1.
Le 19 octobre 2014, 19:57 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))
Je vous redonne certains sites qui pourront vous être utiles:
- pour l'utilisation du lexique de l'analyse littéraire: http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/IMG/pdf/12_le_vocabulaire_pour_l_analyse_d_un_texte.pdf
- pour l'expression des émotions (sujet d'invention): http://www.bonjourdefrance.com/exercices/contenu/expression-des-sentiments.html
2.
Le 20 octobre 2014, 08:15 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))
Feuille de route pour la question transversale. - copier la question du sujet (avant de lire les textes) - copier dans chaque texte deux citations qui vous semblent répondre à la question en justifiant vos choix (sans rédiger: "vision....") - proposer un plan pour répondre (à envoyer sur le blog) - choisir le meilleur plan et rédiger (réponse à envoyer)
I - Un peuple porteur d'espoir
TEXTE 1 = TEXTE 2
espoir mm en tps de guerre ; joie ; pas de peur; sentiment de puissance
II - Le non respect du peuple
TEXTE2
"des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées."
non respect des codes de la société
vocabulaire non soutenu "saprelotte"
« Les héros ne sentent pas bon ! »
Vision négative
III - Un peuple en temps de guerre
Point commun des 3 textes: la guerre
dans les 3 textes l'état est vu comme ennemi
Texte C
- « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’homme »
- « La Marseillaise emplit le ciel, comme soufflée par des bouches géantes »
- «où des hommes cachés ne parussent reprendre chaque refrain avec une colère plus haute »
Peuple soudé et rebelle = révolte ils unissent leur force pour lutter ensemble, peuple ‘grandiose’
ATTENTION Texte B=C=Soudé Tout à coup la Marseillaise retentit mais différent du C soudé soumis
III- Vision d’un peuple dirigé et soumis
Texte A
Gavroche = centre des attention, le peuple tourne autour de lui, il est celui qu’on suit
- « Il semblait être là pour l’encouragement de tous »
- « On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours. »
Texte B
- « La foule inoffensive se contentait de regarder. »
- « Tous les visages étaient rouges ; la sueur en coulait à larges gouttes »
Un peuple ‘soumis’, qui se contente de regarder et ne fait rien. N’agit pas par le propre chef
Quelles visions du peuple les trois extraits du corpus donnent-ils ?
Texte 1 : « Gavroche était un tourbillonnement. On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours »
→ peuple omniprésent
Texte 2 : « Tout à coup la Marseillaise retentit. C’était le peuple. Hussonnet fit cette remarque :
- « Les héros ne sentent pas bon ! » »
→ peuple qui apparaît comme une foule, vision péjorative.
Texte 3 : « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible. Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes. »
→ peuple qui apparaît de façon idéale
Annonce du plan :
I) Points communs : on parle du peuple
II) Points de vue péjoratif(s)
→ texte 2 : « héros qui sentent pas bon » « La foule inoffensive se contentait de regarder. »
III) Points de vue mélioratif(s)
→ texte 3 : « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible. »
I- Un peuple en colère, se révoltant
Tous se révolte, mais pas contre le même pouvoir, ils ne se battent pas pour les mêmes droits
II- Un peuple s’aidant les uns les autres
Texte B et texte C : « C’était le peuple ». « La bande descendait » ils s’entraident et sont plus proche que dans le texte A
III- Peuple dirigé
N’agit que sous la direction de quelqu’un
Texte A : Gavroche, tous le monde s’exécute selon ses ordres
« Il semblait être là pour l’encouragement de tous »
Texte B :
- « La foule inoffensive se contentait de regarder. »
I. Un peuple solidaire
Temps de guerre = révolution
Texte A : "Il semblait être là pour l’encouragement de tous."
Texte C :" La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible."
II. Un peuple, une hiérarchie.
Texte A : Gavroche
Texte B : « la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées. »
Texte 1 : « Une porte vitrée, ça coupe les cors aux pieds de la garde nationale5 quand elle veut monter sur une barricade. »
elle montre que Gavroche est un rebelle, il se rebelle contre les gardes en voulant leur faire mal quand elle monte la barricade
Texte 2 : « Tout à coup la Marseillaise retentit. Hussonnet et Frédéric se penchèrent sur la rampe. C’était le peuple. Il se précipita dans l’escalier »
le peuple se rebelle, cela crée une panique .
Texte 3 : « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon. »
on peut croire qu’il y une attaque, une guerre ou une révolution, cette citation impressionne.
« La Marseillaise emplit le ciel »
immensité de la révolution / peuple
I. Point commun entre chaque texte :
-chaque texte : rébellion du peuple envers la garde
-scène qui prend une forme violente.
II. différente vision entre chaque texte :
Texte 1 : révolution de petite ampleur, de petite taille, peu importante.
Texte2 : révolution importante de grandeur moyenne
Texte 3 : révolution d’ampleur immense, beaucoup de révolutionnaire.
II peuple se rebellant de façon positive ou négative :
Texte 1 : peu de personne ce qui rend la révolution de petite ampleur : peu violent. Donc rebellons positive car peu de violence
Texte 2 : révolution qui éclate d’un coup qui rend la révolution violente par un vocabulaire précis comme : « précipita » ce qui montre un panique donc révolution peu positive car violence (un peu présente)
Texte 3 : révolution immense, on peut croire qu’il va y avoir une grande guerre ce qui rend la scène négative dans le sens des gardes mais positive dans le sens du peuple.
I. Un peuple solidaire.
-le peule ce sert les coudes ; ont tous le même point de vue.
« des bouts de l’horizon, des rochers lointains, des pièces de terre labourées, des prairies, des bouquets d’arbres, des moindres broussailles, semblèrent sortir des voix humaines. » (texte N)
-Le peuple s'unit contre le pouvoir.
-Gavroche aide les insurgés = peuple solidaire.
II. Un peuple en révolution contre le pouvoir.
-saccage du Palais des Tulleries.
-Ce prépare a faire la révolution. Marseillaise
- Ce prépare a une émeute.
I) Vision du peuple péjoratif Points commun textes ( masses de gens, …)
II) Vision du texte positif
Différence entre les textes ( texte 2 = peuple patriot avec la Marseillaise retenti, les des bonnets rouges, des baïonnettes )
III) Vision du peuple révolutionnaire
les 3 textes, le peuple est en colère
Texte A = peuple qualifié de « paresseux », « flâneurs », « fatigués », « pensifs »
Gavroche = figure d’autorité, ordres de sa part, « Une hottée2 de plâtras pour me boucher ce trou-là. C’est tout petit votre barricade. Il faut que ça monte. Mettez-y tout, flanquez-y tout, fichez-y tout. Cassez la maison. », il sous estime le peuple « Ah ça, vous n’avez pas une imagination effrénée, mes camarades ! »
Texte B = peuple muet « La foule inoffensive se contentait de regarder. », critiqué « Les héros ne sentent pas bon ! », « La canaille s’affubla ironiquement de dentelles et de cachemires. »
II. Un peuple contre la guerre.
Texte A = « L’énorme barricade le sentait sur sa croupe », « mouche de l’immense Coche révolutionnaire », « Une barricade, c’est le thé de la mère Gibou », « Une porte vitrée dans une barricade, c’est excellent. Ça n’empêche pas de l’attaquer, mais ça gêne pour la prendre. »
Texte B = « C’était le peuple. Il se précipita dans l’escalier, en secouant à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules », « Le vaisseau de l’État est ballotté sur une mer orageuse ! »
Texte C = « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon »
Dans tout les textes, le peuple ce bat contre l’Etat.
III. Un peuple fraternel, soudé et dirigé
Texte C = Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon » = peuple solidaire
« Et la campagne endormie s’éveilla en sursaut ; elle frissonna tout entière, ainsi qu’un tambour que frappent les baguettes ; elle retentit jusqu’aux entrailles » = peuple qui impressionne et est omniprésent
Texte B = « Il se précipita dans l’escalier, en secouant à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules, si impétueusement, que des gens disparaissaient dans cette masse grouillante qui montait toujours, comme un fleuve refoulé par une marée d’équinoxe, avec un long mugissement, sous une impulsion irrésistible »
Différent du Texte A qui ce protège de l’Etat, contrairement aux Texte B et C qui ce défende ensemble
Le peuple est vu de façon différente à travers ces trois textes. On nous demande quelles sont ces visions.
Pour commencer, ces trois textes possèdent un point commun ; la guerre. En effet, ici l’Etat est un ennemi commun. Par exemple les personages de Emile Zola, La Fortune des Rougon, chantent la marseillaise, qui est le chant patriotique de la Révolution française.De plus, des prostituées du texte de Gustave Flaubert « L’éducation Sentimentale » salissent l’ordre national de la Légion d’honneur, il est écrit « des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées. »
Pour continuer sur le texte de G.Flaubert, il adopte une vision négative du peuple, une vision de « casseurs », un non respect. Le peuple est vu ici comme une armée de fourmis dévorant tout sur son passage comme le prouve la phrase « et le peuple […] brisa, lacéra les glaces et les rideaux, les lustres[…]jusqu’à des corbeilles de tapisserie. ». Le vocabulaire choisi par l’écrivain est semblable à l’argot, agressif, avec des mots tels que ‘saprelotte’ ‘pauvre vieux !’
En opposition avec L’éducation Sentimentale, les textes de Victor Hugo « Les misérables » et d’Emile Zola apportent une vision d’un peuple porteur d’espoir. En effet, on voit à travers le personnage de Gavroche l’allégorie de l’espoir, ce petit enfant innocent menant ses camarades. Gavroche « remplissait l’air, étant partout à la fois ». Les personnages du texte de Zola confirme cette idée de guerre joyeuse « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible ». Si les personnages font la guerre dans la joie on peut supposer qu’ils pensent gagner, on peut donc parler du sentiment de puissance qu’ils éprouvent. Le fait de se serrer les coudes fait grimper leur moral. Les personnages n’ont donc pas peur de mourir.
Pour conclure, le peuple donne une vision de solidarité, que ce soit dans le bien ou le mal. Le texte 2 évoque ce mal, le sentiment de puissance qui les portaient à la révolution à fini par les faire aller trop loin.
Nous cherchons les différentes visions du peuple que ses trois extraits nous donnent.
Tout d’abord, nous constatons que la chose primordiale a tiré de ses trois textes est la révolution du peuple. Dans le texte A, de Victor Hugo, intitulé Les Misérables et publié en 1862, la révolution s’adresse contre le pouvoir, ils défendent sans doutes les droits du peuple, en se rebellant et en se montrant par le force. Dans le texte B, de Gustave Flaubert, intitulé L'Éducation sentimentale, et publié en 1869, c’est une tout autre approche de la révolution, tous ne se révolte pas, « la foule inoffensive se contentait de regarder ». Enfin dans le texte C, d’Emile Zola, intitulé La Fortune des Rougon et sorti en 1871. Nous remarquons donc que tous ses textes abordent un même thème commun, la guerre, mais avec à chaque fois une approche différente, tous se révolte contre l’autorité, le pouvoir mais pas pour les mêmes raisons et pas pour les mêmes raisons.
Nous allons étudier les différentes ententes entre les peules, leur solidarité.
Dans un premier temps, nous remarquons que dans le texte B et C le peuple est davantage solidaire que dans le texte A. Dans ces deux textes le peuple s’entraident, se sert les coudes, « C’était le peuple », « La bande descendait » ils ont tous le même point de vue et s’aideront coûte que coûte. Le peuple s’unit contre le pouvoir et tous clament leurs droits. Dans le texte A, il y’a malgré tout une certaine solidarité, Gavroche aide les insurgés, leur construit des barricade ou en tous cas les améliorent fortement. Nous pouvons penser que la révolution est mieux organisée dans les textes B et C que dans le texte A.
Nous allons enfin se pencher sur la soumission du peuple face à une certaine autorité.
Dans le texte A, Gavroche est le centre des attentions, tous le monde le regarde, tous le monde l’admire, tous le monde l’écoute, le peuple tourne autour de lui, il est celui qu’on suit. Tout le monde s’exécute selon ses ordres. « Il semblait être là pour l’encouragement de tous ».
Dans le texte B, c’est un peuple soumis, qui se contente seulement de regarder sans agir. Ils agissent sous l’autorité d’un chef, « La foule inoffensive se contentait de regarder. »
Nous remarquons que dans le texte C, la soumission du peuple est beaucoup moins apparentes que dans les deux autres textes, c’est dans se texte que le peuple est le plus solidaire.
Nous constatons enfin que dans ces textes, les visions sont différentes mais avec beaucoup de points similaires. Le texte le plus intéressant, qui ressort, est nous pensons le texte A car Gavroche un jeune homme prend tous les risques afin de sauver le peuple, il a une joie de vivre malgré la guerre, malgré l’environnement dans le quel il se trouve. C’est un héros.
Nous allons étudier un corpus traitant sur le peuple en temps de guerre, on nous demande d’étudier les visions que ces textes nous donnent du peuple.
Tout d’abord, dans ces trois textes, le peuple se révolte face à une hiérarchie. Cette soumission donne lieu à une révolution de la part du peuple. L’idée commune de révolte du peuple va les unir et les rendre solidaire. Dans le texte A, écrit en 1852 par Victor Huget intitulé Les Misérables, le peuple construit une barricade ce qui les rend solidaire les uns aux autres. D’après la présence de Gavroche « Il semblait être là pour l’encouragement de tous. » ( l. 1 ), ils sont là pour s’entraider, s’encourager. Le texte C, La Fortune des Rougon, d’Emile Zola, écrit en 1871 donne une vision du peuple presque comme si ils étaient tous liés « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible » ( l.1 ). Le terme de « bande » exprime une idée de solidarité, ce terme rapproche le peuple. Dans le texte B , L'Éducation sentimentale écrit en 1869, de Gustave Flaubert , le peuple se révolte « on le lança » et le non respect de la hiérarchie vient d’une idée commune.
Ensuite, la hiérarchie indique une idée de soumission de la part du peuple, c’est pour cela qu’ils se révoltent . Mais cette soumission n’est pas forcément perdue dans certain texte. On a l’impression que dans le texte de Victor Hugo, Gavroche a pris les devants et dirige les personnes présentent pour construire la barricade. De même pour le texte B, où le peuple n’agit pas de lui-même « La foule inoffensive se contentait de regarder. » (l.4) , on a l’impression qu’ils attendent des ordres et qu’en attendant cela ils regardent la scène passivement. De plus ; à la ligne 8, ils n’agissent pas d’eux même « Et poussés malgré eux », l’action n’est pas voulue mais elle est faite.
Pour finir, certains éléments peuvent différencier ces textes. Contrairement aux textes A et C, le texte B est presque connoté péjorativement. Au début, le peuple n’agit pas de lui-même mais au fur et à mesure que le texte avance, il n’y plus d’organisation, tout est perdu. On a une vision négative du peuple qui se révolte, se rebelle, comme le dit l’auteur à la ligne 17 « la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées. », le respect n’est plus présent, la légion d’honneur et les prostituées sont deux termes complètement opposé. Pourtant ici, ils sont rapprochés mais négativement car les prostituées se servent d’un accessoire symbolique qui marque la hiérarchie pour s'habiller. Le peuple est agité, tout est en désordre.
En conclusion, le peuple donne une vision de solidarité et de soutiens. Il est uni.
Mais lorsqu’il n’est plus dirigé, il n’y a plus de règle et donne lieu à un désordre comme dans le texte B. On pourrait retenir cette particularité de révolution qui n’a plus de limite.
Nous allons nous intéressés aux visions du peuple que les trois extraits du corpus nous renvoient.
Tout d’abord nous pouvons avoir une vision du peuple soumis et critiqué par la société. En effet dans le texte A de Victor Hugo, les Misérables (1862), le peuple est qualifié de « paresseux », « flâneurs », « fatigués », « pensifs ». Gavroche semble être la figure d’autorité, il donne des ordres au peuple « Mettez-y tout, flanquez-y tout, fichez-y tout. Cassez la maison. » (l.3) et le sous estime « « Ah ça, vous n’avez pas une imagination effrénée, mes camarades ! » (l.12) Le texte B, de Gustave Flaubert, l’Education sentimentale (1869) met aussi en évidence une vision d’un peuple muet et toujours critiqué mais de manière plus choquante que dans le texte A, l’auteur parle même de « canaille » pour le qualifier.
Nous pouvons ensuite avoir une vision d’un peuple contre la guerre. Dans le texte A, le peuple ce protège de l’émeute parisienne en formant une barricade. Dans le texte B, le peuple ce défend en ce révoltant de manière violente, le peuple dit même que « Le vaisseau de l’État est ballotté sur une mer orageuse ! » (l. ), il est en colère. Enfin dans le texte C d’Emile Zola, La Fortune des Rougon (1871), le peuple ce rebelle de la même manière que dans le texte B, les hommes sont en très grands nombre, ce défende, et impressionne « « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon » (l. )
Enfin nous pouvons avoir une dernière vision d’un peuple fraternel, soudé et dirigé. Dans le texte C, l’auteur parle d’un peuple solidaire « quelques milliers d’hommes », ils sont tous ensemble. Le peuple est omniprésent et impressionnant. Dans le texte B, nous avons une vision du peuple qui ensemble, est plus fort que le pouvoir « Voilà le peuple souverain !, », le peuple est donc qualifié de peuple autonome, chef, dominateur, indépendant, infaillible, et tout puissant. Le peuple est craint. « La canaille s’affubla ironiquement de dentelles et de cachemires. » , il est cependant qualifié violement de « canaille ». Ces deux textes sont différent du texte A, dans le texte A nous avons la vision d’un peuple qui lui ce protège, contrairement aux textes B et C qui nous exprime de la défense et de la rébellion, ils ce battent et ce défendent tous ensemble.
Ici, trois visions différentes du peuple ce dégage, celle d’un peuple soumis, en guerre et fraternel. Les textes ce rejoignent dans la vision d’un peuple en guerre, ils sont tous solidaire, mais ils ne cependant pas tous soumis. Nous pouvons retenir le texte B, qui nous donne une vision de guerre tout au long de la lecture, mais qui ce finit par des descriptions très précise mais toujours violente « comme des lames d’harmonica. »
Nous allons étudier des différentes visions du peuple dans chaque texte.
Nous pouvons remarque que dans chaque texte une idée reviens tout le temps : le rébellion du peuple. En effet, le peuple se retourne contre la garde de façon violente plus ou moins prononcé. Le texte 1, écrit par Victor Hugo en 1862, traite le sujet de la révolution mais d’une façon très particulière, on pourrait croire que Gavroche est seul avec un petit groupe de personne, en train de préparer cette révolution qui n’est pas encore abordée pour le moment. Cette révolution à l’air faible par le manque d’organisation de cette troupe et qu’ils sont en situation de panique : « Hercules vous-mêmes ! », cette citation montre bien que le peuple est en panique face à ce début de révolution. Alors que le texte 2 écrit par Gustave Flaubert en 1869, est une révolution qui éclate d’un coup ce qui rend la scène peu importante mais très violente. L texte 3 écrit par Emile Zola en 1871, lui est très impressionnant du fait qu’il y est un nombre indénombrable de personne : « quelques milliers d’hommes » ce qui rend la scène de grande ampleur.
Nous pouvons voir que le point de vue des révolutionnaires est très différent, en effet dans le texte 1 on pourrait croire que la révolution n’est pas abordé comme elle devrait être et rend la scène humiliante pour le groupe. En effet le manque d’organisation du groupe rend la scène peu importante même voir banal alors que au contraire le texte 3 à l’air beaucoup plus sérieux, beaucoup plus par le fait qu’il y ait beaucoup de révolutionnaire mais aussi que « la campagne endormie s’éveilla en sursaut », on peut croire que ces révolutionnaire s’apparente à des mercenaires puissants. Le texte 2 est lui est violent mais beaucoup moins que le texte 3, en effet le révolution éclate d’un coup, on peut croire que personne ne la voie venir, ce qui rend l’événement important et de grande ampleur.
