Germinal Partie VI
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 16 décembre 2013, 13:57 - Lien permanent
Articles critiques sur la partie VI de Germinal.
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 16 décembre 2013, 13:57 - Lien permanent
Articles critiques sur la partie VI de Germinal.
Commentaires
SIXIEME PARTIE
LE COMBLE DE L’HORREUR : LE NOIR, LE NOIR, LE NOIR
Dans ce chapitre, le pire est certain ! La grève s’empire alors que la faim et le froid menacent les mineurs. Alzire s’éteint, elle est morte de faim. Daneulin, le propriétaire, fait faillite. Ce chapitre montre aussi que le patronat est victime de la crise économique. Lui aussi doit s’adapter et lutter. Zola décrit bien ici, les deux faces qui s’opposent et qui ont chacun leur raison. Ils doivent défendre leurs intérêts respectifs.
Etienne n’est plus maitre de la situation et est dépassé par la révolte de ses compagnons. Il est recherché, vit dans le noir, dans le terrier de Jeanlin ! Il en sort pour rencontrer Rasseneur et doit se battre avec Cheval ! Il rencontre alors Jeanlin qu’il surprend en train de trancher la gorge d’ un soldat.!
Du noir, du noir et encore du noir ! Voilà ce qui caractérise ce violent et terrible chapitre.
Le combat, la violence, la misère, la mort sont omniprésents dans ce chapitre.
LES TRAITRES : LES OUVRIERS ETRANGERS !
Pour lutter contre les grèvistes, les propriétaires de la mine font appel aux travailleurs étrangers. Les mineurs sont furieux et ETIENNE ne peut les maitriser. La révolte est a son comble et les militaires font feu !!!! Ce chapitre est terrible car il illustre qu’il y a encore plus pauvres que les misarables mineurs du nord de la France. Les Belges sont eux aussi prèts à tout pour survivre. Ils sont prèts à mourir au fond de la mine pour quelques sous !
Zola nous montre que la misère n’a pas de frontière ! elle vient de partout et du monde entier. Elle n’a pas de culture...
Maheu et d’autres de ses compagnons tombent et la foule béante reste immobile. C’est le désastre.
Ce chapitre est le comble de l’horreur et du pire.
Etes-vous certains de vouloir connaitre la suite ??? Allez, un peu de courage !
Sur le pas de la guerre.
Germinal, Emile Zola, Partie VI
MORT, MISÈRE, VIOLENCE...
Dans cette cinquième partie, on peut constater que l'horreur, la violence, la misère... sont extrêmement présentes.
La grève devient de pire en pire, les mineurs ne lâchent pas l'affaire malgré le froid et la faim qui les menacent. La famine donne fin à la vie de la petite Alzire.
Au fur et à mesure du temps, Étienne n'arrive plus à diriger cette grève.
La vie dans le terrier de Jeanlin devient de plus en plus dur pour Étienne, il décide donc de se rendre chez Rasseneur. Il y a, à nouveau, une dispute entre Chaval et lui, qu’Étienne remporte. Étienne propose à Catherine de s'installer avec lui, mais elle refuse. Pourquoi? On ne le sait pas, ils se séparent donc. Sur son chemin, il rencontre Jeanlin qu'il surprend en train d'égorger un soldat! Pourquoi fait-il cela? On ne le sait toujours pas...
La direction avait fait appel à des Borains pour qu'ils les aident, mais les mineurs n'acceptent pas leur présence et leurs font comprendre en se réunissant pour
contester contre eux.
L'entrée au Voreux était garder par des militaires, la foule essaye d'avancer ; mais de là, les militaires font feu, beaucoup d'entre eux
tombent, en particulier Maheu ! C'est une catastrophe : 25 blessés et 14 morts. Cette sixième partie finit par l'arrivée de l'abbé Ranvier.
Alors, que va-t-il se passer dans la septième et dernière partie? Les mineurs vont-ils aller jusqu'au bout? Jusqu'à quelles limites vont-ils aller? Pour avoir toutes les réponses, rendez vous très bientôt!
Bonjour, lecteur !
Cette semaine nous passons au peigne fin l'avant dernière partie de GERMINAL soit la Sixième partie.
LE FEU AUX BAILLONETTES !
Dans cette sixième partie comme vous pouvez le voir lecteurs, rien de va plus, on s'en étais déjà rendu conte dans la partie précédente mais là, la mort frappe au coron. Entre mort foudroyante, combat singulier, meurtre en pleine nuit et fusillades on ne sais plus où donner de la tête. Tout d'abord nous assistons à la mort de cette pauvre petite Alzire si gentille qui n'avais rien demander a personne, et qui ne survivra pas à cette grève violente, nous sommes triste de cette perte, s'en est assez de cette vie misérable on dit stop. Cependant , Chaval lui n'a peur de rien veut toujours tuer Etienne, ils se battent chez Rasseneur. Chaval se traître, se lache, essaye donc de tuer Etienne avec un couteau, Etienne récupère le couteau mais accrochez-vous bien, il ne tue pas Chaval.. POURQUOI ? Mais que se passe-t-il dans la tête d'Etienne a se moment là, on se le demande, nous sommes stresser par se combat, mais lui trop gentil, le laisse vivre, alors que nous l'aurions tuer sans attendre !
Dans cette sixième partie il y a aussi le petit Jeanlin qui tue froidement un officier, eh bien me direz-vous cela en fera un de moins a combattre.
Et enfin nous assistons à un ras-le-bol (encore me direz-vous) des nos personnages qui ne veulent pas se laisser volé leur travail par les Belges, ce qu'on comprend, sa ne fait qu'augmenter la rage des mineurs et également la notre, et c'est à ce moment que le drame arrive, les mineur voulant tuer Dansaert et Negrel partent au Voreux cependant les officiers sont la et les attendent, c'est encore une fois la guerre, les insultes jaillissent de toute part. Les officiers tirent.... 6 de nos compagnons meurent...Bébert, Lydie, la Brûlé, la Mouquette, Mouquet et Maheu. Nous sommes tristes, nous nous étions attaché à eux, nous vivions la misère avec eux, et Zola a préféré les tuer pour nous infliger encore un peu plus de peine et de colère. Mais quand cette affreuse grève finira-t-elle cher lecteur ? On se le demande bien nous aussi.
Pour connaitre la suite des événements rendez-vous la semaine prochaine pour la fin de l'aventure.
A la semaine prochaine et bonne lecture cher lecteur !
L'acharnement des mineurs.
Dans cette nouvelle partie, vous allez être confrontés à l'entêtement des mineurs pour la grève. En effet malgré le froid et la faim qui les menacent allant jusqu'à causer la mort de Alzire la fille des Maheu, les mineurs ne renoncent pas. Au contraire la grève empire.
Dans cette partie Etienne n'est plus le chef, il est dépassé par la colère des mineurs.
Dans cette partie pleine de violence, vous verrez Etienne se battre avec Chaval et Etienne surprendre Jeanlin en train de trancher la gorge d'un soldat.
Les travailleurs étrangers VS les mineurs.
Des travailleurs étrangers sont en route pour travailler aux mines afin de lutter contre les grévistes. Etienne n'a plus aucun pouvoir sur les mineurs. Ils sont face à leur colère et avancent vers le Voreux pour se battrent contre les soldats qui gardent la mines. C'est un désastre total.
Après de nombreux morts, que vont faire les mineurs ?
Vont-ils reprendres leur travail ou continuer la grève ?
La suite la semaine prochaine !
Sixième partie
Dans cette nouvelle partie on voit vraiment l'horreur et la souffrance des mineurs ils se battront pour avoir ce qu'ils veulent .
Quand a étienne il vit toujours dans le terrier de Jeanlin ce qui est une situation difficile pour lui ;Il sort juste pour aller chez rasseneur et il eut une bagarre entre chaval et étienne Etienne domine la bataille, mais il laisse la vie sauve à Chaval.
Les mineurs se réunissent pour protester contre l’arrivée des Borains, des travailleurs étrangers, que la direction avait fait appeler: “- A mort, les Borains! pas d'étrangers chez nous! à mort! à mort!”.
De nouveau, les mineurs, sous le poids de leur colère, s’échappent au contrôle d’Etienne. L’entrée au Voreux était gardée par des militaires qui avaient reçu comme ordre de ne se servir de leurs armes qu’à la dernière extrémité. La foule tente d'avancer de faire reculer les soldats mais impossible ils sont tous la pour la lutte final ils sont sur d'eux et ils n'ont rien a perdre . Les militaires font feu et il eut beaucoup de blésses et de mort
SIXIEME PARTIE
LE COMBLE DE L’HORREUR : LE NOIR, LE NOIR, LE NOIR
Dans ce chapitre, le pire est certain ! La grève empire alors que la faim et le froid menacent les mineurs. Alzire s’éteint, elle est morte de faim. Daneulin, le propriétaire, fait faillite. Ce chapitre montre aussi que le patronat est victime de la crise économique. Lui aussi doit s’adapter et lutter. Zola, en parfait journaliste objectif décrit bien ici, les deux logiques qui s’opposent et qui ont chacune leur raison. Chacun doit défendre ses intérêts respectifs.
Vous y verrez un Etienne dépassé par les évènements qui devra vivre terré dans la cachette de Jeanlin. Le combat, la violence, la misère, la mort sont omniprésents dans ce chapitre.
