Germinal 2nde 1

Vous avez vu le début du film de Cl. Berri sans le son.

Ecrivez la première page du roman Germinal en vous aidant des indications données en classe.

Pour vous aider dans l'utilisation des temps du récit, vous pouvez consulter le site: http://la-conjugaison.nouvelobs.com/regles/conjugaison/passe-simple-de-l-indicatif-8.php

Commentaires

1. Le 21 novembre 2014, 19:29 par Anaëlle

Dans la nuit, un homme rejoignit un autre homme, qui travaillait dans une mine, ils discutèrent.

2. Le 22 novembre 2014, 11:38 par juliend

bonjour je suis le fils d'un grand homme qui des tien des usine mais moi en tant que fils je ne les est jamais vu donc je décide d'aller voir directement l'usine .quand j'i arrive un ouvrier poussierreux qui se chauffait les mains près du feu je l'interpelle et la l'homme me dévisagea puis sen alla aller chercher un cheval je le suivi pour parler et nous étamions un discussion

3. Le 22 novembre 2014, 13:27 par khemisK

Un homme vêtu d'un chapeaux arriva devant la ferme brulait ,il rencontre un ouvrier et les deux hommes entame une discussion ...

4. Le 22 novembre 2014, 16:48 par Andreia

De la fumée jaillissait du haut de ce qui ressemblait à un village. Au loin, on pouvait voir des flammes courir dans tout les sens. Il y avait énormément de mouvement.

Dans la nuit, un homme, avec un chapeau et plutôt bien habillé, regardait le spectacle depuis un certain moment. Il commença à marcher vers le village et s'arrêta. Il pensa bien avant de recommencer sa marche. Il voulait savoir ce qu'il se passait ici, car honnêtement, le "village" ressemblait plus à un champs de bataille qu'autre chose.

Quand il arriva au niveau des clôtures, il se rendit compte que ce n'était pas un village, mais plutôt comme une usine, où les gens paraissaient mal traités, presque comme des esclaves. Il s'approcha d'une des tours et demanda à un homme :

- "Bonsoir monsieur, où puis-je trouver le directeur ?"

L'homme le regarda et souffla. Il arrêta ce qu'il était en train de faire et se retourna vers l'homme richement présenté.

-"Monsieur le directeur n'est pas là." Dit-il froidement.
-"Et bien, je pourrai vous parlez à vous dans ce cas ?"
-"Il se trouve, monsieur, que j'ai du travail."

L'homme partit en tenant un cheval. Mais l'homme bien habillé le suivit. Durant sa marche, il voyait les personnes qui travaillaient avec acharnement jusqu'à n'en plus pouvoir. Il se demandait de plus en plus ce qu'il s'était passé ici. Il continua de suivre le pauvre homme quand celui-ci s'arrêta. Il mit ses mains au dessus d'un bidon en feu, sûrement pour se réchauffer les mains. Pendant ce temps, l'autre l'homme au chapeau regardait autour de lui. Cet endroit ressemblait à une mine, ou plutôt à l'endroit où on déposait les matériaux et où on les travaillait. Il se mit aux côtés de l'homme et le regarda en détail, maintenant qu'il étaient face à face.

L'homme paraissait âgé, mal et faible. Il était très sale et désanimé.

-"Dîtes moi ce qu'il s'est passé ici."
-"Pourquoi voulez-vous savoir ?"
-"Simple curiosité."
-"Et bien... Il y a quelques années déjà, je faisais partis d'un groupe, enfin nous tous ici présent faisions partis d'un groupe, et le directeur aussi." Il cracha une substance noire, sûrement due à toute la fumée présente dans les environs. "Nous cherchions de l'argent, et l'idée nous ai venue de chercher une mine. Nous avons chercher durant des mois et des mois... Puis quand nous avons trouvé..." Il cracha une nouvelle fois.
-"Que s'est-il passé ensuite ?" Demanda impatiemment l'homme au chapeau.
-"Désolé monsieur, mais j'ai du travail."

Puis il partit, laissant seul derrière lui, l'homme au chapeau.
Celui-ci ne chercha pas à lui courir après. Il le regarda quelques instants s'en aller avec son cheval et se retourna pour partir.

