Louise Labé et les poètes de la Pléiade.
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 21 avril 2020, 14:49 - Lien permanent
Louise Labé vient de publier ses oeuvres. Elle a bien sûr entendu parler des prestigieux poètes de la Pléiade et a envie de faire partie de leur "brigade" (revoyez la vidéo si besoin: https://www.youtube.com/watch?v=XZIyL1AKv68).
Elle décide donc de leur écrire une petite lettre qui pourrait les convaincre que, elle aussi, elle voudrait bien en être!
Ecrivez cette lettre: vous utiliserez un langage d'aujourd'hui.
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Chers poètes de la Pléiade.
Je me présente, je suis Louise Labé, une jeune femme Lyonnaise. Passionnée depuis ma naissance par la poésie, en particulier par les sonnets. Je viens de publier mon premier recueil intitulé « Œuvres complètes ». Il parle de mon vécu, de la souffrance de l’amour et des Dieux. Vous tous, poètes de la Pléiade, vous m’inspirez, j’aimerais vous rencontrer et faire partie de votre groupe. Vous me trouvez peut-être inexpérimentée et trop jeune mais je pense que je suis capable de m’améliorer, capable de vous impressionner. De plus vous pourrez m’apprendre d’autres méthodes, d’autres procédés de la poésie. Je vous admire depuis longtemps.
Voici un des sonnets qui se trouve dans mon recueil :
Je vis, je meurs : je me brule et me noie
J’ai chaud extrême en endurant froidure :
La vie m’est et trop molle et trop dure.
J’ai grands ennuis entremêlez de joie :
Tout à un coup je ris et je larmoie,
Et en plaisir maint grief tourment j’endure :
Mon bien s’en va, et à jamais il dure :
Tout en un coup je sèche et je verdoie.
Ainsi Amour inconstamment me mène :
Et quand je pense avoir plus de douleur,
Sans y penser je me trouve hors e peine.
Puis quand je crois ma joie être certaine,
Et être en haut de mon désire heure,
Il ne remet en mon premier malheur.
J’espère que ce sonnet vous convaincra de m’accueillir parmi vous.
Veuillez agréer, mesdames et messieurs les poètes, mes sincères salutations.
Cordialement.
Louise Labé.
Un bon début mais il faut plus de connaissances sur Louise Labé et sur les poètes de La Pléiade. Servez-vous de ce que je vous ai déjà demandé sur Pronote.
Cet exercice a pour but le réinvestissement de vos connaissances. Il faut que je voie si c’est compris.
Inutile de citer un poème entier ou alors il faut que cela serve dans la lettre.
Chers poètes de la pléiade,
Je me nomme Louise Labé, étant une grande fan de poèmes, je suis moi même une poétesse Lyonnaise. Inspirée d’Ovide, des métamorphoses ou des œuvres élégiaques, mes élégies et mes sonnets parlant essentiellement d’amour sont particulièrement influencées par les Héroïdes.
A présent, je m’adresse à vous sept, Ronsard, Du Bellay, Jodelle, Baif, Peletier, Belleau ainsi qu’à Tyard pour vous dire à quel point je vous admire.
D’ailleurs, mon plus grand souhait serait, si vous êtes d’accord de pouvoir faire parti de votre brigade en essayant tout d’abord de vous rencontrer puis que vous puissiez voir par vous même mes capacités et ma grande aisance à écrire des poèmes et sonnets. A partir de ce moment là, vous pourriez finalement voir mon talent et j’essayerais assurément de vous impressionner et de m’embellir de jour en jour grâce à votre aide et votre brave soutien. J’affectionne tout particulièrement la pléiade et son mouvement littéraire car son premier but est surtout de valoriser la langue française, n’étant pas assez mise en avant, en s’inspirant des mythologies et littératures antiques grecque et latine.
En effet, la valorisation française faite par vous mêmes, la Pléiade, est aussi très intéressante et importante puisqu’elle va rendre une langue digne et élégante au lieu d’une langue vulgaire et barbare. Votre idée de renouveler la production poétique m’a vraiment charmée car il s’agit d’un nouvel art poétique mettant en avant la défense de la dignité de la langue française et de sa création littéraire.
