Germinal Partie VII
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 16 décembre 2013, 13:57 - Lien permanent
Articles critiques sur la partie VII de Germinal.
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 16 décembre 2013, 13:57 - Lien permanent
Articles critiques sur la partie VII de Germinal.
Commentaires
Chers Lecteurs,
Ce livre touche à sa fin, mais vous allez vivre, jusqu’à la dernière minute, la course ultime vers la catastrophe ! Il semblerait que pour Zola, le dénouement ne puisse se concevoir que dans l’horreur !
En effet, après le terrible massacre qui a eu lieu dans le précédent chapitre, les mineurs affamés et anéantis n’ont pas d’autre choix que de reprendre le travail. Il faut d’ailleurs souligner, qu’ils n’ont rien obtenu ! S’agit-il de la victoire des «bourgeois-possédants» ?
Dans ce passage, ZOLA dénonce l’extrêmisme, en la personne de Savarine, qui va commettre un terrible attentat en sabotant la mine. Catherine, Chaval et Zachari y trouveront la mort. La Maheude reste seule, sans homme et sans enfant ! Pour survivre, elle retourne dans le fond de la mine. Personne n’est épargné, sauf Etienne qui s’éloigne.
En revanche, la fin de ce roman est une fin optimiste.
En effet, Etienne s’en va, comme il est venu ! sauf qu’il est arrivé seul et qu’il repart avec des camarades plein le coeur. Depuis son arrivée, les feuilles ont germé, et les hommes ont grandi. Etienne a beaucoup appris de cette terrible aventure. Il s’est instruit, il a découvert la politique, et s’en va réaliser son idéal. Il laisse sous ses pas, des hommes, des camarades qui poursuivent leur travail sous terre, mais qui, comme lui et grâce à lui, ne seront plus jamais comme avant. Ils sont devenus les combattants de la classe ouvrière naissante. Ils ont, grâce à Etienne, pris conscience de leur force collective qui les aidera à améliorer leurs conditions de vie.
Très sincèrement, même si l’on peut parfois reprocher à Emile Zola de nous emmener souvent dans le noir, dans le lugubre et le sordide, il faut bien reconnaître que ce livre est une oeuvre extraordinaire qui vous marque à tout jamais et nous fait prendre conscience des réalités et de toutes les souffrances qu’ont subies les générations précédentes ainsi que des progrès qui sont intervenus grâce à leurs combats et dont nous bénéficions aujourd’hui.
C’est tout l’intérêt d’une bonne lecture : nous apprendre, nous faire prendre conscience, nous faire réfléchir pour ensuite nous faire agir ! Mission accomplie ! Merci Monsieur ZOLA ! J’espère que comme moi, vous aurez apprécié ce chef-d’oeuvre !
Germinal, le massacre jusqu'à la fin.
Dans mon précédent article, j'ai en effet mentionné lpartie 6 de Germinal, remplie d'horreurs, de violances, et de désespoir. Et bien je puis vous assurer que cette partie aura tôt fait de vous achever. A croire que Zola ne puisse pas écrire un dénouement heureux. Cette partie raconte l'enfermement d'Etienne, Caterine et Chaval tout au fond vu voreux. Le voreux, qui s'est brisé, a inondé les galeries, et a dévorer les mineurs en son ventre suite à des éboulements. Coincés, ils n'ont d'autre choix que d'attendre des secours. Et le drame continue chers lecteurs... Chaval, tué par Etienne, va cependant sûrement vous donner un peu dej oie, bien que Etienne vous paraitra dingue.. Lors du sauvetage, le seul mineur qui est survit est Etienne, tous les autres sont morts, et on entre dans le profond désespoir de la mAheude qui a réellement tout perdu. Elle retroune travailler pourn ourrir ses enfants survivants, on ressent une profonde monotoni lorsque l'on pense à elle, et cela nous affecte beaucoup car dans son cas, qu'aurions nous fait ?
Rébellion
Défaite et recommencement
Chers lecteurs voici déjà la fin de notre aventure avec la septième et dernière partie de Germinal.
Mais cette partie ce termine par une terrible déception!!
C'est bientôt la fin de la grève et Etienne qui avant était si fort et honoré est désormais l'image de la défaite ainsi que de la mort. Et oui, notre cher Etienne que les mineurs prenaient pour leur meneur à finalement déçu tout le monde. Même nous en tant que lecteur, nous n'aurions jamais pensé qu'Etienne provoquerait une situation pire qu'à son arrivé. Etienne est finalement ce qui est arrivé de pire aux mineurs de Montsou! Visiblement les seules personnes qu'il reste à Etienne sont Catherine, Rasseneur et Souvarine. Encore une nouvelle déception, car ce dernier décide de partir de Montsou enfin c'est ce que nous pensions car tandis qu'Etienne par se coucher Souvarine fait mine de s'en aller mais part discrètement dans le Voreux. Afin de punir tous les mineurs qui auraient décider de reprendre le travail il sabota le cuvelage, sortit de la mine et observa les dégâts. Seulement lorsque les mineurs arrivèrent il aperçut Catherine et Etienne et tenta de les dissuader de descendre. Mais ils y vont quand même. Le cuvelage cède et vingt personnes reste coincé dans la fosse dont Catherine, Etienne et Chaval et sur ces vingt personnes cinq ont réussit à s'enfuir. C'est à ce moment que la fosse s'effondre. nous aurions pensé que Souvarine serrait accouru afin de sauver son ami mais au lieu de ça il s'en va. En essayant de sauver les personnes qui étaient coincées Zacharie mourra. Nous ne sommes pas au bout de nos surprises car Bonnemort étrangla Cécile la fille des Grégoire qui étaient venu apporter des vivres aux Maheu. Catherine, Etienne et Chaval avaient réussi à avancer afin d'être en sécurté mais les autres avaient péri. Alors que tous semble s'arranger petit à petit l'inévitable arriva Chaval ne cessant de provoquer Etienne celui-ci ne le contint plus et le tua. Enfin quelque chose que nous voulions et qui est arrivé! Nous voilà enfin débarrassé de Chaval! Après tout il n'a eu que ce qu'il méritait. Etienne et Catherine cachèrent le corps et continuèrent la route vers la sortit seuls. Mais Catherine prise d'hallucination à cause de la faim, se donna à Etienne et mourra quelque temps après. Etienne quand à lui fut sauvé. Une fois sortit de l'hôpital celui-ci dit adieu à ces camarades et partit, laissant derrière lui les mineurs dans d'horrible conditions et ayant une vie encore plus désastreuse qu'à l'arrivé d'Etienne. Nous nous attendions à ce qu'Etienne reste à Montsou et continue à les aider mais il semblerait que celui-ci n'en a rien à faire de ce que les mineurs peuvent devenir. Etienne n'est finalement qu'un lâche parmi tant d'autres qui profite du malheur des autres pour se mettre en avant.
Note:1/5
Voilà c'est la fin de notre édition j'espère que cela vous à plus et à très bientôt je l'espère.
GERMINAL : partie VII
Vous vous dites, c'est la dernière partie du livre, après autant de tristesse, de morts, tout va finalement bien se terminer pour ses mineurs. Ils vont obtenir une vie un peu meilleure.
Et bien, détrompez-vous ... jusqu'à la dernière ligne, Emile ZOLA vous fait plonger dans l'horreur absolue.
Pourquoi a-t-il fait cela ? Pourquoi un roman aussi noir ?
mais pour faire réfléchir ses lecteurs de la fin du XIXème siècle, pour qu'ils prennent conscience de la vie des mineurs, des ouvriers de cette époque.
SABOTAGE :
Après la mort de Maheu et des autres, la Compagnie essaie de calmer la colère : la situation de chacun va être étudier mais à une seule condition que le travail reprenne.
Contre l'avis de sa mère, Catherine décide de redescendre. Etienne qui ne veut pas la laisser seule décide de la suivre.
La veille de la reprise du travail, Souvarine, amer et qui a sombré dans un fanatisme de destruction, sabote le cuvelage de la fosse.
Alors que les mineurs travaillent, le cuvelage cède libérant des tonnes d'eau et de boue. Un torrent se déverse dans les galeries emportant tout. Les mineurs sont pris au piège. Etienne, Catherine et Chaval décident de rejoindre Réquillard pour essayer de sortir.
ATTENTE INTERMINABLE
A la surface, Négrel prend les choses en main pour essayer de sauver les survivants. Commence alors une course contre la montre. Zaccharie, fou d’inquiétude pour sa soeur, va creuser jour et nuit. Il y laissera sa vie.
Au fond, Etienne, Chaval et Catherine se retrouvent coincés dans une toute petite cavité. La promiscuité attise la haine entre les deux hommes. Ils se battent et Etienne tue Chaval.
Plongés dans le noir, affamés, sans force, Etienne et Catherine partage une dernier instant d'amour aussi intense que bref puis Catherine s'éteint dans les bras d'Etienne.
DEPART
Etienne est finalement sauvé. Il décide de rejoindre Pluchart à Paris. Avant de quitter le coron, il va à la fosse dire au revoir à La Maheude que la Compagnie a accepté de reprendre pour descendre au fond.
Vous allez me dire mais à quoi cela leur a servi de faire la grève. Ils ont perdu des membres de leur famille et n'ont rien gagné en contrepartie.
Peut-être qu'eux n'ont rien gagné mais leurs enfants, les enfants de leurs enfants auront peut-être une vie meilleure.
D'ailleurs, quand Etienne quitte la mine, il est plein d'espoir comme ce printemps qui permet la renaissance de la nature après un hiver glacial et sombre.
J'espère que, comme moi, vous retirez une leçon de cette histoire et apprécierez la vie que nous avons en ce XXIème siècle : car c'est un peu grâce à eux, à leur souffrance ...
.
Le réveil de la bête en colère
Germinal de Zola 7ème partie
Notation : ★★★★★
Cette partie est pour moi la plus prenante du roman. Elle est remplie de suspense, de rebondissement qui vous prend les tripes. Dommage que cela n’arrive qu’à la dernière partie.
L’inversement des rôles
Etienne n’est qu’un lâche, un pauvre traitre qui ne va pas jusqu’au bout des choses. Il a promis aux mineurs une vie meilleure mais la grève n’a rien changé à l’existence. La foule qui auparavant lapidait les soldats lapide maintenant Etienne qui n’est plus rien pour eux, seulement un homme qui les a enfoncés dans une misère encore plus profonde. Il possédait ce peuple, c’était à lui, c’était le maître mais ce peuple ne le vénère plus, c’est fini. Sa gloire est anéantie.
Rasseneur qui était tombé dans l’oubli revient au-devant de la scène, il reprend sa place initiale, celle qu’Etienne lui avait volée lors de son discours dans la forêt de Vandame. Le peuple a changé de camps. Etienne montre encore sa lâcheté lorsqu’il redescend dans la mine travailler avec Catherine et Chaval. Lui qui avait juré ne plus jamais y redescendre. Il se trahit lui-même. Par amour pour Catherine, il ne voulait pas la laisser descendre seul avec Chaval.
La terre gronde
Un homme provoqua le réveil du Voreux, ce monstre qui se laisse frapper à coup de rivelaine depuis tant d’années. La pluie coule à flot dans la mine, le niveau d’eau monte, l’ordre de remonter les mineurs a sonné mais trop tard une vingtaine y reste ne pouvant plus remonter. La terre se révolte, les hommes ne sont que des petites poussières face à la terre, rien ne peux l’arrêter quand elle gronde. Les tours de la mine s’écroulent, la terre tremble, le cratère de la fosse s’agrandi. Ce trou géant est semblable à un volcan d’eau sans éruption hors du cratère. Ce n’est plus la révolution des mineurs mais la révolution de la terre. Celle-ci en a assez des coups obstinés des rivelaines qui la blesse sans cesse, de se faire voler des parties de son corps, de servir de camps de concentration, d’être la tombe de tous ces mineurs fatigués…
Le survivant
Tous luttaient éperdument contre la terre, l’eau qui montait, la faim qui les faisait mourir à petit feu. Ils cherchaient des issues pour échapper à la mort. La mort rodait dans ce monde sou terrain rempli de tristesse. Seuls les signaux portés par les coups des rivelaines leur donnaient espoir et les emplissaient d’un peu de joie. Ces morts vivant luttaient tant qu’il le pouvait mais un seul résista, celui qui était le moins habitué au monde noir de la mine, Etienne. Après avoir tué Chaval dans une ultime bataille il s’était posé avec Catherine qui perdait la raison, rêvait éperdument sans plus jamais s’arrêter. Elle finit par s’endormir définitivement dans ses bras qui la tenaient toujours lui caressant le visage délicatement de peur de la réveiller. Ce mélodrame emplira votre cœur lorsque vous découvrirez ces passages édifiants.
Le départ
Etienne s’en va avec la soif de rejoindre Pluchard à Paris. Il laisse la Maheude, seule avec ses enfants et le vieux Bonnemort, ayant perdu son homme, Zacharie et Catherine. La Maheude gagnée par la misère du se mettre au travail dans la mine. La grève n’avait servi à rien seulement à enfoncer ces pauvres mineurs dans une misère encore plus profonde qu’elle ne l’était. Beaucoup avaient juré comme Etienne de ne plus descendre dans la mine mais tous gagné par la misère durent redescendre. Les mineurs on reprit leur vie comme avant rien avait changé. Seul Etienne peut espérer à une vie meilleure laissant derrière lui ses camarades anéantie par la fatigue et sans espoir, or l’espoir fait vivre.