5. Le 23 novembre 2014, 11:37 par Johann

Un homme de la ville avança vers une mine de charbon et rencontra un mineur. L'homme de la ville dit :
-Monsieur ! vous savez ou je peut voir un responsable pour demander du travaille ?
-Tu est de la ville toi ? Part d'ici sa vaut mieux pour toi retourne en ville pour le travaille.
-Mais il n'y a plus de travaille en ville c'est pour sa que je viens ici.
-Va-t'en c'est mieux pour ta santé.
L'homme de la mine parti avec sont cheval, mais l'homme de la ville le rattrapa.
-Tu es têtu, je t'ai dit de partir.
-Mais dites moi juste ou je peut voir un responsable.
Le mineur tousse.
-Qu'es ce que c'est ? d'où viens ce liquide noir ?
-C'est à force de rester dans les mine de charbon. Mais bon si tu veut toujours travailler ici, tu peut voir un responsable la bas aux bâtiments éclairer. C'est toi qui prend les risque.
L'homme se dirigea vers les bâtiments.

6. Le 23 novembre 2014, 11:40 par Carla

Cela faissait quinze ans que j'étais partis, sans leurs donner de nouvelles. Puis j'ai appris le décès de ma mère. C'est sûrement ça qui m'a poussé à revenir. Quand je l'ai vu, mon père, travaillant encore dans cette mine, si vieux, malade et pauvre, et moi qui était un jeune homme riche et en bonne santé, je m'en voulu d'être partis tel un voleur. Je me rendis compte de tout les sacrifices que mes parents ont fait pour que je puisse manger tout les jours, lorsque j'étais encore enfants. Alors, je l'ai appelé. Je redoutais sa réaction, je me doutais bien qu'il devait m'en vouloir. Effectivement, il resta froid pendant un long moment.

7. Le 23 novembre 2014, 11:44 par bastien D

Après cette longue journée de marche je vit enfin au loin cette mine dont on m'avais parler plus tôt. De la fumer blanche s'en échappait, sûrement du au feu dont je distinguait la lumière au loin. Le chemin que je du utiliser pour aller jusqu’à cette mine était très humide et a chaque pas mes chaussures ce salissait de plus en plus. Enfin arriver, je vit un vielle homme, moustachue, habiller en lambeau tacheter de noir presque autan que ça figure. Il était accompagner d'un cheval, a qui il semblait attaché beaucoup d’impotence, il lui fit tiré un wagon. A son retour j’étais monter sur la structure et j'ai donc commencé a lui poser des question sur le travail de mineur, sur la mine mais surtout si il y restait des places pour y travailler.

8. Le 23 novembre 2014, 11:46 par Julia

Une nuit d'hiver, un homme qui semblait aisé, vînt à l'usine de charbon qui était allumée par plusieurs feux ; beaucoup d'hommes y travaillaient.
L'homme aborda un ouvrier qui se réchauffait près du feu ; il avait le visage très sale ainsi que ses habits. Le riche homme s'approcha de l'ouvrier soudain le pauvre homme cracha du sang. Les deux homme discutèrent, le riche homme semblait avoir de la peine pour le pauvre homme.
Mais qui est ce riche homme ?: Un patron qui vient voir le travail de ses ouvriers ou bien un homme qui est chargé de vérifier les conditions de travail de ces ouvriers qui travaillent dans la nuit et le froid ?

9. Le 23 novembre 2014, 17:59 par romain.l'ecrivain

Par une nuit d'hiver, deux hommes se rencontrent, ils sont habillés de la même manière: Chapeau et manteau. Cependant l'un d'entre eux est bien vêtu, manteau épais coloré et joli chapeau. L'autre personnage porte un manteau déchiré et sale, une casquette dans le même état et de couleur neutre ( noir,beige). L'un des protagonistes est jeune, l'autre est plus âgé. Le cheval qui accompagne le vieil homme établit une relation de travail. La rencontre des deux hommes se déroule durant la nuit. On peut supposer que la scène se déroule au début du siècle grâce aux mines de charbon qui ne sont plus exploitées aujourd'hui.

