Stage Français 1

http://www.site-magister.com/sujets25.htm#SPond

Commentaires

1. Le 17 avril 2015, 21:01 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

Question transversale: rappel méthode:

1) analyse du descriptif du corpus (éléments pour l'intro): qu'est-ce qui justifie le regroupement entre ces textes? qu'est-ce qui au contraire semble différencier ces textes?unité? diversité chronologique? unité? diversité générique?importance du contexte historique?

2) repérage de la question transversale (analyse: éléments pour l'intro): quels sont les mots importants? quels enjeux posent-ils? à quoi cette question peut vous faire penser?

3) lecture avec relevé de citations qui répondent à la question

4) plan qui regroupent les textes en les comparant: reprenez les termes de la questions pour construire les parties.

5) rédaction: intro (présentation du corpus + question)/ développement (connecteurs logiques / citations/ lexique de l'analyse littéraire)/ conclusion (rappel de la réflexion/ ouverture sur le texte le plus frappant au niveau de la façon d'écrire, du style: le texte le plus clair? le plus poétique?)

2. Le 17 avril 2015, 21:05 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/IMG/pdf/12_le_vocabulaire_pour_l_analyse_d_un_texte.pdf

http://www.bacdefrancais.net/figures.htm

3. Le 20 avril 2015, 08:46 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

Présents: Aurélien, Nicolas, Erwan, Nabil, Julie C, Morgan, Amandine.

4. Le 20 avril 2015, 09:46 par erwan

- pas tous des poèmes, différents types de texte.
- fable de la fontaine = morale
- texte d'époque différente
-Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ?
- qu'est ce qu'un être libre ?
- la liberté de l'homme n'est pas une évidence à l'époque où ces livres ont été écrit
I- La liberté, un trésor/à tout prix
texte A=texte D
II- La liberté, synonime de pauvreté ou richesse.
texte A≠texte B
III- la révolte une solution pour la liberté
texte D=texte C mais hugo est seul

5. Le 20 avril 2015, 09:46 par Nicolas D

Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ?

-texte de La fontaine > Fable écrit en 1668 > Titre : chien (pas libre) loup (libre) ce qui créer une opposition de personnage

-texte de Rousseau > écrit en 1762 > l'éducation nous rend pas libre, à travers le titre : Émile à l'air libre ( opposition entre Émile et éducation : libre/ non libre)

- texte de Hugo > écrit en 1853 > "ultima verba" qui peut signifier la fin d'une vie donc la fin d'une liberté

- texte de Zola > parle de la demande de liberté des ouvriers > révolution

- 4 textes à des époques différentes

          Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ?

-liberté; Homme --> révolution française 1789 ?

- En quoi l'Homme est-il libre ? Qu'est ce qui le rend libre ?

plan :

I. Une liberté demandé prenant la forme d'une révolution

Texte C = texte D ≠ Texte A et B cependant Hugo est seul.

II. La liberté --> faire ce que l'on veut quand on veut

Texte A = texte B ≠ Texte C et D

6. Le 20 avril 2015, 09:52 par Aurélien

Texte A 1668
texte B 1762 du 17ème au 19ème siècles
texte C 1853
texte D 1885

Zola et Hugo même siècle par contre La Fontaine, Rousseau siècle différent
Zola et Rousseau = Roman, nouvelle = méthode en prose
La Fontaine et Hugo = Poème = méthode en vers
4 textes trouvent à la fin du recueil
La Fontaine et Rousseau = Époque de la noblesse, de la monarchie
Hugo et Zola = Époque après Révolution, République, Empire

Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ?
= l’homme pas libre
= est libre siècle des lumières

Vos pareils y sont misérables,
Cancres, hères3, et pauvres diables,

Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importe ?

- Il importe si bien que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.

Les vrais amusements sont ceux qu'on partage avec le peuple; ceux qu'on veut avoir à soi seul, on ne les a plus

Le démon de la propriété infecte tout ce qu'il touche

je prends mon parc sur mes épaules et je vais le poser ailleurs

il lui suffit d'être libre et maître de lui.

c'est l'aurea mediocritas2 d'Horace

Oui, tant qu'il sera là, qu'on cède ou qu'on persiste,
O France ! France aimée et qu'on pleure toujours,
Je ne reverrai pas ta terre douce et triste,
Tombeau de mes aïeux et nid de mes amours !

J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme;

Sans chercher à savoir et sans considérer

Et si plusieurs s'en vont qui devraient demeurer
Je resterai proscrit6, voulant rester debout

cet horizon fermé.

sans en demander davantage

Faut cracher sur rien, murmurait-il. Une bonne chope est une bonne chope ..

Comment! la réflexion serait défendue à l'ouvrier

comme une brute, comme une machine à extraire la houille,

Est-ce que tous les citoyens n'étaient pas égaux depuis la Révolution ?

est-ce que l'ouvrier devait rester l'esclave du patron qui le payait ?

les grands-pères n'auraient pu signer leur nom, les pères le signaient déjà, et quant aux fils, ils lisaient et écrivaient comme des professeurs.

Ah ! ça poussait, ça poussait petit à petit, une rude moisson d'hommes, qui mûrissait au soleil !

