stage 2 français
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 17 avril 2015, 20:58 - Lien permanent
http://www.site-magister.com/sujets29.htm#SESPol
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 17 avril 2015, 20:58 - Lien permanent
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Commentaires
http://blog.crdp-versailles.fr/lecturelaurencin/index.php/post/17/04/2015/Stage-Fran%C3%A7ais-1
Présents: Morgan, Manon, Julie C, Nabil, Erwan, Nicolas d, Aurélien.
Rupture textes ( XVème- XVIIème siècle) ( XXème siècle)
4 textes = essais
4 textes = histoire d'amour tragique
Rousseau = siècle des Lumières et Montaigne = époque pré-révolutionnaire, monarchie
Alain, Albert = époque entre guerres
Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ?
Bonheur = différents personnes, époque
Rousseau, bonheur = libre
Plan
I) Bonheur= Contempler, Profiter Vie
Texte A = Texte D
différent texte B et C
("Notre grand et glorieux chef-d'œuvre, c'est vivre à propos" et "un grand bonheur se balance dans l'espace.." ) Textes = contempler nature = plaisirs vie
II) Bonheur = Détacher regrets/craintes Homme
Texte B = Texte C
différents textes A et D
( " Le passé et l'avenir n'existent que lorsque nous y pensons" et " nos affections qui s'attachent aux choses extérieures passent et changent" ) textes = s'affranchir douleur, temps = profiter plaisirs vie
Objet d'étude : La question de l'homme dans les genres de l'argumentation du XVlème à nos jours.
Textes :
Texte A : Michel de Montaigne, De l'expérience in Essais III, XIII, 1588.
Texte B : Jean-Jacques Rousseau, Cinquième Promenade in Les Rêveries du Promeneur solitaire, 1778.
Texte C : Alain, « La danse des poignards » in Propos sur le bonheur, 1928.
Texte D : Albert Camus, « Noces à Tipasa » in Noces, 1939.
1) points communs : texte C et D 20eme siècle
différences : texte A 16eme siècle , texte B 18eme siècle
2)
a) -C'est non seulement la fondamentale, mais la plus illustre de vos occupations.
-nature n'a que faire de fortune
b) - appeler bonheur un état fugitif
-nos affections qui s'attachent aux choses extérieures passent et changent nécessairement comme elles
-nous fait regretter quelque chose avant, ou désirer encore quelque chose après
- tant que cet état dure celui qui s'y trouve peut s'appeler heureux,
-tant que cet état dure on se suffit à soi-même comme Dieu.
c) -Le passé et l'avenir n'existent que lorsque nous y pensons
-Au lieu de porter une minute, nous portons une heure; au lieu de porter une heure, nous portons une journée, dix journées, des mois, des années
-Tout change, tout passe. Cette maxime nous a attristés assez souvent; c'est bien le moins qu'elle nous console quelquefois.
d) -Ce n'est pas si facile de devenir ce qu'on est
-Sous le soleil du matin, un grand bonheur se balance dans l'espace
-c'est la mélodie du monde qui parvient jusqu'à nous
4)
I. les caractéristiques du bonheur
textes : a et d
II. la durée du bonheur
textes : b et c
texte A XVIe s
texte B XVIIIe s
texte C et D XXe s
même objet d'étude : q° de l'H ds l'argumentat°
même genre littéraire : texte en prose, essais
texte D : début 2eme GM
différentes visions du bonheur : ce qui fait que les personnages sont heureux dans les différents textes, différente = pas les même vision dans les textes
I- le bonheur c’est l’instant présent
B=C : texte b « et comment peut-on appeler bonheur un état fugitif qui nous laisse encore le cœur inquiet et vide, qui nous fait regretter quelque chose avant, ou désirer encore quelque chose après ? »
Texte c « pense au présent; pense à ta vie qui se continue de minute en minute; chaque minute vient après l'autre; il est donc possible de vivre comme tu vis, puisque tu vis »
= bonheur présent car futur et passé tristesse
II-le bonheur c’est
Texte issue de périodes différentes, XVIème, XVIIIème et XX ème
Même genre=roman sauf texte A= essais
Texte B un peu avant la révolution francaise
Texte C pendant l’entre deux-guerre et texte D début de la 2nd guerre mondial
Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ?
Bonheur, différentes visions du bonheur
Qu’est ce que le bonheur ? que faut-il faire pour être heureux ?
Plan :
I- le bonheur c’est un « plaisir naturel »
II- le bonheur est un instant présent qui est limité dans la durée « état dure celui qui s'y trouve peut s'appeler heureux » texte C =texte D = texte B ≠ texte A
III- le bonheur est une douleur morale
descriptif du corpus :
- 4 textes de périodes différentes sauf les 2 derniers (1928/1939)
- 1 essai (texte A), 3 romans
-texte C après la 1ère guerre mondiale, texte D au début de la seconde guerre mondiale, texte B avant la révolution, texte A : texte le plus vieux.
Repérage de la question :
- qu'est ce qui rend l'Homme heureux ?
- différent point de vue en fonction de l'auteur
- hypothèse : il doit y avoir une différence entre le texte A et le texte B car ce sont des époques très différentes avec un régime politique différents.
plan :
Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ?
I. La nature rend heureux
a) bonheur c'est les choses naturel : ", jouir si pleinement des plaisirs naturels" texte A = texte D ". Sous le soleil du matin, un grand bonheur se balance dans l'espace."
b) le temps : "Je voudrais que cet instant durât toujours"
> texte B> le temps à une répercussion sur le bonheurII. il faut souffrir pour être heureux
a) texte C --> vocabulaire de la douleur qui domine différent du texte B où la joie/le bonheur est bcp plus présente
Texte A = 16ème siècle
Texte B = 18ème siècle
Texte C = 20ème siècle
Texte D = 20ème siècle
Diversité chronologique entre les deux premiers textes ≠ texte A et B = aucune diversité chronologique
Quatre textes rassemblés pr le genre argumentatif, unité du corpus
Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ?