10. Le 23 novembre 2014, 19:18 par Christina.

Je marchai dans la nuit, seul, dans l'obscurité total. Ce dirigeant vers la seule lumière qui jaillisait au loint, ce feux. J'atteignis bientôt cette mine. Elle était assez vaste, mais dans un mauvais état. Les hommes étaient d'une tel noirceur qu'on ne pouvait les distingués. Je m'adressa à un d'entre eux.
- Monsieur Lereboirs, s'il vous plaît?
Les vêtements souillé, le visage crasseux il me répondit de sa voix rauque et usée :
- Ah, monsieur à pris congé il y'a bien des années de cela.
Je tresaillit comme si la terre eût tremblé sous mes pieds
- Comment? Lereboirs? En êtes vous sûr?
L'étranger paraissait avoir les yeux pleins de larmes.
- Je le crains fort dit - il tout bas, c'était un brave homme, honnête comme il faut.
- Comment cela à t - il pu arriver?
- Tiens! vous savez bien. reprit - il
Et puis il se mit à tousser si fort, d'une toux si grasse, qu'il ne pu finir. Trois minutes après, j'étais repartis.

11. Le 23 novembre 2014, 19:57 par adina

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

  -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

12. Le 23 novembre 2014, 20:08 par Tony B.

Il faisait noir, très noir cette nuit là.
Dans l'ombre surgit un homme mystérieux, sombre. Tout d'un coup,il s'approcha d'un homme, un ouvrier sans doute..
L'homme mystérieux lui cria : "bonsoir mon brave ! Comment se passe le travail avec cette nuit si froide ?"
L'ouvrier lui répondit :"les récoltes sont plutot bonnes mais on commence a ne plus supporter ce froid glacial..."
L'homme était assez gené parce qu'il venait d'entendre ..

13. Le 23 novembre 2014, 22:27 par mathilde

Il faisait nuit, quand un homme arriva et commenca a se diriger vers la ruine qui étais devant lui. Il n'y avais comme éclairage qu'un feu. Il interpella un viellard qui étais habillé de facon salle. Puis il monnta le rejouindre, et ils entamèrent une discussion.

14. Le 24 novembre 2014, 14:22 par Victoria

C'était un soir ordinaire, il faisait nuit ,froid et il se promenait .Soudain au loin, il vit de la fumée, et plus il approchait et plus il voyaient de silhouettes. Il devinait bien que c'était des ouvriers, et il s'en approcha par curiosité.
Tout a coup il fit un vieil ouvrier seul dans un coin qui se réchauffait les mains en les mettant par dessus le feu et il se mit a lui poser un tas de questions sur les conditions de travail.
A travers le visage du vieil homme on voyait la fatigue à cause des longues et rudes journées de travail. Soudainement le vieil homme se mit a tousser et à cracher du charbon par la suite, ce qui intrigua le jeune homme.
Les journées dans l'usine semblaient se répéter à voir la façon dont travaillaient les ouvriers.

15. Le 24 novembre 2014, 17:59 par adrien

C'était une nuit glaciale quand j'apercevais une immense structure en bois éclairée par des dizaines de flambeaux; ça sentait le charbon à des kilomètres. J'avança puis je rencontra un homme travaillant dans cette mine de charbon. Il était sale, crasseux, habillé de haillon qui se chauffait auprès du feu. Le vieil homme m'invita à partager son feu par ce temps glacial puis nous discutâmes. Il me racontait son travail et les conditions à la mine. Autour de moi, je voyais que des hommes crasseux qui travaillaient d'arrache pied dans cette mine, ils étaient vêtus de haillons. Heureusement pour eux ils avaient des chevaux mais je trouvais cela horrible le travail qu'ils faisaient. Le vieil homme amenait son cheval préféré qui lui tenait compagnie.Je voyais que l'homme était malade, il n'arrêtait pas de tousser puis il cracha une substance noire de sa bouche. Cette substance venait des vapeurs du charbon.

16. Le 24 novembre 2014, 18:18 par Florian.G

Dans une sombre nuit, un homme rentra dans un petit village, une sorte d'exploitation minière, et chercha une personne pour , il me semble, essayer de trouver un travail en tant que mineur. Il rencontra un vieu monsieur habillé en tenu de travail recouvert de crasse ( peut etre du charbon), ce vieux monsieur était mineur car lorsqu'il toussait il craché du charbon, puis il entamèrent une discussion qui pareissait sérieuse...

