Feuille de route pour la question transversale.
- copier la question du sujet (avant de lire les textes)
- copier dans chaque texte deux citations qui vous semblent répondre à la question en justifiant vos choix (sans rédiger: "image de la société....")
- proposer un plan pour répondre (à envoyer sur le blog)
- choisir le meilleur plan et rédiger (réponse à envoyer)
I – Les textes 1 et 4 donnent l’image d’une société qui aime l’argent.
1) Texte 1 : personnages qui favorisent l’argent à la famille « Nous ne pardonnons pas… qu’à un homme de ne pas avoir un sous sur lui »
2) Texte 4 : Des personnages montrant des inégalité sociale : « Les pauvres veulent être riches, les riches ne veulent pas être pauvres. »
II – Les textes 1 et 3 donnent l’image d’une société de privilèges.
1) Texte 1 : Le père, Goriot, marie ses filles à des personnage de haut rang.
2) Texte 3 : Le mariage de George Duroy lui apporte un prestige social « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui ».
III- Le texte 2 reflète une image de la société négative :
1) Le texte montre les bas fond de la société : les mineur
2) Conditions de travail dégradées : « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. »
Différent de l’image que donne les textes 1, 3 et 4. Mais se rapproche plus du texte 4
I) Le texte de Honoré de Balzac et le texte de Victor Hugo donnent une image d’une société riche.
1) Le texte 1 dépend de l’argent.
2) Inégalités sociales dans le texte 2.
II) Le texte de Honoré de Balzac et de Guy de Maupassant lie amour et argent.
1) Le père Goriot à pour but de marié ses filles à des hommes de haut rang.
2) Le mariage de Georges Duroy presque hypocrite.
III) Le texte de Emile Zola qui ne fait pas référence à une société riche contrairement au texte de Guy de Maupassant.
1) Travail acharné de la part du Maheu.
2) Mariage de Georges Duroy qui mène à la tromperie.
- Texte B : Germinal de Zola : Maheu est mineur, travail difficile et long, il souffre « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. »
- Texte D : Quatre-vingt-treize de Victor Hugo : Différence de classe sociale entre les personnage. Tellmarch = fragile contrairement au marquis « moi, je commence à ne plus marcher ; au bout d'un quart de lieue je suis las. »
= pauvre « Nous sommes pourtant du même âge ; mais les riches, ça a sur nous un avantage, c'est que ça mange tous les jours. Manger conserve. »
II) Une société riche critiquée
- Texte A : Le père Goriot de Honoré de Balzac : Père Goriot critiqué par la duchesse de Langeais « a commencé sa fortune par vendre dans ce temps-là des farines dix fois plus qu'elles ne lui coûtaient. »
- Texte C : Bel Ami de Maupassant : Georges Duroy, à peine marié désire une autre femme « il aperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu'il lui avait donnés, » critique de Maupassant « Georges, affolé de joie, se croyait un roi qu'un peuple venait acclamer »
10.
Le 21 octobre 2014, 09:38 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))
Rédiger la réponse à la question transversale.
- une introduction: en une seule phrase qui présente la question posée;
- le développement:
quand vous citez le texte A, le texte B et le texte C pour la première fois, précisez le titre, l'auteur et la date du texte
un paragraphe par partie
citations à l'appui:
brèves et peu nombreuses (3, 4 maximum)
attention à l'insertion de ces
citations:http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/IMG/pdf/76_bien_rediger_et_inserer_des_citations.pdf
citation analysée
connecteurs logiques
utiliser le lexique de l'analyse littéraire:
http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/IMG/pdf/12_le_vocabulaire_pour_l_analyse_d_un_texte.pdf
- la conclusion; deux phrases:
1ère phrase: reprendre l'élément essentiel de la réponse selon vous
ouverture sur le texte qui peut le plus frapper en justifiant la réponse.
A travers ces textes, la société est décrite différemment mais cependant celle-ci est critiquée, elle est abrutie par le pouvoir et l’argent.
Tout d’abord Le texte A, de Balzac (1835) montre l’importance de l’argent dans la société :
un homme riche est reconnu mais lorsqu’il perdra sa richesse il sera traité sans aucun doute comme un pauvre homme. L’argent et le pouvoir font de quelqu’un un homme important ou non. Il montre cela à travers le fait que l’argent serait meme plus important que la famille. Dans ce texte, les filles sont riches et ne semblent n’avoir plus aucune valeur.
Le texte 4 de Victor Hugo, (1874) montre le fait que le personnage pauvre est passif à la situation : « Je ne m'en mêle pas », le personnage pauvre sera moins bien entretenue que le riche. Malgré tout, il accepte la situation car il ne semble rien pouvoir faire …
Puis, L’image de la société privilégie ceux qui ont de l’argent, dans le premier texte tout d’abord lorsque le père Goriot marie ses filles à des hommes haut placés dans cette société, le père Goriot n’a plus de richesse, il est donc considéré comme « inutile » et sans intérêt même pour ses propres filles.
Le texte 3 de Maupassant 1885, Georges se marie nous pas par amour mais par intérêt, en effet ce mariage lui rapporte reconnaissance et lui donne du pouvoir, un prestige social qui a, pour lui une importance considérable.
Enfin, le texte 2 de Zola (1885), montre le travail pénible et insoutenable des mineurs, qui travaillent dur, mais qui ne sont pas reconnu pour leur mérite, mais bien pour être des personnes pauvres. On ne se soucie pas d’eux et leurs conditions de travail qui sont déplorables pour un salaire misérable montre les inégalités et le rabaissement des pauvres. Celui-ci s’écarte des textes 1,3 mais ce raproche tout de même du 4.
La société est très inégal, les personne de la classes ouvrières ne sont pas traités à leur juste valeur, le 1er texte nous démontre bien cela, cela existe depuis toujours et au jours d’aujourd’hui encore, les milieu défavorisés sont écartés de la société et sont moins « importants » que les catégories sociales supérieurs.
Nous allons dans chacun de ces textes, expliquer comment les romanciers montrent, à travers leurs personnages, une image de la société.
Tout d’abord nous allons parler de l’image d’une société hypocrite.
Le texte A d’Honoré de Balzac, Le Père Goriot écrit en 1835 favorise l’argent à la famille « Nous ne pardonnons pas… qu’à un homme de ne pas avoir un sous sur lui ». En effet les filles du père Goriot marié à des hommes de hauts rangs ont délaissé ce vielle homme qui leur a tout donné pour le bien de leur mariage, qui est lisible à travers cette citation « Ce père avait tout donné. Il avait donné pendant vingt ans, ses entrailles, son amour ; il avait donné sa fortune en un jour. Le citron bien pressé, ses filles ont laissé le zeste au coin des rues. » alors que le texte C de Guy de Maupassant, Bel Ami écrit en 1885, met en valeur les richesses et les intérêts que produit le mariage. Il lui apporte un prestige social « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui ».
Pour poursuivre, nous allons parler de l’image d’une société inégale et incohérente.
Le Texte B d’Emile Zola, Germinal écrit en 1885 met en valeur un travail pénible, dangereux, physique et sale. Il implique le supplice de la goutte d’eau, une torture utilisé dans certaines guerres et met en valeur des conditions de travail dégradées, ou l’air de ne circulait pas et l’étouffement à la longue devenait mortelle. Contrairement au texte B, le Texte D de Victor Hugo, Quatre-vingt-treize écrit en 1874 traite des inégalités sociaux à une époque royaliste ou le contraste entre les pauvres et les riches est flagrant : « Les pauvres veulent être riches, les riches ne veulent pas être pauvres. ». Cette antiphrase permet d’insister sur cette société contrastée.
Pour conclure, les inégalités sont présentent dans tous les texte. Dans le texte 1, elles sont plus prononcées et les appuient vraiment. Les auteurs ont réussies leur parie, et, a l’heure actuelle, nous avons cependant certaine inégalités similaires.
En comparant les textes A, B, C, et D nous allons monter les différentes images de la société que nous donnent les romanciers à travers leurs personnages.
Tout d’abord le texte A, Le père Goriot de Honoré de Balzac datant de 1835, et le texte D, Quatrevingt-treize de Victor Hugo datant de 1874, nous donne l’image d’une société qui aime l’argent.
Le texte A nous présente des personnages, les filles du père Goriot, qui privilégient l’argent à leur famille. « Nous ne pardonnons pas plus à un sentiment de s'être montré tout entier qu'à un homme de ne pas avoir un sou à lui », par la négation du verbe « pardonner » dans cette phrase, nous avons l’image d’une société intransigeante, cette citation met en avant les mot « sentiment » et « sous » en les opposant ce qui renforce l’image d’une société avare. Cependant dans ce texte nous avons deux images, celui de le Duchesse de Langeais, qui donne une image négative du père Goriot en sous entendant qu’il a mérité sa ruine, contradictoire avec l’image du père Goriot, aimant, et qui s’est sacrifié pour assurer le bonheur de ses filles. Par ailleurs le texte D est différent et nous montre par le dialogue d’un marquis et d’un mendiant une société avec de forte inégalité sociale. « Mais les riches, ça a sur nous un avantage, c'est que ça mange tous les jours. Manger conserve. » Dans cette réplique du marquis, les mots « riche », « manger » et « conserver » sont liés. Ceci nous renforce dans l’idée que pour survivre dans cette société, il n’y a qu’un seul moyen être riche.
De plus les textes A et C, Bel Ami de Guy de Maupassant datant de 1885 donnent au lecteur l’image d’une société de privilèges. Dans le texte A, le père Goriot marie ses filles à des hommes de haut rang afin d’accroître sa fortune. Par ailleurs le lecteur ne doit pas oublier que c’est la duchesse de Langeais le narrateur. Elle est riche. Ce texte est une texte de critique, on peut donc en conclure que les riches peuvent se permettre de critiquer des personnages victime de la fatalité comme le père Goriot. Cependant le texte C n’est pas une critique des pauvres comme dans le texte A. Dans le texte C, le lecteur est face à un personnage qui ne s’intéresse presque qu’à lui-même « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui ». A travers son mariage, George Duroy bénéficie d’un prestige sociale, il se prend pour un « roi », se voit déjà « député », choses qu’il n’aurait pas pu envisager avant de s’être élevé dans la société. Tout ceci renforce l’image d’une société de privilège, diriger par les riches, des élites.
Pour finir, le texte B, Germinal de Emile Zola datant de 1885 reflète l’image d’une société négative. Ce texte est en tout point différent des texte A, C, et D car il présente au lecteur les bas fond de la société, des personnages oubliés. Dans ce texte le personnage de Maheu est victime de conditions de travail déplorable, « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. », ce qui renforce l’image d’une société de privilège et qui aime l’argent, donc peu attentive à son peuple. Dans ce texte comme dans le texte D, les pauvres souffrent.
Les texte A, B, C, et D nous montre différentes images de la société, mais cependant assez similaire. Une société de privilèges, d’inégalité sociale. Cependant le texte qui attire le plus l’attention du lecteur est le texte B car dans ce texte la société définit par les autres textes est absentes.
Nous allons présentés les différentes facettes d'une société, à la même époque, à travers différents textes.
Tout d'abord, nous allons commencer par les textes 1 de Honoré de Balzac du roman « Le père Goriot » écrit en 1835 et le texte 4 de Victor Hugo tiré du texte Quatrevingt-treize écrit en 1874.
En effet, ces deux textes donnent une image d'une société riche aimant l'argent . Dans le texte 1, le père Goriot qui a marié ses filles à des jeunes hommes de haut rang est délaissé par celle-ci. « Ce père avait tout donné. Il avait donné pendant vingt ans, ses entrailles, son amour ; il avait donné sa fortune en un jour. Le citron bien pressé, ses filles ont laissé le zeste au coin des rues. » cette citation nous confirme que le Père Goriot est prêt à tout pour ses filles. Malgré cela, l'argent à pris le dessus et ses filles n'en n'ont que pour l'argent. Le père Goriot fini donc pauvre. Dans le texte 4, l'inégalité sociale est mise en avant. Il s'agit d'un dialogue entre un mendiant et un bourgeois. A travers ce texte, le mendiant fait partager le surnom qu'on lui donne « Voilà quarante ans qu'on m'appelle le Vieux » alors qu'il a le même age que le marquis. Le marquis lui fait donc savoir qu'ils ont le même age mais le mendiant lui explique que c'est parce-qu'il mange à sa faim. En effet, l'inégalité sociale dans ce texte prône, le mendiant explique que «les auvres veulent être riches, les riches ne veulent pas être pauvres. ».
Parlons maintenant du texte A et C qui lient tout deux amour et argent. Dans ces deux textes on peut observer le rapport entre amour et argent. Dans le texte A, le père Goriot qui a tout donné à ses filles à pour but de marié celle-ci à des hommes de haut-rang. On en conclut donc qu'il veut une belle vie pour chacune de ses filles quitte à se faire « oub lier ». « En voyant ses filles contentes, il comprit qu'il avait bien fait. » Pour le texte C, le mariage de Georges Duroy nous permet de voir que c'est un amour hypocrite qui prône ici . Georges Duroy homme riche,sur le point de se marier, retombe amoureux de sa maîtresse. : « Je t'aime toujours, je suis à toi ! ». Celui-ci ne se rend pas compte du mal qu'il peut faire autour de lui et sa richesse lui permet de faire ce qu'il veut. Il peut très bien annulé son mariage. Rien ne le touche ni même son prestige sociale.
A travers ces trois textes nous avons vu la richesse d'une société mais maintenant parlons d'une société négative celui du texte 2. En effet, ce texte présente un personnage le Maheu qui est mineur. Il n'est pas riche, loin de là, et à la vie dur. Il ne connaît pas ce qu'est la richesse, ce que c'est de ne pas travailler et ne le connaitrera surement jamais. Le Maheu se tuant à la tâche chaque jour, nous montre qu'il a du mal à travailler sous cette fumé « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. ». Le Maheu est donc victime de situations de travail déplorable.
Enfin, ces différents textes nous montre un société assez différentes. On observe que tout tourne autour de l'argent. On en conclut donc à travers ces différents texte que l'argent fait et ne fait pas le bonheur. Le texte le plus indicateurs serai celui de Victor Hugo montrant un dialogue entre un marquis et un mendiant .