LES TRAITRES : LES OUVRIERS ETRANGERS !
Les exploitants de la mine vont faire appel à des mineurs étrangers pour lutter contre les grèvistes ! Ce n’était pas difficile des rendre les mineurs enragés ! La révolte est à son comble et les militaires font feu !!!! Ce chapitre est terrible car il illustre qu’il y a encore plus pauvres que les misérables mineurs du Nord de la France. Les Belges sont eux aussi prêts à tout pour survivre. Ils sont prêts à mourir au fond de la mine pour quelques sous !
Zola nous montre que la misère n’a pas de frontière ! elle vient de partout et du monde entier. Elle n’a pas de culture...
Maheu et d’autres de ses compagnons tombent et la foule béante reste immobile. C’est le désastre.
Ce chapitre est le comble de l’horreur car ce peuple, si misérable, à bout de souffle qui avait trouvé le courage de se redresser et de s’indigner en se transformant en une foule révoltée est désormais anéanti !
Du noir, du noir et encore du noir ! Voilà ce qui caractérise ce violent et terrible chapitre. On s’enfonce toujours un peu plus dans le sombre au fil de l’histoire. Mais jusqu’où Zola nous amènera-t-il ?
Etes-vous certains de vouloir connaitre la suite ??? Allez, un peu de patience !
Bonjour tout le monde ! Je vais vous parler cette fois-ci de la partie VI de Germinal, qui pour ma part ne ma pas plu.
Cet isolement lui permet de réfléchir à l'action de grève et au résultat obtenu.
Effectivement peut on considérer cette partie comme une réussite ou alors comme une défaite ?
La lutte contre les classes sociales est-elle obtenue ?
Etienne qui était le meneur, aimé de tous les mineurs est dans cette partie finalement celui qui les emmène vers une plus grande pauvreté.
Lorsqu'Etienne ressort de sa mine il me fait penser à une taupe qui vivant sous terre se trouve aveuglée par la luminosité. Etienne lui, est aveuglé par son idéologie: défendre les conditions ouvrières face au patronat.
Le Voreux dans cette partie se trouve protégé par les forces de l'ordre appelées par les patrons. Puis sans que personne s'en aperçoive, comme une bombe une guerre explose entre les mineurs et les gardes.
Cette situation m'a intéressée car elle est survenu sans préparation, nous lecteur nous ne pouvions le prédire.
Cet effet de surprise à redonner un certains dynamisme à la lecture.
Le sentiment de haine est prédominant.
Se faire remplacer par d'autres ouvriers quoi de plus horrible !
Au final que va-t-il arriver à ces ouvriers avides d'améliorations ?
Bref cette partie se termine par l'acharnement des mineurs sur les gardes à coup de parpaings et les gardes sur les mineurs à coup de fusil.
Cette action révolutionnaire est une répétition de la Révolution Française de 1789 et, bien plus tard elle reprendra naissance sous une autre forme en 1968.
Le monde sera-t-il toujours révolutionnaire, toujours prêt à obtenir une vie meilleur même si il doit ensuite compter ses morts?
Je pense vous avoir bien guidé sur cette partie, n'hésitez pas à m'envoyer votre ressenti.
A LA UNE
Bonjour à toutes et à tous lecteurs. Nous revoilà pour la sixième partie de Germinal. Que dire que dire, à part que tout devient de plus en plus sombre et horrible.
TOUT VA MAL
La grève s'empire, la faim et le froid sont encore plus dur à supporter. Les mineurs tiendront-ils le coup? Etienne quand à lui s'est transformé en lapin- taupe. Allons bon lecteur c'est de l'ironie il en faut bien pour cette partie de germinal. Nous reprenons, Etienne quand à lui vit dans le terrier de Jeanlin. Et oui il est recherché ce petit, il faut fuir c'est le seul moyen.
Dans cette partie nous vivrons aussi la perte d'une personne, c'est vrai il va y avoir un mort voir deux. Mais qui? C'est bien cela que vous vous demandez? Et bien tout comme moi lisez cette partie? Vous voulez des indices, bien sûr que oui! Et bien, faim et couteau.
A LA POURSUITE DE VIOLENCE
Qui sont les deux hommes qui se sont à nouveau battu? C'est simple Chaval et Etienne, en n'en a pas finit avec eux n'est ce pas lecteur? Qu'en dites vous Catherine ne serais t'elle pas la source de leurs querelles derrière tout ça? Etienne propose à Catherine de s'installer avec lui, il se prend un "gros rateau" elle refuse. Lecteurs êtes vous de son avis à Catherine? C'est dommage non, ils vont si bien ensemble...
A MORT LES BORAINS
Les mineurs sont toujours fou de rage, et violent il se dressent devant les soldats sans aucune peur. Etienne ne maîtrise plus rien. Ils sont prêts à mourir au fond de la mine pour quelques sous ! Cela ne fait que s'empirer, pire il n'y a pas.
Nous marquons cette partie dans coup de gueule aucun bon côté que du malheur, mais Zola voilons. Il veut nous prendre tout notre moral je ne vois que cette solution là. Un tout petit peu de bonne nouvelle c'est pas trop demandé!
" Lectures "
Cette semaine , avant dernière partie , la sixième , le coté le plus sombre de ce livre :
Etienne se cache au fond d'un trou , revient au point de départ en quelque sorte , il devient encore une fois une taupe privé de la vue , qui ne peux que passer son temps avec ses pensées . Pendant ce temps les conditions de vies empirent encore , les Maheu perdent leur fille , les compagnies font faillites , tout est noir des deux côtés , c'est le mot qui convient , tout devient insupportable. Etienne sort enfin de sa cachette quand il sent qu'il n'a plus rien a craindre , face a Chaval ne peut s'empêcher de délivrer sa haine contre lui , encore un combat de plus qui vient s'ajouter a celui qu'il doit gérer , une rivalité sans fin entre deux hommes comme certains pays qui sont en guerre depuis des années et qui ne cesseront jamais de s'arrêter . Des étrangers arrivent , Etienne pers encore le contrôle des mineurs , leur colère qui n'a cesser d'augmenter , un ascenseur d'émotions qui quand il arrive au dernier étage délivre les personnes qu'il retient prisonnière , en l'occurrence cette douleur , cette haine , la bataille commence et fais un désastre. C’est l’extermination des personnes qui dérangent , qui posent problèmes , qui nous font penser en tant que lecteur , a l’extermination des juifs.
Cette partie ce termine noire comme elle a commencée , pour savoir si tout deviendra beau , a vous de lire la suite ... A la semaine prochaine
Votre journaliste , Océane
Mag'anarchie articles littéraire : partie 6 Germinal
Etienne et Chaval ne se rendent peut être pas compte qu'ils sont fautifs du mal qu'il se passe. De la mort de certaines personnes par la faim. Mais sont-ils naïfs, aveugles, ou simplement égoïstes ? Nous ne savons guère mais il faudrait que cette grève s’arrête, soit par gain de cause, soit par accord, ou par dépit.
Pour finir, cette partie mérite bien un 8/10 à mes yeux. Quelle horreur, cette violence, cette agressivité, toutes ces âmes envolées, perdues...on ressent ici toute l'émotion, la peur, l'angoisse, mais est-ce qu'on est d'accord avec cette révolution ? Toutes ces pertes sont peut être vaines...ceci ferait bien mal au coeur...
A bientôt pour les prochains articles dans votre magazine favoris, Mag'anarchie, le magazine de l'anti conformisme, de la contre robotisation par le système.
Sixième partie de Germinal écrit par Zola
3/5 …
Du grand n’importe quoi
Chers lecteurs, chers lectrices
La semaine dernière je vous avais laissés avec des mineurs révoltés. Ils étaient prêts à tout pour renverser la direction et gagner cette lutte impitoyable. Dans cette sixième partie, vous allez vite comprendre que les conditions de vie s’aggravent. Cette partie va laisser beaucoup de traces.
A vous maintenant de découvrir cette fameuse partie comme le ferait un plongeur qui descend explorer les fonds-marins pour y découvrir des animaux rares.
1-Des mineurs déterminés
La grève s’empire mais les mineurs n’y renoncent pas malgré le froid et la faim qui les menacent. L'armée occupe les fosses. Pour fuir la colère des mineurs et aussi les gendarmes, Etienne est hébergé et nourrit dans le terrier de Jeanlin. Il fallait avant tout se protéger pour Etienne. Les mineurs continuent leur grève sans abandonner. Les Maheu viennent de perdre leur fille qui est morte à cause de la faim. Les Maheu sont en deuil. Etienne vit dans le noir, cela devient de plus en plus difficile pour lui. Il est dégoûté par la violence et la misère, il ambitionne une carrière politique. Nous pouvons imaginer que cette grève ne va sûrement pas se terminé correctement, comme tout le monde aimerait. Chaval annonce qu'il va diriger une équipe de mineurs belges recrutés pour briser la grève. Les deux hommes sont en désaccord et c’est Etienne qui domine la bagarre. Il laisse la vie sauve à Chaval.
Quand pensez-vous lecteurs ? Comment va se finir cette sixième partie ?