17. Le 24 novembre 2014, 18:20 par lucasteras

J'arrivais en vu de la mine, il y avait à certains endroits des tonneaux enflammés afin de réchauffer les mineurs de ce froid glacial.Je m'approchais d'un de ces travailleur accompagné d'un cheval, il a l'air crasseux et dégage une odeur nauséabonde. Je commençais à lui poser quelques question lorsque d'un coup il se mit à tousser et cracher une sorte de liquide noir il essuya ce qui restais de ce liquide et repartit travailler.

18. Le 24 novembre 2014, 19:26 par abadi

L'homme au chapeau munit d'une malette et d'un long manteau noir, dans l'ombre il sortit de la forêt et marchait vers une sorte de mine avec du feu un peu partout, il connaisait très bien ce camps. Il s'avançait de plus en plus avec ferme et y arriva. A ce moment là, il y trouva un homme d'un certain âge, travaillant avec de la suie partout le visage, fatigué par son travail si épuisant et dur à la fois. Il le questionna et aux réponses du vieil homme, semblait triste ...

19. Le 01 décembre 2014, 11:23 par mme baudry

Feuille de route pour le lundi 1er déc.
Objectif: enrichir l'écrit d'invention.
- lisez les commentaires sauf le n°11: copier/coller les éléments que vous jugez intéressants (sur le plan des idées, du vocabulaire...).
- bilan sur les choix narratifs et les conditions d'un incipit réussi
- copier/coller le commentaire n°11.
- dernière projection du générique du film: prise de notes sur ce qui peut enrichir le commentaire 11 au niveau des idées et du style poétique.
Consigne: Ajoutez dix lignes minimum à ce texte en prenant en compte:
1) les éléments sélectionnés des autres commentaires
2) vos notes prises pendant la projection
3) les deux mots tirés au sort.
Vous enverrez votre texte final sur cette page du blog.

20. Le 01 décembre 2014, 14:45 par bastien d

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme a chapeau qui érrait se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.
Quand il repartit il reprit son cheval au quel il semblait attaché temps d’importance car cettai peu être la seul chose qui le raccrochai a ce travail. On pouvait voir dans ça façon de se remettre a travailler l’absence d’énergie et de motivation et on pouvait même déceler de la déception. Cette homme semblait ne plus avoir de but il vivait ca vie en attendant la mort.

21. Le 01 décembre 2014, 14:46 par lucasteras

première page de Germinal :

      Par une nuit obscure une de ces nuits où l’on croit avoir perdu le soleil,la clarté,l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue, il avait l’air songeur et ne souhaitais que découvrir ce que sont lendemain lui réservait. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :
 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler, il avait le teint noire de crasse. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Où pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux , peut être venant de ces heures de travails passé dans ces mines à respirer des cendres à pleins poumons , qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

22. Le 01 décembre 2014, 14:48 par mehdicentimes

première page de Germinal :
Par une nuit obscure dans cet endroit infâme ou obscurité et noirceur régnaient ,qui semble n avoir jamais aperçus le jour ou toute joie est comme passe , l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. En aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.
Ressemble a une usine de la fumer i,triguer manteau rouge compliciter amitier effort noirceur crache du charbon

23. Le 01 décembre 2014, 14:48 par EmmaC

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Le ciel semblait sombre, envoutant, et seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer dans l'horizon brumeux et noir, cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. On distingue que cet homme semblait avoir un certain attachement à son cheval, qui lui par toute surprise, était propre et bien lavé contrairement à son maître. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir ce qui ressemblait fortement à du charbon, puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

24. Le 01 décembre 2014, 14:48 par Florian.G

Première page de Germinal :

Par une nuit obscure éclairait par des torches et les flammes l'ombre d'un homme se distinguait avec un chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt le vide des étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux mlg se retourna, et exposa son visage noir masquer par la cendre de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Où pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher un poison noir, le charbon, puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

25. Le 01 décembre 2014, 14:48 par abadi

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Il n’avait jamais sentit un temps aussi glacial que celui la. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif, déterminé dans son regard et dans le pas. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions éclairé par le feu du camp. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Le riche homme pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, le pauvre et vieil homme, d’un regard froid, abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval, tous deux fatigués l’homme poussiereux et la bête se ressemblaient, et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