Visions du bonheur différente entre les textes A et B et C et D
C et D peut être même vision du bonheur entre les deux textes = 20ème siècle changement de contexte
Texte A :
la douceur de cette solitude
l'ordre et tranquillité
Notre grand et glorieux chef-d'œuvre, c'est vivre à propos.
ici-bas que du plaisir qui passe; pour le bonheur qui dure je doute qu'il y soit connu
bonheur un état fugitif
tant que cet état dure celui qui s'y trouve peut s'appeler heureux
De quoi jouit-on dans une pareille situation ? De rien d'extérieur à soi,
Texte C :
Ennemi du bonheur : le passé, les regrets
Texte D :
Sous le soleil du matin, un grand bonheur se balance dans l'espace..
Bonheur = nature, soleil
Description de la nature
I. Fuir le passé et ne pas penser a l’avenir pour être heureux
Texte B & C.
Texte B = Rousseau semble ne pas croire au bonheur cependant il dit que si il existe il ne faut pas « avoir besoin de rappeler le passé ni d’enjamber sur l’avenir » = moment présent = bonheur cependant il faut que cet état dure pour pouvoir se considérer « heureux » « tant que cet état dure celui qui s’y trouve peut s’appeler heureux »
Texte C = « pense au présent » avenir = peur ≠ bonheur « mais l’avenir m’effraie » il ne faut pas avoir de regrets = ne pas penser au passé
II. Le bonheur dans la solitude
Texte A et D = deux textes avec des auteurs qui s’expriment dans la solitude
Texte A = « la douceur de cette solitude » « l’ordre et la tranquillité »
Texte D = semble être seul avec la nature, nature, soleil = bonheur, ce satisfait de peu
http://www.lyc-descartes-montigny.a...
Ce corpus est composé de quatre textes. Tous ces textes sont des essais mais ils sont diférents de part leur époque. Le texte A, « Essais » de Michel de Montaigne date du XVIème siècle, le B, « Les rêveries du promeneur solitaire » de Jean-Jacque Rousseau est de l’avant révolution. Le texte C, « Propos sur le bonheur » de Alain date de l’entre deux-guerres et le D, « Noces à Tipasa » de Albert Camus du début de la seconde guerre mondiale sont du même siècle. Ces textes ont pour sujet commun le bonheur. Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ?
D’emblée, on peut voir que dans les textes C et D on nous dis que pour être heureux, il ne faut pas fuir le passé et ne pas penser au présent. Dans le texte B Rousseau semble ne pas croire au bonheur cependant il dit que si il existe il ne faut pas « avoir besoin de rappeler le passé ni d’enjamber sur l’avenir » c'est-à-dire ne penser qu’au moment présent. Cependant le bonheur doit pouvoir durer pour qu’on puisse se considérer comme « heureux ». Comme il est dit dans le texte B « tant que cet état dure celui qui s’y trouve peut s’appeler heureux. Dans le texte C Alain « pense au présent », l’avenir fait peur et est contraire au bonheur « mais l’avenir m’effraie ».
En effet le bonheur peut aussi se trouver dans la solitude comme on nous le dit dans les textes A et D les auteurs de ces deux textes s’expriment sur le bonheur, dans la solitude. Dans le texte A, de Montaigne nous parle de « la douceur de cette solitude » et de « l’ordre et la tranquillité » quant à Camus, il semble être seul avec la nature. Le soleil est une source de bonheur pour lui.
La nature est une chose qui peut rendre quelqu’un heureux si cette personne l’aime. Le texte A et le texte D se rapproche pour dire que le bonheur vient des choses naturelles de la vie et de la nature. Dans le texte D, Camus nous dit que « c’est la mélodie du monde qui jusqu’à nous », «la mer qui roule ses chiens blancs », «. Sous le soleil du matin, un grand bonheur se balance dans l'espace » et dans le texte A de Montaigne nous parle de « jouir si pleinement des plaisirs naturels ».
Pour conclure le bonheur est quelque chose de personnelle. Chaque personne peut avoir sa propre perception du bonheur certains trouve leur bonheur dans la solitude comme de Montaigne par exemple, d’autre au contact de la nature comme Camus. Le texte qui m’a le plus touché est celui de Rousseau car c’est celui qui exprime le mieux sa perception du bonheur avec un exemple concret « . Tel est l'état où je me suis trouvé souvent à l'île de Saint-Pierre dans mes rêveries solitaires, soit couché dans mon bateau que je laissais dériver au gré de l'eau, soit assis sur les rives du lac agité, soit ailleurs, au bord d'une belle rivière ou d'un ruisseau murmurant sur le gravier.
Dans ce corpus nous pouvons remarquer que les quatre textes ont des différences mais aussi des similitudes. Le texte A de Michel de Montaigne et le texte B de Jean-Jacques Rousseau « les rêveries du promeneur solitaire » n’appartiennent pas au même siècle, ce qui n’est pas le cas pour le texte C d’Alain « propos sur le bonheur » et le texte D d’Albert Camus « Noces a Tipasa » qui eux appartiennent tout les deux au XXème siècle, il n’y a pas de diversité chronologique. Le texte C fut écrit après la 1ère guerre mondiale, le texte D au début de la seconde et enfin le texte B avant la révolution. Cette diversité chronologique peut entraîné une différence entre ces textes dans la vision du bonheur que les auteurs proposent. Ces quatre textes sont rassemblés par le genre argumentatif, ce sont tous des essais. Après avoir étudier les quatre textes du corpus nous tenteront de répondre à la question suivante « Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ? »
Pour commencer nous pourrons parler de la nature, qui suffit a certains dans la conception du bonheur. Les textes A et D proposent les mêmes idées par rapport a la nature, dans le texte A « jouir si pleinement des plaisirs naturels » l’auteur ne voit son bonheur que dans la nature, il ce satisfait de choses simples tout comme dans le texte D « Sous le soleil du matin, un grand bonheur se balance dans l’espace. » Le « soleil » représente la nature ainsi que « l’espace », il y a beaucoup de description du paysage pour accentuer ce que l’auteur veut faire comprendre au lecteur.