C’est un roman sans issue, une boucle sans fin qui mérite d’être lu pour la richesse de ses descriptions et la réalité des faits historiques.
Je vous souhaite une bonne fin de lecture en espérant que mes articles hebdomadaires vous auront donné envie de poursuivre la lecture de ce roman jusqu’à sa fin.
Rédactrice en chef Ophélia Astier.
Une fin très sombre
Il semblerait que Zola est une vision très pessimiste des fins d'histoire ! Il va nous montrer qu'une fin peut également être très triste, mais vous l'aurez compris c'est son but depuis le début du roman.
Suite à ces affrontements, la Régie des mines de Montsou était venue rétablir l'ordre et tenter de mettre fin à la grève. Vandame avait était rachetée, Deneulin n'avait plus d'argent et les régisseurs proposaient aux ouvriers de reprendre leur travail. Leur situation serait régulée ensuite. Etienne, si fort et si honoré auparavant, était désormais l'image de la défaite et de la mort. Tout le coron lui en voulait, on lui reprochait les morts. Rasseneur lui proposa d'entrer à L'Avantage, tandis que Chaval et les autres lui lançaient des briques. Etienne ne savait plus que faire et compris Rasseneur qui l'avait mis en garde face à sa popularité soudaine.
C'est une injustice envers Etienne qui voulait faire le bien autour de lui, à des personnes qu'il ne connaissais que très peu au début du roman. Les mineurs devraient sans prendre qu'à eux même !
En se promenant un soir, Etienne rencontra Souvarine qui, pour une fois, parla de son histoire. A la fin de la promenade, il lui indiqua qu'il partait de Montsou. Etienne fut surpris d'une telle décision, mais l'acceptait. Tandis qu'il rentrait se coucher, Souvarine avait fait mine de s'en aller, mais était entré discrètement dans le Voreux. Il voulait punir les lâches qui reviendraient travailler et sabota le cuvelage qui maintenait la mine à sec. Puis il se posta à l'extérieur pour observer les dégâts. Cependant, lorsque les mineurs arrivèrent, il aperçut Etienne et Catherine. Il tenta de les dissuader de descendre, mais Etienne amoureux, lassé d'être fustigé, et ne croyant plus à la victoire des grévistes rejoignit le Voreux avec Catherine. Comme si les mineurs n'avaient pas eu leur lot de catastrophes, il faut que qu'une personne remette ça ! Nous aurons des catastrophe jusqu'à la fin !
Les mineurs descendirent dans la fosse. Mais bientôt le cuvelage céda, Dansaert fit évacuer la fosse tant bien que mal, puisqu'elle menaçait de s'effondrer. Les morceaux de cuvelage ne permirent pas de remonter, vingt personnes restèrent au fond, dont Etienne Catherine et Chaval. Ils tentèrent d'évacuer par l'ancienne fosse du Réquillart, tandis que l'eau montait, mais seulement cinq personnes purent sortir, les autres étant bloquées par les éboulis. A l'extérieur, Hennebeau et Négrel tentèrent de calmer les habitants du coron qui craignaient pour ceux qui n'avaient pas pu remonter. Négrel, en descendant dans la fosse, constata qu'il s'agissait d'un sabotage. La Maheude et Zacharie pleuraient Catherine. Puis en un instant, la fosse s'effondra, les bâtiments de la mine furent engloutis, des failles se creusèrent dans le coron, sous le regard impuissant de tous. Souvarine ayant observé la scène, se félicitait de son acte et s'éclipsa. Quel lâcheté de ne pas assumer son acte misérable !
On tenta d'entrer dans la mine par le Réquillart. La Maheude attendait jour et nuit là-bas, qu'on sauve sa fille ; Zacharie, lui, prenait part aux recherches. Un jour il entendit les survivants frapper les parois. Après étude, on fit creuser pour les sauver. Mais cela prenait du temps et le grisou émanait de toutes parts. Zacharie impatient fut tué par un « coup de grisou ». La Maheude en était encore plus anéantie. Elle compta alors sur le sauvetage de sa fille.
Nous sentons que c'est la, les accidents se succèdent et les tragédies continuent !
Quatre autres personnes avaient pu sortir, Chaval, Catherine, Etienne et d'autres ne les avaient pas suivi. Catherine et Etienne, qui tentaient d'échapper à la montée des eaux, se retrouvèrent nez-à-nez avec Chaval dont les camarades avaient péri plus tôt. Ils étaient pris au piège. Chaval n'arrêtait pas de les provoquer. Alors Etienne ne se contint plus et le tua. Il déplaça le corps dans la promiscuité de leur abri, entouré d'éboulis et en train d'être inondé. Seuls à présent, Catherine et Etienne entendirent et répondirent aux signaux envoyés par les sauveteurs. Mais leur sauvetage leur paraissait compromis. Prise d'hallucinations dues à la faim, Catherine se donna à Etienne. Elle mourut quelques temps après. Les sauveteurs finirent par sauver Etienne et remontèrent les corps des autres mineurs.
Et voilà comment la volonté d'un seul homme peut faire plusieurs morts !
Etienne était sorti de l'hôpital et venait dire adieu à ses camarades, la grève avait pris fin, on ne pouvait plus vivre dans ces conditions. Le Voreux étant détruit, on travaillait désormais à Jean-Bart. La crise se terminait peu à peu. Il rencontra quelques hommes qui lui étaient proches lors de la révolte. Il chercha ensuite la Maheude qui avait repris, elle aussi, le chemin de la mine car il n'y avait plus qu'elle et Jeanlin pour gagner de l'argent. Leurs adieux furent poignants, elle lui fit remarquer qu'elle n'éprouvait aucune haine vis-à-vis de lui malgré tout ce qui s'était passé. Mais dans son discours, Etienne compris que la révolte continuait et qu'elle devait être mieux organisée pour frapper fort et prendre le pouvoir. Il acquiesça ses propos et s'en alla vers Paris, se remémorant ces années à Montsou.
Une dernière partie encore pleines de rebondissements jusqu'au derniers mots écrits par Zola ! Un véritable chef-d'oeuvre qui peut être lu, lu et relu jusqu'à en connaître l'histoire par cœur, je pense que je ne vais pas être le seul à vouloir le relire même si plusieurs passages sont très triste mais c'est ce qui fais la tout le roman !
Note : ★★★★★
Une fin très sombre
Il semblerait que Zola est une vision très pessimiste des fins d'histoire ! Il va nous montrer qu'une fin peut également être très triste, mais vous l'aurez compris c'est son but depuis le début du roman.
Suite à ces affrontements, la Régie des mines de Montsou était venue rétablir l'ordre et tenter de mettre fin à la grève. Vandame avait était rachetée, Deneulin n'avait plus d'argent et les régisseurs proposaient aux ouvriers de reprendre leur travail. Leur situation serait régulée ensuite. Etienne, si fort et si honoré auparavant, était désormais l'image de la défaite et de la mort. Tout le coron lui en voulait, on lui reprochait les morts. Rasseneur lui proposa d'entrer à L'Avantage, tandis que Chaval et les autres lui lançaient des briques. Etienne ne savait plus que faire et compris Rasseneur qui l'avait mis en garde face à sa popularité soudaine.
C'est une injustice envers Etienne qui voulait faire le bien autour de lui, à des personnes qu'il ne connaissais que très peu au début du roman. Les mineurs devraient sans prendre qu'à eux même !
En se promenant un soir, Etienne rencontra Souvarine qui, pour une fois, parla de son histoire. A la fin de la promenade, il lui indiqua qu'il partait de Montsou. Etienne fut surpris d'une telle décision, mais l'acceptait. Tandis qu'il rentrait se coucher, Souvarine avait fait mine de s'en aller, mais était entré discrètement dans le Voreux. Il voulait punir les lâches qui reviendraient travailler et sabota le cuvelage qui maintenait la mine à sec. Puis il se posta à l'extérieur pour observer les dégâts. Cependant, lorsque les mineurs arrivèrent, il aperçut Etienne et Catherine. Il tenta de les dissuader de descendre, mais Etienne amoureux, lassé d'être fustigé, et ne croyant plus à la victoire des grévistes rejoignit le Voreux avec Catherine. Comme si les mineurs n'avaient pas eu leur lot de catastrophes, il faut que qu'une personne remette ça ! Nous aurons des catastrophe jusqu'à la fin !
Les mineurs descendirent dans la fosse. Mais bientôt le cuvelage céda, Dansaert fit évacuer la fosse tant bien que mal, puisqu'elle menaçait de s'effondrer. Les morceaux de cuvelage ne permirent pas de remonter, vingt personnes restèrent au fond, dont Etienne Catherine et Chaval. Ils tentèrent d'évacuer par l'ancienne fosse du Réquillart, tandis que l'eau montait, mais seulement cinq personnes purent sortir, les autres étant bloquées par les éboulis. A l'extérieur, Hennebeau et Négrel tentèrent de calmer les habitants du coron qui craignaient pour ceux qui n'avaient pas pu remonter. Négrel, en descendant dans la fosse, constata qu'il s'agissait d'un sabotage. La Maheude et Zacharie pleuraient Catherine. Puis en un instant, la fosse s'effondra, les bâtiments de la mine furent engloutis, des failles se creusèrent dans le coron, sous le regard impuissant de tous. Souvarine ayant observé la scène, se félicitait de son acte et s'éclipsa. Quel lâcheté de ne pas assumer son acte misérable !
On tenta d'entrer dans la mine par le Réquillart. La Maheude attendait jour et nuit là-bas, qu'on sauve sa fille ; Zacharie, lui, prenait part aux recherches. Un jour il entendit les survivants frapper les parois. Après étude, on fit creuser pour les sauver. Mais cela prenait du temps et le grisou émanait de toutes parts. Zacharie impatient fut tué par un « coup de grisou ». La Maheude en était encore plus anéantie. Elle compta alors sur le sauvetage de sa fille.
Nous sentons que c'est la, les accidents se succèdent et les tragédies continuent !
Quatre autres personnes avaient pu sortir, Chaval, Catherine, Etienne et d'autres ne les avaient pas suivi. Catherine et Etienne, qui tentaient d'échapper à la montée des eaux, se retrouvèrent nez-à-nez avec Chaval dont les camarades avaient péri plus tôt. Ils étaient pris au piège. Chaval n'arrêtait pas de les provoquer. Alors Etienne ne se contint plus et le tua. Il déplaça le corps dans la promiscuité de leur abri, entouré d'éboulis et en train d'être inondé. Seuls à présent, Catherine et Etienne entendirent et répondirent aux signaux envoyés par les sauveteurs. Mais leur sauvetage leur paraissait compromis. Prise d'hallucinations dues à la faim, Catherine se donna à Etienne. Elle mourut quelques temps après. Les sauveteurs finirent par sauver Etienne et remontèrent les corps des autres mineurs.
Et voilà comment la volonté d'un seul homme peut faire plusieurs morts !
Etienne était sorti de l'hôpital et venait dire adieu à ses camarades, la grève avait pris fin, on ne pouvait plus vivre dans ces conditions. Le Voreux étant détruit, on travaillait désormais à Jean-Bart. La crise se terminait peu à peu. Il rencontra quelques hommes qui lui étaient proches lors de la révolte. Il chercha ensuite la Maheude qui avait repris, elle aussi, le chemin de la mine car il n'y avait plus qu'elle et Jeanlin pour gagner de l'argent. Leurs adieux furent poignants, elle lui fit remarquer qu'elle n'éprouvait aucune haine vis-à-vis de lui malgré tout ce qui s'était passé. Mais dans son discours, Etienne compris que la révolte continuait et qu'elle devait être mieux organisée pour frapper fort et prendre le pouvoir. Il acquiesça ses propos et s'en alla vers Paris, se remémorant ces années à Montsou.
Une dernière partie encore pleines de rebondissements jusqu'aux derniers mots écrits par Zola ! Un véritable chef-d'oeuvre qui peut être lu, lu et relu jusqu'à en connaître l'histoire par cœur, je pense que je ne vais pas être le seul à vouloir le relire même si plusieurs passages sont très tristes mais c'est ce qui fais la, tout le roman !
Note : ★★★★★
Mag'anarchie article littéraire : VIIème partie de Germinal
Chers lecteurs de ce magazine, ma lecture de ce livre touche à ça fin. Même, touche à sa triste fin. Les événements se bousculent, plus tragiques et tristes les uns que les autres. Cette partie sonne, et plutôt TONNE comme un morceau du groupe FUNERAL TEARS, et le nom du groupe en dit long sur le genre.
Cette partie obtient sans doute un 10/10 à mes yeux.
Et la note globale du livre sera pour moi 7/10. Les premières parties m'ayant beaucoup déplu, je me vois forcé de relativiser et de prendre un certain recul pour ne pas être sous le coup de la fin.
