Poèmes des élèves de santé social sur la prison
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 19 mars 2014, 10:01 - Lien permanent
Ecriture d'un poème à partir de "La ballade de la geôle de Reading" d'O. Wilde.
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 19 mars 2014, 10:01 - Lien permanent
Ecriture d'un poème à partir de "La ballade de la geôle de Reading" d'O. Wilde.
Commentaires
Toujours mal en point
En cette cellule
Chacun dans sa solitude
Le treuil cesse de tourner
Ah ! Le silence !
Que le bruit se tait
Car jamais vous ne vous en souciez
Pour vous ce n'est rien
Et qu'à travers nos barreaux
Il est si dur,
On croupit,
Oubliés de la société
Des chaines qui nous colle à la peau
Tant qu'on reste en ce lieu
C'est l'un qui mange à sa faim
Quand celui d'en face n'a que l'appétit
Mais pour beaucoup il est dur de survivre dans cette prison
Que ses lois ont presque transformés en cimetière
Or tout cœur est bon
En cellule ou ailleurs
Semble la catastrophe
Tous ces trésors oubliés
L'impur lèpre
Des senteurs des tribunaux qui s'enchainent
Toujours maudits
En cette cellule humide et froide
Chacun dans son enfer prie Dieu
Le treuil, c
Ah ! Le silence me manque tellement
Que le bruit m'exaspère
Car jamais vous n'êtes tranquille
Pour vous recueillir et prier
Et qu'à travers cet enfer
Il est si dur, même impossible d'exister
On croupit, on se perd
Oubliés de tous, on s'oublie peu à peu soi meme
Des chaînes nous lacèrent
Tant qu'on ne se taisera pas
C'est l'un qui frappe sans être puni
Quand celui, libéré sous peu, rêve de la belle vie
Mais pour bien exister, il faut prier pour
Que ses Lois se trompent et nous libèrent
Or tout cœur emprisonné
En cellule où la mort est aussi présente que la vie
Semble la cause de tous les pleurs et les cris
Tous ses tré
Limpur lépr
Des senteurs pétrides de l'enfer de nos prisons
Toujours maltraité
En cette cellule délabré,
Chacun dansant de désespoir.
Le treuil, caché dans le noir.
Ah ! Le silence
Que le bruit strident ne peut perturber
Car jamais on ne pourrait se reposer en paix
Pour vous c'est
Et qu'à travers ces barreaux
Il est si dur
On croupit,on moisît, on vieillit
Oubliés de tous mais pas de nos ennemis
Des chaînes drainant notre corps
Tant qu'on ivre follement dans la mort
C'est l'unique raison de
Quand celui
Mais pour bientôt
Que ces Lois
Or tout cœur
En cellule où la mort
Semble la c-
Tous ses trésors
Limpur lepr
Des senteurs
toujours meutrit
en cette cellule inanimé
chacun dans l'ombre des barreaux
le treuil,
ah ! Le silence est etouffé
que le bruit vous n'entendrez
car jamais on souffle
pour vous dormir est simple
et qu'à travert les barreaux
il est si dur de se reposer
on croupit pendant des années
oubliés de la société
Toujours martyrisé
En cette cellule délabré
Chacun dan
Le treuil,
Ah ! Le silence
Que le bruit dissimule
Car jamais je ne verrais le ciel
Pour vous c’est la solitude
Et qu’à travers
On croupit, en imaginant sa sortie
Oubliés de tous
Des chaînes et des barreaux
Tant qu’on sera là-bas
Toujours aussi maudit
En cette cellule minuscule et partagée
chacun dans son lit
Le treuil, c'est la sortie
Ah ! le silence enfin se repose mon esprit
Que le bruit même ne peut s'imposer
Car jamais vous ne saurez
Pour vous d'être persécuté
Et qu'à travailler vous vous perdez
Il est si dur, d'être étouffé
on croupit, par le fait d'être trop piétiné
oubliés des amis, de ma bien-aimée
Des chaîne nous attachent
Tant qu'on a du mal à marcher
C'est l'un qui rit
quand celui-ci n'arrive pas à tenir debout
Mais c'est pour le bien de tous
Que ses Loi servent enfin, lui
Or tout cœur a du bon
En cellule on s'entraide, étrange
Semble la peur enfin tournée
tous ses trésors
L'impur cesse
Des senteurs on en meurs jamais
Toujours mort de froid
En cette cellule aux murs étroits
Chacun dans son lit, sous ses draps
Le treuil, est au dessus de moi.