En espérant que ma lettre vous adressant ne passera pas inaperçue.
Mes fidèles salutations accompagnées de mon admiration.
Cordialement.
Louise Labé.
Chers poètes de la Pléiade.
Je me nomme Louise Labé, une jeune femme Lyonnaise de 21 ans. Passionnée depuis mon enfance par la poésie. J’ai appris le latin, l’italien. Je pratique l’équitation et l’escrime. Mon père est cordier on me surnomme ‘La belle cordière’ alors même que je suis issue d’une famille de roturier. Je viens de publier mon premier recueil de poésie intitulé « Œuvres de Louise Labé Lyonnaise ». J’y parle de mon vécu, de mes peines de cœur, de la vieillesse et des Dieux.
Vous, messieurs Pierre de Ronsard, Pontus de Thyard, Etienne Jodelle, Joachim Du-Bellay, Remy Belleau, Jean Antoine de Baïf et Jacques Peletier du Mans, poètes de la Pléiade, vous m’inspirez. J’aimerais vous rencontrer et même faire partie de votre groupe. Vous me trouvez peut-être inexpérimentée et trop jeune mais je peux m’améliorer, je suis capable de vous impressionner. J’ai obtenu, grâce à mes écrits, le privilège du roi permettant leurs publications.
Je serais honorée d’apprendre, à vos côtés, d’autres méthodes, d’autres procédés de poésie. Je vous admire depuis longtemps, je m’inspire de votre écriture, de votre humanisme dans mes écrits. Pour moi, vous êtes des modèles pour notre époque, des modèles pour la France et l’Italie. Grâce à vous la langue française est plus belle que jamais et je souhaiterais faire partie du mouvement. J’aimerais vous aider à embellir la poésie française. En unissant nos forces, nos poèmes, nous pourrions embellir la langue française, la faire briller. Il nous faudra imaginer de nouveaux mots pour une plus belle littérature.
Veuillez agréer, messieurs, mes sincères salutations.
Cordialement.
Louise Labé.
Bonjour Messieurs les poètes de la Pléiade,
Je me nomme Louise Labé, et je suis une poétesse française, tout comme vous, et dans mes poèmes, je m'inspire grandement de la mythologie gréco-romaine, et comme vous je suis pour une révolution de la langue française. C'est pourquoi je vous envoie cette lettre, et je vous demande de m'accepter dans votre brigade.
Bien évidement, je suis une femme et non un homme, mais je pense être aussi légitime que vous pour que notre langue soit une fierté nationale. Pour que vous voyez mon tallent, et ma légitimité de me joindre à vous, j'ai mis un extrait d'un de mes sonnet.
Merci d'avoir prêté attention à ma lettre,
en l'attente d'un retour positif de votre part,
Cordialement
Louise Labé.
Si jamais il y eut plus clairvoyant qu'Ulysse,
Il n'aurait jamais pu prévoir que ce visage,
Orné de tant de grâce et si digne d'hommage,
Devienne l'instrument de mon affreux supplice.
Cependant ces beaux yeux, Amour, ont su ouvrir
Dans mon coeur innocent une telle blessure,
-Dans ce coeur où tu prends chaleur et nourriture-
Que tu es bien le seul à pouvoir m'en guérir.
Cruel destin ! Je suis victime d'un Scorpion,
Et je ne puis attendre un remède au poison
Que du même animal qui m'a empoisonnée !
Je t'en supplie, Amour, cesse de me tourmenter !
Mais n'éteins pas en moi mon plus précieux désir,
Sinon il me faudra fatalement mourir.
Chers poètes de la Pléiade,
Certains d’entre vous me connaissent déjà. Jean-Antoine de Baïf et Jacques Peletier ont déjà eu l’occasion de venir tenir salon dans ma maison à Lyon.
Pour les autres, j’aimerais me présenter : je m’appelle Louise Labé, je suis une poétesse lyonnaise. Je viens juste de publier mes écrits dans un ouvrage intitulé « Oeuvres ». Il est constitué d’un texte en prose (« Débats de folie et d’amour »), de trois élégies et de vingt-quatre sonnets, dont un en italien, la langue du sublime poète Pétrarque. Mes influences vont du grand Ovide, ses œuvres élegiaques et ses « Héroïdes » notamment, à Erasme en passant par toute la culture de la Renaissance italienne.