A bientôt pour la prochaine étude de livre, Mag'anarchie vous souhaite une bonne lecture
Et nous revoilà pour le grand final de ce roman «Germinal » qui je le rappel fut écrit par Zola en 1885. Ce final bien sûr n’est pas le même que celui d’un feu d’artifice, quoique c’est tous de même celui qui fait le plus de bruit…
Dans cette partie VII Zola nous a concocté un petit jus fluide de déception. Des personnes plus qu’importante, bonne comme mauvaises meurt dans les ténèbres de la mine par un attentat dont l’auteur est Savarine. Cette Homme nous déçoit car étant l’ami d’Etienne il était un peu notre ami et il a tué des personnes sans grandes raisons ! La Maheude est la plus perdante dans ce livre, elle a tous perdu et est condamné à retourner au fond taper la veine. L’arrivée d’Etienne l’a certes distrait quelques temps mais lui a enfaite fait tous perdre, les promesses du meilleur s’avérait fausse et le pire c’est enfaite installé chez elle ! Etienne n’était donc pas un Messie mais le diable camouflé derrière des actes involontaires. Seul Etienne ressort vainqueur de cette histoire ! Il s’est enrichi en connaissance et en maturité au côté de ces hommes et il repart comme il est arrivé. Mais nous sentons bien que quelques chose grouille dans la mine, qu’une rébellion prochaine et énorme se prépare mais cette fois ci mieux organisé et qui n’échouera points … Les patrons devraient commencer à avoir peur et à se préparer au pire car dans ce monde de misère éclairé par la venue d’un étranger les hommes ont finis d’obéir aveuglement et se prépare à une nouvelle révolution !
Cher lecteur, et oui la fin est là, nous passons au peigne fin cette dernière partie, non sans émotions.
LES NOMS ! LES NOMS !
Nous assistons tout d'abord à la déscente au Voreux d'Etienne et de Catherine seulement le drame arrive et un torrent d'eau se déverse dans la mine, Etienne, Catherine, Chaval ainsi qu'un petit groupe de plusieurs mineur sont pris au piège dans les entrailles du monstre, à se moment là nous avons peur, une sorte de claustrophobie monte en nous ainsi que la peur de l'eau dont le niveau ne cesse de s’accroître ! Pendant ce temps a l’extérieur tout les corons arrive a la mine pour savoir les noms des mineurs enterrés vivant , les femmes pleurs comme si leurs vies dépendait de savoirs à tout prix ces noms, nous déchirant le cœur.
LA FIN TRAGIQUE !
On peut dire que Zola ne fait pas dans l'humour et la gaieté, cette partie nous achève, pourquoi tant de souffrance, de violence, de morts dans un livre ? Cette dernière partie est selon moi lecteur, la pire, la plus triste. Etienne et Catherine se retrouvent seuls dans la gueule du monstre combattant les ténèbres, la faim, le temps, et la mort.
Notre pauvre petite Catherine délire complètement, et là Zola abat sa dernière carte de souffrance, il tue Catherine, Pourquoi ? Cette pauvre fille qui a déjà tant souffert entre son amant qui la mal-traitait, la faim, l'épuisement, la mort, pourquoi la faire mourir ?
UNE FAUSSE FIN ?
Cette septième partie n'a pas de réelle fin, car tout le calvaire que les mineurs ont endurés jusque là, tout ce que la compagnie leur a fait subir, leur combat contre cette injustice n'a servie a rien. On pourrait croire a une suite car le livre nous laisse sur notre fin. A nous d'imaginer la future guerre des mineurs contre leurs persécuteurs.
Cher lecteur, ce livre est maintenant terminé, la fin d'une histoire avec une note de nostalgie, cependant n'oublié pas, lorsque qu'un livre ce ferme un autre ce rouvre ! A bientôt pour de nouvelle aventure et de nouveau chef-d'oeuvre.
Une fin digne de Zola
Note attribuée : ★★★★★
Chers lecteurs, après vous avoir déjà présenté six articles sur Germinal, voici maintenant venu le moment de vous parler de la septième et dernière partie de ce roman.
Comme vous le savez surement si vous avez lu l’article de la semaine dernière, les dernières parties et en particulier la sixième m’avaient extrêmement déçue. Les descriptions commençaient à me lasser et Etienne à m’agacer. Pourtant, après avoir lu cette septième partie, mon avis sur l’œuvre reste très positif !
Il manquait de l’action ? Et bien me voilà maintenant servie ! Des dialogues et des péripéties, il n’y a presque que ça ! Bien sûr, il reste quelques descriptions mais celles-ci ne sont pas gênantes et deviennent même agréables à lire.
Etienne en revanche, ne réussira pas à faire changer l’avis que j’ai sur lui. Il reste définitivement pour moi l’opposé de ce que doit être un véritable héros.
Pourtant, le moment qui m’a particulièrement émue dans cette partie est le passage où Etienne fait ses adieux à la Maheude. Il s’agit d’un moment riche en émotions. De plus, on découvre la Maheude sous un autre angle. Alors qu’auparavant, j’aurais été méfiante à son égard car elle paraissait très dure et désagréable, je me rends compte après avoir lu ce dialogue entre elle et Etienne qu’il ne s’agit finalement pas d’une femme sans cœur, elle pardonne Etienne malgré la mort de son mari et tout ce qui s’est passé. Elle estime d’ailleurs que ce n’est pas de sa faute mais de celle de tout le monde.
Mais j’ai aussi été agréablement surprise de constater que ce rapprochement tant attendu entre Etienne et Catherine a enfin eu lieu ! Il était temps... Les deux personnages, pendant qu’ils souffrent ensemble dans la mine regrettent de ne pas avoir été ensemble plus tôt. Leur histoire n’aura d’ailleurs pas duré longtemps puisque Catherine meurt peu de temps après, ce qui m’a particulièrement touchée puisqu’il s’agissait du personnage le plus intéressant et attachant de l’histoire pour moi.
A la suite de ces explications, vous ne devez surement pas comprendre le fait que mon ressenti à propos d’Etienne soit encore si négatif alors qu’il est présent et important dans mes deux passages préférés. Mais il ne faut pas oublier qu’avant d’être seul dans la mine avec Catherine, Chaval était là. Il était là jusqu’à ce qu’Etienne, telle une vraie brute le tue agacé par ses provocations. De plus, il laisse les mineurs dans la misère alors qu’il en est le principal responsable. Il serait donc difficile pour moi de considérer Etienne comme un héros.
En conclusion, il s’agissait d’une œuvre forte intéressante et bien qu’elle connaisse selon moi quelques défauts, il s’agit d’une belle histoire qui nous fait réfléchir et prendre conscience de beaucoup de choses comme la chance que nous avons de ne pas vivre de telles situations mais aussi que le pouvoir finit souvent par provoquer de graves ennuis, ou encore bien d’autres choses... Il est donc selon moi important de lire Germinal si vous ne l’avez pas encore fait !
La semaine prochaine, nous nous retrouverons pour les critiques sur un nouveau roman !
…LA MORT DE LA MINE…
Voici la toute dernière critique de Germinal sur la partie VII. De la surprise et encore des morts…
Après tout ces morts injustes, Etienne, si fort et si aimé auparavant, est désormais l'image de la mort, de la désolation et de la terrible défaite. Tout le coron lui en veut, on lui reproche les morts. Lui qui avait tant voulu aider les mineurs ne reçoit que des insultes et des moqueries, et on est vraiment mal pour lui… Etienne ne sait plus quoi faire.
En se promenant un soir, Etienne rencontre Souvarine qui, pour une fois, parle de son histoire. Ce personnage mystérieux et énigmatique se dévoile enfin et c’est un personnage très important pour la suite de cette partie et de l’avenir de la mine. En effet Souvarine est entré discrètement dans le Voreux. Il veut punir les lâches qui reviennent travailler et sabote la mine. Cependant Etienne et Catherine descende eux aussi à la mine. Alors lecteur, vous vous doutez un peu de ce qui va se passer n’est ce pas ?
Il y a une explosion et la mine menace de s’effondrer alors Dansaert fait évacuer la fosse tant bien que mal et vingt personnes restent au fond, dont Etienne, Catherine et Chaval. Ironie du sort ? Non Emile Zola n’a rien laissé au hasard ! Et on retrouve notre triangle amoureux.
Malheureusement beaucoup de mineurs sont coincés… On se demande comment ils vont s’en sortir… Ils tentent d'évacuer, tandis que l'eau monte, mais seulement cinq personnes sont sorties, les autres étant bloquées par les éboulis. Puis on constate qu'il s'agit d'un sabotage, que nous seul, lecteur, sachons que l’auteur est Souvarine.
La Maheude et Zacharie pleurent Catherine. Puis en un instant, la fosse s'effondre, les bâtiments de la mine sont engloutis sous le regard impuissant de tous. Mais comment Catherine et Etienne vont-ils sortir ?
On commence les recherches pour retrouver les mineurs coincés. La Maheude attend jour et nuit là-bas, qu'on sauve sa fille ; Zacharie, lui, prend part aux recherches. Mais par un affreux coup du sort , Zacharie impatient est tué par un « coup de grisou ». On se demande combien d’autres Maheu vont mourir ! Catherine et Etienne, qui tentent d'échapper à la montée des eaux, se retrouvent nez-à-nez avec Chaval dont les camarades ont péri plus tôt. Ils sont pris au piège et Chaval n'arrête pas de les provoquer ! La seule chose qu’on attend c’est que Etienne réagissent et nous ne sommes pas déçu, Etienne le tue dans un accès de rage. Catherine et Etienne sont seuls à présent mais le froid, la faim et le désespoir ont raisons de Catherine et elle meure dans les bras d’Etienne. On est anéanti par la disparition de cette jeune fille d’à peine 15 ans, si fragile et forte à la fois, et pour nous cette mort est surement la plus terrible et inattendu de tout le livre Germinal. Attention lecteur sortez les mouchoirs !
Pour conclure le livre, Etienne part de Montsou après tant de malheur, laissant derrière lui plein de tristesse et de violence, et aussi nous, on est surpris du départ d’Etienne. Il abandonne les mineurs ? Les Maheu ? Tous les ouvriers de Montsou ? On est déçu sur ce côté-là ! Cette fin nous laisse sur notre faim !
Voilà c’était notre dernière critique de Germinal alors va-t-il y avoir une suite ? A bientôt pour la critique d’un autre livre !!
Point final
Aujourd’hui je vous fais part de mon article sur la dernière partie de Germinal qui permet de mettre un terme à toute cette histoire.
Dans cette partie, Étienne pris d’agressivité tua Chaval, une bonne fois pour toutes, alors qu’ils étaient en compagnie de Catherine au fond de la mine, coincé par la montée des eaux.
De plus, Souvarine qui n’avait fait que parler depuis le début du livre, se mit à saboter la mine avec hargne et revanche après la mort de sa femme.
Jeanlin lui est mort après une explosion au fond de la mine, et c’est bien fait pour lui ! Il n’avait qu’à ne pas se comporter ainsi.
Les mineurs eux ont tous arrêté la grève après la promesse de la compagnie qu’elle allait faire des arrangements s'ils reprenaient le travaille. Mais l’inondation a provoqué beaucoup de dégâts dans la mine et les mineurs ont décidé de lancer la réparation du Voreux. Ils ont cédé après autant de mois de galère, pleine de souffrances et de décès.
La Maheude, elle ne veut pas abandonner tout comme ça, elle trouve que c’est injuste que tous les mineurs aient repris le travaille alors que son mari, son fils et sa fille sont morts dans ce combat. Je suis entièrement d’accord avec la Maheude, je ne comprends pas pourquoi les mineurs sont retourné à la mine alors que de nombreuses personnes sont mortes dans cette mine.
Enfin, Étienne, qui n’a plus sa place ici quitte le Coron pour rejoindre Pluchart.
Étienne est un dégonflé et un poltron car il laisse la Maheude seule avec ses enfants. Il ne pense qu’à lui et a son avenir au côté de Pluchart et je trouve ça incorrecte de sa part.
Voilà, c’est la fin. Merci de m’avoir suivi durant toutes ses semaines et à bientôt pour les aventures d’un nouveau livre.
Article critique de la septième partie de "Germinal" écrite par Zola.
Note: 4/5
Chers lecteurs, chères lectrices, alors que notre lecture touche à sa fin, nous pouvons assister à de nombreux retournements de situations. Cette partie reste triste et la mort reste présente, même trop présente !
Que de tristesse...
Dans cette septième partie, la mort reste extrêmement présente, c'est le cas de le dire ! Cependant, Etienne nous déçoit énormément car il "rend" la mine en plus mauvaise "posture" qu'à son arrivé, la situation en devient critique. On pourrait qualifier cette partie d'une tuerie. Il y a beaucoup de morts, Etienne tu Chaval après de nombreuses provocations de sa part qui énervent Etienne qui ne peut plus contenir sa colère envers Chaval. Catherine meurt aussi après avoir été bloquée dans la mine avec Lantier, Chaval et le reste des mineurs. La plupart des mineurs meurent dans cette "embuscade" qui est en faite un éboulement provoqué par Savarine. Catherine meurt de faim après avoir été victime à de multiples hallucinations.
Durant cette septième partie, le lecteur assiste à de nombreux rebondissement, Zola introduit du suspense au cours de la lecture qui donne l'envie de lire et de continuer notre lecture.
Bonsoir
Chers lecteurs nous voila a la fin de Germinal. En effet cette histoire va se terminer tristement car ce chapitre ma touché en tant que lecteur.
Apres le térrible massacre qui a eu lieu les mineurs vont reprendre le travail car on les a promis de meilleurs améliorations. Revenons au massacre en effet sa na servis a rien car ils ont quand meme pas eu ce qu'il voulait. Etienne l'homme bien qu'il etait est devenus la cible de tout le monde le peu qui restait de sa popularité s'en était allé au vent de la fusillade, il ne passait plus sans rencontrer des horrible regards.
Dans ce chapitre Zola denonce la méchanceté de souvarine car il va commettre un accident qui va faire des dégats dans la mine, plusieurs personnes trouveront la mort comme catherine...