On nous demande comment les romanciers donnent une image de la société à travers leurs personnages
A travers ces différents textes, une société pauvre et souffrante est représentée. En effet, nous observons que le texte B, Germinal de Emile Zola écrit en 1885 montre un mineur qui se nomme Maheu. Cet homme semble souffrir « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. » Par cette citation, Zola évoque les conditions extrêmement difficiles que subit Maheu. De plus, le texte D, Quatre-vingt-treize de Victor Hugo écrit en 1874 nous expose également cette société pauvre qui souffre à travers le mendiant Tellmarch.Ce personnage est représenté comme fragile et fatigué contrairement au marquis « moi, je commence à ne plus marcher ; au bout d'un quart de lieue je suis las. » . Enfin le texte A, Le père Goriot de Honoré de Balzac écrit en 1835 représente à son tour cette société souffrante et pauvre. Le personnage du père Goriot nous est décrit par la duchesse de langeais presque de manière péjorative alors que c’est un personnage pathétique. Après avoir donner toute sa fortune à ses filles, il se retrouve pauvre et rejeté par celles- ci.
Une société riche est critiquée à travers les textes qui composent le corpus. Tout d’abord, nous remarquons que dans le texte C, Bel Ami de Maupassant écrit en 1885, le personnage de Georges Duroy semble critiqué par l’auteur. En effet il apparaît comme un personnage profiteur. Il est l’auteur d’un mariage arrangé, et pendant ce mariage il se met à désirer une autre femme « Ilperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu'il lui avait donnés, ». Maupassant critique cette société riche à travers ce personnage « Georges, affolé de joie, se croyait un roi qu'un peuple venait acclamer ». Nous comprenons que l’auteur se moque de cette société.
Ce corpus montre également une différence sociale entre les textes. En effet, dans le texte D de Hugo, une opposition de ces deux classes sociales est présente entre le marquis qui est personnage noble et le mendiant Tellmarch.
Les romanciers parviennent à donner une certaine image de la société en se servant de leurs personnages. A travers le texte C, Maupassant veut critiquer cette société riche, il se sert donc du personnage Georges Duroy pour donner l'image souhaitée de cette société
Nous allons étudier un corpus traitant sur la société présenté a travers différents personnages on nous demande d’étudier les visions que ces textes nous donnent de la société.
Tout d’abord, dans ces textes on voit la société divisé en deux partie d’un coté les plus pauvres, de l’autre les plus aisés. La société est reflété de différente manière on peut la trouver négatif mais réaliste quand elle viens d’un pauvre, dans le texte D de Victor Hugo intitulé Quatrevingt-treize de 1874 le point de vue de la société est très nul comme nous l’affirme Tellmarch qui est lui-même insulté depuis quarante ans. Il est appeler le Caimand de plus la société est sans pitié et valorise des riches «pour un méchant coup de fusil tiré à un chevreuil du roi, j'ai vu pendre un homme qui avait une femme et sept enfants». Un simple coup de fusil sur un chevreuil mérite-il la mort d’un père de famille ? Aurai-t-il eu le même châtiment s’il avait été riche ? La société est sans pitié quand il s’agit d’une personne pauvre. D’autre part cet homme qui n’arrive même plus a marché, a cause du fait qu’il ne puisse même pas manger contrairement au riche, La Différence de classe sociale entre les personnages. Tellmarch est fragile contrairement au marquis de Lantenac. De même dans le texte B d’Emile Zola intitulé Germinal datant de 1885 des hommes comme Maheu des mineurs travaillant dans les pire condition de travaille des condition dangereux, pénible et sale a forte température et les mineur doivent résister aux Supplice de la goutte d’eau.
Malgré cela certains pauvres restent solidaire entre eux, comme dans le texte A Le père Goriot de Balzac cet homme ayant connu la pauvreté cet homme ayant tout fait pour le bonheur de ces fille « Ce père avait tout donné. Il avait donné pendant vingt ans, ses entrailles, son amour ; il avait donné sa fortune en un jour» Pour quoi au final rien, dans la même famille on nous renvoi deux image complètement différente d’une part une solidarité et d’autre part rien en retour. On a l’impression qu’il a été manipulé, l’amour de ses fille était avec de faux sentiments elles aimaient plus l’argent que leur père. Dans le texte B les mineurs aide Maheu «Ils tapaient tous».
Ensuite dans le Texte C de Guy de Maupassant, Bel Ami, 1885 cette société riche qui s’assemble pour avoir plus d’argent, c’est un mariage par intérêt.
En conclusion, le peuple est divisé en plusieurs rang et chacun reflet sa société, le texte D est le plus pertinents il est réaliste.
Dans ces quatre textes nous pouvons remarquer des différences sociales entres plusieurs personnages, nous allons voir l’image de la société transmis par ces derniers.
Premièrement dans les textes A et C nous pouvons voire une société riche et critiquée.
Il est vrai que dans le texte A de Honoré de Balzac, Monsieur Moriot est très jugé, nous pouvons relever : « sa fortune par vendre dans ce temps-là des farines dix fois plus qu'elles ne lui coûtaient » le narrateur accentue son jugement avec « qu’elles ne lui coûtaient.»
Monsieur Moriot est également jugé par ses filles, qui ont honte de lui, c’est pourquoi il donnera tout a ses filles. Il y a une preuve de générosité venant du père car les riches de l’époque pensaient beaucoup a eux, chose qui est démontré dans le texte C de Maupassant où le personnages mit en scène Gorges du Roy ce marie par intérêt. En effet Bel ami ce voit comme un roi notamment avec : « se croyait un roi qu'un peuple venait acclamer » ici Bel ami cherche le pouvoir, et l’argent d’où ce mariage pour avancer dans l’échelle sociale puisque la femme épousé est noble. Le fait que Bel Ami voit sa maîtresse et ai un désire de retrouver les sensations qu’il a eu avec elle s’ajoute au fait que le mariage sois faux.
Dans ces deux textes nous avons a faire a deux riches d’un coté un riche avec du cœur qui porte un intérêt a l’amour et a ces valeurs de l’autre un riche qui ne cherche que pouvoir richesse et noblesse.
Ensuite dans le texte B et D c’est le coté pauvre de la société qui est mit en avant.
Plus particulièrement dans le texte D où il y a un discours entre un pauvre et un riche. Dans ce texte le pauvre est perçu comme quelqu'un de libre, errant vivant de ce qu’il trouve. Il reflète un coté bohémien et aventurier de la société (qui a beaucoup était en avant par l’auteur Arthur Rimbaud dans ces poésies) ce coté confirme avec la réplique : « Vous comprenez, je ne sais pas au juste, on va, on vient, il se passe des choses ; moi, je suis là sous les étoiles. » Le « on va, on vient » et « sous les étoiles » peut être clairement qualifié de lyrisme bucolique. Donc dans ce texte le pauvre est perçu comme une mendiant (ce de quoi il est qualifié dans le texte) quelqu’un qui parcours le monde, qui va de ville en ville. Qui profite de la vie même si le fait qu’il n’a pas d’argent l’empêche de subvenir a ses besoins capitaux notamment pour ce quoi est de la nourriture.
Le pauvre dans cette société a un autre point de vue, en effet dans le texte B d’Émile Zola, le pauvre est perçu comme un travailleur, quelqu'un qui lutte pour vie, il survie même. Cette idée est démontré avec : « il n'y avait plus que le halètement des poitrines, le grognement de gêne et de fatigue » cette citation montre un homme qui souffre mais qui continue de ce battre pour son gagne pain l’effet de combativité est mis en avant par : « Il ne voulait pas lâcher son havage » ici Maheu ne veut pas et refuse d’abandonner.
Dans ces deux textes mettant en avant de pauvre, nous pouvons distinguer deux sortes de pauvres, la pauvre qui ne cherche pas a remonter la pompe il ce laisse vire, c’est bien sur Tellmarch qui démontre ceci. Et a coté de ça nous avons l’ouvrier pauvre qui va dans les mines qui ce bat pour vire, qui survie et est plein d’espoir et a de la hargne.
En soit les textes A, B, C et D ce divise avec d’un coté les riches (texte A et C) de l’autre les pauvres (textes B et D) mais les personnages dans ces textes sont tous aussi différents les uns que les autres, en effet il y a un riche ou le pouvoir la noblesse et l’argent importe beaucoup, de l’autre il y a le riche qui a réussi sa vie en travaillant en ce donnant du mal et en léguant tout a sa descendance. Et enfin il y a les deux sortes de pauvres, celui qui vagabonde et celui qui travail durement à s’en casser le dos. Ce qu’il faudrait retenir se serait la leçon de vie que donne les personnages du textes B et du textes A.
On nous demande de donner l’image de la société de chaque texte à travers les personnages.
Dans les textes A, B, D ; Zola, Hugo et Balzac nous montrent des personnages impuissants, écrasés par les riches, parfois indifférent et « Pas une parole n’était échangée » entre eux. Emile Zola dans son œuvre Germinal de 1885, nous montrent une société de taupes qui vivent sous terres, qui souffre et qui n’est pas solidaire, si on fit à cet extrait alors que Hugo et Balzac nous montrent une société plus positive que Zola fait. En effet dans l’extrait de Germinal, tous les personnages sont impuissant, alors que Honoré de Balzac dans son œuvre Le Père Goriot de 1835, nous montrent un seul personnage qui souffre, de tout le monde rejette en disant mal son nom et en rajoutant un article démonstratif avec « ce Moriot, Ce Goriot et ce Loriot », en l’écartant car ses filles ont hontes et veulent que leurs maris réussissent, mais Goriot reste solidaire malgré que de les autres lui font, en donnant tous à ses filles alors qu’elles le méritent pas. Cependant, Victor Hugo dans son œuvre Quatrevingt-treize de 1874, il nous montrent un personnage impuissant car il est « Tellmarch » ( vie en marge de la société) et c’est là qu’il montre l’impuissance c’est que malgré cela il dit que lui et Caimand ont le même âge à cause des pauvres qui veulent être riches et les riches qui ne veulent pas être pauvres. ». Enfin, le texte A se rapproche plus du D alors qui a des points communs et des différences avec celui du B.
Dans les textes A et C ; Maupassant et Balzac nous montrent des personnages qui pensent plus aux apparences et à la classe sociale, qu’à la personne. En effet, dans l’œuvre de Balzac, les filles de Goriot et la duchesse de Langeais pensent plus à l’argent qu’à Goriot avec « Nous ne pardonnons pas… qu’à un homme de ne pas avoir un sous sur lui ». Cependant, Guy de Maupassant dans son œuvre Bel ami de 1885 va plus loin de la classe social et être riche, lui dénonce une société d’apparence tout en restant positive. Car Georges du Roy se marie pour être dans la noblesse et peut-être devenir roi.
19.
Le 21 octobre 2014, 10:45 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))
Feuille de route commentaire :
-Sélectionner trois ou quatre
citations du texte qui vous semblent particulièrement frappantes. Associez
trois ou quatre mots à chaque citation.
-formuler une problématique :
j’ai envie de montrer cela sur le texte….
-Construire un plan en deux ou
trois parties avec deux ou trois sous parties : envoyez sur le blog
-Enrichissez vos idées de celles
des autres pour aboutir à un plan détaillé
« En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. » : Mort lente
« La roche, au-dessus de lui, à quelques centimètres de son visage, ruisselait d'eau, de grosses gouttes continues et rapides, tombant sur une sorte de rythme entêté, toujours à la même place. » : Torture
« Il ne voulait pas lâcher son havage, il donnait de grands coups, qui le secouaient violemment entre les deux roches, ainsi qu'un puceron pris entre deux feuillets d'un livre, sous la menace d'un aplatissement complet. » : Oppression
« Puis, tout retombait au noir, les rivelaines4 tapaient à grands coups sourds, il n'y avait plus que le halètement des poitrines, le grognement de gêne et de fatigue, sous la pesanteur de l'air et la pluie des sources. » : Cauchemar
J’ai envie de montrer l’accablement de Maheu dans son travail à la mine.
I : Une mort lente
-35°, pas d’air = étouffement
II : Torture et Oppression
-Torture de la goutte d’eau
-Coincé entre 2 rochers + pioche = menace d’un éboulement
III : Un cauchemar
-Noire complet, bruits bizarres (halètements, suffocations, grognements,), pluie et chaleur.
Citations importantes:
- l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel = mort lente
- cette lampe, qui chauffait son crâne, achevait de lui brûler le sang = torture, souffrance
- Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tête violente, barbouillée comme pour un crime = hallucinations, imagination
- Les bruits prenaient une sonorité rauque, sans un écho dans l'air mort = silence, souterrain sombre, seul
J’ai envie de parler de la souffrance, de l’atmosphère et de la solitude que peut éprouver Maheu.
I) Souffrance de Maheu par rapport à l’environnement où il travail
- problème pour respirer, 35 degré, air qui ne circule pas
-espace étroit et sombre
II) Solitude de Maheu par rapport à l’atmosphère de son lieu de travail
-travail seul, aucun dialogue
-hallucination, semble voir des formes
Citations importantes :
- « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel » = mort lente
- « Pas une parole n'était échangée. Ils tapaient tous, on n'entendait que ces coups irréguliers, voilés et comme lointains. » = autre monde, silencieux, rythmé
- « Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. » = atmosphère pesante, monde noir, souterrain
- « Les mèches des lampes, sous leurs chapeaux de toile métallique, n'y mettaient que des points rougeâtres. » = contraste entre la noirceur de la mine et les lampes.
- « Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tête violente, barbouillée comme pour un crime. » = dimension fictive, hallucination, fantôme
Problématique :
J’ai envie de parler de la dimension fictive/ hallucination que prend le texte et de son atmosphère pesante ainsi que des conséquences que cela peut avoir sur les sentiments du lecteur.
Plan :
I-une atmosphère lourde, étouffante :
1) mort lente / air qui circule mal, condition dégradé
2) espace restreint : la mine = couloir de la mort = oppressant.
II- Le silence
1) aucun dialogue, seulement de la description
2) contradiction avec le bruit des travailleur ( de leur outil)
I- hallucination du personnage
1) Maheu semble voir des formes, des fantômes, ce qui peut donner une sorte de gène au lecteur.