Comme vous, Messieurs de la Pleiade, je suis convaincue que notre langue française doit trouver un rayonnement nouveau et que c’est à nous, poètes, hommes et femmes de lettres, que cette grande et noble tache incombe. Nos écrits ne doivent plus être rédigés uniquement dans la seule langue noble qui est reconnue aujourd’hui, le latin. Le français doit être valorisé, tout comme les italiens ont réussi à valoriser leur langue face au latin. Je n’estime pas notre langue française vulgaire, comme voudraient nous le faire croire certains. Elle est au contraire riche pour ceux qui, comme vous, savent la manier habilement et nous permet de restituer nos émotions, nos tourments et nos espoirs. Nous pouvons offrir à nos contemporains et aux générations futures une belle littérature, en français, en nous affranchissant des anciennes formes de poésies dépassées. Adieu ballades et autres rondeaux ! Les sonnets sont la nouvelle forme qui nous permettra de faire rayonner nos vers. En nous inspirant des littératures antiques et de la mythologie, nous pouvons nous appuyer sur l’Ancien pour faire du Nouveau ! Nous devons renouveler le genre poétique. Pourquoi ne pas créer de nouveaux mots français, tirés du latin, pour donner à lire de nouvelles images, de nouvelles émotions ?
Ce renouveau, vous en êtes l’incarnation, Messieurs Ronsard, du Bellay, Jodelle, Belleau, de Baïf, Peletier et de Tyard. En formant votre Pléiade, vous honorez, ainsi que l’écrit si justement M. du Bellay la « France, mère des arts, des armes et des lois ». Je souhaite moi aussi participer à vos efforts et faire partie de votre mouvement littéraire. Je vous adresse un exemplaire de mes « Oeuvres » pour que vous puissiez vous rendre compte par vous même que mes poèmes traduisent les mêmes préoccupations que les vôtres et j’espère que vous me jugerez digne d’appartenir à votre mouvement.
Avec tout mon respect et mon admiration,
Louise LABE
Bonjour a vous, poètes de la Pléiade.
Je vous écris cette lettre pour vous demander une faveur. J’aimerai faire partie de votre brigade pour pouvoir avancer dans votre objectif qui est de faire du français une fierté nationale ! Cela me tient à cœur de pouvoir y participer et encore plus avec vous qui êtes tous de grands poètes que j’admirent énormément. Ça sera avec grand honneur que je travaillerais avec vous tous. Vous savez, j’ai également des idées pour créer des nouveaux mots venant de la racine gréco-latine. Cela fait bien 1 an que j’en recherche et garde sous mon coude pour pouvoir vous les transmettre à mon intégration possible dans la brigade. Comme vous avez pu le voir (je pense), je viens de publier mes œuvres il y a quelques heures au moment que je vous rédige cette lettre. Dans quelques poèmes, il y a plusieurs mots que j’ai inventées que j’ai glissé dans mes récentes œuvres.
Et, il y a même parfois ou je me suis approprier la forme italienne du sonnet. J’en ai fini avec cette lettre, je vous remercie pour votre future réponse qui j’espère sera positive puisque j’aimerai vraiment pouvoir faire partie de votre brigade si mythique et légendaire !
Cordialement
Louise Labé
Chers poètes de la pléiade,
Cordialement,
Louise Labé
Mes chers amis ou pourrai je dire confrères, moi qui fait le même métier que vous, je voudrai me joindre à votre groupe, à la Pléiade. Comme vous j’ai étudié la littérature et la poésie grecque et latine, comme vous, Ronsard, j’écris des sonnets et j’ai même réecrit un sonnet de Pétrarque ! Je suis sure que vous pourriez m’apporter des connaissances et moi également et je pourrai peut-être vous servir de muse pour vos sonnets ! Et si ma condition de femme vous gène, voyez moi comme seulement comme un poète, tout comme vous.