Du moment qu'on n'était plus collé chacun à sa place pour l'existence entière,

PLAN

I) Liberté = Trésor

  Texte B = texte A
  ≠ Texte C car personne = a rien = libre ≠ personne a tout = pas libre

( « Le démon de la propriété infecte tout ce qu'il touche » et

     « Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »)

II) Liberté = Maître de sa vie

   Texte D = Texte B
   ≠ Texte C 
   ≠ Texte A  car libre = être éduquer sauf attaché et libre = aller où on veut  ≠  aller en exil
    ( « les grands-pères n'auraient pu signer leur nom, les pères le signaient déjà, et quant aux fils, ils lisaient et écrivaient comme des professeurs. », « J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme; »,  « Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas », « il lui suffit d'être libre et maître de lui. »)
7. Le 20 avril 2015, 09:52 par Nicolas D

I. Une liberté demandé prenant la forme d'une révolution

Texte C = texte D ≠ Texte A et B cependant Hugo est seul.
"Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! " texte C
"Est-ce que tous les citoyens n'étaient pas égaux depuis la Révolution ?" texte D

II. La liberté --> faire ce que l'on veut quand on veut

Texte A = texte B ≠ Texte C et D
"vous ne courez donc pas Où vous voulez ?" A
"une triste clôture" B

8. Le 20 avril 2015, 09:53 par Julie C

- Texte A : 17ème siècle « Le loup et le chien »
- Texte B : 18ème siècle « Emile ou de l’éducation » : ces deux textes appartiennent a une section dans un livre, ils n’appartiennent cependant pas au même siècle et ne semble avoir aucune similitude au niveau du titre a pars les deux sujets mis en opposition « le loup ET le chien » « Emile OU de l’éducation »
- Texte C : 19ème siècle « Les châtiments »
- Texte D : 19ème siècle « Germinal » : ici, ces deux textes appartiennent au même siècle

Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ?

Plan :
I. Etre libre c’est être riche.
Texte A : Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. » = texte B « L'homme de goût et vraiment voluptueux n'a que faire de richesse; il lui suffit d'être libre et maître de lui. »
« Quelque riche qu'il puisse être, mangera son or en fumier et ne connaîtra jamais le prix de la vie » = liberté remplace richesse et argent ; être riche (argent) c’est être privé de liberté ; liberté = richesse ≠ texte C et D qui parlent tout les deux de personnes privées de liberté

II. Etre libre c’est exister.
Texte C : « Je resterai proscrit, voulant rester debout.
Je ne reverrai pas ta terre douce et triste » = texte D « la réflexion serait défendue à l'ouvrier ! «
« Les oreilles et les yeux bouchés aux événements du dehors » = Textes C et D homme privé de liberté semble être en total déconnexion avec le monde ; privé de paroles + écoute ≠ texte A et B

9. Le 20 avril 2015, 09:54 par Amandine.A

-Les châtiments et Germinal appartiennent au même siècle.
-Texte A : XVIè
-Texte B : XVIIè
-Tous ces textes font partis d'un livre comportant plusieurs sections.
-Même thème : L'argumentation.
-Plusieurs genres littéraire
-Les parties des livres se suivent : 3.4.5.6

homme :
libre : liberté
Question interrogative : amène à l'arg.
amène a nous poser la question

Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ?
Texte A : même pour un trésor il ne choisi pas la liberté
Texte B : l'argent ne fait pas le bonheur.
Texte C : Paratexte : Napoléon prive lib. Hugo se révolte = reste libre

I- Ce qui permet à l'homme d'être libre c'est de ne pas s'attacher à la richesse, il doit pouvoir faire ce qu'il veut et aller ou il veut.
Richesse :
Texte A = texte B :
"Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor." = richesse ne fait pas la lib.
"L'homme de goût et vraiment voluptueux n'a que faire de richesse;" = Que l'H est du goût ou pas il se fiche de la richesse, l'important c'est qu'il soit bien.
Faire et aller ou il veut :
"- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importe ?" = pas de liberté de mvt = prisonnier
"Le collier dont je suis attaché" = ne pas rien faire comme il veut = privé de tt, pas de lib.

II- Ce qui permet à l'homme d'être libre c'est d'avoir des droits, de ne pas être prisonniers de quelqu'un ou d'un pouvoir.
Texte C = texte D :
Avoir des droits :
"Comment! la réflexion serait défendue à l'ouvrier ! Eh ! justement, les choses changeraient bientôt," = privation de liberté d'expression, d'opinion
"Est-ce que tous les citoyens n'étaient pas égaux depuis la Révolution ?"
"est-ce que l'ouvrier devait rester l'esclave du patron qui le payait ?" = privé de vote, plus égaux, esclavage = plus de lib.
pas ê prisonnier :
"Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis !
Si même ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla7 ;
S'il en demeure dix, je serai le dixième;
Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! " = Quoi qu'il se passera il se battra tjrs pour la lib.
"Je resterai proscrit6, voulant rester debout.
J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme;" = il accepte de rester prisonnier mais pas de perdre sa lib. = il continuera a se battre.

10. Le 20 avril 2015, 09:54 par Morgan

C et D même siècle XIXe s
A XVIIe s
B XVIIIe s
-même thème "q° de l'homme dans l'argumentation"
- différent genres littéraire : poésie, roman
-extrait placer vers le milieu des œuvres

permet à l'homme d'être libre : ce qui défini sa notion de liberté, phrase interrogative,

I- La liberté pour l'homme ce n'est pas d'être riche, c'est de pourvoir aller ou il veut

Texte A = B :
Texte A :"Il importe si bien que de tous vos repas,Je ne veux en aucune sorte,Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »
Texte B : "Le démon de la propriété infecte tout ce qu'il touche. Un riche veut être partout le maître et ne se trouve bien qu'où il ne l'est pas; il est forcé de se fuir toujours"
= Montrent que il ne vaux mieux pas être riche et agir de ses mouvement que d'être riche et rester enfermer ou attacher.

TexteB = Texte C :
Texte c : "Du moment qu'on n'était plus collé chacun à sa place pour l'existence entière, et qu'on pouvait avoir l'ambition de prendre la place du voisin"
Texrte B: "m'empare de tout ce qui me convient dans mon voisinage"

II- La liberté pour l'homme c'est d'être maître de soit même et de ne pas être dirigé

Texte C= Texte D:
Texte C :S'il en demeure dix, je serai le dixième;Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là !
Texte D :Est-ce que tous les citoyens n'étaient pas égaux depuis la Révolution ? puisqu'on votait ensemble, est-ce que l'ouvrier devait rester l'esclave du patron qui le payait ?
=Montre que tout le monde a doit au même droit

Texte B diferrent texte C:

11. Le 20 avril 2015, 09:55 par Nabil

- Texte A  XVIIe siècle
- Texte B  XVIIIe siècle
- Texte C et D  XIXe siècle

 Epoque diiferente

- Texte A et B  opposition dans les titres Le loup et le chien ; Emile ou de l’Education
- Texte C  « Ultima verba » le texte est un extrait de la fin du livre

Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ?