La révolution est dans chaque texte positive dans le sens des révolutionnaire car il pense pourvoir s’en sortir mais négative dans l’autre. En effet dans le texte 1 la révolution est positive dans le sens des révolutionnaires mais négative dans le sens du pouvoir. En effet les peuple se rebelle contre le pouvoir en leur empêchant de faire leur travaille afin de ne pas aggraver la situation du peuple. Dans le peuple est dans une situation positive car tout le monde suit cette évènement et le pouvoir « subis » cette révolution.
Nous pouvons en conclure que dans chaque texte la vison des révolutionnaires est souvent la même, en effet ils veulent protéger leur droit en faisant touts ensemble une révolution plus ou moins violente.
Le texte 1 est le texte le plus humiliant, il représente la souffrance de la société en panique face à cette révolution.
Nous allons traiter des différences et des points communs entre les différentes vision du peuple dans chaque texte.
En effet dans chaque texte, il y a l'idée de révolution du peuple plus ou moins violente.
Malgré cette révolution dans chaque texte, dans le texte 1 elle semble moins organisé que les autres "Une porte vitrée, ça coupe les cors aux pieds de la garde nationale5 quand elle veut monter sur une barricade". Néanmoins dans le texte 2 la révolution est de plus grande ampleur et dans le texte 3 c'est encore plus marqué avec la présence de beaucoup de révolutionnaires.
Néanmoins, le peuple se rebelle de facons différentes qu'elles soient positives ou négatives. Dans le texte 1 elle est plutot positive car il n'a que peu de violences. Dans le texte 2 c'est tout le contraire avec une révolution brutal et violente. Dans le texte 3, on peut croire qu’il va y avoir une grande guerre ce qui rend la scène négative dans le sens des gardes mais positive dans le sens du peuple comme on peut le comprendre dans la phrase "Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon".
Ces deux textes sont donc les récits de révolutions mais avec une vision différentes à chaque fois. Le texte qui m'a le plus plut est le texte 3 car dans celui ci la révolutions semble avoir réellement une ampleur relativement conséquente.
Nous allons répondre à la question « Quelles visions du peuple les trois extraits du corpus donnent-ils ? » Nous allons montrer la réaction du peuple en temps de guerre.
Tout d’abord le peuple se rebelle face à cette situation. Leur revolte n’est pas exprimer de la meme maniere, dans le premier texte la violence n’est que peu évoquée tandis que dans le second bien au contraire
la violence domine le reste, rien n’est de plus important que la vengeance. Rien ne semble pouvoirs les arreter ert la violence reste le seul moyen pour montrer sa colère et sa revolte. Le premier texte semble tout de meme moins organisé et prémédité que les autres : « encore des tonneaux ! encore des machins ! où y en a-t-il ? » Ils improvisent à moitié leur revolution.
Dans un second temps, le peuple est unis dans cette situation. En effet rien de semble pouvoirs arreter l’union de ces personne ayant un objectif commun. « Il semblait être là pour l’encouragement de tous » , «disparaissaient dans cette masse grouillante qui montait toujours », « l’irruption de ces quelques milliers d’hommes ». A travers ces citations, nous pouvons voir le rassemblement de ces personne qui sont la dans l’unique but de montrer sa rebelions, et comme vous le savez l’union fait la force. La haine de chacun montre la puissance du peuple, et rien ne peut arreter le rassemblement de ces personne qui veulent se faire entendre, et la violence reste le seul moyen pour cela.
Ces textes montrent la revolution du peuple face à la societé, le texte 2 me semble plus démonstratif, car la violence reste le moyen le plus pertinent de se faire entendre.
Nous allons s'intéresser à la vision du peuple que donnent ces trois textes.
Nous pouvons constater que dans chaques textes il s'agit d'un peuple en temps de guerre dans le Texte A " Les misérables " écrit par Victor Hugo en 1862 la guerre est présente l.3 " L’énorme barricade le sentait sur sa croupe " ainsi que dans le texte B " L'éducation sentimentale " écrit par Gustave Flaubert en 1869 où il nous prouve que la guerre est aussi présente grâce a l'énumeration l.1 "des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules ... " puis dans le texte C "La Fortune des Rougon " de Emile Zola en 1871, l.3 "Quand les derniers bataillons apparurent ". La guerre est donc le point commun de ces trois textes malgrès que ce soie pour différentes raisons dans le texte A le peuple est en guerre à cause de l'émeute parisienne, dans le texte B la raison de la guerre est dû à la révolution de 1848 et dans le texte C il s'agit du coup d'Etat du 2 décembre 1851 organisé par Bonaparte. L'Etat est vu comme un ennemi dans chaque texte.
Ensuite la vision d'un peuple fraternel et soudé est concentré sur les textes B et C en mettant en place une forme de forte solidarité l.10 « Voilà le peuple souverain ! », puis dans le texte C « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’homme » ils restent soudé contre l'Etat, une assez grande révolution fait surface dans ces textes ce qui prend de l'ampleur, les révolutionnaires ont un esprit fraternel, ils unissent leur force pour lutter ensemble.
De plus, c'est un peuple qui est dirigé dans le texte A on nous montrent bien que Gavroche est au centre des attentions, le peuple tourne autour de lui, c'est la personne que tous le monde suit l.1 "Il semblait être là pour l’encouragement de tous " Gavroche est vu comme un personnage positif mais dans le texte B, le peuple est dirigé en etant en phase de soumission, ils n'agissent pas " La foule inoffensive se contentait de regarder " on a l'impression qu' ils sont considérés comme faible face a leur ennemi qui est l'Etat.
Nous on concluont que le peuple donne une vision de solidarité malgrés l'omniprésence de la guerre, cependant le texte B est le seul texte qui évoque autant de cotés négatifs.
On nous demande d’étudier quelles visions du peuple les trois extraits du corpus donnent-ils.
Dans un premier temps, on peut s’apercevoir que le peuple peut nous donner une vision d’un peuple luttant contre la guerre. En effet tous ces textes abordent le même sujet, la Révolution. Le peuple est ennemi de l’Etat dans ces trois textes. Ce sont des peuples qui luttent tous contre une révolution de façon différente. Ce sont des peuples guerriers. Cependant certains d’eux ne se révoltent pas.
En effet dans le Texte A provenant de l’œuvre de Victor Hugo, Les Misérables, on peut lire « l’immense Coche révolutionnaire». Ensuite dans le Texte B issus de l’œuvre de Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale, «des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules ». De plus dans le texte C de Emile Zola, La Fortune des Rougon « La bande descendait avec un élan superbe »
Ces citations permettent de s’apercevoir que les textes se situent dans un temps de guerre et de révolte.
D’autre part certains de ces textes nous donne une vision d’un peuple fraternel, soudé et qui se dirige.
En effet dans le texte C, on remarque que le peuple est soudé et rebelle, « rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’homme ». L’expression « rien de plus terriblement grandiose » connote une idée de flatterie et de compliment. La rébellion est vue sous un angle positif et est décris de façon élogieuse. Il y a une côté solidaire qui se dégage de ce peuple, ils unissent tous leur force pour lutter ensemble, c’est un peuple « grandiose ». Le peuple est décris de manière très positive et méliorative, « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible. » Encore une fois on s’aperçoit que ce peuple est décris de façon admirative, il n’est sujet que à des compliments « superbe » « irrésistible » De plus on peut remarquer que le texte B rejoint l’idée du peuple soudé, et solidaire et qui s’unissent « Tout à coup la Marseillaise retentit ». Mais ces deux textes ne se rejoignent pas complètement car le texte B est un peuple qui ne se rebelle pas et qui n’agit pas, alors que dans le texte C on voit un peuple en colère et qui se révolte de toute leur force. De plus le texte A pourrait rejoindre également ces deux textes car le fait que Gavroche aide les insurgés montre que le peuple est également solidaire. Cependant le texte C reste contraire aux deux autres car c’est un peuple qui se dirige.
Parallèlement, on s’aperçoit d’une vision d’un peuple dirigé et soumis. En effet le texte A et B présente des peuples soumis et contraint à une autorité. Dans le texte A, le peuple est soumis à Gavroche qui lui est le centre des attentions, le peuple tourne autour de lui,« Il semblait être là pour l’encouragement de tous », « On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours ». On s’aperçoit que l’attention est tourné suer lui et non sur le peuple en lui-même.
Dans le texte B on s’aperçoit que le peuple est craintif « La foule inoffensive se contentait de regarder. », cette citation nous montre que le peuple n’ose pas se rebeller, il se contente de regarder et ne fait rien. Ces deux textes se lient car les peuples n’agissent pas par leur propre chef et n’osent pas prendre d’initiative de se rebeller.
Dans le texte B, on peut voir que le peuple est vu d’un point de vue négatif, « Les héros ne sentent pas bon ! » ce qui est complètement contraire au texte C qui lui était mit sous un pied d’estrade. Ici le peuple est soumis et il n’est même pas respecté, on s’aperçoit que le vocabulaire est vulgaire « saprelotte ». Ils sont sujets à des moqueries, et des comparaisons très péjoratives « les rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées »
Pour finir, le peuple est donc abordé de façon différente dans ces textes, d’une part on fait face à un peuple dirigeant sujet à une admiration et de l’autre un peuple soumis à l’autorité mais aussi à un irrespect très présent. Pour conclure le texte C est celui qui a un le plus fort impact, on effet c’est celui qui décris le mieux le peuple. De plus la vision que dégage ce peuple, l’esprit rebelle et la solidarité entre eux nous marque plus que les deux autres. En effet cet esprit rebelle est très mis en avant ce qui porte l’attention sur lui. La façon positive dont est décrite ce peuple nous met nous même en admiration devant celui-ci.
On nous demande d’étudier les différentes visions du peuple présentes dans ce corpus.
Tout d’abord, nous remarquons que ces textes abordent pour chacun un temps de guerre et de révolution. En effet, l’histoire du texte 1 se passe au cours de l’émeute parisienne de 1832 ou Gavroche, qui est un personnage créé par Hugo dans son roman Les misérables écrit en 1862, aide les insurgés a construire une barricade. Nous pouvons voir que le texte 2 se déroule également en temps de révolution car cet extrait de l’Education sentimentale de Gustave Flaubert écrit en 1969 raconte l’histoire de Frédéric au cours de la révolution de 1848. Enfin, nous observons que le texte 3 de Emile Zola décrit encore une fois une scène de révolution. Cet extrait de La fortune des Rougon décrit la révolution des habitants contre le coup d’Etat de Napoléon Bonaparte de 1851.
Les textes du corpus contiennent différents points de vue du peuple. Nous remarquons que dans le texte 2, Flaubert semble se moquer des révolutionnaires, et donc du peuple « La foule inoffensive se contentait de regarder. Mais, de temps à autre, un coude trop à l’étroit enfonçait une vitre ; ou bien un vase, une statuette déroulait d’une console, par terre. ». Ce mot « inoffensive » montre bien que l’action du peuple est presque inutile. « Les héros ne sentent pas bon ! », à travers cette réplique Flaubert laisse entendre un point de vue péjoratif du peuple.
Les textes 1 et 3 semblent contenir un point de vue mélioratif du peuple. Nous observons que dans le texte 1, c’est Gavroche qui domine le texte. Il apparaît comme un « bon » personnage. « Gavroche, complètement envolé et radieux, s’était chargé de la mise en train. Il allait, venait, montait, descendait, remontait, bruissait, étincelait. Il semblait être là pour l’encouragement de tous. ». Cette citation nous montre une omniprésence et une agitation de ce personnage qui représente le peuple ici. Le peuple est donc représenté de façon agitée et omniprésente. De plus, le texte 3 représente le peuple de manière « grandiose » et « irrésistible ». C’est donc un autre point de vue mélioratif du peuple qui nous est présenté.
Nous en concluons que ces textes sont assez similaires malgré leur diférences.
Nous allons étudier la vision du peuple dans différent texte du 19eme siècle.
Tout d’abord nous pouvons remarquer que la première vision du peuple dans ces trois textes est, la solidarité. En effet on peut lire dans le texte B: « des bouts de l’horizon, des rochers lointains, des pièces de terre labourées, des prairies, des bouquets d’arbres, des moindres broussailles, semblèrent sortir des voix humaines. » dans cette citation, le fait que les éléments naturels soit personnifiés, cela renforce le sentiment de solidarité, il est vraie que tout le monde est concerné par ce qu’il ce passe, ici a lieux un saccage dans le palais des Tuileries. L’idée de solidarité est reprit dans le texte A avec Gavroche qui mène le peule, qui le dirige, effectivement dès la première ligne du texte, la solidarité est mise en avant : « Gavroche, complètement envolé et radieux, s’était chargé de la mise en train. … Il semblait être là pour l’encouragement de tous. » Cette citation souligne le coté meneur et fraternel de gavroche.
Ensuite la seconde vision du peule dans ces trois textes, est un peuple non respectueux, en effet principalement dans le texte B nous pouvons remarquer que le peuple détruit le palais des Tuileries, il détruit le pouvoir. Le peule transgresse l’image de la France avec : « des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées». Ici le peuple viol aussi limage de la devise française : « Liberté, Egalité, Fraternité » le peule français ce révolte contre le pouvoir car il veut plus de liberté (« à la place du trône, un avenir de bonheur illimité avait paru »).
En revanche le peule dans cette situation le peuple est soudée et fraternel.
Pour conclure, ici la vision du peuple la plus importante reste la vision du peuple soudé malgré qu’il y un pression du pouvoir. Le texte A reflète fortement cet aspect du peuple, soudé et fraternel.
Nous allons étudiez les visions que le peuple nous renvois a travers trois extrait de texte du 19e siècle.
D'emblée, nous pouvons constatez que dans ses trois extraits la révolution est le thème primordiale. Ainsi à travers le texte B de Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale de 1869 on voit dans ce texte une révolution ayant une grande ampleur, le peuple présent au saccage du Palais des Tuileries veut faire tombé l’état, une fois réussi le peuple «Criait vengeance et liberté», la foule n’a plus la même rection que lorsqu’elle est inoffensif.
Le peuple est dirigé et soumis dans c’est trois texte cependant on constate plus cet soumission dans les texte A de Victor Hugo intitulé Les Misérables de 1862, Gavroche est le centre des attention, le peuple tourne autour de lui, il est celui qu’on suit. Les insurgés en train construire la barricade durant l’émeute se plaigne de «pas d’arrêt possible avec lui» Gavroche montre l’autorité la soumission qu’il impose PAS DE REPOS, nous pouvons relié cet imposition de Gavroche a celle du pouvoir dans le texte B et le texte C d’Emile Zola nommé La Fortune des Rougon de 1871 néanmoins ce n’est pas exactement pareil malgré l’avenir de Gavroche et celui du Pouvoir dans ses deux autres texte.
Enfin nous allons étudié le peuple, lui complètement irrespectueux face au pouvoir dans un passage du texte B, "des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées." Passage choquant, la Légion d’honneur est une récompense très rabaissée par Zola. Cependant dans ce même texte Zola nous affirme que la foule est inoffensive. Dans le texte C on remarque un peuple solidaire et unis « peuple invisible et innombrable acclamant les insurgés » une patrie soutenu.
Pour conclure ces texte sont tres similaire, tous dans le même but et contexte, lors de la La Révolution.
On nous demande de donner la vision du peuple de chaque extraits
I. On remarques que dans chaque textes, le peuple est décrit comme « cette masse grouillante qui montait toujours », même si les textes ne sont pas de la même époque et comme si la révolution traversait le temps car les auteurs parle du peuple et donc de la révolution péjorativement. Cependant, il parle souvent, presque toujours d’une révolution, dont le peuple unisse leur force pour lutter face à une force plus puissante que eux, parfois les auteurs parle d’un peuple organisé dirigé par une personne comme Gavroche qui les motivent et « aide les insurgés qui construisent une barricade ».
II. On constate que le peuple se révolte presque toujours contre le pouvoir en place, et ce si la révolution n’est pas organisée , elle est donc désorganisée, cela veut dire que personne dirigent, motivent cette masse, comme quand le peuple saccage le Palais des Tuileries en « brisant, lacérant les glaces et les rideaux, les lustres, les flambeaux, les tables, les chaises, les tabourets, tous les meubles, jusqu’à des albums de dessins, jusqu’à des corbeilles de tapisserie. »
On remarque que les auteurs parlent d’une révolution/insurrection quand elle est organisée mais parlent d’une émeute/saccage quand elle est désorganisée et aussi quand elle est plus ou moins importante comme le « saccage du Palais des Tuileries », « a suscité en Provence des insurrections républicaines » ou encore « au cours de l’émeute parisienne ».
III. Par ailleurs dans le texte B, on a une vision différente que les autres textes, car dans les textes A et C, le lecteur est directement assimilé au peuple tandis que dans le texte C, le lecteur est spectateur car il se mets à la place de Frédéric, héros de l’Education sentimentale et son ami Hussonnet.
Pour conclure, les auteurs malgré l’époque parlent de la vision du peuple et donc de la révolution désorganisée péjorativement alors qu’il acclament la révolution organisé.
On est marqué l’originalité de Gustave Flaubert pour donné une vision externe de la révolution par rapport deux autres textes de Hugo et Zola qui eux ont une vision interne.
Feuille de route : invention.
- copier coller le sujet : repérage des mots importants
- relire le texte B : copier/coller les éléments dont votre personnage va parler.
- proposer un plan : le personnage va raconter…/Le personnage va ressentir telle ou telle émotion (pourquoi ?). Plan à envoyer
- rédiger : quelle ponctuation ? Quel registre ? Quelles tournures ? (voir le site pour exprimer les émotions)
1er paragraphe : sentiment de fierter lorsqu’elle raconte à sa famille, soulagement, sentiment d’avoir vaincu
2ème paragraphe : sentiment de se sentir puissant, elle ne se sent plus inferieur et elle n’a plus le sentiment d’etre soumise
3ème paragraphe : elle se coiffe et donc se met à la place de la reine, sentiment de jalousie, elle envi la reine donc elle se prend pour la reine pendant un court instant
Elle va parler de quand elle pénètre dans la chambre de la reine
Puis de ce qu’elle voit en parlant des autres révolutionnaires
Et de ces pensées quand elle utilise la pommade de la reine
1- des bruits, cris, venait jusqu’aux oreilles de la femme aux bandeaux. Puis une odeur de cramée. Elle sinterroge puis qqn enfonce la porte et saccage tout devant elle. > etonnement >
2- Elle sort et voit un vieux se faire balancer par la fenetre > peur, outrage
3- Un homme la bouscule lattrape et tente de la violer > un autre homme la sauve et tue l’autre
4- La femme retourne dans la chambre de la reine et s’enferme > peur
5- Un enfant etait caché sous le lit > ils ont peur tout les deux
6- Ils se déguisent et sortent tout casser pour se fondre dans la masse
7- Elle fait une sorte de mea culpa à sa famille > regrets
Dans un premier paragraphe :
Entend la Marseillaise, voit le peuple. = Haine comme le peuple mais timide.
Fais parti de la foule au début. = Peur
Deuxième paragraphe
Décris ce qu’elle voit. Le trône balancé = Surprise
Passe à l’action = colère
Troisième paragraphe :
Elle est plus active. = Agitée
Elle décrit ce qu’elle fait, où elle est. = Sentiment de puissance, heureuse, sentiment de joie.
