L'insurrection poétique.

Ecrire un poème.

Commentaires

1. Le 06 mai 2015, 21:50 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

De quoi parlerait selon vous un poème sur le thème "insurrection poétique"?

Quelle en serait la forme? Comment pourrait-on en qualifier l'écriture?

http://fr.wikipedia.org/wiki/Insurrection

http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/insurrection/43512

http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/insurrection/

2. Le 07 mai 2015, 16:27 par mme baudry

"La poésie est une insurrection contre la société." Aimé Césaire

"Parfois, insurrection, c'est résurrection." Victor Hugo

3. Le 08 mai 2015, 15:01 par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

Contre le pouvoir en place.

Evoquer les révolutions.

écrire une fable satirique.

se moquer des grands auteurs.

registre familier.

Un poème engagé.

Faire des vers pour qu'on retienne le poème.

Au contraire, ne pas respecter les codes traditionnels de la poésie: poèmes en prose.

un pamphlet.

registre familier.

registre polémique. expression de la colère et de l'indignation.

4. Le 09 mai 2015, 15:26 par Julie C

Le pays ou nous vivons résume notre passé
Et ceux qui le dirigent
Cherchent a le détruire

Leurs menaces nos terrifient
Dans la pauvreté nous sommes désormais
Ou l'eau est notre seule richesse

Leurs pouvoirs les rends fou
A la population de résister

5. Le 09 mai 2015, 17:21 par aurélien

Insurrection Poétique

Le Paysage du visible
et ceux, du secret
cherchent à conquérir l'autre;

leurs maladies trouvées,
dans la mer infini
où l'eau y est noire et étincelante;

leurs poètes religieux,
à la poétique religion.

Le paysage de l'au-delà
dans les labyrinthes sombres
et ceux, de lumière
palpent la science interdite,
d'un clergé au pouvoir infini.

Il faut partir vite,
boire aux sources du savoir
qui ont gardé pour leurs riche besoins et
aller du palais luxuriante
jusqu'à la fontaine de jouvence
pour restaurer leurs vies
pour, ressembler à l'Immortel Dieu
sous l'arche de Dieu qui
imagine le pire...

6. Le 10 mai 2015, 16:50 par Julie A. (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91))

Le pays engloutit par des roses rouges couleur sang,
et ceux qui s'y noyait à l'intérieur
cherchent une échappatoire sans fin.

leurs membres rigides d'une froideur absolue, glacent l’atmosphère de ces terres,
dans la ville seul ténèbres et sang sont au rendez vous
où l'eau coulait, les cadavres de pauvres enfants étaient éclaboussés

leurs peaux étaient éclairées par l'astre de la nuit
à la poursuite de leur montée aux cieux leur âme s'y opposait.

Le paysage était angoissant
dans le silence de ces espaces se reflètent le sommeil éternel de ces innocents
et ceux qui y sombrait à l'intérieur
palpent de près les portes du paradis, mais peuvent t'ils passer au de là de ces portes?
d'un claquement de doigt le souverain fait des victimes

Il faut fuir ce mal, il faut fuir cette injustice, il faut fuir ce massacre
boire à table du sang d'innocent tel est la devise du Diable et du tyran
qui ont ce contentement, cette jouissance. Monstre sanguinaire dépourvus de sentiments.

7. Le 10 mai 2015, 18:58 par nicolas D

Le paysan regarde ses terres se dégrader
et ceux face au naufrage de notre pays
cherchant tant bien que mal à nous rendre aveugle

leurs machines à manipuler les pensées
dans la lointaine pensée de l'humain
où l'eau n'est éternel que dans le monde des fous.

leurs promesses paradisiaques se confondent
à la poésie des menteurs

Le pays s'effondre face à cette vague de propagande
dans les rues pleines de pauvreté
et ceux pour le plaisir des tyrans, nombreux
palpent la vie n'osant pas la regarder en face,
d'un clou caché les torturant de mal et de peur.

Il faut tout de même les laisser manger,
boire à leurs envies pour ne pas réveiller leurs tyrannies
qui ont une envie : nous achever. Réveiller vous,
aller dans cette rage qui vous mène jusqu'au soulèvement de vos armes
pour répondre à cette tyrannie
pour
sous l'action des épées ils puissent
imaginer leur première défaite !

