Entraînement au commentaire. 2nde 9.

Rédigez les deux parties du commentaire correspondant au chapitre VI de la partie V de Germinal.

Commentaires

1. Le 25 février 2016, 20:05 par Jérémie Soky

Le passage qui nous est proposé est de Germinal de Zola qui se situ e au chapitre V correspondant à l’épisode de la révolte des mineurs qui vont mettre à sac le coron de Montsou qui se révoltent de se faire exploiter pour un salaire de misère et de peu de nourriture. Que se passe- t-il dans la tête et le cœur des mineurs ? La haine, la rage et la raison sont maîtres dans cet extrait de Germinal.

           Dans ce chapitre aussi terrible qu’effroyable, on peut voir que la discorde règne dans le coron de Montsou, les mineurs déchaînés peuvent être référés à des bêtes sauvages remplis de haine et de rage dévastatrice qu’ils saccagent tout le coron.  Ils sont tellement méconnaissables qu’ils s’en prennent aux bourgeois pour exprimer leur haine, on peut remarquer que ces actes représentent toute la haine et la colère enfuis en eux. Constater dans ce texte que Zola accentue le sentiment de colère chez les mineurs et d’effroi chez les bourgeois car en effet si les mineurs font peurs ce sont aux couple Hennebeau, la famille Grégoire  et toute les personnes étant dans cette maison, malgré les efforts des bourgeois pour camoufler leur peur même Rose s’y est mis, tel est le cas dans : « Ils ne sont pas méchants, je les connais ».Mais ce qui m’a choqué est que Zola, s’est permis de mettre la pauvre Cécile en proie à des bêtes sauvages qui emplis de haine et de rage la maltraite : « Foutez-moi la donc toute nue ! », notons ce petit clin d’œil au naturalisme en plein essor à son époque mais de là à mettre à nu, une jeune innocente toujours bonne envers les mineurs, je trouve ça inadmissible et impardonnable de la part de Zola mais on ne peut pas lui en vouloir car il a respecté les critères du naturalisme : « Le corps, l’érotisme, les instincts et la duplicité humaine s’affichent dans les œuvres.
          Hélas même la raison ne peut rien y faire. Etienne excité à l’idée d’assouvir sa  vengeance ne contrôle plus les mineurs. Si Catherine ne lui aurait pas remis les idées en place, il serait peut-être dans le même état d’esprit que les mineurs affolés par leur soif de vengeance. Zola nous montre qu’Etienne se rend compte de son erreur et tente  d’attirer l’attention sur le magasin de Maigrat, qui mourra de façon stupide. Dans cette partie, Zola nous montre que la raison de deux personnes ne peut rien face à la folie meurtrière de plusieurs Hommes. Mais Maigrat voyant sa boutique attaquée, il essaya de la sauver mais mourra en s’ouvrant le crâne sur le sol à cause de sa forte corpulence qui le fit tomber de l’échelle. Trouvez-vous cela normal de ne pas respecter un Homme au point de lui donner une mort absurde? Trouvez-vous normal que Zola veut nous faire  ressentir du dégout  vis-à-vis de la mort de Maigrat ? Moi je trouve cela inadmissible au nom du peu de dignité de Maigrat qui était déjà touchée par ses précédentes actions de le faire mourir à cause de son gros ventre. A part  ces incidents tout devient de plus en plus calme grâce à la gendarmerie prévenue par Chaval qui fait une descente dans le coron et fait dispersés la foule enragée. Tout est bien qui finie bien qu’une scène complètement hors contexte se fait savoir, la cuisinière est furieuse car les croûtes de vol-au-vent du pâtissier ne sont toujours pas arrivés mais à peine a-t-elle finis de parler qu’à l’instant même les croûtes de vol-au-vent viennent en même temps que les gendarmes intact comme si de rien était.
2. Le 26 février 2016, 15:30 par Matéo P.

