donne un rôle principal à tous les personnages pour qu'ils aient leur chance.

72. Le 13 octobre 2014, 17:30 par Gladys

Si je devais choisir une couleur ce serait le blanc :
- K. se rend compte que son avocat ne le ménera a rien donc il décide de s'occuper lui même de son procès.
- Il va tenter de se faire inocenter ce qui correspond bien au blanc qui représente l'inocence
-En voulant gérer son affaire lui même je trouve que K. prend une prise consience.
Si je devais choisir un plat je choisirais un boeuf bourguignon :
- C'est un plat qui demande beaucoup de temps à être préparer tous comme l'affaire de K.
- Ce plat est fait avec différents ingrédients qui peuvent représenter tous les éléments que K. a besoin pour résoudre son affaire
- Ce plat est difficile a réaliser , tous comme son affaire.
Si je devais choisir un sport ce serait le tennis :
- La vie et l'affaire de K est pleine de rebondissements depuis son arrestation ( référence au balle de tennis )
- Le joueur de tennis peut être soie accompagner d'un partenaire ou bien être seul pour jouer K étais au début avec son avocat Mr Huld puis il a décider d'assurer sa défence et son innocence seul
- Le tennis est un sport qui oppose deux joueurs ce qui pourrait repésenter ici Kafka puis toutes les personnes qui veulent le faire tomber.

73. Le 13 octobre 2014, 17:39 par Xavierr.C

Si je devais choisir:
-pour la couleur je prendrais le blanc, il représente l'innocense de K. , son oncle lui insiste sur le fait qu'il doit etre innocenter pour ne pas que sa famille ait honte.
K. veut se défendre lui même , le blanc peut representer la détermination et le courage.
-Pour le plat je prendrais un hamburger, car pour s'innocenter K. doit réunir plein d'elements pour classer cette affaire, comme si il ajoutais des ingrédients dans son hamburger.
Pour le sport je prendrais le handball, car lors du procet il devra se défendre et attaquer pour remporter la victoire et etre innicenté. Ce sport demande de joué en finesse et avec des tactiques, K. devra utiliser cela au procès.

74. Le 13 octobre 2014, 17:39 par agathe

UNE COULEUR: le blanc car cette couleur représente l'innocence. K veut absolument se sortir de cette affaire, il veut se débrouiller seul. Le blanc peut aussi représenter la paix, car K. veut que cette histoire se finisse donc il veut en quelque sorte avoir la paix.
UN PLAT: les lasagnes car c'est un plat avec plusieurs étages donc plusieurs étapes comme l'histoire de K. On pourrait aussi penser que les nombreux personnages (son oncle, le fouetteur, Willem, Franz, etc.) font références au différents ingrédients qui sont dans ce plat.
UN SPORT: le relai car K doit toujours allé à un endroit et repartir de suite. Dans l'histoire on se rend vite compte que K. à "toujours quelque chose à faire". Il n'a jamais de répit, il doit toujours aller quelque part pour essayer de s'innocenter.

75. Le 13 octobre 2014, 17:57 par Léa

Pour la couleur je garderais la gris que j'ai depuis le début du texte , car c'est un texte qui parle de tout et de rien pourrait-on dire... L'affaire qui de base ne concernait que K. s'éparpille autour de lui et y intègre plusieurs autres personnages. Comme le gris c'est histoire est une nuance de blanc et de noir, entre le bien et le mal.
Comme plat l'idée de la pièce montée qu'évoque William me plait plutôt , car cette histoire est un acheminement de péripéties qui "s'entassent" les unes sur les autres.
Enfin, pour le sport j'opterais pour la course. Car l'histoire de K. parait être une course sans fin.

76. Le 13 octobre 2014, 18:16 par Nicolas D

Pour moi,
si cette partie de roman était une couleur je choisirais la couleur bleu. En effet couleur caractérise l'espace, l'infini or la on n'arrive pas a imaginer le fin de son arrestation. Il y a toujours un espoir de "liberté" mais cette espoir est vote stoppé en fonction des personnes que Joseph K voit.
Si cette partie était un plat je choisirais un plat luxueux comme du homard. Cela s'explique par le fait que K côtoie de grandes personne d'une certaines classes.
Si cette partie était un sport, je choisirais la course à pied car c'est un sport sans limite où nous courrons autant de temps que l'on peut jusqu’à épuisement, or K résiste face à la justice et nous n'arrivons pas à voir ces limites. face à se procès qui le hante nuit et jour.

77. Le 13 octobre 2014, 18:40 par Nicolas Bourelier 1ES2

-Si cette partie devait être une couleur ce serait du marron, non pas pour le fait que ce soit une couleur mais pour le fait qu'elle est un mélange complètement aléatoire de toutes les couleurs possibles, dans cette partie, tout est complètement étrange, loufoque et surprenant, les événements se succède sans connection et par le plus grands hasard, comme si Kafka s'était amusé à piocher dans un chapeau des événements, des lieux et d'autres surprenantes phrases.
-Si cette partie devait être un plat, ce serait surement une ratatouille ! Une ratatouille chaotique qui mélangerais tous les légumes qui tomberait sous la main du cuisinier et qui y mettrait tout ce dont il aurait envie d'y mettre, jusqu'a créer un chaos gustative et d'étranges saveurs loufoques et impromptues.
-Si cette partie devait être un sport, ce serait une course à pied, un long marathon qui aurait pour ligne d'arrivée le compréhension de la loi, qui manque d'existence depuis la première page du livre, et dans cette course se trouverait de nombreux pièges à la manière d'une StronManRun, qui vous en ferait voir de toutes les couleurs !

Je rajoute hors de mon commentaire que je conseille vivement la lecture de la Bande Dessiné, qui m'as bien fait avoir de nombreux fous rire ! On ne saisit pas bien le côté amusant du livre sans celle-ci ! O-)

78. Le 13 octobre 2014, 19:03 par Manon

Si les chapitres: L'oncle, leni et lavocat le peintre et l'industriel étaient une couleur je choisirais le blanc également parce que K revoit son oncle qui veut absolument qu'il soit innocenté pour garder une bonne image de la famille, le blanc pourrait représenter l'innocence mais aussi parce que les personnages on tous un rapport avec la justice et le procès donc cela rappel la légitimité de ces personnes (blanc comme neige) mais aussi l'expression juridique quand l'on dit "écrit noir sur blanc".
Si c'étaient un plat je choisirais des pâtes car ces chapitres sont simples, contrairement au passage absurde que l'on a pu voir précédemment, j'ai donc choisi un plat très simple j'irais même jusqu'à ajouter une pointe de piment pour rappeler le coter capricieux de Me Leni.
Pour finir si c'étaient un sport ce serait le basket car c'est un jeu d'équipe ce qui pourrait représenter les nombreux personnage de ce passage mais c'est également une équipe qui on un but commun "marquer" et dans cet extrait leur but commun est d'innocenter K.

79. Le 13 octobre 2014, 19:05 par Charlotte

Si cette partie était une couleur je choisirais encore le gris, peut être un gris un peu plus clair…

K. voit littéralement les événements lui tombé dessus et pourtant c’est comme si il n’éprouvait rien, tout comme dans l’Etranger de Camus, on peut assimiler K. à Meursault en partie à cause de leur ressenti et de leurs tendances a attiré les femmes malgré eux et à les repousser. Dans cette partie K. se retrouve face à Léni, qui lui fait du charme de façon excessive. On y retrouve ici en parallèle la scène avec mademoiselle Bürstner, et celle de la femme de l’huissier du tribunal. De plus, le lecteur est toujours face à un texte qui ne comprend aucun indicateur temporel, ce qui fait que le lecteur se sens perdu.

Si cette partie était un plat je pense que ce serait un opéra…

Dans ce roman comme dans cette partie, il faut que le lecteur comprenne bien que le procès est fictif. Cependant K. qui ne croyait en rien à cette affaire voir malgré lui les évènements se bousculer, se déclencher et continuer. K. se retrouve donc pris dans cette comédie qui devient pour lui réalité, il se met à croire en sa culpabilité. Tous, absolument tous les personnages font partie du complot, même sont oncles y croit dur comme fer et qualifie la situation de « honteuse », L’oncle a « honte » de la situation de son neveu, ce qui est contradictoire avec leur lien familiaux très fort : L’oncle l’appel « Joseph », c’est la deuxième fois dans le roman que le personnage principal est appelé par son prénom.

Si cette partie était un sport je pense que ce serait un marathon…

Je trouve que les évènements ainsi que l’histoire se déroulent plus vite que dans les parties précédentes. Cependant il n’y a toujours aucun repère temporel ce qui est très déstabilisant. Tout comme pour un marathon il faut avoir de l’endurance, dans ce livre il s’agit de volonté, le lecteur veut savoir ce qui arrive réellement à K. car on ne comprend toujours pas pourquoi il a été arrêté et pourquoi il a un procès. Cependant à mesure que la lecture du roman avance le lecteur apprend quelque éléments « c’est un procès grave », mais on en connait toujours pas la raison.

80. Le 13 octobre 2014, 20:39 par Thomas d

SI je devais choisir :
-Une couleur; ce serait le blanc: "blanc comme neige" en référence au passage de l'oncle qui parle de l'innocence de K.
- Un plat; un fondant au chocolat. Car l'histoire est mysterieuse, le procès serai l'exterieur du fondant tendis que le sens de l'histoire serai le chocolat fondu à l'interieur: caché.
- Un sport; la boxe. K. Mène un combat endiablé contre son procès. Il est inconcient d'où va le mener cette histoire, inconcient comme après un k.o et bien sur la boxe est un sport éprouvant physiquement et mentalement, comme être acteur d'un long procès

81. Le 13 octobre 2014, 20:59 par Amandine

Si cette partie de lecture était une couleur, celle-ci serait le bleu.
- Pour commencer, je pense que la couleur bleu illustre parfaitement cette partie du texte car il est dit que c'est une période ou il y a de la neige ce qui exprime le froid et me fait donc penser à la couleur bleu. (chaud/rouge et froid/bleu).
- Ensuite, on peut associer la couleur bleu à cette partie du texte du fait que plusieurs fois dans ce passage le mot "sombre" y est cité comme lorsque que K. va chez l'avocat et qu'il fait sombre ou encore lorsque le vieux monsieur est caché dans un coin sombre de la chambre de l'avocat.
-Pour finir, je trouve que la couleur bleu représente bien le fait que K. essaye de se battre pour sortir de ce procès qui nous donne l'impression de quelque chose d'interminable.

Si cette partie de lecture était un plat, celui-ci serait un couscous.
-Pour commencer, j'associe ce plat en particulier à cette partie du fait que tout le monde ce mélange, et que dans le coucous tout est mélangé.
-Ensuite, je pense que ce plat convient parfaitement à cette partie, du fait que celle-ci était très longue à lire et donc très abondante, ce qui m'a alors fait penser à un coucous car c'est un plat très important, très copieux.
-Pour finir, l'histoire de cette partie était un peu "molle", pas d'action, ce que je trouve peut être comparé aux graines de couscous qui elles sont, lorsqu'elles sont cuites, moelleuse, "molle".

Si cette partie de lecture était un sport, celui-ci serait l'endurance.
- Pour commencer, je pense que ce sport convient parfaitement à cette partie du texte, du fait que K. est obligé de se dépêcher, de courir chez le peintre pour avoir de nouvelles informations pour son procès, ce qui entraîne la précipitation et donc la course.
-Ensuite, on peut associer ce sport à cette partie car c'est une partie qui est assez mouvementée : beaucoup de déplacement entre chez l'avocat, à la banque, chez le peintre ...
-Pour finir, je trouve que l'endurance était le sport le mieux adapté à ce passage du fait que c'est un sport fatiguant et que par rapport au début du livre ou il nous était parfois montré que K. dormait et ce reposait, celui-ci est maintenant fatigué car il travaille beaucoup sur son affaire et doit gérer pleins de choses à la fois, ce qui le fatigue.

82. Le 13 octobre 2014, 21:04 par Maxime F

Si je devais choisir une couleur ce serait le blanc :
-Tout d'abord K. repart de nul part car il décide de se débrouiller tout seul dans son procès donc cela me fait penser au blanc, comme s'il n'avait rien commencer (copie blanche).
-Ensuite K. et son oncle cherchent a prouver que K est innocent, qu'il n'a rien fait, et le blanc est la couleur de l'innocence.
-Enfin le blanc est la couleur des toiles du peintre que K. rencontre.

Si je devais choisir un plat ce serait un mille feuille :
-Tout d'abord parce qu'il y a le mot feuille dedans et cela me laisse penser aux feuilles sur lesquelles K. a écrit son histoire.
-Ensuite parce qu'il y a plusieurs étages dans se dessert et K. a plusieurs étapes à franchir.
-Enfin parce qu'il y a du blanc dans le mille feuille et c'est la couleur que j'ai choisis pour représenter ces 3 chapitres.

Si je devais choisir un sport ce serait du tennis :
-Tout d'abord parce qu'il court sans arrêt son bureau, le peintre, chez lui... il fait des aller retour un peu comme au tennis.
-Ensuite parce que c'est un sport individuel et il veut gérer sont affaire tout seul
-Enfin parce qu'il y a un but au tennis : c'est de renvoyer la balle dans le court et de gagner le point et dans le procès le but de K. est de le gagner

83. Le 13 octobre 2014, 21:05 par Martin

SI c’était une couleur ce serait le blanc car il représente l’innocence éspéré par l’oncle de Meursault et car K. se rend compte que son avocat ne le mènera a rien donc il décide de s'occuper lui même de son procès.
Si c’etait un sport je choisirais la boxe car c’est un sport de combat (Meursault va se battre pour son procès) et individuel (Meursault se sépare de son avocat il est seul contre tous)

84. Le 13 octobre 2014, 21:22 par Erwan

Si ce passage était :

- une couleur se serai le blanc. Le blanc exprime l'innocence et représente la paix, K veut en finir avec ce procès. L'oncle de K veut que K soit innocent pour ne pas nuire à l'image de la famille, le blanc rappelle la pureté. Le blanc représente aussi la neige qui tombe dans le chapitre 7.

- un sport se serai un combat de boxe. La boxe est un sport de combat comme le procès qui est un grand et long combat. La boxe connote aussi la violence de ces chapitres. Tout comme le procès un combat de boxe est très intense, il faut donner des coups a des endroits stratégique et il ne faut jamais baisser sa garde. C'est un échange de coups.

- un plat, ce serait des œufs en neige car les œufs sont battus pour être monté en neige cela évoque le combat de boxe et le procès avec la violence. Les œufs en neige font penser à l'hiver et la neige qui tombe au chapitre 7. Ils rappellent aussi la couleur blanche.

85. Le 13 octobre 2014, 21:29 par antoine

Si je devais choisir une couleur ce serai le blanc car dans ces deux chapitre K. ce retrouve seul plus que jamais (je trouve) le blanc est couleur froide et l' atmosphère qui règne dans ces deux chapitre est froide (plus dans le deuxieme chapitre car c'est lh'iver et il neige.)
Ensuite je trouve que K. est tout seul malgré que son oncle l'aide. En effet dans "L'oncle; Leni" l'oncle Karl vient en aide a K. mais cela juste lors d'un chapitre cela ne se poursuit pas dans l'autre chapitre... :-| De plus tout les autres personnage l’appel Joseph ou Monsieur. On ne sait toujours pas pourquoi "K". Pour les personnages c'est un peux pareille ils n'ont pas de prénom et on dirai qu'ils sont justes de passage "l'avocat, le peintre, l'oncle le directeur adjoint," (cela me fait pensé a la pièce de théâtre Roberto Zucco, qui connait une fin tragique et où l’histoire tourne autour d'une affaire judiciaire.)

Pour ce qui est du sport je pense qu'un sport collectif conviendrai. Prenons pour exemple le basketball je pense que pour représenter les passages de cet partit du livre il faudrait premièrement que règne une injustice c'est pour quoi il y aurait K. d'un coté contre les juges les avocats et les fonctionnaires de l'autre. Les juges (etc) partiraient avec 200 points d'avance ce qui évidament est presque impossible a remonter. et dans l'équipe de K. il n'y aurait ... personne ;-( car oui beaucoup de personne dans son entourage parle pour l'aider mais n'agisse pas.. L'oncle a fait un passage éclair mais on ne sait pas pourquoi ca ne suit pas ! L'avocat blablate mais ne fait rien... voila pour ce qui est du sport.

Pour le plat j'avoue ne pas avoir vraiment trouver de plat qui conviendrai... Peut être une soupe amer et en été. Amer car le procès est injuste et en plein été a 30 degrés car cela pourrai représenter le coté absurde et dérangeant du roman.. :-/

86. Le 13 octobre 2014, 21:30 par Morgan

LA COULEUR : un gris qui s'éclaircit de plus en plus car :
- K commence a croire a son innocence (prise de conscience)
-L'oncle Léni veut que sa famille garde une bonne réputation
- K. se rend compte que son avocat ne le mènera a rien donc il décide de s'occuper lui même de son procès grâce à ses relations.
LE PLAT : la pizza car :
-pour préparer une pizza il faut rassembler tout les ingrédients et ensuite la préparer se qui ma fait penser a son affaire: il faut que K rassemble tout ses argument qu'ils exposera ensuite au procès.
-ensuite dans une pizza il y a plusieurs ingrédients qui représentent toutes les personnes mêlé petit a petit à cette histoire.
LE SPORT: le relais car:
-le relais à un début et une fin comme ce procès
- K va tenter de se faire innocenter d’abord au près de ses relations et dans le relais le témoin passe par plusieurs personnes.
-le relais est une course et dans cette histoire tout le monde se précipite pour une arrestation dont personne n'en connais la cause.

87. Le 13 octobre 2014, 21:52 par Maël

pour cet extrait je choisis la couleur " grise" car K. essaie que son procès se passe bien mais son oncle lui trouve un avocat bizarre et incapable . Le gris est une couleur qui se mélange entre le blanc et le noir . Le blanc car K. est un personnage innocent et sur le fait que son oncle veuille que K. soit innocenter pour l'honneur familiale . Et le noir car tous se passe pas pour le mieux , K. rencontre pas les bonnes personnes avec son avocat et la pression de son oncle . K. veut s'occuper seul de son procès et prendre sa " vie en main " . Comme plat , je choisis comme Aurélien le même plat car c'est un passage simple pas comme les autres passages du livres ce qui peut faire penser au ingrédients simples mais ce gâteau est compliquer et long a préparer comme le procès de K. . Avec son avocat , l'oncle et les enchainements qui sont dures . De plus , le procès est long même si il essaie de s'en débarrasser au plus vite . Comme sport je choisis la boxe car K. essaie de se battre contre la société et contre la justice . Même si il ne gagne pas forcément le combat car il est contre un adversaire plus puissant . En plus , la boxe est un sport difficile comme son procès .

88. Le 13 octobre 2014, 22:14 par Quentin

Si ces trois chapitres étaient une couleur, ce serait sans aucun doute le blanc car cette couleur représente la simplicité, la pureté et l'hiver. La simplicité car je trouve ces trois chapitres plus simples à comprendre et l'hiver car c'est la saison dominante ici.

Si c'était un plat, ça serait un plat complexe et grand comme une paella contenant beaucoup d'ingrédients afin de rappeler ce coté complexe qu'a cette affaire et également l'ampleur qu'elle prend.

Le sport choisi est le relais car il contient un but, un objectif atteindre comme K pour son procès.

89. Le 13 octobre 2014, 22:21 par Hugo

Si je devais choisir une couleur ce serait le blanc
Le blanc pourrait faire référence à la neige évoqué par l'oncle Leni.
Le blanc est symbole de liberté, d'innocence et lorsque le peintre demande à K si il est innocent celui-ci lui répond oui.
Si je devais choisir un plat, je choisirai la pièce montée, comme William car je trouve que en effet ce plat est long et pas facile à réaliser mais en plus de ça il comporte plusieurs étapes comme le procès de K. et est compliqué à faire comme l'est le tache de K., s'innocenté.
Si je devais choisir un sport ce serait un marathon car K. court après son destin. Dans un marathon comme dans le procès il y'a un objectif gagner, dans le cas du marathon gagner la course, dans le cas de K. gagner son procès, prouver son innocence.

90. Le 13 octobre 2014, 22:31 par Thomas C

Si ce devait être une couleur:
ce serait le blanc car cela représente l'innocence, ce qui est le cas dans le procès de K, il n'y est pour rien et veut classer cette affaire et c'est là que je rejoind l'idée de mon plat
Si je devais choisir un plat:
je choisirai la ratatouille car c'est un mélange de "saveurs" tout les éléments y sont mélangés pour classer cette affaire les évènements de l'histoire sont représentés dans la ratatouille par des légumes
Si je devais choisir un sport:
ce serait la boxe car K vie un combat acharné pour prouver son innocence, il ne veut rien lacher et tous les évènements qui se passent sont comme une ruée de coups lors d'un combat

91. Le 13 octobre 2014, 22:53 par Thomas K.

-Si je devais choisir une couleur pour les chapitres suivants ce serrait le blanc.
Car le blanc représente la pureté, en quelque sorte l'inonence.
Enfin l'environnement se passe en hiver et est recouvert de neige.
-Si je devais choisir un plat ce serrait l'île flottante.
Car l'attitude que Mr. K. est posée est sereine.
Aussi, la couleur des blancs d’œufs me fait penser à la neige.
Enfin l'île flottante est un dessert qui est composé de crème et sur lequel est posé les blancs d’œufs, ce qui représente d’après moi le procès de K. qui est délicat.
-Si je devais choisir un sport je choisirais le marathon.
Car K. est fatigué du procès.
Dans les chapitres on a l'impression que tout le monde cours, que tout le monde est stressé par le temps.

92. Le 13 octobre 2014, 23:00 par SarahB

couleur : j'opte pour la couleure blanche car c'est la couleur qui represente l'innonce de K de plus il veut etre autonome et donc se defendre seul.
plat : si ce passage serai un plat j'opterai pour n'impirte quel plat qui a la forme d'une piece montée, car comme la dit Lea cette histoire est un acheminent de péripéties qui s'entassent les uns sur les autres.
Si ce passage était un sport je ne serai vvraiment pas quoi mettre mais l'idée de Charlotte intéressante, le fait de dire que ceux ci représente une sorte de marathon

93. Le 13 octobre 2014, 23:34 par Romain

Alors pour moi ce texte serait la couleur ou plutôt l'absence de couleur :noir.
- Le personnage s'arrete on ne sait pas pourquoi ...
-Beaucoup d'incompréhension le lecteur et trop désorientée ou du moins autant que Mr.K
-Le noir représente aussi l'atmosphère du texte , le personnage est toujours(souvent) dans des endroit dénuée de lumière.

Pour un plat je choisirais le gratin dauphinois car:
-il y a beaucoup d'ingrédients et donc de l'incompréhension
-il y a des étages comme quand Mr.K se perd .
- on se brûle souvent en entamant ce plat car il se sert chaud et pour moi sa représente la chaleur qui créa le malaise de Mr.K
Pour un sport je choisirais la boxe anglaise car:
-il faut etre rapide et endurant or Mr.K enchaine les événement sans répit.
-il faut etre fin et savoir répondre intelligemment et Mr.K en a besoin pour etre innocenter.
-forcément on prend des coups et dans ce texte on prend des coups jusqu'a qu'on en perde le fils.

94. Le 13 octobre 2014, 23:44 par Allan

Si mon choix était une couleur pour ces chapitres je choisirais
-le noir, en effet c'est une couleur qui peut importe si on n'y met d'autres couleurs reste noir, je m'explique : encore une fois le lecteur est comme abandonné et perdu dans le texte, les marqueurs de temps ne sont pas présents et cela nous entrainent une fois de plus dans l'incomprehension sur le deroulement de l'histoire.
-Pour K la situation est pareil : Les événements se succèdent ( l'arrivé de Léni qui lui fait du charme et son oncle qui n'entretient pas du tout une relation fraternel avec "Joseph" comme il l'appel ) ,cela me ramene a la couleur du noir qui retrenscrit bien le texte ,peu importe tous les evenements qui ont lieu ( reference aux couleurs ) l'incomprehension reste la meme ! ( la couleur reste noir ).
-Si c'était un plat se serait non pas un plat en lui meme mais plus un gateau je pense au "Napolitain" c'est un Gateau qui a pour base le chocolat ( ici K ) auxquelles s'ajoutent des couchent de gateau moelleux ( Léni qui lui fait du charme et son oncle qui essaye malgré tout de clamer l'innocence de K ) mais tout est legerements basées autour du chocolat ( k ) le cotés negatif du texte ( Léni a la fin et son oncle une fois de plus qui n'entretient plus les memes relations ) serait les eclats de chocolat posés sur le gateau qui rajoute une coté croquant et amerent parfois.
-Si cela était un sport ce serait sans nul doute la natation ! En effet le nageur represente bien ici K qui nage dans l'eau ( ici il nage dans tous les evenements qui lui tombent dessus ) mais pourtant qui laisse le lecteur au fond de l'eau du a son incomprehension ,se qui le noie totalement dans tous ces événements .