2) Contradiction avec la noirceur de la mine et des lumières des lampes (ténèbres contre lumière)
Xavier : trop de banalités qui n’ont pas vraiment de rapport avec la question (l’image de la société). Il faut davantage travailler la COMPARAISON entre les textes et revoir la présentation : faire un paragraphe par partie. 1/4
Alexis : les rapports d’opposition entre les textes manquent de logique ! Des réflexions un peu hors sujet (la torture de la goutte d’eau utilisée dans certaines guerres…). C’est surtout le manque de cohérence d’ensemble et le manque d’analyse qui est problématique. ¼
Charlotte : un très bon niveau d’analyse. 4/4 :mdr:
Agathe : attention : le marquis appartient à la noblesse et non à la bourgeoisie. Des banalités ! il faut être plus précise dans la réponse à la question.1 / 4
Quentin : les deux premières parties sont intéressantes. Bonne compréhension de l’exercice. 3 / 4 ;-)
Nabil : le texte de Maupassant n’est pas assez exploité. C’est dommage. Il faudrait élever le niveau de langue et prendre plus de distance (pas de questions, ni de réflexion hors sujet). 2 /4 :siffle:
Antoine : Attention à ne pas perdre la question de vue. Il faut reprendre les termes de la question régulièrement dans la réponse. 3 / 4 O-)
Aurélien : une analyse très fine du corpus avec des réflexions pertinentes. Cependant, le devoir reste inachevé et moins bien maîtrisé sur la fin. 3 /4 O-)
« C'était Maheu qui souffrait le plus. En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas » de la compassion, de la pitié, on a envie de l’aider.
« Il ne voulait pas lâcher son havage. » hargneux, de la reconnaissance, quelqu'un de déterminé.
« Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. » de pire en pire, énumération
J’ai envie de parler du travail pénible et des conditions subis par Maheu :
, l'étouffement à la longue devenait mortel. Lassé, supporte plus la situation.
ainsi qu'un puceron pris entre deux feuillets d'un livre : représente rien dans la société, pas important.
: elles battaient sa face : la situation consume maheu, comme la situation avec la société
j’ai envi de montrer la non-reconnaissance de la société sur les pauvres, qui est une classe sociale renier de la société.
I : travail dur, conditions méprisable pour une reconnaissance faible et une faible rénumération.
II : sentiment d’être victime de la société, une partie est privilégiés (riches) et une autre est renier.
III : être de famille bourgeoise, pas besoins de qualification, piston, vie facile
Voici le temps de la rédaction du commentaire.
A la fin de la séance, il faut envoyer sur le blog un devoir complet qui comprend:
- une introduction (voir vocabulaire ci-dessous)
- un développement en deux ou trois parties avec une transition (un court paragraphe d'une ou deux phrases qui rappellent ce que vous avez voulu dire dans la 1ère partie et annonce ce qui duit) entre les parties.
- une conclusion (bilan et ouverture: pourquoi pas sur la BD)
Pour vous donner des pistes: http://www.weblettres.net/blogs/art...
Les tournures utiles du commentaire
Dans une introduction :
- pour présenter un texte :
• Le texte ……extrait de ……………………a été écrit par………….en……….
• Le passage qui nous est proposé est extrait de ………………/ se situe au chapitre………/ correspond à l’épisode de…………………
• Cet extrait traite du thème de ………………………Il parle de ………………..
• Dans cet extrait, l’auteur développe l’idée selon laquelle…………………./ évoque ……………./ expose sa vision de ……………………..
• Le lecteur est d’emblée frappé par…………. / peut ressentir à la lecture de ce texte…………
- pour dégager les enjeux du texte et annoncer la problématique :
• on peut donc dégager un enjeu essentiel dans ce texte :…………..
• ce passage présente donc un double enjeu………
• on peut donc se demander si………………………….
• La question que l’on peut se poser alors, c’est………………………..
• Il semble donc que le texte s’oriente autour de la problématique suivante :……………
- pour annoncer le plan du commentaire
• c’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord étudier/ examiner/ s’intéresser à/ voir/expliquer/ se demander comment
• Dans un deuxième temps, on montrera / analysera/ mettra en évidence
• Enfin, on pourra/ il sera possible de/ il conviendra de………..
Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux.
Environnement = voilé / floue / imprécis /
En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel.
Environnement = lourd / étouffante / malaise / désagréable
On ne distinguait rien, la taille s'ouvrait, montait ainsi qu'une large cheminée, plate et oblique, où la suie de dix hivers aurait amassé une nuit profonde
Environnement ( monde ) = grand / froid / uniforme
Le texte Germinal extrait du livre de Emile Zola a été écrit en 1885. Cet extrait du livre nous présente Maheu, un mineur travaillant dans un environnement sale et insalubre. L'auteur expose sa vision du travail aux mines en nous faisant part des différentes facettes de ce métier. Dans ce commentaire, nous allons donc analyser l’environnement où travail Maheu en s'appuyant sur la solitude et la souffrance que peut éprouver celui-ci. Ce que cela peut engendrer sur le lecteur. Nous allons aussi parler du cotés hallucinatoire du récit, ce que Maheu ressent quand il est seul au fond de la mine sans aucun bruit. Enfin, nous parlerons de la tournure cauchemardesque que prend le récit. Il semble donc que le texte s'oriente autour de la problématique suivante : l'envie de parler de la souffrance, de la solitude et de l'atmosphère que peut éprouver Maheu.
Dans un premier temps, nous allons analyser la solitude et la souffrance que peut ressentir Maheu par rapport à l'environnement de son travail. En effet, « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel » nous permet de comprendre que l'environnement où travail Maheu est déplorable. Maheu souffre et lutte contre cela. Son espace est limité, étroit. Cela peut engendrer une sorte d'oppression par rapport au lecteur, une gêne. Maheu souffre, il fait sombre et n'a pas d'autre choix que de « fixer sa lampe à un clou, près de sa tête ; et cette lampe, qui chauffait son crâne, achevait de lui brûler le sang. ». Dans cette citation les mots « bruler », « sang », « chauffer son crâne » accentu le fait que Maheu souffre. Celui-ci travaillant seul ne peut donc pas discuter. C'est donc pour cela qu'il n'y a pas de dialogue et donc beaucoup de description. Ces descriptions rendent vivantes le texte et nous permet de nous renseigner sur les conditions de travail de Maheu. « Mais son supplice s'aggravait surtout de l'humidité » On peut observer aussi une souffrance physique mais aussi mentale. Physique par rapport à l'endroit étroit où il se trouve « Il avait beau tordre le cou, renverser la nuque : elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient sans relâche » mais aussi mentale par rapport à l'effort qu'il fourni pour continuer à travailler. Cet extrait peut faire dégager une sorte de gêne par le lecteur mais aussi une sorte de pitié que peut l'on peut ressentir à l'égard de Maheu.
Dans ce premier paragraphe nous avons parlés de la souffrance et de la solitude qu'éprouve Maheu. Maintenant nous allons analysés le cotés cauchemardesque et hallucinatoire de ce récit.
Dans cette partie nous allons parlés de ce que entend et voit Maheu. En effet, il croit voir « Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tête violente, barbouillée comme pour un crime. » qui peut nous faire pensé qu'il commence à avoir des hallucinations sous l'effet pesant de son travail. On pourrait penser qu'il fait ressortir le coté cauchemardesque de son travail en rappelant qu'il est toujours dans des conditions de travail insalubre. Maheu toujours seul et sous cette chaleur insoutenable croit entendre des bruits « Les bruits prenaient une sonorité rauque, sans un écho dans l'air mort. ». Dans cette citation le champ lexical de la mort est mis en avant ce qui fait ressentir de la compassion envers Maheu. Le lecteur est oppressé, gêné, mal à l'aise par rapport aux descriptions de Maheu.
En conclusion, Maheu nous fait partager à travers ses descriptions un monde qui nous est tout à fait inconnu. Il met en avant ses sentiments de souffrances, de solitude, l'atmosphère de son travail et ce que cela peut produire sur son comportement dans la mine. Il nous fait partager aussi les conditions dans lesquelles il travail. La lecture de ce récit peut mettre en avant une sorte de gêne et de compassion de la part du lecteur. C'est donc pour cela que le lien avec le texte de Victor Hugo « quatrevingt-treize » peut-être intéressant. En effet, nous pouvons comparés les deux situations entre le mendiants qui lui est pauvre et Maheu . Ils mettent tout deux en avant, qu'ils sont affaiblis par le travail. Leur situation est un peu la même, malgré que Maheu est quand même celui qui souffre le plus. Le mendiant et Maheu sont donc deux personnages abimés par la pauvretés et le travail.
Ce texte est un extrait de Germinal de Emile Datant de 1885. Ce texte nous présente le personnage de Maheu, un mineur et de son environnement de travail. Dans ce commentaire nous allons étudiez la dimension fictive et hallucinatoire, cauchemardesque que prend le texte ainsi que de son atmosphère pesante et des conséquences que cela peut avoir sur le lecteur. Dans un premier temps nous allons parler de l’atmosphère lourde et pesante qui se dégage du texte en analysant l’environnement de travail de Maheu, son ressenti et l’importance des éléments naturels. Dans un second temps on mettra en avant le silence du texte exprimé par le manque de dialogue. Et pour finir nous allons parler de la dimension fictive, cauchemardesque que prend le texte.
Dans ce paragraphe nous allons étudiez l’atmosphère lourde et pesante qui se dégage du texte. En effet les condition de travail de Maheu sont déplorables « la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel ». Dans cette citation les mots employés sont fort : « étouffement », « mortel », ce qui peut déranger le lecteur, qui peu pensé qu’il assiste à une mort lente du personnage à travers le champs lexicale de la mort. De plus la mine peut être associé à un couloir. «La roche, au-dessus de lui, à quelques centimètres de son visage », dans cette phrase l’expression la plus frappante est « à quelques centimètres de son visage », a travers elle le lecteur est frappé par la proximité de la paroi et du personnage, ce qui va faire que le lecteur peu se sentir oppressé par ce texte car l’environnement de travail de Maheu est restreint. Par ailleurs dans ce texte, les éléments naturels occupent une place importante et on les retrouve tout au long de la lecture : « humidité », « ruisselait d'eau », «il était trempé », « couvert de sueur », « la température montait jusqu'à trente-cinq degrés ». Grâce à ces citations on peut arriver à la conclusion que les éléments naturels sont l’une des causes principales de la souffrance de Maheu « une goutte, s'acharnant dans son œil, le faisait jurer », ce qui en fait un personnage pathétique au yeux du lecteur.
Dans cette partie nous avons démontré que le texte présente une atmosphère pesante et lourde.
Dans cette partie nous allons nous intéresser au silence présent dans ce texte. En effet ce texte est un texte descriptif, il n’y a aucun dialogue. Cependant ce « silence » est renforcé par la description qu’effectue Maheu « Pas une parole n'était échangée ». A travers cette phrase et surtout à cause de l ‘expression « n’était échangée », le lecteur ressent la solitude du personnage et peu se sentir seul lui aussi. Par ailleurs ce silence est en contradiction avec le travail de Maheu et de ses collègues « Ils tapaient tous, on n'entendait que ces coups irréguliers, voilés et comme lointains ». Ici la phrase est coupé par plusieurs virgules, ce qui la rythme et peu faire pensé au rythme de travail et des pioches des mineurs. Il y a donc du bruit dans ce silence ce qui peut rendre confus le lecteur : aucune paroles, aucun dialogue mais des bruits bruyant, cassant.
Ainsi nous avons démontré que le silence du texte à une importance dans le texte comme pour le lecteur.
Dans ce paragraphe nous allons intéresser à la dimension fictive, cauchemardesque que prend le texte. En effet l’environnement de travail de Maheu est sombre et comme dépourvu de vie. « Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu », dans cette citation les mots sont forts et lourds de sens, les mots « ténèbres » et « noir » peuvent être assimilés à l’enfer. Cette atmosphère est noire, sans lumière et le destin de Maheu semble sens espoir ce qui peut faire peur et rendre inquiet le lecteur. « Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tête violente, barbouillée comme pour un crime » avec cette citation on voit clairement que le texte prend une dimension fantastique, cauchemardesque, le personnage de Maheu semble avec des hallucinations « des formes spectrales » faisant penser à des fantômes « rondeur de hanche », « bras noueux », prenant formes humaines ce qui rend le texte encore plus terrifiant. De plus les mots de cette citations sont violent « tête violente », « crime », tout ceci peut faire peur et déranger le lecteur. « Les mèches des lampes, sous leurs chapeaux de toile métallique, n'y mettaient que des points rougeâtres » Dans cette citation la couleur qui domine est le rouge « les mèches des lampes », des « points rougeâtres », ce qui peut faire penser au feu et renforcer l’image de l’enfer dans lequel ce trouve le personnage.
Pour conclure ce texte à la fois oppressant, bruyant et silencieux prend les proportions énormes pour le lecteur. Le texte devient à lui seul un cauchemar ambulant ce qui peut déranger le lecteur. Cependant on pourrait comparer cet enfer à l’enfer qu’est en quelque sorte la société définit par le texte du Père Goriot de Honoré le Balzac datant de 1835. Comme pour Germinal, le Père Goriot est un personnage pathétique, qui se sacrifie.
Le texte B extrait de Germinal a été écrit par Emile Zola en 1885. Le passage qui nous est proposé est extrait de la première partie, il se situe dans les premier chapitre correspond à l’épisode ou Maheu est en train de travailler au fond des mines dans des conditions de travail très difficile. Dans cet extrait, l’auteur développe les conditions de travail des mineurs avant la révolution française. Le lecteur est d’emblée frappé par Maheu peut ressentir à la lecture de ce texte de la pitié et l’envi d’aidé les mineurs. La question que l’on peut se poser alors, c’est quelles sont les conditions de travail des mineurs ? C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord s’intéresser à Maheu et dans un deuxième temps on mettra en évidence les conditions de travail et Enfin il conviendra de conclure.
Tout d’abord des le début du texte on fait la connaissance de Maheu un mineur père de famille qui travail dans les mines. Dans le passage il souffre beaucoup, Maheu a du mal a travailler au fond de cette mine de part la température de trente cinq degrés, « Au bout d'un quart d'heure, il était trempé » la mine était donc très sombre et humide. Pauvre Maheu qui est aidé par les autres afin d’évité l’effondrement tout les mineurs tapais tous.
Dans cet extrait nous avons une légère description de la mine, on apprend avec Maheu qu’il fait une chaleur abominable, «l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel» ce qui risque causé des mort lente a cause de toute cet chaleur et ce manque d’air. Une mine sombre étroite et longue. La mine est humide, elle fragilise le bois ce qui met encore plus les mineurs en danger.