Tandis que certains sont heureux dans la nature, d’autres voient le bonheur dans la solitude, et ce sont souvent les mêmes. La nature suffit a leur bien être. Les auteurs des textes A et B s’expriment dans la solitude, dans le texte A « la douceur de cette solitude », « l’ordre et la tranquillité » pour eux, être heureux ne signifie pas être accompagné, dans leur solitude il y à toujours un rapport a la nature. Dans le texte D l’auteur semble être seul avec le soleil, il est heureux et ce satisfait de peu, il décrit le moindre bruit autour de lui. Certaines choses qui pourraient nous déranger semble même lui plaire « les concerts d'insectes somnolents »
Enfin, pour certain être heureux c’est fuir le passé et ne pas penser a l’avenir. Pour illustrer cela nous parlerons des textes B et C. Dans le texte B Rousseau semble ne pas croire au bonheur, cependant il dit que s’il existe il ne faut pas « avoir besoin de rappeler le passé ni d’enjamber sur l’avenir », pour lui le moment présent est le bonheur, cependant cela ne suffit pas pour ce considérer « heureux », il faut également que cet état dure. Dans le texte C l’avenir semble être une peur pour l’auteur, ce qui est en contradiction avec le bonheur « mais l’avenir m’effraie », pour lui il ne faut pas pensé au passé, et ne pas non plus avoir de regrets.
Pour conclure nous pourrons dire que la vision du bonheur est quelque chose de personnel, certains seront heureux a plusieurs en ne pensant qu’aux moments présents, d’autres ce considéreront heureux seul avec la nature. Nous pouvons être plus sensible au texte d’Albert Camus par la façon dont celui-ci écrit, il transmet ces idées par de nombreuses descriptions, de fleures, de paysages, d’odeurs, qui donnent au lecteur une impression de s’y trouver. L’auteur nous fait voyager.
Dans ce corpus nous pouvons remarquer que les quatre textes ont des différences mais aussi des similitudes. Les textes sont du même genre littéraire ce sont des textes en prose, des essais, des textes philosophiques, où les auteurs décrivent leurs visions de la vie. Ils sont tous regroupé dans le thème de la question de l'homme dans l'argumentation. Le texte A «Essais, De l'expérience.» de Michel de Montaigne a été écrit au XVIe siècle , le texte B « Les Rêveries du promeneur solitaire, Cinquième promenade. » de Jean-Jacques Rousseau a été écris au XVIIIe siècle. Les textes C « Propos sur le bonheur » de Alain et D « Noces à Tipasa » d’Albert Camus ont, eux, été écrit au même siècle, le XXe siècle. Après avoir étudier les quatres textes du corpus nous tenteront de répondre a la question suivante : Qu'est-ce qui , selon les quatre textes du corpus, rend l'Homme heureux? D’après cette question nous pouvons remarquer que les auteurs ont différents points de vue sur ce sujet. Dans le corpus nous avons des textes qui se passe durant des périodes donc très différentes : en effet, le texte C après la 1ère guerre mondiale, texte D au début de la seconde guerre mondiale, texte B avant la révolution, et le texte A est le texte le plus ancien.
D'emblée, nous pouvons remarquer que les auteurs font souvent un rapprochement entre la nature et le bonheur, nous pouvons donc en déduire que la nature rend heureux, dans le texte A on peut voir que « la nature n'a que faire de fortune », nous pouvons comprendre cette allusion comme le fait que le destin ne change pas le bonheur que la nature peut nous apporter, le texte D est assez similaire, « Sous le soleil du matin, un grand bonheur se balance dans l'espace », à travers l'expression « C'est non seulement la fondamentale, mais la plus illustre de vos occupations. » nous voyons que pour ces auteurs la nature est donc fondamentale au bonheur comme le bonheur l’est à la vie.
En second lieu nous observons que le bonheur dans la solitude est omni present dans ces textes, en effet, dans les textes D et A : « la douceur de cette solitude » « l’ordre et la tranquillité » « c'est la mélodie du monde qui parvient jusqu'à nous » montre que les auteurs s’expriment dans la solitude, ils semblent être seuls avec la nature, le soleil et donc le bonheur, selon eux, il se satisfont donc de peu. Le texte B rejoint également cette idée de bonheur dans la solitude car nous pouvons voir que « tant que cet état dure on se suffit à soi-même comme Dieu. » et « tant que cet état dure celui qui s'y trouve peut s'appeler heureux » cela montre encore une fois que la vison du bonheur de ces auteurs sont assez similaires.
Nous pouvons également constater que selon ces auteurs fuir le passé et ne pas penser a l’avenir est la clef pour être heureux, pour commencer dans le texte b on peut lire que « nos affections qui s'attachent aux choses extérieures passent et changent nécessairement comme elles » on remarque donc que selon cet auteur, tout est éphémère, que le bonheur ne peut pas rester constamment attacher a une seule source de satisfaction, comme le texte C nous le dit « Tout change, tout passe. Cette maxime nous a attristés assez souvent; c'est bien le moins qu'elle nous console quelquefois. » il dit également qu’il faut « penser au présent » car « l’avenir l’effraie » il ne faut pas avoir de regrets donc ne pas penser au passé, « Le passé et l'avenir n'existent que lorsque nous y pensons » cette expression nous confirme que d’apres ces auteurs lorsque que nous nous retourner vers le passé ou lorsque nous ne vivons pas l’instant present, cela « nous fait regretter quelque chose avant, ou désirer encore quelque chose après » comme l’auteur du texte B nous le dit si bien, pour finir le texte C nous rappelle que le temps est important,qu’ « Au lieu de porter une minute, nous portons une heure; au lieu de porter une heure, nous portons une journée, dix journées, des mois, des années », le bonheur contribue donc au bon déroulement de notre vie, car en effet, « Ce n'est pas si facile de devenir ce qu'on est » comme dirait l’un de ces auteurs.
Comme nous l'avons donc montré, ce qui rend l’homme heureux est une multitudes d’actions et de façons de pensée et d’avancés, suite a cette étude nous pouvons également nous demandez si l’homme pourrait vivre sans une once de bonheur ?, le texte de Alain sur la définition du bonheur est également remplit d’interrogation cela donc donne plus de plaisir a lire et nous pousse également a s’interroger sur le sujet du : bonheur.