95. Le 14 octobre 2014, 00:16 par Nabil B

Pour ma part si je devais choisir :
- une couleur ce serait e blanc car cette couleur représente l'innocence de K, qui souhait absolument se sortir de cette affaire innocent, comme le veut son oncle, cependant son oncle renvoi plus une impression de ne pas vouloir que l'image de la famille soit sali.
- Un plat ce serait des raviolis car depuis le début l'oeuvre on sait que K ce fait interpellé mais on n'a pas su pourquoi donc les raviolis car avant de goûte/ouvre si on ne nous dit pas on ne peut savoir de quoi elle est construit, comme l'histoire.
- Un sport; je choisi le golf de part le milieu de K et ses relation

96. Le 16 octobre 2014, 15:28 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

Consigne de lecture pour la lecture du procès: si la fin était une couleur, un plat, un sport et une musique: mettre un lien internet pour qu'on puisse écouter.

97. Le 20 octobre 2014, 16:59 par Manon

Veuillez ne pas prendre en compte mon ancien envoi.

Si la fin était :

Un couleur : je choisirais le rouge étant donner de K se fit assassiner avec un couteau de boucher

Un plat : des lasagnes qui reprenne l'idée du rouge mais aussi car dans ce plat il y'a plusieurs couches cacher on ne s'attend donc pas a ce qu'il y a en dessous de chacune d'entre elle cela résume bien l'intrigue de ce roman

Un sport : la randonner car ce sport n'a pas de but précis comme ce roman me semble t il, de part son incohérence

Une musique : la symphonie n9 de Beethoven car c'est un classique ainsi que J.Kafka et cette musique est longue et pour ma part peu intéressante : http://youtu.be/t3217H8JppI

98. Le 22 octobre 2014, 16:27 par William

Pour ces derniers chapitre, si je devais choisir :
- Une couleur : Rouge. Rouge car le rouge représente la haine qu'éprouve K. vis à vis de l'avocat qu'il veut renvoyer, de Lenie, de Block et du directeur adjoint de la banque. Rouge car K. a eu une lueur d'espoir dans la cathédrale. Et le rouge représente le sang car K. meurt à la fin.
- Un plat : une tarte aux fruits rouges. Car c'est un dessert, ce qui annonce la fin. L'idée du rouge est reprise, il y a la douceur de la tarte ( l'amour qu'il avait pour Lenie ) et le rouge des fruits ( la haine qu'il ressent envers Lenie et tous les autres. Le dessert est le dernier plat qu'on mange, le gout reste, ce qui rappelle la dernière phrase ( "la honte devait lui survivre ")
- Un sport : Football. Car il a des adversaires. C'est un sport de compétition, comme la compétition qui règne entre K. Et le directeur adjoint. Il a un but a atteindre, se sortir de son affaire, même si il échoue.
- Une musique : Voyou de FAUVE. K. est quand même considéré comme coupable vu qu'il est condamné à la fin, pourtant il n'a rien fait. La haine peut être ressentie dans cette chanson. Et ce passage " Mais si un jour, on vient m'chercher,
J'résisterai pas, et j'sortirai les mains sur la têtes,
Sans faire d'ennui. " rappelle le moment où les deux hommes viennent chercher K. chez lui. Il ne résiste pas. http://www.youtube.com/watch?v=xcv0...

99. Le 25 octobre 2014, 20:19 par JulieA_1es2

Si la fin de l’œuvre était une couleur ce serait du noir car rien de positif n’apparait dans ces parties. En effet, K met fin à sa relation avec Leni, et également avec l’avocat. Et tout ce qui prend fin à un côté sombre et lugubre. Le noir représenterait aussi la « jalousie » qu’il éprouve face au Block, la jalousie qu’il éprouvait été malsaine car il prenait de haut cette personne et se sentait supérieur, il le méprisait presque. De plus, lorsqu’il se trouve dans la cathédrale, le noir y est encore présent car l’obscurité est quasi-total, K ne voit rien. Pour finir, le faîte qu’il se fasse tué à la fin renforce cette idée d’obscurité et de vide total. Il se fait tué alors qu’on ne sait finalement rien de ce procès et des raisons pour lesquels il s’est fait arrêté. Cette fin est tragique et incomplète.

Si ces parties étaient un sport ce serait du saut en parachute car c’est un sport où le vide est total. On se lance sans aucune retenue, il n’y a aucune limite, et tout malheur peut arriver si la descente n’est pas sécurisée. K quand à lui continu vers son but qui est sans issus, c’est comme si il se lançait dans le vide et que toute ces forces sont inutiles car il finit par mourir, il ne maîtrise pas la situation.

Si c’était un plat, ce serait une glace. En effet elle se sert en fin de repas pour le finaliser, c’est froid tout comme la fin de cette œuvre qui se fini en meurtre. De plus, la glace est un désert qui est très léger tout comme ces parties qui ne nous apprennent rien de plus et qui sont simples au niveau du contenu.

Si c’était une musique ce serait une musique violente avec un clip sombre et des images brusques au niveau du gestuel, car tout est sombre dans ces parties les évènements s’enchaînent, tout vas très vite. J’ai donc choisis ONE SHOT DES B.A.P http://www.youtube.com/watch?v=wls2...
Dans cette musique les paroles tourne autour d’une seule idée c’est qu’on a « qu’une chance » qu’il faut persévérer, et aller jusqu’au bout sur « ce chemin interminable». Dans l’œuvre le chemin représente le procès. Il faut « s’opposer aux visages qui nous entourent», c’est ce que fait K face à la justice. Cette musique met en avant le faîte d’être « une victime » ce que représente K. Dans la musique il est dit « fait entendre ta voix à tout le monde » c’est ce que cherche K auprès des femmes, qui cherche une aide vis-à-vis d’elles, il veut se faire entendre. Quand au prête il essaye de dissuader K de l’idée que ce soit l’accusé qui est été trahi, cette musique met aussi en avant qu’il ne faut pas « se faire piéger » par les personnes qui nous sont supérieurs.

100. Le 28 octobre 2014, 11:09 par Xavier.c

Si la fin de ce roman était :
-une couleur, je choisirais le rouge, signe de violence, et de haine entre kafka et l'avocat qui se croit "supérieur" à ses client. Rouge également pour représenter le sang, tout d'abord lorsque les agents se font fouetter, puis lorsque K. Ce fait assassiner.
-un plat: des pâtes bolognaises, les pates représentent K., et ses péripétie, et la sauces bolonaises représentent la violences et l'incomprehension de celui-ci, et lors de sa mort.
Un sport: le tennis, un match entre K. et la justice, il n'y aura pas de match nul, kafka essayera tant bien que mal de gagner ce match mais échouera.
Une musique: nique le système de sniper, c'est une chanson assez violente certes mais qui denonce le système, il y a un sentiment de haine et d'injustice que ces chanteur explique asser biens je trouve.

101. Le 29 octobre 2014, 12:50 par Gladys

Si la fin était :

Une couleur : Le rouge car le rouge est une couleur très ambigue qui représente tellement de choses différentes tous comme l'histoire et les comportements de K. Puis K ressent beaucoup de haine ce qui correspond bien à cette couleur puis le rouge représente aussi le sang puisque K. se fait assasinner à la fin du roman par un couteau.
Un plat : Une tarte aux fraises car c'est un dessert donc il se mange en dernier, à la fin , la couleur rouge des fraises correspond bien à la fin de ce romain par la haine, le sang, la mort...
Un sport : La lutte car c'est un sport de combat et K. c'est battu jusqu'a la fin pour s'en sortir et prouver son innocence puis il lutte contre plusieurs adversaires ce qui represente bien la fin du roman, l'objectif de ce sport est de remporter ce combat K a essayer jusqu'à la fin malgres que ce soie lui qui est " perdu " le combat en se fesant assasiner.
Une musique : Encore un matin de Jean-Jaques Goldman : https://www.youtube.com/watch?v=P6Z... car a chaque fois c'est un matin qu'il se passe quelque chose ( au début quand K. se fait arreter ) et c'est encore un matin ou deux hommes viennent pour exécuter K. puis cette chanson correspond bien...

102. Le 02 novembre 2014, 11:16 par Hugo

Si ces derniers chapitres étaient :
-Une couleur, le rouge car K. ressent de la haine face à tous les autres personnages. De plus celui-ci va mourir à l'aide d'un couteau, le rouge étant la couleur du sang.

-Un plat, des lasagnes, j'ai déjà choisi cette couleur pour d'autre passage du roman et je trouve qu'il représente bien celui-ci car déjà les lasagnes sont composées de rouge, couleur du sang et de plus elles sont composées de plusieurs étages représentant les différentes étapes du procès pour arriver enfin jusqu'à sa mort.

-Un sport, un sorte de combat de boxe où il serait seul contre tous, c'est un sport qui se termine avec forcément un gagnant et un perdant et K. veut absolument terminer son procès, qu'il le gagne ou qu'il le perde mais comme dans tous sports bien évidemment il cherche la victoire.

-Une musique, ne trouvant pas de musique j'ai écouté les musiques proposés par mes camarades et j'ai trouvé celle que William a choisi est très représentative du texte. K. est considéré comme coupable alors qu'il n'a rien fait et la haine est ressentie dans cette chanson.

103. Le 02 novembre 2014, 11:37 par Aurélien

Si c'était une couleur, j'hésite entre le blanc et le gris, ce serait donc un blanc grisâtre car c'est l'hiver mais un jour d'hiver sombre où il n'y a presque pas de lumière, un jour déprimant.

Si c'était un plat, ce serait les raviolis car la fin de K se termine dans un bain de sang comme la sauce tomate dans lesquels baignent les raviolis. De plus, les raviolis sont farcis d'un mélange de viandes comme l'histoire de K qui est un mélange de haine.

Si c'était un sport, ce serait la plongée sous-marine car K est toujours seul dans une pièce et "plonge" toujours dans l'obscurité, un peu comme un plongeur qui descend dans les profondeurs obscures de la mer.

Si c'est une musique, ce serait le REQUIEM de MOZART (musique pour les morts) car la mort de K est une véritable boucherie. De plus, en écrivant son Requiem, Mozart annonçait sa propre mort.
http://www.youtube.com/watch?v=Zi8v...

104. Le 02 novembre 2014, 17:48 par antoine

Si ces derniers chapitres étaient :
-Une couleur; ce serai je pense le rouge pourpre tout simplement parce que le rouge pourpre représente le sang et donc la mort de K à la fin du roman et de façon brutale d'où le rouge pourpre qui ramène à penser à un rouge sali.

-Si c'était un sport je dirai un armarital avec mise à mort ou il y aurait K et les deux hommes de la fin qui s'affronte! Dans le livre K essaye tant bien que mal de résister à ces deux hommes noirs mai en vain. De plus K ce bas contre son proces tout au long du livre egalement il met sang et eau pour essayer de gagner celui ci.

-si c'était un plat ce serai un dessert car c'est la fin du repas ce qui correspond à la fin du livre et le plat serai un gà te au aux carrotes car étant un dessert on s'attend a quelques choses de sucré c'était un choc on ne s'attend pas à avoir du salé. Comme dans la fin du roman, on ne s'attend pas trop à ce que K. meurt, je pensais que les deux hommes aurait fait comme les deux hommes du début. Ou du moins que ces deux hommes l'emmène à quelqun ou quelque part. Mais je ne m'attendais pas à une fin aussi brusque et "prématuré"

Si c'était une musique ce serai une musique triste car le héros meurt à la fin du roman j'ai donc décidé de prendre une musique de film où le héros mourrait également à la fin le film est : "Je suis une légende" (ce film est bizare, un peux comme le livre mais ne va pas jusqu a l'absurde du livre) : https://m.youtube.com/watch?v=_OFVU...

105. Le 02 novembre 2014, 17:48 par Alexis G.

Si la fin était :

   Une couleur, sa serait le noir qui signifie, l’inconnu, la mort, la perte de K le soir même de son anniversaire.
   Un plat, Brownies marbré aux cerises noires, munis d’une  petite touche acidulée de cerises noires qui annonce une fin crémeuse. L’idée du dessert qui annonce la fin.
   Un sport, se serait du ski hors-piste car K continu son chemin semé d’embuche jusqu’à sa « chute fatal »
   Une musique, sa serait : [https://www.youtube.com/watch?v=MK2iLnTR9V8] , « Lavender Town Fréquences manquantes" ». Je trouve qu’il y a un lien entre ce mythe et le roman de Franz, La solitude, la mort, le mystère.
106. Le 02 novembre 2014, 22:51 par Samy.V

Si la fin était une couleur, je choisirai le Noir. Le Noir est surtout sous sa symbolique négative et froide : il symbolise l'épreuve, le néant, le chaos, la mort... Car K. a beau vouloir lutter, nous ne percevons au fil du récit aucune éclaircie, aucune lueur d'espoir pour lui. Il fait très sombre dans le domicile de l'avocat qui est très peu éclairé. K. auparavant confiant devient suspicieux, agressif dans son rapport avec les autres. Le noir aussi pour la tenue de K., résigné, la veille de son 31°anniversaire quand on viendra le chercher pour le conduire à sa mort.

Si la fin était un sport, je choisirai le saut en chute libre. Une chute libre avec une fin dramatique car le parachute ne déployera pas. Le parachute pouvant être une justice juste ou un avocat compétent pour une défence convenable afin d'être innocenté. Quand K. annonce à Huld sa décision, celui çi tentera de le "raisonner" puis décide de lui prouver de façon curieuse qu'il a été traité de manière plus qu'indulgente...

Si la fin était un plat, je choisirai un sashimi d'un poisson japonais appellé FUGU ( ou poisson globe - ballon ). C'est un poisson dont le foie, les ovaires et les yeux contiennent un poison très toxique sans antidote connu. Mal préparé et nettoyé, il conduit à une intoxication à la Tetrodotoxine qui paralyse les muscles ( comme K. qui se fatigue en essayant de s'en sortir) et conduit inévitablement à la mort par arrêt cardiaque. Le procès intenté ne relève d'aucun code, d'aucune logique et K. est mal préparé lui aussi. Le procès ne pouvait pas s'achever ni sur un acquittement ni sur une condamnation, puisque Joseph K. n'était coupable de rien sauf d'éxister...

Si la fin était une musique, je choisirai " Le Carmina Burana O Fortuna" qui revèle une émotion dramatique. Quand les deux bourreaux viennent le trouver à son domicile, K n'offre pratiquement aucune résistance. Il semble conscient que son heure est venue. Il se demande juste au moment fatidique s'il a bien tout mis en oeuvre pour se défendre puis on lui plantera ensuite un couteau de boucher en plein coeur. O Fortuna est constitué de courtes phrases dont les mots ont été choisis pour l’assonance plus que pour le sens. Cela explique le manque de signification globale du texte et le peu d’enchaînement entre les paragraphes... Tout comme l'histoire de K. confronté à une situation absurde à la fin dramatique et comme "Le Procès" sous sa forme originale qui apparait comme une suite de tableaux distincts, sans transition évidente de l'un à l'autre et qui est un texte inachevé... http://www.youtube.com/watch?v=PzMB...

107. Le 03 novembre 2014, 08:39 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

Sujet: pour vous, qu'est-ce qu'un personnage de roman "réussi"?

108. Le 03 novembre 2014, 08:47 par JulieA_1es2

Je pense qu’un personnage de roman réussi doit être attirant et attachant pour donner au lecteur l’envie de le suivre dans son histoire. :-) Il doit savoir porter l’attention sur lui est être différent des autres pour se démarquer. :p Si le personnage est décalé pour moi je trouve que c’est encore mieux car je n’aime pas les gens trop communs et banals. De plus si le personnage n’est pas commun l’attention est alors porter sur lui ce qui rend ce personnage « réussi » car il a réussi à tourner les regards sur lui ce qui le rend intéressant. :siffle: Un personnage réussi serait également un personnage au quel on peut s’identifier, au quel on pourrait se mettre à sa place :-D

109. Le 03 novembre 2014, 08:47 par Thomas D.

Pour moi, un personnage de roman réussi est un personnage auquel on peut s’identifier. O-) Peu importe si c’est un héros ou un anti-héros, je serai plus touché par l’histoire si il me ressemble moralement. De plus, il faudrait que ce héros vive à notre époque. Un personnage de roman ne doit pas être ennuyeux, sinon je me lasse et je ne finirai pas le livre. :-/

110. Le 03 novembre 2014, 08:48 par nicolas D

Pour moi un personnage de roman réussi c’est un personnage s’adaptant au contexte :-) c'est-à-dire qu’il s’adapte à sa situation ou à la situation des autres. Il ne doit pas provoquer le lecteur afin de ne pas rendre la lecture triste ou violente. 8-) Il peut faire vivre le lecteur dans certains genres de roman. Il doit rendre la lecture à la fois curieuse mais non dérangeante c'est-à-dire qu’il doit maintenir le lecteur dans le roman sans trop lui faire poser de question.

111. Le 03 novembre 2014, 08:48 par Quentin

Un personnage de roman « réussi » doit être en accord avec l’histoire. Il faut que le lecteur puisse s’identifier à se personnage, qu’il se retrouve en lui :). Je pense que le personnage doit être au cœur de l’histoire. Pour moi, toute l’histoire doit tourner autour du personnage de roman si c’est un personnage principal. L'histoire ne doit pas tourner autour d'un autre personnage qui n'est pas principal ;(' .

112. Le 03 novembre 2014, 08:48 par Morgan

Pour moi un personnage de roman réussi est un personnage dans lequel on peu s'identifier tout en restant en accord avec le roman. :-) Je trouve que pour qu'il soit réussi il doit d’abord nous correspondre. Évidement chaque personnage ne correspond pas a tout le monde. Cela dépendra des idées, des traits de caractères etc … ;-)

113. Le 03 novembre 2014, 08:48 par Amandine

Pour moi, un personnage de roman « réussi » c’est lorsque son histoire ce fini bien, lorsque celui-ci n’est pas méchant. C’est quand il sauve des gens et qu’il est un « héro ». On peut aussi parler d’un personnage de roman « réussi » lorsque l’histoire est tragique. :-| Par exemple si le personnage meurt en ayant accomplie une bonne chose, celui-ci devient alors un héro. Je pense que un personnage de roman « réussi » doit être gentil. :-)

114. Le 03 novembre 2014, 08:48 par Maxime F

Pour ma part, un personnage de roman est réussi quand il sort du commun, il est différent des autres : c'est-à-dire, pas une personne normal comme on peut l’être. Ensuite un personnage est réussi quand on le met en valeur avec ses atouts physiques, moraux ou bien intellectuels. 8-O Il est aussi réussi quand on connaît tout de lui : son physique, ses sentiments, son passé, ses ambitions… Enfin pour ma part il est réussi quand il n'est pas méchant. !-(

115. Le 03 novembre 2014, 08:48 par Erwan

Pour ma part un personnage de roman réussi c’est un personnage qui colle bien avec le roman en question :siffle: . Il faut que le caractère, l’attitude et le physique du personnage soit en adéquation avec le texte, ce doit être cohérent. Il faut que quand on lit le roman on puisse imaginer le personnage, le voir dans sa tête. J’aime bien aussi pouvoir m’identifier au personnage, pouvoir me demander ce que j’aurais fait si j’avais été à sa place :-) . Le personnage doit nous transmettre ses émotions O-) . C’est lui qui doit nous accrocher au texte, c’est lui qui doit nous donner envie de continuer à lire le roman. ;-)

116. Le 03 novembre 2014, 08:48 par Thomas C

Pour moi un personnage de roman « réussi » c'est quand on peut s'imaginer à sa place, on peut s'apercevoir dans le personnage, il peut nous représenter, quand il est différent de d'habitude, et surtout des autres personnages, quand on sait tout de lui, ses sentiments, ses pensées, sa description physique. Pour moi ce sont les éléments essentiels pour un personnage de roman "réussi". :-)

117. Le 03 novembre 2014, 08:49 par Nicolas B 1ES2

Je pense qu’un personnage de roman est réussi à partir du moment où il est complet, que l’on ait suffisamment d’information pour pouvoir le comprendre, que l’on puisse l’imaginer (physiquement), appréhender ses réactions et que l’on puisse s’attacher à lui ou le haïr, je crois que c’est l’élément essentiel. :siffle:
J’ajouterai qu’il faut aussi qu’il s’intègre au texte, qu’il ne fasse pas « tache », qu’il soit dans approprié au scénario, au lieu, à la période. :-) Le personnage doit vraiment s’accoler et avoir un caractère propre à lui, qu’il est une vraie importance au travers du récit.
Le plus important ce doit être le message qu’il doit laisser passer, je ne m’imagine pas un roman où le personnage ne symbolise même pas quelque chose. ;('
Je pense que c’est tout ce qui me viens à l’idée ! :-|

118. Le 03 novembre 2014, 08:49 par Antoine

Selon moi un personnage de roman réussi, n’a pas besoin d’avoir de critère spécial. Il peut très bien être un héros comme un opposé du héros. Il doit cependant être lui-même ne pas chercher a être quelqu'un d’autre, ne pas changer ces habitudes. Si il est maladroit et a tendance à être souvent en retard alors il ne change rien ! :-C Personnellement je préfère que le personnage soit comme ça plutôt qu’il soit grand fort, et puissant comme dans la plupart des romans. En fait un personnage de roman « réussi » est un personnage qui réussi à nous séduire, qui nous « parle » au quel on pourrait éventuellement s’identifier dans le quel on pourrait ce retrouver. Évidement si il s’agit d’un tueur en série et qu’on s’identifie a lui il faut ce poser certaine questions... :-| mais ce personnage peut séduire dans sa façon d’agir, dans ce qu’il dégage, etc. :mdr:
En bref pour moi un personnage « réussi » est un personnage naturel un peux déganté sur les bords et n’a pas forcement la carrure, le mental et le physique d’un héros ou super héros. :-)

119. Le 03 novembre 2014, 08:49 par Julie C

Pour moi, un personnage de roman réussi est un personnage qui nous fait bien ressentir ses émotions à travers ce qu’il dit. C’est un personnage dans le quel nous pouvons nous identifier, qui nous dit tout sur lui. Il faut qu’ont aient l’impression de le connaître. :-) Cette impression doit être présente pour tous les personnages même si l’auteur ne nous dit pas tout sur celui-ci, ont doit quand même pouvoir ce mettre dans la peau de ce personnage et le comprendre. Il doit également allée avec le contexte du texte et ne pas paraître a côté de l’histoire. ;(' Il doit aussi nous faire vivre celle-ci comme si nous y étions.

120. Le 03 novembre 2014, 08:49 par William

Un personnage de roman que l’on défini comme « réussi » serait, selon moi, un personnage auquel les lecteurs peuvent s’identifier, se reconnaître ;-) . Par ses problèmes, son quotidien, son caractère, le lecteur peut s’imaginer dans sa peau. Je pense que nous pouvons reconnaître ce personnage par rapport à son histoire, il peut être considéré comme un héro à la fin du roman car il a réussi à s’en sortir seul, ou avec l’aide d’autres personnages, ou il a réussi à résoudre ses problèmes. Je pense également qu’un personnage de roman réussi est imprévisible, le lecteur doit se poser des questions et avoir envie de lire la suite du roman sans pouvoir deviner ses réactions, son comportement :-o … J’apprécie lorsqu’il a un trait de caractère qui le caractérise et grâce auquel on peut le reconnaître : qu’il soit froid, sensible, indifférent :-C , impliqué…

121. Le 03 novembre 2014, 08:50 par Aurélien

Pour moi, un personnage de roman réussi doit s’identifier en éprouvant des sentiments ( colère, joie, amour, … ). L’auteur doit donner des éléments qui trouve essentiels dans la vie du personnage au lecteur. :-)

122. Le 03 novembre 2014, 08:51 par xavier c

Un personnage de roman doit avoir pour moi de nombreuses qualités comme le fait d'etre intriguant. Je trouve qu'il est important que ce personnage est un coté mysterieux et c'est ce qui me donnera envi de lire la suite. Sa personnalité doit ressortir et si possible il doit se détacher des autres .Lors des différentes scene, on ne doit retenir seulement sont attention. J'aprecie quand je ne connais pas les limite du personnage, lorsqu'il est capable de faire des chose qui puisse me surprendre.