Enfin dans Germinal les conditions de travail sont très souvent remis en cause, grâce à la grève, au manifestation qui vont suivre les mineurs obtiendront une hausse de salaire et des mines meilleur cependant toujours dans des états catastrophique.
Le texte B extrait de Germinal a été écrit par Emile Zola en 1885. Le passage qui nous est proposé situe au début du roman. Cet extrait traite le thème du fantastique, il parle d’un homme, Maheu qui travail dans une mine insalubre. Dans cet extrait, l’auteur expose sa vision d’un travailleur « esclave dans une mine ». Le lecteur est d’emblée frappé par un personnage pathétique qui est l’allégorie de l’exploitation. Il semble donc que le texte s’oriente autour de la problématique suivante, qu’elle est l’importance des éléments naturels ? C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord étudier une mort lente. Dans un deuxième temps, on analysera les conditions de travail insupportable. Enfin, il conviendra de critiquer le travail de mineur.
Dans ce paragraphe, nous allons étudier la mort lente que subit Maheu. Nous allons dégager le champ lexical de la torture, de la mort, « l’étouffement », « mortel », « lui brûler le sang », d’embler le lecture est frappé par cette ambiance pesante, en effet le personnage principale semble être accablé par des conditions de travails insolubles, « supplice s'aggravait surtout de l'humidité » comme le souligne cette citation, Maheu subit tous les éléments de la mine qui semblent s’acharnaient sur cette héro. L’humidité, la chaleur, l’air manquant, la chaleur de la lampe, on pourrait conclure que cette mine est une allégorie de l’enfer, que Maheu a vendu son âme en travaillant dans ce magnifique paradis. « C'était Maheu qui souffrait le plus. » Maheu, le héros de la mine, qui se sacrifie en travaillant ardemment au bien être de ses camarades…
Dans le premier paragraphe nous avons parlé de la mort lente que subit Maheu dans la mine, en second lieu nous allons parlé des conditions de travails insupportables.
Dans ce paragraphe, nous allons mettre en valeur des conditions de travails accablantes que subit Maheu. Pour commencer, nous pouvons étudier la façon dont l'auteur décrit l’environnement, en effet Emile Zola permet au lecteur de se situer par rapport à Maheu, il décrit au moindre détails chaque gouttelettes d’eau, son rythme, sa taille, comme nous le montre cette citation : « La roche, au-dessus de lui, à quelques centimètres de son visage, ruisselait d'eau, de grosses gouttes continues et rapides, tombant sur une sorte de rythme entêté, toujours à la même place. » Emile Zola ne s’arrête pas là, il décrit cependant aussi la roche, les parois, qui résonnaient face au bruit des pioches assourdissantes, les poussiers, les ténèbres. Emile Zola incite vraiment sur le fait que cette mine est vraiment un endroit insoluble, étroit, mort vif et cela ce ressent beaucoup au niveau du lecteur.
Dans le deuxième paragraphe nous avons parlé du caractère insupportable de ses conditions de travails, en dernier lieux il conviendra donc de critiqué le travaille de mineur.
Dans ce dernier paragraphe, nous allons mettre en évidence le travaille ardus d’un mineur. En effet, être mineur c’est courrier le risque de mourir, comment ?
Le feu, les explosions, le gaz, l’étouffement, les éboulements… La liste et longue, et le nombre des incidents ne manque pas. C’est un métier risqué, souvent mal payé, les travailleurs se font la plus part du temps exploités bref, il faut être courageux pour si risqué. Maheu lui, est assez fort physiquement et mentalement pour si glissé.
Pour conclure, nous retiendrons que Maheu est un personnage courageux, qu’il subit une mort lente et douloureuse. Pour résumer notre propos, nous dirons que son lieu de travail est apocalyptique, en effet, c’est l’allégorie même de l’enfer ! Au terme de cette étude il apparaît clairement que notre personnage est exploité. Pour clore cette étude, il convient de mettre en évidence le fait que Maheu est un personnage courageux. Il est possible d'établir une correspondance avec le texte de Camus qui traite lui aussi de « l’environnement »
Mais d'une façon toutefois différente puisque le personnages n’est pas dans une mine.
Le texte est extrait de Germinal, écrit par Zola en 1885. l’auteur nous démontre les conditions de travail de la classe ouvrière, plus précisément d’un mineur. Ce texte est engagé et nous montres les inégalités des différentes classes sociales. Maheu est un personnage travaillant dans une mine, il ne supporte plus les conditions de travails, il est comme un esclave, rien ne permet d’ameliorer sa situation et il a un role de victime de la société. Pour cela, nous allons tout d’abord montrer le courage de Maheu face à cette sitution plus qu’insupportable et enfin nous allons parler de l’injustice et du mépris de la société envers une classe social inférieur.
Maheu est un personnage ayant beaucoup de mérite, son courage fait que c’est un homme de respect. Son travail de mineur dans des conditions déplorables, il est comme asphyxié et la mort ne semble pas si loin. Il travail dur et n’obtient aucune reconnaissance pourtant il ne relache pas ses effort, peut être pour nourrir sa famille ? faire de tels sacrifices pour manger ne devrait pas exister, il se tue au travail et ne sera jamais reconnu pour son courage et sa determination, lorsque le texte nous explique les conditions de travail, nous avons l’impression que celui-ci représente l’enfer. Gagnera t-il assez d’argent pour nourrir ses proches ? aura-t-il la force de continuer son métier lorsqu’il ne sera plus tout jeune ? ces gens la meurt jeune, pendant que certains n’ont jamais eu besoins de travailler. La plus grande souffrance de Maheu est t-elle les conditions de vie ? ou de se tuer au travail pour presque rien tandis que certains ont toujours tout eu sans le moindre effort. Maheu doit être forger de rage, et de souffrance ce qui doit faire de lui un homme fort, de caractère et de respect.
Maheu est un homme de mérite et la société ne le traite pas comme tels. La société n’est pas juste, le mérite devrait être le seul facteur de reussite, mais malheureusement c’est loin d’être le cas. La persevérence ne suffit pas pour reussir et pendant que certains vont se tuer à la tache d’autre reussiront sans fournir le moindre effort, être riche ne veut pas dire avoir un niveau de qualification élevé, biensur certains travails durement et le travail paye souvent, mais pour être aller dans des ecoles d’études superieur il faut de l’argent donc la pauvreté mène à la pauvreté . Ce cercle vicieux est réel. Le piston est également un fait réel, avoir une place dans une société grace à quelqu’un, est-ce juste pour ceux qui travaillent dur mais qui n’auront surement jamais ce poste ? cette société est rempli d’injustice et rien ne peut y remedier. Maheu est la preuve de cela, mais son courage et sa persevérence font de lui quelqu’un de fort.
Ce texte est engagé, et le texte de Maupassant dénonce également cette société . se marier par intérêt, pour être reconnue et pour le pouvoir, est quelque chose d’injuste, aucun mérite, aucun courage. Il reussira sa vie sans fournir le moindre effort.
Le texte étudié est un extrait du roman Germinal écrit par Emile Zola en 1885. Cet extrait se situe au début du roman. Dans cet extrait, l’auteur développe l’idée selon laquelle le travail de mineur est extrêmement difficile. Apres la lecture du texte, le lecteur est d’emblée frappé par cette atmosphère lourde qui pèse sur les épaules du personnage. On peut donc dégager un enjeu essentiel dans ce texte : l’importance des éléments naturels. C’est pourquoi l’on pourra tout d’abord étudier le courage du personnage Maheu, puis montrer la critique du travail de mineur, enfin nous mettrons en évidence le coté cauchemardesque de ce texte.
Tout d’abord, nous observons que Maheu est un personnage courageux qui est pathétique aux yeux du lecteur. En effet, à travers l’expression «C'était Maheu qui souffrait le plus. » nous voyons que Zola met l’accent sur la difficulté de ce travail. Tel est le cas dans « Il ne voulait pas lâcher son havage. », cette citation nous évoque le courage que possède Maheu. Le personnage souffre par ce métier qui est décrit de supplice comme le présente cette citation « Mais son supplice s'aggravait surtout de l'humidité. ». De plus, les éléments naturels ont une forte importance dans le texte. Ce sont eux qui font souffrir Maheu comme le montre cette citation « toujours à la même place. Il avait beau tordre le cou, renverser la nuque : elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient sans relâche. » Ces éléments naturels sont omniprésents dans le texte ce qui montre également leur importance. C’est cette omniprésence qui rend le travail difficile et souffrant pour le personnage.
Apres avoir montrer le courage du personnage ainsi que l’importance des éléments naturels, nous allons montrer la dureté du travail de mineur.
Zola semble critiquer ce métier de mineur avec de l’acharnement en rappelant à plusieurs reprises la dangerosité du métier, ce fait est illustré par « En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. ». Zola utilise également des hyperboles afin de critiquer ce métier comme le montre cette citation qui parle des gouttes d’eaux « elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient sans relâche. ». Tous ces procédés exécutés par l’auteur nous montre bien le courage du personnage ainsi que la difficulté du travail de mineur.
Apres avoir illustrer le courage du personnage, l’importance des éléments naturels et la critique du métier de mineur, nous allons étudier le coté cauchemardesque de ce texte.
Le texte B est extrait de l’œuvre Germinal et a été écrit par Emile Zola en 1885. Zola est un journaliste/romancier du 19ème siècle. Cet extrait traite du thème de la vie des mineurs dans les mines de charbons. Il parle d’un personnage qui a giclé son patron alors qui était soûl : Etienne Lantier qui part dans le Nord pour trouver du travail dans la mine. Petit à petit les mineurs se révolte contre les bourgeois sous la direction de Lantier. A la fin, les mineurs repartent travailler et Lantier part pendant que le soleil se lève. Ce passage présente donc un enjeu essentiels qui est un monde immense, froid, uniforme, étouffant et flou. C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord examiner un monde qu’a crée Zola. Dans un deuxième temps, on mettra en évidence la condition de travaille des mineurs. Enfin, il conviendra de parler du personnage principal de l’extrait : Maheu.
D’emblée, nous pouvons relever que le monde que décrit Zola n’est pas un monde féerique, imaginaire et autres ; non il nous décrit le monde réel et nous dit qu’il est grand, froid, uniforme, étouffant et imprécis. Car « il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. », cela montre que Zola crée un monde mais n’est pas sûr de qui si passe à cause des mots « sembler », « distinguer » et autres, cela donne l’impression au lecteur, d’un monde flou, imprécis alors que la description du personnage : Maheu est précis, nette. On peut aussi voir que « En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel », c’est un environnement lourd et étouffant et que le lecteur en lisant les mots « étouffement », « gaz » et autres donne l’impression de non seulement Maheu et les autres n’en peuvent plus mais que le lecteur est pris de malaise et d’être dans une petite salle et q’on voudrait sortir. Cependant, c’est en contradiction avec l’immense environnement froid et uniforme avec « On ne distinguait rien, la taille s'ouvrait, montait ainsi qu'une large cheminée, plate et oblique, où la suie de dix hivers aurait amassé une nuit profonde ».
Le texte B a était écrit par Emile Zola (1840-1902) en 1885 extraits du livre Germinal. Le passage qui nous est proposé est un passage de début de roman, dans les premiers chapitres. Mettant en scène un personnage, Maheu, qui est mineur dans le fond des mines, a cette époque c’est la révolution industrielle en France.
Dans cette œuvre, l’auteur développe l’idée et dénonce le travail en mine qui est très dur, et insupportable de part des éléments naturels, les conditions de vie mais aussi moralement.
C’est pourquoi nous pouvons dégager l’enjeux qui serait : Comment régie Maheu face aux éléments naturels ?
Nous parlerons dans un premier temps, du personnage, des conditions de travails et enfin comment l’auteur critique l’atmosphère du travail des mineurs.
Premièrement, dès le début de l’extrait nous pouvons remarquer, un Maheu qui souffre avec la phrase qui ouvre l’extrait : « C’était Maheu qui souffrait le plus » le fait que cette phrase soit en début de texte et qu’elle montre un personnage qui souffre nous pouvons d’ores et déjà dire que Maheu est un personnage pathétique (ce sentiment grandira petit à petit dans cet extrait). Cette phrase est suivit par une énumération parlant des conditions de travaille de Maheu, accentuant le coté pathétique, mais surtout nous éprouvons de la compassion et de la pitié. Les jugements du personnages sont ensuite redressés a travers la phrase : « Il ne voulait pas lâcher son havage. » qui nous démontre un personnage courageux avec un mental d’acier on lui attribue de la reconnaissance. Maheu est quelqu'un de déterminé, il apparaît presque comme un modèle a suivre malgré que les conditions de travailles sont contre lui, c’est ce qui nous amènes parlez de celles-ci ;
Nous venons de voir que Maheu était un personnage courageux et déterminé, malgré qu’il subit une oppression des éléments naturels.
Ensuite, au fil de l’extrait les éléments naturels sont de plus en, plus importants et de plus en plus impressionnant ils sont personnifiés en un personnage dans une atmosphère a obscurité mortifère, comme on peux le remarquer avec la phrase : «Les bruits prenaient une sonorité rauque, sans un écho dans l'air mort.» cette phrase est suivit d’une énumération qui pèse sur les ouvriers et sur Maheu : « Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. » dans cette phrase le situation est de pire en pire, on s’approche d’une atmosphère où l’enfer règne, en effet a la fin de cet extrait il y a même des formes spectrales qui sont évoquées.
On peut dire que les éléments naturels sont ici personnifiés en la société et plus particulièrement ils personnifient les riches qui oppressent les pauvres, les murs de la mine font ressentir cet aspect
La situations qui règne a la fin de cet extrait est presque une atmosphère apocalyptique, on pourrait presque croire que Maheu est dans un monde des morts, on en oublierai presque qu’il est mineur.
Pour conclure nous pouvons dire qu’ici Emile Zola dénonce le travail et les conditions de tavail dans les quels les mineurs s’exerce,et grâce aux figures de styles il dennonce égalment les riches dans la société.