Ce corpus est constitué de quatre textes bien différent du fait de leur courant littéraire mais aussi du fait de leur vision sur la question de l’Homme. Malgré ces différences, des similitudes sont frappantes lors de la lecture. Le texte A a été écrit par Michel de Montaigne au XVIéme siècle extrait des « Essais », alors que le texte appartient à un siècle très différent : le siècle de la seconde guerre mondiale, cette œuvre a été écrite par Camus, s’intitulant « « Noces à Tipasa ». Le texte B écrit avant la Révolution Française s’intitule « Les Rêveries du Promeneur solitaire » et d’un autre texte écrit par Alain après la seconde guerre mondiale « in Propos sur le bonheur ». Ces textes se ressemblent car ils traitent la question du bonheur. Nous pouvons donc nous poser une question : Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ?
Dans ce corpus nous pouvons remarquer que les quatre textes ont des différences mais aussi des similitudes. Les quatre textes sont de même genres littéraires, ce sont des essaies écrient en prose et ils sont tous regroupés dans le thème de la question de l'homme dans l'argumentation. Le texte A "De l'expérience" in Essais III a été écris par Michel de Montaigne au XVIème siècle , le texte B "Cinquième Promenade" in Les Rêveries du Promeneur solitaire a été écris par Jean-Jacques Rousseau au XVIIIème siècle. Les texte C et D c'est a dire « La danse des poignards » in Propos sur le bonheur écris pas Alain et « Noces à Tipasa » in Noces écrit par Albert Camus au début de la seconde guerre mondial ont été écris au XXème siècle. Après avoir étudier les quatre texte du corpus nous tenteront de répondre a la question suivante : Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ? Cette question nous apprend que du XVIème siècle au XXème siècle la question de la vision du bonheur est toujours remis en cause.
Pour commencer nous pouvons constater que dans les textes c'est la nature rend heureux.
En effet le texte A et le texte D présente tout deux cette vision du bonheur : dans le texte A, ", jouir si pleinement des plaisirs naturels", et dans le texte D "Sous le soleil du matin, un grand bonheur se balance dans l'espace.." ces deux textes nous montre que c'est en contemplant la nature que l'homme devient heureux. Le bonheur dépend donc du paysage, de la nature.
En second lieu nous pouvons remarquer que le bonheur c'est l'instant présent .
En effet les texte B et C partage cette vision du bonheur : dans le texte B, b « et comment peut-on appeler bonheur un état fugitif qui nous laisse encore le cœur inquiet et vide, qui nous fait regretter quelque chose avant, ou désirer encore quelque chose après ? » et dans le texte C , « pense au présent; pense à ta vie qui se continue de minute en minute; chaque minute vient après l'autre; il est donc possible de vivre comme tu vis, puisque tu vis ». Ces deux texte nous prouve que le bonheur c'est de ce consacré au présent car le futur et le passé sont signe de tristesse.
Dans un dernier temps le bonheur c'est aussi d'être seul.
En effet les textes A et D montre bien cette vision du bonheur : dans le texte A "l'ordre et tranquillité à notre conduite" et dans le texte D "à tenter d'accorder ma respiration aux soupirs tumultueux du monde " dans ce texte l'homme parait seul avec la nature ce qui le rend heureux.
Dans ces texte plus l'homme est seul plus ils est satisfait.
Cette vision est en contradiction avec celle du texte C " Cet amoureux maltraité, qui se tortille sur son lit au lieu de dormir, et qui médite des vengeances corses" dans ce texte Alain nous dit qu’être seul c'est être triste.
Ensuite dans le texte B, "De rien d'extérieur à soi, de rien sinon de soi-même et de sa propre existence, tant que cet état dure on se suffit à soi-même comme Dieu" on apprend que être heureux c'est ce consacrer a soi même et pas aux choses extérieures.
Pour conclure ces quatre textes ont une notion de bonheur différente mais avec quelques similitudes. Certains nous expliquent que le bonheur c'est de se consacrer exclusivement a soit et pas au monde extérieur tandis que d'autres nous disent de vivre l'instant présent. Le texte le plus clair et le plus compréhensif est le texte de Rousseau qui nous montre bien que le bonheur c'est l'instant présent et qu'il ne faut pas regarder dans le futur ni revenir sur le passer car le risque de nostalgie est présent et nous gâche ce bonheur.
Ces quatre textes sont des textes différents par leurs époque le texte C « La danse des poignards » de Alain et le texte D d’Albert Camus, « Noces à Tipasa » font partie du XX e siècle, dans un contexte de guerre. Les textes A de Alain, « La danse des poignards » a été écrit au XVI e siècle et le texte B de Rousseau a été écrit au XVIIIe siècle. Cependant ces textes ont aussi des similitudes, ce sont tous les quatre des textes philosophiques, des descriptions des visions du bonheur pour les auteurs. Après avoir étudier les quatre textes du corpus, il conviendra de répondre a la question suivante : Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ?
D'emblée, nous pouvons constater que dans la nature a une place importante dans ce bonheur, Dans les textes A, B et D la nature prend une place primaire, les choses naturelles nous suffis. « Sous le soleil du matin, un grand bonheur se balance dans l'espace.», Rousseau rejoins l’idée de Camus, dans le texte B on remarque que on peu jouir sans aucune choses d’extérieur a soi, nous n’avons besoin de personne pour cela. Texte A = « la douceur de cette solitude » « l’ordre et la tranquillité » la solitude, la tranquillité et la nature semble être la clé du bonheur.