2-Une fin tragique
Depuis que cette grève a commencé, de nombreuses personnes sont mortes à cause du froid, de la faim… Nous pensons sûrement la même chose, pourquoi un tel acharnement de la part des mineurs ? En tout cas on pouvait certainement imaginer une meilleure fin pour tous. Etienne propose à Catherine de s'installer avec lui, mais elle refuse. Ils se séparent. Retournons voir les mineurs qui cette fois sont convaincus de remporter cette lutte qui a fait tant de morts. Les mineurs se réunissent pour protester contre l’arrivée des Borains, des travailleurs étrangers, que la direction avait fait appeler. L’entrée au Voreux est gardée par des militaires.
La foule tente d'avancer, de faire reculer les soldats comme le ferait un joueur de rugby qui serait prêt à tous pour sauver son équipe et pour aller marquer l’essai de la gagne. Fort de leur nombre, ils ne craignent rien. Tous sont venus pour ce qui s'annonce être la lutte finale. Ils sont très sûrs d'eux, et n'ont rien à perdre. Les militaires sont sous pression. Ils tirent sur la foule, beaucoup tombent, dont Maheu. Tous les mineurs sont en panique. C'est le désastre, cette fin fera 25 blessés et 14 morts. Une fin qui est tragique et qui met un terme à la rébellion des mineurs.
Dans cette sixième partie, nous faisons face à la fin de cette révolte qui nous semblait à tous interminable. Elle est dramatique, mais on pouvait tous s’y attendre. Chaque jour, les conflits s’envenimaient de plus en plus. Malgré cela, les désaccords se sont estompés. Alors, que nous prédira la suite pour cette septième et dernière partie.
Bonne lecture à tous et à la prochaine pour un nouvel article sur cette incroyable épopée des mineurs.
Bonjour à tous chers lecteurs, nous revoilà comme promis pour un nouvel article sur la partie VI de Germinal. "La grève s'était aggravée" annonce dès le début Zola, "le coron semblait désert", et "l'obéissance forcée et patiente des fauves en cage, commençait à se dégrader". Les tensions entre les ouvriers et les bourgeois se déculpent. La misère et la mort ont envahi le coron. Nous sommes à un moment de tension dramatique intense.
La désolation
Dans cette partie, la misère est multipliée, plus de nourriture et le froid est omniprésent "la dernière pelletée d'escarbilles était brûlée". Zola nous fait tour à tour ressentir la faim, le froid, le désarroi, la crainte de la mort, amenant une véritable décadence.
Rien de va plus au Voreux, on apprend que la Pierronne trompe son mari. Je parle bien évidemment de l'honnorable maître Pierron qui fuit lâchement quand il est supris après avoir eu une relation intime avec la vulgaire Pieronne qui n'a pas peur de raconter des rumeurs sur les autres ouvriers. Mais ce n'est pas sans représaille, Levaque va jusqu'à insulter la Pieronne de "salope" et avec Maheu jusqu'à "se ruer sur Pierron à coups de poing". La solidarité et la sagesse ont disparu pour laisser place à la division et au chaos. Nous ne pouvons qu'être outrés de voir nos favoris ne pas garder leur calme. Face à cette désolidarisation, nous pressentons la défaite. Même Etienne se cache sous Terre, pour échapper aux autorités, et ne sort que la nuit. Une véritable taupe qui ne voit pas le jour, vivant sous terre.
Un affrontement pressenti
Si dans la partie III Etienne n'a pas réagit à la brutalité de Chaval envers Catherine, vous serez sastifait de savoir que dans cette partie il y a bel et bien un affrontement. Un terrible combat de gladiateur dans le bar de Rasseneur commence. Etienne ayant l'avantage Chaval sort son couteau. Chaval par ce geste refai preuve de sa lacheté. Catherine avertis Etienne et trahi son amour pour lui. Etienne, remporte le combat et laisse Chaval s'en aller. Ce châtiment qui rabaisse Chaval nous procure le sentiment de justice.
Les mineurs massacrés dans un ultime combat
A la fin de cette partie nous sommes au coeur d'un affrontement entre une soixantaine de soldats armés et les ouvriers. Le nombre d'ouvriers ne cesse d'augmenter et face aux menaces et aux briques que lancent les ouvriers aux soldats, les pantalons rouges font feu. Les ouvriers, qui nous sont devenus familiers, meurent les uns apres les autres. Bébert et Lydie, Maheu, la Brulé... tombent sous les balles dans une ultime rebéllion. L'abbé Ranvier prophétise la chute de la bourgeoisie par "le feu du ciel" et la justice pour les "déshérités de ce monde".
Cette répression sanglante mettra t-elle fin à la grêve? Nous en saurons plus la semain prochaine pour l'ultime partie.
« GERMINAL DE ZOLA » : Aperçu de la partie 6
TENSIONS, ET MISERES
La mère Maheude est désespérée de voir ses enfants qui crient famine et de voir souffrir Alzire sa fille. Pour elle cela devient de plus en plus insoutenable. Etienne n’est plus « Maître de la situation » bien au contraire il est recherché alors il reste caché dans le terrier de Jeanlin !
Une altercation entre Chaval et Etienne durant l’une des seules fois où Etienne sort de son « trou » se produit. Chaval qui refuse le retour de Catherine qui a soutenu Etienne lors de leur bagarre se retrouve seul. Catherine et Etienne continueront- ils à lutter contre leur amour? Par ailleurs en revenant à Réquillart, Etienne surprend Jeanlin en train de commettre un acte des plus répréhensibles. Le dénoncera-il ? Les habitants du coron bloquent les entrées du Voreux. Les soldats en armes nerveux veillent sur Dansaert et Négrel menacés par la foule.
Qui vivra verra et qui continue la lecture saura.
A la semaine prochaine !
~FEMME ACTUELLE~
Bonjour cher lecteur et lectrice, je vous retrouve cette semaine pour parler de l'avant dernière partie de Germinal ; la sixième comme nous l'appelons "le début de la fin" car dans cette partie sans-détours, sans blabla la terreur, la panique. SI VOUS AVEZ UNE AME SENSIBLE ARRETEZ VOUS LA ET ALLEZ FAIRE DU SAUT A L'ELASTIQUE SA FAIT BEAUCOUP MOINS PEUR QUE CEUX QUE VOUS ALLEZ LIRE !
Zola n'a plus aucune pitié pour nous lecteurs qui avons l'impression mais si bien fait par Zola d'être le mineur on se sent outré, affecté, de tout ces agissements qui sont presque banale comme Jeanlin qui tue un officier et pars dormir après nous, nous sommes le spectateur qui ne peut rien faire. On se dit COMMENT? mais après tout la mort est notre meilleure allié dans cette enfer le seul moyen pour en sortir.
Ah oui.. Et vous vous souvenez de Catherine, d'Etienne et de Chaval se trio infernale. Etienne qu'on pensait être une femme le voire dans cette nouvelle bagarre avec Chaval où devinez qui domine et oui ? ETIENNE SURPRISE ! Il nous parait fort robuste face à ce "monstre" de CHAVAL. Les mots nous échappe pour parler de l'amour de Catherine pour Etienne comme elle qui l'esquive, qui esquive sa demande lisez et vous serez laquelle. Je vous dirait que l'amour, les sentiments dans une tel situation sa n'existe plus, elle est remplacer par la rage, la colère et l'angoisse qui serait notre musique de fond.
On se rend compte dans cette partie que LE COURAGE n'est pas de pas avoir peur mais d'avoir peur et y aller quand meme comme les mineurs face au millitaire malgrès les coups de feu. Donc prenez tous votre courage à deux mains et une pioche et venez nous rejoindre pour le feu d'artifice final.
Je finirai juste par vous dire que même si cette partie est vraiment horrible je l'ai ADORER car même avec tous ceux sang qu'on a sur les mains Zola nous montre que c'est pour une bonne cause...
~FEMME ACTUELLE~
Bonjour cher lecteur et lectrice, je vous retrouve cette semaine pour parler de l'avant dernière partie de Germinal ; la sixième comme nous l'appelons "le début de la fin" car dans cette partie sans-détours, sans blabla la terreur, la panique. SI VOUS AVEZ UNE AME SENSIBLE ARRETEZ VOUS LA ET ALLEZ FAIRE DU SAUT A L'ELASTIQUE SA FAIT BEAUCOUP MOINS PEUR QUE CEUX QUE VOUS ALLEZ LIRE !
Zola n'a plus aucune pitié pour nous lecteurs qui avons l'impression mais si bien fait par Zola d'être le mineur on se sent outré, affecté, de tout ces agissements qui sont presque banale comme Jeanlin qui tue un officier et pars dormir après nous, nous sommes le spectateur qui ne peut rien faire. On se dit COMMENT? mais après tout la mort est notre meilleure allié dans cette enfer le seul moyen pour en sortir.
Ah oui.. Et vous vous souvenez de Catherine, d'Etienne et de Chaval se trio infernale. Etienne qu'on pensait être une femme le voire dans cette nouvelle bagarre avec Chaval où devinez qui domine et oui ? ETIENNE SURPRISE ! Il nous parait fort robuste face à ce "monstre" de CHAVAL. Les mots nous échappe pour parler de l'amour de Catherine pour Etienne comme elle qui l'esquive, qui esquive sa demande lisez et vous serez laquelle. Je vous dirait que l'amour, les sentiments dans une tel situation sa n'existe plus, elle est remplacer par la rage, la colère et l'angoisse qui serait notre musique de fond.