Antoine: beaucoup de fautes de syntaxe. Il manque des figures de style plus précises. Cependant, il y a un effort d'interprétation louable. 6/16
Aurélien: devoir inachevé. Cependant, tu adoptes bien le point de vue du lecteur. Attention à faire des analyses de citations plus précises. 6/16
Quentin: devoir inachevé. Il faut davantage développer les interprétations en prenant le point de vue du lecteur. Un assez bon plan. 8/16 ;-)
Xavier: ce n'est pas un commentaire!! tu ne prends pas appui sur le texte! Attention!! 3/16
Alexis: attention à la fin du commentaire qui n'a rien d'un commentaire. On ne demande pas d'avoir une réflexion sur les mineurs mais d'analyser un texte précisément. Beaucoup de fautes de vocabulaire. Le début du devoir est plus intéressant mais il faudrait relier les grands axes et donc la transition à la problématique. 7/16
Nabil: de la paraphrase. Le texte n'est pas commenté mais il est raconté. Tu ne décris pas ce que ressent le lecteur. 5/16
Charlotte: un bon niveau d'interprétation. Cependant, il faut éviter cette impression de paragraphes qu'on rajoute: il faudrait relier la réflexion à la problématique et rappeler ce fil rouge tout au long du devoir pour maintenir une cohérence plus forte. 12/16 :mdr:
Agathe: pas vraiment de différences entre les deux parties. Cependant, bonne conclusion et bonne démarche dans le commentaire. 10/16. O-)
Commentaires
Feuille de route pour la question transversale.
- copier la question du sujet (avant de lire les textes)
- copier dans chaque texte deux citations qui vous semblent répondre à la question en justifiant vos choix (sans rédiger: "image de la société....")
- proposer un plan pour répondre (à envoyer sur le blog)
- choisir le meilleur plan et rédiger (réponse à envoyer)
I : contraste riche pauvre, injustice image péjorative de la société. (A,D)
II : difficulté de survivre dans la société en étant pauvre (A,B) ..
I – Les textes 1 et 4 donnent l’image d’une société qui aime l’argent.
1) Texte 1 : personnages qui favorisent l’argent à la famille « Nous ne pardonnons pas… qu’à un homme de ne pas avoir un sous sur lui »
2) Texte 4 : Des personnages montrant des inégalité sociale : « Les pauvres veulent être riches, les riches ne veulent pas être pauvres. »
II – Les textes 1 et 3 donnent l’image d’une société de privilèges.
1) Texte 1 : Le père, Goriot, marie ses filles à des personnage de haut rang.
2) Texte 3 : Le mariage de George Duroy lui apporte un prestige social « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui ».
III- Le texte 2 reflète une image de la société négative :
1) Le texte montre les bas fond de la société : les mineur
2) Conditions de travail dégradées : « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. »
Différent de l’image que donne les textes 1, 3 et 4. Mais se rapproche plus du texte 4
I. La société du point de vue des pauvres
- textes B et D
-textes A et C
I) Des personnages impuissants donc image de la société=indifférent
Texte 2=texte 4 ( les riches contrôlent les mineurs et les pauvres)
II) Des personnages voyeurs donc image de la société=d’apparence
Texte 1= Texte 3 ( les individus veulent tout savoir sur les autres )
III) auteurs montrent 2 images de la société
L’impuissance, le conflits, la ressemblance, l’apparence, l’indifférent
( texte 1/3 et texte 2/4 )
I) Le texte de Honoré de Balzac et le texte de Victor Hugo donnent une image d’une société riche.
1) Le texte 1 dépend de l’argent.
2) Inégalités sociales dans le texte 2.
II) Le texte de Honoré de Balzac et de Guy de Maupassant lie amour et argent.
1) Le père Goriot à pour but de marié ses filles à des hommes de haut rang.
2) Le mariage de Georges Duroy presque hypocrite.
III) Le texte de Emile Zola qui ne fait pas référence à une société riche contrairement au texte de Guy de Maupassant.
1) Travail acharné de la part du Maheu.
2) Mariage de Georges Duroy qui mène à la tromperie.
Plan
I Le reflet de la société par un pauvre
Texte D vue d’un pauvre -->
Texte B
II Le reflet de la société aisée
Texte C
III Le reflet de la société Solidaire
Texte A
Texte B
I : L’image d’une société hypocrite
II : L’image d’une société inégale et incohérente
III : L’image d’une société manipulatrice
Annonce du plan :
I) Une société pauvre qui souffre
- Texte B : Germinal de Zola : Maheu est mineur, travail difficile et long, il souffre « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. »
- Texte D : Quatre-vingt-treize de Victor Hugo : Différence de classe sociale entre les personnage. Tellmarch = fragile contrairement au marquis « moi, je commence à ne plus marcher ; au bout d'un quart de lieue je suis las. »
II) Une société riche critiquée
- Texte A : Le père Goriot de Honoré de Balzac : Père Goriot critiqué par la duchesse de Langeais « a commencé sa fortune par vendre dans ce temps-là des farines dix fois plus qu'elles ne lui coûtaient. »
- Texte C : Bel Ami de Maupassant : Georges Duroy, à peine marié désire une autre femme « il aperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu'il lui avait donnés, » critique de Maupassant « Georges, affolé de joie, se croyait un roi qu'un peuple venait acclamer »
Rédiger la réponse à la question transversale.
- une introduction: en une seule phrase qui présente la question posée;
- le développement:
brèves et peu nombreuses (3, 4 maximum)
attention à l'insertion de ces citations:http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/IMG/pdf/76_bien_rediger_et_inserer_des_citations.pdf
citation analysée
- la conclusion; deux phrases:
A travers ces textes, la société est décrite différemment mais cependant celle-ci est critiquée, elle est abrutie par le pouvoir et l’argent.
Tout d’abord Le texte A, de Balzac (1835) montre l’importance de l’argent dans la société :
un homme riche est reconnu mais lorsqu’il perdra sa richesse il sera traité sans aucun doute comme un pauvre homme. L’argent et le pouvoir font de quelqu’un un homme important ou non. Il montre cela à travers le fait que l’argent serait meme plus important que la famille. Dans ce texte, les filles sont riches et ne semblent n’avoir plus aucune valeur.
Le texte 4 de Victor Hugo, (1874) montre le fait que le personnage pauvre est passif à la situation : « Je ne m'en mêle pas », le personnage pauvre sera moins bien entretenue que le riche. Malgré tout, il accepte la situation car il ne semble rien pouvoir faire …
Puis, L’image de la société privilégie ceux qui ont de l’argent, dans le premier texte tout d’abord lorsque le père Goriot marie ses filles à des hommes haut placés dans cette société, le père Goriot n’a plus de richesse, il est donc considéré comme « inutile » et sans intérêt même pour ses propres filles.
Le texte 3 de Maupassant 1885, Georges se marie nous pas par amour mais par intérêt, en effet ce mariage lui rapporte reconnaissance et lui donne du pouvoir, un prestige social qui a, pour lui une importance considérable.
Enfin, le texte 2 de Zola (1885), montre le travail pénible et insoutenable des mineurs, qui travaillent dur, mais qui ne sont pas reconnu pour leur mérite, mais bien pour être des personnes pauvres. On ne se soucie pas d’eux et leurs conditions de travail qui sont déplorables pour un salaire misérable montre les inégalités et le rabaissement des pauvres. Celui-ci s’écarte des textes 1,3 mais ce raproche tout de même du 4.
La société est très inégal, les personne de la classes ouvrières ne sont pas traités à leur juste valeur, le 1er texte nous démontre bien cela, cela existe depuis toujours et au jours d’aujourd’hui encore, les milieu défavorisés sont écartés de la société et sont moins « importants » que les catégories sociales supérieurs.
Nous allons dans chacun de ces textes, expliquer comment les romanciers montrent, à travers leurs personnages, une image de la société.
Tout d’abord nous allons parler de l’image d’une société hypocrite.
Le texte A d’Honoré de Balzac, Le Père Goriot écrit en 1835 favorise l’argent à la famille « Nous ne pardonnons pas… qu’à un homme de ne pas avoir un sous sur lui ». En effet les filles du père Goriot marié à des hommes de hauts rangs ont délaissé ce vielle homme qui leur a tout donné pour le bien de leur mariage, qui est lisible à travers cette citation « Ce père avait tout donné. Il avait donné pendant vingt ans, ses entrailles, son amour ; il avait donné sa fortune en un jour. Le citron bien pressé, ses filles ont laissé le zeste au coin des rues. » alors que le texte C de Guy de Maupassant, Bel Ami écrit en 1885, met en valeur les richesses et les intérêts que produit le mariage. Il lui apporte un prestige social « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui ».
Pour poursuivre, nous allons parler de l’image d’une société inégale et incohérente.
Le Texte B d’Emile Zola, Germinal écrit en 1885 met en valeur un travail pénible, dangereux, physique et sale. Il implique le supplice de la goutte d’eau, une torture utilisé dans certaines guerres et met en valeur des conditions de travail dégradées, ou l’air de ne circulait pas et l’étouffement à la longue devenait mortelle. Contrairement au texte B, le Texte D de Victor Hugo, Quatre-vingt-treize écrit en 1874 traite des inégalités sociaux à une époque royaliste ou le contraste entre les pauvres et les riches est flagrant : « Les pauvres veulent être riches, les riches ne veulent pas être pauvres. ». Cette antiphrase permet d’insister sur cette société contrastée.
En comparant les textes A, B, C, et D nous allons monter les différentes images de la société que nous donnent les romanciers à travers leurs personnages.
Tout d’abord le texte A, Le père Goriot de Honoré de Balzac datant de 1835, et le texte D, Quatrevingt-treize de Victor Hugo datant de 1874, nous donne l’image d’une société qui aime l’argent.
Le texte A nous présente des personnages, les filles du père Goriot, qui privilégient l’argent à leur famille. « Nous ne pardonnons pas plus à un sentiment de s'être montré tout entier qu'à un homme de ne pas avoir un sou à lui », par la négation du verbe « pardonner » dans cette phrase, nous avons l’image d’une société intransigeante, cette citation met en avant les mot « sentiment » et « sous » en les opposant ce qui renforce l’image d’une société avare. Cependant dans ce texte nous avons deux images, celui de le Duchesse de Langeais, qui donne une image négative du père Goriot en sous entendant qu’il a mérité sa ruine, contradictoire avec l’image du père Goriot, aimant, et qui s’est sacrifié pour assurer le bonheur de ses filles. Par ailleurs le texte D est différent et nous montre par le dialogue d’un marquis et d’un mendiant une société avec de forte inégalité sociale. « Mais les riches, ça a sur nous un avantage, c'est que ça mange tous les jours. Manger conserve. » Dans cette réplique du marquis, les mots « riche », « manger » et « conserver » sont liés. Ceci nous renforce dans l’idée que pour survivre dans cette société, il n’y a qu’un seul moyen être riche.
De plus les textes A et C, Bel Ami de Guy de Maupassant datant de 1885 donnent au lecteur l’image d’une société de privilèges. Dans le texte A, le père Goriot marie ses filles à des hommes de haut rang afin d’accroître sa fortune. Par ailleurs le lecteur ne doit pas oublier que c’est la duchesse de Langeais le narrateur. Elle est riche. Ce texte est une texte de critique, on peut donc en conclure que les riches peuvent se permettre de critiquer des personnages victime de la fatalité comme le père Goriot. Cependant le texte C n’est pas une critique des pauvres comme dans le texte A. Dans le texte C, le lecteur est face à un personnage qui ne s’intéresse presque qu’à lui-même « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui ». A travers son mariage, George Duroy bénéficie d’un prestige sociale, il se prend pour un « roi », se voit déjà « député », choses qu’il n’aurait pas pu envisager avant de s’être élevé dans la société. Tout ceci renforce l’image d’une société de privilège, diriger par les riches, des élites.
Pour finir, le texte B, Germinal de Emile Zola datant de 1885 reflète l’image d’une société négative. Ce texte est en tout point différent des texte A, C, et D car il présente au lecteur les bas fond de la société, des personnages oubliés. Dans ce texte le personnage de Maheu est victime de conditions de travail déplorable, « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. », ce qui renforce l’image d’une société de privilège et qui aime l’argent, donc peu attentive à son peuple. Dans ce texte comme dans le texte D, les pauvres souffrent.
Les texte A, B, C, et D nous montre différentes images de la société, mais cependant assez similaire. Une société de privilèges, d’inégalité sociale. Cependant le texte qui attire le plus l’attention du lecteur est le texte B car dans ce texte la société définit par les autres textes est absentes.
Nous allons présentés les différentes facettes d'une société, à la même époque, à travers différents textes.
Tout d'abord, nous allons commencer par les textes 1 de Honoré de Balzac du roman « Le père Goriot » écrit en 1835 et le texte 4 de Victor Hugo tiré du texte Quatrevingt-treize écrit en 1874.
En effet, ces deux textes donnent une image d'une société riche aimant l'argent . Dans le texte 1, le père Goriot qui a marié ses filles à des jeunes hommes de haut rang est délaissé par celle-ci. « Ce père avait tout donné. Il avait donné pendant vingt ans, ses entrailles, son amour ; il avait donné sa fortune en un jour. Le citron bien pressé, ses filles ont laissé le zeste au coin des rues. » cette citation nous confirme que le Père Goriot est prêt à tout pour ses filles. Malgré cela, l'argent à pris le dessus et ses filles n'en n'ont que pour l'argent. Le père Goriot fini donc pauvre. Dans le texte 4, l'inégalité sociale est mise en avant. Il s'agit d'un dialogue entre un mendiant et un bourgeois. A travers ce texte, le mendiant fait partager le surnom qu'on lui donne « Voilà quarante ans qu'on m'appelle le Vieux » alors qu'il a le même age que le marquis. Le marquis lui fait donc savoir qu'ils ont le même age mais le mendiant lui explique que c'est parce-qu'il mange à sa faim. En effet, l'inégalité sociale dans ce texte prône, le mendiant explique que «les auvres veulent être riches, les riches ne veulent pas être pauvres. ».
Parlons maintenant du texte A et C qui lient tout deux amour et argent. Dans ces deux textes on peut observer le rapport entre amour et argent. Dans le texte A, le père Goriot qui a tout donné à ses filles à pour but de marié celle-ci à des hommes de haut-rang. On en conclut donc qu'il veut une belle vie pour chacune de ses filles quitte à se faire « oub lier ». « En voyant ses filles contentes, il comprit qu'il avait bien fait. » Pour le texte C, le mariage de Georges Duroy nous permet de voir que c'est un amour hypocrite qui prône ici . Georges Duroy homme riche,sur le point de se marier, retombe amoureux de sa maîtresse. : « Je t'aime toujours, je suis à toi ! ». Celui-ci ne se rend pas compte du mal qu'il peut faire autour de lui et sa richesse lui permet de faire ce qu'il veut. Il peut très bien annulé son mariage. Rien ne le touche ni même son prestige sociale.