I La liberté ou la richesse
Texe A = Texte B
« vous ne courez donc pas Où vous voulez ? »

« L'homme de goût et vraiment voluptueux n'a que faire de richesse; il lui suffit d'être libre et maître de lui » = « Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »

Texte C= Texte A,
II La liberté passe par la révolution

Texte C = Texte D
La liberté est limitée par les élites

12. Le 20 avril 2015, 10:57 par Morgan

Dans ce corpus nous pouvons remarquer que les quatre textes ont des différences mais aussi des similitudes. Les texte sont de genres littéraires différents comme la poésie ou le roman mais ils sont tous regroupé dans le thème de la question de l'homme dans l'argumentation. Le texte A « Le Loup et le Chien » de La Fontaine a été écrit au XIXe siècle , le texte B " Emile ou de l'Éducation" de Rousseau a été écris au XVIIIe siècle. Les texte C et D ont, eux, été écrit au même siècle XIXe siècle. Tous ces extrait sont aussi placés vers le milieux des œuvres. Après avoir étudier les quatre texte du corpus nous tenteront de répondre a la question suivante : Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ? D’après cette question nous pouvons remarquer que avants la révolution française de 1789, la notion de liberté n'était pas présente. Dans le corpus nous avons deux texte qui se passe après cette révolution. On constate donc que la notion de liberté n'est toujours pas acquise et cela même après la Révolution.

Pour commencer nous pouvons constater que la liberté, pour l'homme, ce n'est pas d'être riche, c'est de pourvoir aller ou il veut.
En effet le texte A et le Texte B présente tout deux la même notion de liberté :
Dans le texte A, "Il importe si bien que de tous vos repas,Je ne veux en aucune sorte,Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. ». Le loup préféré pouvoir courir où il veux que de manger à sa faim.
Dans le texte B, "Le démon de la propriété infecte tout ce qu'il touche. Un riche veut être partout le maître et ne se trouve bien qu'où il ne l'est pas; il est forcé de se fuir toujours". Rousseau montre que les riches sont enfermé pour préserver leurs bien et se prive donc de liberté.
Ces deux texte montre donc qu'il vaux mieux ne pas être riche et agir de ses mouvement que d'être riche et rester enfermer ou attacher.
Ensuite nous pouvons remarquer que le texte B et le texte C se ressemble sur certains points.
Dans le texte C, "Du moment qu'on n'était plus collé chacun à sa place pour l'existence entière, et qu'on pouvait avoir l'ambition de prendre la place du voisin". Étienne Lantier voudrait avoir la liberté de pouvoir ne plus être obliger de faire ce qu'il fait et de prendre la place de quelqu'un d'autre.
Dans le texte B, "je m'empare de tout ce qui me convient dans mon voisinage". Dans ce texte Rousseau donne la liberté, au personnage, de faire ce qu'il veut. Il va ou il veux quand bon lui semble.
Ces texte ce ressembles dans le fait que dans un, il voudrait la liberté d'être un autre alors que dans l'autre texte cette liberté est déjà acquise.

En second lieu, la liberté pour l'homme c'est aussi d'être maître de soit même et de ne pas être dirigé pas autrui.
En effet le texte C et le texte B ce ressemble sur ce point.
Dans le texte C, "S'il en demeure dix, je serai le dixième;Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là !" Hugo montre qu'il ne veux pas être dirigé par Napoléon III ou même son pouvoir dictatorial.
Dans le texte D, "Est-ce que tous les citoyens n'étaient pas égaux depuis la Révolution ? puisqu'on votait ensemble, est-ce que l'ouvrier devait rester l'esclave du patron qui le payait ?" Zola montre que depuis la Révolution la liberté n'est toujours pas acquise et que l'ouvrier ne doit pas ce laisser abattre par un homme plus haut que lui dans l'échelle sociale.
Ces deux textes expliquent que tout le monde a doit au même droit et ne doit pas céder sous le pouvoir.

Pour conclure ces quatre texte ont tous une notion de liberté avec quelques similitudes ou quelques différence mais ils montre tous que la liberté est plus importante que tout autres chose. Le texte qui ma le plus marqué est le texte B de Rousseau car la citation "L'homme de goût et vraiment voluptueux n'a que faire de richesse; il lui suffit d'être libre et maître de lui." représente exactement la notion de similitudes entre ces quatre textes.

13. Le 20 avril 2015, 10:57 par Julie C

Ces textes sont tous de genre différents, poésie et essaie, cependant ils sont mis en communs par l’argumentation, le texte A est le seul texte qui présente des animaux, un chien, qui n’est pas un animal libre et un loup qui représente la liberté, il a été écrit au 17ème siècle par La Fontaine, un poète célèbre. Le texte B a lui été écrit au 18ème siècle, ces deux textes ne proposent donc pas de similitude au niveau de la chronologie, cependant ils appartiennent tout les deux à une section de livre. Dans les titres il y à une opposition de personnage. Le texte C et le texte D sont tous les deux des textes du 19ème siècle, il n’y a donc pas de diversité chronologique.
Nous pouvons donc nous demander « Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ? »
Cette question d’Homme et de Liberté est-elle en rapport avec la révolution Française de 1789 ? La question de liberté ne semble pas être acquise malgré le fait que deux des textes aient été écrit après cette révolution. Dans une première partie nous parlerons de l’importance de la liberté face a la richesse, enfin dans une deuxième partie nous nous exprimerons sur le fait qu’être libre c’est exister.