Elle décrit également l’excitation présente dans la foule
Quatrième paragraphe
Prise de conscience : regret, tristesse, honte
Dans un premier temps : explication de la scène = comment la scène à éclaté
= ce qu’elle a fait
= ce que les autres ont fait
Dans un second temps : ses sentiments : peur : fusils, mouvement de foule
-stress = la riposte de la garde (elle aurait pu mourir)
Dans un 3eme temps ce quelle a ressentis après cette événement = ses émotions ont-elles changées ?
Dans un 4ème a-t-elle des remords ? car elle a fait un acte grave, s’en veut-elle ? Non car elle a défendu ses droits et les droits des autres (elle se comparent à une « héroïne »)
1. La Marseillaise a retentit, arriver du peuple, chant qui s’arrête = surprise, impressionner, peur
2. piétinements des souliers, clapotement des voix, violence = stresse, peur, pensive
3. Violence, casse = peur, stresse, pensive, regrets
4. Chambre de la reine, lustrait son bandeau = forme de provocation
Paragraphe 1 : Entendant du bruit dans les tuileries elle y pénètre et constate les dégâts.
Paragraphe 2 : Elle est apeuré et ne comprend pas ce qu’il se passe.
Paragraphe 3 : elle observe sans intervenir
Paragraphe 4 : Elle rentre chez elle, déçu, apeuré et raconte ce qu’elle a vu
- Raconte à ses parents, encore émue par ce qui vient de se passer
- Description du décor, de la foule (casques, bonnets rouges, bruit… etc)
- Peur du personnage : fusils avec des baïonnettes
- Personnage fier de son acte
Je vais écrire ce texte avec un discours direct et un registre de langue familier car on imagine que la femme est pauvre.
- son entrée dans le Palais = la marseillaise, la foule, sa surprise de l’essor de la révolte son excitation et agissement face à sa ça
- le chant s’arrête elle entend les piétinement elle en profite pour taper de pieds encore plus fort elle était emporter par les autres dans leur marche= nombre important de la foule
- au début elle raconte que la foule inoffensive se contentait de regarder
ensuite de temps à autre une vitre ; un vase, une statuette qui était enfonçait, les boiseries pressées craquaient
-sa participation à la révolte
Elle lançait les vases car c’était les moins lourd à briser
- étonnement face au lieux l’entrée dans celui ci= luxe
Elle était vers les dernières à entrer et vu Le trône= assis l’homme à barbe noire, stupide
Certains aller s’asseoir sur le trône = provocation
-Elle voulus faire de même mais eu une meilleure idée
- son idée de provocation avec la crème qu’elle use devant le miroir de la Reine
Raconte q’au début la marseillaise retentit et exprime la joie
Entre dans appartement où voit un individu assis sur le trône et exprime la surprise
Trop de bruits, sentent mauvais, gens, visage rouge exprime du dégoût
Trône enlevé, balancé, promené à la Bastille et brulé
Détruit tout ce qui a dans le palais et exprime la peur
Prennent des objet pour eux
Exprime le désir de mettre de la pommade
Voit que tout le monde dansent, boivent et jouent aux cartes
A la fin exprime la peur des autres
1er paragraphe :
Elle est dans les rues de Paris, elle entend la Marseillaise, ce dirige dans la cour des Tuileries, elle décrit ce qui ce passe autour, les gens, l’environnement, le bruit !
2eme paragraphe :
Elle pénètre dans le château des Tuileries, elle est poussée à cause de la foule elle est entraînée par la foule ! Elle entend des cris ! Elle est excitée mais ressent de la peur. Entend des coups de feux.
3eme paragraphe
Quelqu'un sort de la foule et « mène » cette pagaille. A partir de ce moment des statues volent. Le prolétaire vole a son tour. A ce moment la elle est horrifiée elle ce prend des coups de genoux de coudes et de points. Elle veut sortir de tout ça.
4eme paragraphe
Elle arrive a sortir, elle décrit les rues de Paris elle entend a nouveau la marseillaise elle voit des voiture renversés des personnes a terre. Elle entend des coups de feux a nouveaux.
Antoine : Citations trop longues.
Confusion au début entre le texte B et le texte C.
Trop de fautes également.
2/4
Quentin : Méthode comprise. Revoir la conclusion.
3/ 4
Julie A : Contre sens sur le texte B : le peuple n’est pas inactif ! au début il est spectateur mais ensuite c’est le saccage.
Cependant, la méthode est comprise.
3 / 4
Gladys : Contre sens sur le texte B. beaucoup de fautes. Une assez bonne conclusion.
2/4
Xavier : Attention aux banalités : » et comme vous le savez l’union fait la force. »
Toute la réflexion tourne autour du thème de la violence…
1 / 4
Martin : Analyse trop superficielle. Tu perds la question de vue : la vision du peuple !!
1 / 4
Nicolas : Contre sens sur le texte 1 : le peuple construit une barricade sous les ordres de Gavroche. Un ensemble confus même si de bonnes remarques sur les textes B.
1 / 4
Julie C : Contre sens sur les textes : le peuple n’est pas contre la guerre, il se révolte. Conclusion à revoir. AB 2/4
William : très bien. 4/4
Hugo : bonne conclusion. Cependant, la soumission du peuple est une idée très contestable. 2/4
Thomas D : attention au niveau de langue parfois trop familier. Cependant, à part l’idée de guerre excessive, c’est compris. 3 / 4
Nabil : manque de rigueur (confusion texte b et texte C). Contre sens sur Gavroche, perçu comme un tyran ! 1 / 4
Aurélien : attention à ne pas perdre la question de vue ! Un ensemble trop confus. 1 / 4
J’étais dans la foule, tout le monde se bousculait, je recevais des coups de temps à autres, plus ou moins forts, les hommes autour de moi criaient, chantaient. Des coups de feu assourdissant retentissait de part et d’autre. Etant énervée contre le gouvernement j’ai bien évidemment participé à cette affreuse révolution. A ce moment précis je ressentais une certaine haine envers ses hommes, bêtes et méchants mais étant apeuré et timide je suis restée et est participée à ce vacarme pour me fondre dans la masse et avoir une chance de m’en sortir. Une odeur désagréable mêlée de sueur, de feu et de colère. Je ne savais plus ou mettre j’étais pétrifiée et il m’était impossible de prendre une décision juste.
Apeurée, j’ai continuer d’avancer et est pénétrée pour la première fois et sûrement la dernière dans le palais royal. Malgré tous les dégâts causés par les révolutionnaires, je trouvais ce palais juste magnifique, incroyable, majestueux et à ce moment je me suis senti importante, j’ai eu en moi comme un étrange sentiment de supériorité. Mais comprenez-moi, vous auriez fait pareil, le palais faisait des millions de fois la maison, toute personne normalement constituer aurait eut la même réaction, non ? J’étais heureuse, pendant un court instant j’ai même cru être la reine mais je suis vite revenu à la réalité lorsqu’un homme m’a bousculé et m’a dit d‘une voix roque « Dégage !! ».
Peu de temps après, j’ai vu passée devant moi a une vitesse incroyable le trône du roi, te rends-tu compte maman ? Un trône ! J’ai couru afin de m’éloigner le plus possible de se désastre et je suis arrivée dans une chambre, vide, la plus belle pièce que j’avais vu de ma vie. Elle était grande et décorée avec des tableaux d’une valeur énorme. Cette chambre faisait la taille de la maison papa, la taille de la maison, tu entends ? Je marchais à travers cette chambre avec des étoiles dans les yeux. Je me suis approché d’un miroir à la bordure argentée et là sur une petite table se trouvait une pommade et j’ai lustré mon bandeau avec celle-ci. A ce moment des hommes ont forcé la porte en criant, je suis parti en courant et ai couru jusqu'à la maison sans jamais m’arrêter, pendant que je courais des larmes coulaient. J’étais prise de plusieurs sentiments à la fois, l’excitation d’avoir vécu cela, mais aussi la peur, la colère, le regret. Je me suis arrêté devant la maison, j’ai pris la plus grande inspiration que je pouvais, j’ai séché mes larmes et je suis rentrée.
Ah maman si tu savais tout ce qui c’est passé aujourd’hui tu n’en croirai pas tes oreilles ! La grande révolution ! Le soulèvement ! J’étais tranquillement en train de nettoyer la cour des Tuileries lorsque la Marseillaise retenti ; au loin, je vis une foule avancer vers moi. Des bonnets rouges, casques, baïonnettes et autres objets étaient agités dans le ciel. La foule se rapprochait de plus en plus et je savais de moins en moins quoi faire. Un homme arriva et me tendit une baïonnette. Il me dit « tiens ma jolie, aujourd’hui nous devons nous révolter, nous devons arrêter cette mascarade. Aujourd’hui tu pourras être reine. »
Tu me connais maman, tu sais que je rêvais de remplacer la reine au moins un jour. Oui maintenant je regrette et je sais que ce que j’ai fait n’est pas bien… Mais je me suis joint à la foule. Nous avons enfoncé la porte. Je ne pensais pas que cela allait prendre cette ampleur, je te jure ! Un homme cria et arracha un tableau du mur. Un autre empoigna un autre et lui mit un coup de poing au visage. L’homme qui m’avait tendu la baïonnette me pris par le bras et m’emmena dans la salle du trône, où des bagarres avaient lieu. Des prolétaires s’asseyaient sur le trône. Tu vois maman, c’est à ce moment que je me suis laissée dépassée par mes émotions. J’ai demandé à l’homme de m’emmener dans la chambre de la reine. On arpentait les couloirs où les prolétaires arrachaient les peintures, cassaient des vases, brûlaient quelques tapis et autres objets de valeurs. Certains pillaient les tiroirs, les vêtements, bijoux.
Arrivé devant la chambre de la reine, l’homme me laissa, il me dit de me débrouiller seule. J’ouvris la porte d’un grand geste. Que c’était magnifique. Ah maman si tu avais pu voir toutes ses luxures… Le lit brodé d’or, les armoires hautes comme papa et remplies comme au marché ! J’ai avancé vers une commode et j’ai vu de la pommade. Je n’ai pas pu résister, je l’ai appliqué sur mes cheveux, et pendant un cours instant je me suis sentie Reine. Je n’étais plus la petite bonne soumise à madame. C’était moi, « Madame ». Mais au bout de quelques minutes, cette joie ce transforma en jalousie. Je voulais être comme elle tous les jours, tu comprends maman… Donc dans un élan de folie je renversais tous les objets que je pouvais avec ma faible force. Je me pencha au balcon et vit des hommes jeter le trône par la fenêtre. Au sol, des hommes se serrèrent les coudes et se mirent à plusieurs pour l’emmener vers un bûché, et le brûler. C’est à ce moment que je me suis rendit compte que c’était allé trop loin. Pardonne moi papa, ne me frappe pas… Voilà que je regrette, et comme si cela me ferait pardonner, j’ai rangé la chambre de la reine avant de rentrer… Crois moi maman je ne suis plus fière !
Ce matin je me suis retrouvée aux Palais des Tuileries. J’y ai vécu et vu certains évènements peu communs. Père, mère, je vais vous raconter cela. La Marseillaise a retenti, j’ai vu une foule. Le peuple débarquait. J’entendais des cris, des exécrations envers ce régime qui règne sur nous. Dans cette foule on pouvait y ressentir de la haine, bien sûr ce sentiment était partagé de ma part, mais je n’osais pas les rejoindre. Ils étaient si nombreux et se sont tous précipités dans les escaliers en secouant des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules. Sous cette agitation et sous cette masse, certaines personnes disparaissaient. J’étais perdue ! Je les regardais agir un par un avec une certaine angoisse. Le moment que je redoutais est arrivé, la foule m’a entraînée, j’étais au milieu de ces clapotements de voix, de ces piétinements de soulier. L’ordre ne régnait plus, j’ai reçu des coups par ci par là. J’entendais des vases se briser, des statuts tombées…
L’agitation s’est un peu calmée lorsque nous sommes arrivés dans un appartement. Vous n’imaginez pas comme j’ai été surprise par la luxure de cet endroit. J’étais ébahie ! La pièce était étincelante, remplie d’objets de richesses, je n’avais jamais vu cela. Notre simple fauteuil est remplacé par un trône là-bas. D’ailleurs ce trône, à ma grande stupeur, a été balancé à travers toute la salle pour finir dans le jardin. Cette différence marquée par leur richesse et la nôtre m’a fait prendre conscience de cette haine grandissante qui montait en moi. Pourquoi sont ils supérieurs à nous ? Pourquoi cette différence ? J’ai agi, j’ai pris des vases que j’ai balancés, j’ai brisé des glaces, lacéré des rideaux. J’ose vous dire que je me suis amusée !
J’ai quitté la foule pour aller dans la chambre de la reine. Ce n’est pas la peine de vous décrire sa chambre, je vous laisse l’imaginer. Un miroir s’est présenté devant moi, je me suis assise en face, j’ai pris la pommade qui était posée juste à côté et je me suis lustrée mes bandeaux. Ah ! Comme je me suis sentie puissante à ce moment, j’avais l’impression d’être la reine. Pendant un court instant, je n’avais plus rien à lui envier. J’étais assise à sa place, et qui n’en a jamais rêvé ?
Je vous raconte tout cela, mais je remarque la gravité des choses. Certes, le comportement que j’ai eu n’est pas exemplaire, vous ne m’avez pas éduquée comme ça. Mais j’ai le regret de vous dire que j’y ai pris un certain plaisir. J’ai honte de vous dire ça mais je le pense.
Je suppose que vous êtes au courant, j’ai pénétré dans le Palais des Tuilerie tout à l’heure. Enfin nous sommes rentrés au logement du roi. Je ne sais absolument pas combien nous étions mais jamais je n’ai vu une foule aussi impressionnante, aussi décidé. Des bruits de rage étaient mêlés à des bruits de joie, des bruits de satisfaction qui voulait dire « enfin nous y sommes ». La Marseillaise en musique de fond montrait bien notre détermination pourtant je n’étais pas rassurée au milieu de toutes ces personnes. J’avais une légère appréhension avant d’entrer dans le palais. Je n’étais qu’une piètre rebelle et je ne trouvais pas ma place parmi touts ces gens. Ces rebels engagés et prêt à faire couler le sang comme à verser le leur pour leur cause. Mais il fallait que je m’y fasse, j’étais moi aussi une petite part de cette révolution et quand nous sommes enfin entré, un sentiment de victoire nous a transporté.
Je ne réalisais pas voyez-vous, j’étais dans la chambre de la reine. Ca ne semblait pas réel d’ailleurs je ne me sentais que à moitié consciente, étouffée par le bruit et l’odeur de l’euphorie. J’étais sale, décoiffée, cela n’aurait sûrement du être qu’anecdotique compte tenu de la situation mais c’était gênant. J’étais perdu, je n’étais pas à ma place ici. Je ne me voyais pas arriver en cette tenue, peu à mon avantage le jour où je rentrerais dans ce palais que j’idéalisais tant. Alors j’ai pris une de ces pommades que l’on utilise pour se coiffer, elle était posé sur une petite table à côtés du lit et devait appartenir à la reine. Je ne sais pas combien de temps je suis restée ici, j’étais dans mes pensées, je n’entendais quasiment plus le brouhaha des autres qui me gênait tant quelques instants auparavant. Vois-tu papa c’est là que j’ai réalisé que je n’avais pas ma pace ici et que toi tu l’aurais eu si tu avais été plus jeune. Je me sens honteuse car tu n’as jamais eu cette chance et j’aurais aimé que tu la vives à travers moi. Je suis désolée.
Je fus retirée de mes pensées quand des hommes ont jetés le trône par la fenêtre. Ces de cela que j’aurais voulu être, de ceux qui ont le cran d’aller au bout de ce qu’ils entreprennent. Paradoxalement malgré la chute du pouvoir je ne me suis jamais sentie aussi peu à mon aise et à ma place. Je me suis même surprise à penser que nous étions sans doute fait pour vivre soumis loin du palais et de son luxe. Je sais que c’est dur d’entendre cela pour vous mais je ne sais plus qui je suis, je sais d’où je viens certes mais je me demande où nous allons.
J’étais dans cette rue, les gens courraient, rien n’avait commencé mais il y avait déjà tellement de violence sur tous ces visages… J’avais peur Maman, j’avais peur mais je ne pouvais pas reculer, je me sentais tellement concernée par tous ces évènements, moi aussi je devais me rebeller, je devais m’affirmer et dire que moi non plus je n’étais pas d’accord.
Nous sommes rentrés dans le Palais des Tuileries. La Marseillaise a retentit, c’était l’annonce du commencement. Nous nous sommes précipités dans l’escalier, certains secouaient à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules, des gens disparaissaient dans cette foule qui montait toujours. Et moi aussi je montais. Arrivé en haut, la foule se répandit et le chant tomba. Je regrettais déjà d’être ici. On n’entendait plus que les piétinements de tous les souliers, avec le clapotement des voix. Une partie de la foule devait être comme moi, devait avoir peur, elle ce contentait de regarder. Moi non plus je ne bougeais pas.
Je ne supportais plus de regarder les autres exprimer leur mécontentement alors moi aussi j’ai voulus faire disparaître toute cette colère qui me rongeait. J’essayais de soulever des statuettes mais c’était trop lourd, alors j’attrapai ce qui m’était possible d’attraper, et ce fût des vases. Je cassai tous les vases que je croisai. Je me pris des coups quelques fois, puis cela est devenu plus régulier, j’avais mal, j’avais peur, je voulais partir. Tous les visages suaient et étaient rouges. Vous aussi vous auriez eut peur n’est ce pas ?
Quelques secondes plus tard, j’entendis un homme crier « Les héros ne sentent pas bon ! », et là, toute cette colère qui c’était fais remplacer par ma peur, est revenu au galop. Cet homme n’était pas quelqu’un du peuple, il était habiller de façon très noble, j’avais envie de le tuer. Puis, derrière lui, j’aperçus une chambre, qui ressemblait à la chambre d’une femme, celle de la reine. Je suis entrée. J’ai fermé la porte derrière moi. J’étais seule.
Comme c’était beau… Tout était luxurieux, tout semblait être en or, comme si personne n’avait jamais dormis dans cette chambre, comme si personne n’avait jamais défait ces draps. Et vous savez ce que j’ai ressentis en voyant tout ça ? De la colère et de la jalousie. Oui j’étais en colère de voir que moi je ne pourrais jamais avoir tout cela, et qu’elle, elle l’avait, en partie grâce à nous. Alors j’ai tout dévasté, j’ai jeté ses draps par la fenêtre, j’ai vidée ses flacons de parfums sur le sol après en avoir utilisé quelques-uns, puis je me suis assise sur la chaise qui était devant cette si belle coiffeuse et j’ai vus cette pommade, dont je rêvais depuis si longtemps, alors je m’en suis servis. J’entendais les cries de violences derrière la porte, et moi, je me coiffais. Mais tu sais Maman, il faut que tu me comprennes, j’étais jalouse, et il fallait que je la provoque.
Je suis sortie. On avait gagné. On était victorieux et il fallait que l’on s’amuse. Vous comprenez ? Des forgerons avaient volé des chapeaux à plumes d’autruche, des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées. Et vous savez ? J’ai ri. J’ai ri car j’étais fière de ce que je voyais, j’étais fière de ce qui venait de ce passé, je n’avais plus l’impression d’être inférieur au pouvoir. Pour la première fois depuis longtemps j’avais vaincu.
Père, Mère, dès que la Marseillaise retentit, ce fut l'annoncement du massacre. Le peuple était furieu, la rage envahissait les rues de Paris ainsi que le Palais royale. J'était inquiète, la foule m'entrainait dans cette révolte dont j'étais agitée par des frissons. Le trône fut balancé j'étais stupéfaite ! Des objets étaient brisées, brûlées, puis deformées. Les cris des révolutionnaires retentissaient dans ma tête, je fesais partie de cette foule sans savoir ce que je devais vraiment faire..