En effet a la fin de ce chapitre etienne va s'en aller a paris rejoindre pluchart il fait ses adieux a ses compagnons et a la maheude elle qui a tout perdu dans cette histoire.
L’espoir d’une revanche est le sentiment par lequel finit le roman de Zola. Etienne part en sentant que a germination allait faire bientôt faire éclater la terre.
Voilà le final de cette très longue histoire. Cette semaine j'ai pu lire la dernière partie de Germinal d'Emile Zola qui mêle déception et adieux.
Etienne et Catherine, cet amour impossible.
Vous attendez depuis le début de Germinal que leur amour puisse enfin naître. Et bien c'est le moment. Les deux vont s'avouer leur amour et le vivre que très peu de temps dans une mine après un grave éboulement. Ils étaient que tous les deux, seuls, l'un devant l'autre. Mais quand ils peuvent enfin vivre leur histoire d'amour, la tristesse, la misère et l'impossible les rattrapent : Catherine décède. Vous vous y attendez surement mais l'espoir commençait a nous gagner.
Une grosse déception cette lueur d'amour dans une histoire sombre et triste a finalement totalement disparue.
Germinal partie 7, le travail reprend.
Apres tout cela, les grèves, les décès, les manifestations, les destructions de mine et bien d'autre le travail reprend. Les mineurs restent dans la misère reprenne le travail. Vous ne comprendrez surement pas, comme moi. Y-a t-il finalement une issue a cette misère ? Vous vous poserez surement cette question, mais vous n'aurez jamais la réponse malheureusement.
Germinal partie 7, les adieux.
Voilà comment se termine cette histoire par des adieux. On est toujours dans cette esprit sombre et glock. Etienne veut prendre son propre envole, veut vivre sa vie loin de la misère des mines et décident donc de quitter la mine pour s'installer a Paris. Trahison ? Abandon ? Ça c'est a vous de décider. Vous serez au première loge des adieux d'Etienne et de tous ses camarades mais surtout de la maheude qui travail a présent. Vous vous direz sans doute tout ça pour ça mais à quoi bon, Etienne part vers de nouveau horizon vers un avenir heureux...
Germinal partie 7 : la fin, une vrai déception vous resterez sur votre faim, vous vous poserez des questions. Seul un homme finit heureux et sort de cette misère laissant les autres derrière lui.
" Lectures "
Cette semaine c'est la fin , la fin d'un long périple vers la vérité , celle que l'on attendais tous , on l'a imaginé une centaine de fois mais cette fois ci , c'est la vraie. Nous allons donc nous attaquer a la 7eme partie , l'ultime ...
Drames , Peur , Attente , Espoir , Déception , Noir , Eau , Morts , Tristesse , Sabotage , Tout ces mots résument parfaitement cette dernière partie dans laquelle nous passons de surprises en surprises. Etienne est passé de statut de " prophète " a celui que l'on déteste , tout le monde le regarde d'un mauvais air , comme une maladie qui dévaste toute une population , au début on ne la voit pas puis au fur et a mesure tout le monde finit par ce protéger contre celle ci. On peut vraiment dire que c'est une fin , tout est un désastre total , tout ceux pour quoi ils avaient espérer pendant tout ce temps , s'effondre , c'est un retour a la case départ , ils reprennent le travail , comme au début . Les catastrophes s'enchainent , on pourrai penser au temps qui défile lors d'une course et a chaque fois qu'un coureur arrive , on stoppe le temps , dans ce cas , on stoppe la vie , pour amener la mort . Catherine , Chaval , Maheu , Zacharie , Cécile , et bien d'autres , tout ces gens , ceux qui étaient les personnages principaux de ce livre disparaissent les uns après les autres , on se demande même si Zola était a cours d'idées d'écrire la fin de leurs histoires et qu'il a préféré ce faciliter la tache en les faisant tous mourir , mais on peut aussi se dire qu'en faisant cela il ne ce concentre que sur Etienne , on a commencer avec lui alors on finit avec lui. Etienne arrive comme il repart , seul ses pensées ont changées , en tant que lecteurs a vous de décider si cette fin vous convient , pour ma part je ne suis pas surprise , et cette fin me convient. Je vous quitte sur cet avis et vous laisse vous forger le votre .
Votre journaliste , Océane
" Lectures "
Cette semaine c'est la fin , la fin d'un long périple vers la vérité , celle que l'on attendais tous , on l'a imaginé une centaine de fois mais cette fois ci , c'est la vraie. Nous allons donc nous attaquer a la 7eme partie , l'ultime ...
Drames , Peur , Attente , Espoir , Déception , Noir , Eau , Morts , Tristesse , Sabotage , Tout ces mots résument parfaitement cette dernière partie dans laquelle nous passons de surprises en surprises. Etienne est passé de statut de " prophète " a celui que l'on déteste , tout le monde le regarde d'un mauvais air , comme une maladie qui dévaste toute une population , au début on ne la voit pas puis au fur et a mesure tout le monde finit par ce protéger contre celle ci. On peut vraiment dire que c'est une fin , tout est un désastre total , tout ceux pour quoi ils avaient espérer pendant tout ce temps , s'effondre , c'est un retour a la case départ , ils reprennent le travail , comme au début . Les catastrophes s'enchainent , on pourrai penser au temps qui défile lors d'une course et a chaque fois qu'un coureur arrive , on stoppe le temps , dans ce cas , on stoppe la vie , pour amener la mort . Catherine , Chaval , Maheu , Zacharie , Cécile , et bien d'autres , tout ces gens , ceux qui étaient les personnages principaux de ce livre disparaissent les uns après les autres , on se demande même si Zola était a cours d'idées d'écrire la fin de leurs histoires et qu'il a préféré ce faciliter la tache en les faisant tous mourir , mais on peut aussi se dire qu'en faisant cela il ne ce concentre que sur Etienne , on a commencer avec lui alors on finit avec lui. Etienne arrive comme il repart , seul ses pensées ont changées , en tant que lecteurs a vous de décider si cette fin vous convient , pour ma part je ne suis pas surprise , et cette fin me convient. Je vous quitte sur cet avis et vous laisse vous forger le votre .
Votre journaliste , Océane
A LA UNE
Nous nous retrouvons aujourd'hui après longue attente. C'est émue et triste que je vous dis qu'après cela nous nous quittons. Et oui, c'est bien la dernière partie de Germinal. La fin si triste de ce magnifique livre, Zola en effet nous a fait plonger dans son histoire tout aussi prenante que bouleversante. Ils nous en auras fait voir de toutes les couleurs Et bien, détrompez-vous ... jusqu'à la dernière ligne. Dans Germinal on ne terminal pas en douceur, et bien non, Emile ZOLA vous fait plonger dans l'horreur absolue jusqu'à la dernière ligne de ce livre..
APPROCHE DE LA FIN DE GRÈVE
ETIENNE LE LÂCHE
Etienne le bon, Etienne l'héros de cette mine... Et bien lecteur où est-il passé? Et bien dans cette partie il se transforme en lache, un incapable et un traitre qui ne fait que des promesses qui ne tien pas! Une vie meilleure les mineurs l'attendent toujours, rien n'a changé, la grève n'a rien changé. Pour les mineurs Etienne n'est plus rien, la misère est encore plus présente qu'avant.
Rasseneur quand à lui se voit prendre la place de Etienne, tout les mineurs retourne leur veste et change de camp.
AMOUR
Face à la misère de sa famille Catherine redescend dans la mine travailler et Etienne l'accompagne. Qu'en pensez vous lecteurs preuve d'amour non? Aussi un peu de jalousie aussi, Etienne qui ne voulait absolument pas redescendre et finalement descendu pour sa bien aimé. Par amour pour Catherine, il ne voulait pas la laisser descendre seul avec Chaval voillons!
LA CHUTE
Les mineurs travaillaient et tout à coup le cuvelage cède libérant des tonnes d'eau et de boue. Ils lutter, pour survivre.La mort rodait dans ce monde sou terrain rempli de tristesse..
Zaccharie très inquiet pour Catherine qui était prisonnière dans la mine va creuser jour et nuit. Il y laissera sa vie.
Au fond, Etienne, Chaval et Catherine se retrouvent coincés dans une toute petite cavité. Une grande haine surgie, et les deux hommes se battent à nouveau , finalement Etienne tue Chaval..
A la surface, Négrel prend les choses en main pour essayer de sauver les survivants.
LIE D'AMOUR FORT EN ÉMOTION
Plongés dans le noir, affamés, sans force, Etienne et Catherine partage une dernier instant d'amour aussi intense que bref puis Catherine meurt dans les bras de son bien aimé... Une scène si triste qu'on en viendrait au larme cher lecteur. Quand penser vous Etienne pourras t-il s'en remettre un jour? Ce vécu le suivra jusqu'au bout de sa vie.
FIN
Etienne est sauvé ainsi que d'autres mineurs.
Plus tard la grève était finit. Le Voreux n'existait plus il était détruit, on travaillait désormais à Jean-Bart. La crise se terminait peu à peu. La maheude seule survivante de la famille rencontra Etienne. Ils se dirent adieux, elle n'avait aucune haine vis-à-vis de lui malgré tout ce qui s'était passé. Il acquiesça ses propos et s'en alla vers Paris, se remémorant ces années à Montsou.
Et voilà comment la volonté d'un seul homme peut faire plusieurs morts !
C'est avec le cœur lourd que je vous laisse. Moi aussi je vous dit adieu, car c'est vrai mes chers lecteurs nous nous ne nous reverrons plus de si tôt.
♥ Les Coups de Cœur et les Coups de Gueule ☹
Une fin décevante...
Vous l'avez compris la fin de la dernière partie de Germinal est mauvaise. Catherine meurt, La grève n'aura servit à rien car les mineurs abandonne et n'obtiennent pas d'augmentation, Étienne s'en va sans ressentir un remords. Une déception totale. Nous voulions plus d'actions, des rebondissements, que l'histoire soit plus romanesque et moins réaliste mais non. Zola à décider que Germinal serait un livre froid et réaliste. C'est bien dommage. Et c'est donc ainsi que s'achève notre article critique spécial Germinal de Émile Zola. nous vous remercions de nous avoir suivi jusque là.
A bientôt pour un nouvel article critique
❥La rédac de Grazio
Lecture&Culture
Nous nous retrouvons à la fin de ce roman et aussi de ce dernier article critique qui se termine pas très bien.
En effet Etienne qui c'est démené pour défendre la cause de ses mineurs ne reçoit que en retour des regards malveillants et des critques pour ses ouvriers si tous ces malheurs se sont produits c'est entièrement de la faute d'Etienne.
En se promenant un soir, Etienne rencontra Souvarine qui, pour une fois, parla de son histoire. A la fin de la promenade, il lui indiqua qu'il partait de Montsou. Etienne fut surpris d'une telle décision, mais l'acceptait. Tandis qu'il rentrait se coucher, Souvarine avait fait mine de s'en aller, mais était entré discrètement dans le Voreux. Il voulait punir les lâches qui reviendraient travailler et sabota le cuvelage qui maintenait la mine à sec.
Cécile, au cours d'une visite avec sa famille dans le coron, se fait étrangler par le père Bonnemort.
Les rivalités entre Etienne et Chaval se terminent une fois pour toutes. Mais de quel manière?
La situation s'aggrave: l'eau monte, et ils s'épuisent. Ils tentent de monter plus haut. Une lueur d'espoir subsiste: ils entendent les mineurs au loin creuser pour les retrouver. Peu de temps après, Catherine meurt. Les secours parviennent enfin à la hauteur d'Etienne. Etienne sera t'il blesser ou vivant? Bien sûr il y aura des survivants comme des morts...
Comme vous pouvez le constatez cette fin ne sera guerre gaie voir plutôt tragique qui je pense ne vous laisseras pas indifférent mais se sera à vous d'en juger . C'est sur cette dernière note que je vous souhaite une très bonne fin de lecture à tous.
À la Une du Journal Quotidien :
Chers lecteurs et chères lectrices,
Cet article annonce la fin de Germinal, de nos ressentiments mis à l'écrit et de vos lectures quotidiennes. Dans cette VII ème et dernière partie, nous voyons la fin du parcours d'Etienne, s'il part ou s'il reste, s'il se fait des amis ou non, s'il a une aventure avec Catherine... ou pas.
Affaire étouffée et Regards de Braise ?!
La Compagnie veut étouffer l'affaire! Pour que cela ne leur retombe pas dessus ils enterrent les morts sans même un hommage! Toutefois ils n'y a plus de militaires ni de Borains.
La Maheude est accablée : la fille puis le père! Ça n'en finira jamais! Vous l'aurez compris, le Maheu est l'un des 14 morts... Chaque famille, femme et mineur accuse Etienne. Il subit des hostilités, des regards de braise sont lancés dès qu'il fait un pas, des menaces et des accusations muettes lui sont dédiées... Lui qu'était leur chef, leur porte-parole, il est maintenant accusé de tout ces crimes, menacé de tous.
Départ de Souvarine! Catherine et Etienne est-ce possible?
Etienne vient tout juste de revoir son ami, Souvarine, avant que ce dernier lui annonce son départ imminent. Souvarine se confie a Etienne sur la mort de sa femme. Est-ce une énigme pour lui faire comprendre ses futures intensions ou juste une preuve d'amitié avant son départ ? À votre avis ?