J’espère vraiment que vous serez tentés par cette aventure et que nous écrirons ensemble de beaux poèmes.
bonjour, je me présente je m’appel Louise labé, dans la vie je suis une poétesse française qu’on surnomme « La Belle Cordière »,je viens récemment de publier de nouvelles œuvre.J’aime la poésie et l’écriture qu’impose la poésie, votre façon d’écrire me donne énormément d’inspiration et me fait apprécier la poésie un peu plus chaque jours. Si aujourd’hui je m’adresse à vous tous Pierre de Ronsard, Joachim Du Bellay, Étienne Jodelle, Rémy Belleau, Jean-Antoine de Baïf, Jacques Peletier, et Pontus de Tyard ce n’est pas anodins,j’aimerais pouvoir partager ma passion à vos coter car je le sais que vous en avez énormément à m’apprendre et peut être inversement je pourrait vous apporter une touche de nouveauté. Cela peu paraître complètement fou ce que je vous demande aujourd’hui mais si vous acceptez ma proposition vous aurait pas à le regretté car je vivrai de ma passion avec de grand poète à mes coter. J’aurai l’immense honneur intégrer votre brigade et de collaborer avec vous tous.
a bientôt, Louise labé
Bonjour Monsieur Ronsard et monsieur Du Bellay,
je m’adresse à vous par écris aujourd’hui pour vous demander de vous rejoindre dans la Pléiade. En effet, je m’intéresse beaucoup à votre groupe de poètes et je voudrais donc en faire partie.
J’ai de nombreux points communs avec vous : dans mes poèmes je m’inspire des récits grecques, notamment Ovide avec ses métamorphoses. Ainsi, mes sonnet sont basés sur les métaphores. De plus, j’ai comme vous, le but d’unifier la France par le biais de sa langue que je trouve magnifique. Je crée des nouveaux mots dans mes poésies. Enfin, les poèmes Italien m’inspirent, c’est pourquoi j’ai écris Solo e pensoso.
En espérant que vous prendrez compte de cette lettre,
je vous remercie chaleureusement,
Louise Labé
Cher poètes de la Pléiade,
Je vous écris cette lettre car je souhaite faire partie de votre «brigade».J’ai à mon effigie plus d’une vingtaine de poèmes et je pense avoir toutes les qualités requises pour faire partie de la Pléiade.J’adore la langue française, je préfère les sonnets aux vers libres et j’ai imaginé de nombreux poèmes grâce aux racines gréco-latine.J’ai moi aussi illustrer la langue française grâce à mes poèmes.Tout d’abord, mes nombreux sonnets à l’instar de Pétrarque dédiés à mes amants comme «Je vis je meurs»,ou «Deux ou trois fois bien heureux» illustre parfaitement ma volonté de faire partie de votre Pléiade.Certains de mes poèmes font références à la mythologie comme «Claire Vénus, qui erres par les Cieux» ou «Diane étant à l’épaisseur d’un bois» respecte les normes de votre Pléiade.Je sais que beaucoup de personnes ont essayé de faire partie de votre Pléiade mais je pense être la plus qualifiée pour en faire partie.J’ai travaillé dur pour pouvoir enfin avoir une chance.Je vous remercie d’avoir lue ma lettre et vous souhaite une bonne lecture.
Louise Labé : lettre dédiée aux membres de la Pléiades
Bonjour Messieurs,
Je me présente, je suis Louise Labé une poétesse et j'ai entendu parler de votre "brigade". Autant vous le dire tout de suite; ça m'intéresserai beaucoup d'en faire partie.
Vous devez très certainement vous demandez pourquoi vous accepteriez et bien je vais vous en donnez les raisons:
Votre but à vous dans cette brigade est de redorer le blason de la langue française en utilisant des formes subtiles de latin et en supprimant les formules de poésie de base, donc en écrivant des sonnets. Et bien je fais la même chose !! Comme vous, je m'inspire des mythes antiques pour rédiger et créer mes sonnets et comme vous j'utilise des formes abstraites de latin.
Alors pourquoi refuser puisque je le même but et le même système de création que vous tous ?
Je vous laisse réfléchir mais espère une réponse positive de votre part.
Cordialement
L. Labé
Messieurs les poètes de la pléiade,
je vous écrit cette lettre, afin de vous expliquer les raisons pour lesquelles je souhaite intégrer votre Brigade.