Mais tous à coup, la colère des autres s'était comme imprégnée en moi, j'étais partagée entre un sentiment de peur et de colère, je ne savais plus où me mettre je me suis donc pour la seconde fois laisser etraînée par cette foule ce qui a provoqué une immence rage en moi. Pour la première fois je me suis sentit puissante, je n'étais plus à un niveau d'inffériorité et moi aussi j'avais envie d'exposer mon mécontentement.
Je me suis intrioduit dans le palais royale accompagnée de tous ces haineux, l'exitation montait en moi et j'ai commencé a balancer les vases car c'étais les objets les plus faciles a briser. J'ai pris un malin plaisir a commettre cet acte, je me sentais libre et cela me satisfesait. En voyant tous ce luxe dont ils disposaient, du dégout surgissait à l'intérieur de moi même, ces bourgeois qui nous prennent pour des moins que rien et nous piétine dès qu'ils en ont l'occasion ! Cette phrase se répétait dans mon esprit.
J'ai donc pris l'escalier pour monter à l'étage et découvrir la magnifique chambre a couché que disposait Madame la Reine, en entrant dans cette splendide pièce la jalousie prenner le dessus mère.. Puis je me suis sentit obliger de me mettre à sa place, je me suis donc assise sur sa coiffeuse et j'ai commencé a enfiler ces merveilleux bijoux qui iluminé ma peau, puis je me suis mise à me lustrait mes bandeaux avec de la pommade qui apartenait à la reine. Je me sentait tellement bien à ce moment-là.. J'étais ravie de me comporter telle qu'elle.
Mais tous ça ne me ressemble pas.. C'est pour cela qu'aprés cette évenement j'ai tous remis en ordre et je me suis enfuit de peur que l'on me surprenne, je me sens honteuse mère d'avoir fait toutes ces horreures, je regrette tellement mes actes odieux, que Dieu me pardonne..
Je suis rentrée, et je me sens plus mur que jamais. Je sais que vous ne partagez pas mon point de vue mais ce que j’ai fait aujourd’hui, je l’ai fait pour ma satisfaction personnelle tout d’abord, ces personne n’ont eu que ce quelle méritait. Mes compatriotes et moi-même sommes fiers et malgré la peur que j’ai ressenti, je n’aurait évité sa pour rien au monde et nul ne peut compromettre la jouissance que j’ai eu à participer à cet acte de bravour avec le peuple, au nom de tous. Lorsque j’ai penetrée dans la chambre de la reine, rien ne pouvais m’arreter et meme si je ne serait jamais celle-ci , à ce moment la nous la considerions comme quelqu’un de banal et le fait d’avoir le pouvoir ne montre pas qu’ils ne sont pas ateignables. La preuve, nous avons montrer que pour arriver a nos fin nous avons uttilisés la force du nombre et cela à payer.
Vous pouvez me prendre pour une sauvage, mais regarder nous ! on vit dans la médiocrités, j’ai vu la chambre de cette femme et de telles différence de niveau de vie ne devraient pas exister, n’ai-je pas raison ? Pour la première fois je me suis senti importante, l’argent ne fait pas le bonheur c’est une chose mais rien n’a d’égal au pouvoir ! ont-ils le droit d’être superieur ? ont-ils le droit d’être privilégiés ? peu importe les conséquences je ne serait plus une femme soumise. Vous pouvez pensés que je suis soumise du fait que j’ai suivit le mouvement, mais sachez que si certains regrette leur position moi je suis libre de pensé que cet acte ne pouvais pas être manqué et intérieurement je ne suis plus soumise à ces gens qui nous traites comme tels.
Lorsque j’ai pénétrer dans sa chambre, elle possédait tout ce que je désirais. Ce mettre à sa place le temps d’un instant, oublier la réaliter et enfin savourer. Ce fut un énorme effort pour y rentrer mais une foie à l’intérieur, cette reine ne représentait plus rien pour moi, elle n’avait aucun mérite à posséder tout cela, et pour moi tout cela n’était que justice. N’ai-je pas le droit d’envier une femme qui possède absolument tout ? les hommes, l’argent et le pouvoir, tout cela ne devrait être acquis que par le mérite. Je ne connais pas la suite des évenement, certes j’ai eu peur, la peur de faire face à ces gens qui ne semblent pas atteignables, mais qui au final finiront 6 pieds sous terre comme nous, au moins j’aurais eu la satisfaction d’avoir participer à cet acte qui prouvera je l’espère qu’aucun homme ne mérite d’être considérer supérieur aux autres …
Après l’évènement la fille au bandeau rentra chez elle.
« -Père ! Mère ! Je suis rentrée !
-Bah que fait-tu déjà rentré à un heure si peu tardive ? Dit papa.
-J’ai vécu un évènement … historique ……
-Bah explique voyons ne nous laisse pas sur ces quelques mots ! dit mamans
-Voilà aujourd’hui j’ai vécu une révolution ! Tout a commencé lorsque je me baladais le long de la Seine avec Marie, nous avons longuement parlé, puis elle à dût me quitter car elle devait rejoindre son marie. J’ai donc continuée ma balade toute seul lorsque je me suis trouvé au milieu d’une foule hurlant leur mécontentement.
Je n’avais aucun moyen de sortir de cette foule, j’ai été un long moment à être dans une situation de frayeur, en effet la plupart des personnes présentes tenaient une baïonnette et un bonnet rouge sur leur tête ! Ils criaient : « Mort au pouvoir ! Fin à l’interdiction ! ».
Après avoir compris ce qui ce passait, j’ai suivis le groupe car pour moi la raison de cet attroupement est la plus juste ! Nous nous sommes dirigés vers les tuileries avec une haine encore plus forte.
Nous avons pénétrer dans ce grand palais ou tout les possesseurs du pouvoir s’y trouve. Lors de notre entrés dans ce palais de nombreux coups de feu ont été tirés, c’était très effrayant ! Beaucoup de monde rentraient et sortaient par les fenêtres, de nombreux objet volaient à travers le palais.
J’étais effrayé, je me suis mis à courir partout lorsque j’ai trouvé refuge dans une chambre. Une fois mes esprits repris, je me suis rendu compte que j’était dans la chambre de la reine, c’était une chambre très noble, je me suis sentis comme une reine. Je suis allé dans une partie de la chambre où se trouvait de nombreuses coiffes, ainsi que de nombreuses pommades de soin capillaire, mais aussi pour la peau ! Tu aurais du voir maman c’était extraordinaire. J’ai essayé quelque crème sur mes bandeaux et le résultat est incroyable. J’ai rêver durant un court instants lorsque que 3 hommes sont rentrés dans le chambre et ont crié « mort à la reine !! » . J’ai crié comme jamais j’avais crié lorsqu’ils ont remarqué que je n’étais pas la reine et que je n’était que l’une d’eux.
Après cette scène j’ai quitté le palais à une vitesse ahurissante pour ne pas me prendre de projectile.
Après cet évènement je suis renté directement à la maison. De peur que la garde me trouve et m’arrête.
Je ne voudrais plus jamais revivre cette acte, malgré avoir défendu nos cause, j’ai vécu quelque chose d’horrible, j’ai cru que j’allais mourir et que je reverrais plus !
J’étais encore surprise et remontée de ce qui venait de ce passer. Je décidais de me diriger vers mes parents plus particulièrement mon père, qui est celui que je respecte le plus au monde.
Je rentrais alors dans un monologue sans fin.
Le Palais était immense… On était tellement que je ne contrôlais plus mes pas, je ne voyais pas la fin ni le début de la foule d’ailleurs. Toute les personnes hurlais, chantais la marseillaise, je m’y suis mit aussi en hurlant. Mais j’étais vraiment surprise d’un côté, toute cette foule, ils étaient excités encore plus que moi pourtant vous le savez comment, je suis. J’ai un caractère bien trempé, quoi… Et je suis une vraie boule de nerfs, Mère c’est toi qui me le dis tout le temps…
Tout d’un coup tout le monde s’arrête de chanter, je me cogne contre l’homme de devant, et j’arrêtais de songé. On entendait plus que nos piétinements. J’étais un peu frustré du manque de bruit à mon goût. C’était pas assez il en fallais plus! Donc j’ai commencé à taper des pieds comme un folle, je voulais plus de bruit. Maman ne me regarde pas comme ça écoute moi bien ! Je ne voulais pas que tout s’arrête comme ça. Soudain les gens sont devenus plus violents j’étais emporter par les autres, on était tellement, c’était énorme!!
(Ma mère me dit de baisser d’un ton, ce que je n’écoutai pas)
Pour l’instant rien de grave Père! Ils étaient pas passer à l’action moi non plus d’ailleurs, mais je voulais pas que ça prenne des proportions énormes non plus… J’appréhendais un peu la suite des événements je me suis sentis stresser j’avais une boule au ventre. OUAH ! Tout d’un coup j’ai entendus un énorme bruit de fracas j’ai sursauté, j’ai crus mon cœur aller sortir de mon corps tellement je ne m’y attendais pas. J’ai vus des vitres cassées ! Des Hommes cassaient des statuettes et les boiseries craquaient. J’ai vu des vases plus loin, je fus prise d’une pulsion et commença à jeter tout les vases que je voyais. C’était ce qui avait de moins lourd à disposition. Je commençais à devenir excité et je me joignis aux autre dans leurs hurlements.
J’étais vers les dernières dans la foule… Quand je suis rentrée dedans j’étais étonnée face aux lieux. Etonnée ? Ha non, c’est bien trop insuffisant pour décrire ma surprise… J’étais bouleversée perdus… On vit tellement mal nous et eux ces riches ils vivent dans des lieux Ainsi ! Tout ce Luxe… AAAH Père t’aurais du voir ça c’est incroyable ils ne nous prennent vraiment pas en compte! Nous ne sommes pas insignifiant on est bien là pourtant ! Tu aurais vu ces lieux... J’avais les larmes aux yeux, j’étais tellement touchée je ne sais pas quel genre de sentiments c’était tellement c’était fort. Je fus prise d’un excès de haine et de colère sans limite ! Mère tu dois me prendre pour une folle mais tu ne peux pas imaginer ce que j’ai vus ! NE ME REGARDE PAS COMME CA TU NE SAIS POINT!
Un bruit énorme sur ma droite se fit entendre ! Je sortis enfin de mes pensées, et je vis un trône à terre et de nombreuses personnes qui essayaient de monter dessus ! OH j’étais vraiment admirative quelle belle forme de provocation. Avouez c’est énorme quand même !
Face à ça j’ai voulus rejoindre ces gens MAIS PERE TA FILLE eu une meilleure idée… Digne d’une intellectuelle, bien mieux que l’intelligence de ces personnes si luxueuses et soit disant digne !! Maman SOIT FIERE DE TA FILLE !
J’ai vus la crème sûrement celle de la reine ! Je m’assis devant son miroir si grand, si beau. La rage m’envahi, la jalousie m’envahi. HA je pris son peau de crème (la moitié de la crème est tombée) je commençais à me coiffer d’un geste si fantastique… J’étais heureuse de ma provocation. En cet instant j’avais l’ai si belle, si merveilleuse. Bien plus que la reine, je valais bien mieux qu’elle. J’étais d’une beauté sans fin tel une déesse. Tel une créature digne des plus beaux romans de ce monde.
- Bah ma fille, t’étais ou ? Pourquoi rentres-tu si tard ?
- Jamais vous ne me croirez !
- Comment sa ? Que veux tu dire ?
- J’étais las bas ! On est rentrés dedans… !
- Ou ça las bas ?
- Bah au Palais des tuileries ! Il y avait plein de monde, je n’ai jamais vu une telle foule de toute ma vie ! Au début j’étais apeurée car certaines personnes avaient des fusils.
- Mais ça devait être extrêmement violent ! tu n’es pas blessée ?
- Non moi ça va ne t’en fait pas. C’était impressionnant ! Toute cette foule chantant la marseillaise à pleine puissance ! Certains avaient des casques, d’autres des bonnets rouges… C’est à ce moment que j’ai compris que ce palais nous appartenait !
Mais je vais d’abord vous parler de ce qui c’est passer avant qu’on pénètre dans le palais. En arrivant sur place, j’étais effrayée par tout ce monde, toute cette foule ! J’avais peur de me faire piétiner, je ne souhaitais pas être embarquée las dedans mais c’était trop tard ! Et qu’auriez vous fait à ma place ?
- Bah continue enfin !
- Attends ! ne me presse pas ! Il faut que je reprenne mes esprits. Ah oui voila ! Arrivés aux escaliers, il y avait encore plus de monde que au début ! Nous étions au moins une centaine ! Tous voulaient arrivés les premiers !
- Ca devait être extrêmement bruyant !
- Ne m’en parle pas, mais le pire c’était les odeurs je pense… A ce moment ou tout le monde se dépêchait, j’étais la seule à prendre mon temps car je ne voulais pas être blessée accidentellement par les couteaux qu’avaient certaines personnes ou encore par les baïonnettes.
Une fois au haut, on s’est tous arrêtés de chanter, on tentaient de trouver par ou aller car le palais est immense !
- Tu as eu de la chance de ne pas te perdre.
- Oui c’est sur. Après avoir été emportée par la foule, je me suis trouvée dans une pièce infiniment grande. Un fauteuil doré s’y trouvait, c’était le fauteuil du roi. Certains voulaient l’embarquer, le fauteuil a été projeté à travers la pièce ainsi que tout plein de mobilier, je ne trouvais pas ça correct car ce mobilier est tout de même précieux. Après je suis partie dans une autre pièce, c'était la chambre de la reine...
Quand je suis arrivé la foule était déjà pleine et inoffensive elle se contentait de regarder le palais jusqu'à ce que la marseillaise retentisse la foule fus surprise par cet excitation. A partir du moins ou nous entrions dans le palais j’ai su que un vacarme allais suivre et je me suis précipitée pour entrée dans les première.
Notre révolte a commencé et nous ne comptions par rien faire ! Une fois dans le palais une foule révolté près a tout saccager dans ce palais j’ai pris le vase le moins lourd que je vus et je le lança par la fenêtre, j’ai éclaté la vitre, un homme ma suivie il lança le trône, parmi ce qui saccageais de nombreux hommes et femmes pillaient leurs bien. Te rend tu compte maman je crois que nous étions plusieurs milliers et j’ai entendu un homme crié « Les héros ne sentent pas bon ! » il avait raison l’odeur ne me mettais pas j’en est profité pour attrapé un des parfum de la reine pour me parfume et le gardé pendant que j’y étais.
Maman tu aurais dus être la toute cette luxuriance j’ai été très étonnez de voir toute cette dorures. Toute ce monde, j’ai été heureuse de voir combien nous étions dans cet maudit palais, j’ai vu un l’homme à barbe noire il avais l’air stupide assis sur ce trône mais j’ai pensé qu’il avait raison de provoqué, toute cette foule je me suis tellement fait bousculé, maman avant que tu me le demande ne t’inquiète pas je vais bien je ne suis plus une enfant et n’ai pas pris de coup.
A un moment je me suis retrouvé dans la chambre de la reine et j’ai eu la même idée que ces pilleurs et ces provocateurs j’ai voulu faire comme eux j’ai pris la pommade de la reine et je me suis lustré mes bandeaux. Maman a ce moment pendant un court instant j’était tellement heureuse je me suis senti bien devant ce grand miroir mais j’ai ressenti de la jalousie j’ai trouve injuste toute cette richesse et je me suis dit que nous avions fais le bon choix saccager leur lieux c’était tous ce qu’il mérite.
« J’étais dans les rues de Paris ce matin…lorsque tout a coup ! J’ai entendu des coups de feux a cotés du châteaux des Tuileries, la marseillaise retentissait et la foule criait. Je me suis dirigeait vers le château, un peux insouciante et ne me demandant pas ce qu’il pourrait m’arriver. C’est alors qu’un homme sortit de cette foule, de cette pagaille et grimpa sur la façade du palais il était grand, vêtu d’une chemise marron un pantalon trop court, des sabots en bois et d’un bonnet rouge.
Une sorte de brouhaha m’a empêché de comprendre ce que l’homme disait… Mais peut de temps après j’ai pu comprendre ce que l’homme avait dit en brandissant son poing, j’ai était poussée, entraînée, forcée, d’aller a l’intérieur du palais... dans les appartements du roi ! Vous en rendez vous compte ?! Ah vous auriez du voir, la splendeur de cette pièce, du rouge partout. Tapissait sur le plafond, sur les murs, partout. Un parquet magnifique, nos sabots et nos pieds boueux, juraient a coté ! Et la décoration, ah qu’elle était belle, des tableaux tellement réalistes qu’on aurait dit qu’ils bougeaient !
Très vite ma fascination, fut brusqué par un coup de feux qui résonna longtemps dans mes tempes. Quand je revins a moi une statuette, lancée du bout de salle, manqua de me percuter avant d’aller ce fracasser contre une des nombreuses vitres au avaient été brisées.
C’est a ce moment la que j’aperçus le cabinet de toilette de la reine, où j’ai trouvé une pommade, la plus belles pommade a cheveux qu’il existe, même toi maman tu n’aurais pu résister ! Maintenant il est vrai que j’ai honte, mais quand je l’ai passé dans mes cheveux sales et noués cela m’a paru comme un rêve, irréelle… je crois à en jugé la qualité ce devait être un produit luxueux ! Et la préparez vous, dans le miroir j’ai aperçu le trône du roi volé… ! C’était tellement existant de mettre la pagaille dans l’appartement de la personne qui nous persécute et nous taxes à longueur de journée… Le peuple criait et se dirigeait petit a petit vers la sortit et vers d’autres appartement pour certains car j’ai cru apercevoir des bonnets et des casques qui couraient a travers la cours. Moi j’ai préféré sortir de tout cela certes c’était excitant mais si cela avait était a la maison cela ne m’aurait pas plus, donc je suis sortis toujours en entendant des cris et coups de feux."
Le soir pendant le dîner la femme au bandeau raconte ce qu’elle a fait la journée à ses parents.
J’ai été content d’entendre la Marseillaise et j’ai donc suivi timidement mais avec fierté le groupe , qu’il allait au palais des Tuileries.
Ils sont entrés en premier puis moi et d’autres, nous somme entrés ensuite car j’avais peur et j’étais timide et intimidée d’entrer dans le palais et qu’il est les nobles qui me voit comme ça.
Mais je suis entrée et j’étais ébahie de voir un ouvrier à barbe noire en sueur et avait le visage rouge, même j’ai remarqué qu’ils étaient tous rouges et en sueur et cela me donnais le dégoût, combiné aux bruits, je me suis senti mal à l’aise. Je me suis mis à la fenêtre pour respirer alors qu’ils balançaient le trône à travers la pièce puis par la fenêtre pour l’envoyer brûler à la Bastille, pourquoi à la Bastille ? vous allez me dire mais j’en sais rien moi non plus.
Vous rendez vous compte, cela me rappelais la révolution de 1789, quand tu m’a raconté que tu y avais participé, tu t’en souviens papa hein, tu t’en souviens avec les casques, les bonnets rouges, les baionnettes, et d’autres.
Au moment où tout le monde, les hommes, les femmes et les enfants ont commencés à tout détruire, j’ai pris peur et je ne sais pas pourquoi j’ai eu peur, mais je me suis repris et je me suis emportée moi aussi à détruire les vases les verres en les balançant à travers la pièce contre le mur.
Mais je me vite lassée que cela et je me suis saucilée à travers les bouts de verres, de porcelaines, pour aller dans une pièce quelconque et au moment je me suis pas rendu compte que c’étais la chambre de la reine, mais quand je l’ai su, j’ai été intimidée et jalouse de la reine et je voulais tout qu’elle avait et voulais m’inclinée en présence d’elle.