Dans un premier temps, nous verrons jusqu'à où les mineurs sont près à aller pour assouvir leurs pulsions meurtrières et vengeresses. Nous pouvons parler de pulsions meurtrières car, lorsque Zola a écrit Germinal, le naturalisme est en plein essor, et est très prisé par plusieurs auteurs ; ainsi, Zola nous montre son appartenance à cette vision des Hommes en nous décrivant les mineurs rageurs déverser toutes leurs pulsions sur Montsou et les bourgeois. D'ailleurs, prenons le cas de Cécile, la fille des Grégoire qui se fait prendre par les grévistes. Ils déverseront sur elle un déchaînement de haine et de violence : "Foutez la-moi donc toute nue", ou "Faut la fouetter !". On peux constater par ces citations que les mineurs s'acharnent sur elle, en lui faisant faire subir toutes les humiliations possibles. Bonnemort, le grand-père d'habitude si réservé et si éteint, est prit tout d'un coup d'une pulsion intense en regardant le coup de Cécile, et il va même tenter de l'étrangler. Seulement, la Maheude, qui reprend ses esprits en la reconnaissant, la sauve du vieil homme. Cécile se fera alors sauver par Deneulin, que Zola décrit comme un véritable héros.
Dans la suite du chapitre, on peut constater que ce sont les femmes grévistes qui sont les plus déchaînées ; on peut penser que c'est parce qu'elles ont été les plus humiliées durant la période où tout le monde travaillait, notamment à cause de Maigrat qui les abaissaient au niveau de vulgaires filles de joies en couchant avec elles contre de la nourriture. A propos de Maigrat, justement, les femmes auront leur revanche : lorsque les mineurs défoncent sa porte pour dévaliser sa boutique, il tombe par la fenêtre et s'ouvre le crâne sur le sol ; on peut penser que même Zola détestait ce personnage, et qu'il se serait donc vengé sur lui lorsque l'occasion se présentait ; à ce moment, les femmes se défoulent sur ce cadavre et déversent toute leur rage accumulée pendant des années d'humiliation et de haine : elles remplissent sa bouche de terre, puis arrachent ses parties génitales à mains nues avant de planter celles-ci comme un trophée au bout d'un bâton. Lorsque les bourgeois aperçoivent ce trophée sanglant au bout du bâton, ils s'imaginent, dans leur naïveté, qu'il s'agit d'une "peau de lapin" ou d'un "débris de porc". Ces citations peuvent être des métaphores de la part de Zola pour décrire Maigrat et le rabaisser encore plus au niveau d'un animal.

Maintenant, nous allons voir comment le calme revient rapidement sur Montsou. Déjà, les hommes semblent complètement dégrisés, et aberrés devant les atrocités commises par les femmes, qui ne sont alors que des animaux violents et alors incapables de la moindre réflexion. C'est comme s'ils s'étaient pris une claque en pleine figure, comme celle que Etienne avait reçu au chapitre précédent et qui l'avait également calmé.
Une fois les pulsions des femmes assouvies, le calme revient peu à peu. Cécile courra à la rencontre de Etienne et le prévient de l'arrivée des gendarmes. Les grévistes, qui ont alors retrouvé leurs esprits, s'enfuient en courant, toutes leurs envies meurtrières et leurs pulsions étant assouvies et disparues.

3. Le 27 février 2016, 17:55 par Jordan Soumat

L'attaque des mineurs
Le passage qui nous est proposé est extrait de germinal ,un chef d'oeuvre de Zola,ce passage de situé au chapitre VU de la partie V qui correspond a l'épisode de l'attaque des mineurs qui vont s'acharner sur la maison de ces hennebeau et aussi sur l'épicerie de maigrat et sur maigrat lui même.Le lecteur peut être d'emblée frappé par la violence de ce chapitre.La question que l'on peut se poser alors, c'est est-ce que les mineurs vont obtenir leurs libertés et mettre fin a cette grève interminable?
C'est pourquoi,l'on pourra tout d'abord étudier comment les mineurs en sont arrivés la puis dans un deuxième temps on mettra en évidence leur détermination.