8. Le 10 mai 2015, 20:18 par Morgan

Le pays est plongé dans l'ombre, les gents tombent peu à peu
et ceux qui se relèvent coûte que coûte
cherche la lumière dans les décombres

leur misère ne touche-t-elle personne ?
dans la poussière et la faim
où l'eau nettoie les visages décomposés

leur pouvoir a tout dévasté
à la population d'en payer le prix et de s'élever contre lui

Le paysan cherche ses terres
dans les creux dessinés par les obtus
et ceux qui croient que se battre est inutile
palpent le silence qui les consumes et
d'un claquement sourd, la guerre a commencé.

9. Le 10 mai 2015, 20:49 par William

Le pays s'effondre sous la pauvreté
Et ceux qui ont été épargnés
Cherchent en vain un moyen de s'évader

Leurs malheurs ne sont rien
Dans la vie d'autrui
Où l'eau coule tel un torrent

Leurs paisibles vies
A la portée seuls des plus heureux

Le pays dans lequel nous vivons
Dans lequel tout va mal
Et ceux qui le contredisent
Palpent le mensonge
D'un clair obscure

Il faut tout recommencer
Boire à la source, les personnes en
Qui on croit, peuvent
Aller dans ce sens là
Jusqu'à espérer,
Pour recommencer
Pour tout recommencer
Sous l'angle que nous évoquons,
Imaginez ce monde...

10. Le 10 mai 2015, 20:55 par Antoine.

Le Paysans et sa Terre souffrent
et ceux qui disent avoir le pouvoir de la sauver
cherchent en fait à comment amasser plus de billet

Leurs mensonges les font avancés tout droit
dans la mort où ils perdront toute foi
où l'eau-de-vie ne sera plus que le seul issue et choix.

Leurs programmes annonçaient un changement dès maintenant ?
À la porte, Terre et Paysans sont à présent !

Le Paysans et sa Terre souffrent
et ceux qui ont le pouvoir de la sauver
palpent les lieux qu'ils pourraient encore piller
d'un claquement divin les escrocs seront punis

Il faut dès à présent dénoncer l'ennemi
boire à l'espoir et aux compagnons éternels
qui ont sacrifié leurs vies pour que la nôtre soit plus belle.

11. Le 10 mai 2015, 21:56 par Sarah V

Le pays de mon enfance

et ceux de mon futur passé
cherchent aujourd'hui leur richesse égarée
leurs malheureux habitants sont affamés
dans le vaste couloir de la nuit
où l'eau ruisselle sur les pavés
leurs pas raisonnent 
à la poignante levé du jour
le pays tant dévasté
dans le banal paysage de guerre
et ceux aux âmes esseulées 
palpent l'espoir d'une vie meilleure
d'un clin d’œil se laissent emportés par l'appel de la mort
il faut ici espérer pour réussir à vivre et
boire au nom de ceux
qui ont un jour été heureux
aller danser pour oublier
jusqu'au soleil levant 
pour recommencer à espérer
pour 
sous l'acharnement des bombes et des coups de feu
imaginer une vie de paix
12. Le 10 mai 2015, 23:22 par Erwan

Le pays est à feux à sang
Et ceux qui y vivent tout autant
chercher leurs enfants blessés

Leurs maison ont brulé
Dans la campagne maudite
L’eau est bénite

13. Le 10 mai 2015, 23:31 par Thomas K. ||F/\Y/\

Le pays est entrain de s'endormir
et ceux qui ne le voient pas
cherche à ce cacher!

Leurs manigances n'est qu'illusion
dans la situation où nous sommes
où l'eau de la patrie est troublée.

Leurs premières occupations, c'est eux !
à la population ce dut !

Le pays ne vas plus du tout
dans les océans politiques
et ceux qui ne le voient pas
palpent les tréfonds de la bêtise
d'un clin d’œil ,tout peut changer

Il faut rassembler les éclats brisés de la nation
boire au nom des frères qui se sont battus
qui ont eux aussi ,la même volonté que nous
aller explorer l'obscurité du monde politique
jusqu'à notre dernier souffle
pour recommencer notre histoire
pour éviter à nos enfants d'être
sous l'arrogance et l'emprise d'un pouvoir mensongé
imagine...la liberté !