123. Le 03 novembre 2014, 09:15 par xavier c

Un personnage de roman doit avoir pour moi de nombreuses qualités comme le fait d'etre intriguant. Je trouve qu'il est important que ce personnage est un coté mysterieux et c'est ce qui me donnera envi de lire la suite comme Meuresault dans l'étranger, on ne connais pas ses pensés profonde.La personnalité doit ressortir et si possible il doit se détacher des autres .Lors des différentes scene, on ne doit retenir seulement sont attention. J'aprecie quand je ne connais pas les limite du personnage, lorsqu'il est capable de faire des chose qui puisse me surprendre. J'apprécie le fait que ce soit un anti heros, son cot és méchant peut etre un atout, cela peut représenter le fait que l'on s'attache a lui. Meursault ne reprersente pas cela pour moi, mon attention n'est pas assez porté sur lui et le manque d'action ne me donne pas envie d'aller jusqu'au bout. Dans le procès en revanche le fait que K soit plus ou moins passif, et qu'il ne soit pas maître de son destin, cela représente quelque chose d'important et me donne envi d'aller jusqu'au bout.

124. Le 03 novembre 2014, 09:18 par Thomas D.

Pour moi, un personnage de roman réussi est un personnage auquel on peut s’identifier. O-) Peu importe si c’est un héros ou un anti-héros, je serai plus touché par l’histoire si il me ressemble moralement. Il est aussi réussi quand on connaît tout de lui, par exemple, on ne connaît rien de Meursault dans l’Etranger et cela me gène. :-| :-| Il doit rendre la lecture à la fois curieuse mais non dérangeante c'est-à-dire qu’il doit maintenir le lecteur dans le roman sans trop lui faire poser de question, pas comme Kafka. :-C
De plus, il faudrait que ce héros vive à notre époque. Un personnage de roman ne doit pas être ennuyeux et nonchalant comme Meursault, sinon je me lasse et je ne finirai pas le livre. :-/
Il faut que lorsqu’on lit le roman on puisse imaginer le personnage, le voir dans notre tête. :siffle: Il doit aussi nous transmettre ses émotions, ce que ne fait pas Meursault. ;('

125. Le 03 novembre 2014, 09:18 par Erwan

Pour ma part un personnage de roman réussi c’est un personnage qui colle bien avec le roman en question :siffle: . Il faut que le caractère, l’attitude et le physique du personnage soient en adéquation avec le texte, ce doit être cohérant, par exemple dans l’Etranger d’Albert Camus, l’indifférence de Meursault est cohérent avec le texte assez ennuyant. Il faut que quand on lit le roman on puisse imaginer le personnage, le voir dans sa tête. J’aime bien aussi pouvoir m’identifier au personnage, pouvoir me demander ce que j’aurais fait si j’avais été à sa place. Le personnage doit nous transmettre ses émotions O-) . C’est lui qui doit nous accrocher au texte, c’est lui qui doit nous donner envie de continuer à lire le roman, par exemple Meursault ne me donne pas envie de lire le texte il le rend ennuyant, j’ai envie d’imiter Meursault, c'est-à-dire d’être comme lui d’être indifférent mais au texte. De plus, il faudrait que ce héros vive à notre époque. Un personnage de roman ne doit pas être ennuyeux, sinon je me lasse et je ne finirai pas le livre. :-/ Évidement chaque personnage ne correspond pas a tout le monde. Cela dépendra des idées, des traits de caractères etc … ;-) Le plus important ce doit être le message qu’il doit laisser passer, je ne m’imagine pas un roman où le personnage ne symbolise même pas quelque chose. ;('

126. Le 03 novembre 2014, 09:19 par William

Un personnage de roman que l’on défini comme « réussi » serait, selon moi, un personnage auquel les lecteurs peuvent s’identifier, se reconnaître. Par ses problèmes, son quotidien, son caractère, le lecteur peut s’imaginer dans sa peau comme K. dans le procès, c’est un personnage commun, qui n’a rien de spécial, on connaît tout de lui : son travail, son quotidien, ses relations :-) ... Je pense que nous pouvons reconnaître ce personnage par rapport à son histoire, il peut être considéré comme un héro à la fin du roman car il a emploi tous les moyens pour s’en sortir seul, ou avec l’aide d’autres personnages. Par exemple, afin de sortir de son procès, K tente, par tous les moyens de prouver qu’il est innocent 8-O . Je pense également qu’un personnage de roman réussi est imprévisible, le lecteur doit se poser des questions et avoir envie de lire la suite du roman sans pouvoir deviner ses réactions, son comportement… J’apprécie lorsqu’il a un trait de caractère qui le différencie des autres personnages et grâce auquel on peut le reconnaître : qu’il soit froid, sensible, indifférent, impliqué…
Dans l’Etranger, Meursault est un personnage presque imprévisible, le meurtre de l’arabe n’est pas attendu de sa part ;(' .

127. Le 03 novembre 2014, 09:19 par nicolas D

Pour moi un personnage de roman réussi c’est un personnage s’adaptant au contexte c'est-à-dire qu’il s’adapte à sa situation ou à la situation des autres tout en transmettant ses véritables émotions en les cachant à son interlocuteur. En effet dans l’Etranger de Camus Meursault dit des chose qu’il ne pense pas à son patron en effet il s’excuse de la mort de sa propre mère alors qu’après il dit à son amis que ce n’était pas à lui de s’excuser. Il ne doit pas provoquer le lecteur afin de ne pas rendre la lecture triste ou violente, il peut être un peu déganté pour rendre la lecture plus ludique comme dans l’Etranger de Camus où Meursault parait fou car il dit des choses inapproprié au contexte en « provoquant « son interlocuteur. Il peut faire vivre le lecteur dans certains genres de roman. Il doit rendre la lecture à la fois curieuse mais non déroutante c'est-à-dire qu’il doit maintenir le lecteur dans le roman sans trop lui faire poser de question.

128. Le 03 novembre 2014, 09:19 par Maxime F

Pour ma part, un personnage de roman est réussi quand il sort du commun, il est différent des autres : c'est-à-dire, pas une personne normal comme on peut l’être, par exemple dans L’Etranger, Meursault est différent de nous suite à son comportement face à la mort de sa mère ou bien la demande en Mariage de Marie. Ensuite un personnage est réussi quand on le met en valeur avec ses atouts physiques, moraux ou bien intellectuels. 8-O Il est aussi réussi quand on connaît tout de lui : son physique, ses sentiments, son passé, ses ambitions… Enfin pour ma part il est réussi quand il n'est pas méchant !-( , en effet. Dans L’Etranger je n’apprécie pas le personnage de Meursault suite au meurtre de l’arabe mais on peut penser qu’il est gentil car il avoue tout, il est honnête, ce qui nous fais une leçon de moral. :-|

129. Le 03 novembre 2014, 09:19 par Thomas C

Pour moi un personnage de roman « réussi » c'est quand on peut s'imaginer à sa place, on peut s'apercevoir dans le personnage, il peut nous représenter, par exemple. Quand il est différent de d'habitude, et surtout des autres personnages comme par exemple dans L'étranger : Meursault est différent des autres il tue quelqu'un en tirant plusieurs fois dessus et finis condamné à mort alors que la plupart des personnages sont des« héros » ils ne sont pas en prison ni condamnés :-| . Quand on sait tout de lui, ses sentiments, ses pensées, sa description physique, dans l'Etranger de Camus nous savons ce qu'il ressent, et notamment grâce à la BD où il est descris physiquement. Il faut qu'il soit attirant, attachant, il faut que l'histoire soit autour de lui qu'il soit au centre de l'attention comme le personnage Meursault dans L'étranger , tout tourne autour de lui, son procès, sa condamnation, la mort de sa mère, la demande en mariage etc, et qu'il fasse passer un message. :-)

130. Le 03 novembre 2014, 09:19 par Morgan

Pour moi un personnage de roman réussi est un personnage dans lequel on peu s'identifier tout en restant en accord avec le roman. ;-) Je trouve que pour qu'il soit réussi il doit d’abord nous correspondre, sortir du commun. Il ne doit pas être trop ennuyeux comme meursault a début de l'étranger. ;(' Il faut qu'on le voit dans notre tête. Évidement chaque personnage ne correspond pas a tout le monde. Cela dépendra des idées, des traits de caractères etc … Ensuite un personnage est réussi quand on le met en valeur avec ses atouts physiques, moraux ou intellectuels. Le personnage doit nous transmettre ses émotions et être complet. Il faut que l'on ait suffisamment d’information pour pouvoir le comprendre. Dans Le Procès, K n'est pas assez décrit et on ne connaît pratiquement rien sur lui se qui rend la lecture plus complexe.Le plus important ce doit être le message qu’il doit laisser passer. :-)

131. Le 03 novembre 2014, 09:20 par Quentin

Un personnage de roman « réussi » doit être en accord avec l’histoire. Il faut que le lecteur puisse s’identifier à se personnage, qu’il se retrouve en lui. Exemple : Dans l’Education sentimentale de Gustave Flaubert, le personnage principal Frédéric Moreau est un jeune bachelier de 18 ans, c’est un personnage banal auquel on peut s’identifier. Je pense que le personnage doit être au cœur de l’histoire. Pour moi, toute l’histoire doit tourner autour du personnage de roman si c’est un personnage principal. Exemple : l’Etranger de Albert Camus trace l’histoire de Meursault tout au long du roman. Le personnage peut également sortir du commun, ce qui le rend intéressant. Exemple : Meursault, le personnage de l’Etranger est un personnage qui ne ment jamais, ce qui le rend différents des autres. Toutefois ce personnage doit rester réaliste, il ne doit pas être idéalisé. Exemple : Toujours dans l’Etranger, le personnage de Meursault reste simple et n’est pas idéalisé pas Camus. :-)

132. Le 03 novembre 2014, 09:20 par Amandine

Pour moi, un personnage de roman « réussi » c’est lorsque son histoire ce fini bien, :-) quand il y a tous les éléments essentiels et qu’il sort du commun comme par exemple dans l’Étranger de Camus, ou le personnage est mis en valeur. Celui-ci s’intègre parfaitement au texte et réussi à nous séduire par son indifférence et du fait qu’il sort du commun.
On peut aussi parler d’un personnage de roman « réussi » lorsque on arrive à ce mettre dans la peau de ce personnage et à le comprendre. Le plus important ce doit être le message qu’il doit laisser passer. Dans le Procès de Kafka, le personnage arrive à porter l’attention sur lui est être différent des autres. On arrive à ce mettre dans la peau du personnage et le comprendre. :-/

133. Le 03 novembre 2014, 09:20 par Nicolas B 1ES2

Je pense qu’un personnage de roman est réussi à partir du moment où il est complet, que l’on ait suffisamment d’information pour pouvoir le comprendre et bien le connaître, de son passé, de ses ambition, de ses sentiments et que l’on puisse l’imaginer (physiquement) O-) , appréhender ses réactions et que l’on puisse s’attacher à lui ou le haïr voir s’identifier en lui héro comme anti-héro, je crois que c’est l’élément essentiel, :siffle: en prenant l’exemple de « Demain » de Musso, le personnage principal s’est directement éclaircie dans mes pensées, je sais tout de lui, comme si l’on avait été ami depuis toujours, :-) il m’avait comme séduit, je compatissais, et ses attrait physique, moraux et intellectuel donnait presque envie d’être à sa place, O-) les autres personnages du livre laissaient le même aperçu de familiarité, j’avais l’impression d’être à leur côté, d’être un fantôme qui parcouraient leurs vies et leurs aventures. :mdr:
J’ajouterai qu’il faut aussi qu’il s’intègre au texte, qu’il ne fasse pas « tache », ;(' qu’il soit dans approprié au scénario, au lieu, à la période. Le personnage doit vraiment s’accoler et avoir un caractère propre à lui, et qu’il me séduise de par ça. qu’il est une vraie importance au travers du récit comme dans « Central Park » encore une fois de Musso, dont le personnage principal est incroyablement surprenant du début à la fin, O-) il nous séduit, on s’identifie, on s’attache, si l’on pouvait l’aidée et traverser la barrière du livre on le ferrait ! :-C
Le plus important ce doit être le message qu’il doit laisser passer, je ne m’imagine pas un roman où le personnage ne symbolise même pas quelque chose. Meursault dans « l’étranger » a une vraie symbolique, O-) qui change entre le début et la fin du texte, qui le rends presque poétique, ça ne veut pas dire qu’il nous plaît forcément, ce n’est pas un héro, mais simplement un symbole qui s’adresse au lecteur et je trouve ça beau. :siffle:

134. Le 03 novembre 2014, 09:20 par JulieA_1es2

Je pense qu’un personnage de roman réussi doit être attirant et attachant pour donner au lecteur l’envie de le suivre dans son histoire. :-) C’est lui qui doit nous accrocher au texte et qui doit nous donner envie de continuer à lire le roman. Il doit rendre la lecture à la fois curieuse mais non dérangeante c'est-à-dire qu’il doit maintenir le lecteur dans le roman sans trop lui faire poser de question. :-D Il doit réussir à nous séduire, il doit être un personnage qui nous « parle ». Il doit savoir porter l’attention sur lui est être différent des autres pour se démarquer et ne doit pas être ennuyeux. :siffle: Il peut être soit un héros ou un anti-héros, cela à peut d’importance car le plus important c’est que l’on puisse s’attacher à lui ou le haïr. 8-) Si le personnage est décalé pour moi je trouve que c’est encore mieux car je n’aime pas les gens trop communs et banals, il doit sortir du commun. De plus si le personnage n’est pas commun l’attention est alors porter sur lui ce qui rend ce personnage « réussi » car il a réussi à tourner les regards sur lui ce qui le rend intéressant, c’est un personnage qu’on doit mettre en valeur, qu’on puisse imaginer le personnage et le voir dans sa tête. O-) Par exemple Meursault de l’Étranger qui est un personnage assez décalé est un personnage réussi. Son indifférence nous intrigue et du coup on s’intéresse à lui car on n’est curieux de cette personnalité qu’il a. Son comportement attire l’attention car il est très différent et surprenant. A la fin de l’Étranger celui-ci s’adoucit et s’ouvre enfin à nous ce qui nous fais ressentir tout sorte d’émotion pour la toute première fois. :-) A l’inverse K est un personnage banal et sans intérêt il est très ennuyeux et ne nous donne pas envie de suivre l’histoire. :-C
Un personnage réussi serait également un personnage au quel on peut s’identifier et qui pourrait nous corresponde, au quel on pourrait se mettre à sa place. Le personnage doit nous transmettre des émotions et un message ;-( :-)

135. Le 03 novembre 2014, 09:21 par Julie C

Pour moi, un personnage de roman réussi est un personnage qui nous fait bien ressentir ses émotions à travers ce qu’il dit, il doit être attirant et attachant pour donner au lecteur l’envie de le suivre dans son histoire. On doit pouvoir appréhender ses réactions et que l’on puisse s’attacher a lui. C’est un personnage dans le quel nous pouvons nous identifier, peu importe si c’est un héros ou un anti-héros, je serai plus touché par l’histoire si il me ressemble moralement. Dans l’étranger, le personnage principal Meursault est un personnage mystérieux au début, qui ne semble rien ressentir ce qui nous donnent envie de poursuivre la lecture pour le connaître de plus en plus. Au cours de l’histoire Meursault attise de la pitié, nous avons de la peine pour lui suite à la perte de sa mère mais plus les évènements s’enchaînent et moins nous avons envie de savoir ce qu’il ressent. Pour ma part, a un certain moment j’ai décroché car je ne ressentais plus de peine pour lui, même si la fin m’à plut. De plus, il faudrait que ce héros vive à notre époque. Il faut qu’ont aient l’impression de le connaître. Il faut également que quand on lise le roman on puisse imaginer le personnage, le voir dans sa tête.
Cette impression doit être présente pour tous les personnages même si l’auteur ne nous dit pas tout sur celui-ci, ont doit quand même pouvoir ce mettre dans la peau de ce personnage et le comprendre. Il doit également allée avec le contexte du texte et ne pas paraître a côté de l’histoire. Il doit aussi nous faire vivre celle-ci comme si nous y étions. Dans le journal d’Anne Franck, c’est le cas. Grâce a ce personnage qui est pour ma part très réussi nous vivons l’histoire et tous ces évènements comme si nous y étions, nous ressentons tout ce qu’elle peut ressentir. Le plus important ce doit être le message que le personnage doit laisser passer et ce personnage réussi a faire passer le message qu’il souhaite. :-)

136. Le 03 novembre 2014, 09:22 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

http://blog.crdp-versailles.fr/1erelnerval/public/Textes_complementaires_roman.pdf

texte 1: Milan Kundera, Le Rideau, 2005 (page 92 du manuel)
texte 2: J. Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman, 1963 (page 43 du manuel).

137. Le 03 novembre 2014, 09:22 par Antoine

Selon moi un personnage de roman réussi, n’a pas besoin d’avoir de critère spécial. Il peut très bien être un héros comme un anti-héros. Il doit cependant être lui-même ne pas chercher a être quelqu'un d’autre, ne pas changer ces habitudes. Notamment dans « L’Etranger » Meursault est le héros mais n’a rien de celui-ci, il est mystérieux, on ne sait pas a quoi il pense, il est froid et met mal à l’aise mais en fin de compte il est lui-même et c’est ça qui peut séduire certains d’entre nous, moi je n’aime pas ce personnage il n’est pas assez « vivant » à mon goût ety est beaucoup trop ennuyeux, il ne se bouge pas !!! :-C . Joseph K. lui ressemble beaucoup a Meursault il subit les mêmes sort, le procès, la mort a la fin etc., mais est je trouve beaucoup plus « vivant » il est parfois joyeux et heureux choses qui n’arrivait que a la fin de L’Etranger pour Meursault. Évidement chaque personnage ne peut pas être aimé de tout le monde. Cela dépendra des idées, des traits de caractères de chaque lecteur.

En fait un personnage de roman « réussi » est un personnage qui réussi à nous séduire, qui nous « parle » au quel on pourrait éventuellement s’identifier dans le quel on pourrait ce retrouver. Evidement si il s’agit d’un tueur en série et qu’on s’identifie a lui il faut ce poser certaine questions, mais ce personnage peut séduire dans sa façon d’agir, dans ce qu’il dégage, etc. par exemple le personnage Barbe Bleu tue un nombre de femme incalculable mais cela donne du « charme » a ce personnage, certes un peux sadique mais encore une fois certains lecteurs seront sensibles a ça ou non.

En bref pour moi un personnage « réussi » est un personnage qui dépend beaucoup du point de vue du lecteur, un personnage réussi n’est pas forcement le même pour tout le monde. Et dépend beaucoup de la personnalité du lecteur.

138. Le 03 novembre 2014, 09:22 par Nabil B

8-O Selon moi un personnage de roman réussi est un personnage au quel on peut s’identifier et originale. Je pense qu’il doit coller au roman et s’adapter au contexte. Le personnage doit savoir ce démarquer des autre et attirer les regards vers lui. Pour moi le personnage n’est pas obligé d’être bon ou non !-( meursault dans l'étranger est un assassin .Il peut etre un héros comme il peut être un antihéros.
Le personnage doit savoir ce faire admirer d’une certaine manière afin que nous lecteur nous ayons envi de continuer cette lecture. Le personnage doit son histoire intéressante et nous devons être omniscient 8-O

139. Le 03 novembre 2014, 09:22 par Aurélien

Pour moi, un personnage de roman réussi doit s’identifier en éprouvant des sentiments (colère, joie, amour, …) comme Meursault ou K qui se mettent en colère contre la justice et tout les autres. L’auteur doit donner des éléments qui trouve essentiels dans la vie du personnage au lecteur

Un personnage de roman doit être un personnage naturel et qui ‘na pas un physique d’un super héros comme Joseph k qui n’arrive pas à surpasser toutes ses étapes, qui est perdu à cause de ses évènements cela prouve que ce n’est pas un super héros mais un personnage humain avec ses problèmes.

Un personnage de roman peut être un héros ou un anti-héros ou qui évolue d’un héros à un anti-héros ou l’inverse comme Meursault qui n’est personne du début jusqu’au meurtre de l’arabe, devient un anti-héros après, puis à la fin, il devient un héros cela veut dire quand il accepte la mort. Donc Meursault est un personnage qui évolue au cours de l'histoire.

140. Le 04 novembre 2014, 15:36 par Aymeric V.D.R.

Pour ma part si cette fin serait une couleur, ce serait le rouge : -K se fait assassiner par un couteau de boucher dans le coeur comme un animal que l'on voudrait dépecer par la suite car il nous intrigue.
-K ressent de la haine envers l'avocat.
Pour un plat, je pencherais pour un dessert, qui annonce la fin du repas, et ici la fin du roman, un dessert froid comme une glace, car la fin est froide.
Le saut en parachute est ce qui se rapprocherait le plus de cette chute de roman, car comme je viens de le dire, il y a une chute et ni K, ni le lecteur ne s'attendait a cette chute. C'est la même chose pour le saut en parachute, on ne peut pas savoir si le parachute va se déclencher pour pouvoir planer avant d'avoir tirer le levier. Pour K, soit il n'a pas tirer le levier, soit son parachute était défaillant.
Pour une musique j'opterais pour "When dreams collide" du groupe Lapis Lazuli.
Mon choix se justifie par le fait que le déroulement du roman a le même rythme que la musique et que la fin de la musique s'arrête brusquement, comme la vie de K.
http://www.youtube.com/watch?v=EBrz...

141. Le 05 novembre 2014, 16:20 par nicolas d

Pour moi ce roman était une couleur ce serait le blanc. En effet le blanc est une couleur vide comme l'histoire de K.. K. ne connait rien sur son procès, il ne sait même pas pourquoi il est accusé, il est dans le vide total se laissant maitriser par les évènement. Nous sentons qu'il veut élucider le mystère de son procès en allant voir de nombreux avocats mais ces visites ne le guide pas au contraire à la fin il ne se pose même plus la question que tout les lecteurs veulent connaitre : quelle est la cause de mon accusation ?

                     Pour moi si ce roman était un plat se serait un plat que personne n'aime. En effet ce plat reflèterait bien ce livre puisque personne n'a envie de rester dans l'incompréhension de son propre jugement. De plus manger un plat que l'on aime pas est en quelque sorte ridicule comme le procès de K. qui est peu compréhensif.
                    Si ce roman était un sport ce serait un sport sur une durée longue comme la randonnée par exemple. En effet l'incompréhension du procès rend la lecture longue, on toujours peur d'avoir raté quelque chose d'important donc cela nous fait poser beaucoup de question.
                      Si ce roman était une musique ce sait une musique classique. En effet les musique sont très longue et très ennuyante (à mon goût) comme le procès qui est très long et peu compréhensif de qui rend la lecture ennuyante.     ([http://www.youtube.com/watch?v=z265CerNq2c])
142. Le 05 novembre 2014, 16:23 par Agathe

Si c'était une couleur ce serai le rouge car c'est une couleur vive et représentative du sang ce qui représente bien l'assassinat de K.
Si c'était un sport ce serai la boxe car K se bat pour remporter le procès, il est seul contre tous, et dans ce sport il y a forcément un perdant et dans le match c'est K.
Si c'était un plat ce serai une glace car la fin de cette histoire est glaciale.
Si c'était une musique je choisirai la même musique qu'Aurélien car je n'avais pas d'idée et en écoutant la musique proposé par Aurélien j'ai trouvé que cela représentait bien la fin de l'œuvre.

143. Le 05 novembre 2014, 16:47 par Morgan

Si la fin était :
Une couleur : Le rouge car celui-ci va mourir et de façon brutale à l'aide d'un couteau, le rouge étant la couleur du sang.
Un plat : En plat je choisit le même que Julie A : la glace. Déjà parce que c'est un dessert et que le dessert se mange a la fin du repas.
Ensuite parce que c'est froid et la situation devient froide quand K se fait assassiner.
Un sport : Le saut a élastique. Même si ce n'est pas tout a fait un sport il correspond bien a la situation de K car quand on fait un saut a l’élastique on se jette dans le vide comme K quand il se "jette a l'eau" pour prendre son affaire en main. Ensuite on rebondi jusqu’à se que tout s’arrête et la vie de K est remplit de rebondissent jusqu’à se que sa vie s’arrête et qu'il se face assassiner.
Et pour la musique je n'en ai pas trouvée.

144. Le 05 novembre 2014, 17:39 par Quentin

La fin du roman Le procès de Kafka :

    Si c'était une couleur, ce serait toujours le noir car

- Je trouve encore ce roman sombre
- Cette couleur est pour moi bien représentative car il est évident que Kafka veut faire sortir toute la noirceur du système judiciaire (= le critiquer).

   Si c'était un plat, ce serait un plat froid. J'opterais donc pour un dessert glacé.

- Tout d'abord car le roman termine par un meurtre ce qui le détermine de froid.
- De plus car je trouve le texte froid, peu compréhensible.

   Si c'était un sport ça serait la lutte

- Tout simplement car c'est une lutte qu'exerce K durant son procès.