Ah ! Le silence m'insuporte, presque autant
Que le bruit des claquements de portes.
Car jamais je ne sortirai d'ici
Pour vous dire à quel point je vous remercie
Et qu'à travers mes barreaux d'acier
Il est si dur, de vous voir pleurer.
On croupit, morts de l'intérieur
Oubliés de tous, disparus des cœurs.
Des chaînes impossibles à briser
Tant qu'on est prisonnier
C'est l'un qui a laissé ses rêves et sa vie
Quand celui-là fait s'arrange pour les laisser ici
Mais pour beaucoup devant la justice ils fléchissent
Que ses Lois emprisonne et les prisons s'agrandissent
Or tout cœur a besoin d'aventure
En cellule où il n'y a ni ciel ni verdure
Semble la tristesse triompher
Tous ses trésors sont térassés
L'impur lépreux n'a rien a leur envier
Des senteurs affreuses du sang des prisonniers.
Toujours malade enfermé
En cette cellule épouvantable
Chacun dans son coin
Le treuil est la sortie
Ah ! le silence court
Que le bruit s'étouffe
Car jamais personne ne se préoccupe de nous
Pour vous
Et qu'a travers ces barreaux
Il est si dur de sourire
On croupit,on survit
Oubliés de tous
Des chaines aux pieds
Tant qu'on abandonne pas
C'est l'un ou l'autre
Quand celui
Mais pour
Que ses lois
Or tout cœur brisé
En cellule ou dehors
Semble
Tout ses trésors
L impur lépreux
Des senteurs atroces
Toujours mort de l'intérieur
toujours manoir
en cette cellule
chacun dans son cauchemar
le treuille du pendu
ah ! le silence noir
que le bruit résonne
car jamais l'horreur
pour vous distraire
et qu'à travers les barreaux
il est si dur de plaire
on croupit dans l'odeur
oubliés de l'air
des chaines aux pieds
tant qu'on marche dans le même sens
c’est l'un qui sort
quand celui là rentre
mais pour beaucoup
que ses loi emprisonnent
or tout cœur charitable
en cellule o si misérable
semble la corvée
tout ses tresors sans flamme
l'impur lèpre infamme
des senteurs de l'horreur
Toujours maudit
En cette cellule triste et déplorable
Chacun dans son monde
Le treuil,
Ah! le silence m'exaspère
Que le bruit des serrures qui ne cessent de s'ouvrir et de se fermer
Car jamais sans personne
Pour vous ce n'est pas grand chose
Et qu'a travers les barreaux
Il est si dur de s'en échapper
On croupit, on attend, que le temps passe
Oubliés de tous
Toujours malheureux
En cette cellule
Chacun dans le noir
Le treuil de la mort
Ah ! Le silence !
Que le bruit m'étourdi,
Car jamais avec les personnes qu'on aime,
Pour vous c'est dure
Et qu'à traverser
Il est si dur, si douloureux
On croupit, on se perd,
Oubliés de nombreux souvenirs
Des chaînes attachées
Tant qu'on niera
C'est l'un que l'autre
Quand celui qui restera
Mais pour beaucoup de temps
Que ses Loi de la justice s'imposent
Or tout cœur arraché
En cellule où les détenus cris
Semble la cause de l'horreur
Tout ses trésors enfouis
Limpur lépreux
Des senteurs de l'horreur
Larme de Prisonnier
Toujours méchant en cet endroit
En cette cellule de fer
Chacun dans le froid
Le treil, celui de l'enfer
Ah ! Le silence qui fait défaut
Que le bruit est un lourd fardeau
Car jamais le silence règne
Pour vous dénoncer notre peine
Et qu'à travers les âges
Il est si dure de tourner la page
On croupit seul et sans compagnon
Oubliés de tous et sans maison
Des chaînes que l'on supporte
Tant qu'on repense à cette porte
C'est l'un qui vous dirige
Quand celui-là vous le dit
Mais pour battre celui qui les rédigent
Que ses lois cessent cette furie
Or tout cœur enflammé
En cellule ô temps suicidé
Semble la chose la plus importante
Tout ses trésor oubliés
Limpur lépre qui nous a condamné
Des senteurs qui nous hantent
Kylliann De Santiago
toujours malheureux
en cette cellule
chacun dans sa cellule
le treuille cesse de tourner
ah !! Le silence
Que le bruit des cris couvre
Car jamais je sortirais
pour vous dire
et qu'a travers
il est si dur, de vivre
on croupit, en cellule
oubliés de l'intérieur
Des chaines attachés
tant qu'on vie
c'est l'un ou l'autre
Quand celui ci fait sa ronde
Mais pour beaucoup de temps
Que ses lois s'imposent
Or tout cœurs vie
En cellule ouverte
semble la cause de tous les cris
tous les trésors cachés
l'impur
des senteurs atroces
Toujours maudit
En cette cellule
Chacun dans son lit, de l'autre côté,
Le treuil de sortie
Ah ! le silence !