14. Le 11 mai 2015, 18:16 par manon saussais

Le paysage est lugubre froid comme le visage de cet enfant
et ceux de cette famille en deuil
cherchant désespérément les raisons de ce drame, on pouvait voir

leurs merveilleuses vies
dans la paix et la tranquillité
où l'eau ne coulait quasiment jamais sur leurs visages, basculer.

leurs pupilles humides face à ce corps sans vie
à la porte du paradis le long du chemin entre la mort et la vie

le pays était alors plonger
dans les torrents de larmes de cette famille désemparée et ceux des pleureuses qui
palpent ce corps dans l'espoir qu'il revit mais
d'un claquement de doigts tout le monde réagissait

il faut venger cet enfant non pas
boire à ses souvenirs
qui on été et seront à jamais dans sa mémoire mais
aller demande justice jusqu'à ce que ce cauchemard cesse

Pour réprimander ce coupable
pour
sous l'agressivité de ce monstre trouver du moins imaginer une infime partie d'humanité et la révélé à tout jamais pour la paix et la tranquillité que tout cela ne se reproduise jamais

15. Le 11 mai 2015, 18:27 par Gladys

Le pays est notre patrie
Et ceux du camp ennemi
Cherche à le nuir

Leurs misères nous poursuivent
Dans l'ombre de ce couloir
Ou l'eau camoufle leur chevelure

Leur pitié est absente
A la perte du combat

Le pays doit se relever
Dans le meilleur esprit d'être unis
Et ceux du monde puéril
Palpent le coeur de nos frères
D'un claquement abominable

Il faut du courage, des armes
Boir au nom de notre pays leur sang
Qui ont-ils de plus que nous ?
Aller droit devant, foncer
Jusqu'au chemin de la gloire
Pour recommencer un pays victorieux
Pour admirer un pays merveilleux
Sous l'assurance de notre pays
Imagine un monde sans guerre

16. Le 11 mai 2015, 18:39 par mme baudry

Quel poème préférez-vous? Quel poème correspond le mieux au thème "insurrection poétique" selon vous? Pourquoi?
Y a-t-il des éléments que vous auriez changés? améliorés dans le poème choisi?

17. Le 11 mai 2015, 21:23 par Amandine

Le paysage tourmenté vient de disparaître,
Et ceux qui vont poursuivre leur chemin,
Chercheront une autre maison pour demain.

Leurs maisons ayant brûlées,
Dans la cendre et le feu,
Où l'eau ne pouvait rien arrêter.

Leurs plaintes douloureuses
A la portée éphémère.

Le pays qui nous a vu naître
Dans le berceau du monde,
Et ceux dont le pouvoir brûle les mains,
Palpent les portes de la liberté et la fait disparaître
D'un claquement de doigts.

Il faut repousser ce mal.
Boire à la source de la liberté et aider nos braves
Qui ont combattus l'ennemie,
Aller danser sur les tombes des tyrans.
Jusqu'à des lendemains glorieux,
Pour repousser les despotes,
Pour une paix harmonieuse
Sous l'astre lumineux
Imaginer une vie radieuse.

18. Le 11 mai 2015, 22:57 par Allan

Le pays des lumières
et ceux des cutéreux
cherche par un simple vers

leurs machination infructueuses
dans la luisance d'une douce nuit
où l'eau pure coûle sur un rôcher

leurs portraits fort instruits sont
à la portés de leur durs secrets

Le pays des droits de l'Homme
dans le discours d'un dictateur
et ceux a qui ces emétisantes paroles
palpent leur esprit et leur douleur
d'un clairon forme leur malheur

Il faut des résistant puissant
boire aux léthifère de ce Roi
qui ont voulu par espoir
aller dans cette fanfare dangereuse
jusqu'au dernier souffle ils se battront
pour revendiquer leur liberté et donneront leur vie
pour
sous l'aspect d'un futur dirigeant
imaginer l'extinction de cette impunité