Dans une autre pièce, je voyais des gens qui dansaient, buvaient et jouaient aux cartes, à un moment j’ai été angoissée par eux mais je me suis rendu compte qu’ils me voyaient pas et me suis rassurée.
J’ai aperçu un tiroir entre ouvert, une pommade et j’ai eu l’idée de l’utilisée pour mon bandeau.
Aurélien: beaucoup de fautes. Les émotions ne sont pas assez développées. Texte inachevé. Quelques bons passages cependant. 7/16
Antoine: un bon texte. La fin est un peu confuse et des fautes. 11/16 O-)
Nabil: beaucoup de fautes dans ce texte. Un problème de syntaxe important qui empêche de comprendre parfois le sens de la copie. 6/16
Quentin: le sujet ne demande pas un dialogue. L'enjeu principal du sujet, à savoir la critique du pouvoir n'est pas assez présent. 6/16
Julie A: un problème de niveau de langue. L'écrit d'invention demande de soigner l'écriture davantage. Trop de familiarités. Le passage du miroir aurait dû être plus approfondi. 8/16
Nicolas D: trop de familiarité. On a du mal à retrouver l'époque du texte support. La réflexion sur les soins capillaires aurait pu être évitée...6/16
Xavier: un texte cohérent et intéressant. Cependant, des fautes et la scène du texte n'est pas assez retranscrite. 9/16
Gladys: beaucoup de fautes. De plus, l'épisode du trône n'est pas repris. Cependant, la fin de la copie est meilleure. 9/16
Julie C: un assez bon texte même s'il y a trop de passages copiés de Flaubert, qui sont décalés avec le niveau d'expression du personnage. 10/16
Martin: très bien. Un bel effort de style. Bravo. 13/16. 8-)
William: trop de passages repris du texte de Flaubert. Cela semble assez décalé par rapport aux personnage. Les émotions manquent aussi de vivacité. Un ensemble satisfaisant cependant. 10/16 :-)
Thomas D: un bon texte malgré des terminaisons grammaticales approximatives!! Beaucoup de bonnes idées. 12/16 :mdr:
Hugo: un assez bon texte, même si on aurait souhaité un ton davantage polémique. Mais, une facilité d'écriture à exploiter. 11/16 O-)
Commentaires
Je vous redonne certains sites qui pourront vous être utiles:
- pour l'utilisation du lexique de l'analyse littéraire: http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/IMG/pdf/12_le_vocabulaire_pour_l_analyse_d_un_texte.pdf
- pour l'expression des émotions (sujet d'invention): http://www.bonjourdefrance.com/exercices/contenu/expression-des-sentiments.html
- copier la question du sujet (avant de lire les textes)
- copier dans chaque texte deux citations qui vous semblent répondre à la question en justifiant vos choix (sans rédiger: "vision....")
- proposer un plan pour répondre (à envoyer sur le blog)
- choisir le meilleur plan et rédiger (réponse à envoyer)
I - Un peuple porteur d'espoir
TEXTE 1 = TEXTE 2
espoir mm en tps de guerre ; joie ; pas de peur; sentiment de puissance
II - Le non respect du peuple
TEXTE2
"des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées."
non respect des codes de la société
vocabulaire non soutenu "saprelotte"
« Les héros ne sentent pas bon ! »
Vision négative
III - Un peuple en temps de guerre
Point commun des 3 textes: la guerre
dans les 3 textes l'état est vu comme ennemi
I- Un peuple contre la guerre
Point commun des 3 textes
Abordant la guerre
II- Vision d’un peuple fraternel, soudé et dirigé
Texte C
- « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’homme »
- « La Marseillaise emplit le ciel, comme soufflée par des bouches géantes »
- «où des hommes cachés ne parussent reprendre chaque refrain avec une colère plus haute »
Peuple soudé et rebelle = révolte ils unissent leur force pour lutter ensemble, peuple ‘grandiose’
ATTENTION Texte B=C=Soudé Tout à coup la Marseillaise retentit mais différent du C soudé soumis
III- Vision d’un peuple dirigé et soumis
Texte A
Gavroche = centre des attention, le peuple tourne autour de lui, il est celui qu’on suit
- « Il semblait être là pour l’encouragement de tous »
- « On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours. »
Texte B
- « La foule inoffensive se contentait de regarder. »
- « Tous les visages étaient rouges ; la sueur en coulait à larges gouttes »
Un peuple ‘soumis’, qui se contente de regarder et ne fait rien. N’agit pas par le propre chef
Quelles visions du peuple les trois extraits du corpus donnent-ils ?
Texte 1 : « Gavroche était un tourbillonnement. On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours »
→ peuple omniprésent
Texte 2 : « Tout à coup la Marseillaise retentit. C’était le peuple. Hussonnet fit cette remarque :
→ peuple qui apparaît comme une foule, vision péjorative.
Texte 3 : « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible. Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes. »
→ peuple qui apparaît de façon idéale
Annonce du plan :
I) Points communs : on parle du peuple
II) Points de vue péjoratif(s)
→ texte 2 : « héros qui sentent pas bon » « La foule inoffensive se contentait de regarder. »
III) Points de vue mélioratif(s)
→ texte 3 : « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible. »
Quelles visions du peuple les trois extraits du corpus donnent-ils ?
visions : il excitait les paresseux
I puissance du peuple grace à la rebelion (t : A,C)
II la determination et la violence du peuple (A,B,C)
III
1) Le peuple soumis( Texte A, B)
2) Le peuple guerrier ( Texte A,B,C = point commun )
3) Peuple soudé et rebelle ( Texte B )
I espoir en temps de guerre (A et B)
II peuple patriote (B et C)
I- Un peuple en colère, se révoltant
Tous se révolte, mais pas contre le même pouvoir, ils ne se battent pas pour les mêmes droits
II- Un peuple s’aidant les uns les autres
Texte B et texte C : « C’était le peuple ». « La bande descendait » ils s’entraident et sont plus proche que dans le texte A
III- Peuple dirigé
N’agit que sous la direction de quelqu’un
Texte A : Gavroche, tous le monde s’exécute selon ses ordres
« Il semblait être là pour l’encouragement de tous »
Texte B :
- « La foule inoffensive se contentait de regarder. »
I. Un peuple solidaire
Temps de guerre = révolution
Texte A : "Il semblait être là pour l’encouragement de tous."
Texte C :" La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible."
II. Un peuple, une hiérarchie.
Texte A : Gavroche
Texte B : « la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées. »
III. Une vision négative du peuple.
Texte B
Texte 1 : « Une porte vitrée, ça coupe les cors aux pieds de la garde nationale5 quand elle veut monter sur une barricade. »
Texte 2 : « Tout à coup la Marseillaise retentit. Hussonnet et Frédéric se penchèrent sur la rampe. C’était le peuple. Il se précipita dans l’escalier »
le peuple se rebelle, cela crée une panique .
Texte 3 : « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon. »
on peut croire qu’il y une attaque, une guerre ou une révolution, cette citation impressionne.
« La Marseillaise emplit le ciel »
immensité de la révolution / peuple
I. Point commun entre chaque texte :
-chaque texte : rébellion du peuple envers la garde
-scène qui prend une forme violente.
II. différente vision entre chaque texte :
Texte 1 : révolution de petite ampleur, de petite taille, peu importante.
Texte2 : révolution importante de grandeur moyenne
Texte 3 : révolution d’ampleur immense, beaucoup de révolutionnaire.
II peuple se rebellant de façon positive ou négative :
Texte 1 : peu de personne ce qui rend la révolution de petite ampleur : peu violent. Donc rebellons positive car peu de violence
Texte 2 : révolution qui éclate d’un coup qui rend la révolution violente par un vocabulaire précis comme : « précipita » ce qui montre un panique donc révolution peu positive car violence (un peu présente)
Texte 3 : révolution immense, on peut croire qu’il va y avoir une grande guerre ce qui rend la scène négative dans le sens des gardes mais positive dans le sens du peuple.
I. Un peuple solidaire.
-le peule ce sert les coudes ; ont tous le même point de vue.
« des bouts de l’horizon, des rochers lointains, des pièces de terre labourées, des prairies, des bouquets d’arbres, des moindres broussailles, semblèrent sortir des voix humaines. » (texte N)
-Le peuple s'unit contre le pouvoir.
-Gavroche aide les insurgés = peuple solidaire.
II. Un peuple en révolution contre le pouvoir.
-saccage du Palais des Tulleries.
-Ce prépare a faire la révolution. Marseillaise
- Ce prépare a une émeute.
III. Un point de vue différent.
-Texte B
I Peuple Révolutionnaire
Texte B et Texte C
«Acclamant les insurgés»
«Criait vengeance et liberté»
le peuple en révolution contre l’état.
II Un peuple en temps de Guerre
«En secouant à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes»
«Jusqu’à la Bastille, et brûlé.»
I) Vision du peuple péjoratif Points commun textes ( masses de gens, …)
II) Vision du texte positif
Différence entre les textes ( texte 2 = peuple patriot avec la Marseillaise retenti, les des bonnets rouges, des baïonnettes )
III) Vision du peuple révolutionnaire
les 3 textes, le peuple est en colère
I. Un peuple soumis et critiqué.
Texte A = peuple qualifié de « paresseux », « flâneurs », « fatigués », « pensifs »
Gavroche = figure d’autorité, ordres de sa part, « Une hottée2 de plâtras pour me boucher ce trou-là. C’est tout petit votre barricade. Il faut que ça monte. Mettez-y tout, flanquez-y tout, fichez-y tout. Cassez la maison. », il sous estime le peuple « Ah ça, vous n’avez pas une imagination effrénée, mes camarades ! »
Texte B = peuple muet « La foule inoffensive se contentait de regarder. », critiqué « Les héros ne sentent pas bon ! », « La canaille s’affubla ironiquement de dentelles et de cachemires. »
II. Un peuple contre la guerre.
Texte A = « L’énorme barricade le sentait sur sa croupe », « mouche de l’immense Coche révolutionnaire », « Une barricade, c’est le thé de la mère Gibou », « Une porte vitrée dans une barricade, c’est excellent. Ça n’empêche pas de l’attaquer, mais ça gêne pour la prendre. »
Texte B = « C’était le peuple. Il se précipita dans l’escalier, en secouant à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules », « Le vaisseau de l’État est ballotté sur une mer orageuse ! »
Texte C = « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon »
Dans tout les textes, le peuple ce bat contre l’Etat.
III. Un peuple fraternel, soudé et dirigé
Texte C = Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon » = peuple solidaire
« Et la campagne endormie s’éveilla en sursaut ; elle frissonna tout entière, ainsi qu’un tambour que frappent les baguettes ; elle retentit jusqu’aux entrailles » = peuple qui impressionne et est omniprésent
Texte B = « Il se précipita dans l’escalier, en secouant à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules, si impétueusement, que des gens disparaissaient dans cette masse grouillante qui montait toujours, comme un fleuve refoulé par une marée d’équinoxe, avec un long mugissement, sous une impulsion irrésistible »
Différent du Texte A qui ce protège de l’Etat, contrairement aux Texte B et C qui ce défende ensemble
Le peuple est vu de façon différente à travers ces trois textes. On nous demande quelles sont ces visions.
Pour commencer, ces trois textes possèdent un point commun ; la guerre. En effet, ici l’Etat est un ennemi commun. Par exemple les personages de Emile Zola, La Fortune des Rougon, chantent la marseillaise, qui est le chant patriotique de la Révolution française.De plus, des prostituées du texte de Gustave Flaubert « L’éducation Sentimentale » salissent l’ordre national de la Légion d’honneur, il est écrit « des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées. »
En opposition avec L’éducation Sentimentale, les textes de Victor Hugo « Les misérables » et d’Emile Zola apportent une vision d’un peuple porteur d’espoir. En effet, on voit à travers le personnage de Gavroche l’allégorie de l’espoir, ce petit enfant innocent menant ses camarades. Gavroche « remplissait l’air, étant partout à la fois ». Les personnages du texte de Zola confirme cette idée de guerre joyeuse « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible ». Si les personnages font la guerre dans la joie on peut supposer qu’ils pensent gagner, on peut donc parler du sentiment de puissance qu’ils éprouvent. Le fait de se serrer les coudes fait grimper leur moral. Les personnages n’ont donc pas peur de mourir.
Pour conclure, le peuple donne une vision de solidarité, que ce soit dans le bien ou le mal. Le texte 2 évoque ce mal, le sentiment de puissance qui les portaient à la révolution à fini par les faire aller trop loin.
Nous cherchons les différentes visions du peuple que ses trois extraits nous donnent.
Tout d’abord, nous constatons que la chose primordiale a tiré de ses trois textes est la révolution du peuple. Dans le texte A, de Victor Hugo, intitulé Les Misérables et publié en 1862, la révolution s’adresse contre le pouvoir, ils défendent sans doutes les droits du peuple, en se rebellant et en se montrant par le force. Dans le texte B, de Gustave Flaubert, intitulé L'Éducation sentimentale, et publié en 1869, c’est une tout autre approche de la révolution, tous ne se révolte pas, « la foule inoffensive se contentait de regarder ». Enfin dans le texte C, d’Emile Zola, intitulé La Fortune des Rougon et sorti en 1871. Nous remarquons donc que tous ses textes abordent un même thème commun, la guerre, mais avec à chaque fois une approche différente, tous se révolte contre l’autorité, le pouvoir mais pas pour les mêmes raisons et pas pour les mêmes raisons.
Nous allons étudier les différentes ententes entre les peules, leur solidarité.
Dans un premier temps, nous remarquons que dans le texte B et C le peuple est davantage solidaire que dans le texte A. Dans ces deux textes le peuple s’entraident, se sert les coudes, « C’était le peuple », « La bande descendait » ils ont tous le même point de vue et s’aideront coûte que coûte. Le peuple s’unit contre le pouvoir et tous clament leurs droits. Dans le texte A, il y’a malgré tout une certaine solidarité, Gavroche aide les insurgés, leur construit des barricade ou en tous cas les améliorent fortement. Nous pouvons penser que la révolution est mieux organisée dans les textes B et C que dans le texte A.
Nous allons enfin se pencher sur la soumission du peuple face à une certaine autorité.
Dans le texte A, Gavroche est le centre des attentions, tous le monde le regarde, tous le monde l’admire, tous le monde l’écoute, le peuple tourne autour de lui, il est celui qu’on suit. Tout le monde s’exécute selon ses ordres. « Il semblait être là pour l’encouragement de tous ».
Dans le texte B, c’est un peuple soumis, qui se contente seulement de regarder sans agir. Ils agissent sous l’autorité d’un chef, « La foule inoffensive se contentait de regarder. »
Nous remarquons que dans le texte C, la soumission du peuple est beaucoup moins apparentes que dans les deux autres textes, c’est dans se texte que le peuple est le plus solidaire.
Nous constatons enfin que dans ces textes, les visions sont différentes mais avec beaucoup de points similaires. Le texte le plus intéressant, qui ressort, est nous pensons le texte A car Gavroche un jeune homme prend tous les risques afin de sauver le peuple, il a une joie de vivre malgré la guerre, malgré l’environnement dans le quel il se trouve. C’est un héros.
Nous allons étudier un corpus traitant sur le peuple en temps de guerre, on nous demande d’étudier les visions que ces textes nous donnent du peuple.
Tout d’abord, dans ces trois textes, le peuple se révolte face à une hiérarchie. Cette soumission donne lieu à une révolution de la part du peuple. L’idée commune de révolte du peuple va les unir et les rendre solidaire. Dans le texte A, écrit en 1852 par Victor Huget intitulé Les Misérables, le peuple construit une barricade ce qui les rend solidaire les uns aux autres. D’après la présence de Gavroche « Il semblait être là pour l’encouragement de tous. » ( l. 1 ), ils sont là pour s’entraider, s’encourager. Le texte C, La Fortune des Rougon, d’Emile Zola, écrit en 1871 donne une vision du peuple presque comme si ils étaient tous liés « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible » ( l.1 ). Le terme de « bande » exprime une idée de solidarité, ce terme rapproche le peuple. Dans le texte B , L'Éducation sentimentale écrit en 1869, de Gustave Flaubert , le peuple se révolte « on le lança » et le non respect de la hiérarchie vient d’une idée commune.
Ensuite, la hiérarchie indique une idée de soumission de la part du peuple, c’est pour cela qu’ils se révoltent . Mais cette soumission n’est pas forcément perdue dans certain texte. On a l’impression que dans le texte de Victor Hugo, Gavroche a pris les devants et dirige les personnes présentent pour construire la barricade. De même pour le texte B, où le peuple n’agit pas de lui-même « La foule inoffensive se contentait de regarder. » (l.4) , on a l’impression qu’ils attendent des ordres et qu’en attendant cela ils regardent la scène passivement. De plus ; à la ligne 8, ils n’agissent pas d’eux même « Et poussés malgré eux », l’action n’est pas voulue mais elle est faite.
Pour finir, certains éléments peuvent différencier ces textes. Contrairement aux textes A et C, le texte B est presque connoté péjorativement. Au début, le peuple n’agit pas de lui-même mais au fur et à mesure que le texte avance, il n’y plus d’organisation, tout est perdu. On a une vision négative du peuple qui se révolte, se rebelle, comme le dit l’auteur à la ligne 17 « la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées. », le respect n’est plus présent, la légion d’honneur et les prostituées sont deux termes complètement opposé. Pourtant ici, ils sont rapprochés mais négativement car les prostituées se servent d’un accessoire symbolique qui marque la hiérarchie pour s'habiller. Le peuple est agité, tout est en désordre.
En conclusion, le peuple donne une vision de solidarité et de soutiens. Il est uni.
Mais lorsqu’il n’est plus dirigé, il n’y a plus de règle et donne lieu à un désordre comme dans le texte B. On pourrait retenir cette particularité de révolution qui n’a plus de limite.
Nous allons nous intéressés aux visions du peuple que les trois extraits du corpus nous renvoient.
Tout d’abord nous pouvons avoir une vision du peuple soumis et critiqué par la société. En effet dans le texte A de Victor Hugo, les Misérables (1862), le peuple est qualifié de « paresseux », « flâneurs », « fatigués », « pensifs ». Gavroche semble être la figure d’autorité, il donne des ordres au peuple « Mettez-y tout, flanquez-y tout, fichez-y tout. Cassez la maison. » (l.3) et le sous estime « « Ah ça, vous n’avez pas une imagination effrénée, mes camarades ! » (l.12) Le texte B, de Gustave Flaubert, l’Education sentimentale (1869) met aussi en évidence une vision d’un peuple muet et toujours critiqué mais de manière plus choquante que dans le texte A, l’auteur parle même de « canaille » pour le qualifier.
Nous pouvons ensuite avoir une vision d’un peuple contre la guerre. Dans le texte A, le peuple ce protège de l’émeute parisienne en formant une barricade. Dans le texte B, le peuple ce défend en ce révoltant de manière violente, le peuple dit même que « Le vaisseau de l’État est ballotté sur une mer orageuse ! » (l. ), il est en colère. Enfin dans le texte C d’Emile Zola, La Fortune des Rougon (1871), le peuple ce rebelle de la même manière que dans le texte B, les hommes sont en très grands nombre, ce défende, et impressionne « « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’hommes dans la paix morte et glacée de l’horizon » (l. )
Enfin nous pouvons avoir une dernière vision d’un peuple fraternel, soudé et dirigé. Dans le texte C, l’auteur parle d’un peuple solidaire « quelques milliers d’hommes », ils sont tous ensemble. Le peuple est omniprésent et impressionnant. Dans le texte B, nous avons une vision du peuple qui ensemble, est plus fort que le pouvoir « Voilà le peuple souverain !, », le peuple est donc qualifié de peuple autonome, chef, dominateur, indépendant, infaillible, et tout puissant. Le peuple est craint. « La canaille s’affubla ironiquement de dentelles et de cachemires. » , il est cependant qualifié violement de « canaille ». Ces deux textes sont différent du texte A, dans le texte A nous avons la vision d’un peuple qui lui ce protège, contrairement aux textes B et C qui nous exprime de la défense et de la rébellion, ils ce battent et ce défendent tous ensemble.