   Si c'était une musique ça serait une musique tragique "[http://www.youtube.com/watch?v=dfRnlvtdHjE]" pour rappeler la mort du héros à la fin.
145. Le 05 novembre 2014, 17:44 par Amandine

Si cette dernière partie de lecture était une couleur, celle-ci serait le noir.
- Pour commencer, je pense que la couleur noir illustre parfaitement cette dernière partie du texte car celle-ci est entièrement négative.
- Ensuite, on peut associer la couleur noir à cette dernière partie du texte du fait que cette couleur représente parfaitement l'obscurité presque entière qu'il y a dans la cathédrale.
-Pour finir, je trouve que la couleur noir représente bien la mort de K. qui représente le vide. Cette couleur représente très bien la fin tragique de cette histoire.

Si cette dernière partie de lecture était un plat, je choisirai un dessert et celui-ci serait une tarte aux groseilles.
-Pour commencer, j'associe ce dessert en particulier à cette dernière partie du fait que celui-ci annonce normalement la fin du repas et ici, il représente donc la fin de l'histoire.
-Ensuite, je pense que ce dessert convient parfaitement à cette dernière partie, car les groseilles étant rouges sont très représentatives du sang qui est présent à la fin de l'histoire lorsque K. est tué.
-Pour finir, je trouve que les groseilles étant acides représentes bien la violence de cette dernière partie de l'oeuvre.

Si cette dernière partie de lecture était un sport, celui-ci serait l'escrime.
- Pour commencer, je pense que ce sport convient parfaitement à cette dernière partie du texte, du fait que l'escrime est un sport de combat et qu'il représente parfaitement le combat de K. contre la justice.
-Ensuite, on peut associer ce sport à cette partie car l'épée qui est utilisée en escrime représente bien le couteau utilisé pour tuer K.
-Pour finir, je trouve que l'escrime était le sport le mieux adapté à ce passage du fait que c'est un sport dure tout comme le combat que mène K.

Si cette dernière partie de lecture était une musique, celle-ci serait La marche funèbre de Chopin.
-Pour commencer, je pense que cette musique convient parfaitement à cette dernière partie du texte, du fait que c'est une musique qui représente la mort et donc, ici, représente la mort de K.
- Ensuite, on peut associer cette musique à cette dernière partie du texte parce que c'est une musique qui renvoie à un sentiment de tristesse et représentant alors parfaitement la fin de cette oeuvre qui est triste est tragique.
-Pour finir, je trouve que cette musique était la mieux adapté à ce passage car c'est une musique qui est longue tout comme cette dernière partie de l'oeuvre.
https://www.youtube.com/watch?v=L8a...

146. Le 05 novembre 2014, 21:07 par Allan

Pour ma part un personnage de roman " réussi " doit etre un personnage qui au final a accompli son but ou a reussi a achever se qu'il a commencé.
Un personnage de roman doit livrer ses emotions au lecteur pour qu'il puisse s'identifier ou le comprendre, il doit éclaircir des noirceurs ou des mysteres presents dans le livre, parfois heros ou parfois simplement banale ou meme au contraire il peut représenter le mal, mais le personnage doit réussi a creer un lien avec le lecteur pour lui permettre d'avancer avec lui et partager des faiblesses et des pensés.
Malgré que K dans le "Procès" soit représenté comme un personnage versatile, il permet de dénoncer ou de faire voir que la loi ne repésente pas forcement la justice, grace a cela nous passons d'un personnage banale a une sorte "d'acteur" malgré lui qui subit l'injustice car il n'a pas été formé pour la comprendre ou meme si defendre, ceci peut nous amener a penser que k cherche simplement a savoir ce que dit la loi mais non ce qu'elle est vraiement ? Malgré tout de la apparait un heros réussi ,car meme si le livre en lui meme reste de l'absurde il réussi a véhiculé le message qu'il voulait nous faire comprendre et cela malgré lui !
Il part dans un monde qui va le plonger dans l'absurdité et dans des interrogations qui ne trouveront jamais de réponses et pourtant a sa mort rien n'a été accompli et le personnage du roman réussi et bien présent de pars la situation qu'il a subit.

147. Le 05 novembre 2014, 22:23 par Léa

Si ce roman devrait être une couleur je choisirais de nouveau le noir, c'est un roman très sombre qui fini également sombrement avec la mort du héros.
Si ce roman était un plat je choisirais une pièce monté, car ce roman donne l'impression d'être "monté", que chaque évènement est déjà écrit quelque part en fonction de chaque réaction qu'aura K. C'est une accumulation d'une multitude de choses qui se succèdent, plus incompréhensible les unes que les autres.
Si ce roman était un sport je choisirais un sport de combat, tel que la lutte car le héros K. se bat en permanence pour clamer son innocence.
Si ce roman est une musique je choisirais OPR de Gesaffelstein car c'est une musique assez répétitive qui comporte des accélérations ainsi que des ralentissements comme tout ce qui se passe dans le roman, c'est également une musique qui angoisse, oppresse comme peut se sentir K. mais elle est également mystérieuse comme ce roman : https://www.youtube.com/watch?v=IRi...

148. Le 05 novembre 2014, 23:38 par Charlotte

Si cette partie était une couleur je choisirais soit le noir, soit le rouge.
En effet K. est totalement seul du début à la fin, il n’a pas de réel « ami », ni quelqu’un sur qui d’appuyer et sans oublier le plus important : il meurt seul et sans en connaitre la raison (parallèle avec l’arrestation du début). En conclusion la fin est tragique, et le personnage pathétique et incohérent. C’est la solitude et l’incompréhension qui sont les plus présents dans le texte.
Si cette partie était un plat ce serait un sorbet au cassis.
En effet la glace est froide, comme la fin est froide. De plus il s’agit d’un dessert, la fin du repas et donc la fin du roman. Le cassis est un fruit rouge, ce qui reprend le meurtre de K. assassiné avec un couteau de boucher.
Si cette partie était un sport ce serait du parapente.
En effet le parapente commence par une course, comme pour le roman qui commence in media res avec l’arrestation brutale de K. Ensuite avec le parapente on est suspendu au-dessus du vide, comme pour K. qui « survole » son procès sans en voir la fin, qu’il ne verra jamais. K. croit qu’il maitrise son procès mais il se fait des illusions.
Si cette partie était une musique ce serait « La Chute » de Yann
Tout d’abord car le nom du morceau coïncide avec le destin de K. Le lecteur assiste littéralement à la « chute » du personnage. Au début K. ne croit pas en son procès (le morceau commence doucement), puis il est forcé d’y croire et se met à tout mettre en place pour contrôler la situation (accélération et saturation), puis il se fait assassiner (fin brutale mais en même temps douce du morceau). De plus c’est un morceau en mineur ce qui ne fait que renforcer le conté « tragique », « pathétique » du roman.
https://www.youtube.com/watch?v=22h...

149. Le 06 novembre 2014, 09:58 par Thomas K.

Pour moi, pour la couleur je choisirais le noir, car le noir symbolise la mort et le coté de Joseph K. qui est désespérer.
Pour le sport, le saut à ski car est un sport qui consiste à s'élancer sur un tremplin et d'aller le plus loin possible comme pour K. qui est aller à l’église juste après il se fera tuer comme une sorte de montée vers dieux.
Un plat se serrais un gâteaux d'anniversaire brulé car c'était l'anniversaire de K. et qu'il ai mort le même jours ce qui laisse un gout amère sur ce livre.
Pour la musique je choisirais un musique triste sans parole car le personnage semble désespérer.
https://www.youtube.com/watch?v=jmi...

150. Le 06 novembre 2014, 10:11 par Nicolas B 1ES2

Si la fin de l'oeuvre était une couleur ce serait un rouge sombre et grisatre, coulant de la tête coupée de K. sous un hiver nuageux et sombre.
Le plat serait une tête de porc, comme K guillotiné contre son gré pour nourrir la faim de souffrance et de haine de tout ces étranges personnages
Le sport serait le saut en chute libre, K chutant dans un trou noir étrange et infini
La musique serait le Requiem de Mozart, pour achever cette lecture grandiose, par un morceau grandiose !

151. Le 06 novembre 2014, 16:21 par charlotte

Pour moi un personnage de roman réussit doit dialoguer de manière direct ou indirecte avec le lecteur. Ce personnage doit avoir un caractère qui lui est propre et ce démarquer de façon à attirer et a garder l’attention du lecteur. De plus le personnage doit avoir un coté extraordinaire, marginalisé, mais qui cependant doit être au centre du roman, qui doit être mis en avant. Il doit avoir un côté assez humain pour que le lectur puisse se comparer à lui. Ensuite le personnage de roman doit être, d’une certaine manière attachant malgré ses nombreux défauts pour que le lecteur puisse « accrocher » l’histoire.

152. Le 06 novembre 2014, 16:21 par Martin

On peut considéré qu’un personnage de roman est réussi si il répond à l’un de ces deux critéres :
- Le personnage est extraordinaire
- Le lecteur peut se reconnaître dans le personnage
La plupart du temps le personnage principal d’un roman est extraordinaire. Le narrateur nous raconte bien souvent une histoire plus ou moins hors du commun et c’est ce qui peut intéresser. Mais tous les personnages d’un roman ne sont pas extraordinaires, loin de là. Parfois le personnage principal et bien souvent les autres personnages ont une vie et un caractère banal. Souvent, on peut se reconnaître dans ces personnages et c’est ce qui fait bien souvent qu’un lecteur va être attaché à un personnage ou va apprécier un livre.

153. Le 06 novembre 2014, 16:22 par Agathe

Pour moi un personnage de roman réussi, doit avoir une histoire intéressante à raconter au lecteur. Il doit pouvoir se démarquer des autres personnages et avoir un caractère qui le définit bien. Il doit aussi captiver le lecteur et ne doit pas être ennuyant. Pour captiver le lecteur, il doit être au centre de l’histoire et avoir quelque chose qui n’est pas commun chez tout le monde. Ensuite, il faut que l’on ait une sorte d’attachement pour ce personnage et que l’on puisse se comparer à lui. On doit aussi pouvoir réussir à se mettre à sa place dans certaines situations. Ce personnage ne doit pas être « parfait » et doit avoir des choses qui le différencie des autres, avoir certains défauts.

154. Le 06 novembre 2014, 16:22 par Thomas K.

Un personnage réussi est tout d’abord un personnage qui a une place dans l’histoire, qui semble encré dans le roman.
Après un personnage réussi peut être aussi quelqu’un de mauvais, un antihéros tant qu’il soit la figure principale du roman.
Ce personnage doit nous faire ressentir des émotions ou nous permettre de nous identifier à lui dans ce qu’il fait, ce qu’il accomplie, Il doit aussi avoir l’air vivant dans ce qu’il fait c’est le fait qu’un livre nous passionne et nous intéresse.
Ce personnage doit nous faire réfléchir.

155. Le 06 novembre 2014, 16:22 par Gladys

Pour vous qu'est ce qu'un personnage de roman " réussi " ?
Un personnage de roman réussi est un personnage qui nous intéresse dans sa façon d'être et de vivre, qui correspond bien au thème du roman aborder et qui nous transfert des émotions, un personnage de roman réussi doit être réel et correspondre a nos attentes, il faut que l'on puisse entrer dans ses pensées intimes pour se mettre à sa place , percevoir la même visions des choses puis pouvoir le connaitre suffisament même le connaitre mieu que lui même et pouvoir l'imaginer.

156. Le 06 novembre 2014, 16:22 par Maël

Chaque personne de roman à ces qualités et ces défauts. Le personnage de roman peut être réussie grâce a certains éléments. Comme le fait de pouvoir s’identifier à lui . Le personnage peut être apprécié ou détester selon le lecteur. Premièrement, le terme réussi est pour moi très abject car cela peut dépendre du moment auquel on le lit ou les sentiments qu’on ressent pendant la lecture. Le personnage réussi est le plus souvent le héros du roman car ce qu’il as réussi va plaire au lecteur . De plus, le héros est présent tout le long du roman, ce qui nous permet de plus nous identifier a lui vu qu’il est présent tout au long du roman. Le personnage de roman « réussi « est fait pour le plaire ce qui es fait exprès pour la plupart du temps par les romanciers qui fait tout pour que le lecteur l’aime. Chaque personnage à des caractéristiques qui peuvent être apprécié selon la personne ou non.

157. Le 06 novembre 2014, 16:23 par Hugo

D’après moi un personnage de roman réussi est un personnage dans lequel on s’identifie rapidement et facilement. A travers ce personnage on doit pouvoir ressentir les émotions qu’il nous transmet, ses prises de conscience, ses doutes… Il est plus facile de le comprendre si il est décrit physiquement mais surtout moralement. Il doit avoir sa propre personnalité afin de pouvoir le comprendre et donc se mettre à sa place. Il faut également connaître plusieurs informations sur son identité. Les informations le concernant servent à comprendre ses réactions, ses agissements, ses choix…

158. Le 06 novembre 2014, 16:23 par Sarah.V

Selon moi, un personnage de roman réussi est un personnage sur lequel on peut facilement s’identifier. C’est un personnage que l’on apprend à connaître petit à petit au cours de la lecture et dont on dont on connaît plus ou moins les caractéristiques à la fin de la lecture du roman. On doit pouvoir l’imaginer physiquement et connaître sa personnalité pour comprendre sa façon d’agir et ses réactions. Il faut également avoir quelques informations sur son vécu afin de comprendre son histoire.

159. Le 06 novembre 2014, 16:24 par Saussais manon

Pour vous qu’est ce qu’un personnage de roman « réussi » ?

Selon moi, un personnage de roman réussi est un personnage possédant des traits de caractère ordinaires  afin que les lecteurs puissent s’identifier a celui-ci mais également des traits de caractère comme mystérieux afin d’attirer le lecteur. Physiquement je pense que tout type de personnage pourrait être réussi a partir du moment où il s’intègre bien à l’histoire du roman. Pour ma part il est impératif que ce personnage doit se différer des autres pour avoir sa propre place dans le récit.

160. Le 06 novembre 2014, 16:24 par AlexisM

Pour moi, un personnage de roman « réussi » l’est pour des raisons qui lui sont propres. Par exemple , car il est charismatique ou bien car il nous effraie réellement. Un personnage de roman réussi ne doit pas nous laisser , nous lecteurs , indifférent. Il doit avoir une personnalité propre et toucher le lecteur, que ce soit en bien ou en mal . Il n’a pas forcément besoin d’avoir une grande histoire derrière lui ou beaucoup de dialogues . Meursault de l’Etranger d’Albert Camus par exemple , peut être classé dans la catégorie des personnages réussis , car sa personnalité , son indifférence face aux évenements de la vie, va surprendre le lecteur , l’étonner et donc forcément le toucher . A l’inverse, un personnage comme « Masson » de la même œuvre n’est pas réussi car il ne touche pas le lecteur , le laisse indifférent.

161. Le 06 novembre 2014, 16:24 par Alexis G

Selon moi, pour qu’un personnage de roman soit réussit, il faut que le lecteur puisse s’identifier à lui cependant il lui faut aussi des caractères distincts, en générale de son environnement pour que l’on puisse enfin mieux comprendre la suite des événements.
Dans ce sujet de dissertation, nous allons traiter ce qui fait la réussite d’un personnage de roman !
Pour commencer, nous étudierons la manière dont les auteurs mettent en scène leur « héro », en suite nous parlerons des procédés employés et enfin, il conviendra de conclure sur les différents types de personnages « crées »

:siffle:
162. Le 06 novembre 2014, 16:25 par Segretin

Le personnage d’un roman réussi est un personnage essayant de nous transmettre des émotions, on doit réussir à se projeter, s’identifier à lui.

163. Le 06 novembre 2014, 16:25 par Aymeric V.D.R.

Problématique : Qu’est-ce qu’un personnage de roman « réussi » ?

Selon moi, un personnage de roman réussi est un personnage qui paraisse réel, et charismatique, sans trop en faire non plus. Il faut que ce personnage marque le lecteur, car si le lecteur n’accroche pas au personnage alors le lecteur ne s’accrochera pas non plus au texte du roman. Que ce personnage soit fictif ou réel, peu importe dans quel contexte il se trouve, il ne doit pas faire tâche dans le roman, il doit s’adapter ou au contraire se démarquer. En tant que lecteur nous voyons le plus souvent l’histoire selon le point de vue d’un personnage, il est donc important de pouvoir en quelque sorte s’y accrocher ou encore mieux, s’y identifier par ses problèmes,son caractére, son entourage. Certains auteurs arrive parfaitement a écrire une histoire comprenant un personnage adéquat, tandis que, a l’inverse, d’autre auteurs se trompe totalement. Il arrive aussi parfois qu’un personnage secondaire ou tertiaire soit plus réussi que le personnage principal en lui-même. 8-)

164. Le 06 novembre 2014, 16:25 par Allan

Sujet de dissertation : qu’est-ce qu’un personnage de roman réussi ?

Pour moi un personnage de roman réussi est un personnage qui réussi a la fin du livre ou de son histoire a tteindre son but ou qui a réussi a accomplir ses objectifs,
C’est un personnage qui a travers le livre se devoile et laisse paraître ses sentiments ,ses envies et ses secrets les plus profond au lecteur, pour qu’il soit réussi il faut que le lecteur puisse s’identifier ou simplements comprendre le contexte du personnage a travers le lien qu’il a construit avec le personnage. Pour qu’il soit réussi le personnage doit avoir réussi a finir se qu’il a entreprit ou qu’il est réussi a faire passer son message au lecteurs comme par exemple le fait de dénoncer ou de choquer le lecteur.
Prenons pour exemple K dans « Le Procès » ce personnage est decrit comme un personnage versatile qui subit une injustice a travers un procés injuste, il meurt subittement a la fin du texte. C’est un livre basé essentiellement sur l’absurdité mais le personnage a la fin a réussi a nous faire passer son message ( injuste de la loi ) ,meme si il n’accomplit rien de special son comportement ou se qu’il subit a travers le texte le rend réussi et ceci malgré lui, le lecteur subit tout comme lui les evenements qui lui tombe dessus ,c’est ici un personnage reussi.

165. Le 06 novembre 2014, 16:26 par Romain

Pour moi , un personnage de roman réussi est un personnage avec qui le lecteur peut s’identifier .
Ce personnage peut surmonter les évènements qui lui arrive . Il n’est pas lache , il est remplit de valeur « noble » , il n’est pas un personnage audieux , ni stupide. Ce personnage sait prendre des décisions .

166. Le 06 novembre 2014, 16:26 par yanis

Sujet : qu’es qu’un personnage de roman réussi ?
Selon moi le personnage d’un roman réussi est que l’on peut s’identifier un personnage facilement dont ont connais les caractéristique du personnage en fonction de c’est choix de c’est manière de son discoure …

167. Le 06 novembre 2014, 16:55 par Aymeric V.D.R.

Problématique : Qu’est-ce qu’un personnage de roman « réussi » ?

Consigne d’écriture : Reprendre votre texte initiale en rajoutant deux types d’éléments : -Intégrer des idées de vos camarades (2-3exemples)

Selon moi, un personnage de roman réussi n’est pas forcément le personnage principal, peu importe son rôle, qu’il soit minime, ou bien méchant, voir démoniaque. Ce doit être un personnage qui paraisse réel, et charismatique, sans trop en faire non plus. Il faut que ce personnage marque le lecteur, qu’il nous paraisse vivant, qu’il nous parle a nous lecteur, que nous sachions certainnes de ses pensées importantes mais pas tout non plus, il faut aussi garder le suspens de l’histoire. Ce personnage doit nous permettre de le connaître, de le suivre comme un fantôme, comme si nous le suivions et rentrions dans sa tête. Si le lecteur n’accroche pas au personnage alors le lecteur ne s’accrochera pas non plus au texte du roman. Que ce personnage soit fictif ou réel, peu importe dans quel contexte il se trouve, il ne doit pas faire tâche dans le roman, il doit s’adapter ou au contraire se démarquer. En tant que lecteur nous voyons le plus souvent l’histoire selon le point de vue d’un personnage, il est donc important de pouvoir en quelque sorte s’y accrocher ou encore mieux, s’y identifier par ses problèmes,son caractére, son entourage. Il arrive parfois que l’on ne trouve pas ce personnage réussi dés les premiers chapitres, nous le découvrons au fur et à mesure de ses aventures. Certains auteurs arrive parfaitement a écrire une histoire comprenant un personnage adéquat, tandis que, a l’inverse, d’autre auteurs se trompe totalement. Il arrive aussi parfois qu’un personnage secondaire ou tertiaire soit plus réussi que le personnage principal en lui-même.
Comme tel est le cas dans mon deuxiéme livre préféré, « Qui es-tu Alaska ? » de John Green, le titre peut faire penser que le personnage principal est justement cet « Alaska » mais en faite non, elle n’est que le personnage secondaire, et pourtant c’est ce personnage qui selon moi, m’a le plus marqué, m’a fait ressentir le plus d’émotions, m’a fait l’a découvir mais pas totalement non plus, car Alaska est un personnage qui est entourée de mystére, qui n’en dit que très peu mais suffisament.On l’a découvre tout au long du roman, sans ce personnage, l’histoire n’aurait aucun sens. Nous l’a découvrons a travers et grâce au personnage principal,Miles qui lui est aussi me semble être un personnage réussi mais il lui manque ce qu’Alaska posséde : une touche de mystére et de charme.Tout au long du roman je me suis vraiment attaché a Alaska a travers Miles, c’est comme si je ressentais exactement les mêmes sentiments que Miles, du début a la fin, et même une fois le roman terminé.

168. Le 11 novembre 2014, 16:19 par Aurélien

En quoi ces deux textes nous aident-ils à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ?

Ces deux textes de François Mauriac (Le Roman et ses personnages - 1933) et Milan Kundera (Le Rideau - 2005) nous donnent deux idées pour réussir un personnage de roman mais celles-ci sont contradictoires.

Le premier nous dit que les personnages fictifs ne sont pas des "copies" des êtres vivants de la vie réelle. Ce sont les êtres vivants (les lecteurs) qui se conforment à la vie fictive des personnages (les lecteurs appliquent, dans la vie réelle, les leçons tirées de leur lecture).
En somme, nous essayons de recréer dans la vie réelle, le monde idéal décrit dans les romans.

Le deuxième nous apprend que pour qu'un personnage soit "fort", "vivant", pour que le lecteur prenne la place du personnage et s'interroge, il n'est pas nécessaire de connaître le personnage, de connaître sa vie, de savoir s'il est heureux ou malheureux, pauvre ou riche. Pour qu'un personnage soit inoubliable, il faut qu'il emplisse tout l'espace de l'histoire que le romancier a créé pour lui.

169. Le 11 novembre 2014, 16:39 par Léa

Les deux textes, Milan Kundera, Le Rideau, daté de 2005 ainsi que J. Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman, de 1963 peuvent nous aidé à réfléchir sur le sujet du personnage réussi premièrement parce que les deux auteurs expliquent ce qui, pour eux, est un bon personnage de roman ; ce qui nous expose des arguments sur lesquels nous pouvons être d'accord ou non. Cela nous permet de pouvoir "piocher" des idées évoqués par l'auteur qui nous semblent pertinentes et avec lesquelles nous sommes d'accord. Secondement car ce sont eux mêmes des auteurs qui créent des personnages de romans et qui savent donc de quoi ils parlent.

170. Le 11 novembre 2014, 19:11 par Gladys

Ces deuc textes différents montrent qu'il y a 2 points de vue un peu opposé. Dans le texte de Alain Robbe, un personnage est pour lui une personne qui a une identité réel, qui a une situation familiale ainsi qu' un caractère ce qui nous permetera de le juger que ce soie de facon negative ou positive.Il doit être " humain " , ensuite dans le texte " Le rideau " l'identité du personnage n'est pas vraiment importante et est mise de coter car cela ne changera rien a l'histoire, pour lui c'est le fait qu'il emplisse tout l'espace de la situation que le romancier a créée pour lui qui est vraiment importante.

171. Le 11 novembre 2014, 20:15 par Maël

Problématique : En quoi ces deux textes nous aident-ils à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ?

Les deux textes : " Pour un nouveau roman " Alain Robbe-Grillet , 1963 et " Le rideau " de Milan Kundera , 2005 peuvent nous faire réfléchir sur le sujet du personnage réussi . Dans le premier , Alain Robbe-Grillet nous montre en quoi un personnage est réussi pour lui . Il dit que pour lui un personnage réussi doit avoir une identité bien à lui , on doit avoir des informations sur lui que ne ce soit pas un inconnu : " ce n'est pas un il " quelconque , anonyme " ligne 14-15. Robbe-Grillet met bien en avant l'importance du caractère dont le personnage réussi doit avoir un caractère bien à lui qui peut que le lecteur l'aime ou le haïe.
Dans le deuxième cas , Milan Kundera nous dit qu'un personnage réussi est un personnage vivant et qu'on s'identifie à ce personnage et qu'on s'attache à lui . Il ne pense pas la même chose que Rbbe-Grillet car Milan Kundera pense qu'on ne doit pas forcément bien connaitre la vie du personnage pour qu'il réussisse .