Nous pouvons remarquer que dans le texte A et B la liberté remplace la richesse et l’argent « Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. » (texte A) « L'homme de goût et vraiment voluptueux n'a que faire de richesse; il lui suffit d'être libre et maître de lui. » (texte B) être riche d’argent c’est être privée de liberté « Le démon de la propriété infecte tout ce qu'il touche. Un riche veut être partout le maître et ne se trouve bien qu'où il ne l'est pas; il est forcé de se fuir toujours » La liberté est une richesse en elle-même. Dans ces textes les auteurs ne parlent que de personnages libre contrairement aux textes C et D qui présentent tous les deux des personnages privée de liberté, dans l’enfermement total.

Dans le texte C et D l’homme est privé de liberté « Je resterai proscrit, voulant rester debout.
Je ne reverrai pas ta terre douce et triste » (texte C) « la réflexion serait défendue à l'ouvrier ! «
« Les oreilles et les yeux bouchés aux événements du dehors » (texte D) il semble être en total déconnexion avec le monde, celui-ci est privé de paroles et d’écoute ce qui est différent des textes A et B. Ce qui permet à l’homme d’être libre c’est d’avoir des droits, de ne pas être prisonnier de quelqu’un ou d’un pouvoir. Etre privé de liberté ce n’est pas seulement être enfermé, c’est aussi ne plus faire partie du monde qui nous entoure, ne plus avoir le droit de s’exprimer (liberté d’expression)

Ce qui permet a l’homme d’être libre c’est de pouvoir dire ce qu’il pense, s’exprimer, et être au courant de ce qu’il ce passe en dehors du lieu ou il ce trouve, la privation de liberté n’est pas seulement être enfermé. Le texte de Zola est pour moi le texte le plus vrai et le plus frappant par la façon qu’il a de voir la liberté en décrivant l’enfermement..

14. Le 20 avril 2015, 10:57 par Erwan

Question transversale :
Ces quatre textes sont différents de part leur genre ou leur époque. Deux de ces textes, Germinal de Emile Zola et Les Châtiments de Victor Hugo sont du même siècle, XIXème siècle. Les deux autres sont de siècle différents du XVIIème et du XVIIIème siècle. Les textes de Jean de la Fontaine et de Victor Hugo sont des poèmes, le texte de Rousseau et un essais et celui de Zola un roman. Ces textes ont tous pour sujet commun la liberté. Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ?
Nous pouvons constater que le texte A est dans la même optique que le texte B. Ces deux textes veulent dire qu’un homme n’a pas besoin d’être riche pour être libre mais plutôt de pouvoir aller où il veut. Texte A :"Il importe si bien que de tous vos repas,Je ne veux en aucune sorte,Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »
Texte B : « Le démon de la propriété infecte tout ce qu'il touche. Un riche veut être partout le maître et ne se trouve bien qu'où il ne l'est pas; il est forcé de se fuir toujours ». Ces citations montrent que il ne vaut mieux pas être riche et agir de ses mouvements que d'être riche et rester enfermé ou attaché. Texte A : Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. » texte B « L'homme de goût et vraiment voluptueux n'a que faire de richesse; il lui suffit d'être libre et maître de lui. » Ces deux citation se rejoignent dans leur idéologie. L’argent et la richesse ne remplaceront jamais la liberté.
Nous pouvons aussi voir dans un second temps que le texte C et D se ressemblent dans le message qu’ils veulent faire passer avec cette idée de révolution. Ces textes montre que ce qui permet à l'homme d'être libre c'est d'avoir des droits, de ne pas être prisonniers de quelqu'un ou d'un pouvoir. La révolte peut être une solution pour avoir la liberté. Comme par exemple la révolution française de 1789 qui est citée dans le texte de Zola.
Pour conclure on peut dire que la vision de la liberté est quelque chose de personnel, chacun à sa propre perception de ce qu'est la liberté. Par exemple dans les texte A, deux vision différentes s'opposent. D'un coté il y a le chien qui préfère perdre sa liberté au prix de la richesse et du confort et de l'autre il y a le loup qui l'envie au début et puis qui finalement fuit quand il apprend que le chien est attaché et ne peut pas aller où il le souhaite.

15. Le 20 avril 2015, 10:58 par Aurélien

Ce corpus nous présente quatre textes du XVIIème au XIXème siècle, dans une époque au condition socio-politique différent : « Le Loup et Le Chien » de La Fontaine et Émile ou L’Éducation sont deux textes pré-Révolution, sous la Monarchie, alors que « Ultima Verba » de Hugo et Germinal de Zola sont deux textes post-Révolution, sous la République et l’Empire. Les textes de La Fontaine et Hugo sont deux poèmes alors que le texte de Zola est un roman et celui de Rousseau est un essai.
On ( Nous ) pourra se ( nous ) poser comme question : Qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'homme d'être libre ?

Pour commencer, l’Homme est libre lorsqu’il a le pouvoir aller où il veut.



Nous pouvons voir que le Texte A est le Texte B ont des points communs, car ces textes montrent qui est mieux de rien posséder et être libre de ses mouvement, que de tout posséder et être attaché à ses biens comme dit le Loup : « Il importe si bien que de tous vos repas,Je ne veux en aucune sorte,Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. » et Rousseau : « Le démon de la propriété infecte tout ce qu'il touche. »

Pour continuer, l’Homme est libre quand il est maître de sa vie, en possédant son trésor intérieur, celui qui surplombe tout les autres trésors.
Nous avons pu remarquer que les textes de Rousseau et Zola prône la liberté à la richesse, en se coupant de tous possession de biens mais en se rapprochant du savoirs, comme dit Lantier : « les grands-pères n'auraient pu signer leur nom, les pères le signaient déjà, et quant aux fils, ils lisaient et écrivaient comme des professeurs. », et Rousseau : « il lui suffit d'être libre et maître de lui. »

16. Le 20 avril 2015, 10:58 par Amandine.A

Dans ce corpus qui est composé de quatre texte, on peut remarquer certaines différences frappantes mais aussi quelques similitudes. Ces textes sont tous les quatre basés sur le même thème, c'est à dire la question de l'Homme dans l'argumentation. Ils font de plus parti de différents livres comportant plusieurs sections différentes. On peut aussi constater que les Châtiments de V.HUGO écrit en 1853 et Germinal de ZOLA écrit en 1885 appartiennent tous les deux au XIX ème siècle tandis que "Le Loup et le Chien" a été écrit par LA FONTAINE en 1668 appartient lui au XVII ème siècle et Emile ou de l'Education, écrit par ROUSSEAU en 1762 appartient au XVIII ème siècle.On peut aussi voir que plusieurs genres littéraires sont inscrit ici comme la poésie et le roman. Nous pourrons alors nous interroger ici sur qu'est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l'Homme d'être libre.