Ici, trois visions différentes du peuple ce dégage, celle d’un peuple soumis, en guerre et fraternel. Les textes ce rejoignent dans la vision d’un peuple en guerre, ils sont tous solidaire, mais ils ne cependant pas tous soumis. Nous pouvons retenir le texte B, qui nous donne une vision de guerre tout au long de la lecture, mais qui ce finit par des descriptions très précise mais toujours violente « comme des lames d’harmonica. »
Nous allons étudier des différentes visions du peuple dans chaque texte.
Nous pouvons voir que le point de vue des révolutionnaires est très différent, en effet dans le texte 1 on pourrait croire que la révolution n’est pas abordé comme elle devrait être et rend la scène humiliante pour le groupe. En effet le manque d’organisation du groupe rend la scène peu importante même voir banal alors que au contraire le texte 3 à l’air beaucoup plus sérieux, beaucoup plus par le fait qu’il y ait beaucoup de révolutionnaire mais aussi que « la campagne endormie s’éveilla en sursaut », on peut croire que ces révolutionnaire s’apparente à des mercenaires puissants. Le texte 2 est lui est violent mais beaucoup moins que le texte 3, en effet le révolution éclate d’un coup, on peut croire que personne ne la voie venir, ce qui rend l’événement important et de grande ampleur.
La révolution est dans chaque texte positive dans le sens des révolutionnaire car il pense pourvoir s’en sortir mais négative dans l’autre. En effet dans le texte 1 la révolution est positive dans le sens des révolutionnaires mais négative dans le sens du pouvoir. En effet les peuple se rebelle contre le pouvoir en leur empêchant de faire leur travaille afin de ne pas aggraver la situation du peuple. Dans le peuple est dans une situation positive car tout le monde suit cette évènement et le pouvoir « subis » cette révolution.
Nous pouvons en conclure que dans chaque texte la vison des révolutionnaires est souvent la même, en effet ils veulent protéger leur droit en faisant touts ensemble une révolution plus ou moins violente.
Le texte 1 est le texte le plus humiliant, il représente la souffrance de la société en panique face à cette révolution.
Nous allons traiter des différences et des points communs entre les différentes vision du peuple dans chaque texte.
Malgré cette révolution dans chaque texte, dans le texte 1 elle semble moins organisé que les autres "Une porte vitrée, ça coupe les cors aux pieds de la garde nationale5 quand elle veut monter sur une barricade". Néanmoins dans le texte 2 la révolution est de plus grande ampleur et dans le texte 3 c'est encore plus marqué avec la présence de beaucoup de révolutionnaires.
Nous allons répondre à la question « Quelles visions du peuple les trois extraits du corpus donnent-ils ? » Nous allons montrer la réaction du peuple en temps de guerre.
Tout d’abord le peuple se rebelle face à cette situation. Leur revolte n’est pas exprimer de la meme maniere, dans le premier texte la violence n’est que peu évoquée tandis que dans le second bien au contraire
la violence domine le reste, rien n’est de plus important que la vengeance. Rien ne semble pouvoirs les arreter ert la violence reste le seul moyen pour montrer sa colère et sa revolte. Le premier texte semble tout de meme moins organisé et prémédité que les autres : « encore des tonneaux ! encore des machins ! où y en a-t-il ? » Ils improvisent à moitié leur revolution.
Dans un second temps, le peuple est unis dans cette situation. En effet rien de semble pouvoirs arreter l’union de ces personne ayant un objectif commun. « Il semblait être là pour l’encouragement de tous » , «disparaissaient dans cette masse grouillante qui montait toujours », « l’irruption de ces quelques milliers d’hommes ». A travers ces citations, nous pouvons voir le rassemblement de ces personne qui sont la dans l’unique but de montrer sa rebelions, et comme vous le savez l’union fait la force. La haine de chacun montre la puissance du peuple, et rien ne peut arreter le rassemblement de ces personne qui veulent se faire entendre, et la violence reste le seul moyen pour cela.
Ces textes montrent la revolution du peuple face à la societé, le texte 2 me semble plus démonstratif, car la violence reste le moyen le plus pertinent de se faire entendre.
Nous allons s'intéresser à la vision du peuple que donnent ces trois textes.
Nous pouvons constater que dans chaques textes il s'agit d'un peuple en temps de guerre dans le Texte A " Les misérables " écrit par Victor Hugo en 1862 la guerre est présente l.3 " L’énorme barricade le sentait sur sa croupe " ainsi que dans le texte B " L'éducation sentimentale " écrit par Gustave Flaubert en 1869 où il nous prouve que la guerre est aussi présente grâce a l'énumeration l.1 "des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules ... " puis dans le texte C "La Fortune des Rougon " de Emile Zola en 1871, l.3 "Quand les derniers bataillons apparurent ". La guerre est donc le point commun de ces trois textes malgrès que ce soie pour différentes raisons dans le texte A le peuple est en guerre à cause de l'émeute parisienne, dans le texte B la raison de la guerre est dû à la révolution de 1848 et dans le texte C il s'agit du coup d'Etat du 2 décembre 1851 organisé par Bonaparte. L'Etat est vu comme un ennemi dans chaque texte.
Ensuite la vision d'un peuple fraternel et soudé est concentré sur les textes B et C en mettant en place une forme de forte solidarité l.10 « Voilà le peuple souverain ! », puis dans le texte C « Rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’homme » ils restent soudé contre l'Etat, une assez grande révolution fait surface dans ces textes ce qui prend de l'ampleur, les révolutionnaires ont un esprit fraternel, ils unissent leur force pour lutter ensemble.
De plus, c'est un peuple qui est dirigé dans le texte A on nous montrent bien que Gavroche est au centre des attentions, le peuple tourne autour de lui, c'est la personne que tous le monde suit l.1 "Il semblait être là pour l’encouragement de tous " Gavroche est vu comme un personnage positif mais dans le texte B, le peuple est dirigé en etant en phase de soumission, ils n'agissent pas " La foule inoffensive se contentait de regarder " on a l'impression qu' ils sont considérés comme faible face a leur ennemi qui est l'Etat.
Nous on concluont que le peuple donne une vision de solidarité malgrés l'omniprésence de la guerre, cependant le texte B est le seul texte qui évoque autant de cotés négatifs.
On nous demande d’étudier quelles visions du peuple les trois extraits du corpus donnent-ils.
Dans un premier temps, on peut s’apercevoir que le peuple peut nous donner une vision d’un peuple luttant contre la guerre. En effet tous ces textes abordent le même sujet, la Révolution. Le peuple est ennemi de l’Etat dans ces trois textes. Ce sont des peuples qui luttent tous contre une révolution de façon différente. Ce sont des peuples guerriers. Cependant certains d’eux ne se révoltent pas.
En effet dans le Texte A provenant de l’œuvre de Victor Hugo, Les Misérables, on peut lire « l’immense Coche révolutionnaire». Ensuite dans le Texte B issus de l’œuvre de Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale, «des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules ». De plus dans le texte C de Emile Zola, La Fortune des Rougon « La bande descendait avec un élan superbe »
Ces citations permettent de s’apercevoir que les textes se situent dans un temps de guerre et de révolte.
D’autre part certains de ces textes nous donne une vision d’un peuple fraternel, soudé et qui se dirige.
En effet dans le texte C, on remarque que le peuple est soudé et rebelle, « rien de plus terriblement grandiose que l’irruption de ces quelques milliers d’homme ». L’expression « rien de plus terriblement grandiose » connote une idée de flatterie et de compliment. La rébellion est vue sous un angle positif et est décris de façon élogieuse. Il y a une côté solidaire qui se dégage de ce peuple, ils unissent tous leur force pour lutter ensemble, c’est un peuple « grandiose ». Le peuple est décris de manière très positive et méliorative, « La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible. » Encore une fois on s’aperçoit que ce peuple est décris de façon admirative, il n’est sujet que à des compliments « superbe » « irrésistible » De plus on peut remarquer que le texte B rejoint l’idée du peuple soudé, et solidaire et qui s’unissent « Tout à coup la Marseillaise retentit ». Mais ces deux textes ne se rejoignent pas complètement car le texte B est un peuple qui ne se rebelle pas et qui n’agit pas, alors que dans le texte C on voit un peuple en colère et qui se révolte de toute leur force. De plus le texte A pourrait rejoindre également ces deux textes car le fait que Gavroche aide les insurgés montre que le peuple est également solidaire. Cependant le texte C reste contraire aux deux autres car c’est un peuple qui se dirige.
Parallèlement, on s’aperçoit d’une vision d’un peuple dirigé et soumis. En effet le texte A et B présente des peuples soumis et contraint à une autorité. Dans le texte A, le peuple est soumis à Gavroche qui lui est le centre des attentions, le peuple tourne autour de lui,« Il semblait être là pour l’encouragement de tous », « On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours ». On s’aperçoit que l’attention est tourné suer lui et non sur le peuple en lui-même.
Dans le texte B on s’aperçoit que le peuple est craintif « La foule inoffensive se contentait de regarder. », cette citation nous montre que le peuple n’ose pas se rebeller, il se contente de regarder et ne fait rien. Ces deux textes se lient car les peuples n’agissent pas par leur propre chef et n’osent pas prendre d’initiative de se rebeller.
Dans le texte B, on peut voir que le peuple est vu d’un point de vue négatif, « Les héros ne sentent pas bon ! » ce qui est complètement contraire au texte C qui lui était mit sous un pied d’estrade. Ici le peuple est soumis et il n’est même pas respecté, on s’aperçoit que le vocabulaire est vulgaire « saprelotte ». Ils sont sujets à des moqueries, et des comparaisons très péjoratives « les rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées »
Pour finir, le peuple est donc abordé de façon différente dans ces textes, d’une part on fait face à un peuple dirigeant sujet à une admiration et de l’autre un peuple soumis à l’autorité mais aussi à un irrespect très présent. Pour conclure le texte C est celui qui a un le plus fort impact, on effet c’est celui qui décris le mieux le peuple. De plus la vision que dégage ce peuple, l’esprit rebelle et la solidarité entre eux nous marque plus que les deux autres. En effet cet esprit rebelle est très mis en avant ce qui porte l’attention sur lui. La façon positive dont est décrite ce peuple nous met nous même en admiration devant celui-ci.
Question transversale :
On nous demande d’étudier les différentes visions du peuple présentes dans ce corpus.
Tout d’abord, nous remarquons que ces textes abordent pour chacun un temps de guerre et de révolution. En effet, l’histoire du texte 1 se passe au cours de l’émeute parisienne de 1832 ou Gavroche, qui est un personnage créé par Hugo dans son roman Les misérables écrit en 1862, aide les insurgés a construire une barricade. Nous pouvons voir que le texte 2 se déroule également en temps de révolution car cet extrait de l’Education sentimentale de Gustave Flaubert écrit en 1969 raconte l’histoire de Frédéric au cours de la révolution de 1848. Enfin, nous observons que le texte 3 de Emile Zola décrit encore une fois une scène de révolution. Cet extrait de La fortune des Rougon décrit la révolution des habitants contre le coup d’Etat de Napoléon Bonaparte de 1851.
Les textes du corpus contiennent différents points de vue du peuple. Nous remarquons que dans le texte 2, Flaubert semble se moquer des révolutionnaires, et donc du peuple « La foule inoffensive se contentait de regarder. Mais, de temps à autre, un coude trop à l’étroit enfonçait une vitre ; ou bien un vase, une statuette déroulait d’une console, par terre. ». Ce mot « inoffensive » montre bien que l’action du peuple est presque inutile. « Les héros ne sentent pas bon ! », à travers cette réplique Flaubert laisse entendre un point de vue péjoratif du peuple.
Les textes 1 et 3 semblent contenir un point de vue mélioratif du peuple. Nous observons que dans le texte 1, c’est Gavroche qui domine le texte. Il apparaît comme un « bon » personnage. « Gavroche, complètement envolé et radieux, s’était chargé de la mise en train. Il allait, venait, montait, descendait, remontait, bruissait, étincelait. Il semblait être là pour l’encouragement de tous. ». Cette citation nous montre une omniprésence et une agitation de ce personnage qui représente le peuple ici. Le peuple est donc représenté de façon agitée et omniprésente. De plus, le texte 3 représente le peuple de manière « grandiose » et « irrésistible ». C’est donc un autre point de vue mélioratif du peuple qui nous est présenté.
Nous en concluons que ces textes sont assez similaires malgré leur diférences.
Nous allons étudier la vision du peuple dans différent texte du 19eme siècle.
Tout d’abord nous pouvons remarquer que la première vision du peuple dans ces trois textes est, la solidarité. En effet on peut lire dans le texte B: « des bouts de l’horizon, des rochers lointains, des pièces de terre labourées, des prairies, des bouquets d’arbres, des moindres broussailles, semblèrent sortir des voix humaines. » dans cette citation, le fait que les éléments naturels soit personnifiés, cela renforce le sentiment de solidarité, il est vraie que tout le monde est concerné par ce qu’il ce passe, ici a lieux un saccage dans le palais des Tuileries. L’idée de solidarité est reprit dans le texte A avec Gavroche qui mène le peule, qui le dirige, effectivement dès la première ligne du texte, la solidarité est mise en avant : « Gavroche, complètement envolé et radieux, s’était chargé de la mise en train. … Il semblait être là pour l’encouragement de tous. » Cette citation souligne le coté meneur et fraternel de gavroche.
Ensuite la seconde vision du peule dans ces trois textes, est un peuple non respectueux, en effet principalement dans le texte B nous pouvons remarquer que le peuple détruit le palais des Tuileries, il détruit le pouvoir. Le peule transgresse l’image de la France avec : « des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées». Ici le peuple viol aussi limage de la devise française : « Liberté, Egalité, Fraternité » le peule français ce révolte contre le pouvoir car il veut plus de liberté (« à la place du trône, un avenir de bonheur illimité avait paru »).
En revanche le peule dans cette situation le peuple est soudée et fraternel.
Pour conclure, ici la vision du peuple la plus importante reste la vision du peuple soudé malgré qu’il y un pression du pouvoir. Le texte A reflète fortement cet aspect du peuple, soudé et fraternel.
Nous allons étudiez les visions que le peuple nous renvois a travers trois extrait de texte du 19e siècle.
D'emblée, nous pouvons constatez que dans ses trois extraits la révolution est le thème primordiale. Ainsi à travers le texte B de Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale de 1869 on voit dans ce texte une révolution ayant une grande ampleur, le peuple présent au saccage du Palais des Tuileries veut faire tombé l’état, une fois réussi le peuple «Criait vengeance et liberté», la foule n’a plus la même rection que lorsqu’elle est inoffensif.
Le peuple est dirigé et soumis dans c’est trois texte cependant on constate plus cet soumission dans les texte A de Victor Hugo intitulé Les Misérables de 1862, Gavroche est le centre des attention, le peuple tourne autour de lui, il est celui qu’on suit. Les insurgés en train construire la barricade durant l’émeute se plaigne de «pas d’arrêt possible avec lui» Gavroche montre l’autorité la soumission qu’il impose PAS DE REPOS, nous pouvons relié cet imposition de Gavroche a celle du pouvoir dans le texte B et le texte C d’Emile Zola nommé La Fortune des Rougon de 1871 néanmoins ce n’est pas exactement pareil malgré l’avenir de Gavroche et celui du Pouvoir dans ses deux autres texte.
Enfin nous allons étudié le peuple, lui complètement irrespectueux face au pouvoir dans un passage du texte B, "des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées." Passage choquant, la Légion d’honneur est une récompense très rabaissée par Zola. Cependant dans ce même texte Zola nous affirme que la foule est inoffensive. Dans le texte C on remarque un peuple solidaire et unis « peuple invisible et innombrable acclamant les insurgés » une patrie soutenu.
Pour conclure ces texte sont tres similaire, tous dans le même but et contexte, lors de la La Révolution.
On nous demande de donner la vision du peuple de chaque extraits
I. On remarques que dans chaque textes, le peuple est décrit comme « cette masse grouillante qui montait toujours », même si les textes ne sont pas de la même époque et comme si la révolution traversait le temps car les auteurs parle du peuple et donc de la révolution péjorativement. Cependant, il parle souvent, presque toujours d’une révolution, dont le peuple unisse leur force pour lutter face à une force plus puissante que eux, parfois les auteurs parle d’un peuple organisé dirigé par une personne comme Gavroche qui les motivent et « aide les insurgés qui construisent une barricade ».
II. On constate que le peuple se révolte presque toujours contre le pouvoir en place, et ce si la révolution n’est pas organisée , elle est donc désorganisée, cela veut dire que personne dirigent, motivent cette masse, comme quand le peuple saccage le Palais des Tuileries en « brisant, lacérant les glaces et les rideaux, les lustres, les flambeaux, les tables, les chaises, les tabourets, tous les meubles, jusqu’à des albums de dessins, jusqu’à des corbeilles de tapisserie. »
On remarque que les auteurs parlent d’une révolution/insurrection quand elle est organisée mais parlent d’une émeute/saccage quand elle est désorganisée et aussi quand elle est plus ou moins importante comme le « saccage du Palais des Tuileries », « a suscité en Provence des insurrections républicaines » ou encore « au cours de l’émeute parisienne ».
III. Par ailleurs dans le texte B, on a une vision différente que les autres textes, car dans les textes A et C, le lecteur est directement assimilé au peuple tandis que dans le texte C, le lecteur est spectateur car il se mets à la place de Frédéric, héros de l’Education sentimentale et son ami Hussonnet.
Pour conclure, les auteurs malgré l’époque parlent de la vision du peuple et donc de la révolution désorganisée péjorativement alors qu’il acclament la révolution organisé.
On est marqué l’originalité de Gustave Flaubert pour donné une vision externe de la révolution par rapport deux autres textes de Hugo et Zola qui eux ont une vision interne.
Feuille de route : invention.
- copier coller le sujet : repérage des mots importants
- relire le texte B : copier/coller les éléments dont votre personnage va parler.
- proposer un plan : le personnage va raconter…/Le personnage va ressentir telle ou telle émotion (pourquoi ?). Plan à envoyer
- rédiger : quelle ponctuation ? Quel registre ? Quelles tournures ? (voir le site pour exprimer les émotions)
1er paragraphe : sentiment de fierter lorsqu’elle raconte à sa famille, soulagement, sentiment d’avoir vaincu
2ème paragraphe : sentiment de se sentir puissant, elle ne se sent plus inferieur et elle n’a plus le sentiment d’etre soumise
3ème paragraphe : elle se coiffe et donc se met à la place de la reine, sentiment de jalousie, elle envi la reine donc elle se prend pour la reine pendant un court instant
Elle va parler de quand elle pénètre dans la chambre de la reine
Puis de ce qu’elle voit en parlant des autres révolutionnaires
Et de ces pensées quand elle utilise la pommade de la reine
1- des bruits, cris, venait jusqu’aux oreilles de la femme aux bandeaux. Puis une odeur de cramée. Elle sinterroge puis qqn enfonce la porte et saccage tout devant elle. > etonnement >
2- Elle sort et voit un vieux se faire balancer par la fenetre > peur, outrage
3- Un homme la bouscule lattrape et tente de la violer > un autre homme la sauve et tue l’autre
4- La femme retourne dans la chambre de la reine et s’enferme > peur
5- Un enfant etait caché sous le lit > ils ont peur tout les deux
6- Ils se déguisent et sortent tout casser pour se fondre dans la masse
7- Elle fait une sorte de mea culpa à sa famille > regrets
Dans un premier paragraphe :
Entend la Marseillaise, voit le peuple. = Haine comme le peuple mais timide.