Les deux avis et idées des deux romanciers , permet d'éclaircir la question de quel es un personnage réussi . On peut être d'accord avec l'un ou l'autre mais avec leur argument ça nous éclaircie sur le sujet. Surtout que ils amènent leur expérience de romanciers et ils ont l'habitude de faire des personnages .

172. Le 12 novembre 2014, 15:07 par Segretin

Problématique : En quoi ces 2 textes vous aident ils à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ?

Ces deux textes de Robbe-Grillet et M.Kundera nous parle tous les deux du même sujet c'est-à-dire la réussite d'un personnage de roman.
Ces deux auteurs ont des points de vue différent sur ce sujet.
Pour M.Kundera le personnage doit être vivant, qu'on s'identifie à lui. Pour lui, il n'est pas nécessaire de connaître le personnage, sa vie ou encore c'est émotions.
Pour Robbe-Griller quand t-a lui veux que le personnage de roman est une réelle identité, qu'il est des informations personnelles sur lui . Nous permettant de nous faire une opinion sur lui.

Ces deux auteurs ont des idées différentes sur la réussite d'un personnage ainsi on peut constater qu'il n'y a pas forcément de bon ou de mauvais personnage de roman . Tout dépend des goûts de chacun qui va déterminer si on préfère un personnage "avec des émotions" comme par exemple Roméo dans "Roméo et Juliette"de Shakespeare ou bien un personnage "sans émotions" comme Meursault dans l'Etranger d'Albert Camus

173. Le 12 novembre 2014, 17:17 par Erwan

En quoi ces deux textes vous aident-ils à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ?

Ces deux textes nous montrent que il peut y avoir plusieurs points de vues sur ce qu’est un personnage de roman réussi
Dans son texte, Alain Robbe-Grillet nous dis que pour lui un personnage de roman doit avoir une vrai personnalité, il doit avoir un prénom avec un nom de préférence, une famille, un travail, des biens, un caractère bien à lui qui le fera agir de tel ou tel manière et qui permettra au lecteur de le juger en bien ou en mal, un visage qui le reflète, un passé qui a forgé ce personnage
Cependant Milan Kundera ne pense pas de la même façon, il pense que nous n’avons pas besoin de bien connaitre le personnage. Il suffit de s’identifier au personnage et de s’attacher a lui.

174. Le 12 novembre 2014, 17:24 par manon

Ces deux textes nous aident a réfléchir sur le sujet du personnage réussi car ils ont tout les deux des avis et des points de vus différents on peut ainsi s'appuyer sur un des deux avis, tout dépend de notre manière de penser par exemple dans le texte de Milan kundura son avis est beaucoup plus philosophique que celui de Robbe Grillet qui lui par ailleurs se rapproche de mon avis personnel, ces textes nous permettent également de reprendre certain termes que l'on pourra réutiliser dans notre dissertation.

175. Le 12 novembre 2014, 17:37 par Hugo

En quoi ces deux textes nous aide t-il à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ?
Dans les deux textes, de Milan Kundera, intitulé Le Rideau et oublié en 2005 ainsi que celui de J. Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman, publié en 1963, les auteurs nous donnent leur point de vue sur la vision du personnage réussi. Nous pouvons donc être d'accord ou non avec leur point de vue.
De plus, ces deux hommes sont des spécialistes en la matière de roman puisque ce sont tous deux des auteurs de roman où ils mettent en scène des personnages et donc savent forcément de quoi il parle.

176. Le 12 novembre 2014, 17:42 par Quentin

Ces deux textes nous offrent deux points de vue différents :
Selon Alain Robbe, un personnage de roman doit posséder une véritable identité (= famille...etc). Autrement dis le personnage de roman doit avoir son propre caractère afin que nous puissions le juger. Tandis que dans le texte "Le rideau", nous apprenons que la façon de représenter un personnage de roman n'a pas d'importance et que ce n'est pas cela que va changer l'histoire.

177. Le 12 novembre 2014, 17:52 par Alexis G.

Les deux textes de Milan Kundera, Le Rideau, publié en 2005 et J. Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman, de 1963 nous aide à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ; Premièrement les deux auteurs expliquent ce qui est pour eux un bon personnage de roman, cela nous permet de tranché si l’on est d'accord ou non. Deuxièmement, les auteurs ont chacun une vision différente du personnage réussi, grâce à ses réflexions nous pouvons nous situé, complété notre réflexion à partir de leurs travaux tout en ayant un avis personnel. Pour conclure, ce sont des avis d’écrivains, qui ont une certaine expérience du sujet.

178. Le 12 novembre 2014, 18:34 par Martin

En quoi ces deux textes nous aident-ils à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ?

Dans les deux textes les auteurs prennent des positions différentes.

Dans le premier texte, l’auteur nous dit que les personnages fictifs ne sont pas des copies peronnes que l’on peut connaitre dans la vie réelle. Ce sont les lecteurs qui s’identifient à la vie fictive des personnages. Nous essayerons donc de recréer dans la vie réelle, ce qui est écrit dans les romans.

Dans le deuxième texte, l’auteur nous dit qu'un personnage réussi est un personnage à qui on s'identifie et s'attache. Il pense qu'on ne doit pas forcément bien connaitre la vie du personnage pour qu'il soit réussi.

179. Le 12 novembre 2014, 19:18 par antoine

Les deux textes apporte deux points de vu différent sur la problématique sur personnage réussi.
Ces deux textes peuvent nous aider à réfléchir sur le sujet du personnage réussi car soit nous sommes d'accord avec l'un soit nous sommes d'accord avec l'autre. Le texte que l'on dénigre peut servir à notre réflexion, pourquoi ne sommes nous pas d'accord avec lui ? Qu'est ce que nous, nous aurions dis pour que le personnage soit réussi? En fait il faut d'avantâge s'intéresser au texte avec le quel nous ne sommes pas d'accord car cela nous fera réfléchir, nous remettra en question sur le sujet, et nous fera rentrer dans une sorte de débat sur : "que faut il pour que notre personnage soit reussi".
Il est vrai que le texte avec le quel nous sommes d'accord ne nous apportera rien il ne nous "donne" pas de réflexion, pas de point de vue différent et donc pas de "nouvelles idées" pour rendre notre personnage plus réussi.
Personellement je n'ai pas été d'accord avec Alain Robe-Grillet car pour lui un personnage réussi est un personnage sur le qel nous savons tout, nom, prénom, habitudes, ses sentimens etc.. Mais justement ne pas savoir tout cela d'un personnage ne le rendrai pas plus attirant ? Pas plus "reussi" ? Pour moi la réussite et un personnage réussi n'est qu'une question de point de vue et de subjectivité.

180. Le 12 novembre 2014, 19:28 par Amandine

En quoi ces deux textes nous aident-ils à réfléchir sur le sujet du personnages réussi ?

Ces deux textes qui sont : "Le Rideau" de Milan Kundera écrit en 2005 et "Pour un nouveau roman" de J. Alain Robbe-Grillet écrit en 1963 peuvent, en effet, tous les deux nous faire réfléchir sur le sujet du personnage réussi.
Tout d'abord, les auteurs de ces deux textes différents, nous exposent leurs idées sur un bon personnage de roman ce qui peut nous être utile pour pouvoir disserter par la suite. De plus, leurs explications sont pertinentes et concrètes ce qui nous sera alors très utile.
Pour terminer, je pense que les idées et les avis de ces deux romanciers de ces textes pourront nous permettre de répondre à la question posées du fait que ceux-ci étant écrivain ont donc l'habitude de créer des personnages et nous amènent dans ce cas leur expérience qui pourra par la suite nous être très utile.

181. Le 12 novembre 2014, 20:58 par Thomas K.

Les deux textes (de Milan Kundera, Le Rideau et de Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman) sont effectivement des textes qui nous posent une réflexion sur personnage réussi :
Le premier texte nous indique qu'un personnage dit "réussi" n'a pas besoin d'une description précise , il suffit juste que le personnage ait une vrai place dans le roman.
Ce second texte est comme une anti-thèse au premier, ce texte nous présente le personnage réussi comme un personnage précis , physiquement et mentalement comme quelqu'un pouvant être réel.
Ces deux romanciers une vision différentes d'un personnage réussi, différente mais toutes les deux envisageables. Je pencherais plutôt sur le premier texte, je pense que tant que le personnage est incrusté dans le roman, tant qu'il me fasse ressentir des émotions le physique n'importe pas.

182. Le 12 novembre 2014, 21:28 par Morgan

Ces deux textes de Alain Robbe-Grillet (Pour un nouveau roman - 1963) et Milan Kundera (Le Rideau - 2005) nous donne des avis inverse de ce qu'est, pour eux, un personnage de roman réussi.

Dans le texte d'Alain Robbe-Grillet,un personnage réussi est pour lui une personne qui a une identité réel. On doit avoir des informations sur lui. Il ne doit pas nous être inconnu.

Dans le texte de Milan Kundera, l'identité du personnage n'est pas vraiment importante. Pour qu'un personnage soit inoubliable, il faut qu'il emplisse tout l'espace de l'histoire que le romancier a créé pour lui.

183. Le 12 novembre 2014, 22:17 par Julie C

Problématique : En quoi ces deux textes nous aident-ils à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ?

Ces deux textes qui sont très différents l'un de l'autre nous montrent deux points de vues différents pour un personnage de roman réussi. Dans le texte d'Alain Robbe-Grillet, "pour un nouveau roman", un personnage de roman réussi est une personne qui a une identité réel, il dit qu'un personnage n'est pas un "il quelconque, anonyme et translucide", il dit que le personnage doit avoir un nom de famille et un prénom, qu'il doit avoir une famille, une hérédité, et une profession, il doit aussi avoir un caractère, un visage qui le reflète car son caractère permettra au lecteur de le juger, de l'aimer ou de le haïr. Cependant dans le texte "Le rideau" de Milan Kundera, un personnage de roman réussi n'est pas necessairement quelqu'un dont on connait tout, il est aussi inutilde de faire croire que ce personne est réel. Pour Milan Kundera, pour qu'un personnage soit réussi, pour qu'il soit "fort, vivant, inoubliable" il suffit que celui ci emplisse tout l'espace de la situation que le romancier a créée pour lui. Aussi il donne comme exemple Kafka qui, dans ses romans, est un homme qui entre non pas en conflit avec un autre homme mais avec un monde transformé en une immense administration ou il y occupe toute la place.

184. Le 12 novembre 2014, 22:26 par Charlotte

Problématique : En quoi ces deux textes vous aident-t-ils à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ?
En effets les textes de J. Allain Robbe-Grillet et de Milan Kundera nous aident à réfléchir sur le sujet du personnage réussi. Dans « le Rideau » de M. Kundera le passage le plus intéressant est « Pour qu'un personnage soit vivant, fort, artistiquement réussit, il n’est pas nécessaire de fournir toutes les informations possibles ; il est inutile de faire croire qu’il est aussi réel que vous et moi », cette phrase rejoint le point de vue du texte «Pour un nouveau roman » de J. A. Robbe-Grillet qui dit « Il faut à la fois que le personnage soit unique et qu’il se hausse à la hauteur d’une catégorie. Il lui faut assez de particularité pour demeurer irremplaçable, et assez de généralité pour devenir universel ». Ces deux passages nous font réfléchir sur la problématique pausée car ils nous font voir le personnage réussi d’un roman sous un autre angle : en quelque sorte un personnage de roman réussi doit trouver son juste milieu, il doit être omniprésent dans le roman pour pouvoir être irremplaçable. Cependant malgré le fait qu’il ne soit pas aussi réel que le lecteur, ce dernier doit pouvoir s’identifié au personnage grâce à son côté psychologique, moral, comme le dit Milan Kundera pour le personnage de K.

185. Le 12 novembre 2014, 22:35 par Sarah.V

Ces deux textes "Le Rideau" de Milan Kundera et "Pour un nouveau roman" de Alain Robbe-Gillet s'opposent. En effet, pour Milan Kundera, un personnage réussi ne doit pas correspondre à de critères spéciaux. Pour lui, le passé du personnage n'a pas de lien avec le fait qu'il soit réussi, en effet il ne détermine pas son comportement ou son caractère, ses réactions. Pour que le personnage soit réussi il suffit simplement qu'il « emplisse tout l'espace de la situation que le romancier à créée pour lui ».
Or, Robbe-Grillet pense le contraire, pour lui, plus le personnage a un passé intéressant et plus il a de caractéristiques qui lui sont propres, plus il est réussi. Pour lui, il faut que le personnage soit le plus identifiable possible. Plus le lecteur a des informations sur son physique, son passé, son caractère et ses réactions, mieux c'est.
Ces deux textes nous aident donc à réfléchir sur le sujet du personnage réussi car nous faisons face à 2 avis différents, avec des arguments différents. Nous pouvons être d'accord avec l'un ou avec l'autre et s'inspirer des idées de chacun tout en ayant notre propre opinion.

186. Le 13 novembre 2014, 08:45 par Thomas C

Les deux textes ont un aspect différent, ils ont un point de vue opposé. Dans le texte de alain Robbe le personnage est une personne qui a une véritable identité, une vraie situation de famille ainsi que un vrai caractère que l'on peut juger, on peut l'aimer mais aussi le détester. Alors que dans le texte 2 le personnage n'a pas de véritable identité... Pour le romancier le caractère n'a pas d'importance dans l'histoire il veut juste que le personnage soit au centre de l'histoire et rien d'autre.

187. Le 13 novembre 2014, 08:49 par Allan

Problématique : En quoi ces deux textes nous aident-ils à réfléchir sur le sujet du personnage réussi ?

Les textes nous exposent tout deux leur point de vue sur ce qu'est un personnage de roman réussi : il est dit que pour qu'un personnage soit réussi il faut qu'il est une identité bien a lui et un caractère prononcé, qui le démarque des autres et qui permet qu'on s'y attache ou non.
Il est dit que l'on doit connaitre sa vie pour le comprendre et pouvoir s'identifier dans un texte puis dans 'autre cela n'a aucune importance, personnellement je pense que cela est important.
Un personnage de roman réussi doit apporter quelque chose de nouveau au lecteur.

188. Le 13 novembre 2014, 08:53 par Maxime F

Les deux textes qui nous sont proposé : "Pour un nouveau Roman" de Alain Robbe-Grillet et "Le ridea" de Milan Kundera, peuvent nous laisser réfléchir sur le sujet du personnage réussi. Dans le premier texte nommé, un personnage réussi c'est quelqu'un qui a une vrai identité, qui a une vie quotidienne, une famille, un caractère negatif ou positif. Ensuite dans le deuxième, d'apres Milan Kundera, un personnage réussi, c'est un personnage ou l'on peut s'identifier mais on ne connait rien de son passé .

189. Le 13 novembre 2014, 09:06 par Romain

Les deux textes, Milan Kundera, Le Rideau, daté de 2005 ainsi que J. Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman, de 1963. Ces textes donnent a réfléchir sur la question du personnage réussit car c'est textes sont une réfléxion approfondit sur la question même du personnages. Ils nous donnent presque les critères d'un personnages réussit presque comme un tutoriel.

190. Le 13 novembre 2014, 15:47 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

Sujet: pour vous, qu'est-ce qu'un personnage de roman "réussi"?. Vous argumenterez en vous appuyant sur vos lectures personnelles, faites en classe et sur les textes de M. Kundera et A. Robbe-Grillet.

Objectif: faire un plan.
1.Définir une problématique: qu'avez-vous envie de montrer avec ce sujet?

2. le plan: Deux ou trois parties qui répondent à la problématique avec deux ou trois sous parties (arguments qui prouvent la validité ou la pertinence de chaque grand axe).
Pour illustrer votre argument/sous partie, un exemple.

I. ..........................
A.On peut dire cela car.
Par exemple, dans.............
B.................
Par exemple, dans...............
(C).......................

II. et III selon le même schéma.

Pour rédiger la dissertation:
Commencer par rédiger le développement:
- un paragraphe par sous partie
- connecteur logique
- transition entre chaque grande partie
- développement précis de l'exemple.

Rédiger l'introduction et la conclusion:
- l'introduction: amorce générale sur le genre du roman
présentation du sujet
annonce de plan
- conclusion: rappel de l'idée essentielle de la réflexion. Ouverture sur un sujet plus vaste (éviter les questions, les citations...) par exemple sur la lecture ou sur la comparaison avec d'autres genres littéraires (un personnage réussi au théâtre...) etc.

191. Le 13 novembre 2014, 16:54 par yanis

1 .rapport entre le lecteur et l’histoire
exemple ; meursault la scène du meurtre de l’arabe
2. l’émotion
exemple : meursault dans la scène en prison avec l’aumônier

192. Le 13 novembre 2014, 16:55 par AlexisM

Un personnage de roman réussi doit il toujours toucher le lecteur et lui permettre de s’identifier à lui ?
I Définissons un personnage qui touche le lecteur et peut lui permettre de s’identifier à lui
A) Un personnage touchant (ex : Meursault)
B) Un personnage identifiable (ex : le colonel Chabert)

II. Est-il forcément réussi ? Pourquoi ?
A)

III. Un personnage qui ne respecte pas ces conditions est-il forcément raté ?
A) Non , car il peut avoir d’autres qualités tel le charisme ou le courage (ex :

193. Le 13 novembre 2014, 16:55 par Agathe

Problématique : Un personnage doit-il nous ressembler pour être considéré comme réussi ?
Plan : I- Un personnage qui ressemble au lecteur:
Par exemple

         II- Un personnage différent du lecteur :

Par exemple dans l’Etranger de A. Camus
A) On peut dire cela car dans un roman un lecteur peut faire face à un personnage qui n’a pas du tout la même vision du monde que celui-ci.
B) On peut dire cela car le lecteur peut faire face à un personnage qui n’a pas le même caractère que celui-ci.

194. Le 13 novembre 2014, 16:55 par Aymeric V.D.R.

I-

195. Le 13 novembre 2014, 16:55 par Martin

Y a-t-il un bon ou un mauvais personnage de roman ?

I) un personnage est réussi tant qu’il est original et/ou passionnant
a) personnage spécial (ex : Meursault)
b) personnage à qui le lecteur peut s’identifier

196. Le 13 novembre 2014, 16:55 par Hugo

I- Rapport entre lecteur et personnage
A) proximité entre eux deux (exemple : Meursault au début du livre indifférent)
B) attachement entre eux deux (exemple : Meursault a la fin du livre, plus attachant)

197. Le 13 novembre 2014, 16:55 par Romain

I. Personnages « spéciaux »

   On peut dire cela car un personnage dans un romans peut être assez spécial avec un caractère bien a lui .

II. Personnages « normal »

198. Le 13 novembre 2014, 16:55 par Maël

« Est-ce qu’un personnage du roman doit il forcément être proche du lecteur pour être considérer comme réussi ? »
A : Le personnage doit il nous ressembler physiquement
B : Le personnage de roman doit il nous ressembler moralement
C : Les liens qu’unissent le lecteur et le personnage
Par exemple , dans le livre d’Albert Camus « l’ L’Etranger » , l’explicit de l’Etranger On ressens de la compassion par rapport a Mersault

199. Le 13 novembre 2014, 16:55 par Sarah.V

Il y a t-il un bon ou un mauvais personnage de roman ?

I ) Il n'existe pas en soit de personnage réussi.

A. En effet, on peut dire qu'en somme il n'y a pas vraiment de personnage réussi c ar dans chaque roman, les personnages sont différents et ne possèdent pas les même caractéristiques. Par exemple, dans...

B. Les critères d'un personnage réussi varient selon les personnes.

On peut dire que les critères du personnage réussi varient selon les personnes car nous ne possédons pas la même façon de penser

200. Le 13 novembre 2014, 16:56 par Gladys

I. Un personnage proche du lecteur
A) Un personnage qui nous fait ressentir des émotions et qui nous permet de s'identifier à lui
B) Un personnage qui nous laisse entrer dans ses pensées intimes
II. Un personnage distant avec le lecteur
A) Un personnage associé à un caractère banal
B) Un personnage dont on connait plus ou moins les caractéristiques

201. Le 13 novembre 2014, 16:56 par charlotte

I- Un personnage de roman distant par rapport au lecteur :
A) On peut dire cela car dans la littérature le lecteur peu avoir a faire a un personnage de roman froid et « sans émotions »
Par exemple : Meursault personnage principal de l’Etranger de Albert Camus
B) On peut dire cela car dans la littérature le personnage peut être face à un personnage auquel il est incapable de s’identifier
Par exemple : Joseph K. personnage principal du Procès de Kafka

202. Le 13 novembre 2014, 16:56 par Alexis G

Il y a-t-il un bon ou un mauvais personnage de roman ?

I – Un bon personnage

a) Un personnage omniprésent, par exemple La comédie Humaine d’Honoré de Balzac
b) 
c)

II – Un mauvais personnage
a) Un personnage différent du lecteur, par exemple Meursault dans l’Etranger d’Albert Camus .
b) Aucun détail physique et moral par exemple, dans Le procès de Kafka.
c) Un personnage indifférent par exemple, Meursault dans L’Etranger d’Albert Camus.

203. Le 13 novembre 2014, 16:56 par segretin

Un personnage de roman réussi doit il toujours toucher le lecteur et de permettre de s’identifier a lui ?
Plan
I) personnage touchant a qui on s’attache
-
-
II) personnage a qui on ne s'identifie pas
- Meursault
-

204. Le 13 novembre 2014, 16:56 par Allan

-Un personnage doit-il nous ressembler pour être considéré comme réussi ?
I) Un miroir pour le lecteur.
A)Par exemple, dans « Le Messager d’Athènes ».
II) Une différence totale .

205. Le 13 novembre 2014, 16:56 par Léa

Problématique choisie :
Un personnage de roman réussi doit-il forcément nous faire ressentir des émotions ?
I) Un personnage réussi doit nous faire connaître ses ressentis.
A. On peut dire cela car ça rapproche le personnage du lecteur et nous permet de rentrer plus facilement dans l'histoire.
Par exemple, dans l’explicite de l’Étranger d'Albert Camus.
B. On peut dire cela car ça nous permet de plus comprendre ce qu'est en train de vivre le personnage, savoir comme il appréhende ce qui va arriver.
Par exemple,

II) Un personnage de roman réussi doit nous toucher.

206. Le 13 novembre 2014, 16:56 par manon

1.Définir une problématique: Y a-t-il un bon ou un mauvais personnage de roman ?
I. En effet il y a forcement un bon ou un mauvais personnage de roman
A. un bon personnage de roman physiquement
Par exemple, dans
B un bon personnage de roman moralement
Par exemple, dans...............
C un bon personnage de roman dans son role
II. Un personnage de roman réussi dépend du point de vue du lecteur

207. Le 13 novembre 2014, 16:57 par Thomas K.

Un personnage doit il forcément nous ressembler pour être considéré comme réussi ?

I. Le personnage roman bon ou mauvais ?
Par exemple, dans le livre d’Albert Camus l’Etranger dans la scène du meurtre de l’Arabe.
A. Le personnage qui tue est considéré comme une victime.
B.
II. Un personnage pouvant nous faire ressentir des émotions.
Par exemple, toujours dans l’Etranger la scène de la prison
A. On ressent une certaine compassion.
B.

208. Le 13 novembre 2014, 17:23 par Amandine

Eléments et mots intéressants pour le sujet de dissertation :

1-Doit être attirant et attachant.
2-Doit savoir porter l’attention sur lui est être différent des autres pour se démarquer.
3-Personnage auquel on peut s’identifier, auquel on pourrait se mettre à sa place.
4-Ne doit pas être ennuyeux.
5-Personnage s’adaptant au contexte.
6-Doit maintenir le lecteur dans le roman sans trop lui faire poser de question.
7-Doit être en accord avec l’histoire.
8-Doit être au cœur de l’histoire.
9-Son histoire ce fini bien.
10-Celui-ci n’est pas méchant.
11-Doit être gentil.
12-Quand il sort du commun.
13-Quand on le met en valeur.
14-Personnage qui colle bien avec le roman en question.
15-Quand on lit le roman on puisse imaginer le personnage, le voir dans sa tête.
16-Doit nous transmettre ses émotions.
17-C’est lui qui doit nous accrocher au texte.
18-Est réussi à partir du moment où il est complet, quand il y a tous les éléments essentiels.
19-S’intègre au texte, qu’il ne fasse pas « tache », qu’il soit dans approprié au scénario, au lieu, à la période.
20-Le plus important ce doit être le message qu’il doit laisser passer.
21-N’a pas besoin d’avoir de critère spécial.
22-Doit cependant être lui-même ne pas chercher à être quelqu'un d’autre.
23-Personnage qui réussit à nous séduire.
24-Personnage naturel.
25-Doit aussi nous faire vivre celle-ci comme si nous y étions.
26-Personnage de roman réussi est imprévisible, le lecteur doit se poser des questions et avoir envie de lire la suite du roman sans pouvoir deviner ses réactions, son comportement.
27-Être intriguant.