On se rend compte dans cette partie que LE COURAGE n'est pas de pas avoir peur mais d'avoir peur et y aller quand meme comme les mineurs face au millitaire malgrès les coups de feu. Donc prenez tous votre courage à deux mains et une pioche et venez nous rejoindre pour le feu d'artifice final.
Je finirai juste par vous dire que même si cette partie est vraiment horrible je l'ai ADORER car même avec tous ceux sang qu'on a sur les mains Zola nous montre que c'est pour une bonne cause...
~FEMME ACTUELLE~
Bonjour cher lecteur et lectrice, je vous retrouve cette semaine pour parler de l'avant dernière partie de Germinal ; la sixième comme nous l'appelons "le début de la fin" car dans cette partie sans-détours, sans blabla la terreur, la panique. SI VOUS AVEZ UNE AME SENSIBLE ARRETEZ VOUS LA ET ALLEZ FAIRE DU SAUT A L'ELASTIQUE SA FAIT BEAUCOUP MOINS PEUR QUE CEUX QUE VOUS ALLEZ LIRE !
Zola n'a plus aucune pitié pour nous lecteurs qui avons l'impression mais si bien fait par Zola d'être le mineur on se sent outré, affecté, de tout ces agissements qui sont presque banale comme Jeanlin qui tue un officier et pars dormir après nous, nous sommes le spectateur qui ne peut rien faire. On se dit COMMENT? mais après tout la mort est notre meilleure allié dans cette enfer le seul moyen pour en sortir.
Ah oui.. Et vous vous souvenez de Catherine, d'Etienne et de Chaval se trio infernale. Etienne qu'on pensait être une femme le voire dans cette nouvelle bagarre avec Chaval où devinez qui domine et oui ? ETIENNE SURPRISE ! Il nous parait fort robuste face à ce "monstre" de CHAVAL. Les mots nous échappe pour parler de l'amour de Catherine pour Etienne comme elle qui l'esquive, qui esquive sa demande lisez et vous serez laquelle. Je vous dirait que l'amour, les sentiments dans une tel situation sa n'existe plus, elle est remplacer par la rage, la colère et l'angoisse qui serait notre musique de fond.
On se rend compte dans cette partie que LE COURAGE n'est pas de pas avoir peur mais d'avoir peur et y aller quand meme comme les mineurs face au millitaire malgrès les coups de feu. Donc prenez tous votre courage à deux mains et une pioche et venez nous rejoindre pour le feu d'artifice final.
Je finirai juste par vous dire que même si cette partie est vraiment horrible je l'ai ADORER car même avec tous ceux sang qu'on a sur les mains Zola nous montre que c'est pour une bonne cause...
Germinal-Partie 6
De la routine à l'action !
Il y a encore deux semaines je m'ennuyais en lisant ce livre... Mais là ! C'est comme une révélation pour moi, j'ai enfin pris du plaisir à lire ce livre, vous allez vite comprendre pourquoi.
Dans cette sixième partie, vous allez découvrir une histoire et des personnages plus sombres et tristes que jamais ; mais que se passe t-il dans le coron ?
Noirceur dans le coron...
Ce n'est que dans la cinquième partie, que l'on a découvert le côté sombre des femmes du coron, quand elles ont mutilés Maigrat malgré qu'il soit déjà mort, juste pour se venger de lui. Mais tout cela est pire encore dans la sixième partie que je viens de lire, la colère monte, monte, monte jusqu'à ce qu'ils disent: NON ! Et ce sont les femmes qui réagissent les premières incitant leur homme a se battre eux aussi pour leur liberté. Mais malheureusement, beaucoup d'entre eux ne survivront pas, a cause de maladie ou de la bêtise humaine...
Alors jusqu'où leur colère va t-ils les entraîner ? Qui va survivre ou mourir ?
Quand l'amour prend le dessus...
Depuis la cinquième partie, bien des choses ont changés... Vous voulez savoir qui Catherine a t-elle choisi... Chaval, l'homme fort ou le beau et doux Étienne ? Dans la dernière partie, Catherine suivait partout Chaval avec un air hébété et perdu, comme un chien qui suit son maître... Mais elle avait quand même décider de prévenir Étienne, de la trahison de Chaval.
On a vraiment l’impression que Catherine est perdue, qu'elle ne sait que faire ou aller. Pourtant lors de cette 6ème partie, Catherine va prendre partie pour l'un d'entre eux lors d'une bagarre à l'Avantage... Alors de qui va t-elle prendre la défense ? Et que va t-il se passer suite à cela ?
Pour le savoir, je vous invite a lire cette sixième partie que je vous conseille vivement si vous aimez l'action et l'émotion !
Note : 4,5/5
GERMINAL : partie VI
La noirceur s'épaissit ...
TRAHISONS, VENGEANCES, DÉSESPOIR, MORTS ...
Dans cette partie, de nouveau, nous sommes plongés dans ce qu'il y a de plus terrible chez l'Homme. Dans ce livre, aucun petit rayon de soleil ne vient illuminer la vie des mineurs. A quoi bon vivre une telle vie ???
A Montsou, la grève continue, le froid et la faim attisent les haines et les convoitises. Les bagarres, les reproches sont très présentes dans cette partie du livre.
La petite Alzire meurt de faim plongeant la Maheude dans le désespoir le plus complet, elle voue une haine indescriptible contre les "patrons", les bourgeois". Elle refuse que Maheu reprenne le travail. Elle préfère voir mourir ses enfants plutôt que de céder (pour une mère, cela montre à quel point elle est au fond du gouffre).
La Compagnie a fait appel à des étrangers, des belges pour prendre la place des grévistes. La colère gronde ... Les mineurs refusent que des étrangers travaillent dans LEUR mine.
Etienne qui vit reclus sous terre dans la cachette de Jeanlin à Réquillard, sort la nuit. Un soir, alors qu'il se trouve à l'Estaminet de Rasseneur, une bagarre éclate entre lui et Chaval. Toute la haine qui s'est accumulée entre les deux hommes ressort durant ce combat. Alors que Chaval sort un couteau, Catherine s'interpose et sauve Etienne. Fou de rage, Chaval jette Catherine à la rue. Etienne et Catherine se rapprochent ... (on se dit, enfin, l'histoire d'amour tant attendue arrive, et non car Catherine refuse l'amour d'Etienne).
Une nuit, sous les yeux d'Etienne, Jeanlin tue la sentinelle qui garde le Voreux. Pour cacher le cadavre, Etienne et Jeanlin l'enterrent dans une cavité du Réquillard (même les enfants sont des assassins, Zola ne nous épargne rien).
Au petit matin, tous les mineurs grévistes décident d'empêcher les belges de travailler. Ils s'avancent vers la mine. Une scène va les choquer : la remontée du cadavre de Trompette (même les animaux meurent dans ce livre).
La foule continue d'avancer et se retrouve devant les forces de l'ordre armées de baïonnettes.
Une bagarre verbale s'ensuit, les gros mots, les crachats fusent mais personne ne bouge. Quand Négrel demande de procéder à des arrestations, les premières pierres commencent à tomber, entraînant une confusion générale. Blessé et dépassé par les évènements, le Capitaine n'arrivent plus à gérer ses hommes. Les premiers coups de feu retentissent, des corps tombent ... un silence s'abat sur la foule puis des cris se font entendre ...
C'EST FINI : Mouquet, la Mouquette, la Brûlé, Bébert, Lydie et surtout Maheu gisent au sol ...
Etienne est paralysé par le choc ... jamais il n'avait voulu que cette grève se termine dans un bain de sang. Qu'a-t-il fait ?
Comment cette histoire va-t-elle se terminer ?
Les mineurs vont-ils enfin avoir gain de cause ?
Est-ce que toute cette violence n'aura servi à rien ?
Toutes ces questions se bousculent certainement dans votre tête.
Vous aurez les réponses, la semaine prochaine ...
public
avis:****
Le carnage
bonjour chers lecteurs
je suis heureuse de vous retrouvez de nouveau pour cette sixième partie riche en émotions
Qu'elle misère!!
Eh oui!! Rien ne va pour le mieux. La grève s'empire. On se demande comment les mineurs tiennent le coup. Vous vous imaginé vous vire dans le froid sans même manger et dormir en ayant peur d'affronter le jour prochain. Ce froid et cette faim abominable as touché Alzize la fille des Maheu qui en est morte. Pour fuir de cela Etienne par donc vivre dans le terrier de Jeanlin.
Encore une et un de plus!
Etienne trouve de plus en plus dur de vivre dans le terrier
et dans le noir. C'est pour cela qu'il décide d'y sortir pour se rendre chez Rasseneur.. Mais voila, qui c'est qui se trouve chez lui Chaval. Il ne manquait plus que sa. Les deux se battent comme des "gamins" Vous verrez que cette fois si ils ne si prennent pas de main morte Catherine a peur. Étienne par donc avec elle. Que vont-il faire? suspense Et voila c la séparation Etienne lui a proposer de s'installer avec lui mais elle a refuser. En repartant Etienne croise une personne Vous vous demandez qui ? Je peux vous dire que cette personne va
tuer un soldat sans aucune raison parce qu'il "en avait envie ".
A mort les Borains!