Nous pouvons pour commencer dire que la liberté pour l'homme ce n'est pas d'être riche, c'est de pourvoir aller ou il veut.
On peut introduire cela en commençant par dire que la texte A et le texte B présentent énormément de similitudes.
D'emblée, nous pouvons relever la citation suivante du texte A : "Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor." On peut comprendre ici que même contre la richesse, le loup choisira la liberté parce que l'argent ne rend pas libre.
Ensuite, la citation du texte A :"Le collier dont je suis attaché" montre bien ici le fait que le chien ne peut rien faire comme il veut, il est privé de tout mais surtout, il est privé de sa liberté de mouvement.
Enfin, pour finir, la citation du texte B :"Le démon de la propriété infecte tout ce qu'il touche. Un riche veut être partout le maître et ne se trouve bien qu'où il ne l'est pas; il est forcé de se fuir toujours" montre bien que il vaut mieux agir de ses mouvements et faire ce que bon nous semble au lieu d'être riche plutôt que de rester enfermé et ne pas pouvoir aller ou l'on veut.

Nous pouvons pour terminer dire que ce qui permet à l'homme d'être libre c'est d'avoir des droits, de ne pas être prisonniers de quelqu'un ou d'un pouvoir.
On peut introduire cela en commençant par dire que la texte C et le texte D présentent énormément de similitudes.
D'emblée, nous pouvons relever la citation suivante du texte D :"Comment! la réflexion serait défendue à l'ouvrier ! Eh ! justement, les choses changeraient bientôt," Cette phrase nous présente plusieurs privation. Ici, les ouvriers sont privés de liberté d'expression et d'opinion.
A travers la phrase du texte D :"Est-ce que tous les citoyens n'étaient pas égaux depuis la Révolution ?" ou encore "est-ce que l'ouvrier devait rester l'esclave du patron qui le payait ?" on constate de nouveau une privation. Cette phrase nous indique que les ouvriers sont privés de leur droit de vote, ils ne sont plus égaux, se sont des esclaves.
Ensuite, la citation du texte C : "Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis !
Si même ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla ;
S'il en demeure dix, je serai le dixième;
Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! " montre bien que quoi qu'il se passera, Victor HUGO se battra toujours pour la liberté.
Pour finir, la citation du texte C :"Je resterai proscrit, voulant rester debout.
J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme;" nous démontre que Victor HUGO accepte de rester prisonnier mais pas de perdre sa liberté, comme la citation précédente nous l'indique, il continuera malgré tout à ce battre et même si il est enfermé il restera debout pendant que les autres seront assis.

Pour conclure sur ce travail, nous retiendrons que la liberté d'un Homme est précieuse et que rien ne peut valoir celle-ci. Comme nous l'avons expliqué, ce qui permet à l'Homme d'être libre c'est d'avoir des droits et de ne pas être prisonnier de quelqu'un ou d'un pouvoir mais ce n'est pas non plus d'être riche.

17. Le 20 avril 2015, 11:00 par Nabil

Dans ce corpus composé de 4 textes de genre littéraire et de siècle différent. Le texte A « Le Loup et le Chien » extrait de poème des Fables de La Fontaine écrit en 1668, seul texte mettant en scène des animaux, le second de texte extrait d’un roman écrit par Rousseau, Emile ou de l'Éducation est un essaie datant de 1762. Les deux derniers textes date du même siècle, le XIXe, le texte C de V.Hugo est un extrait de la fin « Ultima Verba » de « Les châtiments », le dernier texte de Zola, Germinal a été publié en 1885. Ces différents développe l'idée dans ce qui permet a l’homme d'être libre ?

Nous pouvons d’emblé les textes A et B mets en scène une opposition entre les pauvres et les plus riches. Nous pouvons constater a travers ces 2 textes qu’il vaut mieux être libre (comme le loup) malgré la pauvreté qui touche également l’homme dans le texte de Rousseau. La richesse ne vaut pas être libre « Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.» De plus les riches ne sont pas libre ils sont constamment a la recherche du pouvoir, « "Le démon de la propriété infecte tout ce qu'il touche. Un riche veut être partout le maître et ne se trouve bien qu'où il ne l'est pas; il est forcé de se fuir toujours », cette obsession ne lui permet donc jamais de savouré le moment présent et l’oblige a ce fuir.

En second lieu, l’homme peut-il être libre a toute les époques ? La liberté passe part la révolution, dans le texte C et D nous pouvons remarqué que les élites interviennent dans la conquête de la liberté, c’est en effet pour cela que Victor Hugo fut déporté. Etienne et les autres mineurs sont à la recherche de droit "Comment! la réflexion serait défendue à l'ouvrier ! Eh ! justement, les choses changeraient bientôt,".




Enfin, la liberté n’a pas été la même a toute les époques et ces faites le plus souvent par la révolution, ce qui a même été sanctionné pour V.Hugo qui fut déporté

18. Le 20 avril 2015, 11:05 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

Rappel méthode commentaire :

Relire le texte :

Ecrire cinq mots qui vous font penser à ce texte.

Relever cinq citations qui vous paraissent les plus importantes : pourquoi les avez-vous prises ?

Relire le texte : qu’avez-vous envie de montrer sur ce texte/ de dire sur ce texte ? qu’est-ce qui vous paraît la question/ l’enjeu essentiel ? formulez une problématique.