209. Le 13 novembre 2014, 17:49 par Thomas D.

I Est-ce qu’un personnage réussi doit forcément nous ressembler ?
A – Cela rend la lecture plus captivante
Par exemple on s’identifiera à l’histoire et au personnage

B – On peut se remettre en question
Par exemple le personnage qui se comportait comme nous au départ se rend compte que ce qu’il fait est mal du coup il va changer

210. Le 13 novembre 2014, 17:51 par xavier C

Est ce qu'un personnage doit forcement etre bon pour etre reussi ?

I. le mauvais coté du personnage
A. coté malsaint,intriguant, c'est cela qui fait qu'on l'apprecie ou non.
Ex : Dr jeckil et myster hyde
B. personnage victime ou non.
II . Personnage bon, ennuie du lecteur ou non.

211. Le 13 novembre 2014, 17:54 par SarahB

I. le coté mauvais

A. coté intriguant, mystérieux qui donne envie d'en connaître plus malgré son coté mauvais
Exemple (a trouver)

B...........

II. Personnage victime de sa méchanceté
A. Compation envers le personnage
B...............

212. Le 13 novembre 2014, 17:55 par nicolas D

Est-ce qu'il est nécessaire d'aimer un personnage pour qu'il soit réussi ?

I- Le personnage ne doit pas forcément être aimé du lecteur :

   a) Il peut énerver le lecteur :

texte de Camus : la demande en mariage : personnage agaçant, qui nous énerve en « humiliant » Marie en lui répondant comme si il s'en moquait,

  
   b) Il peut être détesté du lecteur :

Texte de Kafka : Joseph est détesté de lecteur en effet il ne fait rien pour répondre à la question que le lecteur se pose : Quelle est la raison de cette arrestation,

I- le personnage peut être aimé du lecteur:
Comme dans le livre Le Blog : Le personnage principal est aimé du lecteur sa vie nous passionne.
Comme dans le livre Je suis en légende : Le personnage principal est fascinant par sa façon de faire et ça façon de penser.

213. Le 13 novembre 2014, 17:55 par Nicolas B 1ES2

Est-ce qu’il est nécessaire d’aimer un personnage pour le considérer réussie ?
I- Les personnages, des pièces maîtresses
A. On peux dire cela car chaque personnage permet un équilibre. Exemple : Emily, petite fille du personnage principal dans « Demain », Guillaume Musso.
B.

II- Apprendre à les connaîtres

214. Le 13 novembre 2014, 17:55 par Thomas C

I – Physique et moral
A : On peut dire que les personnages réussis sont différents au niveau physique, ce ne sont pas des héros très sportif comme habituellement.
Exemple : L'étranger de Camus, Meursault est différent des autres il n'est pas le même physiquement
B : La plupart des personnages ne sont pas discrets et ne sont pas aussi froid que certains.
Exemple : Meursault dans le roman est froid à plusieurs moments et est assez discret.

II-

215. Le 13 novembre 2014, 17:55 par Maxime F

Problématique : Est-ce qu’un personnage réussi doit forcément être un héros ?

Plan ;
I. Personnage Principal
A.
Exemple :
B.
Exemple :

II. Personnage secondaire
A.
Exemple :
B.
Exemple :

216. Le 13 novembre 2014, 17:55 par Amandine

Est ce qu'on doit tout connaître sur un personnage pour qu'il soit réussi?

I.Tout savoir sur le personnage.
A.On peut dire que pour qu'un personnage soit réussi on doit tout connaître sur lui, c'est à dire connaître les éléments essentiels.

217. Le 13 novembre 2014, 17:55 par Julie C

Est-ce qu'on doit tout connaître d'un personnage pour que celui-ci soit réussi?

I. Une identité réelle et connue du lecteur.
A. Sans indication sur le personnage nous ne pouvons pas nous mettre à sa place.

II. Des sentiments dévoilés.
B.

218. Le 13 novembre 2014, 17:55 par Quentin

Problématique : Est-ce qu’il est nécessaire d’aimer un personnage pour qu’il soit réussi ?

I) Le personnage pathétique et/ou sympathique qui attire la compassion du lecteur.



Exemple : L’Etranger de Camus : Meursault apprend la mort de sa mère -> Personnage pathétique.

II) Le personnage antipathique

Exemple : Dans l’Etranger de Camus : Meursault commet un meurtre -> malaise du lecteur.

219. Le 13 novembre 2014, 17:55 par William

Est ce qu'un personnage réussi doit nécessairement se différencier des autres personnages ?

I) Un personnage qui se démarque
A. Un trait de caractère qui le distingue des autres.
Par exemple, dans l'Etranger de Camus, Meursault se différencie par son honnêteté,
B. Un physique atypique
On peut dire cela, car on retient le physique et les manières de Gnathon de la Bruyère.

II)Un personnage différent, un personnage que l'on retient
A. Des éléments qui marquent
Par exemple, dans Le Procès de Kafka, le lecteur est touché par K. qui met tout en œuvre pour se défendre et se sortir de son affaire.
B.

220. Le 13 novembre 2014, 17:56 par Erwan

Est-ce qu’il est nécessaire d’aimer un personnage pour qu’il soit réussi ?
I. On peut trouver un personnage intéressant sans pour autant l’aimer voir le détester.
II.

221. Le 13 novembre 2014, 17:56 par Aurélien

Problématique : Est-ce qu’un personnage doit forcément être un héros ?

I) personnage heroique A) éprouve sentiments
Exemple : dans une partie de campagne de Maupassant, henriette tombe amoureux de Henri

B)
222. Le 18 novembre 2014, 16:26 par Aymeric V.D.R

Un personnage de roman réussi doit il toujours toucher le lecteur et permettre de s’identifier a lui ?
I-Un personnage qui touche le lecteur est un personnage réussi.
A-Sans ce personnage qui touche le lecteur, le lecteur n'accrochera pas au roman.
exemple,contre-exemple.
B-Le personnage doit nous transmettre ces émotions.
II-L'identification personnage/lecteur est-elle nécessaire ?
A-Non, elle n'est pas nécessaire.
III-Conclusion
...

223. Le 19 novembre 2014, 14:20 par Aurélien

Problématique : Est-ce qu’un personnage doit forcément être un héros ?
I) personnage héroïque

A) éprouve des sentiments positifs

Exemple : dans une partie de campagne de Maupassant, Henriette tombe amoureuse de Henri

B) éprouve des sentiments négatifs

Exemple: dans le Procès de Kafka, K n'éprouve peu ou pas de sentiments amoureux mais des sentiments de colère même de haine, de peur envers tout le monde

II) personnage qui évolue

A) Dans le sens héroïque

Exemple : l’Étranger de Camus, Meursault est un antihéros qui devient un héros.



B) Dans le sens contraire

Exemple : Les Dix Petits Nègres d’Agatha Christie, où le juge Wargrave qui est un héros en jugeant des criminelles et devient un antihéros en voulant rendre la justice lui- même.



C) Dans les deux sens

Exemple : Dr Jekyll et Mr Hyde de Robert Louis Stevenson, où Henry est un héros médecin le jour et la nuit, il devient un antihéros.

224. Le 19 novembre 2014, 14:48 par nicolas D

Est-ce qu'il est nécessaire d'aimer un personnage pour qu'il soit réussi ? Pas forcément, cela dépend du genre du roman et du lecteur
Introduction:
- Rappel de la problématique
-Plan, présentation du sujet
I- Le personnage ne doit pas forcément être aimé du lecteur :
a) Il peut énerver le lecteur :
texte de Camus : la demande en mariage : personnage agaçant, qui nous énerve en « humiliant » Marie en lui répondant comme si il s'en moquait,

b) Il peut être détesté du lecteur :

Texte de Kafka : Joseph est détesté de lecteur en effet il ne fait rien pour répondre à la question que le lecteur se pose : Quelle est la raison de cette arrestation,

I- le personnage peut être aimé du lecteur:

Comme dans le livre Be safe de Xavier Laurent Petit : Le personnage principal est aimé du lecteur sa vie nous passionne, en effet sommes liés au personnage principal car nous comprenons ce qu'il ressent.
Comme dans le livre Je suis en légende : Le personnage principal est fascinant par sa façon de faire et ça façon de penser. De plus il nous fait de la peine, en effet il est seul dans un monde où il peut mourir à tout moment.

Conclusion:
Personnage pouvant plaire ou non au lecteur, en effet cela dépend du genre du roman et du lecteur.
Théâtre: perso. réussi : Perso. qui comme le roman dépend du genre et du lecteur.

225. Le 19 novembre 2014, 19:13 par Amandine

Problématique : Est-ce qu’un personnage de roman réussi doit-il forcément toucher le lecteur et faire en sorte que celui-ci puisse s’identifier à lui ?

-Introduction.

-I. Personnage touchant, personnage réussit.

-A. Il faut que le personnage soit touchant et attachant pour que le lecteur puisse aimer ce roman et en même temps accrocher avec celui-ci.
●Exemple.

-B. Il faut que le personnage nous transmette ses émotions à travers son récit, qu’il se confie à nous (partage de ses pensées) et qu’il partage son histoire avec le lecteur.
●Exemple.

-C. Il faut connaitre les éléments essentiels sur ce personnage pour pouvoir par la suite s’attacher et être touché par celui-ci.
●Exemple.

-II. L’identification entre le personnage et le lecteur.

-A. Le lecteur n’est pas obligé de s’identifier au personnage pour que celui-ci soit réussi.
●Exemple.

-B. Le fait que le lecteur puisse s’identifier au personnage peut cependant l’aider à mieux apprécier l’histoire et de ce fait apprécié le personnage qui le rendra alors réussi.
●Exemple.

-Conclusion.

226. Le 19 novembre 2014, 21:51 par Sarah.V

Il y a t-il un bon ou un mauvais personnage de roman ?

l- Les caractéristiques des personnages

A La description physique et morale
B Le rôle du personnage et l'histoire

ll- Le personnage réussi existe-t-il vraiment ?

A Le personnage réussi varie selon les personnes.
B Un personnage réussi doit-il forcément avoir des critères spéciaux ?

227. Le 20 novembre 2014, 09:22 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

Feuille de route pour rédiger votre dissertation:

1) l'introduction: un paragraphe:

- une amorce: une définition personnelle du genre littéraire sur lequel on vous interroge (ici le roman)

- la présentation du sujet: on en explique la pertinence

- la formulation de la problématique

- l'annonce de plan

2) la développement

- un paragraphe par partie

- utilisation des connecteurs logiques

- développer l'argument sur deux phrases puis développer l'exemple sur cinq lignes (auteur, titre, le personnage ou la scène précise que vous voulez utiliser)

- faire une transition entre chaque grande partie

3) la conclusion

- un rapide bilan de la réflexion

- une ouverture en comparant avec un autre autre littéraire (ici par exemple: qu'est-ce que serait un personnage réussi au théâtre?)

http://www.espacefrancais.com/rediger-une-dissertation/

http://www.lemonde.fr/revision-du-bac/annales-bac/francais-premiere/methodologie-pour-l-epreuve-de-francais-toutes-series_met-1-f.html

228. Le 20 novembre 2014, 10:24 par Maël

« Est-ce qu’un personnage du roman doit il forcément être proche du lecteur pour être considérer comme réussi ? »
I: Le personnage doit il nous ressembler physiquement
A-Les caractéristiques des personnages
B-Le personnage doit nous transmettre ces émotions.
II : Le personnage de roman doit il nous ressembler moralement
A-On peut dire que pour qu'un personnage soit réussi on doit tout connaître sur lui, c'est à dire connaître les éléments essentiels.

C : Les liens qu’unissent le lecteur et le personnage
Par exemple , dans le livre d’Albert Camus « l’ L’Etranger » , l’explicit de l’Etranger On ressens de la compassion par rapport a Mersault

229. Le 20 novembre 2014, 12:34 par Alexis G

Le roman est une œuvre imaginée qui est constituée d’un récit en prose dont l'intérêt porte sur la narration d'aventures, de sentiments, de caractères ou de passions. Il existe différent genre de roman allant de la fiction au roman policier. On portera donc cette étude sur la réussite d’un personnage qui est un caractère primordial sur succès de l’œuvre. Il y a donc t’il un bon ou mauvais personnage ? Ce devoir est constitué de deux parties qui portent sur un bon personnage, où, un mauvais personnage ?

Honoré de Balzac dans son roman La Comédie Humaine nous présente des personnages pour la plus part présent à tous les étages. En effet, ses personnages évoluent à travers une société axée sur la monnaie, le pouvoir.

230. Le 20 novembre 2014, 12:34 par Aymeric V.D.R.

Un roman est une œuvre, fictive ou réelle, écrit par un auteur dans le but de faire passer un message a travers ces mots. Dans cette dissertation nous allons étudier ce qu’est un personnage de roman « réussi » et en quoi est-il intéressant de s’y intéresser.
Un personnage de roman réussi doit il toujours toucher le lecteur et permettre de s’identifier a lui ? Premièrement nous affirmerons qu’un personnage réussi doit toucher le lecteur, deuxièmement nous nous intéresserons a l’identification entre le personnage et le lecteur.

Un personnage qui touche le lecteur est un personnage réussi.
Sans ce personnage qui touche le lecteur, le lecteur n’accrochera pas a l’œuvre, il n’y prendra aucun plaisir a suivre l’histoire. Un personnage qui touche le lecteur permet une meilleure intrigue, ainsi qu’un meilleur suivi tout au long du roman. C’est ce personnage qui doit donner envie au lecteur de continuer a lire, comme dans L’étranger, d’Albert Camus, l’intrigue première est la mort de la mère de Meursault, et aussi bizarre que cela puisse paraître, Meursault ne parait pas touché par cette nouvelle, c’est un personnage niais. Le lecteur s’accroche au personnage de Meursault du fait de sa niaiserie.
Le personnage doit nous transmettre ces émotions, mais le cas inverse fonctionne aussi car dans l’étranger Meursault ne ressent aucune émotion, c’est le lecteur et tout l’entourage du personnage qui ressent ce que Meursault devrait ressentir.
……………………..

231. Le 20 novembre 2014, 12:34 par yanis

Introduction :
Le roman est un genre littéraire qui mette en scène plusieurs personnages, nous avons étudier les sujets suivant ; l’étranger d’Albert Camus est le procès de Kafka : c est deux œuvres sont des romans qui nous font ressentir différentes émotion c’est pour cela que nous allons parler des émotion dans se sujet

Un personnage de roman doit il forcement nous faire ressentir des émotion ?
1 .un personnage doit nous faire ressentir des émotions
Un personnage doit nous faire ressentir des émotion car, en ressentant les émotion du personnage, on peut se faire une image du personnage, est on peut se mettre a sa place, le comprendre, se sentir proche de lui, comme par exemple dans l’explicit l’étranger avec meursault qui se dévoile quand il en prison il nous fait ressentir l’émotion de son mal être, ou aussi quand meursault apprend la mort de sa mère. On peut ressentir que meursault a aucune réaction face a la mort de sa mère
Grâce a ces émotions nous pouvons aussi comprendre le mal du personnage, mais aussi connaître sa personnalité a travers de ces émotions, ont peut aussi savoir si savoir si le personnage est sensible ou si il ne l’est pas, comme par exemple dans l’explicit du meurtre de l’arabe.
2. un personnage ne doit pas nous faire ressentir des émotions

232. Le 20 novembre 2014, 12:34 par Agathe

Le roman est une œuvre d'imagination constituée par un récit d'une certaine longueur, dont l'intérêt est dans la narration d'aventures, l'étude de mœurs ou de caractères, l'analyse de sentiments ou de passions, la représentation du réel. Dans cette dissertation, la question principale est comment peut-on nous définir un personnage réussi. D'où la question suivante : Un personnage doit-il nous ressembler pour être considéré comme réussi ? Il est donc indispensable de s'intéresser aux personnages de roman réussi ou non. C'est aussi pour cela que différents types de personnages de roman existent. Dans cette dissertation, nous allons donc analyser et étudier la question ci-dessus. Dans un premier temps, nous allons étudier un personnage de roman qui ressemble au lecteur que nous allons décomposer en deux parties. Dans une seconde partie, nous allons parler d'un personnage de roman différent du lecteur.

Tout d'abord, nous allons parlé d'un personnage de roman qui ressemble au lecteur. En effet, dans un roman, personnage peut se dévoiler physiquement et mentalement. On peut donc prendre l'exemple du procès de Kafka, qui dans cette œuvre, le personnage doit faire face à une arrestation où il ne connaît pas la raison. C'est donc à travers cette période de sa vie, que K . se dévoile, nous montre ce qu'il ressent, ce qu'il pense. Il nous transmet ses sentiments, sa peur, son appréhension et son incompréhension face à cette arrestation.
Nous allons aussi parlé d'un personnage de roman qui expose son histoire, son passé. A travers cela, le lecteur peut donc se mettre à la place du personnage. Prenons l'exemple de No et moi de Delphine de Vigan, qui dans cette histoire les deux personnages principale sont Lou et No. Ces deux jeunes filles sont complètements différentes mais partage leur temps ensemble.

233. Le 20 novembre 2014, 12:34 par Mael

Le roman est un genre littéraire en prose qui met en scène plusieurs personnages. Nous allons étudier le sujet suivant : « : Est-ce qu’un personnage de roman réussi doit-il forcément toucher le lecteur et faire en sorte que celui-ci puisse s’identifier à lui ? ». Le personnage de roman doit toucher le lecteur pour qu’un lien entre le lecteur et le personnage se créer. En s’identifiant a lui , on as plus de chance de l’apprécier et de ressentir ses émotions . Nous allons voir premièrement si un personnage doit nous ressembler pour être réussi , après nous allons voir si le personnage doit nous toucher pour être réussi et troisièment nous allons étudier si il faut forcément s’identifier au personnage pour être réussi .

Le personnage réussi doit nous ressembler pour qu’on puisse d’identifier à lui. Il peut pour cela nous ressembler physiquement ou moralement. Les sentiments qu’a le personnage peut nous rapprocher de lui. Un personnage peut être réussi en nous ressemblant moralement, on peut réagir comme lui , ressentir les mêmes émotions . C’est ça qui va nous faire apprécier le personnage et nous permettre de créer un lien entre le lecteur et le personnage. Nous pouvons voir dans le livre « L’étranger » de Albert Camus, dans l’explicit Meursault dévoile ses sentiments et on peut ressentir de la compassion et ressentir la même peine que lui. Le fait que Meursault se dévoilent peu a peu lors du roman nous permet de s’identifier de plus en plus à lui. Ce qui montre que il faut qu’on ressemble au personnage ou qu’on ressente les mêmes émotions pour qu’on l’apprécie. On peut alors le considérer comme un personnage réussi. De plus, le fait qu’un personnage nous ressemble physiquement nous rapproche de lui. Par exemple qu’il soit un garçon, une fille, qu’il es les cheveux longs ou non permet de s’identifier à lui. Cela nous permet de nous approcher de lui. La réussite d’un personnage repose sur plusieurs critères comme si un personnage doit nous ressembler mais aussi si le personnage doit nous toucher pour être réussi.
Les sentiments sont très importants pour aimer un personnage, le fait qu’il se dévoile, nous montre ses sentiments nous rapprochent de lui . Par exemple dans le livre de Kafka « Le procès « Joseph K. nous ne montre pas ses sentiments et reste assez froid avec le lecteur ce qui peut mettre une distance avec le lecteur. Et on peut ressentir même un mal l’aise avec le personnage. Le lecteur a besoin qu’il soit touché par ce que fait et dit le personnage pour qu’il soit réussi. Certaine expérience qu’as le personnage , peut nous toucher et nous raviver des souvenirs tout cela est nous rapproche du personnage . Nous pouvons voir que dans « L’étranger « de Albert Camus , Meursault dans l’incipit nous ne montre pas ses sentiments , on ne s’attache pas a Meursault et on as du mal a l’apprécier . Même si on apprécie un personnage doit on nous identifier toujours à lui .
Un personnage réussi peut être très différent de nous , il peut être un anti-héros ou même un personnage « méchant » et non dans l’optique du gentil qui fais le bien . On peut être très différent de lui mais peut être perçu par nous comme un personnage réussi .

234. Le 20 novembre 2014, 12:34 par Romain

Le roman est un moyen de raconter une histoire, faire vivre le lecteur à travers des personnages plus ou moins incroyable qui vivent des péripéties fantastique/imaginaire.
Est-ce qu’un personnage de roman réussi doit-il forcément toucher le lecteur et faire en sorte que celui-ci puisse s’identifier à lui ?
Les Personnages touchant sont-ils des personnages réussit ?

Il faut que le personnage soit touchant et attachant pour que le lecteur puisse aimer ce roman et en même temps accrocher avec celui-ci.

●Exemple :
Il faut que le personnage nous transmette ses émotions à travers son récit, qu’il se confie à nous (partage de ses pensées) et qu’il partage son histoire avec le lecteur.
●Exemple :
Il faut connaitre les éléments essentiels sur ce personnage pour pouvoir par la suite s’attacher et être touché par celui-ci.
●Exemple : A.Camus,L’étranger ,1942 :Marie est un personnage naïf,innocent et touchant qui est appréciable . En tant que lecteur on se demande pourquoi elle reste avec Meursault malgré le passage de la demande en mariage. En connaissant cet partie de sa vie on ne peut que en compatir et dans un sens l’apprécier.
L’identification entre le personnage et le lecteur est-elle nécessaire pour que le personnage soit réussit ?
Le lecteur n’est pas obligé de s’identifier au personnage pour que celui-ci soit réussi.
●Exemple : Christopher Poalini, Eragon ,2003 : Eragon est un dragonnier dans l’histoire, il trouve un œuf de dragon qui deviendra par la suite son dragon. Le lecteur ne peut s’identifier réellement a lui qui est un personnage fantastique ce personnage est plutôt réussit.
Le fait que le lecteur puisse s’identifier au personnage peut cependant l’aider à mieux apprécier l’histoire et de ce fait apprécié le personnage qui le rendra alors réussi.
●Exemple :

235. Le 20 novembre 2014, 12:35 par Martin

Le roman est une œuvre littéraire destinée à un lecteur. Nous allons nous intéresser aux différentes méthodes utilisées par les auteurs pour réussir un personnage de roman.

Pour qu’un personnage soit réussi, il peut se démarquer d’une certaine manière. Il faut qu’il ait un trait de caractère qui le distingue, soit des autres personnages du roman, soit des personnes que le lecteur peut fréquenter dans sa vie. En quelques sortes, il faut que le personnage ait une certaine originalité. Par exemple, dans l’étranger, Meursault se différencie par son honnêteté et son indifférence. Il peut être considéré comme un antihéros et ne pas paraitre attachant voir inintéressant au premier abord. Néanmoins je trouve que ce personnage est intéressant car à travers lui, Camus dénonce le mal du siècle.

236. Le 20 novembre 2014, 12:35 par AlexisM

Le roman est un genre littéraire, ou le lecteur suit la vie et les péripéties de personnages fictifs. Un personnage de roman peut être n’importe qui, une personne banale, extraordinaire ou même un animal. Mais qu’est ce qu’un personnage de roman réussi ? Nous nous demanderons dans cette dissertation, si un personnage de roman réussi doit forcément toucher le lecteur et lui permettre de s’identifier à lui. Pour cela, nous définirons ce qu’est un personnage qui touche le lecteur et peut lui permettre de s’identifier à lui à travers des exemples concrets, et si ces personnages sont forcément réussis. Enfin, en second nous verrons si un personnage qui ne respecte pas ces conditions est forcément raté.

Les personnages d’un roman en sont le cœur. Ils se doivent d’être réussis sinon le lecteur lachera l’histoire. Et un personnage de roman réussi est bien souvent un personnage qui touche le lecteur, que ce soit en bien ou en mal. Par exemple, un personnage comme K. du Procès de Kafka peut être considéré comme réussi. En effet, les malheurs qui lui arrivent et l’énergie qu’il met à essayer de s’en sortir touchera forcément le lecteur, qui aura envie de suivre ses péripéties et sera de tout cœur avec lui. Le seul personnage de K. donne envie au lecteur de continuer sa lecture par empathie, il est donc réussi. Un personnage à qui le lecteur peut s’identifier peut lui aussi être considéré comme bon. En effet , si le lecteur s’identifie au personnage , il voudra en savoir plus de ses aventures, sera touché par les évenements qui rythment la vie du personnage. Par exemple , dans Le Colonel Chabert de Balzac, le lecteur peut s’identifier au héros du nom éponyme et les trahisons dont ce dernier est victime attristent le lecteur qui se met à la place du pauvre homme. Le lecteur est donc touché, et nous en revenons au premier point évoqué dans ce paragraphe.