D’autre part, il faut vivre l’instant présent pour pouvoir profiter du bonheur. Dans le texte C, Alain met en évidence le bonheur présent, selon lui le passé et le futur n’existent pas si nous n’y pensons pas. Le temps à une répercussion sur le bonheur
Ce corpus regroupe quatre essais racontant et comportant des différences et communes sur la question du bonheur chez l’Homme. Malgré leurs différentes époques où ils se situent, au XVIème et XVIIIème siècles pour « De L’expérience » de Michel de Montaigne et « Cinquième promenade » de Rousseau et XXème siècle pour « la danse des poignards » d’Alain et « Noces à Tipasa » d’Albert Camus. Alain et Camus, nous parlent du Bonheur pour q’ont souffrent moins, qu’on soit plus heureux pendant cette période de crise, de guerre et de reconstruction. n peut se poser Quelles sont les différentes visions du bonheur que proposent ces textes ? n commençant par parler de la nature, puis de la solitude et enfin terminer par fuir le temps pour être heureux
D’emblée, nous pouvons constater que le Texte A, B et D, nous parle d’un bonheur qui serait comblé par la contemplations de la nature elle-même avec Rousseau qui dit « couché dans mon bateau que je laissais dériver au gré de l'eau », mais cette contemplations est plus présentes chez Camus, comme si il nous racontait sa journée à Tipasa avec « Que ures passées à écraser les absinthes, à caresser les ruines, à tenter d'accorder ma respiration aux soupirs tumultueux du monde ! » ou encore « a mer qui roule ses chiens blancs »
Puis, nous pouvons remarquer que, la contemplations de la nature s’accompagne de la solitude de la personne, ce qui rapproche les textes A, B et D quand par exemple, Montaigne dit « Je me promène solitairement en un beau verger » ou quand Rousseau dit « mes rêveries solitaires » ou encore quand Albert passe sa journée à Tipasa, il est seul à contempler la nature, les insectes, les plantes,… C’est pour cela qu’on peut dire que la contemplations de la nature amène à la solitude qui amène à réfléchir, à rêver, à penser,… Mais, Alain dit cela ne sert à rien de contempler la nature, car la solitude amène à la douleur et à penser aux regrets et aux craintes de notre existence.
Enfin, nous pouvons voir que cette contemplation de la nature est une contemplations de ses regrets et ses craintes qu’il faut essayer de s’affranchir comme explique Montaigne et Rousseau avec « le passé et l'avenir n'existent que lorsque nous y pensons » et « sans avoir besoin de rappeler le passé ni d'enjamber sur l'avenir ». Alors que Camus et Montaigne profite d’un bonheur présent en mettant leurs textes aux présents et en disant « un grand bonheur se balance dans l'espace.. » et « Notre grand et glorieux chef-d'œuvre, c'est vivre à propos »
Pour conclure, On peut dire que le Bonheur est un état de contemplation de la nature qui s’accompagne de la solitude et des réflexions qu’on se fait du monde, mais s’accompagne aussi des regrets, des craintes et des douleurs qu’on se fait en pensant au passé et à l’avenir. Il faut donc essayer de s’affranchir de ce temps comme dit Alain « Tout change, tout passe ». Enfin, j’ai trouvé le texte d’Albert Camus, plus vivant car il raconte tout ce qui voit et est comme déconnecter de la vie car il n’a pas d’heure concrète. Donc, on peut dire que le bonheur dure tout le temps.
Rappel méthode invention :
1) l’analyse du sujet : quels en sont les mots importants ? déterminez le contenu de votre écrit (les idées de votre texte en fonction de ces indications).
2) l’analyse des textes du corpus qui
a. qui vous donnent des idées supplémentaires
b. qui vous donnent des indications sur la façon d’écrire : quelles figures de style ? quel temps ? quel pronom ? quel rythme ? quel registre ? quelles thématiques ?
3) l’écriture du plan : de quoi vais-je parler dans chaque paragraphe ?
4) l’écriture du brouillon
5) la réécriture sur la copie en améliorant le style, en rajoutant des idées (relire le corpus) et en corrigeant les fautes de langue : pas une simple recopie mais une amélioration du premier jetI- la montagne, la vue sur le paysage toute les montagnes aux alentours sont recouverte de neige, ce paysage tout blanc dégage beaucoup de pureté de bonheur
II- les sensations : de fraîcheur de la neige en contradiction avec la proximité du soleil qui engendre une source de chaleur, la fatigue de la montée qui est aussitôt oublié avec cette vue imprenable sur cette vaste étendu de montagne blanche.
III- seul face à l’immensité de ces montagnes, l’impression de n’être qu’un minuscule grain de sable par rapport à tous sa. La proximité avec la nature j’aperçois un aigle royal dans le ciel.
Paragraphe 1 : corse, épave, plongé, description, plonge dans un univers, espèce plus petite
Paragraphe2 : description de l’eau, courant d’eau froide, frisson, pas de barrière, et petit par rapport a l’océan
Paragraphe3 : le soleil, reflet sur l’épave sombre, me brûle à travers l’eau, m’envoûte
Paragraphe 4 : les poisson, nager, ils me frôle, je deviens un des leurs, je suis grand par rapport a eux
Paragraphe 5 : épave, crée un « village » au fond de l’océan, les pierre me font penser a plein de chose, coquillage, oreille siffle= profondeur, je suis grand et petit a la fois.
Paragraphe 6 : je remonte a la surface de l’eau, et dans un univers différent celui de l’infiniment grand, espèce plus grand
I. description du lieu, du ce qui nous entoure, l’Australie
a) la mer, le sable, la chaleur, le vent bleu, jaune, vague, coloré
b) le monde autour, ce qu’ils font surf, bateau, bar, musique
II. ce que je ressens
a) mes émotions, mes sentiments, mes sensations joie, sensation de ne pas pouvoir être mieux, joyeux grâce à l’ambiance, sensation de ne pas être seul même si personne n’est avec moi, la sensation d’être libre
b) les questions que je me pose, je me remets en question ne vaut-il mieux pas être seul ? La solitude engendre-t-elle une source de bonheur ?
PLAN
I) présenter contexte, lieu ; émerveillement ( vue), absence autres sensations ( Que de jours passées à découvrir
II) émerveillement + apparition ouie, toucher, absence goût + odorat + questionnement infini grand
III) questionnement infini petit + Homme/Univers
1. contexte
grand bal mondain, pour la nouvelle année / amour naissant, premier baiser, femme , salon prestigieux, couleurs pales et sobres, lumières, jeune homme éperdument amoureux, émerveillé par la beauté du lieu de l’atmosphère et de sa bien aimée
2. moment de bonheur
Amour, plaisir, cadre romantique, ambiance prestigieuse, danse, odeur parfum, palpitations, goûts, « mon cœur se calmait d'une étrange certitude , « c'est la mélodie du monde qui parvient jusqu'à nous »
3. réflexion sur cette illusion que l’on appelle l’amour
narrateur = prise de conscience, nouvelle vision de la vie, de l’amour
sentiment abstrait, marquant mais éphémère
L'amour, c'est aussi se découvrir en écoutant chanter des mots qui sont encore à inventer.