19. Le 11 mai 2015, 23:26 par Léa

Le pays auquel j'appartenais
et ceux qui le peuple
cherchent un retour en arrière

leurs miséricordes qui résonnent
dans la tristesse de ce pauvre pays
où l'eau ne devrait couleur que sur les joues de ces petits partisans

leurs patries dévastées
à la poitrine brulée

Le pays auquel j'appartenais
pris dans les pièges de ces ombres inconnues
et ceux qui le peuple
palpent avec crainte ces tunnels infinis et disparaissent
d'un claquement de doigts

Il faut résister contre leurs méfaits
boire avec plaisirs à la mémoire des notres
qui ont osés parler tout haut, osés
aller dans le combat et se battre
jusqu'au sang
pour réussir à nous donner raison
pour ...
sous l'auspice de ces braves personnes
imaginez-vous gagner contre ses pauvres partisans.

20. Le 12 mai 2015, 13:27 par Aymeric V.D.R.

Le paysage verdoyant d'antan
Et ceux l'admirant chaleureusement
Cherchent a tout prix à le retrouver

Leurs misères ne de doit seulement à leur pitié
Dans la supplication simple et clair
Ou l'eau ne serait jamais chère

Leurs pouvoirs accordés
A la potence vont se sacrifier

Le Pays pris en l'absence d'un lion
Dans les griffes d'un faucon
Et ceux voulant en échapper
Palpent tel des poules le sol à leurs pied
D'un clin d'oeil sournois du faux roi

Il faut au prix de sa vie s'en méfier
Boire au jour le jour comme si rien n'existait plus
Qui ont égaré leurs âme, pour qui l'eut crû
aller dans les bois, éventuellement chasser un lapin
Jusqu'au lendemain matin
Pour reconnaître que ce faux roi n'a rien de plus
Pour lui enlever toute sa crédibilité afin qu'il n'en est plus
Sous l'air aviser du peuple le huant
Imaginer a nouveau ce Pays d’antan comprenant un roi y régnant !

21. Le 12 mai 2015, 19:14 par Hugo

Mots imposés: effacer/enfant

Le pays que j'ai toujours connu
et ceux que je n'ai encore jamais vu
cherchent à me rencontrer

leurs mondes démolit par les pas de l'Homme
dans la tyrannie incessante des révolutionnaires corrompus
où l'eau trouble abreuve les populations impuissantes

leurs partis politiques contribuent à effacer les cultures
à la perte des générations, ils laissent leurs traces

Le pays de nos enfants et celui de nos grands parents
dans les décors qu'ils ont connu, tout était beau
et ceux que nous connaissons, s'affaissent au cours du temps
palpent nos souvenirs et s'encrent dans nos mémoires
d'un cliché, ils survivent et l'heure d'après ils sont déjà partis

Il faut s'unir car c'est notre devoir de permettre aux générations futures
de boire aux bords des rivières l'eau claire
qui ont apaisé la soif de ,os ancêtres en leur donnant le pouvoir d'
aller dans les pays qu'ils n'ont jamais connu
jusqu'aux endroits merveilleux, immaculés et parfait
pour rependre leurs connaissances alors encore restreintes
pour l'avenir, et pour une prospérité possible, asseyons-nous
sous l'arbre, mangeons ses fruits et respirons son air
imaginez ce que serait le monde sans l'empreinte des hommes

22. Le 16 mai 2015, 22:01 par agathe

-lumière;passager

Le paysage de cette ville m'effraye
et ceux qui y habitent aussi. Ils
cherchent désespérément de l'aide regardant
leurs maisons détruites par le feu et les bombes
dans la lumière obscurcie par la fumée
où l'eau rougeâtre ruisselle entre les corps et les débris.
Leurs premiers espoirs d'une vie meilleure ne sont plus
à la portée de tous mais définitivement enfoui sous les décombres.
Le pays ce matin s'est brutalement réveillé
dans le vacarme des bombardements,
et ceux qui ont la chance d'échapper à la mort
palpent fiévreusement les corps inertes victimes
d'un climat tyrannique qu'on pensait passager.
Il faut: croyez-moi
boire à la santé des ces hommes et ces femmes disparus,
qui ont tant défendus notre liberté et notre patrie,
aller dans les villes et campagnes
jusqu'à la rébellion de nos compatriotes
pour retrouver nos droits,
pour venger nos familles et amis
sous l'amer goût d'une défaite,
imaginant un avenir meilleur.