237. Le 20 novembre 2014, 12:35 par Léa

Le roman est une œuvre écrit en prose, dont le but est de raconter des aventures, d'étudier certaines coutumes ou caractère.. Cela peut-être fait par la représentation de réel ou fictifs personnages. Dans ce sujet nous allons étudier la perception d'un personnage de roman réussi. Nous souhaiterions ici s'interroger sur le fait qu'un personnage doit-il forcément nous ressembler pour être considérer comme réussi ? Pour répondre à cette question nous commencerons par étudier dans le cas d'un personnage qui nous ressemble où nous y détaillerons l'identification à un personnage ainsi que le fait de mieux comprendre ses réactions. Secondement, nous étudierons le cas d'un personnage différent de nous où nous y détaillerons l'intrigue que peut produire se personnage ainsi que ce qu'il peut nous faire découvrir avec sa propre et différente perception du monde.
Un personnage de roman qui nous ressemble peut-être un personnage de roman réussi car on peut s'identifier à lui et ainsi de vivre son histoire comme-ci elle était notre. Pour illustrer ceci nous pouvons parler de Miette dans la Fortune des Rougon de E. Zola, qui nous transporte avec elle à travers ses émotions et qui fais vivre son histoire avec elle, comme lorsque Miette et Silvère se retrouve pour se promener à travers la ville et exprime a Silvère son émotion car il veut partir. Ce personnages peut également nous faire comprendre plus simplement ses réactions qu'elles soient bonnes ou mauvaises car nous mêmes aurions pu réagir de la même manière dans des circonstances semblables. Tel que dans

238. Le 20 novembre 2014, 12:35 par Hugo

Le roman est une œuvre où l’auteur met en scène des personnages qu’ils soient fictifs ou réels. Pour mieux comprendre un roman, il faut tout d’abord comprendre les personnages et éventuellement pouvoir s’identifier à eux. Au cours d’un roman, nous suivons les personnages, leurs histoires, leurs aventures… Pour commencer, est ce qu’un personnage de roman réussi doit-il nécessairement se différencier des autres personnages ? Dans un premier temps nous évoquerons comment un personnage se différencie, ses traits de caractères, son physique. Dans un dernier temps nous étudierons un personnage différent, un personnage que l’on retient.

Un personnage de roman est un personnage qui de démarque, dans lequel on peut s’identifier et qui nous permet de comprendre l’histoire. Il doit nous laisser entrer dans ses pensées et nous devons nous, se mettre à sa place. Nous pouvons prendre comme exemple, Meursault, personnage du roman L’Etranger écrit par Albert Camus et publié en 1942. Meursault est le personnage principal de l’œuvre et nous le suivons tout au cours du roman. Il se différencie de par ses traits de caractère, sa vison de la vie, son comportement, son honnêteté, ses réactions face à certaines situations comme au début du roman lorsque il apprend la mort de sa mère. Sa réaction parait inattendue mais est légitime, il voit le bon coté des choses et ne se lamente pas sur son sort, c’est une de ses grandes qualités. Un personnage peut également se différencier par son physique, par exemple, dans le livre intitulé La Cicatrice, publié en 1960 et rédigé par Bruce Lowery. Le personnage principal possède un bec de lièvre et nous exprime donc forcement de la compassion puisqu’il est exclu de tous. Ce personnage est attachant et se différencie par son physique atypique.

239. Le 20 novembre 2014, 12:35 par AlexisM

Le roman est un genre littéraire, ou le lecteur suit la vie et les péripéties de personnages fictifs. Un personnage de roman peut être n’importe qui, une personne banale, extraordinaire ou même un animal. Mais qu’est ce qu’un personnage de roman réussi ? Nous nous demanderons dans cette dissertation, si un personnage de roman réussi doit forcément toucher le lecteur et lui permettre de s’identifier à lui. Pour cela, nous définirons ce qu’est un personnage qui touche le lecteur et peut lui permettre de s’identifier à lui à travers des exemples concrets, et si ces personnages sont forcément réussis. Enfin, en second nous verrons si un personnage qui ne respecte pas ces conditions est forcément raté.

Les personnages d’un roman en sont le cœur. Ils se doivent d’être réussis sinon le lecteur lachera l’histoire. Et un personnage de roman réussi est bien souvent un personnage qui touche le lecteur, que ce soit en bien ou en mal. Par exemple, un personnage comme K. du Procès de Kafka peut être considéré comme réussi. En effet, les malheurs qui lui arrivent et l’énergie qu’il met à essayer de s’en sortir touchera forcément le lecteur, qui aura envie de suivre ses péripéties et sera de tout cœur avec lui. Le seul personnage de K. donne envie au lecteur de continuer sa lecture par empathie, il est donc réussi. Un personnage à qui le lecteur peut s’identifier peut lui aussi être considéré comme bon. En effet , si le lecteur s’identifie au personnage , il voudra en savoir plus de ses aventures, sera touché par les évenements qui rythment la vie du personnage. Par exemple , dans Le Colonel Chabert de Balzac, le lecteur peut s’identifier au héros du nom éponyme et les trahisons dont ce dernier est victime attristent le lecteur qui se met à la place du pauvre homme. Le lecteur est donc touché, et nous en revenons au premier point évoqué dans ce paragraphe.

240. Le 20 novembre 2014, 12:35 par charlotte

Le roman est pour nous une œuvre d’imagination. Il étudie les mœurs de la société, les caractères, les sentiments et le réel. Un roman peut appartenir a plusieurs genres littéraires, il peut être réaliste comme surréaliste, fantastique comme une fiction, une autobiographie etc… Dans cette dissertation on nous demande ce qu’est un personnage réussit Il est intéressant de s’intéresser au personnage de roman réussi car dans la littérature il existe divers types de personnage de roman, des mauvais, des héros… etc. Dans cette dissertation nous allons étudiez la question « est ce qu’un personnage de roman doit-il être forcément proche du lecteur pour être considérer comme réussit ? ». Tout d’abord nous allons étudier le personnage de roman distant par rapport au lecteur. Puis nous allons évoquer le personnage de roman qui est proche du lecteur
Tout d’abord nous allons étudier le personnage de roman distant par rapport au lecteur. En effet da ns la littérature le lecteur peut être confronté à un personnage de roman froid et « sans émotions ». Dans le roman de l’Etranger de A. Camus le personnage de Meursault est un personnage qui ne dialogue pas avec le lecteur, il ne lui livre aucune pensée intime, et ne partage pas ses émotions. A travers ce personnage le lecteur est comme mis à l’écart, il n’est pas intégré à l’histoire, il en est le spectateur, par exemple dans le passage du meurtre de l’Arabe ou le lecteur ne sait pas pourquoi le personnage réalise cet acte, il n’est au courant de rien. Par ailleurs le lecteur peut aussi se retrouver face à un personnage à travers lequel il est incapable de s’identifier. En effet dans le roman Le Procès de Kafka, le personnage de Joseph K est incompréhensible pour le lecteur et nous renvoie un sentiment d’incohérence. Joseph K. peut être considérer comme une victime car

241. Le 20 novembre 2014, 12:35 par Thomas K.

Le roman est un genre littéraire qui met en scène différents personnages.
Nous allons nous intéressé sur le sujet suivant : Qu’est ce qu’un personnage réussi ? qu’est ce qui pourrait caractériser un personnage comme un personnage réussi ? Ce sujet nous pose comme réflexion le fait qu’un personnage peut être réussi ou non, le personnage réussi est primordiale dans un roman car c’est une facette principal, c’est le fait qu’un personnage nous intéresse, qu’il nous passionne. Pour cela nous nous posons comme question : Un personnage doit il forcément nous ressembler pour être considéré comme réussi ? Pour cela Premièrement, le personnage de roman doit il être bon ou mauvais ? Et deuxièment Un personnage doit il nous faire ressentir des émotions.

                  Le personnage roman peut être bon ou mauvais.

Le personnage d’un roman peut être mauvais.
Un personnage dit réussi n’est pas forcément quelqu’un vu comme un héros, quelqu’un qui est considéré comme quelqu’un de parfait. Le personnage réussi peut être quelqu’un de repoussant, que se soit physiquement ou moralement. Par exemple, dans le livre d’Albert Camus l’Etranger dans la scène du meurtre de l’Arabe. Le personnage de Meursault nous parait dans cette scène aux premiers abords comme un tueur, mais lorsque la scène se déroule on ressent une certaine compassion vis-à-vis de Meursault, le fait que c’est une victime car il n’est pas maître de ses faits et gestes.

                Le personnage de roman peut être quelqu’un qui ne nous ressemble pas du tout.

Le personnage de roman n’est pas obligatoirement quelqu’un dit ressemblant au lecteur, le personnage peut être de façon brève. Le lecteur

Un personnage doit il nous faire ressentir des émotions.
Le personnage doit être réussi si il nous semble important et nous apporte des émotions.
Par exemple, toujours dans l’Etranger la scène de la prison

242. Le 20 novembre 2014, 12:36 par Allan

Un personnage doit-il nous ressembler pour être considéré comme réussi ?

Un roman est un long récit qui met en scène des personnages primaires ou secondaires, il plonge le lecteur dans une histoire triste ,comique ou meme fantastique a travers se que vit un héro de récit, un roman fait vivre le lecteur. Ici la question du personnage réussi et demandé et elle est concrete en effet, un personnage réussi est l’élément principale d’un roman réussi et de l’indentification du lecteur au récit. Un personnage réussi et pour moi un personnage de roman qui réussi a la fin du livre ou de son histoire atteindre son but ou qui réussi a accomplir ses objectifs, il doit dialoguer de manière direct ou indirecte avec le lecteur et avoir un caractère qui le démarque  ,c’est un personnage qui a travers le livre se dévoile et laisse paraître ses sentiments ,ses envies et ses secrets les plus profond au lecteur pour que l’on s’identifie rapidement et facilement. A travers ce personnage on doit pouvoir ressentir les émotions qu’il nous transmet ou simplement comprendre le contexte du personnage a travers le lien qu’il a construit avec le lecteur , le personnage principal et bien souvent les autres personnages ont une vie et un caractère banal, il peut avoir un coté extraordinaire, marginalisé ou même être le symbole du mal, un antihéros. Dans cette dissertation je vais présenter deux aspects contradictoires : La première partie qui parle d’un miroir dans lequel se voit le lecteur, avec l’exemple du « Messager d’Athènes » et enfin  la deuxieme partie qui présentera une différence totale avec le lecteur, l’exemple se fera avec le personnage de K dans « Le Procès ».

Le personnage doit-il être une sorte de miroir ou de reflet ?
- En effet, un personnage doit nous ressembler pour qu’on puisse s’identifier et le comprendre, il doit créer des liens profonds et partager des valeurs nouvelles ou identiques avec le lecteur. C’est un personnage qui est retranscrit a l’identique dans une nouvelle histoire, ceci apporte au lecteur un sentiment de nouveauté et de bien être puisque il peut vivre des nouvelle choses, des nouvelles histoire a travers une sorte de clône. Le héro ou anti-héro est au final un miroir qui permet au lecteur du roman de s’évader a travers lui-même mais sous une vision nouvelle et enrichit par l’histoire qu’il est entrain de vivre dans le récit. Dans le « Messager d’Athènes » le héro principale nous parait etre un personnage héroique ,un reflet de nous meme a travers ses actions, ses pensées et l’histoire qu’il vit dans le roman. (Timoklès qui sauvent sa famille et son pays).
En revanche, le personnage n’est pas obliger de nous ressembler pour être réussi.
C’est un personnage qui doit etre en totale contradiction ou en totale difference avec le lecteur, outre l’aspects nouveau qu’il apporte a celui qui le lit, il est en totale décalage et permet au lecteur de découvrir un aspect qu’il na jamais vécu auparavant.

243. Le 20 novembre 2014, 12:36 par segretin

Le roman est un style littéraire. Il peut être fictive ou réel. On va expliquer la pertinence de la question suivante : Est-ce qu'il est réellement nécessaire d'aimer un personnage pour qu'il soit réussi ? On parlera d’un personnage qui ne doit pas forcément être aimé du lecteur et on continuera avec le personnage peut il être aimé du lecteur.

Un personnage de roman peut énerver le lecteur par exemple le texte de Albert Camus, la demande en mariage. Meursault est un personnage agaçant, énervant, rabaissant et humiliant Marie comme il le fait depuis le début à la fin s’il s’en moquait.
Ce personnage peut être déteste du lecteur, en effet le texte de Kafka parlant de Joseph K est un personnage incompréhensible par son comportement il ne fait rien pour arranger les choses, il devient un personnage énervant par son comportement, ne se demandant pas pourquoi il a été arrêté. Joseph K finis par ne plus se battre, il abandonne. On peut en effet le constater a la fin du livre quand t-il dit qu’il a maintenant âgé et qu’il attendait la que la fin arriver c’est-à-dire ici la mort ultime. Heureusement que tous les personnages ne sont pas tous comme Joseph K ou Meursault.

Le personnage peut être aimé du lecteur, on peut constater qu’il n’y a pas que des personnages détester mais aussi des personnages aimés des lecteurs. En effet dans le livre de J.K Rowling, le personnage principal est aimé du lecteur, on constate que sa vie est passionnant dû a c’est nombreuse aventure, en effet on se lie d’émotions envers ce personnage principal car on comprends ce qu'il ressent.
Le livre de Veronica Roth à pour personnage principal une personne fascinante par sa façon de faire et ça façon de penser. De plus elle nous fait de la peine, en effet elle est confronter a de nombreuse péripétie dans lequel elle risque de mourir a tout moment.

Les personnages de roman ne sont pas censé nous plaire ou nous déplaire, cette attirance et émotions envers ces personnage vont dépendre de nos goût, de nos choix, d’un nombre incalculable de variables. C’est variable vont dépendre de tout

244. Le 20 novembre 2014, 12:36 par Sarah.V

Les personnages et leurs critères varient selon les romans, ils sont tous différents. On peut donc se demander si il y a vraiment un personnage de roman réussi. Dans un premier temps, nous allons voir l'importance des caractéristiques d'un personnage et dans un second temps, nous verrons si il y a vraiment un personnage réussi.

 La description du personnage dans un roman est importante. C'est sur cette dernière que le lecteur se repose pour se forger une opinion sur le personnage mais également pour se l'imaginer et comprendre ses réactions, sa façon de se comporter. La description du personnage, qu'elle soit physique ou morale, joue donc un grand rôle dans le roman. Sans elle le lecteur aurait du mal à cerner le personnage et la lecture serait ennuyeuse.

Le rôle du personnage ainsi que l'histoire ont également une place significative dans le jugement que l'on se fait sur le sujet du personnage réussi. En effet, plus le personnage est impliqué dans son histoire, plus celle-ci sera intéressante et la lecture sera donc agréable pour le lecteur, le personnage sera donc réussi pour celui-ci. Au contraire, une histoire ennuyeuse avec un personnage dont le rôle n'est pas impliqué ne donnera pas forcément de plaisir à être lue par un lecteur, le personnage ne sera donc peut-être pas réussi pour ce dernier.

 Mais on peut se demander si le personnage de roman réussi existe vraiment. En effet, on peut dire que les critères d'un personnage réussi varie selon les personnes car nous ne possédons pas la même façon de penser. Pour certains, un personnage réussi doit posséder des caractéristiques spéciales, on doit avoir des informations sur son physique, son caractère, sa façon de penser et pour d'autres, ces détails ne sont pas importants. En prenant les textes "Le Rideau" de Milan Kundera et "Pour un nouveau roman" de Alain Robbe-Gillet, on voit que les deux avis sur le sujet s'opposent. Pour lui, le passé du personnage ne détermine pas son comportement ou son caractère, ses réactions. Pour que le personnage soit réussi il suffit simplement qu'il « emplisse tout l'espace de la situation que le romancier à créée pour lui ». Or, Robbe-Grillet pense le contraire, pour lui, plus le personnage a un passé intéressant et plus il a de caractéristiques qui lui sont propres, plus il est réussi. Pour lui, il faut que le personnage soit le plus identifiable possible. Plus le lecteur a des informations sur son physique, son passé, son caractère et ses réactions, mieux c'est. Ces deux textes font réfléchir sur le sujet du personnage réussi car ce sont deux avis opposés, pour eux, la vision sur ce sujet est différente. 
 Selon moi, il n'y a pas vraiment de personnage réussi c ar dans chaque roman, les personnages sont différents et ne possèdent pas les mêmes caractéristiques. Un personnage peut être complètement différent d'un autre et pourtant, que les deux soient réussis. Un personnage sur lequel on a peu d'informations peut-être aussi bien réussi qu'un autre. Par exemple, dans l'Etranger d'Albert Camus, Meursault est un personnage indifférent et mystérieux, le lecteur n'a pas beaucoup d'informations sur ce dernier et il peut pourtant être considéré comme réussi. C'est l'histoire et le rôle du personnage qui est le plus important. 
 Le personnage réussi existe donc du point de vue du lecteur, mais pas d'un point de vue d'ensemble. Les avis sur le sujet s'opposent. Certes, les caractéristiques du personnage ainsi que sa description sont importantes, mais ne déterminent pas le fait que le personnage soit bon ou mauvais.
245. Le 20 novembre 2014, 12:36 par samy

Le genre que nous allons étudier à travers cette dissertation , est le Roman , c’est en général est un long en prose , mettant en scène la plupart du temps des personnages de fiction , engagés dans des aventures imaginaires, parfois présentées comme réelles .Un personnage de Roman réussi doit-il toujours ( atteindre ) toucher le lecteur , et lui permettre de s’identifier à lui ?

Premièrement , un personnage qui touche le lecteur , auquel on peut s’identifier , est un personnage réussi , le personnage proche du lecteur , auquel il s’identifie , est celui à travers lequel il se projette : On peut facilement s’identifier , s’attacher , à un personnage qui subit le tourment de son histoire , par exemple , dans le Procès de Kafka , (1925) de Franz Kafka , Joseph.K , subit son procès , il est accuse à tord sans motifs , et n’en connaitra jamais la raison , lecteur fait alors preuve de compassion (d’empathie) .Un personnage qui doit et qui nous livre ses ressentis , sentiments et émotions :

Secondement , l’indentification au personnage , ainsi que le partage des ses sentiments , ne sont ni des éléments nécessaires , ni suffisants , pour apprécier l’œuvre , ou considérer le personnage est réussi : Un personnage ne suscitant pas la sympathie ou alors fort peu : Par exemple , chez Albert Camus , dans l’œuvre de l’étranger (1942) , plus particulièrement , le personnage de Meursault commet un meurtre , sous le poids des éléments de la nature comme le « soleil » , « la mer » , comme victime , dans le meurtre de l’arabe , d’une violence sans pareil, de nature absurde , en tirant même trois , quatre coups.

246. Le 20 novembre 2014, 12:37 par manon

Le roman est un univers parallèle, où l’on se projete, s’identifie, et se retrouve afin d’élargir notre vision du monde qu’il soit réel ou fictif. Y a-t-il réellement un bon ou mauvais personnage de roman, par la suite nous allons démontrer que les points de vus de chacun son partager. Certain pense que oui d’autres non, nous allons donc montrer ce qu’est un bon personnage physiquement, moralement ainsi que par rapport a son rôle dans le roman. Cependant nous allons aussi étudier le fait qu’un personnage de roman réussi dépend du point de vue du lecteur.

   Tout d’abord, on peut penser qu’un bon personnage de roman doit impérativement etre décrit physiquement afin de faciliter le fait que l’on s’identifie a lui. Afin d’etre reussi celui-ci doit etre original mais sans exagération pour ne pas le faire exister que par son physique. Par exemple, dans les romans d'Agatha Christie le personnage de Hercule Poirot grâce a sa petite taille, sa moustache et le fait qu'il soit enrober rend ce personnage a la fois drôle et original cela le rend donc réussi.

Puis un bon personnage de roman moralement doit avoir des traits de caractère fort, marquants, mystérieux afin d’attirer le lecteur mais que l’on puisse tout de meme rentrer dans ses pensées intimes, banals mais avec une pointe d’originalité pour le faire exister dans le roman, car il est impératif que ce personnage doit se différer des autres pour avoir sa propre place dans le récit. Par exemple, dans Boule de suif de Maupassant, le personnage principal est courageux, vaillant mais sensible, le père a un caractère propre a lui, étonnant et révélateur, l'avarice, la jalousie.
Un bon personnage de roman se ressent également dans son role, son implication dans le roman, il faut que l'on l’admire par ses actes, qu'il nous marque dans ce qu’il fait, ce qu’il accomplie,dans ses prises de consciences et ses doutes, il doit nous faire ressentir des émotions. Il doit nous faire réfléchir ainsi que nous inculquer des valeurs. Par exemple, dans Les misérables de Victor Hugo le rôle de Jean Valjean est héroïque et généreux , et fait preuve de bonté.

   En revanche un personnage de roman réussi dépend du point de vue du lecteur, il doit en effet avoir toutes ces facettes mais elles sont perçues différemment selon les lecteurs. Les traits de caractères peuvent des défauts ou des qualités selon notre vision des choses, pour certain un personnage de roman reussi n’est pas forcement héroïque, il peut aussi nous marquer justement par ses actes étonnant et peu courants, le fait également qu’un personnage se dévoile plus ou moins rapidement au cours d’un roman peut jouer sur le point de vue des lecteurs . Par exemple Meursault dans l’étranger de Camus peut être vu différemment par les lecteurs de part son indifferent qui peut etre un point possitif ou non selon notre facon de penser.
247. Le 20 novembre 2014, 15:45 par xavier C

Nous allons étudier ici le roman, ce genre littéraire est caractérisé par une suite de péripetie rendant le lecteur curieux des personnages. Dans le sujet suivant « un personnage de roman reussi » nous allons démontrer l'importance de celui-ci et ce qu'est un bon personnage de roman. La problématique étant « est-ce qu'un personnage doit forcément etre bon pour etre reussi ? » nous allons y répondre en 2 partie. La 1ère est le mauvais coté du personnage on y répond à l'aide de 2 souys-partie : le coté malsaint, intriguant, c'est cela qui fait qu'on l'aprécie ou non, dr jeckil et misteur hyde nous servira d'exemples. Puis la seconde : personnage victime ou non avec comme exemples l'étranger. Dans un second temps un personnage bon, ennuie du lecteur ou non avec une sous partie : personnage héro avec pour exemples hercule poirot.

Un personnage doit avoir un coté mechant, bad boy ou du moins avoir une face cachée pour etre reussi car cela permet au lecteur de s'identifier à lui et de ne pas etre « parfait ». ce coté malsain est une qualité qui rend le personnage plus humain et donc plus intéressent. Cela est tres bien représenté dans le roman dr jeckil et misteur hyde ou 2 personnage sont dans la tête d'un seul. Un personnage est bon, l'autre est malsain.
Un personnage victime de la situation est-il apprecié ? On peut également se mettre à sa place, lorsqu'il y a de l'injustice et qu'on prend ce personnage pour quelqu'un de mauvais alors qu'il est en réalité victime de lui- meme et de son destin. Le personnage de meursault dans l'étranger represente bien cela, lors du meurtre de l'arabe, la situation fait qu'il ne peut pas éviter le drame en partie à cause du soleil.
Un personnage bon, ayant un rôle de héros est-il apprécié ? Un personnage bon peut ètre apprecié pour son intélligence, ses capacités physique ou encore son physique en lui-meme. On peut cependant lui reprocher d'etre parfait et donc de ne pas pouvoir s'identifier à lui dans la vie de tout les jours. L'exemple d'hercule Poirot semble convenir, de part son intéligence il est un personnage apprecié

248. Le 20 novembre 2014, 15:45 par Nabil B

Dissertation

Un roman est un genre littéraire, une œuvre, un récit d’une certaine longueur contrairement a une nouvelle, dans un roman comment doit être un personnage pour qu’il soit réussi ? En effet est-il nécessaire qu’un personnage soit aimé ou attachant pour qu’il soit réussi. Pour répondre a cet problématique Dans une première partie nous verrons les caractéristique d’un personne aimé ou non suivie dans une autre partie un personnage attachant, la clé d’un personnage réussi.