A travers ces trois textes nous avons vu la richesse d'une société mais maintenant parlons d'une société négative celui du texte 2. En effet, ce texte présente un personnage le Maheu qui est mineur. Il n'est pas riche, loin de là, et à la vie dur. Il ne connaît pas ce qu'est la richesse, ce que c'est de ne pas travailler et ne le connaitrera surement jamais. Le Maheu se tuant à la tâche chaque jour, nous montre qu'il a du mal à travailler sous cette fumé « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. ». Le Maheu est donc victime de situations de travail déplorable.
Enfin, ces différents textes nous montre un société assez différentes. On observe que tout tourne autour de l'argent. On en conclut donc à travers ces différents texte que l'argent fait et ne fait pas le bonheur. Le texte le plus indicateurs serai celui de Victor Hugo montrant un dialogue entre un marquis et un mendiant .
Question transversale :
On nous demande comment les romanciers donnent une image de la société à travers leurs personnages
A travers ces différents textes, une société pauvre et souffrante est représentée. En effet, nous observons que le texte B, Germinal de Emile Zola écrit en 1885 montre un mineur qui se nomme Maheu. Cet homme semble souffrir « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. » Par cette citation, Zola évoque les conditions extrêmement difficiles que subit Maheu. De plus, le texte D, Quatre-vingt-treize de Victor Hugo écrit en 1874 nous expose également cette société pauvre qui souffre à travers le mendiant Tellmarch.Ce personnage est représenté comme fragile et fatigué contrairement au marquis « moi, je commence à ne plus marcher ; au bout d'un quart de lieue je suis las. » . Enfin le texte A, Le père Goriot de Honoré de Balzac écrit en 1835 représente à son tour cette société souffrante et pauvre. Le personnage du père Goriot nous est décrit par la duchesse de langeais presque de manière péjorative alors que c’est un personnage pathétique. Après avoir donner toute sa fortune à ses filles, il se retrouve pauvre et rejeté par celles- ci.
Une société riche est critiquée à travers les textes qui composent le corpus. Tout d’abord, nous remarquons que dans le texte C, Bel Ami de Maupassant écrit en 1885, le personnage de Georges Duroy semble critiqué par l’auteur. En effet il apparaît comme un personnage profiteur. Il est l’auteur d’un mariage arrangé, et pendant ce mariage il se met à désirer une autre femme « Ilperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu'il lui avait donnés, ». Maupassant critique cette société riche à travers ce personnage « Georges, affolé de joie, se croyait un roi qu'un peuple venait acclamer ». Nous comprenons que l’auteur se moque de cette société.
Ce corpus montre également une différence sociale entre les textes. En effet, dans le texte D de Hugo, une opposition de ces deux classes sociales est présente entre le marquis qui est personnage noble et le mendiant Tellmarch.
Les romanciers parviennent à donner une certaine image de la société en se servant de leurs personnages. A travers le texte C, Maupassant veut critiquer cette société riche, il se sert donc du personnage Georges Duroy pour donner l'image souhaitée de cette société
Question Transversale
Nous allons étudier un corpus traitant sur la société présenté a travers différents personnages on nous demande d’étudier les visions que ces textes nous donnent de la société.
Tout d’abord, dans ces textes on voit la société divisé en deux partie d’un coté les plus pauvres, de l’autre les plus aisés. La société est reflété de différente manière on peut la trouver négatif mais réaliste quand elle viens d’un pauvre, dans le texte D de Victor Hugo intitulé Quatrevingt-treize de 1874 le point de vue de la société est très nul comme nous l’affirme Tellmarch qui est lui-même insulté depuis quarante ans. Il est appeler le Caimand de plus la société est sans pitié et valorise des riches «pour un méchant coup de fusil tiré à un chevreuil du roi, j'ai vu pendre un homme qui avait une femme et sept enfants». Un simple coup de fusil sur un chevreuil mérite-il la mort d’un père de famille ? Aurai-t-il eu le même châtiment s’il avait été riche ? La société est sans pitié quand il s’agit d’une personne pauvre. D’autre part cet homme qui n’arrive même plus a marché, a cause du fait qu’il ne puisse même pas manger contrairement au riche, La Différence de classe sociale entre les personnages. Tellmarch est fragile contrairement au marquis de Lantenac. De même dans le texte B d’Emile Zola intitulé Germinal datant de 1885 des hommes comme Maheu des mineurs travaillant dans les pire condition de travaille des condition dangereux, pénible et sale a forte température et les mineur doivent résister aux Supplice de la goutte d’eau.
Malgré cela certains pauvres restent solidaire entre eux, comme dans le texte A Le père Goriot de Balzac cet homme ayant connu la pauvreté cet homme ayant tout fait pour le bonheur de ces fille « Ce père avait tout donné. Il avait donné pendant vingt ans, ses entrailles, son amour ; il avait donné sa fortune en un jour» Pour quoi au final rien, dans la même famille on nous renvoi deux image complètement différente d’une part une solidarité et d’autre part rien en retour. On a l’impression qu’il a été manipulé, l’amour de ses fille était avec de faux sentiments elles aimaient plus l’argent que leur père. Dans le texte B les mineurs aide Maheu «Ils tapaient tous».
Ensuite dans le Texte C de Guy de Maupassant, Bel Ami, 1885 cette société riche qui s’assemble pour avoir plus d’argent, c’est un mariage par intérêt.
En conclusion, le peuple est divisé en plusieurs rang et chacun reflet sa société, le texte D est le plus pertinents il est réaliste.
Dans ces quatre textes nous pouvons remarquer des différences sociales entres plusieurs personnages, nous allons voir l’image de la société transmis par ces derniers.
Il est vrai que dans le texte A de Honoré de Balzac, Monsieur Moriot est très jugé, nous pouvons relever : « sa fortune par vendre dans ce temps-là des farines dix fois plus qu'elles ne lui coûtaient » le narrateur accentue son jugement avec « qu’elles ne lui coûtaient.»
Monsieur Moriot est également jugé par ses filles, qui ont honte de lui, c’est pourquoi il donnera tout a ses filles. Il y a une preuve de générosité venant du père car les riches de l’époque pensaient beaucoup a eux, chose qui est démontré dans le texte C de Maupassant où le personnages mit en scène Gorges du Roy ce marie par intérêt. En effet Bel ami ce voit comme un roi notamment avec : « se croyait un roi qu'un peuple venait acclamer » ici Bel ami cherche le pouvoir, et l’argent d’où ce mariage pour avancer dans l’échelle sociale puisque la femme épousé est noble. Le fait que Bel Ami voit sa maîtresse et ai un désire de retrouver les sensations qu’il a eu avec elle s’ajoute au fait que le mariage sois faux.
Dans ces deux textes nous avons a faire a deux riches d’un coté un riche avec du cœur qui porte un intérêt a l’amour et a ces valeurs de l’autre un riche qui ne cherche que pouvoir richesse et noblesse.
Plus particulièrement dans le texte D où il y a un discours entre un pauvre et un riche. Dans ce texte le pauvre est perçu comme quelqu'un de libre, errant vivant de ce qu’il trouve. Il reflète un coté bohémien et aventurier de la société (qui a beaucoup était en avant par l’auteur Arthur Rimbaud dans ces poésies) ce coté confirme avec la réplique : « Vous comprenez, je ne sais pas au juste, on va, on vient, il se passe des choses ; moi, je suis là sous les étoiles. » Le « on va, on vient » et « sous les étoiles » peut être clairement qualifié de lyrisme bucolique. Donc dans ce texte le pauvre est perçu comme une mendiant (ce de quoi il est qualifié dans le texte) quelqu’un qui parcours le monde, qui va de ville en ville. Qui profite de la vie même si le fait qu’il n’a pas d’argent l’empêche de subvenir a ses besoins capitaux notamment pour ce quoi est de la nourriture.
Le pauvre dans cette société a un autre point de vue, en effet dans le texte B d’Émile Zola, le pauvre est perçu comme un travailleur, quelqu'un qui lutte pour vie, il survie même. Cette idée est démontré avec : « il n'y avait plus que le halètement des poitrines, le grognement de gêne et de fatigue » cette citation montre un homme qui souffre mais qui continue de ce battre pour son gagne pain l’effet de combativité est mis en avant par : « Il ne voulait pas lâcher son havage » ici Maheu ne veut pas et refuse d’abandonner.
Dans ces deux textes mettant en avant de pauvre, nous pouvons distinguer deux sortes de pauvres, la pauvre qui ne cherche pas a remonter la pompe il ce laisse vire, c’est bien sur Tellmarch qui démontre ceci. Et a coté de ça nous avons l’ouvrier pauvre qui va dans les mines qui ce bat pour vire, qui survie et est plein d’espoir et a de la hargne.
On nous demande de donner l’image de la société de chaque texte à travers les personnages.
Dans les textes A, B, D ; Zola, Hugo et Balzac nous montrent des personnages impuissants, écrasés par les riches, parfois indifférent et « Pas une parole n’était échangée » entre eux. Emile Zola dans son œuvre Germinal de 1885, nous montrent une société de taupes qui vivent sous terres, qui souffre et qui n’est pas solidaire, si on fit à cet extrait alors que Hugo et Balzac nous montrent une société plus positive que Zola fait. En effet dans l’extrait de Germinal, tous les personnages sont impuissant, alors que Honoré de Balzac dans son œuvre Le Père Goriot de 1835, nous montrent un seul personnage qui souffre, de tout le monde rejette en disant mal son nom et en rajoutant un article démonstratif avec « ce Moriot, Ce Goriot et ce Loriot », en l’écartant car ses filles ont hontes et veulent que leurs maris réussissent, mais Goriot reste solidaire malgré que de les autres lui font, en donnant tous à ses filles alors qu’elles le méritent pas. Cependant, Victor Hugo dans son œuvre Quatrevingt-treize de 1874, il nous montrent un personnage impuissant car il est « Tellmarch » ( vie en marge de la société) et c’est là qu’il montre l’impuissance c’est que malgré cela il dit que lui et Caimand ont le même âge à cause des pauvres qui veulent être riches et les riches qui ne veulent pas être pauvres. ». Enfin, le texte A se rapproche plus du D alors qui a des points communs et des différences avec celui du B.
Dans les textes A et C ; Maupassant et Balzac nous montrent des personnages qui pensent plus aux apparences et à la classe sociale, qu’à la personne. En effet, dans l’œuvre de Balzac, les filles de Goriot et la duchesse de Langeais pensent plus à l’argent qu’à Goriot avec « Nous ne pardonnons pas… qu’à un homme de ne pas avoir un sous sur lui ». Cependant, Guy de Maupassant dans son œuvre Bel ami de 1885 va plus loin de la classe social et être riche, lui dénonce une société d’apparence tout en restant positive. Car Georges du Roy se marie pour être dans la noblesse et peut-être devenir roi.
Feuille de route commentaire :
- Sélectionner trois ou quatre citations du texte qui vous semblent particulièrement frappantes. Associez trois ou quatre mots à chaque citation.
- formuler une problématique : j’ai envie de montrer cela sur le texte….
- Construire un plan en deux ou trois parties avec deux ou trois sous parties : envoyez sur le blog
- Enrichissez vos idées de celles des autres pour aboutir à un plan détaillé
- Rédigez le commentaire : http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/IMG/pdf/12_le_vocabulaire_pour_l_analyse_d_un_texte.pdf
Envoyez sur le blog.
« En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. » : Mort lente
« La roche, au-dessus de lui, à quelques centimètres de son visage, ruisselait d'eau, de grosses gouttes continues et rapides, tombant sur une sorte de rythme entêté, toujours à la même place. » : Torture
« Il ne voulait pas lâcher son havage, il donnait de grands coups, qui le secouaient violemment entre les deux roches, ainsi qu'un puceron pris entre deux feuillets d'un livre, sous la menace d'un aplatissement complet. » : Oppression
« Puis, tout retombait au noir, les rivelaines4 tapaient à grands coups sourds, il n'y avait plus que le halètement des poitrines, le grognement de gêne et de fatigue, sous la pesanteur de l'air et la pluie des sources. » : Cauchemar
J’ai envie de montrer l’accablement de Maheu dans son travail à la mine.
I : Une mort lente
-35°, pas d’air = étouffement
II : Torture et Oppression
-Torture de la goutte d’eau
-Coincé entre 2 rochers + pioche = menace d’un éboulement
III : Un cauchemar
-Noire complet, bruits bizarres (halètements, suffocations, grognements,), pluie et chaleur.
Citations importantes:
- l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel = mort lente
- cette lampe, qui chauffait son crâne, achevait de lui brûler le sang = torture, souffrance
- Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tête violente, barbouillée comme pour un crime = hallucinations, imagination
- Les bruits prenaient une sonorité rauque, sans un écho dans l'air mort = silence, souterrain sombre, seul
J’ai envie de parler de la souffrance, de l’atmosphère et de la solitude que peut éprouver Maheu.
I) Souffrance de Maheu par rapport à l’environnement où il travail
- problème pour respirer, 35 degré, air qui ne circule pas
-espace étroit et sombre
II) Solitude de Maheu par rapport à l’atmosphère de son lieu de travail
-travail seul, aucun dialogue
-hallucination, semble voir des formes
Citations importantes :
- « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel » = mort lente
- « Pas une parole n'était échangée. Ils tapaient tous, on n'entendait que ces coups irréguliers, voilés et comme lointains. » = autre monde, silencieux, rythmé
- « Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. » = atmosphère pesante, monde noir, souterrain
- « Les mèches des lampes, sous leurs chapeaux de toile métallique, n'y mettaient que des points rougeâtres. » = contraste entre la noirceur de la mine et les lampes.
- « Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tête violente, barbouillée comme pour un crime. » = dimension fictive, hallucination, fantôme
Problématique :
Plan :
I-une atmosphère lourde, étouffante :
II- Le silence
I- hallucination du personnage
« C'était Maheu qui souffrait le plus. » --> personnage pathétique aux yeux du lecteur
« Mais son supplice s'aggravait surtout de l'humidité. » désagréable, torture
Quelle est l’importance des éléments naturels ?