Les mineurs sont près a se défendre et ne pas se laisser prendre leur travail par les Borains. Enervé ils partent donc et s'échappent du contrôle d'Etienne. Ils vont donc au Voreux mais malheureusement gardé par des militaires. Comment vont -ils faire pour rentrer? Ils vont devoir y pénétrer par la force mais cela ne se passe pas comme prévu et les militaires se trouvent dans l'obligations de faire feu. C'est le désastre vingt cinq blessés et quatorze morts
On voit bien que cette sixième partie est beaucoup plus violente que les autres partie. Beaucoup de personnes sont mortes et la misère règne toujours. Comment
vont-ils s'en sortir? c'est a vous d'ouvrir vos livres et de voir ce qu'il se passe
Je vous souhaite donc une très bonne lectures a a bientôt pour un nouvelle article
journaliste, Alexia
Lecture & Culture
La semaine dernière la rébellion était la et tout le monde était prêt a se battre mais cette partie la vire au n'importe quoi vous verrez par vous même. Vous pouvez banir tout vocabulaire délicat.
La grève s'empire, la faim et le froid sont encore plus dur à supporter. Etienne qui "iberne" et qui se cloître avec Jeanlin. La situation chez les Maheu devient abominable. Ils viennent juste de perdre leur fille Alzire qui est morte à cause de la faim. que vont'ils devenir? Etienne qui laisse la vie sauve à Chaval? En effet, une bagarre a encore éclaté entre avec Etienne qui a pris le dessus et pourtant lui à laissez la vie sauve. Catherine et Etienne des liens rompues ? Etienne lui propose de l'héberger mais cette dernière refuse.
Un désastre fatal ? Rien ne va plus le feu des militaires est ouvert. Des morts? des blessés?
Oui en effet cette article est très court mais je préfère ne pas vous en dire plus pour ne pas gâcher le suspense.....
Alors installer et surtout accrochez vous bien car cette partie est vive en sensation forte est en action.Je vous dis a la semaine prochain article critique.
Rédactrice en chef Ophélie Crouzier
Chers lecteurs et chères lectrices,
Aujourd'hui comme chaque semaine depuis un moi, Germinal était le livre le plus vendu, mais cela a radicalement changé dès la V partie. Et ce, à cause d' Etienne !! Il est en fuite durant cette VI ème partie!
Catastrophes et cachette!
Etienne qui était devenu comme un chef pour les mineurs est maintenant plus bas que terre! Et c'est peu dire! Il doit se cacher dans le terrier de Jeanlin pour éviter la colère des mineurs! C'est vrai qu'il faut avouer qu'à sa place nous aurions pas pu faire grand chose mais tout de même, de là à se cacher avec un assassin! Oui vous m'avez bien lu, Jeanlin, un assassin, il a enfoncé son couteau dans la gorge d'un soldat et sans remord en plus !! Nous aurions jamais pensé cela de lui, moi-même j'ai été déçue par ce voyou, voleur par dessus le marché! En parlant des Maheu, ils ne sont pas gâtés, eux qui ont travaillé plus d'un siècle pour la Compagnie, leur petite fille Alzire meurt de faim. C'est une fin atroce et le désespoir est à son comble pour cette famille!
Nouvelle bataille : quelle fin pour celle-ci??
Catherine et Chaval pénètrent dans L'Avantage et ce dernier annonce qu'il reprend le travail le lendemain au Voreux, avec douze autres belges. Etienne ne supportant plus Chaval, débute une bataille. Etienne le domine! Il lui laisse la vie sauve, étant bon et mettant sa fierté de coté!... Prend garde Chaval !
Par ailleurs Etienne proposa à Catherine de s'installer avec lui ! Notre héro vient tout juste de mettre sa fierté de côté, de prendre son courage à deux mains... et cette Catherine REFUSE!! Vous devez être effondrées chères lectrices, je sais, et encore, vous n'êtes pas aux bouts de vos peines vous le verrez par la suite...!
lutte finale
Des étrangers, des Borains veulent profiter de l'absence des mineurs et de leur grève?! De quel droit osent ils ?! -->Un scandale éclate à l'entrée du Voreux, avec des mineurs excédés. Craignant rien, pas même les militaires armés, ils n'ont rien a perdre...ou pas. Et leur vie bon sang?! C'est le désastre : 25 blessés et 14 morts! Qui sera blessé ou pire... mort?!
Vous l'aurez compris, entre fuite, bataille, amour, trahison, scandale et désastre, ce sera la suite dans le prochaine article, la semaine prochaine !
Alors restez avec nous et soyez nombreux!
A bientôt.
Un héros lâche.
Note attribuée : ★★☆☆☆
Chers lecteurs, laissez-moi vous parler de mes ressentis sur cette sixième partie de Germinal.
Après une lecture agréable des trois premières parties de Germinal, je dois vous avouer que les trois dernières étaient bien moins convaincantes.
Cette sixième partie en particulier m’a terriblement déçue! Je crois qu’une nouvelle fois, notre « héros » Etienne a reperdu son rôle de personnage principal. En effet, lorsqu’il est recherché par les soldats, il fuit comme un lâche plutôt que de les affronter auprès de ses camarades. Il se cache donc sous terre, telle une taupe. Pendant son moment de solitude dans la mine, il a le temps de repenser à la situation. Voilà qu’il a peur. Il a peur que toute cette histoire lui retombe dessus et il pense que la grève va échouer ! Un héros n’a pas peur, un héros garde espoir, un héros est optimiste ou tout du moins essaie de nous convaincre qu’il l’est, un héros n’abandonne jamais...
J’ai aussi trouvé les descriptions de cette partie bien trop longues, malgré le fait qu’elles soient comme toujours très bien écrites. Elles ont donc laissé, selon moi, trop peu de place à l’action et aux péripéties.
Pour en finir avec les points négatifs, j’ai été également extrêmement frustrée de la mort si soudaine de Maheu auquel on ne pouvait que s’attacher. Alors qu’il fait partie des personnages les plus importants de l’histoire, il meurt brutalement, fusillé par les soldats qui tiraient dans la foule de mineurs afin de les calmer. Bien que celle-ci soit brutale, je pense quand même que cette mort représente assez bien la fin de l’espoir et l’échec de la grève. Plusieurs de ses camarades meurent d’ailleurs aussi: Azire, Bébert, Lydie, la Mouquette, Mouquet et la Brûlé. Mais lui est tué un moment après les autres, alors que les mineurs ont retrouvé le silence, ce qui montre que Maheu est bien un symbole important de la grève.
S’il y a une chose que j’ai aimée dans cette partie, c’est le fait de Catherine, ayant pris le parti d’Etienne lors d’une bataille entre Chaval et lui, ne puisse plus rester avec Chaval. L’histoire que nous attendons tous depuis le commencement, entre Etienne et Catherine, pourrait donc enfin avoir lieu ! Peut-être... Car Etienne nous a déjà tellement déçus...
Dans la prochaine partie,
Que deviendra Etienne ? Réussira-t-il à nous convaincre qu’il mérite son titre de héros? Laissera-t-il enfin place à ses sentiments pour Catherine ?
Je suis curieuse de lire la dernière partie de Germinal qui sera décisive dans mon avis sur cette œuvre. J’espère donc que vous serez nombreux à lire le septième et dernier article sur Germinal et je vous dis donc à la semaine prochaine !
Colère et Terreur
Germinal de Zola 6ème partie
Notation : ★★★☆☆
En lisant cette 6ème partie vous serez plongés dans un univers noir et mortuaire. Aucune gaité ne sera au rendez-vous.
Noir total
Etienne chef des grévistes est recherché, il a peur, se cache pour ne pas être retrouvé. Il passe ses journées ses nuits dans la mine, dans le noir. Cette cachette c’est sa tombe de quelques jours dans laquelle il se tait, ne bouge pas, seul son cerveau travaille. Il cherche des solutions pour éviter que les Belges descendent travailler dans la mine. Malgré tout ce silence de mort il finit par sortir de son trou lorsque qu’il apprend que les troupes le recherchent en Belgique.
Querelles de voisinage
Les Mineurs meurent à petit feu, ils s’éteignent, la nourriture manque de plus en plus et les plus jeunes tombent malade. Le soir plus aucunes lumières de feu de bois éveillent le coron tous vivent dans le noir, le froid et la tristesse. Cependant il y a toujours les disputent entre voisins qui réveil tout ce monde endormi. Seulement ces disputes ne sont pas banal, elles sont toujours sur le sujet de qui trompe son mari et avec qui ? Ainsi, le langage devient très vulgaire et parfois très surprenant « Et, chez toi qu’est-ce qu’il te la paie, ta femme, le monsieur qui est en train de lui user la peau ? ».