Ces mineurs étaient a la base partient pour jean-bart dans le but d'agir froidement et d'empêcher un désastre et ce sont retrouvés a assiéger l'hotel du directeur de violence en violence. On peut se dire que ces mineurs sont a bout et veulent a tous prix en finir avec cette grève qui dure depuis trop longtemps comme toutes ces tensions entre foyers de montsou.Et c'est quand on voit tous ces dégâts causés comme la maison des hennebeau ou bien maigrat et son epicerie que le lecteur peut se demander si tout ça ne va pas trop loin pour une petite grève.C'est sûrement pour cela que les mineurs sont arrivés a l'hôtel du directeur,ils cherchent à aller à l'essentiel et donc de s'attaquer à ces personnes marquantes de l'histoire.

De plus,dans ce chapitre qui est un tournant de l'histoire,nous pouvons observer une détermination surhumaine a finir cete grève.Ils ont vécu pendant 2 mois sans travailler et sans argent ce qui est deja notable et voyant que cela ne fonctionne pas ils se regroupent et attaquent l'hôtel du directeur avec une telle rage comme le fait de couper les organes génitaux de maigrat, ils n'ont pas peur de ces gens,de cette violence ils sont motivés et veulent se faire entendre par la compagnie, qui jusque la ne s'intéressait guère à cette grève.voici ce que nous pouvons observer de ce chapitre qui est très mouvementé

4. Le 29 février 2016, 17:44 par Léa Belloto

Nous allons nous intéresser à l'œuvre de Germinal qu'a écrit Émile Zola en 1885 et plus précisément à la partie V du chapitre 5. On peut dire que Germinal est un roman de la lutte des classes qui a soulevé des thèmes sensibles à l'époque comme la question sociale est devenu le symbole du roman politique dans la littérature française. Il est aussi un document important par sa belle représentation de l'arrivée du marxisme en France. Dans cette partie nous allons découvrir de la rage passant par la haine. Tout d'abord, nous étudierons la colère des ouvriers de Montsou en analysant l'émeute chez les Hennebeau. Pouvons nous parler d'hommes qui réclament justice ou bien de bêtes sauvages qui exigent vengeance ? Ensuite nous nous intéresserons à l'environnement de l'auteur et plus particulièrement ses points de vue. Nous chercherons à savoir pourquoi Zola inflige tant de violence à ce passage en mettant en évidence le carnage chez Maigrat.
Dans un premier temps nous verrons que la colère gronde car la grève est source de conflits et ça s'annonce difficile pour les Hennebeau. En effet, les femmes sont elles les plus en colère et attaquent en premières mais aussi bien qu'elles, les hommes sont prêts à tout pour défendre leur cause et subvenir à leurs besoins. Montsou est prise par les tentions et se transforme en ville d'affront. Il est vrai, le pain ne devrait pas manquer à ces ouvriers qui veulent en finir avec cette grève. En effet, nous pouvons très bien parler de bêtes sauvages notamment parce que les visages des mineurs se transforment, leurs yeux se limitent à la même expression, et ils adoptent alors un champs lexical violent, tel des bêtes prêts à se battre ensemble pour obtenir gain de cause. C'est alors que nous rentrons enfin dans l'imaginaire de Zola. Les bourgeois, spectateurs, sont prient d'un malaise incontrôlable et restent immobiles face à ces hommes remplis de rage et d'envie de faire un carnage.
Ils se trouvent alors dans une situation de fin du monde devant la révolte d'un peuple affamé et en colère qui marche vers le progrès.
Dans un deuxième temps nous allons chercher à savoir pourquoi l'auteur inflige autant de violence à ce passage. Nous sommes en plein naturalisme et Zola le représente à la perfection dans cette œuvre. Au cœur de l'action, les problèmes des classes et de la révolution est très bien interprété. Il est vrai que Zola a pour habitude de faire ressortir ses critiques envers les bourgeois pour donner plus d'importance au peuple. C'est sûrement la cause de cette violence omniprésente notamment lors de la mort de Maigrat qui inflige un champs lexical écœurant. Zola a aussi décidé de s'attaquer aux lieux qui cachaient des personnes marquantent de l'histoire.
L'auteur a cherché à représenter le peuple de son époque et a décidé de le défendre en apportant de l'agressivité, de la violence, de la haine, de la rage ainsi que la détermination dans ce roman et plus particulièrement cette partie V.