Jacques Salomé (psychosociologue français)
Aimer, ce n'est pas regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction.
Antoine de Saint-Exupery
Piètre amour que celui qui se laisse mesurer !
William Shakespeare
I. Description du lieu
Salle de spectacle, rideaux, lumières, public, sièges, costumes, musique, rouge, noir, espace immense, fumé, maquillage,
II. Moment de bonheur
Danse, bonheur, partage, musique, passion, sourires, stresse, public, fierté, adrénaline, grandiose, rires,
III. Réflexion sur le partage
solitude ≠ bonheur
partage = bonheur
vie en communauté
10: contresens: D’emblée, on peut voir que dans les textes C et D on nous dis que pour être heureux, il ne faut pas fuir le passé et ne pas penser au présent: NON! relire les textes. conclusion à revoir: pas de citation! 1/4
11: contradiction! "il n’y a pas de diversité chronologique." et "Cette diversité chronologique peut entraîné"...: manque de cohérence!! Des contresens sur les textes mais bonne conclusion. 2/4
12: contresens sur le texte C. Quelques incohérences. 2.5/4
13: "que le bonheur n’est pas apporté par le passé ni par le l’avenir, que le bonheur appartient au passé. "??? sens de cette phrase? Un niveau de réflexion encore trop faible. Des banalités. 1.5/4
14: un texte trop morcelé. Trop de citations. La conclusion n'ouvre pas vraiment sur autre chose. 1.5/4
15: texte inachevé. beaucoup de fautes. 1/4
16: un texte assez confus. Pas de citation en conclusion. 3ème partie en particulier très peu claire. 1.5/4
De nombreuses minutes passées au fon de cet espace qui vu de loin à l’air immense mais une fois à l’intérieur à l’air infiniment petit. Une sensation d’oppression s’empara de moi lorsque je fut fasse à ce mur rempli d’animaux marins, j’eu l’impression qu’ils me regardaient tous, comme si j’étais leur cible. Mais au final nous sommes pareil eux et moi, nous ne sommes que de simple bête dans un univers infiniment grand. Les couleurs sont renversantes, rien de mieux que d’être dans un endroit où tout est naturel, j’ai l’impression de voler, de me sentir libre dans un monde plein de contrainte où le regard est tueur. Je me sens revivre à travers cette eau d’Australie, dans l’océan. Seul au fond dans cette aventure, je me demande si la solitude ne satisfait le bonheur. Je lève la tête vers le ciel, je vis ce soleil brillant déposant ses vifs rayons sur cet océan huilé et calme.
Que d’heures passées à fouiller ce satellite écrasé dans jardin blanc, à découvrir tous ces outils nouveaux et étranges, tout étant dans un émerveillement total, je ne voyait plus que l’engin, je ne ressent plus le froid, je n’entend plus les bruits extérieurs, ni les odeurs de cramés, de voitures,… Mais au bout d’un moment, je me demandais qui l’avait envoyé, venait de Mars, de Pluton, de la Lune ou même de plus loin ? Et si, il venait d’un des endroits, m’écoutait-il, m’entendait-il, me voyait-il, m’étudiait-il ?
Je viens d’arriver en haut après cette longue ascension et comment dire… Je n’ai plus les mots. La beauté et émotions que transmet ce paysage sont indescriptibles. J’ai une vue imprenable sur tout le domaine. La fatigue de la montée est oubliée sur le champ des lors que j’ai aperçu ce somptueux panorama. Les massifs montagneux sont tous recouverts d’un épais manteau blanc. Toute cette vaste étendue de neige m’entraîne dans une euphorie sans raison. Ce paysage totalement blanc dégage beaucoup de pureté et de bonheur, une sensation de satisfaction. Le soleil aussi est présent dans le ciel. Il nous réchauffe avec cette proximité et contredit la fraîcheur de la neige qui nous entoure. Je me retrouvait seul l’espace de quelques minutes qui paraissaient être des heures à tel point que j’étais figé j’avais cette impression que le temps était arrêté et que j’étais seul au monde face à l’immensité de ces montagnes. J’aurais voulu que ce moment dure une éternité. J’avais aussi ce sentiment de n’être qu’un minuscule grain de sable par rapport à tous ce récifs montagneux.
Rien n’existe, en haut même le bruit assourdissant de toute la foule devient sourd. Du haut du Corcovado, je voyais tout Rio, de la foret jusqu’aux habitations, je vois toute la ville jusqu’au bout, la plage et le ciel ce rejoigne. Le domaine immense me semblait tellement petit.
Me voila habillée prête pour un voyage sensationnel dont je n’en oublierais jamais sûrement l’existence. Je suis sur le plus beau site d’épave de la Corse et mon cœur bât la chamade quand je suis sur le point de quitter le bateau. Je regarde l’océan et saute. L’eau me transperce et rentre en moi. A ce moment je rentre dans un tout autre univers que le notre, et les habitant de cet univers sont beaucoup plus petit alors qu’ils ont un habitat plus vaste et plus profond que le notre.
L’eau claire éclaire l’épave sombre. Un courant d’eau froide me fait frissonner, et c’est à ce moment que je m’aperçois que je n’ai plus de barrière, l’océan est tellement vaste que je n’en vois pas le bout. Je me découvre minuscule dans cet horizon qui m’entoure.
Le soleil fait entièrement vivre cet océan et cet univers, il se reflète sur l’épave qui se réchauffe et s’éclaire. Le soleil me brûle a travers l’eau froide donnant vie à une sensation que je n’avais jamais éprouver. Je suis comme envoûter par lui et je ne fais qu’un avec cet univers.Les poisson m’ont adopter et le nage avec eux, je suis devenu l’un des leurs.