Zola est un pervers ! C’est le seul mot qui puisse me venir à l’esprit pour le décrire
Combats
Rien ne va plus, alors qu’Etienne discute paisiblement avec les Rasseneur, Chaval entre sans frapper ivre. Il souhaite savoir qui l’a traité de mouchard. Tous deux se lancent dans un combat effréné. La guerre est déclarée entre Chaval et Etienne. Le salon des Rasseneur se transforme en un éclair en champs de bataille. Chaval va même jusqu’à sortir un couteau mais Catherine prise de panique prévient Etienne qui immobilisa Chaval au sol. Il n’avait plus qu’à lui trancher la gorge mais Etienne préféra le laisser partir. Catherine prise entre les deux décide de rester avec Etienne mais faute de logement elle se résilie à dormir chez Chaval. Tout redevenait calme, paisible. Mais une idée turlupinait dans la tête de Jeanlin qui vagabondait dans la nuit. Tout d’un coup, Etienne le vit sauter sur le petit soldat qui tomba mort le couteau planté dans sa gorge, c’était Jule avec qui il avait discuté la veille. Jeanlin venait de tuer un homme sans savoir pourquoi il l’avait fait. Etienne était fou. Il décide de le placer dans un recoin de la mine pour que personne ne puisse le retrouver. C’est alors que nous lecteurs, sommes envahis d’un sentiment affreux, la mine devient une véritable tombe, ce n’est plus une idée mais bien une réalité. Les mineurs étaient donc en train de creuser une tombe géante, un cimetière.
Un combat sans merci
La foule est hors d’elle à Requillard et elle s’accroit de plus en plus. Tous, sont là pour défendre leurs droits et interdire aux Borains de descendre dans la mine. Les mineurs obligent même les soldats à reculer contre le mur en criant « tuez-nous, tuez-nous donc ! ». Mais s’en était assez, Négrel ordonna aux soldats de charger leurs fusils, et fit des prisonniers. Alors les mineurs se mirent à lancer des briques. Le combat acharné fut stoppé net par les coups de fusils, les soldats avaient tiré dans la foule. Les soldats sont comparables à des robots ils sont tous formatés et doivent obéir au doigt et à la lettre, ils sont télécommandés par leur chef. Ce combat terrible se termina par des cadavres inertes, allongés sur le sol et des blessés qui hurlaient de douleur. Qui avait été touché ? Ceux qui restent comment réagissent-ils ?
Malgré toutes ces images morbides et obscures, je vous souhaite une bonne lecture à tous et vous donne rendez-vous à la semaine prochaine pour la parution de l’article sur la 7ème et dernière partie.
Colère et Terreur
Germinal de Zola 6ème partie
Notation : ★★★☆☆
En lisant cette 6ème partie vous serez plongés dans un univers noir et mortuaire. Aucune gaité ne sera au rendez-vous.
Noir total
Etienne chef des grévistes est recherché, il a peur, se cache pour ne pas être retrouvé. Il passe ses journées ses nuits dans la mine, dans le noir. Cette cachette c’est sa tombe de quelques jours dans laquelle il se tait, ne bouge pas, seul son cerveau travaille. Il cherche des solutions pour éviter que les Belges descendent travailler dans la mine. Malgré tout ce silence de mort il finit par sortir de son trou lorsque qu’il apprend que les troupes le recherchent en Belgique.
Querelles de voisinage
Les Mineurs meurent à petit feu, ils s’éteignent, la nourriture manque de plus en plus et les plus jeunes tombent malade. Le soir plus aucunes lumières de feu de bois éveillent le coron tous vivent dans le noir, le froid et la tristesse. Cependant il y a toujours les disputent entre voisins qui réveil tout ce monde endormi. Seulement ces disputes ne sont pas banal, elles sont toujours sur le sujet de qui trompe son mari et avec qui ? Ainsi, le langage devient très vulgaire et parfois très surprenant « Et, chez toi qu’est-ce qu’il te la paie, ta femme, le monsieur qui est en train de lui user la peau ? ».
Zola est un pervers ! C’est le seul mot qui puisse me venir à l’esprit pour le décrire
Combats
Rien ne va plus, alors qu’Etienne discute paisiblement avec les Rasseneur, Chaval entre sans frapper ivre. Il souhaite savoir qui l’a traité de mouchard. Tous deux se lancent dans un combat effréné. La guerre est déclarée entre Chaval et Etienne. Le salon des Rasseneur se transforme en un éclair en champs de bataille. Chaval va même jusqu’à sortir un couteau mais Catherine prise de panique prévient Etienne qui immobilisa Chaval au sol. Il n’avait plus qu’à lui trancher la gorge mais Etienne préféra le laisser partir. Catherine prise entre les deux décide de rester avec Etienne mais faute de logement elle se résilie à dormir chez Chaval. Tout redevenait calme, paisible. Mais une idée turlupinait dans la tête de Jeanlin qui vagabondait dans la nuit. Tout d’un coup, Etienne le vit sauter sur le petit soldat qui tomba mort le couteau planté dans sa gorge, c’était Jule avec qui il avait discuté la veille. Jeanlin venait de tuer un homme sans savoir pourquoi il l’avait fait. Etienne était fou. Il décide de le placer dans un recoin de la mine pour que personne ne puisse le retrouver. C’est alors que nous lecteurs, sommes envahis d’un sentiment affreux, la mine devient une véritable tombe, ce n’est plus une idée mais bien une réalité. Les mineurs étaient donc en train de creuser une tombe géante, un cimetière.
Un combat sans merci
La foule est hors d’elle à Requillard et elle s’accroit de plus en plus. Tous, sont là pour défendre leurs droits et interdire aux Borains de descendre dans la mine. Les mineurs obligent même les soldats à reculer contre le mur en criant « tuez-nous, tuez-nous donc ! ». Mais s’en était assez, Négrel ordonna aux soldats de charger leurs fusils, et fit des prisonniers. Alors les mineurs se mirent à lancer des briques. Le combat acharné fut stoppé net par les coups de fusils, les soldats avaient tiré dans la foule. Les soldats sont comparables à des robots ils sont tous formatés et doivent obéir au doigt et à la lettre, ils sont télécommandés par leur chef. Ce combat terrible se termina par des cadavres inertes, allongés sur le sol et des blessés qui hurlaient de douleur. Qui avait été touché ? Ceux qui restent comment réagissent-ils ?
Malgré toutes ces images morbides et obscures, je vous souhaite une bonne lecture à tous et vous donne rendez-vous à la semaine prochaine pour la parution de l’article sur la 7ème et dernière partie.
Germinal, preneur de vies.
En effet, dans cette sixième partie, nous, les lecteurs, sommes accablés de tout le désespoir, toute la misère présent dans cette partie. La faucheuse fait son arrivée au Voreux, nous attendions tous cela n'est-ce pas ? Et bien voila, le massacre est fait : La cruauté, la violence de ce chapitre nous touche en plein coeur, nous foudroie sur notre canapé : on s' y croit, on y est, on assiste littéralement à la fusillade, et on meurt avec les personnages pour revenire dans le monde réel. Cette partie est en quelque sorte l'apogée de ce livre pour ma part. Il frappe le lecteur en plein coeur, nous étions déjà attristé de la misère des mineurs, nous compatissions, mais cette partie est le coup final. Les personnages auxquels on s'était attaché meurent, la misère ne se fait que plus forte, tout le désespoir se fait rmagnifiquement bien ressentir dans cette partie, même le temps est de la partie : on l'imagine, gris, sombre, prêt à foudroyer n'importe qui osant sortir de chez lui. Cette partie se lit très vite et aisément, je vous conesille de la dévorer et de vous immiscer dans ce monde pleins de douleurs qu'est celui de Germinal. Bonne lecture !
Un héros lâche.
Note attribuée : ★★☆☆☆
Chers lecteurs, laissez-moi vous parler de mes ressentis sur cette sixième partie de Germinal.
Après une lecture agréable des trois premières parties de Germinal, je dois vous avouer que les trois dernières étaient bien moins convaincantes.
Cette sixième partie en particulier m’a terriblement déçue! Je crois qu’une nouvelle fois, notre « héros » Etienne a reperdu son rôle de personnage principal. En effet, lorsqu’il est recherché par les soldats, il fuit comme un lâche plutôt que de les affronter auprès de ses camarades. Il se cache donc sous terre, telle une taupe. Pendant son moment de solitude dans la mine, il a le temps de repenser à la situation. Voilà qu’il a peur. Il a peur que toute cette histoire lui retombe dessus et il pense que la grève va échouer ! Un héros n’a pas peur, un héros garde espoir, un héros est optimiste ou tout du moins essaie de nous convaincre qu’il l’est, un héros n’abandonne jamais...
J’ai aussi trouvé les descriptions de cette partie bien trop longues, malgré le fait qu’elles soient comme toujours très bien écrites. Elles ont donc laissé, selon moi, trop peu de place à l’action et aux péripéties.
Pour finir de parler des points négatifs, j’ai été également extrêmement frustrée de la mort si soudaine de Maheu auquel on ne pouvait que s’attacher. Alors qu’il fait partie des personnages les plus importants de l’histoire, il meurt brutalement, fusillé par les soldats qui tiraient dans la foule de mineurs afin de les calmer. Bien que celle-ci soit brutale, je pense quand même que cette mort représente assez bien la fin de l’espoir et l’échec de la grève.
Plusieurs de ses camarades meurent d’ailleurs aussi: Azire, Bébert, Lydie, la Mouquette, Mouquet et la Brûlé. Mais lui est tué un moment après les autres, alors que les mineurs ont retrouvé le silence, ce qui montre que Maheu est bien un symbole important de la grève.
S’il y a une chose que j’ai aimée dans cette partie, c’est le fait de Catherine, ayant pris le parti d’Etienne lors d’une bataille entre Chaval et lui, ne puisse plus rester avec Chaval. L’histoire que nous attendons tous depuis le commencement, entre Etienne et Catherine, pourrait donc enfin avoir lieu ! Peut-être... Car Etienne nous a déjà tellement déçus...