Bien sûr, Souvarine a une idée derrière la tête : et c'est, quand il avait fini de saboter la fosse du Voreux qu'Etienne, accompagné de Catherine qui ne voulait plus faire grève devant la misère auquel sa mère et le reste de sa famille était confrontés, l'ont vu. Etienne a repris sa place chez les Maheu. Il a peut-être une seconde chance avec Catherine !
Grève Finie, Sabotage et Catastrophe : PANIQUE TOTALE!
La grève est finie, et c'est peu dire ! Une inondation due à un sabotage éclate. Ils auraient tous dû rester chez eux ! Etienne et Catherine restent coincés à cause de cette remontée soudaine de mineurs et à cette panique totale! Mais surtout ils restent coincés avec ce CHAVAL !! La mine s'affaisse et disparaît. Ils sont bloqués!! Après quelques jours, des travaux de sauvetage sont mis en place mais aucun espoir est présent.
Que de crimes !
Un autre Maheu meurt, Zacharie ; Bonnemort devient un meurtrier en tuant Cécile, fille de bourgeois et Etienne devient un assassin ! Il a tué son rival Chaval, peut de temps avant qu'ils entendent des mineurs creuser. L'Espoir revient ! Au bout de neuf jours, seuls et épuisés, Etienne et Catherine s'unissent pour la première fois avant que cette dernière ne meurt. On aurait pu croire qu'ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, mais non ! Etienne, seul survivant quitte Montsou et par rejoindre Pluchart, à Paris. Plus rien ne le retient désormais à cette ville, plus de Catherine, plus de travail misérable, peut payé, Rien. Mais ne vous en faite pas chers lecteurs, Etienne reviendra, et cette fois ce sera bien plus qu'une grève auquel les bourgeois devront faire face, mais une Rébellion Monumentale!
Et c'est sur cette fin de grève, ce sabotage, cette catastrophe, ce départ, ce dénouement et ce petit Espoir que s'achève cet oeuvre littéraire.
Merci d'être restés avec nous jusqu'au fil de ces 7 articles, vous devez l'avoir compris : c'est la fin de Germinal écrit par Emile Zola. Si vous restez fidèles à nos articles, je peux vous dire que le prochain livre que nous critiquerons sera aussi épique que Germinal ! Restez avec nous et à bientôt.
« GERMINAL DE ZOLA » : Aperçu de la dernière partie
EH oui, nous arrivons au terme de ce chef d’œuvre. Une fin pleine de tristesse et toujours pleine de misère et de désolation ! On peut être assez déçu de ce dénouement trop sombre…Mais je vous recommande d’aller jusqu’au bout tout de même, même si c’est très poignant.
Vous verrez la Maheude bouleversée du vide dans la maison provoquer par la mort fatale de son cher mari et de sa fille Alzire.
ETIENNE RESPONSABLE DE LA MISERE DES AUTRES ?
Auriez-vous pensez qu’un jour Etienne acclamé autrefois fut considéré comme un assassin ? Et pourtant dans cette partie il est désigné comme tel : c’est le revirement total ! Tous le coron lui fait plein de reproches il est passé de la popularité a une exécration la plus totale. Il se fait même agressé à coup de briques par Chaval et Mouquet ! Et à côté les Hennebeau qui continuent à mener leur vie tranquille en fêtant les fiançailles de Cécile et Négrel. Quant à Deneulin, lui est ruiné. il a signé la vente de la concession Vandame a la compagnie Montsou
Vous serez surement subjuguer par Souvarine qui se confie à Etienne pour la première fois. Pourquoi ces révélations soudaines ?
CATHERINE ET ETIENNE LEUR AMOUR SE CONCRETISENT ?
Catherine va retravailler à la fosse souffrant de ne pouvoir vivre « oisive ». Alors Etienne, amoureux, lassé et ne croyant plus à la victoire des grévistes la rejoint au Voreux à l’ébahissement de tous.
L’EBOULEMENT
Les mineurs vont finir par descendre dans la fosse. Mais le cuvelage va céder, Dansaert va faire évacuer la fosse tant bien que mal, puisqu'elle menaçait de s'effondrer. Vingt personnes vont rester au fond « coincés », dont Etienne Catherine et Chaval. Hélas, seulement cinq personnes vont pouvoir s’en sortir… LESQUELS ? . A l'extérieur, Hennebeau et Négrel tente de calmer les habitants du coron qui craignent pour ceux qui sont bloqués. Puis on va se rendre compte que cet éboulement est un sabotage qui en est l’auteur ? Puis en un instant, la fosse s'effondra sous le regard impuissant de tous. Seul Mouque et quatre autres personnes ont pu sortir, Chaval, Catherine, Etienne et les autres ne les avaient pas suivis.
Les sauveteurs finirent par sauver Etienne et remontèrent les corps des autres mineurs. Le Voreux étant détruit, on travaillait désormais à Jean-Bart. Etienne part pour Paris. Ses adieux avec la Maheude furent poignants elle lui dit que malgré tout elle ne ressentait aucune haine envers lui.
J’espère que tout comme moi vous avez su apprécier ce livre de Zola plein de rebondissement, et accrochant sous tous ces aspects. C’est un roman coup de poing qui marque longtemps! D’où l’expression c’est germinal
Sur ce bonne fin de lecture.
Rubrique Lecture : GERMINAL Partie VII
Nous y voilà ! Je suis fière de vous délivrer cette semaine le dernier article, l’article qui clôt cette série sur Germinal. Cette partie VII vous dévoile la naissance d’une solidarité jusque-là enfouie face à une même force, mais elle vous livre aussi l’anéantissement d’une famille, et surtout la finalité du roman.
Germinal, la révélation d’une solidarité ?
Durant ma lecture de cette partie, j’ai découvert un esprit de groupe plus important que dans les parties précédentes. Face à une force de la nature, tout un peuple s’est réuni. En effet, l’eau va détruire le Voreux et certains mineurs vont rester bloqués au fond. Ayant appris la nouvelle, les dirigeants vont trouver des moyens pour les secourir et vont les mettre en place. Cet acte montre la solidarité entre les ouvriers et leurs exploiteurs qui pourtant sont poussés par des idées différentes. Je suis étonnée qu’un même esprit de solidarité se retrouve aujourd’hui alors que le monde a beaucoup évolué. Nous, français, possédons chacun notre point de vue et nos idées au sujet de la politique mais cela ne nous empêche en rien de nous battre ensemble pour des causes communes comme la lutte contre le chômage. Cependant, une question reste en suspens. Vous pourriez très bien me dire que les exploiteurs se servent de cat acte de solidarité pour leur donner une bonne image au sein de La Compagnie. Alors, acte de solidarité ou de bonne conscience ?
Le combat d’une famille.
La semaine dernière, je vous ai avoué mon attachement à la famille Maheu qui va subir encore plusieurs pertes dans cette partie. Pour moi, l’héroïne de cette ultime partie est bien la Maheude, elle a tout perdu pourtant elle n’a aucune rancune envers Etienne, qui pour tous les autres est le responsable de leur misère. Elle est la seule à avoir compris que la faute revenait à tous les ouvriers. Ne vous attendez pas, pour autant, à ce que le sort change de cible car cette femme va encore perdre deux enfants. Pour pouvoir nourrir le reste de la famille, elle va reprendre le travail malgré son anéantissement et sa fatigue. Je suis effondrée devant un tel acharnement du sort envers une famille modèle et travaillant à la mine depuis des générations. Mon attachement aux Maheu ne fait qu’accentuer les souffrances que je partage avec eux. Pourquoi cette injustice ?
La délivrance d’un message.
Depuis le début du roman, vous serez d’accord avec moi pour dire que le destin de Zola et d’Etienne sont liés. Ils sont tous deux porteurs d’idées et porteurs de messages. Les médias n’existant pas à l’époque de l’écriture de ce livre, le rôle de journaliste revient donc à Zola. Ce dernier mène une enquête pour dénoncer une réalité. Son premier but est que les lecteurs prennent enfin conscience des durs faits qu’il raconte, c’est un auteur engagé. On peut faire le parallèle avec Etienne qui lui aussi va vouloir faire partager à Paris son histoire vécue au côté du peuple des mineurs. Mais les messages que ces deux personnages veulent nous délivrer suffiront-ils à changer le monde ? Si vous pourriez répondre oui à cette question, à quelle échelle alors verrons-nous apparaitre un changement, à celle des mineurs de Montsou ou à celle de l’humanité ?
Je serais heureuse de connaître vos ressentis par rapport à cette partie VII et par rapport à la lecture globale. N’hésitez pas, non plus, à m’envoyer, à l’adresse du siège du magazine Tout pour Vous, vos réponses à mes questions pour que je puisse les publier dans d’autres articles.
La semaine prochaine, dans la rubrique lecture, je vous parlerai du quatorzième tome qui compose la série des Rougon-Macquart de Zola, nommé L’Œuvre.
Germinal, partie VII : une fin… identique au début
Vous l’attendiez, cette fin, vous vouliez voir ce qui arriverait aux bourreaux de la Compagnie, comment les mineurs prendraient le pouvoir ou, au moins, obtiendraient gain de cause ? Et bien, attendez vous à être, une fois de plus, déçu.
Etienne, personnage toujours plus décevant
On se souvient à quel point Etienne nous a déçu dans les parties précédentes, de part sa lâcheté et son arrogance. Vous pensiez qu’il redeviendrait un bon héros ? Un personnage principal digne de l’être ? Ce n’est malheureusement pas le cas. Attendez-vous à être exaspéré une fois de plus par sa faiblesse ! Car, en véritable traître, il décide finalement de retourner à la mine, rendant ainsi vain le sacrifice de ses camarades, à qui il a fait tout perdre. De plus, il finit par s’en aller en les abandonnant à leur sort, après les avoir ruinés…
Encore les bourgeois !
Contrairement à ce qu’on aurait put prévoir, Zola nous parle une fois de plus de la vie de ces bourgeois, de ces exploitants, qui ne nous ont jamais intéressés. Pourquoi s’obstine-t-il, jusqu’au bout, à nous raconter la vie de personnages qui n’apportent rien au roman ?
Une aventure inutile ?
Finalement, le pire dans cette partie est le dénouement du livre, qui consiste à revenir à la situation initiale, en pire, en ajoutant la destruction du Voreux. Ne trouvez-vous pas insupportable de se dire qu’on a lu ce livre assommant… pour rien ? Les conditions redeviennent les mêmes, en y joignant de lourdes pertes. L’aventure du traître Etienne et de ses camarades aurait-elle été inutile ? De plus, Etienne semble en être fier, alors que ç’a été un vrai désastre, un échec total ! Décidément, ces personnages ne se rende peut-être pas compte de la réalité…
Bref, on s’interroge sur l’utilité de ce récit. Il s’agirait plutôt, comme je l’ai déjà dit, d’un documentaire digne d’Arte que d’un roman. A bientôt pour des lectures (j’espère), plus intéressantes.
Septième et dernière partie de Germinal écrit par Zola
5/5 …
Un jour…Une fin
Chers lecteurs, chers lectrices
Nous nous retrouvons pour la fin de cette incroyable aventure. Nous espérons tous une fin qui se termine bien. Je vous laisse pour cet ultime épisode.
Je vous passe le flambeau comme le ferait un athlète qui tiendrait dans sa main la flamme olympique.
1-La fin des conflits
Tout d’abord, la Compagnie veut mettre fin au conflit. Etienne est accusé par les mineurs qui le rendent responsable des morts. Les tensions entre tous s’apaisent difficilement.
Tandis que le travail reprend et que nos malheureux mineurs repartent sans rien dans leurs poches, Souvarine sabote la fosse du Voreux. Les galeries sont inondées. On évacue, mais l'équipe d'Étienne est restée au fond avec Chaval et Catherine.
Les mineurs, grévistes ou non, se proposent d’effectuer les travaux de sauvetage. Nous assistons à un gigantesque mouvement de solidarité. Ils veulent les sauver.
Quelle entraide jamais nous aurions pu suggérer que tous les mineurs se soutiennent pour sauver Etienne Chaval et Catherine. Les mineurs tentent de sauver les survivants, mais Zacharie meurt dans les opérations de sauvetage.
Les opérations continues sans Cécile qui est étranglée par le vieux Bonnemort. Dans cette dernière partie nous avons à faire à des mineurs solidaires et unis entre eux.
Personne n’aurais pu imaginer cela et surtout pas moi. Peut-être vous derrière votre livre vous vous étiez imaginés une fin comme celle-ci. Etienne et Catherine doivent cohabiter avec Chaval.
Cette cohabitation se termine mal car Etienne tue son rival. Les deux survivants deviennent enfin amants, malgré la présence du cadavre de Chaval. Catherine meurt à cause de la faim, de la fatigue et de l’obscurité. Etienne est sauvé ces malheureusement le seul survivant de cette affreuse inondation.
2-Etienne, la fin du calvaire !!!
En avril, Étienne part pour Paris sous l’ordre de Pluchart. Avant, il vient saluer ses compagnons de lutte, qui lui ont pardonné et ont dû reprendre le travail sans avoir rien obtenu. Le héros de cette histoire est ému de les laisser mais il est fier d’en avoir finis. La Maheude se réconcilie avec Étienne.
Etienne croit en l'organisation, en l'efficacité des syndicats et en une révolution prochaine. Il veut que les mineurs s’en sortent comme lui. Pour les mineurs Etienne est un exemple. En s'éloignant, il ressent que "la germination allait bientôt faire éclater la terre". C’est un homme libre qui peut recommencer une nouvelle vie.