Que le bruit perturbe
Car jamais nous sortons
Pour vous côtoyer
Et qu'a travers les barreaux
Il est si dure de survivre
On croupit , dans cette cellule
Oubliés de toute affection
Des chaines a nos pieds
Tant que l'on a cet écrou
...
Toujours mal depuis que je suis la
En cette cellule ou nous sommes 3
Chacun dans notre lit a ne rien faire
Le treuil que l'on monte lorsque l'on reçoit du linge
Ah!Le silence me rends fou
Que le bruit de dehors vienne nous chatouiller les oreilles
Car jamais je n'ai été aussi mal
Pour vous c'est assez normal la vie en prison
Et qu'à travers ces barreaux on s'occupe si bien de moi
Il est si dur, pour moi de supporter tout sa
On croupit, de cet humidité de ce renfermement
Oubliés de mes proches je me retrouve seul
Des chaines sur les barreaux
Tant qu'on est enfermés ils sont heureux, eux!
C'est l'un des surveillants qui nous ouvre les portes pour la promenade
Quand celui d’à coté sort aussi pour y aller
Mais pour bien d'autre, c'est le mitar
Que ses Lois en prison si injustes changent
Or tout cœur est dehors aux cotés de notre famille
En cellule on est avec des inconnus
Semble la cellule si vide
Tout ses trésors que j'ai trouvée
L'impur lèpre qui m'a toucher durant ces voyages
Des senteurs d'Orient inoubliable malgré cette incarcération
Toujours malheureux, seul,
En cette cellule noire,
Chacun dans son linceul.
Le treuil m'est insupportable.
Ah ! Le silence m'apaise alors
Que le bruit prend sa place.
Car jamais le treuil ne s'arrête.
Pour vous dire que le sommeil se fait rare,
Et qu'à travers mes rêves, seulement, je vous vois.
Il est si dur de ne jamais rien faire,
On croupit, derrière nos barreaux,
Oubliés des amis, loin de sa famille.
Des chaines nous empêchent la liberté,
Tant qu'on reste dans cet enfer.
C'est l'un qui crie dans la cour,
Quand celui isolé, pleure ses proches,
Mais pour beaucoup, l'enfer devient silence,
Que ses Lois travaillent l'esprit de chacun.
Toujours muré
En cette cellule
Chacun dans sa cage
Le treuil serait une bénédiction
Ah! Le silence perdu
Que le bruit a chassé
Car jamais les cris ne s’arrêtent
Pour vous détruire
Et qu'à travers de notre souffrance,
Il est si dur de se remettre
On croupit,on vieillit,on s'affaiblit
Oublié de notre ancienne vie,ont changent et se
Des chaines, ont ne sort jamais
Tant qu'on porte le poids de nos erreurs passées
Toujours me morfondre
En cette cellule mélancolique
Chacun dans sa peine le treuil ralenti
Ah!! Silence!
Que le bruit me lance
Car jamais cette engrenage ne ce finira
Pour vous, dormir ne se fait pareil que moi
Et qu'à travers les lueurs de mes sourires
Il est si dur, de ne pas mentir
On croupit peu à peu
Oubliés de ce relever
Des chaînes attachées à mes pieds
Tant qu'on restera derrière les barreaux
C'est l'un qui pleure
Quand celui qui part
Mais pour beaucoup, c'est survivre
Que ses Loi arrêtent de me taper sur les doigts
Or tout cœur mal aimé
En cellule on reste soudé
Semble la couleur du ciel
Tous ses trésors qui me manque
L'impur lépreux
Des senteurs si atroces
Toujours meurtri
En cette cellule
Chacun dans son monde
Le treuil, insaisissable
Ah! Le silence
Que le bruit ne laisse pas paraitre
Car jamais de répit
Pour vous detruire le moral
Et qu'a tr avers les barreaux
Il est si dur de survivre
On croupit, là
Oublié de tous
Des chaînes aux poignets
Tant qu'on est accusé
C'est l'un qui danse
Quand celui ci s'est cassé la cheville
Mais pour bien des gens
Que ses Lois sont dur
Or tout cœur
En cellule oubliée
Semble la catastrophé
Tous ses trésors
L'impur lépreux
Des senteur abandonnées
Toujours méprisé
En cette cellule
Chacun dans leurs rêves
Le treuil acsenseur libératoire
Ah ! Le silence plus bruyant
Que le bruit en lui-même
Car jamais je ne vivrais la liberté
Pour vous citoyens normaux
Et qu'à travailler pour sortir
Il est si dur pour nous
On croupit dans l'ocroupi
Oubliés de sa famille
Des chînes invisible
Tant qu'on reste en vie
C'est l'un qui sort
Quand celui-là reste
Mais pour bâtir son avenir
Que ses Lois n'autorise pas
Or tout cœur battant
En cellule on se bat
Semble la courtiser
Tout ses tréfonds sombre
L'impur lépreux
Des senteurs nauséabondes
Toujours malheureux
En cette cellule noir
Chacun dans son lit
Ah ! Le silence est rare
Que le bruit est présent.