Dans la prochaine partie,
Que deviendra Etienne ? Réussira-t-il à nous convaincre qu’il mérite son titre de héros? Laissera-t-il enfin place à ses sentiments pour Catherine ?
Je suis curieuse de lire la dernière partie de Germinal qui sera décisive dans mon avis sur cette œuvre. J’espère donc que vous serez nombreux à lire le septième et dernier article sur Germinal et je vous dis donc à la semaine prochaine !
La rage avant tout !
Aujourd’hui, je vous fais part de mon article sur la 4ème partie de Germinal.
Je ne vais faire que confirmer mes propos concernant la violence, l’agressivité et même la bestialité des mineurs, que j’ai évoqué dans le cinquième article.
Animosité à chaque coin de rue
Dans cette partie, les mineurs s’entretuent et se battent entre eux tels des lions féroces dominés par la faim et la peur de mourir. Ils se tapent dessus, jusqu'à saigner et même mourir. Anciens camarades, aujourd’hui devenus ennemis, du fait de la misère et de la trahison.
Ils en arrivent même à se sacrifier et se jeter devant les officiers armés, devant la mort pour en finir avec cette misère et cet enfer.
Une guerre de clans et aussi présente dans cette partie. Une guerre, entre les chefs et officiers et les mineurs, horrible et très sanglante, qui causa la mort de nombreux ouvriers dont Maheu.
Mais qui a envie de lire un livre dominé par le sang, la bagarre et la mort !!
La violence n’est cependant pas que physique mais aussi verbale. Les mineurs sont très agressifs entre eux et surtout envers les bourgeois, ils expriment ainsi leur colère et leur mécontentement.
De plus, Etienne est plus lâche que jamais dans cette partie. Il se cache sans rien dire aux mineurs qui le croient partie. Puis, dès son retour, il décide de tout arrêter, de mettre fin à la grève et de retourner travailler après tant de mois de souffrance pour rien. Etienne est donc trouillard et dégonflé de laisser les mineurs ainsi sans continuer de se battre comme il l’a promis avant la grève.
Les Coron et les mineurs se transforment et deviennent des monstres.
Voilà tout pour aujourd’hui, à la semaine prochaine pour le dernier article de Germinal et pour découvrir le sort du Coron.
Note : 3/10
Rébellion
Misère, froid et famine
Chers lecteurs, bienvenue à la critique de la sixième partie de Germinal. Voici l'une des parties les plus intéressantes de ce livre.
La grève s'éternise. Deneulin a fait faillite avec la mine et il est ruiné et ça n'est pas vraiment une grosse déception pour nous. Pendant ce temps Etienne, considéré comme le chef des gréviste est recherché mais au lieu d'affronter les troupes avec les mineurs, il décide d'aller ce cacher. Je commence à me demander si il veut vraiment aider les mineurs, Zola nous écrivait que les mineurs auraient donné leur vie pour leur cause mais ça n'est pas vraiment l'impression que j'ai pour l'instant. Les habitants du coron meurent de froid et de faim, la mine est en très mauvaise état faute de mineur. Certains mineurs sont soutenues financièrement par leurs supérieurs. Alzire tombe malade. Cette petite finira par mourir de faim. Les mineurs, eux, se disputent violemment pour se défouler. Une situation critique qui n'arrête pas d'empirer c'est à ce demander si ça va changer un jour.
Les mineurs, malgré leur entêtement ont perdu cette bataille et Rasseneur ne manque pas de le rappeler à Etienne. Chaval entre chez Rasseneur, ivre et interrompt la conversation entre lui et Etienne mais la situation dégénère Chaval refuse de ramener Catherine qui a prit le parti d'Etienne. Encore une fois Catherine change de camp on se sait même pas si on peut lui faire confiance.
Personne n'est épargné par la misère elle atteint les pauvres comme les riches. On ne sait plus où donner de la tête entre la Maheude qui préfère mourir plutôt que de continuer à vivre ainsi, la mort d'un soldat causer par Jeanlin, la bagarre entre Etienne et Chaval mais aussi Catherine qui ne sait plus quoi faire, ni dans quel camp aller. On se demande qui sera le prochain à mourir. C'est la crise.
Cette partie est une vraie réussite, riche en suspens mais il reste encore un peu trop de descriptions, on arait aimé que Catherine prenne une décision qu'Etienne se comporte en véritable héros et affronte les soldat et aussi que la situation s'améliore pour les mineurs.
Note: 4/5
Voilà, c'est déjà la fin de cette critique mais nous nous retrouvons la semaine prochaine pour la septième et dernière partie de Germinal.
Bonne lecture et à la semaine prochaine!!
La révolution se transforme en catastrophe
La cinquième partie était pleine d'actions. Nous avons pu être au plus prêt des actions menées par les mineurs pour la lutte contre le pouvoir capitaliste. Cependant cette partie, elle, va laisser des traces qui ne pourront pas être effacées de la mémoires des mineurs. La grève s'éternisait, Deneulin avait fait faillite avec sa mine et il était ruiné, Etienne, considéré chef des grévistes, était recherché, et des soldats surveillaient les corons. Vandame fut rachetée par Montsou. Etienne avait eu l'idée d'aller se cacher dans la mine où il avait trouvé Jeanlin. Les jours et les nuits passaient sans qu'il ne s'en rende compte, et ses idées se bousculaient dans sa tête, il pensait que la défaite était proche, malgré les informations qu'il recevait et qui l'informait de la dégradation des mines, faute de mineurs. Lorsqu'on l'informa que les troupes le cherchaient en Belgique, il se mit à sortir la nuit pour se changer les idées. Ce sont les mineurs qui ont fais des dégâts dans les mines avoisinantes mais c'est Etienne qui doit se cacher des gendarmes. C'est le monde à l'envers !
La misère à pris le dessus, le froid et la faim mettaient de la tension entre les habitants du coron. Des histoires éclataient, on se disputait violemment pour se défouler. C'est ainsi qu'au cours d'une de leur dispute, Maheu et les Levaque furent amenés à surprendre la Pierrone au lit avec Dansaert. Ils comprirent que les Pierron étaient soutenus financièrement par leurs supérieurs. De son côté la Maheude veillait Alzire qui, dans ces conditions, était tombée malade. En attendant le médecin, Etienne vint et tenta d'expliquer que des nouveaux accords pouvaient être trouvés, car les mines s'abîmaient. Quand le médecin arriva, Alzire poussa son dernier souffle : elle était morte de faim. La situation était trop dur et la Maheude implora le Ciel : elle préférerait mourir que subir tout cela encore.
Même si nous avons du mal à le croire cet événement a été causé par Etienne et les mineurs et par un manque d'organisation de leurs parts, leurs actions révolutionnaires ont fais du mal aux personnes, qui eux, n'avaient absolument rien fais pour mériter de perdre un être proche. Nous aurons sans doute du mal à oublier ce triste événement jusqu'à la fin de cette partie.
Chaval, ivre, provoqua à nouveau Etienne et ils se mirent à se battre. Etienne prit l'avantage et ordonna à Chaval de fuir. Ce dernier refusa de ramener Catherine qui avait pris le parti d'Etienne. Mais pourquoi ? Pourquoi Zola nous donne cette information insignifiante de cette partie alors que des personnes meurent et souffre de la misère permanente ?
Etienne ne savait pas quoi faire de Catherine. Celle-ci le repoussa et rentra chez Chaval. En revenant au Réquillart, Etienne aperçut Jeanlin, qui, prit de fureur avait tué un soldat qui montait la garde. Il lui fit la morale, puis ensemble, ils cachèrent le corps dans l'ancienne mine où logeait Etienne. Lorsque celui-ci remonta à la surface, il se dirigea vers le Voreux où les grévistes attendaient l'arrivée des ouvriers belges pour leur barrer le passage. Plus tôt, Chaval était rentré peu de temps après elle et l'avait chassé de chez lui, elle avait passé la nuit dehors.Lorsque le signal retentit, les habitants du coron vinrent bloquer les entrées du Voreux. Mais les soldats étaient déjà. La foule rongée par la misère, était haineuse. Catherine observait la scène hébétée. Le conflit dégénéra. Ce fut l'ordre de trop et les femmes, en premier, lancèrent aux soldats des morceaux de briques. Peu à peu Catherine prit part au conflit. Les hommes se mirent eux aussi à lancer des briques, la tension était à son comble, personne ne pensait que les soldats tireraient. Mais eux aussi, pressés de toutes parts, blessés, maintenant leurs armes en joue, évacuèrent la pression et tirèrent. La foule s'éparpilla, laissant à terre, dans ce paysage morne, six victimes dont Maheu.
La mort et la misère ont pris le dessus dans cette partie, même si les histoires amoureuses entre Catherine, Chaval et Etienne m'ont assez déçu et je pense que Zola aurait pu ne pas les mettre !
Note : ★★★☆☆
Chers lecteurs et chères lectrices
Aujourd'hui comme chaque semaine depuis un moi, Germinal était le livre le plus vendu, mais cela a radicalement changé dès la V partie. Et ce, à cause d'Etienne!! Il est en fuite durant cette VI ème partie!
Catastrophes et cachette!