Fais parti de la foule au début. = Peur
Deuxième paragraphe
Décris ce qu’elle voit. Le trône balancé = Surprise
Passe à l’action = colère
Troisième paragraphe :
Elle est plus active. = Agitée
Elle décrit ce qu’elle fait, où elle est. = Sentiment de puissance, heureuse, sentiment de joie.
Elle décrit également l’excitation présente dans la foule
Quatrième paragraphe
Prise de conscience : regret, tristesse, honte
Dans un premier temps : explication de la scène = comment la scène à éclaté
Dans un second temps : ses sentiments : peur : fusils, mouvement de foule
Dans un 3eme temps ce quelle a ressentis après cette événement = ses émotions ont-elles changées ?
Dans un 4ème a-t-elle des remords ? car elle a fait un acte grave, s’en veut-elle ? Non car elle a défendu ses droits et les droits des autres (elle se comparent à une « héroïne »)
1. La Marseillaise a retentit, arriver du peuple, chant qui s’arrête = surprise, impressionner, peur
2. piétinements des souliers, clapotement des voix, violence = stresse, peur, pensive
3. Violence, casse = peur, stresse, pensive, regrets
4. Chambre de la reine, lustrait son bandeau = forme de provocation
Paragraphe 1 : Entendant du bruit dans les tuileries elle y pénètre et constate les dégâts.
Paragraphe 2 : Elle est apeuré et ne comprend pas ce qu’il se passe.
Paragraphe 3 : elle observe sans intervenir
Paragraphe 4 : Elle rentre chez elle, déçu, apeuré et raconte ce qu’elle a vu
Annonce du plan :
- Raconte à ses parents, encore émue par ce qui vient de se passer
- Description du décor, de la foule (casques, bonnets rouges, bruit… etc)
- Peur du personnage : fusils avec des baïonnettes
- Personnage fier de son acte
Je vais écrire ce texte avec un discours direct et un registre de langue familier car on imagine que la femme est pauvre.
- son entrée dans le Palais = la marseillaise, la foule, sa surprise de l’essor de la révolte son excitation et agissement face à sa ça
- le chant s’arrête elle entend les piétinement elle en profite pour taper de pieds encore plus fort elle était emporter par les autres dans leur marche= nombre important de la foule
- au début elle raconte que la foule inoffensive se contentait de regarder
ensuite de temps à autre une vitre ; un vase, une statuette qui était enfonçait, les boiseries pressées craquaient
-sa participation à la révolte
Elle lançait les vases car c’était les moins lourd à briser
- étonnement face au lieux l’entrée dans celui ci= luxe
Elle était vers les dernières à entrer et vu Le trône= assis l’homme à barbe noire, stupide
Certains aller s’asseoir sur le trône = provocation
-Elle voulus faire de même mais eu une meilleure idée
- son idée de provocation avec la crème qu’elle use devant le miroir de la Reine
Raconte q’au début la marseillaise retentit et exprime la joie
Entre dans appartement où voit un individu assis sur le trône et exprime la surprise
Trop de bruits, sentent mauvais, gens, visage rouge exprime du dégoût
Trône enlevé, balancé, promené à la Bastille et brulé
Détruit tout ce qui a dans le palais et exprime la peur
Prennent des objet pour eux
Exprime le désir de mettre de la pommade
Voit que tout le monde dansent, boivent et jouent aux cartes
A la fin exprime la peur des autres
1er paragraphe :
Elle est dans les rues de Paris, elle entend la Marseillaise, ce dirige dans la cour des Tuileries, elle décrit ce qui ce passe autour, les gens, l’environnement, le bruit !
2eme paragraphe :
Elle pénètre dans le château des Tuileries, elle est poussée à cause de la foule elle est entraînée par la foule ! Elle entend des cris ! Elle est excitée mais ressent de la peur. Entend des coups de feux.
3eme paragraphe
Quelqu'un sort de la foule et « mène » cette pagaille. A partir de ce moment des statues volent. Le prolétaire vole a son tour. A ce moment la elle est horrifiée elle ce prend des coups de genoux de coudes et de points. Elle veut sortir de tout ça.
4eme paragraphe
Elle arrive a sortir, elle décrit les rues de Paris elle entend a nouveau la marseillaise elle voit des voiture renversés des personnes a terre. Elle entend des coups de feux a nouveaux.
Antoine : Citations trop longues.
Confusion au début entre le texte B et le texte C.
Trop de fautes également.
2/4
Quentin : Méthode comprise. Revoir la conclusion.
3/ 4
Julie A : Contre sens sur le texte B : le peuple n’est pas inactif ! au début il est spectateur mais ensuite c’est le saccage.
Cependant, la méthode est comprise.
3 / 4
Gladys : Contre sens sur le texte B. beaucoup de fautes. Une assez bonne conclusion.
2/4
Xavier : Attention aux banalités : » et comme vous le savez l’union fait la force. »
Toute la réflexion tourne autour du thème de la violence…
1 / 4
Martin : Analyse trop superficielle. Tu perds la question de vue : la vision du peuple !!
1 / 4
Nicolas : Contre sens sur le texte 1 : le peuple construit une barricade sous les ordres de Gavroche. Un ensemble confus même si de bonnes remarques sur les textes B.
1 / 4
Julie C : Contre sens sur les textes : le peuple n’est pas contre la guerre, il se révolte. Conclusion à revoir. AB 2/4
William : très bien. 4/4
Hugo : bonne conclusion. Cependant, la soumission du peuple est une idée très contestable. 2/4
Thomas D : attention au niveau de langue parfois trop familier. Cependant, à part l’idée de guerre excessive, c’est compris. 3 / 4
Nabil : manque de rigueur (confusion texte b et texte C). Contre sens sur Gavroche, perçu comme un tyran ! 1 / 4
Aurélien : attention à ne pas perdre la question de vue ! Un ensemble trop confus. 1 / 4
J’étais dans la foule, tout le monde se bousculait, je recevais des coups de temps à autres, plus ou moins forts, les hommes autour de moi criaient, chantaient. Des coups de feu assourdissant retentissait de part et d’autre. Etant énervée contre le gouvernement j’ai bien évidemment participé à cette affreuse révolution. A ce moment précis je ressentais une certaine haine envers ses hommes, bêtes et méchants mais étant apeuré et timide je suis restée et est participée à ce vacarme pour me fondre dans la masse et avoir une chance de m’en sortir. Une odeur désagréable mêlée de sueur, de feu et de colère. Je ne savais plus ou mettre j’étais pétrifiée et il m’était impossible de prendre une décision juste.
Apeurée, j’ai continuer d’avancer et est pénétrée pour la première fois et sûrement la dernière dans le palais royal. Malgré tous les dégâts causés par les révolutionnaires, je trouvais ce palais juste magnifique, incroyable, majestueux et à ce moment je me suis senti importante, j’ai eu en moi comme un étrange sentiment de supériorité. Mais comprenez-moi, vous auriez fait pareil, le palais faisait des millions de fois la maison, toute personne normalement constituer aurait eut la même réaction, non ? J’étais heureuse, pendant un court instant j’ai même cru être la reine mais je suis vite revenu à la réalité lorsqu’un homme m’a bousculé et m’a dit d‘une voix roque « Dégage !! ».
Peu de temps après, j’ai vu passée devant moi a une vitesse incroyable le trône du roi, te rends-tu compte maman ? Un trône ! J’ai couru afin de m’éloigner le plus possible de se désastre et je suis arrivée dans une chambre, vide, la plus belle pièce que j’avais vu de ma vie. Elle était grande et décorée avec des tableaux d’une valeur énorme. Cette chambre faisait la taille de la maison papa, la taille de la maison, tu entends ? Je marchais à travers cette chambre avec des étoiles dans les yeux. Je me suis approché d’un miroir à la bordure argentée et là sur une petite table se trouvait une pommade et j’ai lustré mon bandeau avec celle-ci. A ce moment des hommes ont forcé la porte en criant, je suis parti en courant et ai couru jusqu'à la maison sans jamais m’arrêter, pendant que je courais des larmes coulaient. J’étais prise de plusieurs sentiments à la fois, l’excitation d’avoir vécu cela, mais aussi la peur, la colère, le regret. Je me suis arrêté devant la maison, j’ai pris la plus grande inspiration que je pouvais, j’ai séché mes larmes et je suis rentrée.
Ah maman si tu savais tout ce qui c’est passé aujourd’hui tu n’en croirai pas tes oreilles ! La grande révolution ! Le soulèvement ! J’étais tranquillement en train de nettoyer la cour des Tuileries lorsque la Marseillaise retenti ; au loin, je vis une foule avancer vers moi. Des bonnets rouges, casques, baïonnettes et autres objets étaient agités dans le ciel. La foule se rapprochait de plus en plus et je savais de moins en moins quoi faire. Un homme arriva et me tendit une baïonnette. Il me dit « tiens ma jolie, aujourd’hui nous devons nous révolter, nous devons arrêter cette mascarade. Aujourd’hui tu pourras être reine. »
Ce matin je me suis retrouvée aux Palais des Tuileries. J’y ai vécu et vu certains évènements peu communs. Père, mère, je vais vous raconter cela. La Marseillaise a retenti, j’ai vu une foule. Le peuple débarquait. J’entendais des cris, des exécrations envers ce régime qui règne sur nous. Dans cette foule on pouvait y ressentir de la haine, bien sûr ce sentiment était partagé de ma part, mais je n’osais pas les rejoindre. Ils étaient si nombreux et se sont tous précipités dans les escaliers en secouant des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules. Sous cette agitation et sous cette masse, certaines personnes disparaissaient. J’étais perdue ! Je les regardais agir un par un avec une certaine angoisse. Le moment que je redoutais est arrivé, la foule m’a entraînée, j’étais au milieu de ces clapotements de voix, de ces piétinements de soulier. L’ordre ne régnait plus, j’ai reçu des coups par ci par là. J’entendais des vases se briser, des statuts tombées…
L’agitation s’est un peu calmée lorsque nous sommes arrivés dans un appartement. Vous n’imaginez pas comme j’ai été surprise par la luxure de cet endroit. J’étais ébahie ! La pièce était étincelante, remplie d’objets de richesses, je n’avais jamais vu cela. Notre simple fauteuil est remplacé par un trône là-bas. D’ailleurs ce trône, à ma grande stupeur, a été balancé à travers toute la salle pour finir dans le jardin. Cette différence marquée par leur richesse et la nôtre m’a fait prendre conscience de cette haine grandissante qui montait en moi. Pourquoi sont ils supérieurs à nous ? Pourquoi cette différence ? J’ai agi, j’ai pris des vases que j’ai balancés, j’ai brisé des glaces, lacéré des rideaux. J’ose vous dire que je me suis amusée !
J’ai quitté la foule pour aller dans la chambre de la reine. Ce n’est pas la peine de vous décrire sa chambre, je vous laisse l’imaginer. Un miroir s’est présenté devant moi, je me suis assise en face, j’ai pris la pommade qui était posée juste à côté et je me suis lustrée mes bandeaux. Ah ! Comme je me suis sentie puissante à ce moment, j’avais l’impression d’être la reine. Pendant un court instant, je n’avais plus rien à lui envier. J’étais assise à sa place, et qui n’en a jamais rêvé ?
Je vous raconte tout cela, mais je remarque la gravité des choses. Certes, le comportement que j’ai eu n’est pas exemplaire, vous ne m’avez pas éduquée comme ça. Mais j’ai le regret de vous dire que j’y ai pris un certain plaisir. J’ai honte de vous dire ça mais je le pense.
Je suppose que vous êtes au courant, j’ai pénétré dans le Palais des Tuilerie tout à l’heure. Enfin nous sommes rentrés au logement du roi. Je ne sais absolument pas combien nous étions mais jamais je n’ai vu une foule aussi impressionnante, aussi décidé. Des bruits de rage étaient mêlés à des bruits de joie, des bruits de satisfaction qui voulait dire « enfin nous y sommes ». La Marseillaise en musique de fond montrait bien notre détermination pourtant je n’étais pas rassurée au milieu de toutes ces personnes. J’avais une légère appréhension avant d’entrer dans le palais. Je n’étais qu’une piètre rebelle et je ne trouvais pas ma place parmi touts ces gens. Ces rebels engagés et prêt à faire couler le sang comme à verser le leur pour leur cause. Mais il fallait que je m’y fasse, j’étais moi aussi une petite part de cette révolution et quand nous sommes enfin entré, un sentiment de victoire nous a transporté.
Je ne réalisais pas voyez-vous, j’étais dans la chambre de la reine. Ca ne semblait pas réel d’ailleurs je ne me sentais que à moitié consciente, étouffée par le bruit et l’odeur de l’euphorie. J’étais sale, décoiffée, cela n’aurait sûrement du être qu’anecdotique compte tenu de la situation mais c’était gênant. J’étais perdu, je n’étais pas à ma place ici. Je ne me voyais pas arriver en cette tenue, peu à mon avantage le jour où je rentrerais dans ce palais que j’idéalisais tant. Alors j’ai pris une de ces pommades que l’on utilise pour se coiffer, elle était posé sur une petite table à côtés du lit et devait appartenir à la reine. Je ne sais pas combien de temps je suis restée ici, j’étais dans mes pensées, je n’entendais quasiment plus le brouhaha des autres qui me gênait tant quelques instants auparavant. Vois-tu papa c’est là que j’ai réalisé que je n’avais pas ma pace ici et que toi tu l’aurais eu si tu avais été plus jeune. Je me sens honteuse car tu n’as jamais eu cette chance et j’aurais aimé que tu la vives à travers moi. Je suis désolée.
Je fus retirée de mes pensées quand des hommes ont jetés le trône par la fenêtre. Ces de cela que j’aurais voulu être, de ceux qui ont le cran d’aller au bout de ce qu’ils entreprennent. Paradoxalement malgré la chute du pouvoir je ne me suis jamais sentie aussi peu à mon aise et à ma place. Je me suis même surprise à penser que nous étions sans doute fait pour vivre soumis loin du palais et de son luxe. Je sais que c’est dur d’entendre cela pour vous mais je ne sais plus qui je suis, je sais d’où je viens certes mais je me demande où nous allons.
J’étais dans cette rue, les gens courraient, rien n’avait commencé mais il y avait déjà tellement de violence sur tous ces visages… J’avais peur Maman, j’avais peur mais je ne pouvais pas reculer, je me sentais tellement concernée par tous ces évènements, moi aussi je devais me rebeller, je devais m’affirmer et dire que moi non plus je n’étais pas d’accord.
Nous sommes rentrés dans le Palais des Tuileries. La Marseillaise a retentit, c’était l’annonce du commencement. Nous nous sommes précipités dans l’escalier, certains secouaient à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules, des gens disparaissaient dans cette foule qui montait toujours. Et moi aussi je montais. Arrivé en haut, la foule se répandit et le chant tomba. Je regrettais déjà d’être ici. On n’entendait plus que les piétinements de tous les souliers, avec le clapotement des voix. Une partie de la foule devait être comme moi, devait avoir peur, elle ce contentait de regarder. Moi non plus je ne bougeais pas.
Je ne supportais plus de regarder les autres exprimer leur mécontentement alors moi aussi j’ai voulus faire disparaître toute cette colère qui me rongeait. J’essayais de soulever des statuettes mais c’était trop lourd, alors j’attrapai ce qui m’était possible d’attraper, et ce fût des vases. Je cassai tous les vases que je croisai. Je me pris des coups quelques fois, puis cela est devenu plus régulier, j’avais mal, j’avais peur, je voulais partir. Tous les visages suaient et étaient rouges. Vous aussi vous auriez eut peur n’est ce pas ?
Quelques secondes plus tard, j’entendis un homme crier « Les héros ne sentent pas bon ! », et là, toute cette colère qui c’était fais remplacer par ma peur, est revenu au galop. Cet homme n’était pas quelqu’un du peuple, il était habiller de façon très noble, j’avais envie de le tuer. Puis, derrière lui, j’aperçus une chambre, qui ressemblait à la chambre d’une femme, celle de la reine. Je suis entrée. J’ai fermé la porte derrière moi. J’étais seule.
Comme c’était beau… Tout était luxurieux, tout semblait être en or, comme si personne n’avait jamais dormis dans cette chambre, comme si personne n’avait jamais défait ces draps. Et vous savez ce que j’ai ressentis en voyant tout ça ? De la colère et de la jalousie. Oui j’étais en colère de voir que moi je ne pourrais jamais avoir tout cela, et qu’elle, elle l’avait, en partie grâce à nous. Alors j’ai tout dévasté, j’ai jeté ses draps par la fenêtre, j’ai vidée ses flacons de parfums sur le sol après en avoir utilisé quelques-uns, puis je me suis assise sur la chaise qui était devant cette si belle coiffeuse et j’ai vus cette pommade, dont je rêvais depuis si longtemps, alors je m’en suis servis. J’entendais les cries de violences derrière la porte, et moi, je me coiffais. Mais tu sais Maman, il faut que tu me comprennes, j’étais jalouse, et il fallait que je la provoque.
Je suis sortie. On avait gagné. On était victorieux et il fallait que l’on s’amuse. Vous comprenez ? Des forgerons avaient volé des chapeaux à plumes d’autruche, des rubans de la Légion d’honneur firent des ceintures aux prostituées. Et vous savez ? J’ai ri. J’ai ri car j’étais fière de ce que je voyais, j’étais fière de ce qui venait de ce passé, je n’avais plus l’impression d’être inférieur au pouvoir. Pour la première fois depuis longtemps j’avais vaincu.
Père, Mère, dès que la Marseillaise retentit, ce fut l'annoncement du massacre. Le peuple était furieu, la rage envahissait les rues de Paris ainsi que le Palais royale. J'était inquiète, la foule m'entrainait dans cette révolte dont j'étais agitée par des frissons. Le trône fut balancé j'étais stupéfaite ! Des objets étaient brisées, brûlées, puis deformées. Les cris des révolutionnaires retentissaient dans ma tête, je fesais partie de cette foule sans savoir ce que je devais vraiment faire..
Mais tous à coup, la colère des autres s'était comme imprégnée en moi, j'étais partagée entre un sentiment de peur et de colère, je ne savais plus où me mettre je me suis donc pour la seconde fois laisser etraînée par cette foule ce qui a provoqué une immence rage en moi. Pour la première fois je me suis sentit puissante, je n'étais plus à un niveau d'inffériorité et moi aussi j'avais envie d'exposer mon mécontentement.
Je me suis intrioduit dans le palais royale accompagnée de tous ces haineux, l'exitation montait en moi et j'ai commencé a balancer les vases car c'étais les objets les plus faciles a briser. J'ai pris un malin plaisir a commettre cet acte, je me sentais libre et cela me satisfesait. En voyant tous ce luxe dont ils disposaient, du dégout surgissait à l'intérieur de moi même, ces bourgeois qui nous prennent pour des moins que rien et nous piétine dès qu'ils en ont l'occasion ! Cette phrase se répétait dans mon esprit.
J'ai donc pris l'escalier pour monter à l'étage et découvrir la magnifique chambre a couché que disposait Madame la Reine, en entrant dans cette splendide pièce la jalousie prenner le dessus mère.. Puis je me suis sentit obliger de me mettre à sa place, je me suis donc assise sur sa coiffeuse et j'ai commencé a enfiler ces merveilleux bijoux qui iluminé ma peau, puis je me suis mise à me lustrait mes bandeaux avec de la pommade qui apartenait à la reine. Je me sentait tellement bien à ce moment-là.. J'étais ravie de me comporter telle qu'elle.