Cette dernière partie se termine assez bien. Etienne est libre et il est soulagé. Pour ses compagnons la routine du travail recommence. Cette fin est étonnante comme tout le livre. Ce livre de Zola est un roman de la pitié, il sait faire appel aux sentiments du lecteur tout en leur imaginant l’histoire. Nous avons été transportés par ce livre et par le monde ouvrier.
Je tenais à vous remercier pour votre fidélité.
Et également, d’avoir été là chaque semaine pour lire cette incroyable épopée des mineurs.
J’espère que ce roman vous a plus et qu’il vous a ouvert les yeux sur la dure réalité de la vie.
C'est vraiment la fin...
Chers lecteurs, nous sommes arrivés à la fin de ce dure mais magnifique livre d’Émile Zola. Et oui nous avons lu la septième partie, et je peux vous dire que je ne m'attendais pas à ça... Et d'ailleurs ça ne m'a pas plût du tout. Nous voulions tous une « happy-end » et il y a la mort partout, ici nous sommes tous déçu de cette fin plus que triste mais réaliste.
Mais qu'à fait Zola...
Vous vous attendiez tous à une « happy-end », et bien vous aller être déçu, car ceci est tout sauf ça.
Tout d'abord il y aura encore beaucoup de mort à compter suite au sabotage du Voreux par Souvarine et l'amour ne sera pas vraiment au rendez-vous en tout cas pas comme on l'aurait espérer... Est ce que Catherine et Étienne vont enfin s'avouer leurs sentiments ? Est que va t-il se passer pour eux : la mort ou le bonheur de vivre ? Je vous laisse découvrir cette fin plus que triste à notre goût entre amour, folie et mort...
Merci de m'avoir suivi pendant toutes ces semaines, bonne lecture et à très bientôt pour de nouvelles lectures !
Aujourd’hui je vous fais part de mon article sur la dernière partie de Germinal qui permet de mettre un terme à toute cette histoire.
Il semblerait que Zola est une vision très pessimiste des fins d'histoire ! Il va nous montrer qu'une fin peut également être très triste, mais vous l'aurez compris cela est son but depuis le début du roman.
Drames , Peur , Attente , Espoir , Déception , Noir , Eau , Morts , Tristesse , Sabotage , Tout ces mots résument parfaitement cette dernière partie dans laquelle nous passons de surprises en surprises.
ETIENNE LE LÂCHE
Etienne le bon, Etienne le héros de cette mine... Et bien lecteur où est-il passé? Et bien dans cette partie il se transforme en lâche, un incapable et un traitre qui ne fait que des promesses qu'il ne tient pas! Une vie meilleure, les mineurs l'attendent toujours, rien n'a changé, la grève n'a rien changé. Pour les mineurs Etienne n'est plus rien, la misère est encore plus présente qu'avant.
L'AMOUR JUSQU'A LA MORT
On peut dire que Zola ne fait pas dans l'humour et la gaieté, cette partie nous achève, pourquoi tant de souffrance, de violence, de morts dans un livre ? Cette dernière partie est selon moi lecteur, la pire, la plus triste. Etienne et Catherine se retrouvent seuls dans la gueule du monstre combattant les ténèbres, la faim, le temps, et la mort.
Retour à la case départ
Elle mêle amour et tristesse.
En effet, est-ce le destin qui a rassemblé Etienne et Catherine ? On ne sait pas mais ce que je peux vous dire c'est que cette amour sera fort mais très court.
Comment ce sentiment finalement dévoilé peut-être stopper aussi tragiquement par la mort de Catherine? Personne n'aurait imaginer ça !!
Décidément Zola ne devait avoir de cœur ou alors une expérience de l'amour très cruel. En effet chaque relation est soit gâche par un homme violent ou par un décès.
Moi la fin m'a un peu déçu, faire autant pour les ouvriers, pour au final ne rien voir évoluer.
La fin du livre est un retour en arrière pour les mineurs qui ne verront aucune amélioration dans leur vie.
Cette situation me fait penser à une balle qui rebondit contre un mur pour revenir toujours à son point de départ sans améliorer sa trajectoire.
J'ai trouvé ça décevant, car je n'aime pas les projets mis en place n'aboutissant à rien.
Je pense vous avoir suffisamment parler de mes coups de gueules et de mes coups de cœurs à vous maintenant de m'envoyer vos impressions sur cette dernière partie !
Sachez juste et ce sera ma dernière réflexion, "Germinal" restera toujours l'exemple à suivre de la lutte des classes.
~FEMME ACTUELLE~
Aujourd'hui la partie 7, la fin de l'histoire de Zola qui est devenue la nôtre dont nous avons chaque semaine pris parti, aimer ou détester. Le temps de quelques instants nous avons été mineurs à Montsou. Le Voreux et le livre nous on englouti aussi vite qu'une bande de requin affamé. ZOLA nous rassemble enfin pour le final ; FEU D'ARTIFICE MAGNIFIQUE OU FEU DE FORET ? QUI VA VRAIMENT SOUFFRIR ?
Peut-être la dernière fois que je vous parle de Germinal avec un pincement au coeur.
Ce livre qui a été notre COUP DE COEUR que vous reconseilerez et pour sur !
LA RANCOEUR A REMPLACER NOS COEURS
Dans cette dernière partie la grève a cesser UN ÉCHEC totale. Les mineurs vous diront que le seul fautif est Etienne mais Etienne n'a été qu'un exemple pour tous. La bataille a peut-être été perdu mais pas la guerre vers la liberté de tous.
CE N'EST QU'UN ADIEU
Etienne quitte enfin le Voreux notre chouchou, notre meneur s'en va. Peut-être certaines diront que c'est un lâche, qui laissent les autres mineurs mourir, qu'il fuit le champ de bataille. Mais ne vous inquiétez pas chères lectrices. Etienne nous laisse et à tous les mineurs un espoir qu'un jour, on le reverra et que ce jour là la course sera fini. OUF on se dit qu'un jour le marathon s’arrêtera.
Enfin grâce à ce livre je pense que nous avons tous appris quelque chose. Ce livre est polémique mais en bon sens il a beau nous faire jaser, nous laisser perplexe, nous rendre heureux ou au contraire nous énervé, trouvaient qu'il est injuste. La germination a commencer est un jour la vie meilleure des mineurs éclora dans une jolie fleur dont Etienne aura planter la graine.
Donc nous voilà chères lectrices à la fin de notre roman, j'espère qu'il vous aura plu et on se retrouve la semaine prochaine pour le début d'un nouveau roman. Et si Etienne vous manque entre temps vous pouvez lire l’Assommoir de Zola écrit en 1876 où on rencontre la famille d'Etienne. Bonne lecture et à bientôt.
BONJOUR LA NOUVELLE VIE !!!!!
Dans cette dernière partie, nous allons voir qu’Etienne est un lâche, il quitte Montsou et les mineurs. Nous allons voir ce qu’Etienne va faire avec Chaval et Catherine avant de les quitter.
LA FIN DE LA GUERRE
Etienne depuis le début du roman est en guerre avec Chaval. Ils se sont battue plusieurs fois mais la guerre n’avais jamais fini jusqu’à aujourd’hui. Etienne se bat encore avec Chaval et cette fois-ci il décide de le tue. Ce qui met fin a la guerre entre les hommes.
ETIENNE : LE LACHE ?
Etienne abandonne les mineurs et quitte le voreux. Les mineurs sont déçu devoir qu’Etienne les abandonne tous juste après la grève qui a cause la misère et la famine. D’une cote Etienne est égoïste car il quitte ces camarades qui l’ont accueillie mais d’un autre part il quitte Montsou pour avoir une vie meilleure. C’est comme si il quittait l’enfer pour aller au paradis. Etienne voulais changer la vie des mineurs dans la mine mais ne la pas change elle a même empire.
Voila vous connaisse la fin de l’histoire d’Etienne et des mineurs. Etes-vous content ou êtes vous déçus ? Donner moi votre avis en m’envoie une lettre a l’adresse du journal.
A bientôt
L'ultime article
Lecteurs! Nous sommes de retour pour l'ultime article de notre roman. Dans cette partie Etienne est abattu et a perdu espoir après sa défaite. Après la sanglante fusillade précédement évoquée, les ouvriers qu'il considérait comme ses camarades lui "jettent des briques". Comment ne pas mépriser les assaillants de s'en être pris à notre favori qui, malgrès son arrivée récente dans le coron, avait pris parti pour ce combat et s'était montré solidaire envers les ouvriers en les menant à la grêve, acceptant la faim, le froid et la misère.
Le bruit et la fureur
Après avoir suivit Catherine jusque au Voreu, Etienne croise Souvarine. Ce personnage ennigmatique qui au fond nous inquiète, applique ses idées anarchistes et sabote la fosse du Voreu. On se demande alors comment tout cela va finir. Et Zola ne nous laisse pas au bout de nos surprises. Etienne descend à la mine... UNE INONDATION! Des torrents d'eau, des éboulement, un véritable déluge! Tous sont alors prisonniers dans cette vicieuse souricière! Une quinzaine d'ouvriers dans l'incapacité de sortir dont Chaval, Etienne et Catherine. Et au dessus les patrons et les ouvriers qui constatent les dégâts, les familles crient "Des noms des noms des noms"! La panique est bien là...
La folie "poussée par la liaison héréditaire"
Un dernier affrontement... Etienne et Catherine, en échappant à la montée des eaux, se trouvent nez à nez avec Chaval. Ce traître, par sa perversité, provoque la fureur d'Etienne. Eh oui! Chaval ose profiter de la faim de Catherine pour se permettre des carresses déplacées en échange d'une "bouchée de pain". A l'instar d'Etienne nous sommes enragés face au vice dont fait preuve Chaval envers Catherine qui ne la respecte pas et la considère comme sienne. Etienne résistera-t-il aux provocations de Chaval? Se laissera-t-il emporter par son hérédité? Je parle des tares de son père, Lantier, qui battait la pauvre Gervaise. Etienne décide d'intervir, devient fou et après un avertissement, prend une pierre et abat Chaval. Soulagés? Abasourdis? Choqués? Nous ne savons plus à quel saint nous vouer.
Une fin tragique
Je vous écris ces lignes plein de nostalgie. Un survivant...! Etienne... La mort de nos moult camarades! J'insiste sur le "nos" car je me rends compte seulement maintenant que ces ouvriers m'ont insufflé cette haine de la société! Les morts les plus traumatisantes sont celle de Catherine qui meurt dans les bras d'Etienne, Zacharie, par la fuite de gaz ayant laissé sa lampe ouverte mourru dans les flammes. Nous sommes peinés de savoir la Maheude désormais presque seule.
"Travailleurs du monde, unissez-vous..."
Les mots de Marx pourraient être ceux de Zola. Avec cet ultime morceau de bravoure, Zola décide d'achever son oeuvre par une note d'espoir. Si "l'armée vengeresse", noircie et éuisée par la charbon, a ici perdu un combat, elle n'a pas perdu la guerre. C'est du moins le message que Zola nous adresse très explicitement. Etienne part mais il a semé une idée qui grandira et deviendra forte. Pour ma part, j'espère avoir réussi à vous faire ressentir ma passion pour ce roman. Car ce n'est pas seulement un roman, c'est un réquisitoire contre l'injustice. Zola écrit pour et au nom de l'humanité. Et tous les articles que nous autres, journalistes, pourront écrire ne seront jamais un aussi bel hommage que la marche de ces mineurs, venus du nord pour crier "Germinal, Germinal" et rendre ainsi un dernier hommage à celui qui avait su lui-même leur rendre hommage.
Votre fidèle Nino Belinka...
Cher lecteur c'est là-dessus que nous nous quittons mais ne vous inquiétez pas nous venons à peine de commencer sur cette intriguante famille, les Maquart.
L'ultime article
Lecteurs! Nous sommes de retour pour l'ultime article de notre roman. Dans cette partie Etienne est abattu et a perdu espoir après sa défaite. Après la sanglante fusillade précédement évoquée, les ouvriers qu'il considérait comme ses camarades lui "jettent des briques". Comment ne pas mépriser les assaillants de s'en être pris à notre favori qui, malgrès son arrivée récente dans le coron, avait pris parti pour ce combat et s'était montré solidaire envers les ouvriers en les menant à la grêve, acceptant la faim, le froid et la misère.
Le bruit et la fureur
Après avoir suivit Catherine jusque au Voreu, Etienne croise Souvarine. Ce personnage ennigmatique qui au fond nous inquiète, applique ses idées anarchistes et sabote la fosse du Voreu. On se demande alors comment tout cela va finir. Et Zola ne nous laisse pas au bout de nos surprises. Etienne descend à la mine... UNE INONDATION! Des torrents d'eau, des éboulement, un véritable déluge! Tous sont alors prisonniers dans cette vicieuse souricière! Une quinzaine d'ouvriers dans l'incapacité de sortir dont Chaval, Etienne et Catherine. Et au dessus les patrons et les ouvriers qui constatent les dégâts, les familles crient "Des noms des noms des noms"! La panique est bien là...