Plan :
I) Maheu, personnage courageux
II) Conditions de travail insupportable
Éléments naturels qui dérangent, qui le font souffrir
III) Critique du travail de mineur
Xavier : trop de banalités qui n’ont pas vraiment de rapport avec la question (l’image de la société). Il faut davantage travailler la COMPARAISON entre les textes et revoir la présentation : faire un paragraphe par partie. 1/4
Alexis : les rapports d’opposition entre les textes manquent de logique ! Des réflexions un peu hors sujet (la torture de la goutte d’eau utilisée dans certaines guerres…). C’est surtout le manque de cohérence d’ensemble et le manque d’analyse qui est problématique. ¼
Charlotte : un très bon niveau d’analyse. 4/4 :mdr:
Agathe : attention : le marquis appartient à la noblesse et non à la bourgeoisie. Des banalités ! il faut être plus précise dans la réponse à la question.1 / 4
Quentin : les deux premières parties sont intéressantes. Bonne compréhension de l’exercice. 3 / 4 ;-)
Nabil : le texte de Maupassant n’est pas assez exploité. C’est dommage. Il faudrait élever le niveau de langue et prendre plus de distance (pas de questions, ni de réflexion hors sujet). 2 /4 :siffle:
Antoine : Attention à ne pas perdre la question de vue. Il faut reprendre les termes de la question régulièrement dans la réponse. 3 / 4 O-)
Aurélien : une analyse très fine du corpus avec des réflexions pertinentes. Cependant, le devoir reste inachevé et moins bien maîtrisé sur la fin. 3 /4 O-)
« C'était Maheu qui souffrait le plus. En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas » de la compassion, de la pitié, on a envie de l’aider.
« Il ne voulait pas lâcher son havage. » hargneux, de la reconnaissance, quelqu'un de déterminé.
« Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. » de pire en pire, énumération
J’ai envie de parler du travail pénible et des conditions subis par Maheu :
1. Les conditions de travail de Maheu
, l'étouffement à la longue devenait mortel. Lassé, supporte plus la situation.
ainsi qu'un puceron pris entre deux feuillets d'un livre : représente rien dans la société, pas important.
: elles battaient sa face : la situation consume maheu, comme la situation avec la société
j’ai envi de montrer la non-reconnaissance de la société sur les pauvres, qui est une classe sociale renier de la société.
I : travail dur, conditions méprisable pour une reconnaissance faible et une faible rénumération.
II : sentiment d’être victime de la société, une partie est privilégiés (riches) et une autre est renier.
III : être de famille bourgeoise, pas besoins de qualification, piston, vie facile
J’ai envie de montrer sur ce texte que c’est un monde grand, froid, uniforme, étouffante, floue.
I) Monde lourd / étouffante
1) Monde à la température haute « jusqu’à trente-cinq degrés »
2) Monde
II)Monde floue et imprécis
1) Monde où règne les ténèbres
2) Monde épais et poussièrreux
III)Monde grand / froid et uniforme
1) Monde où règne l’hiver
2) Monde grand et froid
Voici le temps de la rédaction du commentaire.
A la fin de la séance, il faut envoyer sur le blog un devoir complet qui comprend:
- une introduction (voir vocabulaire ci-dessous)
- un développement en deux ou trois parties avec une transition (un court paragraphe d'une ou deux phrases qui rappellent ce que vous avez voulu dire dans la 1ère partie et annonce ce qui duit) entre les parties.
- une conclusion (bilan et ouverture: pourquoi pas sur la BD)
Pour vous donner des pistes:
http://www.weblettres.net/blogs/art...
Les tournures utiles du commentaire
Dans une introduction :
- pour présenter un texte :
• Le texte ……extrait de ……………………a été écrit par………….en……….
• Le passage qui nous est proposé est extrait de ………………/ se situe au chapitre………/ correspond à l’épisode de…………………
• Cet extrait traite du thème de ………………………Il parle de ………………..
• Dans cet extrait, l’auteur développe l’idée selon laquelle…………………./ évoque ……………./ expose sa vision de ……………………..
• Le lecteur est d’emblée frappé par…………. / peut ressentir à la lecture de ce texte…………
- pour dégager les enjeux du texte et annoncer la problématique :
• on peut donc dégager un enjeu essentiel dans ce texte :…………..
• ce passage présente donc un double enjeu………
• on peut donc se demander si………………………….
• La question que l’on peut se poser alors, c’est………………………..
• Il semble donc que le texte s’oriente autour de la problématique suivante :……………
- pour annoncer le plan du commentaire
• c’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord étudier/ examiner/ s’intéresser à/ voir/expliquer/ se demander comment
• Dans un deuxième temps, on montrera / analysera/ mettra en évidence
• Enfin, on pourra/ il sera possible de/ il conviendra de………..
Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux.
Environnement = voilé / floue / imprécis /
En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel.
Environnement = lourd / étouffante / malaise / désagréable
On ne distinguait rien, la taille s'ouvrait, montait ainsi qu'une large cheminée, plate et oblique, où la suie de dix hivers aurait amassé une nuit profonde
Environnement ( monde ) = grand / froid / uniforme
http://www.lyc-descartes-montigny.a...
Le texte Germinal extrait du livre de Emile Zola a été écrit en 1885. Cet extrait du livre nous présente Maheu, un mineur travaillant dans un environnement sale et insalubre. L'auteur expose sa vision du travail aux mines en nous faisant part des différentes facettes de ce métier. Dans ce commentaire, nous allons donc analyser l’environnement où travail Maheu en s'appuyant sur la solitude et la souffrance que peut éprouver celui-ci. Ce que cela peut engendrer sur le lecteur. Nous allons aussi parler du cotés hallucinatoire du récit, ce que Maheu ressent quand il est seul au fond de la mine sans aucun bruit. Enfin, nous parlerons de la tournure cauchemardesque que prend le récit. Il semble donc que le texte s'oriente autour de la problématique suivante : l'envie de parler de la souffrance, de la solitude et de l'atmosphère que peut éprouver Maheu.
Dans un premier temps, nous allons analyser la solitude et la souffrance que peut ressentir Maheu par rapport à l'environnement de son travail. En effet, « l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel » nous permet de comprendre que l'environnement où travail Maheu est déplorable. Maheu souffre et lutte contre cela. Son espace est limité, étroit. Cela peut engendrer une sorte d'oppression par rapport au lecteur, une gêne. Maheu souffre, il fait sombre et n'a pas d'autre choix que de « fixer sa lampe à un clou, près de sa tête ; et cette lampe, qui chauffait son crâne, achevait de lui brûler le sang. ». Dans cette citation les mots « bruler », « sang », « chauffer son crâne » accentu le fait que Maheu souffre. Celui-ci travaillant seul ne peut donc pas discuter. C'est donc pour cela qu'il n'y a pas de dialogue et donc beaucoup de description. Ces descriptions rendent vivantes le texte et nous permet de nous renseigner sur les conditions de travail de Maheu. « Mais son supplice s'aggravait surtout de l'humidité » On peut observer aussi une souffrance physique mais aussi mentale. Physique par rapport à l'endroit étroit où il se trouve « Il avait beau tordre le cou, renverser la nuque : elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient sans relâche » mais aussi mentale par rapport à l'effort qu'il fourni pour continuer à travailler. Cet extrait peut faire dégager une sorte de gêne par le lecteur mais aussi une sorte de pitié que peut l'on peut ressentir à l'égard de Maheu.
Dans ce premier paragraphe nous avons parlés de la souffrance et de la solitude qu'éprouve Maheu. Maintenant nous allons analysés le cotés cauchemardesque et hallucinatoire de ce récit.
Dans cette partie nous allons parlés de ce que entend et voit Maheu. En effet, il croit voir « Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tête violente, barbouillée comme pour un crime. » qui peut nous faire pensé qu'il commence à avoir des hallucinations sous l'effet pesant de son travail. On pourrait penser qu'il fait ressortir le coté cauchemardesque de son travail en rappelant qu'il est toujours dans des conditions de travail insalubre. Maheu toujours seul et sous cette chaleur insoutenable croit entendre des bruits « Les bruits prenaient une sonorité rauque, sans un écho dans l'air mort. ». Dans cette citation le champ lexical de la mort est mis en avant ce qui fait ressentir de la compassion envers Maheu. Le lecteur est oppressé, gêné, mal à l'aise par rapport aux descriptions de Maheu.
En conclusion, Maheu nous fait partager à travers ses descriptions un monde qui nous est tout à fait inconnu. Il met en avant ses sentiments de souffrances, de solitude, l'atmosphère de son travail et ce que cela peut produire sur son comportement dans la mine. Il nous fait partager aussi les conditions dans lesquelles il travail. La lecture de ce récit peut mettre en avant une sorte de gêne et de compassion de la part du lecteur. C'est donc pour cela que le lien avec le texte de Victor Hugo « quatrevingt-treize » peut-être intéressant. En effet, nous pouvons comparés les deux situations entre le mendiants qui lui est pauvre et Maheu . Ils mettent tout deux en avant, qu'ils sont affaiblis par le travail. Leur situation est un peu la même, malgré que Maheu est quand même celui qui souffre le plus. Le mendiant et Maheu sont donc deux personnages abimés par la pauvretés et le travail.
Ce texte est un extrait de Germinal de Emile Datant de 1885. Ce texte nous présente le personnage de Maheu, un mineur et de son environnement de travail. Dans ce commentaire nous allons étudiez la dimension fictive et hallucinatoire, cauchemardesque que prend le texte ainsi que de son atmosphère pesante et des conséquences que cela peut avoir sur le lecteur. Dans un premier temps nous allons parler de l’atmosphère lourde et pesante qui se dégage du texte en analysant l’environnement de travail de Maheu, son ressenti et l’importance des éléments naturels. Dans un second temps on mettra en avant le silence du texte exprimé par le manque de dialogue. Et pour finir nous allons parler de la dimension fictive, cauchemardesque que prend le texte.
Dans ce paragraphe nous allons étudiez l’atmosphère lourde et pesante qui se dégage du texte. En effet les condition de travail de Maheu sont déplorables « la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel ». Dans cette citation les mots employés sont fort : « étouffement », « mortel », ce qui peut déranger le lecteur, qui peu pensé qu’il assiste à une mort lente du personnage à travers le champs lexicale de la mort. De plus la mine peut être associé à un couloir. «La roche, au-dessus de lui, à quelques centimètres de son visage », dans cette phrase l’expression la plus frappante est « à quelques centimètres de son visage », a travers elle le lecteur est frappé par la proximité de la paroi et du personnage, ce qui va faire que le lecteur peu se sentir oppressé par ce texte car l’environnement de travail de Maheu est restreint. Par ailleurs dans ce texte, les éléments naturels occupent une place importante et on les retrouve tout au long de la lecture : « humidité », « ruisselait d'eau », «il était trempé », « couvert de sueur », « la température montait jusqu'à trente-cinq degrés ». Grâce à ces citations on peut arriver à la conclusion que les éléments naturels sont l’une des causes principales de la souffrance de Maheu « une goutte, s'acharnant dans son œil, le faisait jurer », ce qui en fait un personnage pathétique au yeux du lecteur.
Dans cette partie nous avons démontré que le texte présente une atmosphère pesante et lourde.
Dans cette partie nous allons nous intéresser au silence présent dans ce texte. En effet ce texte est un texte descriptif, il n’y a aucun dialogue. Cependant ce « silence » est renforcé par la description qu’effectue Maheu « Pas une parole n'était échangée ». A travers cette phrase et surtout à cause de l ‘expression « n’était échangée », le lecteur ressent la solitude du personnage et peu se sentir seul lui aussi. Par ailleurs ce silence est en contradiction avec le travail de Maheu et de ses collègues « Ils tapaient tous, on n'entendait que ces coups irréguliers, voilés et comme lointains ». Ici la phrase est coupé par plusieurs virgules, ce qui la rythme et peu faire pensé au rythme de travail et des pioches des mineurs. Il y a donc du bruit dans ce silence ce qui peut rendre confus le lecteur : aucune paroles, aucun dialogue mais des bruits bruyant, cassant.
Ainsi nous avons démontré que le silence du texte à une importance dans le texte comme pour le lecteur.
Dans ce paragraphe nous allons intéresser à la dimension fictive, cauchemardesque que prend le texte. En effet l’environnement de travail de Maheu est sombre et comme dépourvu de vie. « Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu », dans cette citation les mots sont forts et lourds de sens, les mots « ténèbres » et « noir » peuvent être assimilés à l’enfer. Cette atmosphère est noire, sans lumière et le destin de Maheu semble sens espoir ce qui peut faire peur et rendre inquiet le lecteur. « Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tête violente, barbouillée comme pour un crime » avec cette citation on voit clairement que le texte prend une dimension fantastique, cauchemardesque, le personnage de Maheu semble avec des hallucinations « des formes spectrales » faisant penser à des fantômes « rondeur de hanche », « bras noueux », prenant formes humaines ce qui rend le texte encore plus terrifiant. De plus les mots de cette citations sont violent « tête violente », « crime », tout ceci peut faire peur et déranger le lecteur. « Les mèches des lampes, sous leurs chapeaux de toile métallique, n'y mettaient que des points rougeâtres » Dans cette citation la couleur qui domine est le rouge « les mèches des lampes », des « points rougeâtres », ce qui peut faire penser au feu et renforcer l’image de l’enfer dans lequel ce trouve le personnage.
Pour conclure ce texte à la fois oppressant, bruyant et silencieux prend les proportions énormes pour le lecteur. Le texte devient à lui seul un cauchemar ambulant ce qui peut déranger le lecteur. Cependant on pourrait comparer cet enfer à l’enfer qu’est en quelque sorte la société définit par le texte du Père Goriot de Honoré le Balzac datant de 1835. Comme pour Germinal, le Père Goriot est un personnage pathétique, qui se sacrifie.
Le texte B extrait de Germinal a été écrit par Emile Zola en 1885. Le passage qui nous est proposé est extrait de la première partie, il se situe dans les premier chapitre correspond à l’épisode ou Maheu est en train de travailler au fond des mines dans des conditions de travail très difficile. Dans cet extrait, l’auteur développe les conditions de travail des mineurs avant la révolution française. Le lecteur est d’emblée frappé par Maheu peut ressentir à la lecture de ce texte de la pitié et l’envi d’aidé les mineurs. La question que l’on peut se poser alors, c’est quelles sont les conditions de travail des mineurs ? C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord s’intéresser à Maheu et dans un deuxième temps on mettra en évidence les conditions de travail et Enfin il conviendra de conclure.