Mais tous ça ne me ressemble pas.. C'est pour cela qu'aprés cette évenement j'ai tous remis en ordre et je me suis enfuit de peur que l'on me surprenne, je me sens honteuse mère d'avoir fait toutes ces horreures, je regrette tellement mes actes odieux, que Dieu me pardonne..
Je suis rentrée, et je me sens plus mur que jamais. Je sais que vous ne partagez pas mon point de vue mais ce que j’ai fait aujourd’hui, je l’ai fait pour ma satisfaction personnelle tout d’abord, ces personne n’ont eu que ce quelle méritait. Mes compatriotes et moi-même sommes fiers et malgré la peur que j’ai ressenti, je n’aurait évité sa pour rien au monde et nul ne peut compromettre la jouissance que j’ai eu à participer à cet acte de bravour avec le peuple, au nom de tous. Lorsque j’ai penetrée dans la chambre de la reine, rien ne pouvais m’arreter et meme si je ne serait jamais celle-ci , à ce moment la nous la considerions comme quelqu’un de banal et le fait d’avoir le pouvoir ne montre pas qu’ils ne sont pas ateignables. La preuve, nous avons montrer que pour arriver a nos fin nous avons uttilisés la force du nombre et cela à payer.
Vous pouvez me prendre pour une sauvage, mais regarder nous ! on vit dans la médiocrités, j’ai vu la chambre de cette femme et de telles différence de niveau de vie ne devraient pas exister, n’ai-je pas raison ? Pour la première fois je me suis senti importante, l’argent ne fait pas le bonheur c’est une chose mais rien n’a d’égal au pouvoir ! ont-ils le droit d’être superieur ? ont-ils le droit d’être privilégiés ? peu importe les conséquences je ne serait plus une femme soumise. Vous pouvez pensés que je suis soumise du fait que j’ai suivit le mouvement, mais sachez que si certains regrette leur position moi je suis libre de pensé que cet acte ne pouvais pas être manqué et intérieurement je ne suis plus soumise à ces gens qui nous traites comme tels.
Lorsque j’ai pénétrer dans sa chambre, elle possédait tout ce que je désirais. Ce mettre à sa place le temps d’un instant, oublier la réaliter et enfin savourer. Ce fut un énorme effort pour y rentrer mais une foie à l’intérieur, cette reine ne représentait plus rien pour moi, elle n’avait aucun mérite à posséder tout cela, et pour moi tout cela n’était que justice. N’ai-je pas le droit d’envier une femme qui possède absolument tout ? les hommes, l’argent et le pouvoir, tout cela ne devrait être acquis que par le mérite. Je ne connais pas la suite des évenement, certes j’ai eu peur, la peur de faire face à ces gens qui ne semblent pas atteignables, mais qui au final finiront 6 pieds sous terre comme nous, au moins j’aurais eu la satisfaction d’avoir participer à cet acte qui prouvera je l’espère qu’aucun homme ne mérite d’être considérer supérieur aux autres …
Après l’évènement la fille au bandeau rentra chez elle.
« -Père ! Mère ! Je suis rentrée !
-Bah que fait-tu déjà rentré à un heure si peu tardive ? Dit papa.
-J’ai vécu un évènement … historique ……
-Bah explique voyons ne nous laisse pas sur ces quelques mots ! dit mamans
-Voilà aujourd’hui j’ai vécu une révolution ! Tout a commencé lorsque je me baladais le long de la Seine avec Marie, nous avons longuement parlé, puis elle à dût me quitter car elle devait rejoindre son marie. J’ai donc continuée ma balade toute seul lorsque je me suis trouvé au milieu d’une foule hurlant leur mécontentement.
Je n’avais aucun moyen de sortir de cette foule, j’ai été un long moment à être dans une situation de frayeur, en effet la plupart des personnes présentes tenaient une baïonnette et un bonnet rouge sur leur tête ! Ils criaient : « Mort au pouvoir ! Fin à l’interdiction ! ».
Après avoir compris ce qui ce passait, j’ai suivis le groupe car pour moi la raison de cet attroupement est la plus juste ! Nous nous sommes dirigés vers les tuileries avec une haine encore plus forte.
Nous avons pénétrer dans ce grand palais ou tout les possesseurs du pouvoir s’y trouve. Lors de notre entrés dans ce palais de nombreux coups de feu ont été tirés, c’était très effrayant ! Beaucoup de monde rentraient et sortaient par les fenêtres, de nombreux objet volaient à travers le palais.
Après cette scène j’ai quitté le palais à une vitesse ahurissante pour ne pas me prendre de projectile.
Après cet évènement je suis renté directement à la maison. De peur que la garde me trouve et m’arrête.
Je ne voudrais plus jamais revivre cette acte, malgré avoir défendu nos cause, j’ai vécu quelque chose d’horrible, j’ai cru que j’allais mourir et que je reverrais plus !
J’étais encore surprise et remontée de ce qui venait de ce passer. Je décidais de me diriger vers mes parents plus particulièrement mon père, qui est celui que je respecte le plus au monde.
Je rentrais alors dans un monologue sans fin.
Le Palais était immense… On était tellement que je ne contrôlais plus mes pas, je ne voyais pas la fin ni le début de la foule d’ailleurs. Toute les personnes hurlais, chantais la marseillaise, je m’y suis mit aussi en hurlant. Mais j’étais vraiment surprise d’un côté, toute cette foule, ils étaient excités encore plus que moi pourtant vous le savez comment, je suis. J’ai un caractère bien trempé, quoi… Et je suis une vraie boule de nerfs, Mère c’est toi qui me le dis tout le temps…
Tout d’un coup tout le monde s’arrête de chanter, je me cogne contre l’homme de devant, et j’arrêtais de songé. On entendait plus que nos piétinements. J’étais un peu frustré du manque de bruit à mon goût. C’était pas assez il en fallais plus! Donc j’ai commencé à taper des pieds comme un folle, je voulais plus de bruit. Maman ne me regarde pas comme ça écoute moi bien ! Je ne voulais pas que tout s’arrête comme ça. Soudain les gens sont devenus plus violents j’étais emporter par les autres, on était tellement, c’était énorme!!
(Ma mère me dit de baisser d’un ton, ce que je n’écoutai pas)
Pour l’instant rien de grave Père! Ils étaient pas passer à l’action moi non plus d’ailleurs, mais je voulais pas que ça prenne des proportions énormes non plus… J’appréhendais un peu la suite des événements je me suis sentis stresser j’avais une boule au ventre. OUAH ! Tout d’un coup j’ai entendus un énorme bruit de fracas j’ai sursauté, j’ai crus mon cœur aller sortir de mon corps tellement je ne m’y attendais pas. J’ai vus des vitres cassées ! Des Hommes cassaient des statuettes et les boiseries craquaient. J’ai vu des vases plus loin, je fus prise d’une pulsion et commença à jeter tout les vases que je voyais. C’était ce qui avait de moins lourd à disposition. Je commençais à devenir excité et je me joignis aux autre dans leurs hurlements.
J’étais vers les dernières dans la foule… Quand je suis rentrée dedans j’étais étonnée face aux lieux. Etonnée ? Ha non, c’est bien trop insuffisant pour décrire ma surprise… J’étais bouleversée perdus… On vit tellement mal nous et eux ces riches ils vivent dans des lieux Ainsi ! Tout ce Luxe… AAAH Père t’aurais du voir ça c’est incroyable ils ne nous prennent vraiment pas en compte! Nous ne sommes pas insignifiant on est bien là pourtant ! Tu aurais vu ces lieux... J’avais les larmes aux yeux, j’étais tellement touchée je ne sais pas quel genre de sentiments c’était tellement c’était fort. Je fus prise d’un excès de haine et de colère sans limite ! Mère tu dois me prendre pour une folle mais tu ne peux pas imaginer ce que j’ai vus ! NE ME REGARDE PAS COMME CA TU NE SAIS POINT!
Un bruit énorme sur ma droite se fit entendre ! Je sortis enfin de mes pensées, et je vis un trône à terre et de nombreuses personnes qui essayaient de monter dessus ! OH j’étais vraiment admirative quelle belle forme de provocation. Avouez c’est énorme quand même !
Face à ça j’ai voulus rejoindre ces gens MAIS PERE TA FILLE eu une meilleure idée… Digne d’une intellectuelle, bien mieux que l’intelligence de ces personnes si luxueuses et soit disant digne !! Maman SOIT FIERE DE TA FILLE !
J’ai vus la crème sûrement celle de la reine ! Je m’assis devant son miroir si grand, si beau. La rage m’envahi, la jalousie m’envahi. HA je pris son peau de crème (la moitié de la crème est tombée) je commençais à me coiffer d’un geste si fantastique… J’étais heureuse de ma provocation. En cet instant j’avais l’ai si belle, si merveilleuse. Bien plus que la reine, je valais bien mieux qu’elle. J’étais d’une beauté sans fin tel une déesse. Tel une créature digne des plus beaux romans de ce monde.
Ecriture d’invention :
- Bah ma fille, t’étais ou ? Pourquoi rentres-tu si tard ?
- Jamais vous ne me croirez !
- Comment sa ? Que veux tu dire ?
- J’étais las bas ! On est rentrés dedans… !
- Ou ça las bas ?
- Bah au Palais des tuileries ! Il y avait plein de monde, je n’ai jamais vu une telle foule de toute ma vie ! Au début j’étais apeurée car certaines personnes avaient des fusils.
- Mais ça devait être extrêmement violent ! tu n’es pas blessée ?
- Non moi ça va ne t’en fait pas. C’était impressionnant ! Toute cette foule chantant la marseillaise à pleine puissance ! Certains avaient des casques, d’autres des bonnets rouges… C’est à ce moment que j’ai compris que ce palais nous appartenait !
Mais je vais d’abord vous parler de ce qui c’est passer avant qu’on pénètre dans le palais. En arrivant sur place, j’étais effrayée par tout ce monde, toute cette foule ! J’avais peur de me faire piétiner, je ne souhaitais pas être embarquée las dedans mais c’était trop tard ! Et qu’auriez vous fait à ma place ?
- Bah continue enfin !
- Attends ! ne me presse pas ! Il faut que je reprenne mes esprits. Ah oui voila ! Arrivés aux escaliers, il y avait encore plus de monde que au début ! Nous étions au moins une centaine ! Tous voulaient arrivés les premiers !
- Ca devait être extrêmement bruyant !
- Ne m’en parle pas, mais le pire c’était les odeurs je pense… A ce moment ou tout le monde se dépêchait, j’étais la seule à prendre mon temps car je ne voulais pas être blessée accidentellement par les couteaux qu’avaient certaines personnes ou encore par les baïonnettes.
Une fois au haut, on s’est tous arrêtés de chanter, on tentaient de trouver par ou aller car le palais est immense !
- Tu as eu de la chance de ne pas te perdre.
- Oui c’est sur. Après avoir été emportée par la foule, je me suis trouvée dans une pièce infiniment grande. Un fauteuil doré s’y trouvait, c’était le fauteuil du roi. Certains voulaient l’embarquer, le fauteuil a été projeté à travers la pièce ainsi que tout plein de mobilier, je ne trouvais pas ça correct car ce mobilier est tout de même précieux. Après je suis partie dans une autre pièce, c'était la chambre de la reine...
Quand je suis arrivé la foule était déjà pleine et inoffensive elle se contentait de regarder le palais jusqu'à ce que la marseillaise retentisse la foule fus surprise par cet excitation. A partir du moins ou nous entrions dans le palais j’ai su que un vacarme allais suivre et je me suis précipitée pour entrée dans les première.
Notre révolte a commencé et nous ne comptions par rien faire ! Une fois dans le palais une foule révolté près a tout saccager dans ce palais j’ai pris le vase le moins lourd que je vus et je le lança par la fenêtre, j’ai éclaté la vitre, un homme ma suivie il lança le trône, parmi ce qui saccageais de nombreux hommes et femmes pillaient leurs bien. Te rend tu compte maman je crois que nous étions plusieurs milliers et j’ai entendu un homme crié « Les héros ne sentent pas bon ! » il avait raison l’odeur ne me mettais pas j’en est profité pour attrapé un des parfum de la reine pour me parfume et le gardé pendant que j’y étais.
Maman tu aurais dus être la toute cette luxuriance j’ai été très étonnez de voir toute cette dorures. Toute ce monde, j’ai été heureuse de voir combien nous étions dans cet maudit palais, j’ai vu un l’homme à barbe noire il avais l’air stupide assis sur ce trône mais j’ai pensé qu’il avait raison de provoqué, toute cette foule je me suis tellement fait bousculé, maman avant que tu me le demande ne t’inquiète pas je vais bien je ne suis plus une enfant et n’ai pas pris de coup.
A un moment je me suis retrouvé dans la chambre de la reine et j’ai eu la même idée que ces pilleurs et ces provocateurs j’ai voulu faire comme eux j’ai pris la pommade de la reine et je me suis lustré mes bandeaux. Maman a ce moment pendant un court instant j’était tellement heureuse je me suis senti bien devant ce grand miroir mais j’ai ressenti de la jalousie j’ai trouve injuste toute cette richesse et je me suis dit que nous avions fais le bon choix saccager leur lieux c’était tous ce qu’il mérite.
« J’étais dans les rues de Paris ce matin…lorsque tout a coup ! J’ai entendu des coups de feux a cotés du châteaux des Tuileries, la marseillaise retentissait et la foule criait. Je me suis dirigeait vers le château, un peux insouciante et ne me demandant pas ce qu’il pourrait m’arriver. C’est alors qu’un homme sortit de cette foule, de cette pagaille et grimpa sur la façade du palais il était grand, vêtu d’une chemise marron un pantalon trop court, des sabots en bois et d’un bonnet rouge.
Une sorte de brouhaha m’a empêché de comprendre ce que l’homme disait… Mais peut de temps après j’ai pu comprendre ce que l’homme avait dit en brandissant son poing, j’ai était poussée, entraînée, forcée, d’aller a l’intérieur du palais... dans les appartements du roi ! Vous en rendez vous compte ?! Ah vous auriez du voir, la splendeur de cette pièce, du rouge partout. Tapissait sur le plafond, sur les murs, partout. Un parquet magnifique, nos sabots et nos pieds boueux, juraient a coté ! Et la décoration, ah qu’elle était belle, des tableaux tellement réalistes qu’on aurait dit qu’ils bougeaient !
Très vite ma fascination, fut brusqué par un coup de feux qui résonna longtemps dans mes tempes. Quand je revins a moi une statuette, lancée du bout de salle, manqua de me percuter avant d’aller ce fracasser contre une des nombreuses vitres au avaient été brisées.
C’est a ce moment la que j’aperçus le cabinet de toilette de la reine, où j’ai trouvé une pommade, la plus belles pommade a cheveux qu’il existe, même toi maman tu n’aurais pu résister ! Maintenant il est vrai que j’ai honte, mais quand je l’ai passé dans mes cheveux sales et noués cela m’a paru comme un rêve, irréelle… je crois à en jugé la qualité ce devait être un produit luxueux ! Et la préparez vous, dans le miroir j’ai aperçu le trône du roi volé… ! C’était tellement existant de mettre la pagaille dans l’appartement de la personne qui nous persécute et nous taxes à longueur de journée… Le peuple criait et se dirigeait petit a petit vers la sortit et vers d’autres appartement pour certains car j’ai cru apercevoir des bonnets et des casques qui couraient a travers la cours. Moi j’ai préféré sortir de tout cela certes c’était excitant mais si cela avait était a la maison cela ne m’aurait pas plus, donc je suis sortis toujours en entendant des cris et coups de feux."
Le soir pendant le dîner la femme au bandeau raconte ce qu’elle a fait la journée à ses parents.
J’ai été content d’entendre la Marseillaise et j’ai donc suivi timidement mais avec fierté le groupe , qu’il allait au palais des Tuileries.
Ils sont entrés en premier puis moi et d’autres, nous somme entrés ensuite car j’avais peur et j’étais timide et intimidée d’entrer dans le palais et qu’il est les nobles qui me voit comme ça.
Mais je suis entrée et j’étais ébahie de voir un ouvrier à barbe noire en sueur et avait le visage rouge, même j’ai remarqué qu’ils étaient tous rouges et en sueur et cela me donnais le dégoût, combiné aux bruits, je me suis senti mal à l’aise. Je me suis mis à la fenêtre pour respirer alors qu’ils balançaient le trône à travers la pièce puis par la fenêtre pour l’envoyer brûler à la Bastille, pourquoi à la Bastille ? vous allez me dire mais j’en sais rien moi non plus.
Vous rendez vous compte, cela me rappelais la révolution de 1789, quand tu m’a raconté que tu y avais participé, tu t’en souviens papa hein, tu t’en souviens avec les casques, les bonnets rouges, les baionnettes, et d’autres.
Au moment où tout le monde, les hommes, les femmes et les enfants ont commencés à tout détruire, j’ai pris peur et je ne sais pas pourquoi j’ai eu peur, mais je me suis repris et je me suis emportée moi aussi à détruire les vases les verres en les balançant à travers la pièce contre le mur.
Mais je me vite lassée que cela et je me suis saucilée à travers les bouts de verres, de porcelaines, pour aller dans une pièce quelconque et au moment je me suis pas rendu compte que c’étais la chambre de la reine, mais quand je l’ai su, j’ai été intimidée et jalouse de la reine et je voulais tout qu’elle avait et voulais m’inclinée en présence d’elle.
Dans une autre pièce, je voyais des gens qui dansaient, buvaient et jouaient aux cartes, à un moment j’ai été angoissée par eux mais je me suis rendu compte qu’ils me voyaient pas et me suis rassurée.
J’ai aperçu un tiroir entre ouvert, une pommade et j’ai eu l’idée de l’utilisée pour mon bandeau.
Aurélien: beaucoup de fautes. Les émotions ne sont pas assez développées. Texte inachevé. Quelques bons passages cependant. 7/16
Antoine: un bon texte. La fin est un peu confuse et des fautes. 11/16 O-)
Nabil: beaucoup de fautes dans ce texte. Un problème de syntaxe important qui empêche de comprendre parfois le sens de la copie. 6/16
Quentin: le sujet ne demande pas un dialogue. L'enjeu principal du sujet, à savoir la critique du pouvoir n'est pas assez présent. 6/16
Julie A: un problème de niveau de langue. L'écrit d'invention demande de soigner l'écriture davantage. Trop de familiarités. Le passage du miroir aurait dû être plus approfondi. 8/16
Nicolas D: trop de familiarité. On a du mal à retrouver l'époque du texte support. La réflexion sur les soins capillaires aurait pu être évitée...6/16
Xavier: un texte cohérent et intéressant. Cependant, des fautes et la scène du texte n'est pas assez retranscrite. 9/16
Gladys: beaucoup de fautes. De plus, l'épisode du trône n'est pas repris. Cependant, la fin de la copie est meilleure. 9/16
Julie C: un assez bon texte même s'il y a trop de passages copiés de Flaubert, qui sont décalés avec le niveau d'expression du personnage. 10/16
Martin: très bien. Un bel effort de style. Bravo. 13/16. 8-)
William: trop de passages repris du texte de Flaubert. Cela semble assez décalé par rapport aux personnage. Les émotions manquent aussi de vivacité. Un ensemble satisfaisant cependant. 10/16 :-)
Thomas D: un bon texte malgré des terminaisons grammaticales approximatives!! Beaucoup de bonnes idées. 12/16 :mdr:
Hugo: un assez bon texte, même si on aurait souhaité un ton davantage polémique. Mais, une facilité d'écriture à exploiter. 11/16 O-)