Que d’heures passées à m’entraîner sur ce parquet craquant toujours sous le poids de mon corps a chaque mouvement réalisé. Malgré toutes les blessures que ce parquet abîmé par le temps et tout ces entraînements m’a infligé, la sensation que j’éprouve lorsque j’entre dans cette endroit est toujours la même depuis des années, j’aime l’odeur du bois, j’aime entendre les pas des danseuses, j’aime pouvoir apercevoir par les fenêtres ces grands par terre de fleures, entendre les oiseaux chanter,
Comme dirait William Shakespeare, « Piètre amour que celui qui se laisse mesurer », il y a bien des jours, des mois, voir des années ou des millénaires que je ne mesure plus cet amour inconditionnel que je porte a cette femme, je le savais ce soir serait le jour parfait pour conter mon innombrable amour à Rose, je me rappelle encore de son odeur parfumé lorsque je lui es tendu la main pour rentrer dans ce lieu merveilleusement beau, je me rappelle de ses yeux scintillants de bonheur lorsque celle-ci entra dans ce bal flamboyant de lumières et de parures étincelantes sur le cou de ces femmes dansant au milieu de ces tables rondes et majestueuses. Je le savait pertinemment, du moins je le voulait du plus profond de mon être, ce soir aller être un bouleversement dans ma vie, et si l’amour me rendait fou, aveugle et irrévocablement faible ? Et si un amour sans retour infligeait plus de souffrance que je ne m’y était préparer ? Et si seulement cet amour n’était qu’illusion, si tout cela était éphémère, cela vaudrait il la peine de risquer ce tournant a ma vie ? De nombreuses réflexions comme celles-ci me vint a l’esprit quand soudain je sentis des regards se poser sur moi, j’étais en effet au milieu de cette festivité, de ce lieu inexplicablement prestigieux, comme émerveillé par la beauté de l’atmosphère que ce bal dégageait, ces napperons sur ces tables au couleurs pales et sobres adoucissait mes yeux et ma vision de la vie
nombreuses minutes passées au fond de cet espace faisant partis d’un des plus beaux sites de plongée sous marine australiens qui vu de loin a l’air immense mais une fois à l’intérieur a l’air infiniment petit. Seul avec ma bouteille d’oxygène et ma combinaison je regarde le bateau qui vu d’en bas à l’air loin. Une sensation d’oppression s’empare de moi lorsque je fut fasse à ce mur rempli d’animaux marins, j’eu l’impression qu’ils me regardent tous, comme si j’étais leur cible. Mais au final nous sommes pareil eux et moi, nous ne sommes que de simple bête dans un univers infiniment grand. Les couleurs sont renversantes, rien de mieux que d’être dans un endroit où tout est naturel, j’ai l’impression de voler, de me sentir libre dans un monde plein de contraintes où le regard est tueur. Je me sens revivre à travers cette eau australienne, dans l’océan. Seul au fond dans cette aventure, je me demande si la solitude ne satisfait le bonheur. Je lève la tête vers le ciel, je vois ce soleil brillant déposant ses vifs rayons sur cet océan huilé et calme. A ce moment là je me demande si cette sensation de bien être et de solitude est la définition du bonheur. De nombreuses questions me traversent la tête sur mon existence, la raison de mon existence, de mon entourage. Ne vaut-il mieux pas être seul que mal accompagné ? La solitude est-elle une satisfaction du bonheur ? L’Homme n’est point qu’un point d’interrogation dans cet univers infiniment grand ?
Je viens d’arriver en haut après cette longue ascension et comment dire… Je n’ai plus les mots. Mon cœur bat la chamade. La beauté et les émotions que transmet ce paysage sont indescriptibles. J’ai une vue imprenable sur tout le domaine. La fatigue de la montée est oubliée sur le champ dès lors que j’ai aperçu ce somptueux panorama. Les massifs montagneux sont tous recouverts d’un épais manteau blanc. Toute cette vaste étendue de neige m’entraîne dans une euphorie sans raison. Ce paysage totalement blanc dégage beaucoup de pureté et de bonheur, une sensation de satisfaction. Le soleil aussi est présent dans le ciel. Il nous réchauffe avec cette proximité et contredit la fraîcheur de la neige qui nous entoure.
Je me retrouve seul l’espace de quelques minutes qui paraissent être des heures à tel point que je suis figé. J’ai cette impression que le temps est arrêté et que je suis seul au monde face à l’immensité de ces montagnes. J’aurais voulu que ce moment dure une éternité. J’ai aussi ce sentiment de n’être qu’un minuscule grain de sable par rapport à tous ce récifs montagneux. Il y a aussi cette impressionnante proximité avec la nature. J’ai distingué au loin dans le ciel un aigle royal. C’est un animal vraiment majestueux et de très grande envergure. Son plumage ressortait de tout cet amas de neige blanche. Je sentais que lui aussi était bien où il était. Certaines montagnes viennent chatouiller les nuages. A ce moment précis, j’étais un homme heureux du moins c’est pour moi la définition d’être heureux. Ce sentiment de bien être et de satisfaction tout en étant dans un cadre agréable et par-dessus tout qu l’on aime. Chacun est libre de penser qu’il ne serait pas heureux à ma place mais plutôt à autre endroit qui lui paraît être mieux. Moi c’est ici que je me sens bien et c’est ici que se trouve mon bonheur j’en suis persuadé…
Comme dirait William Shakespeare, « Piètre amour que celui qui se laisse mesurer », il y a bien des jours, des mois, voire des années ou des millénaires que je ne mesure plus cet amour inconditionnel que je porte à cette femme, je le savais ce soir serait le lieu parfait pour conter mon amour à Rose, je me rappelle encore son odeur parfumé lorsque je lui es tendu la main pour rentrer dans ce salon merveilleusement beau où allait se dérouler un incroyable bal de fin d’année, je me rappelle d’ailleurs de mes yeux scintillants de bonheur lorsque j’entra dans ce bal flamboyant de lumières et de parures étincelantes sur le cou de ces femmes dansant au milieu de ces tables rondes et majestueuses, j’en oubliais presque la femme qui se tenait à mes cotes, je le savait pourtant pertinemment, du moins je le voulait du plus profond de mon être, ce soir aller être un bouleversement dans ma vie, et si l’amour me rendait fou, aveugle et irrévocablement faible ? Et si un amour sans retour infligeait plus de souffrance que je ne m’y étais préparé ? Et si seulement cet amour n’était qu’illusion, si tout cela était éphémère, cela vaudrait il la peine de risquer ce tournant a ma vie ? De nombreuses réflexions comme celles-ci me vint a l’esprit quand soudain je sentis des regards se poser sur moi, j’étais en effet au milieu de cette festivité, de ce lieu inexplicablement prestigieux, comme émerveillé par la beauté de l’atmosphère que ce bal dégageait, ces napperons sur ces tables au couleurs pales et sobres adoucissait mes yeux et ma vision de la vie, je vis de nombreux miroirs se reflétant entre eux, laissant se répéter a l’infini la beauté des habits, des drap d’or, de l’élégance de ce lieu, des pantoufles de verre, des dentelle qui ardait les murs et des manteaux de fourrures à chaque dossiers de chaises que ce salon laissait apparaître. J’eus des palpitations lorsque j’entendis le doux son des violons qui survolait la pièce, cette douce mélodie qui berçait ce moment de bonheur.