Trouvez un plan en trois parties en réutilisant le même mot (exemple : une conversation entre géants/ une conversation entre voltaire et ses contemporains …) en faisant une progression au sein des parties.

Envoyez votre plan.

Rédigez le commentaire.

19. Le 20 avril 2015, 11:07 par Nicolas D

Ce corpus est constitué de quatre textes appartenant à des époques, en effet, celui de La Fontaine et de Rousseau étant situé avant la révolution Française et celui de Victor Hugo et Emile Zola et contextes différents. Ces quatre textes sont très différents non seulement par leur genre littéraire mais aussi par leur vision de L’Homme. Ce corpus est constitué d’une fable écrite par La Fontaine en 1668 s’intitulant « Le Loup et le chien » qui met en scène des personnages bien différents de l’Homme, d’un essai écrit pas Rousseau en 1762 ayant pour titre « Emile ou de l’éducation », d’un recueil de poème écrit par Victor Hugo en 1853 s’intitulant « Ultima Verba » signifiant « mes mots derniers » et un roman écrit par Emile Zola en 1885 se nommant « Germinal ».

       D’emblé nous pouvons remarquer que le texte de La fontaine et celui de  Rousseau se concentre sur l’idée que la liberté pour l’Homme ce n’est pas d’être riche, c’est de pouvoir aller où il veut quand il veut. Comme nous le montre cette citation extraite de la fable de La fontaine « Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas où vous voulez ? », en effet le Loup étant libre mais pauvre se trouve choqué par ce que lui dit le chien. Il préfère être pauvre et affamé mais pouvoir être libre de ses faits et gestes, au lieu d’être comme le chien c'est-à-dire riche, manger à sa faim mais avoir de nombreuses contraintes qui lui limitent sa liberté. Ce texte confronte donc deux personnages très différents qui dés la lecture du titre «  Le Loup et le chien » font faire réagir le lecteur. Ces deux textes se ressemblent, en effet, le texte de Rousseau est basé sur la même vision de l’Homme, c'est-à-dire une vision de pauvreté pour obtenir de la liberté.

Nous pouvons remarquer que la révolte est solution pour obtenir la liberté. En effet, dans le texte de Zola, la volonté de révolte est omniprésente dans le texte, non seulement par le fait qu’il évoque la Révolution Française et à travers cette évocation nous sentons une envie de révolte contre le patronnât que les prives de leur liberté comme nous le montre cette citation : « , est-ce que l'ouvrier devait rester l'esclave du patron qui le payait ? ». Hugo, à travers son texte nous donne l’idée d’une envie de révolte vers la fin du texte. En effet il dit qu’il sera qu’il sera qu’il sera de ces derniers, ces dernières personnes à se battre pour la liberté comme nous le montre cette citation : « Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! ».

   En conclusion nous pouvons dire que la liberté est vue et abordée différemment dans ces quatre textes mais qui malgré ces visions différentes, la volonté de liberté est toujours présentes.

Même si la révolution française est intervenue, la volonté d’obtenir plus de liberté que l’on a déjà sera toujours présente dans notre société.

20. Le 20 avril 2015, 11:28 par Morgan

1) admiration, rébellion, historique, discourt, pouvoir



2)- Bannis2, la République est là qui nous unit.
-Moi, je te montrerai, César5, ton cabanon6.
-J'attacherai la gloire à tout ce qu'on insulte;
-je jetterai l'opprobre3 à tout ce qu'on bénit !
-Si même ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla -Je resterai proscrit6, voulant rester debout.

3) j'ai envie de montrer que Hugo n'a pas peur de se dresser contre Napoléon grâce a sa liberté d'expression.

4) I- Un discourt de rébellion

II- Un discourt de pouvoir

III- Un discourt historique

21. Le 20 avril 2015, 11:31 par mme baudry

17: un ensemble qui manque de cohérence (construction des phrases et clarté du propos). 1/4
16: les citations prennent trop d'importance. Il faut comparer les textes entre eux sans faire un catalogue de citations. Manque de cohérence d'ensemble. 1.5/4.
15: c'est inachevé. Cependant, un ensemble assez rigoureux. 1.5/4
14: la rédaction manque de soin. La deuxième partie n'est pas assez approfondie. La méthode de la conclusion est aussi à revoir. 2/4
13: pas d'annonce de plan pour une question transversale. La deuxième partie montre des contresens sur les textes: Hugo choisit la liberté dans l'exil et Lantier indique que les ouvriers vont se libérer grâce à l'instruction. 1.5/2
12: des fautes. De plus, une réflexion trop morcelée qui n'a pas vraiment de cohérence d'ensemble: trop de citations:elles doivent être seulement des outils d'analyse! ne pas commencer un paragraphe par une citation.1.5/4

22. Le 20 avril 2015, 11:34 par Amandine.A

Force - Union- Résistance- Enfermement- Se battre.

- Sois ma force et ma joie et mon pilier d'airain !

- « Mes nobles compagnons, je garde votre culte;
Bannis, la République est là qui nous unit. »

- « Je resterai proscrit, voulant rester debout. »

- « J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme; »

- « Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis !
Si même ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla ;
S'il en demeure dix, je serai le dixième;
Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! »

J’ai envie de montrer que à travers ce texte, Victor Hugo se bat pour la liberté d’expression surtout.

I.Une résistance pour la liberté en générale.
II.Une résistance pour la liberté d’expression.
III.Une résistance tenace.

23. Le 20 avril 2015, 11:36 par Nicolas D

Ecrire cinq mots qui vous font penser à ce texte.
Discours
Toujours présent malgré son exil
Comme si il parle face au peuple
Révolte
Opposition à Napoléon

Relever cinq citations qui vous paraissent les plus importantes : pourquoi les avez-vous prises ?
« Mes nobles compagnons »  on peut croire qu’il est fasse à eux et non sur son île où il a été contraint d’y aller

« Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! »  il sera présent pour le peuple jusqu’à son dernier jour, le point d’exclamation montre sa révolte

«Je ne reverrai pas ta rive qui nous tente »  il ne savait pas qu’il allait revenir donc il a pu se libérer de tout ce qu’il avait au fond de lui

J’ai envie de montrer que même malgré son exil, Hugo est toujours présent et que grâce à cet exil il peut enfin s’exprimer librement.