Tout d’abord le personnage principale est celui que l’on va suivre durant tout le roman, il n’est pas tout te le temps un personnage qui arrive a ce faire aimé, il peut ce faire détester ou adorer, cela va être nuancer par rapport a tous ces actes. Cependant, chacun a son point de vue du personnage réussi il doit peut être être identifiable a nous ou être aimé. Dans L’Etranger d’Albert Camus Meursault n’est pas un personnage sympathique, c’est un assassin qui ressemble a un robot sans émotion lorsqu’il tue l’arabe il le fait sans pitié, a cause de tout ces défaut Meursault n’est pas aimé mais on le trouve attachant il réussi a nous donné l’envi de lire, il développe notre curiosité

Le personnage réussi doit être original mais surtout attachant c’est la qui va définir l’affection que le lecteur apportera au roman

249. Le 20 novembre 2014, 15:45 par Maxime F

Le roman est un style de littérature, il y a plusieurs type de roman comme le Roman policer… Dans un romain il y a toujours une intrigue, et plusieurs personnages. Mais la questions que l’on se pose souvent, est : qu’est ce qu’un personnage réussi ? En effet le personnage est un élément majeur dans le roman, l’histoire tourne autour d’eux. Est ce qu’il faut que se soit un héros? Qu’il soit gentil ? Est-ce qu’un personnage de roman réussi doit-il forcément toucher le lecteur et faire en sorte que celui-ci puisse s’identifier à lui ? Nous allons analyser cette dernière problématique. Tout d’abord nous allons parler d’un personnage touchant, ensuite l’identification entre le personnage et le lecteur.

Pour commencer un personnage touchant est un personnage réussi.
Tout d’abord il faut que le personnage soit touchant et attachant pour que le lecteur puisse aimer ce roman et en même accrocher à celui-ci. Par exemple à la fin du roman l’Etranger d’Albert Camus, le personnage de Meursault est attachant, il nous livre tout : ses sentiments, ses pensées... En effet au début de l’histoire Meursault est ni touchant, ni attachant puisque il nous livre rien sur lui. Donc ce personnage est réussi le lecteur est touché par ses sentiments, en conclusion le lecteur s’attache à Meursault.
Ensuite il faut connaître les éléments essentiels sur ce personnage réussi pour pouvoir ensuite s’attacher à lui. En effet c’est important de tout savoir sur lui car nous pouvons le comprendre et cela est important. Malheureusement nous ne savons rien sur le personnage de Meursault, ses relations avec sa mère, quel est son métier, son age, son père… En conclusion nous ne savons rien sur lui donc sur ce point de vu Meursault n’est pas un personnage réussi car nous ne savons rien sur sa vie ou son passé.

Enfin nous allons analyser l’identification entre le personnage et le lecteur.
Tout d’abord le lecteur n’est pas obligé de s’identifier au personnage pour qu’il soit réussi, en effet celui-ci n’est pas obligé de nous ressembler par exemple nous nous identifions pas au personnage de Meursault, pour plusieurs raisons : la réaction qu’il face à la demande en mariage de Marie ou bien la réaction qu’il a suite à l’annonce de la mort de sa mère. Il est différent de nous mais ce n’est pas pour autant que ce n’est pas un personnage réussi puisque c’est sa manière d’être.
Ensuite il y a l’inverse de cette première partie Le fait que le lecteur puisse s’identifier au personnage peut cependant l’aider à mieux apprécier l’histoire et de ce fait apprécié le personnage qui le rendra alors réussi. Par exemple dans le livre de Hunger Games, nous nous identifions au personnage de Pita puisqu’il fait preuve de gentillesse, de courage, d’amour et de générosité. Donc cela est un personnage réussi car nous nous identifions à lui.

250. Le 20 novembre 2014, 15:46 par Thomas C

Le roman est un style de littérature dans lequel il y a souvent de l’amour, une situation amoureuse. Il a un certain suspense pour le lecteur quand il lit un roman et il peut ressentir des émotions, s’imaginer à la place de l’un des personnages du roman.
Nous allons nous interroger sur qu’est ce qu’un personnage de roman réussi, en effet la question que nous nous posons est : Est-ce qu’un personnage de roman réussi doit forcément se différencier des autres personnages ? Tout d’abord nous allons commencer par parler de : Un personnage différent physiquement et moralement puis nous parlerons de : un personnage doit être différent dans lequel on peut s’identifier, s’imaginer.

Pour commencer, un personnage de roman réussi doit être différent physiquement et moralement. On peut dire que les personnages réussis ne sont pas ordinaires, ne sont pas comme d’habitude, ils sont différents. Comme par exemple, dans L’Etranger de Camus, Meursault qui est le personnage principal de l’histoire n’est pas très musclé ni sportif il est même assez fin et n’est pas un héros. Alors que d’habitude les personnages principaux sont souvent des personnages sportifs, musclés qui font souvent du sport…
Mais aussi au niveau moral, certains personnages ont des traits de caractère tout à fait ordinaires, ils sont généreux et aimables etc… alors que par exemple dans le livre L’Etranger de Camus Meursault est discret ne parle pas beaucoup, n’est pas très social mais son trait de caractère principal est qu’il est honnête envers tout le monde c’est ce qui le différencie des autres. Donc un personnage réussi doit vraiment se distinguer des autres notamment grâce à ses propres traits de caractère dans lequel on peut même s’identifier.

Ensuite, un personnage réussi doit se distinguer, il faut qu’il soit un personnage dont on doit se rappeler. Il faut que le personnage ait fais des choses marquantes, non habituelles où même nous pouvons nous identifier. Par exemple, dans le livre Le procès de Kafka, le personnage principal sous le nom de K est un personnage qui lutte vraiment envers son procès, il s’implique vraiment dans l’histoire et fait tout son possible pour sortir de cette affaire sans aucuns problèmes. De plus il y a aussi l’histoire de la demande en mariage dans le livre de L’Etranger de Camus, Meursault est demandé en mariage par Marie mais Meursault répond sans vraiment y réfléchir et ne s’intéresse pas vraiment à celle-ci et même il dit que si c’étais une autre femme qui lui demandait cela sa réponse serait exactement la même. Donc on peut en déduire qu’un personnage doit avoir vécus des évènements marquants où le lecteur ne s’attend pas à sa réaction et c’est à partir de cela que l’on retiens vraiment le personnage en question.

Pour finir, nous dirons qu’un personnage réussi est un personnage qui est différent des autres, qui se différencie

251. Le 20 novembre 2014, 15:46 par Quentin

Le genre littéraire étudié est le roman. Le roman est un récit en proses qui met en scène un ou plusieurs personnages. Cette étude est pertinente car elle nous permet d’étudier le personnage de roman qui est l’élément le plus important du roman, c’est celui-ci qui va rendre le roman plaisant à lire, c’est donc un élément essentiel du roman. Nous allons étudier la nécessité d’aimer un personnage de roman pour qu’il soit réussi. Nous allons voir différents types de personnages. Dans un premier temps, nous étudierons le personnage de roman pathétique et sympathique qui attire la compassion du lecteur, puis dans un second temps, le personnage antipathique.

Tout d’abord, nous allons nous intéresser au personnage sympathique et pathétique, dans le roman Notre Dame de Paris de Victor Hugo, le personnage de Quasimodo apparaît comme un personnage pathétique aux yeux du lecteur. Le lecteur apprécie ce personnage car il peut ressentir de la pitié pour celui-ci. En effet Quasimodo est bossu et laid et éprouve du désir envers avec une belle bohémienne du nom de Esmeralda. Le lecteur a donc de la pitié envers ce personnage car il sait que cet amour est impossible.
De plus, malgré l’absurdité du personnage de Meursault dans le roman l’Etranger d’Albert Camus, le lecteur peut lui trouver un certain pathétique. En effet, dès l’incipit du roman, le lecteur apprend la mort de la mère du personnage, il peut donc ressentir de la pitié à son égard.

Après avoir étudier le personnage de roman sympathique et pathétique, nous allons observer le personnage antipathique.

Tout d’abord, nous allons observer

252. Le 20 novembre 2014, 15:46 par nicolas D

Le roman est une manière de faire passer un message auprès d'une société. En effet il traite différent sujet à travers différents genre mais chaque roman fait passer un message. Dans cette dissertation nous allons voir qu'est-ce qu'un personnage réussi de roman. Ou en d'autre terme, est-ce qu'il est nécessaire d'aimer un personnage pour qu'il soit réussi ? Tout d'abord nous allons voir qu'un personnage de roman réussi ne doit pas forcément être aimé du lecteur. Ensuite nous allons prouver qu'un personnage de roman peut aussi être aimé du lecteur pour qu'il soit réussi.
Un personnage de roman « réussi » ne doit pas forcément être aimé du lecteur. En effet, dans certains roman le personnage peut agacer le lecteur grâce différent procéder qui vont en l’encontre de l’idéologie du lecteur ou encore les manière du personnage ne plairont pas au lecteur qui peut être agacer par ces procédés. Nous pouvons le prouver grâce au livre écrit par Albert Camus s’intitulant L’étranger où Meursault, le personnage principal connaît un drame dans sa vie : la mort de sa mère. Suite a cette mort va faire des rencontres qui vont lui coûter la vie. En effet à cause de certains qu’un ami à lui a, il va tuer une personnage. Dans ce roman le personnage principal est énervant, il a des manières qui vont en l’encontre de beaucoup de monde. En effet par lors d’une demande en mariage fait pas sa compagne, il lui réponds comme si il se moquait de cette demande alors que c’est une chose importante. De plus lorsqu’il a tué l’arabe, on aurait dit qu’il subissait ce meurtre, que c’était lui la victime alors que non, c’est lui qui tient l’arme donc c’est lui qui est supérieur à son adversaire.
Le personnage de roman « réussi » peut aussi être détesté du lecteur. En effet toute ces manières peut être énervante mais il peut donner un point de vue négatif sur le personnage et le lecteur peut donc le détesté. Dans le livre écrit par Kafka, le Procès, le personnage est détesté du lecteur. Ce personnage est arrêté pour on ne sait qu’elle raison et ne réussira pas a connaître cette raison. Ce personnage est détesté du lecteur, en effet il ne se posera quasiment aucune question sur la cause de son arrestation et ne pensera qu’a se sauver ce misère sans connaître son début. Il évoluera de jour en jour dans un monde empli de grands hommes de justice où personne ne l’aidera à trouver cette cause et à l’aider à sortir de cette impasse périlleuse.
Pour qu’un personnage de roman soit réussi il peut aussi être aimé du lecteur du lecteur. En effet il peut « embellir » sa vie en s’apparentant au lecteur ou en se montrant différent de lui pour le faire rêver.

253. Le 20 novembre 2014, 15:46 par Erwan

Le roman est un genre littéraire. Le sujet « Pour vous qu’est ce qu’un personnage réussi ? » est pertinent dans le sens où les personnages sont des éléments clé du roman. En effet les personnages font partie intégrante du roman et sont très importants. Je ne vois pas comment il serait possible qu’il n’y ais pas de personnages dans un roman. C’est pour cela que je pense qu’il est intéressant de se poser cette question. Afin de traiter ce sujet de dissertation j’ai décidé de répondre à la problématique suivante : « Est-ce qu’il est nécessaire d’aimer un personnage pour qu’il soit réussi ? ». Pour répondre à cette problématique je vais tout d’abord commencer par parler des personnages méchant que l’on aime pas forcément mais qui reste mystérieux et intriguant et qui sont de bon personnages. Puis dans un second temps je vais aborder les personnages peu attirants mais pas forcément rater voir réussi.

  Dans les romans il peut y avoir des personnages sympathiques qui font souvent meilleure impression mais il peut aussi y avoir des personnages négatifs mais qui ne sont pas pour autant de mauvais personnages.
Par exemple dans l’œuvre de Hervé Bazin « Vipère au poing », il y a des personnages positifs et d’autres qui le sont moins. Ce récit raconte la vie d’un petit garçon qui avec ses frères au cours de son enfance a été maltraité par sa mère. Malgré la méchanceté et le vice de la mère tout au long du roman je ne pense pas que se soit un mauvais personnage, je dirais même qu’il est réussi. Le personnage de la mère reste intriguant et mystérieux. Pourquoi cette attitude et ce comportement mal sain avec ses fils ?
  Avec certains récits, il est possible de s’ennuyer à la lecture de celui-ci. Parfois à cause des personnages qui peuvent être inintéressant, ennuyeux voir pénible ou énervant a force de ne pas faire avancer l’histoire ou d’être totalement passif.

Par exemple dans « L’Etranger » de Albert Camus, parut en 1942, le personnage principal qui se nomme Meursault vient de perdre sa mère. A la suite de ce décès on peut lire que le personnages n’est pas abasourdie par cette nouvelle. La mort de sa propre mère ne l’atteint pas. Et tout au long du roman, il reste passif il est complètement indifférent à ce qu’il se passe. Il n’a aucun avis sur aucun sujet, il ne croit pas en dieu…
Kafka est un personnage lui aussi assez énervant car tout au long du récit il ne dit pas au lecteur ce qu’il veut savoir.

254. Le 20 novembre 2014, 15:46 par Amandine

On peut dire que le roman c’est un long récit, une histoire, qui met en scène un ou plusieurs personnages qui peut être réel ou fictif. Le roman doit être d’une certaine longueur. On nous interroge sur le sujet du personnage réussi. En effet, on peut constater que pour faire un roman, il doit forcément y avoir un personnage dans l’histoire, donc celui-ci deviendra alors le principal caractère du roman et sera réussi ou non. Le problème qui se pose ici est donc est-ce qu’un personnage de roman réussi doit-il forcément toucher le lecteur et faire en sorte que celui-ci puisse s’identifier à lui ? Dans une première partie, on parlera du fait que si un personnage est touchant, alors c’est un personnage réussi et dans une deuxième partie, on parlera de l’identification entre le personnage et le lecteur.
Pour cette première partie, on peut commencer par parler du fait que pour qu’un personnage soit réussi, il faut qu’il soit touchant.
Tout d’abord, il faut que le personnage soit touchant et attachant pour que le lecteur puisse aimer ce roman et en même temps accrocher avec celui-ci.
Par exemple,
Ensuite, il faut que le personnage nous transmette ses émotions à travers son récit, qu’il se confie à nous (partage de ses pensées) et qu’il partage son histoire avec le lecteur.
On peut prendre pour exemple l’Étranger de Albert Camus. En effet, dans l’explicit, Meursault étant en prison et en attente de se faire exécuté, celui-ci partage au lecteur ses pensées intime mais aussi ce qu’il ressent face à tout ce qui lui arrive.
Pour finir, il faut connaitre les éléments essentiels sur ce personnage pour pouvoir par la suite s’attacher et être touché par celui-ci.
On peut constater, par exemple, que dans l’Étranger de Albert Camus, l’auteur nous donne tous les éléments essentiels sur Meursault tout au long du récit ce qui permettra par la suite au lecteur de s’attacher à celui-ci et de le trouver touchant.
Pour cette deuxième partie, on peut parler de l’identification entre le personnage et le lecteur.
Pour commencer, le lecteur n’est pas obligé de s’identifier au personnage pour que celui-ci soit réussi.
En effet, on peut par exemple constater que dans le Procès de Kafka, il est assez difficile de s’identifier au personnage Joseph.K, et pourtant, celui-ci n’est pas pour autant un personnage qui n’est pas réussi.
Pour finir, le fait que le lecteur puisse s’identifier au personnage peut cependant l’aider à mieux apprécier l’histoire et de ce fait apprécié le personnage qui le rendra alors réussi.
Par exemple,

255. Le 20 novembre 2014, 15:46 par xavier C

Nous allons étudier ici le roman, ce genre littéraire est caractérisé par une suite de péripetie rendant le lecteur curieux des personnages. Dans le sujet suivant « un personnage de roman reussi » nous allons démontrer l'importance de celui-ci et ce qu'est un bon personnage de roman. La problématique étant « est-ce qu'un personnage doit forcément etre bon pour etre reussi ? » nous allons y répondre en 2 partie. La 1ère est le mauvais coté du personnage on y répond à l'aide de 2 souys-partie : le coté malsaint, intriguant, c'est cela qui fait qu'on l'aprécie ou non, dr jeckil et misteur hyde nous servira d'exemples. Puis la seconde : personnage victime ou non avec comme exemples l'étranger. Dans un second temps un personnage bon, ennuie du lecteur ou non avec une sous partie : personnage héro avec pour exemples hercule poirot.

Un personnage doit avoir un coté mechant, bad boy ou du moins avoir une face cachée pour etre reussi car cela permet au lecteur de s'identifier à lui et de ne pas etre « parfait ». ce coté malsain est une qualité qui rend le personnage plus humain et donc plus intéressent. Cela est tres bien représenté dans le roman dr jeckil et misteur hyde ou 2 personnage sont dans la tête d'un seul. Un personnage est bon, l'autre est malsain.
Un personnage victime de la situation est-il apprecié ? On peut également se mettre à sa place, lorsqu'il y a de l'injustice et qu'on prend ce personnage pour quelqu'un de mauvais alors qu'il est en réalité victime de lui- meme et de son destin. Le personnage de meursault dans l'étranger represente bien cela, lors du meurtre de l'arabe, la situation fait qu'il ne peut pas éviter le drame en partie à cause du soleil.
Un personnage bon, ayant un rôle de héros est-il apprécié ? Un personnage bon peut ètre apprecié pour son intélligence, ses capacités physique ou encore son physique en lui-meme. On peut cependant lui reprocher d'etre parfait et donc de ne pas pouvoir s'identifier à lui dans la vie de tout les jours. L'exemple d'hercule Poirot semble convenir, de part son intéligence il est un personnage apprecié

256. Le 20 novembre 2014, 15:47 par Nicolas B 1ES2

Tout d’abord, on s’intéresse à l’indispensable présence de chaque personnage au travers du roman, peut importe ce que l’on va penser d’eux, dans « Demain » de Musso, Emily, la petite fille du personnage principal n’est pas représenté comme un personnage principal mais est un personnage réussi car elle montre sa petite importance au travers du récit, chacune de ses décisions implique dans le roman une petite marche du scénario, c’est un personnage agréable auquel on prête un attention particulière, dans ce cas, on aime ce personnage, mais il n’as pas une importance « phare », mais sans sa présence, un grand vide qui pourrait n’être qu’affectif créerait un manque d’intérêt du lecteur pour l’histoire.
Ensuite, il est extrêmement important que le personnage doit être un message ou qu’il doit en laisser passer un, comme un personnage tel que Meursault, dans « l’étranger » de Albert Camus, qui a une vraie symbolique, qui change entre le début et la fin du texte, qui le rends presque poétique, et on ne peut pas dire qu’il soit un personnage qui est fait pour être aimer, ce n’est pas un héro, mais simplement un symbole qui s’adresse au lecteur, dans ce cas, c’est un personnage réussi que l’on n’aime pas forcement mais qui est réussi. C’est grâce à lui qu’un message peut passer au travers du roman.

Pour continuer, après avoir découvert qu’un personnage est indispensable, il est important de partir sur l’idée qu’un personnage peut être détestable comme admirable mais réussi, il existe des personnages qui ont pour seul but d’être rejeté, comme Madame Suarez, concierge antipathique et désagréable, personnage de « Mémé dans les orties » de Aurélie Valognes, ce personnage est insupportable mais est maîtresse du conflits qui est le centre du roman…
Le roman est un genre littéraire sur lequel l’écrivain peut s’appuyer pour faire passer un message, dans lequel le lecteur sera mené à suivre le(s) aventure(s) d’un ou de nombreux personnages dans un monde qui leur est particulier. Ces personnages sont obligatoirement présent, et nos sentiments les accompagnent, il est pour cela important d’essayer de comprendre comment et pourquoi un personnage peut être réussi sans être apprécié du lecteur, les personnages sont des pièces maîtresses du roman, détestables comme admirable.

257. Le 20 novembre 2014, 15:47 par Antoine

Est ce qu'un personnage doit forcement être bon pour être réussi ?

Le roman est un genre littéraire construit sur une base de situation initial, péripéties et situation final. Le roman peut mettre en scène un ou plusieurs personnages principaux. Les personnages de roman sont très particulier, ce sont les pièces maîtresses du récit c’est pourquoi nous allons nous intéresser qu’est ce qu’un personnage réussi, le personnage doit il nécessairement être bon ? Nous étudierons dans un premier temps les personnages bons de roman et, est ce qu’ils sont réussi, puis les personnages mauvais peuvent ils être réussi.

  En effet, pour certaines personnes un personnage réussi est un personnage : fort, intelligent, à fort caractère, beau, malin avec pleins de qualités, toute si possible. Par exemple Harry Potter est un personnage de ce type là. Il réussi sur tout, il est vivant a la fin de l’œuvre et a combattu et vaincu le mal. Nous pouvons dire que c’est un personnage réussi car il est adoré des plus jeunes comme des grands. Même une personne n’ayant pas lu les livres connaît Harry Potter c’est peut être ceux la un personnage réussi.
258. Le 20 novembre 2014, 15:47 par Aurélien

Le roman est un genre littéraire en prose où le personnage est très important. C'est-à-dire qu’il faut décrire le personnage pour que l’intrigue soit cohérent et bien fait pour que le lecteur soit dedans. A partir, de cela on peut se poser la question : qu’est-ce qu’un personnage réussi ? En effet, un personnage réussi est important pour que le lecteur se mette dans sa peau pour comprendre l’histoire. Avec ce sujet, on peut tourner autour de la problématique suivante : Est-ce un personnage doit forcément être un héros ? On va d’abord se poser la question suivantes : est-ce un personnage héroïque doit forcément avoir des sentiments positives ou peut avoir des sentiments négatives ? , puis on termine par se poser la question : est-ce un personnage réussi peut évolué au cours de l’intrigue dans le bon ou le mauvais sens ?

Pour commencer, on peut dire comment un personnage héroïque doit être dans un roman.

On peut dire cela car plusieurs auteurs font des personnages avec des sentiments positifs pour les rendes plus attachants et touchants pour le lecteurs.

Exemple : Dans une Partie de Campagne de Guy de Maupassant, qui est un auteur romantique, fait de ses deux personnages Henriette et Henri, deux amoureux d’une belle journée pendant un pique-nique près d’un étang au XIXème siècle. Donc cela permet au lecteur de rêver à une idylle, mais cela devient une histoire irréaliste dans une atmosphère réaliste.
Alors que dans le cas contraire, où les auteurs utilisent des personnages héroïque avec des sentiments négatifs, cela les rends rebutant et banal pour le lecteur.
Exemple : Dans le Procès de Kafka, qui est un auteur fantastique, fait de son personnage : K, un personnage humain avec tous les défauts et qualités qui vont avec.

259. Le 20 novembre 2014, 16:54 par JulieA_1es2

Personnage réussi
I- Un personnage qui donne envie au lecteur de continuer sa lecture

Personnage qui reussit à nous séduire
Doit maintenir le lecteur dans le roman sans trop lui faire poser de question
-C’est lui qui doit nous accrocher au texte
S’intègre au texte

- le message qu’il doit laisser passer.

ex: Meursault attachant car surprenant et pas commun

II- Un personnage qui se démarque des autres et attire l’attention

      Doit savoir porter l’attention sur lui et être différent des autres, doit être le centre de l’histoire et l’attention dans être tournée vers lui

Par exemple : 1-Heros
idéliasé, pers qui fait réver

Anti héros

ex: L’Etranger de Camus, Meursault se différencie par son honnêteté, et son côté très froid c’est un personnage qui attire l’attention car il se fiche du monde qu’il l’entoure et ne ressent pas d’émotions vis-à-vis d’autrui.
ex: Nadja de Breton

III- Un personnage qui s’ouvre à nous, auquel on peut s’identifier ou au quel on voudrait ressembler
on puisse imaginer le personnage, le voir dans sa tête
Doit-nous transmettre ses émotions, ses envies, ses pensées et son vécu .

Le Procès de Kafka, le lecteur est touché par K. qui met tout en œuvre pour se défendre et se sortir de son affaire, il raconte son histoire dans les moindres détails

260. Le 21 novembre 2014, 18:04 par manon

Pour le 25/11
Problématique : Est ce une scène inutile ?
Dans la scène 1 de l'Acte 1 au début donc de la pièce de théâtre du Cid de Corneille. On peut voir un dialogue entre un personnage principal qui se prénomme Chimène et sa servante et a la fois confiante, Elvire. On peut voir dans cette scène aussi étonnant soit il que Elvire parle beaucoup plus de Chimène afin de rassurer celle ci qui restera d'ailleurs péjorative tout au long. Nous pouvons également voir que les changements que subirait cette pièce si cette scène était supprimer serait faible étant donner que certain passage nous montre que ce n'est pas la première fois qu'Elvire tient ces propos a Chimène, "Dis moi donc je t'en prie une seconde fois"; "apprend moi de nouveau quel espoir j'en dois prendre" mais elle restera dans le doutes jusqu'au bout c'est donc une sorte de dialogue de sourd cette scène tourne donc en rond car Chimène fini celle ci en confiant a Elvire "Allons, quoi qu'il en soit, en attendre l'issue" autrement dit que son point de vue n'a pas changer, il est aussi peu assurer qu'au début de cette scène et qu'elle attendra donc de voir la suite des événements .