Comme vous tous, j'aime la langue Française et il est important pour moi de lui donner une place plus importante dans la poésie.
Je suis moi aussi passionnée par la mythologie grecque. Je fais d'ailleurs plusieurs fois référence à Venus et Jupiter dans mes sonnets.
Je souhaite que la femme joue un rôle important dans mes poèmes. Je pense avoir la même vision que vous de la poésie, c'est pour cela que je pourrais apporter une part de féminité à la Brigade.
Je vous remercie par avance de l'attention que vous porterez à ma demande.
Louise Labé.
Bonjour Messieurs,
Je m’appelle Louise Labé, je suis une poète française on me surnomme « La belle cordière ». Je fait partie des poètes qui vivent à Lyon.
J’ai beaucoup entendu parler vous, j’admire vos idées et votre travail. J’aurais bien aimer faire partie de votre brigade, j’ai beaucoup de choses à vous apporter. J’aimerais vous aider à poursuivre vos idées de donner à la langue française les moyens de devenir la langue d’une grande poésie de façon qu’elle rivalise avec celle de l’antiquité. J’aimerais me joindre à votre combat pour enrichir le vocabulaire de la langue française. Je vous aiderais à accroître le style de la langue française en nous aidant des langues grecque et latine.
Étant moi même poètes nous pourrions croiser nos style et nos idées pour faire avancer la poésie française. Comme je suis une femme j’apporterais une autre vision de la poésie avec des mes nombreuses idées. Nous avons beaucoup de penser à se partager et cela pourrait être très enrichissant pour avancer dans tous ses projets.
J’espère vous avoir convaincu avec ces quelques lignes que je pourrais vous apporter mes connaissances pour faire du français une langue aussi noble que le latin.
Bien à vous.
Mes chers poètes,
Ce serait dommage pour vous de rater une belle opportunité, j'espère une réponse positive de votre part.
Bonjour chers poètes de la Pléiade,
Je m’appelle Louise Labé et suis tout comme vous, une poétesse. Je réside à Lyon et j’aimerai faire partie de votre brigade : « Les poètes de la Pléiade ». J’écris des sonnets dont les thèmes récurrents sont le bonheur de l’amour et la souffrance qu’engendre cette dernière. Moi aussi j’ai étudiée les langues antiques et d’ailleurs, je m’en inspire pour certains de mes poèmes. La poésie est très importante à mes yeux, elle représente toute ma vie. Je voudrai vous rejoindre car je souhaiterai partager mes idées avec d’autres personnes qui ont également le goût de la poésie et pouvoir débattre de la beauté des rimes, des vers, des assonances et de tous les autres éléments faisant la gloire et la renommée d’un poème. Si vous m’acceptez dans votre brigade, j’honorerai vos valeurs et prendrai soin du mieux possible d’aider pour les objectifs communs, comme par exemple faire du français une fierté nationale. De plus, je me ferai un plaisir de redorer le blason de la langue française à vos cotés. Pour conclure, je pense être un élément qui pourrait se montrer à la hauteur de votre grandeur afin d’élever d’avantage la réputation de votre poésie.
Louise Labé,
Lyon,
9 septembre 1558
Chers poètes,
A l'heure ou je vous écrit cette lettre mes œuvres viennent tout juste d'être publiées.
Comme beaucoup d'autres j'ai entendu parler de la Pléiade, prestigieuse et admirable brigade. Et en tant qu'humble poétesse je voudrai vous faire part de mon envie de vous rejoindre.
Voyez vous je ne manque pas de conviction et il semblerait nous nous ayons beaucoup en commun.
Tout comme vous je m'inspire des œuvres grecques et du sonnet italien. J'ai l’espoir de faire revive notre langue, la belle et véritable langue française.
Je suggère que nous nous associons, ou plutôt je vous demande l'autorisation de rejoindre votre groupe, afin de faire revivre les formes nobles, d'innover et d'enrichir la littérature. Soyez certain qu'en m'acceptant vous ne le regretterez pas.
Avec mes sentiment distingués,
Louise Labé.