26. Le 01 décembre 2014, 14:48 par Tiffany

Première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible quantité de lumière qu’envoyait la lune lui permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Peur de tomber dans un piège, il ne voulait en aucun cas se faire surprendre tout seul dans la forêt, il continua sa route mais sa fatigue l’en empêchait. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans une faible lumière l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet

instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise
27. Le 01 décembre 2014, 14:48 par alexandra

Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs.Il avançait d'un pas aveugle et décidé. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. L’odeur du charbon l’entêtait.Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas du chevalement de la mine. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :
-Eh, là haut !
Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son percheron alezan et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

28. Le 01 décembre 2014, 14:48 par Tony.B

Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs, La mine était si éclairer qu’elle ressortait a travers la nuit. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif et semblait anxieux et inquiet à la vue de la mine. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards intrigués empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne. L’homme se décida d’en avoir le cœur net et d’entrer dans ce lieu sombre où tous ces travailleurs semblaient éprouver de la fatigue à regarder du charbon tourner dans ces roues qui leur destinait un futur sans ambition. L’ouvrier à qui l’homme parlait tout à l’heure ressurgit avec un cheval, leur amitié comblait sûrement la solitude ressentie dans ce travail. L’ouvrier portait sur son visage des cicatrices montrant la douleur de ce vieil homme. L’homme mystérieux était propre contrairement à l’ouvrier, on aurait dit un contraste entre le noir et le blanc.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

29. Le 01 décembre 2014, 14:48 par Anne D

Quinze ans sans nouvelles… Une pensée, son père.
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination, il s’en voulait d’être partit. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli, mais ce mystère le poussait à revenir. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas, c’était bruyant. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler et sa chevelure ne reflétait que l’état piteux de ce vieil homme, sans soin et qui faisait tant pitié. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir,qui n’était d’autre que du charbon, puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise, cette enveloppe cachant un secret éperdument gardé.

30. Le 01 décembre 2014, 14:48 par juliend

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout a part la dernière maison au fond de l'usine c'est une cabane avec un lit ceci était ma chambre jusqu'à demain au soir mais ne vous inquiéter pas le vieux disait qu'il devait travailler toute la nuit pour gagner un pauvre billet et disait aller vous reposer il finit par dire qu'il fait froid et que vous avait du traverser les plaines et les montagne pour venir jusque ici.l'homme bien habiller décider de refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

31. Le 01 décembre 2014, 14:48 par Tony.B

Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs, La mine était si éclairer qu’elle ressortait a travers la nuit. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif et semblait anxieux et inquiet à la vue de la mine. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards intrigués empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne. L’homme se décida d’en avoir le cœur net et d’entrer dans ce lieu sombre où tous ces travailleurs semblaient éprouver de la fatigue à regarder du charbon tourner dans ces roues qui leur destinait un futur sans ambition. L’ouvrier à qui l’homme parlait tout à l’heure ressurgit avec un cheval, leur amitié comblait sûrement la solitude ressentie dans ce travail. L’ouvrier portait sur son visage des cicatrices montrant la douleur de ce vieil homme. L’homme mystérieux était propre contrairement à l’ouvrier, on aurait dit un contraste entre le noir et le blanc.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

32. Le 01 décembre 2014, 14:48 par bruge titouan

Première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient et grandissais à l'horizon a mesure de s’en approcher, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions qui le laissa sans voix. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux mlg se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise .

33. Le 01 décembre 2014, 14:48 par najwab

De la fumée jaillissait du haut de ce qui ressemblait à un village
un homme, avec un chapeau et plutôt bien habillé, le "village" ressemblait plus à un champs de bataille qu'autre chose. L'homme paraissait âgé, mal et faible. Il était très sale et désanimé.
mon père, travaillant encore dans cette mine, si vieux, malade et pauvre. et moi qui était un jeune homme riche et en bonne santé, je m'en voulu d'être partis tel un voleur. un homme qui semblait aisé, il avait le visage très sale ainsi que ses habits. Le riche homme s'approcha de l'ouvrier soudain le pauvre homme cracha du sang. Les deux homme discutèrent, le riche homme semblait avoir de la peine pour le pauvre homme. ils sont habillés de la même manière: Chapeau et manteau, Dans l'ombre surgit un homme mystérieux, sombre. Tout d'un coup,il s'approcha d'un homme, un ouvrier sans doute..