5. Le 02 mars 2016, 20:13 par Julien P-E

On peut remarquer dans ce chapitre VI de Germinale que Émile Zola n'hésite pas du tout à mettre en valeur des champs lexicale inappropriés pour les enfants et pour les âmes sensibles.Zola nous montre toutes ses connaissances sur le monde ouvriers en sortant la colère qui était enfouie au fin fond de leur corps.Dans un premier temps il nous montre cette colère a travers la jeune Cécile qui va être traumatiser.L'analyse de la citation "Foutez moi la doc toute nue",nous montre bien que l'auteur est le chef de file du naturalisme,et que le peuple n'est plus maitre de son acte,car même le vieux bonnemort était prêt a tuer cette Cécile.On peut aussi relever dans ce texte que la faim donne des hallucination car on se demande pourquoi le peuple s'attaque t-il a Cécile une jeune femme innocente et non a madame Hennebeau une femme mesquine qui ne pense qu'a ses besoins personnelles.Mais pour légerement apaiser les tensions zola a fait intervenir Deneulin,un héro qui ne surgit de nul part.l'auteur ne fait pas donc mourir cette innocente,ce qui peut nous paraitre injuste par rapport aux des enfant ouvriers face à la faim,des innocents eux aussi.

D'entrée de jeu,nous pouvons repérer que Zola nous erpagne la mort de Cécile mais pas celle de Maigrat,qu'il aggrave par la suite.C'est a ce moment que Émile fait ressortir le champ lexical du dégout a travers les mots "débris";"sang";cadavre"etc.Des mots ne nous donnant pas envie de lire la suite.A partir de ce moment la on peut constater que les ouvriers sont totalement transformer en animaux où les femmes rodent autours du cadavre de maigrat comme des hyennes et des vautours.Elles deviennent complétement ivres de joie et de colère,se vengent et l'humilient.On peut même penser a un rituel satanique en imaginant ses folles qui semblent danser de joie.Zola nous démontre encore ses talents d'auteurs de naturalisme ou les femmes décident d'arracher la chose qui les reliaient a maigrat, ses paries génitales.

6. Le 03 mars 2016, 14:25 par Emilie blanchard

Le passage qui nous est proposé est issus de Germinal de Zola écrit en 1885 en plein courant naturaliste .Nous alons étudier le chapitre 5 partie V. Dans cet extait, avec le peuple et la révolution on est au coeur de l'action .On peut alors se demander si les ouvriers de Montsous sont des hommes qui réclame la justice ou bien des bêtes sauvages qui ne pensent qu'a leur vengance .Pour répondre à cette question on étudira tout d'abord la révolte chez les Hennebeau et dans une deuxième partie la boucherie chez Mégrat .

       D'emblée nous pouvons voir la violence des ouvriers envers les Hennebeau et particulièrement envers le personnage de Cécile, la fille des Grégoire. En effet, on peut observer une certaine agréssivité de la part des mineurs tel des bêtes sauvages qui essayent de mêtre à nue la jeune fille , cette nudité sui n'est pas râre chez Zola ni dans le naturalisme oú le corp est souvent éxhibé .Mai malgré la tension qui règne , les bourgeois ne se préocupent que de leurs vol-au-vent qui risque de ne pas arriver ,on retrouve d'ailleur dans ce passage une certaine hironie car les mineurs souffrent de la famine et sont dehors en train de réclamer du pain et les bourgeois eux s'inquiete pour leur patiseries et n'on pas l'intention de donner le moindre bout de nourriture ainsi, a travers l'expression "vous voulez du pain ,c'est du plomb que l'on vous donnera " on peut voir  l'absence d'empathie de la part des Hennebeau ce qui n'améliore pas la situation et n'empêche pas la rage des mineurs d'exploser .Même le vieux Bonnemort tente de tuer la jeune Cécile qui n'y est pour rien dans cette histoire .Cela nous montre bien la forme de folie qui s'empare des ouvriers oú même Etienne ne parvient pas a les contrôler .C'est dans ce contexte que l'on peut réelement se poser des questions sur les réeles intentions des mineurs
                                                      