Bonjour la Brigade,
J'aimerais vraiment intégré votre groupe, puis ce que j'estime que j'ai les qualités suffisantes, car je suis une poète, je m'appelle Louise Labé et j'ai même un surnom qui m'a été nommé « La Belle Cordière », car j'habitais dans cette rue à Lyon, et on m'a donné ce surnom.
Je ne sais pas si vous m'avez déjà remarqué, mais si vous ne m'avez pas remarqué je vais vous faire passer quelques extraits de mes poèmes
Ô doux regards, ô yeux pleins de beauté,
Petits jardins pleins de fleurs amoureuses
Où sont d'Amour les flèches dangereuses,
Tant à vous voir mon oeil s'est arrêté !
Ce poème désigne l'amour, c'est un de mes poèmes préféré, puis ce que ce poème désigne l'amour comme d'autre poème que j'ai écrit, et nous pouvons aussi remarqué dans ce poème je parle d'amour, car "Où sont d'Amour les flèches dangereuses," dans ce vers j'accentue bien sur le mot "Amour".
Je vais vous donnez aussi un autre exemple des poèmes que je suis capable d'écrire
Depuis qu'Amour cruel empoisonna
Premièrement de son feu ma poitrine,
Toujours brûlai de sa fureur divine,
Qui un seul jour mon coeur n'abandonna.
Nous pouvons voir à nouveau que j'insiste sur l'amour encore une fois.
La plupart de mes textes parle d'amour.
Si je veux rejoindre votre groupe, c'est pour que je ne me sentes pas seule, et qu'on remarque mon talent en tant que poète.
Puis ce que je suis aussi forte en musique c'est même mon art de prédilection.
Un point qui est aussi très important, depuis mon enfance on m'a appris le Latin, l'Italien, l'équitation, et l'escrime, et surtout il n'y a pas beaucoup de femme qui a pu apprendre tout ça, j'estime que je peux vous aidez si vous ne comprenez pas une langue où quoi que ce soit.
J'ai des qualités j'en ai pleins.
Surtout je suis prête à tout pour être dans la Brigade, puis ce que je suis déterminée, et surtout vous êtes tous incroyable dans la Brigade Joachim Du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. Je vous aimes tous
Ce serait vraiment un honneur d'intégré la Brigade.
Chers poètes de la Pléiade,
Chacun de ces sonnets représente un élément qui évoque des sentiments et des sensations comme les sens. Je suis plutôt humaniste en genre littéraire. J’aime bien écrire des poèmes sur les Humains. Depuis toute petite, je rêve d’être poète et de faire partir d’un groupe de poètes pour apprendre les arts littéraire et d’autres styles de poèmes. Je suis motivée, déterminée et je peux monter mes talents d’artiste. Durant mon enfance j’ai appris beaucoup de chose comme le latin, l’équitation, l’italien et l’escrime. Mon art de prédilection est la musique. Si vous voulez, je peux vous envoyer plusieurs sonnets que vous puissiez apprécier mon talent. Voici un passage de l’un de mes sonnets :
«
Même si je suis une femme, je peux vous apporter mon style si particulier pour enrichir votre brigade.
En espérant avoir une réponse positive de votre part, je vous prie, d’agréer, chers poètes, l’expression de mes sentiments les meilleurs.
Louise Labé
Je publierai vos lettres mercredi.
Ce que je lis est globalement compris. Mais, pour ceux qui n'ont pas encore envoyé, je me permets de vous donner des conseils:
- il faut plusieurs paragraphes
- il faut être précis, faire référence à la biographie, aux poèmes de Louise Labé: que peut-elle mettre en valeur pour se faire accepter parmi les poètes de La Pléiade?
Attention aux écrits trop vagues.
Cher poète de la Pléiade
J’ai énormément entendu parlé de votre « brigades », je suis une poète comme vous et j’aime beaucoup les œuvre que vous faites.
C’est pour sa que j’aimerais intégré votre cercle afin de faire moi aussi partagé mes réflexion.
Merci de m’avoir lu et de répondre favorablement à ma demande.
Cordialement
Louis Labé
Bonjour,
Je me présente ainsi en tant que Louise Labé.