Tout d’abord des le début du texte on fait la connaissance de Maheu un mineur père de famille qui travail dans les mines. Dans le passage il souffre beaucoup, Maheu a du mal a travailler au fond de cette mine de part la température de trente cinq degrés, « Au bout d'un quart d'heure, il était trempé » la mine était donc très sombre et humide. Pauvre Maheu qui est aidé par les autres afin d’évité l’effondrement tout les mineurs tapais tous.
Dans cet extrait nous avons une légère description de la mine, on apprend avec Maheu qu’il fait une chaleur abominable, «l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel» ce qui risque causé des mort lente a cause de toute cet chaleur et ce manque d’air. Une mine sombre étroite et longue. La mine est humide, elle fragilise le bois ce qui met encore plus les mineurs en danger.
Enfin dans Germinal les conditions de travail sont très souvent remis en cause, grâce à la grève, au manifestation qui vont suivre les mineurs obtiendront une hausse de salaire et des mines meilleur cependant toujours dans des états catastrophique.
Le texte B extrait de Germinal a été écrit par Emile Zola en 1885. Le passage qui nous est proposé situe au début du roman. Cet extrait traite le thème du fantastique, il parle d’un homme, Maheu qui travail dans une mine insalubre. Dans cet extrait, l’auteur expose sa vision d’un travailleur « esclave dans une mine ». Le lecteur est d’emblée frappé par un personnage pathétique qui est l’allégorie de l’exploitation. Il semble donc que le texte s’oriente autour de la problématique suivante, qu’elle est l’importance des éléments naturels ? C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord étudier une mort lente. Dans un deuxième temps, on analysera les conditions de travail insupportable. Enfin, il conviendra de critiquer le travail de mineur.
Dans ce paragraphe, nous allons étudier la mort lente que subit Maheu. Nous allons dégager le champ lexical de la torture, de la mort, « l’étouffement », « mortel », « lui brûler le sang », d’embler le lecture est frappé par cette ambiance pesante, en effet le personnage principale semble être accablé par des conditions de travails insolubles, « supplice s'aggravait surtout de l'humidité » comme le souligne cette citation, Maheu subit tous les éléments de la mine qui semblent s’acharnaient sur cette héro. L’humidité, la chaleur, l’air manquant, la chaleur de la lampe, on pourrait conclure que cette mine est une allégorie de l’enfer, que Maheu a vendu son âme en travaillant dans ce magnifique paradis. « C'était Maheu qui souffrait le plus. » Maheu, le héros de la mine, qui se sacrifie en travaillant ardemment au bien être de ses camarades…
Dans le premier paragraphe nous avons parlé de la mort lente que subit Maheu dans la mine, en second lieu nous allons parlé des conditions de travails insupportables.
Dans ce paragraphe, nous allons mettre en valeur des conditions de travails accablantes que subit Maheu. Pour commencer, nous pouvons étudier la façon dont l'auteur décrit l’environnement, en effet Emile Zola permet au lecteur de se situer par rapport à Maheu, il décrit au moindre détails chaque gouttelettes d’eau, son rythme, sa taille, comme nous le montre cette citation : « La roche, au-dessus de lui, à quelques centimètres de son visage, ruisselait d'eau, de grosses gouttes continues et rapides, tombant sur une sorte de rythme entêté, toujours à la même place. » Emile Zola ne s’arrête pas là, il décrit cependant aussi la roche, les parois, qui résonnaient face au bruit des pioches assourdissantes, les poussiers, les ténèbres. Emile Zola incite vraiment sur le fait que cette mine est vraiment un endroit insoluble, étroit, mort vif et cela ce ressent beaucoup au niveau du lecteur.
Dans le deuxième paragraphe nous avons parlé du caractère insupportable de ses conditions de travails, en dernier lieux il conviendra donc de critiqué le travaille de mineur.
Dans ce dernier paragraphe, nous allons mettre en évidence le travaille ardus d’un mineur. En effet, être mineur c’est courrier le risque de mourir, comment ?
Le feu, les explosions, le gaz, l’étouffement, les éboulements… La liste et longue, et le nombre des incidents ne manque pas. C’est un métier risqué, souvent mal payé, les travailleurs se font la plus part du temps exploités bref, il faut être courageux pour si risqué. Maheu lui, est assez fort physiquement et mentalement pour si glissé.
Pour conclure, nous retiendrons que Maheu est un personnage courageux, qu’il subit une mort lente et douloureuse. Pour résumer notre propos, nous dirons que son lieu de travail est apocalyptique, en effet, c’est l’allégorie même de l’enfer ! Au terme de cette étude il apparaît clairement que notre personnage est exploité. Pour clore cette étude, il convient de mettre en évidence le fait que Maheu est un personnage courageux. Il est possible d'établir une correspondance avec le texte de Camus qui traite lui aussi de « l’environnement »
Mais d'une façon toutefois différente puisque le personnages n’est pas dans une mine.
Le texte est extrait de Germinal, écrit par Zola en 1885. l’auteur nous démontre les conditions de travail de la classe ouvrière, plus précisément d’un mineur. Ce texte est engagé et nous montres les inégalités des différentes classes sociales. Maheu est un personnage travaillant dans une mine, il ne supporte plus les conditions de travails, il est comme un esclave, rien ne permet d’ameliorer sa situation et il a un role de victime de la société. Pour cela, nous allons tout d’abord montrer le courage de Maheu face à cette sitution plus qu’insupportable et enfin nous allons parler de l’injustice et du mépris de la société envers une classe social inférieur.
Maheu est un personnage ayant beaucoup de mérite, son courage fait que c’est un homme de respect. Son travail de mineur dans des conditions déplorables, il est comme asphyxié et la mort ne semble pas si loin. Il travail dur et n’obtient aucune reconnaissance pourtant il ne relache pas ses effort, peut être pour nourrir sa famille ? faire de tels sacrifices pour manger ne devrait pas exister, il se tue au travail et ne sera jamais reconnu pour son courage et sa determination, lorsque le texte nous explique les conditions de travail, nous avons l’impression que celui-ci représente l’enfer. Gagnera t-il assez d’argent pour nourrir ses proches ? aura-t-il la force de continuer son métier lorsqu’il ne sera plus tout jeune ? ces gens la meurt jeune, pendant que certains n’ont jamais eu besoins de travailler. La plus grande souffrance de Maheu est t-elle les conditions de vie ? ou de se tuer au travail pour presque rien tandis que certains ont toujours tout eu sans le moindre effort. Maheu doit être forger de rage, et de souffrance ce qui doit faire de lui un homme fort, de caractère et de respect.
Maheu est un homme de mérite et la société ne le traite pas comme tels. La société n’est pas juste, le mérite devrait être le seul facteur de reussite, mais malheureusement c’est loin d’être le cas. La persevérence ne suffit pas pour reussir et pendant que certains vont se tuer à la tache d’autre reussiront sans fournir le moindre effort, être riche ne veut pas dire avoir un niveau de qualification élevé, biensur certains travails durement et le travail paye souvent, mais pour être aller dans des ecoles d’études superieur il faut de l’argent donc la pauvreté mène à la pauvreté . Ce cercle vicieux est réel. Le piston est également un fait réel, avoir une place dans une société grace à quelqu’un, est-ce juste pour ceux qui travaillent dur mais qui n’auront surement jamais ce poste ? cette société est rempli d’injustice et rien ne peut y remedier. Maheu est la preuve de cela, mais son courage et sa persevérence font de lui quelqu’un de fort.
Ce texte est engagé, et le texte de Maupassant dénonce également cette société . se marier par intérêt, pour être reconnue et pour le pouvoir, est quelque chose d’injuste, aucun mérite, aucun courage. Il reussira sa vie sans fournir le moindre effort.
Le texte étudié est un extrait du roman Germinal écrit par Emile Zola en 1885. Cet extrait se situe au début du roman. Dans cet extrait, l’auteur développe l’idée selon laquelle le travail de mineur est extrêmement difficile. Apres la lecture du texte, le lecteur est d’emblée frappé par cette atmosphère lourde qui pèse sur les épaules du personnage. On peut donc dégager un enjeu essentiel dans ce texte : l’importance des éléments naturels. C’est pourquoi l’on pourra tout d’abord étudier le courage du personnage Maheu, puis montrer la critique du travail de mineur, enfin nous mettrons en évidence le coté cauchemardesque de ce texte.
Tout d’abord, nous observons que Maheu est un personnage courageux qui est pathétique aux yeux du lecteur. En effet, à travers l’expression «C'était Maheu qui souffrait le plus. » nous voyons que Zola met l’accent sur la difficulté de ce travail. Tel est le cas dans « Il ne voulait pas lâcher son havage. », cette citation nous évoque le courage que possède Maheu. Le personnage souffre par ce métier qui est décrit de supplice comme le présente cette citation « Mais son supplice s'aggravait surtout de l'humidité. ». De plus, les éléments naturels ont une forte importance dans le texte. Ce sont eux qui font souffrir Maheu comme le montre cette citation « toujours à la même place. Il avait beau tordre le cou, renverser la nuque : elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient sans relâche. » Ces éléments naturels sont omniprésents dans le texte ce qui montre également leur importance. C’est cette omniprésence qui rend le travail difficile et souffrant pour le personnage.
Zola semble critiquer ce métier de mineur avec de l’acharnement en rappelant à plusieurs reprises la dangerosité du métier, ce fait est illustré par « En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. ». Zola utilise également des hyperboles afin de critiquer ce métier comme le montre cette citation qui parle des gouttes d’eaux « elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient sans relâche. ». Tous ces procédés exécutés par l’auteur nous montre bien le courage du personnage ainsi que la difficulté du travail de mineur.
Apres avoir illustrer le courage du personnage, l’importance des éléments naturels et la critique du métier de mineur, nous allons étudier le coté cauchemardesque de ce texte.
Le texte B est extrait de l’œuvre Germinal et a été écrit par Emile Zola en 1885. Zola est un journaliste/romancier du 19ème siècle. Cet extrait traite du thème de la vie des mineurs dans les mines de charbons. Il parle d’un personnage qui a giclé son patron alors qui était soûl : Etienne Lantier qui part dans le Nord pour trouver du travail dans la mine. Petit à petit les mineurs se révolte contre les bourgeois sous la direction de Lantier. A la fin, les mineurs repartent travailler et Lantier part pendant que le soleil se lève. Ce passage présente donc un enjeu essentiels qui est un monde immense, froid, uniforme, étouffant et flou. C’est pourquoi, l’on pourra tout d’abord examiner un monde qu’a crée Zola. Dans un deuxième temps, on mettra en évidence la condition de travaille des mineurs. Enfin, il conviendra de parler du personnage principal de l’extrait : Maheu.
D’emblée, nous pouvons relever que le monde que décrit Zola n’est pas un monde féerique, imaginaire et autres ; non il nous décrit le monde réel et nous dit qu’il est grand, froid, uniforme, étouffant et imprécis. Car « il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. », cela montre que Zola crée un monde mais n’est pas sûr de qui si passe à cause des mots « sembler », « distinguer » et autres, cela donne l’impression au lecteur, d’un monde flou, imprécis alors que la description du personnage : Maheu est précis, nette. On peut aussi voir que « En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel », c’est un environnement lourd et étouffant et que le lecteur en lisant les mots « étouffement », « gaz » et autres donne l’impression de non seulement Maheu et les autres n’en peuvent plus mais que le lecteur est pris de malaise et d’être dans une petite salle et q’on voudrait sortir. Cependant, c’est en contradiction avec l’immense environnement froid et uniforme avec « On ne distinguait rien, la taille s'ouvrait, montait ainsi qu'une large cheminée, plate et oblique, où la suie de dix hivers aurait amassé une nuit profonde ».
Le texte B a était écrit par Emile Zola (1840-1902) en 1885 extraits du livre Germinal. Le passage qui nous est proposé est un passage de début de roman, dans les premiers chapitres. Mettant en scène un personnage, Maheu, qui est mineur dans le fond des mines, a cette époque c’est la révolution industrielle en France.
Dans cette œuvre, l’auteur développe l’idée et dénonce le travail en mine qui est très dur, et insupportable de part des éléments naturels, les conditions de vie mais aussi moralement.
C’est pourquoi nous pouvons dégager l’enjeux qui serait : Comment régie Maheu face aux éléments naturels ?
Nous parlerons dans un premier temps, du personnage, des conditions de travails et enfin comment l’auteur critique l’atmosphère du travail des mineurs.
Nous venons de voir que Maheu était un personnage courageux et déterminé, malgré qu’il subit une oppression des éléments naturels.
On peut dire que les éléments naturels sont ici personnifiés en la société et plus particulièrement ils personnifient les riches qui oppressent les pauvres, les murs de la mine font ressentir cet aspect
La situations qui règne a la fin de cet extrait est presque une atmosphère apocalyptique, on pourrait presque croire que Maheu est dans un monde des morts, on en oublierai presque qu’il est mineur.
Pour conclure nous pouvons dire qu’ici Emile Zola dénonce le travail et les conditions de tavail dans les quels les mineurs s’exerce,et grâce aux figures de styles il dennonce égalment les riches dans la société.
Antoine: beaucoup de fautes de syntaxe. Il manque des figures de style plus précises. Cependant, il y a un effort d'interprétation louable. 6/16
Aurélien: devoir inachevé. Cependant, tu adoptes bien le point de vue du lecteur. Attention à faire des analyses de citations plus précises. 6/16
Quentin: devoir inachevé. Il faut davantage développer les interprétations en prenant le point de vue du lecteur. Un assez bon plan. 8/16 ;-)
Xavier: ce n'est pas un commentaire!! tu ne prends pas appui sur le texte! Attention!! 3/16
Alexis: attention à la fin du commentaire qui n'a rien d'un commentaire. On ne demande pas d'avoir une réflexion sur les mineurs mais d'analyser un texte précisément. Beaucoup de fautes de vocabulaire. Le début du devoir est plus intéressant mais il faudrait relier les grands axes et donc la transition à la problématique. 7/16
Nabil: de la paraphrase. Le texte n'est pas commenté mais il est raconté. Tu ne décris pas ce que ressent le lecteur. 5/16
Charlotte: un bon niveau d'interprétation. Cependant, il faut éviter cette impression de paragraphes qu'on rajoute: il faudrait relier la réflexion à la problématique et rappeler ce fil rouge tout au long du devoir pour maintenir une cohérence plus forte. 12/16 :mdr:
Agathe: pas vraiment de différences entre les deux parties. Cependant, bonne conclusion et bonne démarche dans le commentaire. 10/16. O-)