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs de ruine ,De la fumée jaillissait du haut de ce qui ressemblait à un village . Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif, l’absence de lumiére fais penser a la vie obscure dans laquel est plonger le veillard . Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines mais se demandais ce qu’il attendais dans ce sinistre paysage qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images donnaient l’effet d’un nauffrage sur la plaine et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments, il y avait une tel peur en lui mais marcha d’un pas déterminer . Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse et d’aide qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore

34. Le 01 décembre 2014, 14:48 par bastien d

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme a chapeau qui érrait se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.
Quand il repartit il reprit son cheval au quel il semblait attaché temps d’importance car cettai peu être la seul chose qui le raccrochai a ce travail. On pouvait voir dans ça façon de se remettre a travailler l’absence d’énergie et de motivation et on pouvait même déceler de la déception. Cette homme semblait ne plus avoir de but il vivait ca vie en attendant la mort.

35. Le 01 décembre 2014, 14:48 par romane

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme de passage munit d'un chapeau, se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif, déterminé,comme un soldat partanta la guerre ,Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. Ils se dirigait, intimidé vers ses tonneaux enflammées lançant de grande flammes,A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :
-Eh, là haut !
Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux qui travaillaient avec acharnement, se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. Juste une seconde suffit a comprendre que la fatigue causerait sa perte. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. On voyait qu'une complicité etait né entre le bel animal alezan et l,homme comme une père et son fils. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne. Les mots qui sortait de sa bouche était pratiquement inaudible.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

36. Le 01 décembre 2014, 14:48 par frouintiouan

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait t elle le reflet d’une dune sur un lac.A s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Il vit un homme juché tout en haut, il croyait que quelqu’un l’accueillez mais, en s’approchant il vit un vieil homme qui avait du mal a respirer et qui abandonnait ses mains sal, meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

37. Le 01 décembre 2014, 14:48 par adina

Lumière/ effacer

Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

-Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A mesure que le bruit de leurs pas s’effaçait dans le grondement rauque des berlines, il observa à loisir le vieillard et sa bête, ces deux êtres à qui la lumière du jour manquait cruellement. Il lui semblait apercevoir dans la sombre pupille du cheval les prés verdoyants qu’il ne verrait jamais plus. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.

Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.
38. Le 01 décembre 2014, 15:45 par Anaëlle

Première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau, qui semblait aisé se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Il était sale, crasseux, habillé de haillon qui se chauffait auprès du feu.
Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

39. Le 01 décembre 2014, 15:45 par Andreia

Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. Tout cela ressemblait à un village en feu, comme si le chaos y régnait. Malgré sa découverte, l’homme de la ville s’avança vers ce lieu, paraissant abandonné et se rendit compte qu’il y avait énormément de mouvement. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, plein de lassitude et de larme, le rendant presque aveugle. C’est un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

40. Le 01 décembre 2014, 15:45 par Coleen.

première page de Germinal :

Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. <<Le paysage était dévasté, cahotique, comme si une armée était passé par là. Au loin on distinguais un village en feux. Cet homme était perdu comme venu d'un autre monde que celui-ci.>>Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :
-Eh, là haut !
Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler.<< Des larmes pouvais même couler sur son visage incontiament tellement il était desepéré et malheureux. il La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

41. Le 01 décembre 2014, 15:45 par Victoria

première page de Germinal :
Par une nuit d'hiver et obscure, l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts et à ce moment il se demanda ou avait il atérit, l'endroit était tellement désert et dévasté qu'il se sentait comme naufragé et écarté de toute socialisation. ressemblant à un champ de bataille.Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement et sa lassitude en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant avec mélancolie qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

42. Le 01 décembre 2014, 15:46 par Luucie

Première page de Germinal:
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Le paysage était comme un Naufrage, l'endroit était dévasté, en feu, il fessait nuit mais les mines restaient lumineuse. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence: il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier:

 -Eh, là haut!