Car jamais nous reverrons le jour
Pour vous c'est sur
Et qu'à travers les barreaux
Il est si dur, de s'avoir si le monde est beau
On croupit, ici loin de tout
Oubliés des gens qu'on aime.
Des chaines omniprésente
Tant qu'on y entre
C'est l'un qui gagne le confort
Quand celui qui arrive en premier
Mais pour boire, il faut ce battre
Que les lois son présente dans ce monde ou le plus fort gagne.
Or tout cœur est vide d'émotions
En cellule on ne pense qu'à nous
Semble la créature qui nous habite
Tous les trésors qu'on ne verra jamais
Des senteurs de regrets.
Toujours mal dans ma tête
En celle céleste punition
Chacun dans sa solitude
Le treuil nous aide à s'échapper
Ah! le silence est notre quotidien
Que le bruit revienne
Car jamais je ne partirai
Pour vous dire a quel point les jours me semblent long
Et qu'à travers cette prison
Il est si dure , de supporter
On croupit, chacun de notre côté
Oubliés d'exister
Des chaînes et des barreaux nous entoure
Tant qu'on reste dans notre cellule
Mais pour beaucoup d'emprisonner
Que ses lois l'empêche de le tuer
toujours mennacer
en cette cellule
chacun dans sa solitude
le treuille cesse de tourner
ah !! Le silence
Que le bruit cache le silence
car jamais seul
pour vous décrire
et qu'a travers la prison
il est si dur de vivre
on croupit ici
oublier de la societer
Des chaines grises
tant qu'on vie
c'est bien
Quand celui cri
Mais pour beaucoup de temps
Que ses lois disparue
Or tout cœurs bats
En cellule fermer
semble la cause de tous les cris
tous les secret cachés
l'impur comme l'air
des senteurs affreuse !-(
Toujours malheureux
En cette cellule sombre
Chacun dans la misère
Le treuil encombre la pièce
Ah ! Le silence
Que le bruit recouvre
Car jamais vous ne nous comprendrez
Pour vous tout est facile
Et qu'à travers les barreaux
Il est si dur de vivre ici
On croupit dans nos cellules
Oubliés de tous le monde
Des chaines qui deviennent lourdes
Tans qu'ont ne bouge pas d'ici
.....
Toujours ma peine
En cette cellule
Chacun dans son coin
Le treuil, accroché
Ah ! le silence
Que le bruit cesse
Car jamais personnes ne sait vraiment
Pour vous détruire
Et qu'a travers cela
Il est si dur de survivre
On croupis dans les cellules
Oubliés des autres
Des chaîne accroché
Tant qu'on est incarsséré
Mais pour bien nombre de fois
Que ses lois punissent
Or tout cœur vie
En cellule oublier
Semble impossible
Toujours mal
En cette cellule
Chacun dans son petit monde
Le treuil, c'est horrible
Ah ! Le silence
Que le bruit cesse
Car jamais je ne vous oublierais
Pour vous dehors
Et qu'à travers mes barreaux, je vous voit
Il est si dur de vous voir libres
On croupit, on a la vie dure
Oubliés de nos amis, de notre famille.
Des chaînes qui nous prend notre liberté
Tant qu'on reste ici, dans cet enfer interminable
C'est l'un ou l'autre
Quand celui qui nous attrape et nous enferment
Mais pour bien ressortir
Que ses Loi sont si strictes
Or, tout coeur est rempli d'amour pour nos proches
En cellule on pense fort a vous
Semble a la case départ
Tous les trésors que nous recevons de nos proches encore present pour nous
L'impur lèpre nous envahi
Des senteurs fortes envahi nos corps.