Que d’heures passées à m’entraîner sur ce parquet craquant toujours sous le poids de mon corps a chaque mouvement réalisé. Malgré toutes les blessures que ce parquet abîmé par le temps et tout ces entraînements m’a infligé, la sensation que j’éprouve lorsque j’entre dans cet endroit est toujours la même depuis des années, j’aime l’odeur du bois, j’aime entendre les pas des danseuses, j’aime pouvoir apercevoir par les fenêtres ces grands parterre de fleurs, entendre les oiseaux chanter, sentir les rayons du soleil sur mon visage, j’aime également pouvoir partager cette passion qu’est la danse avec d’autres, j’aime pouvoir me nourrir de leurs sourires, me plonger dans leurs regards rempli de bonheur. Cet endroit m’inspire la joie, je pense qu’il est impossible d’être triste en entrant ici. J'ouvre les yeux et mon cœur à la grandeur insoutenable de ce lieu. Ceci est peut-être aberrant mais c’est ici que je me sens moi-même, et que je suis bien.
Rien n’existe plus, en haut même le bruit assourdissant de toute la foule devient sourd. Du haut du Corcovado, je vois tout Rio, de la foret jusqu’aux habitations, je vois toute la ville jusqu’au bout, la plage et le ciel ce rejoigne. Le domaine immense me semblait tellement petit.
Je suis resté jusqu'à la tombé de la nuit. Je n’avais pas vu le temps passer. Sous ce ciel j’eus passé un moment remplis de bonheur je n’oublierais jamais l’existence de ce lieu de ce moment.
Me voila habillée prête pour un voyage sensationnel dont je n’oublierais jamais l’existence. Je suis sur le plus beau site d’épave de la Corse et mon cœur bât la chamade quand je suis sur le point de quitter le bateau. Je regarde l’océan et saute. L’eau me transperce et rentre en moi. A ce moment je rentre dans un tout autre univers que le notre, et les habitants de cet univers sont beaucoup plus petits alors qu’ils ont un habitat plus vaste et plus profond que le nôtre.
L’eau éclaire l’épave sombre. Un courant d’eau froide me fait frissonner, et c’est à ce moment que je m’aperçois que je n’ai plus de barrière, l’océan est tellement vaste que je n’en vois pas le bout. Je me découvre minuscule dans cet horizon qui m’entoure.
Le soleil fait entièrement vivre cet océan et cet univers, il se reflète sur l’épave qui se réchauffe et s’éclaire. Le soleil me brûle à travers l’eau froide donnant vie à une sensation que je n’avais jamais éprouvée. Je suis comme envoûtée par lui et je ne fais qu’un avec l’océan.
J'apprends à respirer, je m'intègre, je m’abandonne. Je découvre des milliers d’espèce de poissons qui me sont inconnues. Ils sont encore plus petit que moi et ne noient dans cet océan à perte de vue. Ils ont l’air calment et n’ont pas peur de moi. Cela me fait réfléchir à notre place dans le monde et je m’étonne qu’ils restent aussi passifs. Mais les poissons m’ont adopté, je nage avec eux, je suis devenu l’un des leurs.
Que d’heures passées à fouiller ce satellite écrasé dans mon jardin recouverte de son manteau blanc d’hiver, à découvrir tous ces outils nouveaux et étranges, tout étant dans un émerveillement total. Je ne vois plus que l’engin, je ne ressent plus le froid, je n’entend plus les bruits extérieurs, ni les odeurs de fumées,… Mais au bout d’un moment, je me demandais qui l’avait envoyé, venait-il de Mars, de Pluton, de la Lune ou même de plus loin ? Et si, il venait d’un des endroits, m’écoutait-il, m’entendait-il, me voyait-il, m’étudiait-il ? Le satellite était d’un noir éclatant de blancheur qui le camouflait avec cette neige qui était d’un blanc sombre de noirceur.
Puis, j’entendis un bruit venant de cette machine, est-ce quel détraqué ? Ou peut-être, était-ce les inconnus du satellite qui m’examinent. J’ai essayé d’arrêter de sons, en le réparant avec une sorte de tournevis mais cela ne marchait pas après plusieurs essais. Des heures plus tard, j’étais devenu fou avec de sons.
38: pas de réflexion sur la condition humaine. Attention au hors-sujet et à ne pas tomber dans l'écriture d'une nouvelle de SF.
37: un beau texte descriptif. La réflexion sur la condition humaine aurait dû être plus poussée (infiniment grand/petit; l'éphémère de la vie avec l'épave...). 11/16. 8-)
36: un texte trop court: il manque une description accrocheuse. Pourtant, un bonne idée de départ.
35: pas de réflexion générale sur la condition humaine!! C'est un texte assez bien écrit mais il faut relire le sujet.
34: c'est un lieu qui aurait dû inspirer au contraire une réflexion sur le côté superficiel de ces réjouissances par exemple (texte d'un moraliste) . Trop de superlatifs: l'émerveillement n'en paraît que plus artificiel.
33: pas assez de description précise. De plus, la réflexion sur la condition humaine n'est pas assez développée! 9/16.
32: où commence le texte? des maladresses dans l'expression écrite. Cependant, un effort dans le questionnement existentiel posé par le paysage. 10/16.