I. Un texte de révolution, de mobilisation
II. Un texte pour exprimer sa plainte ?
III. Un exil forcé mais bénéfique

24. Le 20 avril 2015, 11:36 par Erwan

perte de liberté
bannis, exil
résistance
discours

Dans ce texte j’ai envie de montrer non pas la perte de liberté venu du fait de l’exil mais plutôt du gain de liberté que Hugo a su se procurer en s’exilant. Suite à son exil Victor Hugo à été en quelque sorte contraint mais il a tout de même gagné quelque chose de primordial en s’exilant, surtout dans son métiers. C’est la liberté d’expression. Tous ces textes qui portent sur ce sujet n’auraient pas vu le jour si il était resté en France.
Victor Hugo a-t-il fait le bon choix ? Accepter de perdre en liberté et de s’exiler pour être plus libre et s’exprimer comme bon lui semble, sans aucune contrainte.

I- Un exil qui symbolise la dictature, la contrainte et la non liberté
II- Un exil pour la liberté
III- Un exil de bonne augure

25. Le 20 avril 2015, 11:41 par Nabil

Exil
Emprisonnement
Courageux
Résistance
Liberté

« J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme »
« Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! »

Dans ce texte j’ai envi de montrer la contrainte de s’exiler pour gagner de la liberté d’expression

I Un exil sous la contrainte
II Un exil révolutionnaire
III Un exil pour la liberté

26. Le 20 avril 2015, 11:41 par Aurélien

Cinq mots :

                       - Discours
                       - Patriotisme
                       - Tristesse
                       - Colère 
                       - Tous
                       - Seul

Je les ai prises car cela montre l’humeur et les sentiments qu’il exprimait pendant cette période. Et je trouve que ce sont des citations choques qui frappe le lecteur.

J’ai envie de montrer que Hugo veut dénoncer que napoléon a pris le pouvoir illégalement et qu’il veut relancer une révolution française.
On peut se poser en quoi le texte de Hugo est un discours pour lui, pour la France contre Louis-Napoléon ?

Plan

I) un discours pour la France
II) un discours pour la République
III) un discours solitaire

27. Le 20 avril 2015, 11:41 par Julie C

Liberté
Exil
Emprisonnement
Courage
Haine

J’ai choisi ces citations car ce sont celles qui représentent le mieux les mots que j’ai choisi pour représenter le texte :

« je jetterai l'opprobre à tout ce qu'on bénit ! » : haine de la société, et de ce qui l’entoure

« J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme » : haine et courage, ce n’est pas totalement un choix mais il l’accepte quoi qu’il ce passe, il ne ce tait pas
« Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! » : courage
« Je ne reverrai pas ta terre douce et triste » : exil = emprisonnement, privation de liberté
« Je serai, sous le sac de cendre qui me couvre4,
La voix qui dit : malheur ! la bouche qui dit : non ! » : haine et courage, V. Hugo refuse de ce taire, il ce « battra » pour ce qu’il défend quitte a être privé de liberté *

J’ai envie de montrer qu’être privé de liberté n’est pas seulement être enfermé dans un endroit clos. Qu’est ce que la liberté? Dans quel mesure peut-on privé un homme de liberté?

I. Un exil contre la liberté
II. Un exil contre la liberté d’expression
III.

28. Le 20 avril 2015, 11:59 par mme baudry

consigne: élaborez un plan détaillé avec:
- sous parties
- citation dans chaque sous partie/ repérage du procédé
- interprétations.

29. Le 20 avril 2015, 12:28 par Nicolas D

III. Un texte de révolte :

a) on peut dire cela car : « Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis ! » --- le pronom « on » : comme si le peuple était derrière lui, qu’il avait réussi à soulever le peuple, de plus ponctuation expressive qui montre son soulèvement, sa volonté de révolution pour se venger et venger le peuple

c) on peut dire cela car : « Moi, je te montrerai, César5, ton cabanon6. »  le « moi » montre qu’il est le seul à pouvoir s’opposer à lui et qu’il est le seul à pouvoir « libérer » la France de Napoléon, il essaye de donner une vision d’horreur de Napoléon pour le peuple

   
    c) « Tandis que tes valets te montreront ton Louvre », il montre au peuple que Napoléon est capable de rien qu’il doit toujours être accompagner d’un valet sinon il se perd

III. Un texte tragique

a) Un texte tragique : lexique de la mort : « Tombeau »

  b) il ose s’opposer à Napoléon alors que c’est lui le gouverneur du pays, c’est un peu comme si il se « suicidait », puisque à cette époque les morts étaient nombreuses. Le lecteur se dit qu’il prend des risques, il a peur pour Hugo.
30. Le 20 avril 2015, 12:28 par Julie C

Dans quelle mesure un exil peut-il être positif et permettre de s’exprimer malgré ce manque de liberté ?

I. Une révolution contre Napoléon III.
a) on peux dire cela car, V. Hugo nous montre une haine profonde de la république (et donc contre celui qui l’à dirige), « Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! » = point d’exclamation = révolte, utilisation de la ponctuation pour faire part de ses émotions a plusieurs reprise
b) emploie de mots ou de phrases violentes pour montrer sa haine « je jetterai l'opprobre à tout ce qu'on bénit ! » + utilisation du champ lexical de la prison, de l’enfermement quand il parle de Napoléon « Moi, je te montrerai, César, ton cabanon. » = haine car « cabanon » = cellule où l'on enferme les fous dangereux = insulte visant Napoléon.
II. Une révolution permettant l’expression.
a) allitération en « je » = V. Hugo s’exprime sur ce qu’il ressent
III. Une révolution qui montre le pouvoir du poète.