    Nous alons voir ensuite un passage qui marque les esprit un un moment important de l'histoire.En effet après que Etienne a réussi a convincre les ouvriers de Montsous, qui ressemblait plus a des chien enragés qu'a des hommes ,de rejoindre le magasin de Mégrat qui faisait du chantage aux femmes qui couchait avec lui contre de la nourriture .Dans ce passage la présence des femmes est la plus importantes car ce sont elles qui plus que du pain, veulent se venger du mal que Mégrat leur a fait . Mais ces femmes le font d'une manière tellement brutale qu'elle n'hesite pas a profaner un corp mort en lui mettant de la boue dans la bouche et a le castrer .Elle s'ataque a ce cadavre tel des charognard sur leur proie ce qui renforce ce coter animal des mineurs .
7. Le 03 mars 2016, 18:19 par Aurélien.

Nous allons étudier le chapitre V de la partie 5 du livre d'Emile Zola écrit en 1885.Ce chapitre nous place au centre d 'un conflit entre deux classes sociale totalement différente d un côté les deux familles bourgeoise et de l'autre les mineurs basse société remonter contre c'est dernier. Ce chapitre et un point crucial de l'œuvre tout entière car c'est la définition même du naturalisme et Emile Zola le met en scène pour faire en sorte de choquer le lecteur et mettre en doute ses jugements pour chaque personnage . Révolter de toute cette injustice les femme mineur vont de déchainer et Emile Zola va leur faire ressortir un coter animal ou nous allons oublier les premières impressions que nous avions d'elles. De femme ordinaire s'occupant de leur famille vivant avec le peu d'argent qu'elles ont sont passer de bêtes sauvages et s'en sont même pris à la fille des Hennebeau en la dénudant . Avec toute cette humiliation que font subir les mineuse ont commence a ressentir une certaine pitié a l' égard de Cécile. On se demande si tout cela était nécessaire pour exprimer la colère des mineurs. Les mineure sont comparable une horde de zombie saccageant tout sur leur passage .A près on peut les comprendre , ce prostituer pour manger ce n est pas humain est Maigrat payer cher ses actes envers ses femmes jusqu'à s'acharner sur son corps inerte et lui arracher ses partie génital . elle n4en peuvent telle plus que la rage prend le dessus sur la raison. A préciser quelle sont accompagner de leur enfant "du vrai naturalisme pure" Dans toute cette histoire le seul passage calme est celui de la fin lorsque Catherine prend la main d'Etienne pour l'emmener loin de ce champs de batailles.

8. Le 04 mars 2016, 11:56 par Inès Huerta

Nous allons traiter de l'œuvre de Zola, Germinal écrite en 1885, et plus particulièrement du chapitre 5 partie V. Nous sommes en plein naturalisme étant donné les tendances littéraires de Zola, grand romancier de son temps. Dans cet extrait, le peuple ainsi que la révolution est au cœur de l'action. Nous aborderons d'abord le sujet des bourgeois ainsi que l'agression de Cécile pour ensuite laisser place à la révolte et au monde ouvrier.