23. Le 17 mai 2015, 11:57 par Aurélien

Mon poème préféré est le poème du commentaire 7 car :

- il parle à une partie de la population, les paysans, population souvent dominée et pauvre.
- il appelle au soulèvement, à l'insurrection.
- il dénonce la propagande utilisée pour endoctriner la population.
- l'auteur est favorable au peuple et soutient le paysan regardant ses terres dévastées.
- Ce poème est poétique tout en ne respectant les règles de la poésie.

Ce que j'aurai ajouter en plus, c'est une ponctuation plus expressive (!) pour donner plus de vie au texte.

Le poème du commentaire 20 respecte parfaitement le thème de l'insurrection poétique car :

- il évoque le roi sans le nommer en utilisant la vision du peuple (faux roi).
- il parle du roi comme d'un usurpateur (faucon) comparé au vrai roi (lion) (comme Victor Hugo pour parler de Napoléon et de Napoléon III (le tigre et le singe)).
- il évoque les révolutions sans les nommer.
- il fait une personnification du roi (lion, faucon).
- il compare deux paysages (avant et après).

Pour ce poème, j'aurai également mis plus de ponctuation expressive pour donner plus de vie au texte.

24. Le 17 mai 2015, 12:58 par nicolas D

Pour moi le commentaire 10 est le mieux car nous ressentons bien le but d'un poème ayant pour thème l'insurrection poétique. En effet, il utilise des mots qui frappent pour soulever le lecteur et provoquer le destinataire
De plus nous sentons bien l'envie de révolte !.

25. Le 17 mai 2015, 14:51 par William Nguyen

Le poème pour lequel j'ai une préférence est celui de Nicolas Delacotte car on comprend bien, en lisant son poème, quelle cause le révolte. Il n'y a pas de rime ou autre, ce qui respecte bien ce qu'on avait dit en cours à propos de l'insurrection poétique.

26. Le 17 mai 2015, 20:01 par Quentin

Le poème que j'ai préféré est celui de William, car même si tous les poèmes respectaient le sujet "insurrection poétique", c'est celui-ci qui m'a le plus marqué. En effet William a pris le temps d’introduire quelques figures de style comme l'oxymore "clair obscure ", il a en plu choisi des mots forts pour bien que ces mot nous rentrent dans la tête.

27. Le 17 mai 2015, 20:39 par JulieA_1es2

Mon poème préféré est celui de nicolas D :siffle:
C'est le seul qui m'a tout de suite plus lors de ma première lecture. Je trouve qu'il a des traits de ressemblance avec le mien d’ailleurs. Peut être la forme, l’évocation du tyran.. à vrai dire je n'en sais rien, mais ce qu'il dit dans son poème c'est ce que j'aurais voulus retranscrire au début (j"ai changé par la suite). Je trouve que son poème a vraiment un fond, c'est le seul qui est vraiment intéressant et dont la pensée est bien exprimer, expliquer, elle touche directement le lecteur. Le poème est bien construit et accrocheur. C'est de loin le meilleur poème pour ma part. Franchement je ne vois rien à redire il est juste parfait. Mon passage préféré est " Il faut tout de même les laisser manger,
boire à leurs envies pour ne pas réveiller leurs tyrannies
qui ont une envie : nous achever. Réveiller vous " Franchement Nicolas chapeau :mdr:

28. Le 17 mai 2015, 23:34 par Antoine

(j'avais déjà fais un commentaire mais celui ci n’apparaît pas je sais pas pourquoi..)

Quoi qu'il en soit celui que je préfère est celui de Nicolas D. Parce que je le trouve simple et efficace, il est parfaitement dans le thème de l’insurrection poétique 8-) alors que la plus part des autres ont trop chercher a vouloir mettre des figures de styles a tout pris, et du coup on comprend plus grand chose.. :-/
Mais celui de Nicolas est bien écrit, on sent une gradation qui a la fin nous pousses a une révolte! LOL