Toujours malheureux, toujours seul
En cette cellule ou il n'y a personne
Chacun pour soie, ici c'est comme sa
Le treuil monte et descend chaque jour
Ah ! Le silence ne vaut plus rien
Que le bruit emporte ce combat a chaque fois !
Car jamais je retrouverai ce calme
Pour vous cela est normal
Et qu'à travers ces quatres murs
Il est si dur de s'évader
On croupit au fond de ce troue
Oubliés des gens qu'on aime
Des chaines nous enroulent le cœur
Tant qu'on reste fort pour soie même
C'est l'un qu'un espoir apparait
Quand celui des nôtres disparait
Mais pour briller il faut se battre
Que ses lois sont cruelles !
Or tous cœur doit être aimé
En cellule on se sent délaissé
Semble la cause la plus dur
Tous ses trésors n'existent plus
L'impur lépreux ma condamné
Des senteurs de remord surgissent
Toujours mal
En cette cellule
Chacun dans ses pensées
Le treuil, fait monter la souffrance
Ah ! Le silence de ton absence
Quel bruit insoutenable
Car jamais je ne sortirais d'ici
Pour vous dire
Et qu'à travers ces barreaux
Il est si dur, de pouvoir vous revoir
On croupit, en souffrance
Oubliés de nos proches
Des chaînes invisibles
Tant qu'on reste ensemble
C'est l'un qui sourit à la liberté
Quand celui qui rentre pleure la fin de la sienne
Mais pour le bien de tous il faut
Que ces lois soient appliquées
Or tout coeur brisé
En cellule ou tout le monde cris
Semble la cellule de l'horreur
Tout ses trésors oubliés
L'impur l'éprouve
Des senteurs de la mort.
toujours entre ces quatre murs
En cette cellule qui ne laisse passer la lumière
Chacun de nous pouvons en apercevoir très peux
Le treuil lui est illuminé au dessu de nous
Ah le silence!
Que le bruit ne cesse de stopper mes pensées-
Car jamais un moment de répits
Pour vous le répits c'est comme du petit lait
Et que a travers ses barreaux moi je ne peux penser
Il est si dur d'être loin de vous
On croupit ici dans se trou infernale
Oubliés de tous mais surtout des gens que l'on aime +
Des chaines à nos mains et à nos pieds
Tant que on restera ici entre ces quatre mur
C'est l'un des surveillants qui nous guettes chaque heures
Quand l'un part aussitôt un autre revient
Mais pour le moment je ne suis pas près de voir leur visage
Que ses lois me laisse sortir :-)
Toujours malheureux et triste
En cette cellule si bien fermée
Chacun dans son coin
Le treuil qui monte et qui descend
Ah ! Le silence est tellement bien encré
Que le bruit est bien loin
Car jamais vous ne connaîtrais cette enfer
Pour vous qui êtes dehors
Et qu'à travers les barreaux
Il est si dur, de vivre en prison
On croupit, seul dans nos cellules
Oubliés de tous
Des chaînes invisibles pendront à nos pieds
Tant qu'on sera enfermé
C'est l'un qui arrive
Quand celui qui est déjà là pleure
Mais pour beaucoup c'est un enfer
Que ses loi résonne dans leurs tête
Or tout cœur qui sont seul
En cellule on vit avec la solitude
La ballade de la geôle de Reading.
Toujours minuit dans le cœur, la pénombre
En cette cellule et nous de tourner,
Chacun dans son enfer bien séparé,
Le treuil, ou bien d'effilocher la corde,
Ah ! Le silence est plus à redouter
Que le bruit de bronze des cloches,
Car jamais ne s'approche voix humaines
Pour vous dire un mot de douceur,
Et qu'à travers la porte veille un œil
Il est si dur, insensible à la peine
On croupit, pourrit, gâtés corps et cœur,
Oubliés de la terre entière !
Des chaînes de la Vie le fer se rouille,
Tant qu'on reste seul avili.
C'est l'un qui pleure et l'autre qui maudit
Quand celui-là ne geint ni ne s'enroue :
Mais pour briser cœur de pierre Dieu fit
Que ses Lois éternelles soient douces
Or tout cœur humain qui enfin se brise
En cellule ou cour de prison
Semble la cassette fendue livrant
Tous ses trésors au Seigneur, et où gîte
L'impur lépreux elle remplit sa maison
Des senteurs du nard le plus riche