      Dans un premier temps, nous verrons la révolte du point de vue des bourgeois. Ces derniers observent la révolution en marche sans vraiment s'en soucier, en se moquant même en disant "vous pouvez réclamer du pain, c'est du plomb qu'on vous donnera". Mais leur comportement change lorque Cécile manque de se faire tuer par Bonnemort. Zola le décrit comme dans un état second en citant " ivre de faim" ou encore " la fascination de ce cou blanc de jeune fille", il semble envoûté et contrôlé par la rage et la faim. En réalité ce sont aussi et surtout les femmes ouvrières qui jalousent Cécile, justifié par leurs paroles "C'est à nous que ces salopes volent ça". Lorsque Cécile s'en sort après l'agression des mineure, les bourgeois semblent soudain rire de la situation en disant "c'est drôle, ils ne sont pas méchants" alors que Cécile manque de se faire tuer. Ces paroles peuvent être interprétées comme un déni de la part des bourgeois face à la révolte. L'opposition de classe sociale est renforcée lorsque les Hennebeau attendent avec impatience leurs pâtisseries tant dis que les ouvriere meurent de faim dehors.
      Pour continuer, nous illustrerons le cas des ouvriers et de la révolte qui gronde. Nous relevons un retour en force du naturalisme traduit par des actes barbares et bestiaux de la part des mineurs à travers le passage où Maigrat meurt et se fait arracher les parties génitales par les femmes en furie, par exemple. Cela évoque un comportement violent et contrôlé par la rage et la faim, tout comme lorsque Bonnemort attaque Cécile. Cette agressivité semble être une sorte de jalousie non justifiée envers les bourgeois, comme par exemple avec l'expression "Vive la sociale ! À mort les bourgeois !". Nous pouvons aussi constater une solidarité entre les ouvriers, justifiée par l'expression "quitte à crever tous ensemble". Vient ensuite le dénouement de ce chapitre, lorsque la police arrive et que les mineurs prennent la fuite. Ces actions révoltantes mettent en évidence une certaine folie passagère provoquée par la faim et la colère, ainsi que la jalousie des mineurs envers les bourgeois.
9. Le 04 mars 2016, 15:36 par Tom.L

Aujourd'hui nous allons parler de l'oeuvre de Zola, Germinal qui à était écrite en 1885. Dans cette partie du chapitre VI de la partie V nous sommes plongé dans la folie meurtrière des mineurs. Maintenant la question qu'on peut se poser est que vont faire les mineurs ? Nous allons donc parler premièrement de l'attaque sur la maison des Hennebeau puis à la recherche du pain perdue.

Dans cette partie , la violence vas être le maître mot , les femmes et les hommes se déchaînent contre le mur de la maison des Hennebeau, en effet le ventre les ravages ils sont prêt a tous pour obtenir un bout de pain. Les bourgeois sont très inquiet pour leur fille et leur gâteau. Rose essaye des les calmer comme elle peut : « Ils ne sont pas méchants, je les connais » mais Zola nous montre bien que les bourgeois pour un fois
sont inquiet de la situation dans laquelle les mineurs les ont mis. Et ils ont de quoi s'inquiéter les mineurs on dans leur main Cécile , Zola vas nous montrer que cette Cécile vas être leur bouc émissaire de toute leur souffrances qui ont subit lors de leur vie misérable de mineur .

Maintenant il est impératif de manger alors ils se dirigent vers le magasin de Maigrat et décide de tous voler.Mais cette énième tentative d'Etienne seras un véritable désastre. Maigrat voyant sont magasin pillé vient a sa rescousse mais meurt en se fendant le crâne par terre. Les hommes et les femmes sont en plein délire et ne se rendent pas comptes de ce qui se viens de passer. Maigrat est mort Etienne est stupéfait mais les femmes sont qu'en à eux sont comme des vautours autours de ce cadavre gisant par terre. La folie à pris le dessus , cela laisse un coron dans un état catastrophique.

10. Le 05 mars 2016, 19:05 par enzo.h

Nous allons étudier l’œuvre de Zola : germinal écrit en 1885 est plus particulièrement du chapitre 5 partie 5, Zola fait partie de l’école naturaliste. Il est séduit par la thèse selon laquelle les comportements humains dépendent de l’hérédité et de l’influence du milieu nous sommes donc en plein naturalisme. Dans ce partie, la révolution ainsi que le peuple est au cœur de l'action.
On peut alors se questionner : Les ouvriers de la mine sont des hommes qui on trop soufferts et qu'ils réclame la justice ou bien des bêtes avides de vengeance qui ne peuvent pas contrôler leurs pulsions ? Pour répondre a cet problématique nous étudierons premièrement le déroulement du déjeuner chez les Hennebau et dans une deuxième partie nous analyserons la défaite de Maigrat.