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit? Ou pouvait-on coucher dans les environs? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

43. Le 01 décembre 2014, 15:46 par debo

Première page de Germinal :
Par une nuit obscure ou une infine clarté fit apparaître un homme à chapeau qui se dessinait à travers le champs. Seule la faible clarté de la lune qui apparaisait comme une flammes qui courais dans le ciel permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons qui sembla plus doux que le caho qui l’entourais bientot, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination qui s’essouflais lors de l’apparitions du village ou de l’usine en feux qui etais si desastreux. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid et au s’éclaire que la tempête déchaînais depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli, il faisait noir et sont chapeau ne ce distaiguais plus seul sa chevelure ce distinguais encore. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue, l’espoire le portais et le fit surmonter ce que l’homme faible ne réussi pas son acharnement mélanger a sont espoire le rendit plus valeureux que certain et c’est cette même espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :
-Eh, là haut !
Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement

44. Le 01 décembre 2014, 15:46 par Christina.

Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. Pris de lassitude, il s’arrêtera quelque instant, il se dégager au loin un tel vacarme qu’il reprit sa route aussitôt. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

45. Le 01 décembre 2014, 15:46 par Julia

première page de Germinal :
Par une nuit d’hiver ordinaire mais obscure, l'ombre d'un homme de ville à chapeau, munit d’une malette et d’un long manteau noir se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments ou de la fumée s’y échappait. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant ; ces deux hommes étaient habillés exactement de la meme facon lils avaent tout deux chapeau, un manteau mais l’un venait de la ville il était propre tandis que l’autre était sal et poussiéreux. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Cette tristesse si profonde pouvait nous laisser croire que l’homme était dans un piège ou il était difficile d’en sortir : travailler jusqu’ a l’épuisement pour sauver sa famille. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

46. Le 01 décembre 2014, 15:46 par mathilde

première page de Germinal :
Par une nuit d’hiver obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers les champs. Seul la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. De la fumée jaillissait du haut de ce qui ressemblait à un village. mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :
-Eh, là haut !
Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

47. Le 01 décembre 2014, 15:46 par m.lombard

Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments chaotique. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu,l'inconnu s’inquiétait de l’état de santé du mineur mais l'homme au visage couvert de charbon lui répondit que cette toux était passagère, que cétait le temps que son corps se fasse au vapeur de charbon qui s’échappait de la mine . Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu,et dont vous me supplier encore de vous donner son nom, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

48. Le 01 décembre 2014, 15:46 par Romain

première page de Germinal :
Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Il ressemblai a un voyageur venant de la ville et paraissait malheureux et abandonné a son visage vide d’émotion et a son pas ralenti. Il avait du partir le jour pour traversé la foret et arriver la nuit car la ville est a 4h de marche Seule la faible clarté de la lune et des feu allumer permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres de la foret et marchait d'un pas furtif dans le chao environent la mine. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné venant de ses plaie interne, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise.

49. Le 01 décembre 2014, 15:46 par Carla

Par une nuit obscure l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle. Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine ou les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :
-Eh, là haut !
Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux qui le fit cracher noir puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne.
Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise. Cet homme qui devait avoir du mal à s’endormir, tant sa mine l’empoisonnait. Qui jouait avec sa vie tel un enfant avec son jouet.