31. Le 20 avril 2015, 12:28 par Erwan

I- Un exil qui symbolise la dictature, la contrainte et la non liberté
A- on peut dire cela car
B- On peut dire cela car « J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme; »
II- Un exil pour la liberté
A- On peut dire cela car « Je resterai proscrit, voulant rester debout » oxymore
B- On peut dire cela car
III- Un exil violent pour la rébellion.
A- On peut dire cela car « Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis !
Si même ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla ;
S'il en demeure dix, je serai le dixième;
Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! » = courage, rebellion, révolte
B- On peut dire cela car « Tandis que tes valets te montreront ton Louvre,
Moi, je te montrerai, César, ton cabanon. » = revolte, rébellion

32. Le 20 avril 2015, 12:29 par Nabil

I Un exil sous la contrainte

a) On peut dire cela car s’il était rester en France Hugo ne pourrai pas écrire ce recueil
 « Je resterai proscrit, voulant rester debout. »

     b)  On peut dire cela car c’est son unique moyen d’opposition, de provocation à Napoléon

II exil révolutionnaire



a) On peut dire cela car il est a la conquête de la liberté
 « Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! »
b) On peut dire cela car V. Hugo n’a pas peur de se dresser contre Napoléon III
 « brave

33. Le 20 avril 2015, 12:29 par Amandine.A

I. Un poète résistant qui lutte pour la liberté.
A. On peut dire que Victor Hugo est un poète résistant qui lutte pour la liberté.
Ex : « Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! » il nous dit que il lutteras toujours pour la liberté même si il est seul (rejoint un peu le III). Il sera présent pour le peuple jusqu’à son dernier jour.
B. On peut dire que Victor Hugo est un poète résistant qui lutte pour la liberté.
Ex : « Parmi les éprouvés je planterai ma tente » il nous montre son courage et le fait qu’il va se battre pour la liberté même si il doit ne plus rien avoir.
C. On peut dire que Victor Hugo est un poète résistant qui lutte pour la liberté car à travers la ponctuation expressive qui prend une place importante dans son texte il nous montre son dévoument.

II. Un poète résistant qui se bat contre la république.
A. On peut dire que Victor Hugo est un poète résistant qui se bat contre la république.
Ex : « Bannis, la République est là qui nous unit. » il veut faire bannir la république.
B. On peut dire que Victor Hugo est un poète résistant qui se bat contre la république et il nous le montre dans une personnification.
Ex : « Je ne reverrai pas ta terre douce et triste » Victor Hugo nous dit qu’il ne reviendra pas dans ce lieu monotone qui lui inspire de la tristesse.

III. Un poète résistant qui se montre tenace.
A. On peut dire que Victor Hugo est un poète résistant tenace.
Ex : « Je resterai proscrit, voulant rester debout. » et « J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme; »

celui-ci nous dit que même exilé, il se battra toujours pour la liberté.

B. On peut dire aussi que Victor Hugo est un poète résistant tenace.
Ex : « Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! » celui-ci nous montre sa volonté de se battre contre Napoléon III.
C. On peut dire pour conclure que Victor Hugo est un poète résistant tenace car à travers la répétition du pronom « je » ou « j’ » celui-ci nous exprime sa volonté de se battre en accentuant surtout sur ce pronom.

34. Le 20 avril 2015, 12:29 par Morgan

I- Un discourt révolutionnaire

A- On peut dire cela car les paroles de V.H montre qu'il est toujours présent malgré son exil.

Ponctuation : «J'attacherai la gloire à tout ce qu'on insulte; je jetterai l'opprobre3 à tout ce qu'on bénit !» Il va se battre et le point d'exclamation montre au lecteur que il est révolté. Et cette citation peu choquer et frapper le lecteur car ce sont des paroles crues.

B-

II- Un discourt pour exprimer sa plainte ?

A- On peut dire cela car Hugo pleure de ne plus revoir la France.
Personnification : « Je ne reverrai pas ta terre douce et triste ». Hugo se plaint de ne plus revoir la France ce qui provoque de la tristesse au lecteur.
B-

III- Un discourt Épique

A- On peut dire cela car Hugo prouve au lecteur qu’il va se dresser contre Napoléon et qu’il va le vaincre.
« Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! » Cela indique au lecteur qu'il ne baissera pas les bras ce qui entraîne un sentiment d'admiration du lecteur envers V.H.
B- On peut dire cela car
« Si même ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla7 » Hugo compare Napoléon à Sylla ce qui prouve au lecteur que Hugo se rebelle contre lui.

35. Le 20 avril 2015, 12:29 par Aurélien

I) Un discours pour la France
On peut dire cela car discours admiration et combat avec champ lexical épique et guerrier (la gloire, je brave encor Sylla, César,…)

II) Un discours solitaire
On peut dire cela car discours triste « O France ! France aimée et qu'on pleure toujours, » allégorie, personnification idée France, tristesse, amplifier par « Je » « Je ne reverrai pas ta terre douce et triste », « J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme », … + discours d’acceptation de son sort et impuissance « Je croiserai les bras, indigné, mais serein. » antithèse

III) Un discours poétique

36. Le 21 avril 2015, 08:35 par mme baudry

35: incomplet car trop rédigé pour cette étape. Cependant, démarche comprise.
34: le I et le III sont proches: il faut une progression dans le plan. Là encore trop rédigé pour cette étape.
33: le principe de l'argument n'est pas compris. Tu répètes le titre de tes grands axes! alors qu'il faut trouver des preuves que ces axes sont justes.

37. Le 21 avril 2015, 09:17 par mme baudry

32: incomplet et pas de procédé relevé.
31: l'étape de l'argument n'est pas respectée.
30: bonne démarche mais gros contresens: pas de haine de la république pour hugo! mais une haine du second empire.
29: attention au catalogue de citations! confusion argument/citations. Manque de rigueur: parties?