Si je vous écris cette lettre c'es pour vous parvenir que j'aimerais faire parti des poètes de la Pléiade.
Tout d'abord j'aimerais que vous sachiez que je vous admire personnellement.
Dans mes sonnets je parle souvent d'amour car l'amour j'aime ça, car tout le monde aime l'amour, car l'amour est aimé de tout le monde, c'est l'Amour.
Moi j'aime l'amour, car l'amour est beau, l'amour est chic, l'amour est classe.
J'aimerais en votre compagnie apprendre a plus m'épanouir dans mes sonnets et à acquérir des sonnets de perfections.
Je vous remercie de votre lecture et j'accepterais tous choix de votre part.
"La nuit est le moment privilégié de l'expression de la douleur amoureuse. Vénus accompagne l'expression de cette douleur. La nuit n'est pas consacrée au repos comme la plupart des gens mais aux larmes".
Mais voici mon état si vous me décliner cette offre.
Au revoir.
Louise Labé.
Bonjour, je m’appelle Louise Labé, je suis poète et j’aimerais faire partie de votre « brigade » de la Pléiade, pour vous convaincre je vous laisse lire mes arguments :
Vous dites que votre ambition est de « redorer le blason de la langue française », et "bannir" le latin, donc je pourrait réécrire les anciens texte en français et non plus en latin, par ailleurs tout mes poèmes sont en français je pure (je pourrais vous conseillé de lire mes poèmes : « Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés », « On voit mourir toute chose animée » ou encore « Sonnet de la belle cordière » qui sont tous écrits en français) j’ai donc la capacité d’écrire des textes en français assez facilement donc ça ne changera pas mes habitudes en terme d’écriture de rejoindre « La brigade »
De plus, pour vous l’Italie est un "modèle de prestige" et bien je connais l’Italien , je pourrais donc vous faire des traductions de certain texte, poèmes… pour que vous puissiez peut-être vous inspirer de l’Italie.
Bonjour messieurs,
Aujourd’hui je souhaite intégrer la Pléiade, je penses qu’on a beaucoup de choses en commun comme le fait de vouloir faire renaître la langue française.
Je fais tous comme vous, des sonnets, vous pouvez d’ailleurs allez les voir, il y a par exemple : « Depuis qu’Amour cruel empoisonna » ou encore « Je fuis la ville, et temples, et tous ». J’ai aussi compris que vous aimiez ce qu’ont fait les Italiens , sachez que je parles Italien.
J’aimerais vraiment pouvoir faire partie de votre groupe. Vous pouvez aussi m’acceptez car sa vous rajouterait un atout féminin et je suis quelqu’un de varié et romantique.
J’ai moi aussi fait partie d’un groupe et aujourd’hui je veux aller encore plus loin et vous rejoindre . J’ai également suivions une école lyonnaise tout comme vous.
Acceptez moi dans votre équipe !
Signé: Louise Labé
Bonjour chers poètes de la Pléaide,vous n’allez peut être pas comprendre la démarche de cette lettre mais je me présente je m’appelle Louise Labé j’exerce la même passion que vous, je suis une poétesse lyonnaise.On me surnomme souvent «la belle cordiere »surnom qui provenait du métier de mon père Je vis de ma passion et ce qui a principalement favoriser ma réussite ce sont mes fameux sonnet.La poésie pour moi est magique et la manière dont vous la mettez en valeur me donne beaucoup d’inspiration pour la suite. C’est pour cela que je vous écrit car je pense que nous pourrions avoir beaucoup d’idées en commun et mettre encore plus en valeur la poésie française que vous l’avez déjà fait.Votre brigade et pour moi une façon de faire renaître la poésie encore plus forte qu’elle ne pouvait l’être au par avant.Votre brigade contient pour moi les plus grand poètes français et de pouvoir l’intégrer me serait une immense fierté.Dans certains de mes poèmes il m’arrive d’y intégrer des mots pas employés par tout le monde ce qui rend parfois l’écriture original.Mais malgré sa je pense que j’en ai beaucoup à apprendre et quoi de mieux que d’apprendre au coter de vous sept. Ma demande est sincère,j’aimerais rejoindre votre brigade et évolue un peu plus chaque jours avec vous.Cordialement