50. Le 01 décembre 2014, 20:46 par Mme Baudry

Première page de Germinal (élèves de 2nde 1).
Quinze ans sans nouvelles… Une pensée, son père.
Par une nuit obscure, une de ces nuits où l’on croit avoir perdu à jamais le soleil, dans cet endroit infâme où obscurité et noirceur régnaient, où toute joie était comme passée, l'ombre d'un homme à chapeau se dessinait à travers champs. Il ressemblait à un voyageur venant de la ville et paraissait malheureux et abandonné à son visage vide d’émotion. Seule la faible clarté de la lune permettait de distinguer cette silhouette qui se détachait des ténèbres et marchait d'un pas furtif, déterminé,comme un soldat partant à la guerre. Le paysage était dévasté, chaotique, comme si une armée était passé par là. C'était comme un naufrage, un endroit dévasté, en feu. Au loin on distinguait une sorte de village.
L'homme était perdu comme venu d'un autre monde que celui-ci. Tout en aspirant l'air qui pénétrait à grand souffle dans ses poumons, il regardait tantôt les étoiles, tantôt la forme des collines qui se profilaient à l'horizon, s'élevant comme dans un rêve parmi les images et les souvenirs évoqués par son imagination. Cet énigmatique personnage avait vécu toute la journée dans un complet état d'inconscience et au dessus des conditions matérielles de l'existence : il n'avait ni dormi ni mangé, s'était exposé au froid depuis qu'il avait entamé sa marche et s'en trouvait maintenant quelque peu affaibli. Pourtant, ni son pas ni le rythme de son cœur ne ralentissaient sous l'emprise de la fatigue. L'espoir le poussait tel le reflet d’une dune sur un lac. Ce même espoir le poussait à s'affranchir de toute servitude corporelle.
Resserrant sa veste autours de son corps, il releva la tête et aperçut dans l'obscurité l'éclat brumeux de lanternes noyées dans une fumée noire qu'environnaient de hautes constructions.Tout cela ressemblait à un village en feu, comme si le chaos y régnait. Malgré sa découverte, l’homme de la ville s’avança vers ce lieu, paraissant abandonné et se rendit compte qu’il y avait énormément de mouvement. A mesure qu'il s'en approchait, des voix et le murmure d'une agitation se joignaient à l'écho de ses pas. Il y avait donc du monde là bas, et il supposa que ce devait être une mine où les ouvriers de nuit s'affairaient, à en juger par les échafaudages qui prenaient des contours plus distincts. Il pressa le pas et arriva au bas d'un de ces bâtiments. Juché tout en haut, un vieil homme abandonnait ses mains meurtries à la chaleur du feu crépitant. D'abord hésitant, il s'enhardit à l'appeler tout en gravissant l'escalier :

 -Eh, là haut !

Dans un sursaut de toux inopiné, le vieux se retourna, et exposa son visage noir de charbon que les flammes éclairaient d'une teinte rougeâtre à la vue de notre inconnu. Il avait des yeux doux, un de ces regards empreints d'une tristesse qu'on ne peut dissimuler. La bienveillance avait effleuré de son souffle ce visage, mais l'épuisement en avait ciselé les traits. Il répondit à l'appel par un bref salut avant de saisir la bride de son cheval et de le conduire vers les berlines de charbon, non sans lui adresser une caresse de remerciement. On voyait qu'une complicité etait née entre le bel animal alezan et l'homme comme une père et son fils. A mesure que le bruit de leurs pas s’effaçait dans le grondement rauque des berlines, l'homme observa à loisir le vieillard et sa bête, ces deux êtres à qui la lumière du jour manquait cruellement. Il lui semblait apercevoir dans la sombre pupille du cheval les près verdoyants qu’il ne verrait jamais plus .
A son retour, l'inconnu le questionna: y avait-il une quelconque auberge qui ferait crédit d'une nuit ? Ou pouvait-on coucher dans les environs ? Le vieux répondit qu'il n'en savait rien tout en refrénant un violent accès de toux peut être venant de ces heures de travail passées dans ces mines à respirer des cendres à plein poumon. Il cracha un poison noir, du charbon, puis s'en retourna sans plus de cérémonie à sa besogne. Les mots qui sortaient de sa bouche était pratiquement inaudibles. L’homme se décida à en avoir le cœur net et entra dans ce lieu sombre où tous ces travailleurs semblaient éprouver de la fatigue à regarder du charbon tourner dans ces roues qui leur destinaient un futur sans ambition. L’ouvrier à qui l’homme parlait tout à l’heure ressurgit avec un cheval, leur amitié comblait sûrement la solitude ressentie dans ce travail. L’ouvrier portait sur son visage des cicatrices montrant la douleur de ce vieil homme. L’homme mystérieux était propre contrairement à l’ouvrier, on aurait dit un contraste entre le noir et le blanc.

Cet homme, dont le nom vous est encore méconnu, lecteur, regardait tristement s'éloigner cet instrument de la mine, songeant qu'un cœur d'homme battait encore sous cette enveloppe souillée par la braise, cette enveloppe cachant un secret éperdument gardé.