La folie "poussée par la liaison héréditaire"
Un dernier affrontement... Etienne et Catherine, en échappant à la montée des eaux, se trouvent nez à nez avec Chaval. Ce traître, par sa perversité, provoque la fureur d'Etienne. Eh oui! Chaval ose profiter de la faim de Catherine pour se permettre des carresses déplacées en échange d'une "bouchée de pain". A l'instar d'Etienne nous sommes enragés face au vice dont fait preuve Chaval envers Catherine qui ne la respecte pas et la considère comme sienne. Etienne résistera-t-il aux provocations de Chaval? Se laissera-t-il emporter par son hérédité? Je parle des tares de son père, Lantier, qui battait la pauvre Gervaise. Etienne décide d'intervir, devient fou et après un avertissement, prend une pierre et abat Chaval. Soulagés? Abasourdis? Choqués? Nous ne savons plus à quel saint nous vouer.
Une fin tragique
Je vous écris ces lignes plein de nostalgie. Un survivant...! Etienne... La mort de nos moult camarades! J'insiste sur le "nos" car je me rends compte seulement maintenant que ces ouvriers m'ont insufflé cette haine de la société! Les morts les plus traumatisantes sont celle de Catherine qui meurt dans les bras d'Etienne, Zacharie, par la fuite de gaz ayant laissé sa lampe ouverte mourru dans les flammes. Nous sommes peinés de savoir la Maheude désormais presque seule.
"Travailleurs du monde, unissez-vous..."
Les mots de Marx pourraient être ceux de Zola. Avec cet ultime morceau de bravoure, Zola décide d'achever son oeuvre par une note d'espoir. Si "l'armée vengeresse", noircie et éuisée par la charbon, a ici perdu un combat, elle n'a pas perdu la guerre. C'est du moins le message que Zola nous adresse très explicitement. Etienne part mais il a semé une idée qui grandira et deviendra forte. Pour ma part, j'espère avoir réussi à vous faire ressentir ma passion pour ce roman. Car ce n'est pas seulement un roman, c'est un réquisitoire contre l'injustice. Zola écrit pour et au nom de l'humanité. Et tous les articles que nous autres, journalistes, pourront écrire ne seront jamais un aussi bel hommage que la marche de ces mineurs, venus du nord pour crier "Germinal, Germinal" et rendre ainsi un dernier hommage à celui qui avait su lui-même leur rendre hommage.
Votre fidèle Nino Belinka...
Cher lecteur c'est là-dessus que nous nous quittons mais ne vous inquiétez pas nous venons à peine de commencer sur cette intriguante famille, les Maquart.
L'ultime article
Lecteurs! Nous sommes de retour pour l'ultime article de notre roman. Dans cette partie Etienne est abattu et a perdu espoir après sa défaite. Après la sanglante fusillade précédement évoquée, les ouvriers qu'il considérait comme ses camarades lui "jettent des briques". Comment ne pas mépriser les assaillants de s'en être pris à notre favori qui, malgrès son arrivée récente dans le coron, avait pris parti pour ce combat et s'était montré solidaire envers les ouvriers en les menant à la grêve, acceptant la faim, le froid et la misère.
Le bruit et la fureur
Après avoir suivit Catherine jusque au Voreu, Etienne croise Souvarine. Ce personnage ennigmatique qui au fond nous inquiète, applique ses idées anarchistes et sabote la fosse du Voreu. On se demande alors comment tout cela va finir. Et Zola ne nous laisse pas au bout de nos surprises. Etienne descend à la mine... UNE INONDATION! Des torrents d'eau, des éboulement, un véritable déluge! Tous sont alors prisonniers dans cette vicieuse souricière! Une quinzaine d'ouvriers dans l'incapacité de sortir dont Chaval, Etienne et Catherine. Et au dessus les patrons et les ouvriers qui constatent les dégâts, les familles crient "Des noms des noms des noms"! La panique est bien là...
La folie "poussée par la liaison héréditaire"
Un dernier affrontement... Etienne et Catherine, en échappant à la montée des eaux, se trouvent nez à nez avec Chaval. Ce traître, par sa perversité, provoque la fureur d'Etienne. Eh oui! Chaval ose profiter de la faim de Catherine pour se permettre des carresses déplacées en échange d'une "bouchée de pain". A l'instar d'Etienne nous sommes enragés face au vice dont fait preuve Chaval envers Catherine qui ne la respecte pas et la considère comme sienne. Etienne résistera-t-il aux provocations de Chaval? Se laissera-t-il emporter par son hérédité? Je parle des tares de son père, Lantier, qui battait la pauvre Gervaise. Etienne décide d'intervir, devient fou et après un avertissement, prend une pierre et abat Chaval. Soulagés? Abasourdis? Choqués? Nous ne savons plus à quel saint nous vouer.
Une fin tragique
Je vous écris ces lignes plein de nostalgie. Un survivant...! Etienne... La mort de nos moult camarades! J'insiste sur le "nos" car je me rends compte seulement maintenant que ces ouvriers m'ont insufflé cette haine de la société! Les morts les plus traumatisantes sont celle de Catherine qui meurt dans les bras d'Etienne, Zacharie, par la fuite de gaz ayant laissé sa lampe ouverte mourru dans les flammes. Nous sommes peinés de savoir la Maheude désormais presque seule.
"Travailleurs du monde, unissez-vous..."
Les mots de Marx pourraient être ceux de Zola. Avec cet ultime morceau de bravoure, Zola décide d'achever son oeuvre par une note d'espoir. Si "l'armée vengeresse", noircie et éuisée par la charbon, a ici perdu un combat, elle n'a pas perdu la guerre. C'est du moins le message que Zola nous adresse très explicitement. Etienne part mais il a semé une idée qui grandira et deviendra forte. Pour ma part, j'espère avoir réussi à vous faire ressentir ma passion pour ce roman. Car ce n'est pas seulement un roman, c'est un réquisitoire contre l'injustice. Zola écrit pour et au nom de l'humanité. Et tous les articles que nous autres, journalistes, pourront écrire ne seront jamais un aussi bel hommage que la marche de ces mineurs, venus du nord pour crier "Germinal, Germinal" et rendre ainsi un dernier hommage à celui qui avait su lui-même leur rendre hommage.
Votre fidèle Nino Belinka...
Cher lecteur c'est là-dessus que nous nous quittons mais ne vous inquiétez pas nous venons à peine de commencer sur cette intriguante famille, les Maquart.
« GERMINAL DE ZOLA » : Aperçu de la dernière partie
EH oui, nous arrivons malheureusement au terme de ce chef d’œuvre. Une fin pleine de tristesse, de misère et de désolation ! Mais que de rebondissement.
La Maheude est bouleversée du vide provoqué par la mort de son cher mari et de sa fille Alzire.
Auriez-vous pensez qu’un jour Etienne acclamé autrefois fut considéré comme un assassin ? Et pourtant dans cette partie il est désigné comme tel : c’est le revirement total ! Tous le coron lui fait plein de reproches. Il est passé de la popularité a une exécration la plus totale. Il se fait même agresser à coup de briques par Chaval et Mouquet ! Et à côté les Hennebeau qui continuent à mener leur vie tranquille en fêtant les fiançailles de Cécile et Négrel. Quant à Deneulin, lui il est ruiné. Il a signé la vente de la concession Vandame a la compagnie Montsou.
Vous serez surement subjugué par Souvarine qui se confie à Etienne pour la première fois. Pourquoi ces révélations soudaines ?
Catherine va retravailler à la fosse souffrant de ne pouvoir vivre « oisive ». Alors Etienne, amoureux, lassé et ne croyant plus à la victoire des grévistes la rejoint au Voreux à l’ébahissement de tous.
Puis ce fut l’éboulement.
Les mineurs lassés affamés vont finir par descendre dans la fosse. Mais le cuvelage va céder, Dansaert va faire évacuer la fosse tant bien que mal, puisqu'elle menaçait de s'effondrer totalement. Vingt personnes vont rester au fond « coincés », dont Etienne, Catherine et Chaval. Hélas, seulement cinq personnes vont pouvoir s’en sortir… LESQUELS. Suspense! A l'extérieur, Hennebeau et Négrel tentent de calmer les habitants du coron qui craignent pour ceux qui sont bloqués dans la mine. Puis on va se rendre compte que cet éboulement est un sabotage ! Qui en est l’auteur ? A voir!. Puis en un instant, la fosse s'effondre entièrement sous le regard impuissant de tous. Seul Mouque et quatre autres personnes s’en sortiront, Chaval, Catherine, Etienne et les autres ne les avaient pas suivis.
Les sauveteurs finirent par sauver Etienne et remontèrent les corps des autres mineurs. Le Voreux étant détruit, on travaille désormais à Jean-Bart. Etienne part pour Paris. Ses adieux avec la Maheude furent poignants elle lui dit que malgré tout elle ne ressentait aucune haine envers lui.
J’espère que tout comme moi vous avez su apprécier ce livre de Zola plein de rebondissement, et accrochant sous tous ces aspects. C’est un roman coup de poing qui marque pour longtemps! D’où l’expression c’est germinal.
Sur ce bonne fin de lecture.
CULTURE MAGAZINE
"Lectures"
Germinal : Partie 7
Mes chers lecteurs, maintenant camarades, nous y voici ! Le dernier article critique de Germinal parait aujourd'hui dans notre magazine ! Je me permets à présent de vous appeler "camarades" car je considère que nous avons partagé de grandes choses durant ces sept semaines et au fil des articles, et je me sens proche de vous par la communication de mes émotions de lectures et de mes "coups de coeur" ou "coups de gueule".
C'est donc dans cette partie que le monument de la littérature que nous avons parcouru ensemble s'achève.
Et c'est elle qui révèle le vrai caractère de ce roman : Germinal est une véritable T-R-A-G-E-D-I-E !!!!! Tout tourne au drame et la misère est omniprésente !
Les malheurs s'accumulent les uns après les autres : la Maheude à présent presque seule, s'enferme dans sa haine et refuse d'admettre la fin de la grève. Quant à Etienne, dont nous avions évoqué la chute progressive la semaine dernière, est maintenant en véritable chute libre ! Le fait de subir l'hostilité des mineurs et de devoir en assumer les responsabilités sont sûrement les raisons qui le poussent à se rendre en retournant travailler, mais Catherine y est pour quelque chose ! En effet, c'est elle qui l'influence et on a le sentiment qu' Etienne est tellement perdu, qu'il se rattache à la seule personne qui daigne lui adresser la parole et qu'il ne veut pas la laisser lui échapper une seconde fois... De plus, à la fin du roman, Etienne quitte la mine pour rejoindre Pluchart et laissant la Maheude et les autres. Je crois nous avons nous aussi le droit d'être indignés chers camarades ! Pourquoi les mineurs baissent-ils les bras ?! Il n'y a donc que Souveraine qui assume ses idées jusqu'au bout?! C'est un sentiment de déception que vous ressentirez en premier lieu à la lecture de cette partie et à la découverte de la fin... Mais réfléchissons...
Est-ce vraiment une fin ? Ne s'agit-il pas plutôt du début d'une nouvelle ère ? Même si Etienne s'en va, est-ce réellement un abandon ? Un immense espoir se dégage de cette "fin", et cette phrase vous frappera comme elle m'a frappé, car tout est là : "la germination allait bientôt faire éclater la terre." Et cette germination, cette graine de révolte, c'est Etienne qui l'a planté et entretenu, non ? Je vous invite à méditer sur cet explicit et à vous faire votre propre opinion car là est l'essentiel pour un lecteur.
Quant à moi, je vous remercie sincèrement d'avoir été fidèles à notre rendez-vous et vous souhaite à tous une bonne continuation à travers les méandres de la littérature française ! Merci encore et à très bientôt je l'espère !
MORT, COLÈRE ET PASSION
Nous y voilà enfin fidèles lecteurs. La dernière et ultime partie de Germinal se présente à nous. Nous, lecteurs, qui nous posions tant de questions sur cette fin tant attendue, allons enfin obtenir nos réponses. Cette partie VII, pleine surprises, de rebondissements inattendus, nous délivrera-t-elle de notre impatience ? Eh bien chers lecteurs préparez-vous à frémir devant la partie VII de Germinal.
DE LA GLOIRE A LA DECHEANCE
Il est vrai que la comparaison a été déjà faite dans un article précédent mais cependant les rôles se sont totalement inversés. Voyez-vous quelle est cette comparaison ? Le jeune lion qu’était Etienne est devenu en peu de temps un vieux mâle évincé comme le fut Rasseneur. Mais contre tout attente, celui-ci repris sa place de meneur, de lion qui conduit la horde mais en plus il réussit à sauver Etienne qui allait se faire battre par les mineurs, ce qui a véritablement influencé et changé notre avis sur lui. A nos yeux de lecteurs, il est devenu un homme plein de compassion, pouvant faire preuve de miséricorde à l’égard de ses ennemis. Après le terrible drame de la fusillade, les grévistes ont perdu toute confiance et respect envers Etienne, l’insultant, voulant le tuer pour venger les morts ce qui modifia sur le moment nos impressions et notre compassion pour eux. Comment pourriez-vous traiter des traîtres ? C’est la question que nous nous posons sur eux. Après tout ce drame n’est pas seulement de sa faute mais plutôt celle de tous.
Lui, qui incita les mineurs à ne pas retourner dans les fosses, qui mena cette grève à son apogée mais aussi à sa destruction, fini par s’abaisser au rang des faibles. Peut-être simplement qu’il ne voulait pas la laisser descendre seule ? Ou encore de passer le plus de temps possible avec elle par peur de la perdre ? Lui et lui seul peut le savoir. Malgré notre sentiment assez péjoratif envers l’acte d’Etienne, celui-ci lui permit de se rapprocher de Catherine, de la serrer contre lui et enfin répondre à la plus grande question que nous, lecteurs de Germinal, nous posons tous intérieurement. Leur relation va-t-elle aboutir ?