Dans un premier temps, nous verrons la réaction des familles Hennebau et Grégoire face a la révolte. Nous pouvons parler de caricature car les bourgeois prennent toujours la révolte a la légère et par cela Zola les faits passer pour des êtres niés et stupides. lorsque Zola a écrit Germinal et même durant toute sa carrière c’était un auteur engagé au parti populaire, de la même façon que Hugo, ce qui explique ce mépris envers les bourgeois. D'ailleurs, prenons le cas du déjeuner ou Mr Hennebau invite la famille des Grégoire dont le monsieur s'autorise même d'ajouter « Sans doute, ils n'ont pas de malice au fond. Lorsqu'ils auront bien crié, ils iront souper avec plus d'appétit » . On peux constater par cet citation que les bourgeois n'ont même pas conscience que les mineurs n'ont rien a manger, ce qui rejoint la thèse selon la quel Zola veut décrédibiliser et humilier ces dernier.
De plus nous pouvons distinguer que ce chapitre ou du moins cet extrait est étroitement lié avec un autre moment du texte : au début du texte quand la gréve éclate et que les Grégoire et les Hennebau
se reçoivent pour déjeuner. Nous pouvons alors penser la chose suivante : est-ce que c'est deux repas feraient ils parti du fils rouge du livre, est-ce que le premier repas sonnerait le début de la grève et le second sa fin ?

Dans ce deuxième temps, nous allons analyser le l'acharnement des femmes grévistes qui sont les plus violentes; on peut le comprendre en revenant un peu plus tôt dans le texte les femmes sont le sont plus persécuter dans le coron surtout par Maigrat qui leurs donner de la nourriture en échange de service sexuelle. En parlant de Maigrat, justement, les femmes ont leur revanche,en effet, en jouant avec sont cadavre et en arrachant ses partis génitales et en les issants en au d'un battons les femmes ont telles assouvit leurs vengeance?. Lorsque les bourgeois voient ce battons, ils s'imaginent, dans leur naïveté, qu'il s'agit d'une "peau de lapin" ou d'un "débris de porc" ce qui nous montre pour la deuxième fois que Zola veut rabaisser les bourgeois. Est-ce que la mort de Maigrat va être considéré comme l'acte de trop qui va alors pousser les bourgeois a trouver une solutions. Ou bien une mort bien trop injuste qui va pousser les bourgeois a rester sur leurs positions.
Le chapitre s'acheva sur le pâtissier qui malgré tout le raffut arriva a bon port un fois la révolte dissiper par les forces de l'ordre. Cela signifie peut être que malgré la révolte les bourgeois sans sorte vainqueur.

11. Le 06 mars 2016, 20:53 par mme baudry

Attention! revoyez bien les différences entre un article de journal et un commentaire littéraire.
Pour l'instant, celui qui s'en rapproche le plus est le n°8.

12. Le 06 mars 2016, 22:32 par theophile

Nous allons traiter le chapitre V de la partie 5 du livre d'Emile Zola écrit en 1885. Dans cette partie du livre, vous pourrez apercevoir des conflits de tailles entre deux classes/famille de haut types sociaux et la folie des mineurs qui fait rage.
Dans cette partie, la violence domine complétement le chapitre, mené contre les Hennebeau. Ce chapitre est le reflet parfait du naturalisme évoque par Zola. Nous pourrons remarquer que les Hennebeau/haute bourgeoiserie sont embarrassés est sont totalement désemparés. De plus, les femmes, montrées de "type" calme par Zola vont complétement sortir de leurs "univers" et vont elles aussi se déchainer pour une fois.
Les mineurs meurent de faim et décide donc de s'attaquer à la boutique de Maigrat mais cet évènement est tragique car Maigrat, en essayant de se sauver, tombe et meurt.
Les femmes vont alors "exploser" et vont démontrer le plus gros acte de ce chapitre et même du livre car elle vont découper les testicules de Maigrat et les brandir en l'air en gage de victoire pour toute les fois ou Maigrat aura abusé d'elles.
Le Coron devient alors désastreux laissant la folie envahir le chapitre et même la suite.