Enfin, une assez surprenante chose se déroula. La Maheude, qui perdit presque tous les membres de sa famille, et qui était contre la descente dans les fosses, finit par descendre elle-même. Avant elle préférait mourir. Mais maintenant, l’échine cassée, elle est obligée de se rabaisser et de se plier devant la Compagnie. La lionne s’est finalement transformé en brebis. Mais malgré cela, nos sentiments envers elle restent toujours les mêmes. La compassion, la pitié nous envahissent rien qu’en prononçant son nom.
CE NE SONT QUE DES AU REVOIR
Souvarine, personnage secondaire certes mais malgré tout responsable d’un bon nombre de morts que l’on appréciait. Ici il nous apparait comme une hyène, attendant la bonne occasion pour semer la terreur. En l’occurrence, dans cette septième partie, il la trouva. Animé par l’idée de destruction pour un monde meilleur, Souvarine sabota la fosse du Voreux avant la descente des miniers. Ce vautour opportuniste abattit la bête qu’est le Voreux avant de partir on ne sait où, là où peut-être il pourrait détruire pour mieux reconstruire.
Comme vous le savez déjà, Etienne et Catherine finirent par descendre dans la mine. Mais ce fut une grave erreur car la mort les attendait. Nous le savions nous aussi, nous espérions qu’un miracle arriverait mais ce fut en vain. La mine fut inondée comme lorsqu’un barrage lâche. L’eau montait petit à petit, les galeries s’effondraient les unes après les autres. Nous lecteurs, n’avions jamais été aussi concentré et impatient de connaitre le dénouement de l’histoire et Zola aggrava encore plus ce sentiment. Il raconta les jours après la catastrophe de deux points de vue différents. Le premier fut celui des mineurs solidaires, de Zacharie tentant de sauver sa sœur, bravant la fatigue et la faim. Ce jeune homme nous fit ressentir un semblant d’espoir, comme si malgré les jours passés au fond de la mine, Etienne et Catherine pourraient s’en sortir car Zacharie entendait des bruits émis surement par eux. Mais sa détermination le conduit à sa perte, il laissa son feu exposé au grisou et fut calciné. Un autre Maheu disparut.
Le deuxième point de vue fut celui de Etienne et Catherine. Après l’inondation, ils tentèrent de s’enfuir par une autre fosse mais elle s’écroula devant eux. Ils tentèrent de trouver un point en hauteur et se trouvèrent finalement nez à nez avec le fourbe, l’horrible homme qui délaissa Catherine, Chaval. Le trio était enfin réunit, ils étaient seuls, au fond de cette mine inondée prête à les dévorer comme elle le faisait depuis tant de temps. Notre avis de lecteur est unanime, un des deux hommes devait mourir. Le destin était tracé et nous le savions tous. Un lion était de trop ici. Après plusieurs jours passés au fond, Chaval tenta d’abuser de Catherine mais Etienne ne pouvait pas laisser faire cela. Il abattit une pierre sur le crane de Chaval et le laissa pour mort sous les yeux de Catherine qui l’avait aimé et détesté. Enfin ce que nous attendions, car outre la mort de Chaval, nous savions que Etienne et Catherine pourrait enfin vivre leur amour et c’est ce qu’ils firent à notre grande satisfaction. La question avait enfin trouvé sa réponse mais la joie fut de courte durée. Peu de jours après, Catherine s’endormit dans les bras de son amant et finit par ne jamais se réveiller. Il le savait, il la voyait devenir blanche mais il ne voulait pas la déranger dans sa paix. Avons-nous déjà vu une telle preuve d’amour ? La colombe avait pris son envol pour l’éternité et avait laissé son amant au fond d’une mine. Une autre Maheu s’en alla. Le lion finit par s’en sortir en étant sauvé de justesse par les brebis qui avaient cédé tout comme lui.
Mais pour tous ces morts, les bourgeois devaient payer. Et ce fut le vieux Bonnemort qui exécuta cette vengeance en tuant la pauvre Cécile venue apporter quelques aliments. Mais malgré les atrocités des bourgeois, la mort de cette jeune fille fut assez rude à lire car en effet, elle était dotée d’une grande gentillesse et ne méritait pas de mourir. L’écriture macabre de Zola finit sur cette mort, peut-être en avait-il assez de tuer tant de gens ? Cet auteur nous montra une autre facette de la mort. Car dans son œuvre, ce n’était pas les mauvaises personnes qui mourraient, mais plutôt celles dotées d’un sens moral ce qui n’est vraiment pas apaisant pour nous, lecteurs.
Pour finir, le lion finit par s’en aller pour Paris. Après avoir semé la terreur dans cette région, il s’en alla comme si de rien n’était car le sort de miniers n’avait pas changé à notre grand regret. Mais les dernières lignes de Zola nous emplirent d’espoir. Cette idée qu’un jour peut-être, une armée noire, puisse un jour renversée la société, remplit nos cœurs de convictions et d’espérance pour l’avenir de ces personnes. Et ce fut dans cette dernière partie que nous tous, lecteurs de Germinal, comprirent enfin ce titre plein de mystère. La germination de cette armée allait faire éclater la terre.
Après avoir dit tous ces au revoir, il est tant que nous aussi nous nous le disions. Ce fut un réel plaisir de partager ces expériences de lecture avec vous fidèles lecteurs, d’avoir abattu chaque page de cet ouvrage comme le faisaient les miniers avec le charbon. Nous nous retrouverons surement pour l’étude d’un nouvel ouvrage et je vous remercie de nous avoir été aussi fidèles. La misère et la tristesse ne vous atteindront pas si vous suivez les vraies morales de ce livre Germinal. Alors vivez heureux et surtout vivez votre amour.
Yacine. A
LA DEFAITE N’EST QU’UNE ETAPE VERS LA VICTOIRE
Notre fabuleuse semaine sur Germinal de Zola s’achève donc ainsi !!
Au revoir chers lecteurs !!
Rien, j'attendais vraiment beaucoup de cette fin, mais rien c'est ce que j'ai ressentis en lisant les derniers mots Germinal.
Très, très déçu je pensais vraiment qu'Etienne allais continuer ses efforts, aidé ses collègues voir plus ses amis mais non dans cette fin on apprend qu'il est un lâche sans coeur.
Apres tout cela, les grèves, les décès, les manifestations, les destructions de mine et bien d'autre le travail reprend. Les mineurs restent dans la misère reprenne le travail. Vous ne comprendrez surement pas, comme moi. Y-a t-il finalement une issue a cette misère ? Vous vous poserez surement cette question, mais vous n'aurez jamais la réponse malheureusement.
En se promenant un soir, Etienne rencontra Souvarine qui, pour une fois, parla de son histoire. A la fin de la promenade, il lui indiqua qu'il partait de Montsou. Etienne fut surpris d'une telle décision, mais l'acceptait. Tandis qu'il rentrait se coucher, Souvarine avait fait mine de s'en aller, mais était entré discrètement dans le Voreux. Il voulait punir les lâches qui reviendraient travailler et sabota le cuvelage qui maintenait la mine à sec. Puis il se posta à l'extérieur pour observer les dégâts. Cependant, lorsque les mineurs arrivèrent, il aperçut Etienne et Catherine. Il tenta de les dissuader de descendre, mais Etienne amoureux, et ne croyant plus à la victoire des grévistes rejoignit le Voreux avec Catherine.
Enfin bref, je n'ai pas apprécier ce livre de A à Z cependant quelques passages assez émouvants m'ont marqué comme l'initiative de Etienne lorsqu'il s'agissait d'aider ces mineurs.
Note de cette partie : 5/10
Merci de m'avoir suivis tout au long de cette aventure et à bientôt.
This is the end
Livre: Germinal. Auteur: Zola.
Dans cette dernière partie , j'ai que ce serait moins bien tout le monde est mort et c'est triste. Mais j'étais loin de la réalité! Il se passe quelque chose d'horrible! Encore plus que tout le monde est mort! Et triste est un adjectif trop bas sur certains chapitre de cette dernière partie!
Un attentat de Souvarine dans la mine qui bloque Chaval, Étienne et Catherine. Il se passe le combat final entrebces deux personnes et au final Étienne tue Chaval. Puis on arrive ensuite dans une sorte de "je ne devrait pas être en vie" (une émission de désespoir total et pourtant le protagoniste survis de très peu.). Étienne survis mais Catherine meurt. On ressent bien l'atrocité de ce qu'il a vécu et est de venu très fragile par la suite pendant un long moment.
Au final, Étienne va à Paris pour devenir comme Pluchart et enfin, finir ce qu'il avait commencé!
Note 4,5/5
Ce livre est pour moi le meilleur que j'ai lu en ce qui concerne les livres de l'ancien temps. Il est réaliste et pourtant aussi incroyable. Je suis passionné par ce livre qui reste à certains moments vulgaire et même "pervers" si je puis me permettre.
Ça y est, mes chers lecteurs, aujourd’hui il est temps pour vous de connaître mon avis de la dernière partie de Germinal !
"Bravehearth"
Nous avons eu droit sur la plupart du temps des disputes incessantes entre Etienne et Chaval sur un sujet qui revenait souvent dans leurs disputes c'est Catherine qui nous a tous étonné en choisissant Chaval plutôt que Etienne.
Et après l'accident où Etienne, Catherine et Chaval sont coincés par des pierres, une bagarre éclate et Etienne tue Chaval, si la mort n'est pas joyeuse, la mort de Chaval a été pour moi un soulagement car je me suis dit "Au moins il ne parlera plus".
Des efforts mais au bout la mort.
Vous l'aurez compris, quelqu'un meurt et cette personne c'est Catherine, ça été pour moi la plus grosse deception car j'ai naïvement pensé que Etienne et Catherine pourraient vivre ensemble maintenant qu'ils étaient sans Chaval mais je me suis trompé.
Mes chers lecteurs, merci de m'avoir accompagné tout au long de cette aventure qui aura eu des hauts et des bas mais dans l'ensemble ce n'est pas le meilleur livre que j'ai lu, il est sans aucun doute le plus classique de ceux que j'ai pu lire.
Aurevoir et à bientôt
Salut alors voila mon dernier article sur le Germinal, le fameux Germinal de Zola. Une fin pas si inattendu que sa enfin je ne m'attendais personnellement pas que sa finisse en mode tout beau tout rose.
Alors pour résumer la Compagnie a voulue mettre fin a tous les conflits en s'arrangeant avec les mineurs, les mineurs ont donc repris le travail. Souvarine a saboter le puits du Voreux ce qui a causer une inondation, la mine c'est effondré alors qu'il y avais l'équipe d'Etienne dedans. Zacharie meurt en essayant d'aller sauver les mineurs. Bonnemort étrangle Cécile, Etienne va cohabiter avec sa bien aimée Catherine dans le fond de la mine avec Chaval qui tuera par la suite ils seront donc coincés a 2 en vivant leur amour au beau jour si on peu le dire avec le cadavre de Chaval a leurs cotés. Etienne se sort du trou de la mine et s'en va vers Paris en laissant Catherine seule dans la misère pour aller vivre sa carrière politique en oubliant tout le monde, un traître quoi j'ai finis par le haïr en cette fin d'histoire.
Voila alors Germinal un livre doté pleins de suspens avec une réelle morale "Peut-on vraiment compter sur des personnes au jour d'aujourd'hui" .
Et Zola un auteur assez bizarre morbide mais quand même réaliste.
Voila je vous donnes rendez vous je ne sais quand pour une nouvelle histoire sans doute je vous souhaite quand même une bonne lecture de cette dernière partie et j'attends vos commentaires sur cette partie.
Bisous mes lecteurs
Salut alors voila mon dernier article sur le Germinal, le fameux Germinal de Zola. Une fin pas si inattendu que sa enfin je ne m'attendais personnellement pas que sa finisse en mode tout beau tout rose.
Alors pour résumer la Compagnie a voulue mettre fin a tous les conflits en s'arrangeant avec les mineurs, les mineurs ont donc repris le travail. Souvarine a saboter le puits du Voreux ce qui a causer une inondation, la mine c'est effondré alors qu'il y avais l'équipe d'Etienne dedans. Zacharie meurt en essayant d'aller sauver les mineurs. Bonnemort étrangle Cécile, Etienne va cohabiter avec sa bien aimée Catherine dans le fond de la mine avec Chaval qui tuera par la suite ils seront donc coincés a 2 en vivant leur amour au beau jour si on peu le dire avec le cadavre de Chaval a leurs cotés. Etienne se sort du trou de la mine et s'en va vers Paris en laissant Catherine seule dans la misère pour aller vivre sa carrière politique en oubliant tout le monde, un traître quoi j'ai finis par le haïr en cette fin d'histoire.
Voila alors Germinal un livre doté pleins de suspens avec une réelle morale "Peut-on vraiment compter sur des personnes au jour d'aujourd'hui" .
Et Zola un auteur assez bizarre morbide mais quand même réaliste.
Voila je vous donnes rendez vous je ne sais quand pour une nouvelle histoire sans doute je vous souhaite quand même une bonne lecture de cette dernière partie et j'attends vos commentaires sur cette partie.
Bisous mes lecteurs
~Des souvenirs à l’avenir~
ETIENNE : UN HEROS COUARD !
ETIENNE ABANDONNE LE NAVIRE !