Etienne qui était devenu comme un chef pour les mineurs est maintenant plus bas que terre! Et c'est peu dire! Il doit se cacher dans le terrier de Jeanlin pour éviter la colère des mineurs! C'est vrai qu'il faut avouer qu'à sa place nous aurions pas pu faire grand chose mais tout de même, de la à se cacher avec un assassin! Oui vous m'avez bien lu, Jeanlin, un assassin, il a enfoncé son couteau dans la gorge d'un soldat et sans remord en plus !! Nous aurions jamais pensé cela de lui, moi-même j'ai été déçue par ce voyou, voleur par dessus le marché! En parlant des Maheu, ils ne sont pas gâtés, eux qui ont travaillé plus d'un siècle pour la Compagnie, leur petite fille Alzire meurt de faim. C'est une fin atroce et le désespoir est à son comble pour cette famille!
Nouvelle bataille : quelle fin pour celle-ci??
Catherine et Chaval pénètrent dans L'Avantage et ce dernier annonce qu'il reprend le travail le lendemain au Voreux, avec douze autres belges. Etienne ne supportant plus Chaval,débute une bataille. Etienne le domine! Il lui laisse la vie sauve, étant bon et mettant sa fierté de coté!... Prend garde Chaval !
Par ailleurs Etienne proposa à Catherine de s'installer avec lui ! Notre héro vient tout juste de mettre sa fierté de côté, de prendre son courage à deux mains... et cette Catherine REFUSE!! Vous devez être effondrées chères lectrices, je sais, et encore, vous n'êtes pas aux bouts de vos peines vous le verrez par la suite...!
lutte finale
Des étrangers, des Borains veulent profiter de l'absence des mineurs et de leur grève?! De quel droit osent ils ?! -->Un scandale éclate à l'entrée du Voreux, avec des mineurs excédés. Ne craingnant rien, pas même les militaires armés, ils n'ont rien a perdre...ou pas. Et leur vie bon sang?! C'est le désastre : 25 blessés et 14 morts! Qui sera blessé ou pire... mort?!
Vous l'aurez compris, entre fuite, bataille, amour, trahison,scandale et désastre, ce sera la suite dans le prochaine article, la semaine prochaine.
Alors restez avec nous et soyez nombreux!
A bientôt.
Encore bonjour cher lecteurs, lectrices ! Aujourd’hui, toujours dans germinal nous nous intéressons à la 6em partie dans AVIS DE LECTEURS !
Tous d’abord cette partie est une « Révélation », ce livre devient un « livre » et non une « berceuse » nous découvrons enfin le caractère de chacun et nous voyons qui a le plus de ressources et qui ne survivra pas à cette « ultime » étape j’ai presque envie de dire. Oui, cette partie réside de la force physique et des ressources … La force physique intervient durant une bataille de mercenaire qui a éclaté, ENFIN, contre ce traitre de Chaval et le nouveaux Etienne. Qui sera le vainqueur et qui obtiendra enfin l’amour de Catherine bouleversée par tous ces évènements, aura-t-elle un faible pour le vainqueur ou de la pitié pour le perdant amoché… C’est à vous de le découvrir !
Dans cette partie comme dans la cinquième d’ailleurs, les femmes sont révoltées ! C’est même elles qui entraine la rage du peuple et surtout leurs maris. Mais jusqu’où vont-elles aller ?!
Cette partie est pleine de suspense et surtout pleine d’action ! Je vous laisse la découvrir si vous avez le courage d’affronter ces lignes déchainées.
Encore bonjour cher lecteurs, lectrices ! Aujourd’hui, toujours dans germinal nous nous intéressons à la 6em partie dans AVIS DE LECTEURS !
Tous d’abord cette partie est une « Révélation », ce livre devient un « livre » et non une « berceuse » nous découvrons enfin le caractère de chacun et nous voyons qui a le plus de ressources et qui ne survivra pas à cette « ultime » étape j’ai presque envie de dire. Oui, cette partie réside de la force physique et des ressources … La force physique intervient durant une bataille de mercenaire qui a éclaté, ENFIN, contre ce traitre de Chaval et le nouveaux Etienne. Qui sera le vainqueur et qui obtiendra enfin l’amour de Catherine bouleversée par tous ces évènements, aura-t-elle un faible pour le vainqueur ou de la pitié pour le perdant amoché… C’est à vous de le découvrir !
Dans cette partie comme dans la cinquième d’ailleurs, les femmes sont révoltées ! C’est même elles qui entraine la rage du peuple et surtout leurs maris. Mais jusqu’où vont-elles aller ?!
Cette partie est pleine de suspense et surtout pleine d’action ! Je vous laisse la découvrir si vous avez le courage d’affronter ces lignes déchainées.
…LA GREVE DE L’ENFER…
Voici la critique de la partie VI de Germinal d’Emile Zola. Dans cette partie on a souvent la larme à l’œil … Attention, il y a beaucoup de mort !!!
Après que Deneulin soit ruiné (oh le pauvre), Etienne, considéré chef des grévistes, est recherché, et des soldats surveillent les corons. Du coup le petit rat Etienne a l'idée d'aller se cacher dans le trou où il avait trouvé Jeanlin. Les jours passent et Etienne commence une grande réflexion qui dure quand même 7 pages et où on s’ennuie à mourir lors de ces pensées sur sa peut-être prochaine défaite. Lorsqu'on l'informe que les troupes le cherchent en Belgique, il sort de son trou de souris la nuit pour se changer les idées. Vous l’aurez compris le premier chapitre de la partie VI n’est pas très passionnant mais c’est surtout pour monter en puissance lors de la fin de cette partie.
Le moment le plus émouvant est surement la mort de la petite Alzire : la Maheude veillait sur Alzire qui, dans ces conditions, était tombée malade. Quand le médecin arriva, Alzire poussa son dernier souffle : elle était morte de faim. J’ai failli pleurer pour cette pauvre petite, vous ne serez pas indifférent lors de son décès. C’est l’injustice de la pauvreté.
Etienne va ensuite chez Rasseneur ou il parle de la grève quand Chaval arrive, ivre, avec Catherine. Chaval provoque à nouveau Etienne et ils se battent encore. Mais là lecteur, nous sommes étonnés de lire que Etienne prend l’avantage ! Ensuite Chaval est humilié et s’en va. Mais la pauvre Catherine se retrouve une fois de plus abandonnée par le terrible Chaval, on en peut plus de lui, mais quand Etienne va-t-il s’en débarrasser ?
On observe une petite histoire d’amour entre Lydie et Bébert qui se sont rapprochés, malgré les menaces de Jeanlin. Une petite pointe de romantisme qui rafraichit la partie VI mais on se rend bien compte, lecteur, que c’est voué à l’échec. C’est un petit moment émotion triste aussi.
Et enfin vient la manifestation, l’affreux moment ou tous les ouvriers viennent se révolter, et crier leur colère, leur rage dans la rue, devant les soldats, sans gène en se moquant d’eux, en les provoquant …. La foule rongée par la misère, est haineuse. Le conflit dégénère et on a le droit à une des scènes les plus symboliques et violentes du livre : les femmes, en premier, lancent aux soldats des morceaux de briques puis les hommes, la tension est à son comble, on est stressé pour les mineurs car personne ne pense que les soldats vont tirer. Mais eux aussi, pressés de toutes parts, blessés, maintenant tirent et Bébert, Lydie, la Brûlé, la Mouquette, Mouquet et Maheu meurent sous les balles. Cette scène est particulièrement triste, émouvante et surtout on ne s’y attend pas du tout. Tout n’est que désolation et misère … Leur démence a mené au meurtre de deux enfants qui font vaguement penser à la mort de Gavroche dans « les Misérables ». En tout les cas, quand on a lu cette partie, on en ressort pas indemne.
Voila c’était la critique de la partie VI, l’une des parties les plus tristes de tout le livre. J’espère qu’elle vous aura plu ! A la semaine prochaine pour le dernier article sur la partie VII de Germinal ! A bientôt !
Lâcheté et immoralité
Chers lecteurs, nous nous retrouvons une fois de plus pour analyser le roman Germinal, de Zola, considéré par beaucoup comme un chef-d’œuvre. Ce n’est franchement pas mon avis, qui se trouve renforcé après avoir lu cette VIème partie.
Un personnage principal lâche et vaniteux
Vous vous souvenez surement du mépris que l’on a éprouvé pour Chaval, dans la partie précédente, lors de sa trahison. Vous le ressentirez une fois de plus, mais pour Etienne, cette fois-ci. Comment lui, qui a mis le feu aux poudres, ose-t-il se cacher au fond d’un trou, bien nourri, alors que tout va mal pour ses camarades ? Comment peut-il se rendre chez les Maheu, qui meurent de faim, en leur disant de renoncer à la grève ? De plus, il avoue lui-même ressentir un sentiment de supériorité par rapport aux autres mineurs. Etienne devient encore plus proche des bourgeois et nous dégoûte. N’a-t-il honte de rien ?
Commérages et violences inutiles
Vous pensiez ne pas pouvoir être encore plus exaspéré par les femmes du coron ? Si c’est le cas vous vous trompiez ! Dans cette partie, les hommes vont jusqu’à se battre à cause des ragots inutiles de leurs femmes. A cause de toute cette agressivité superflue, les grévistes se désunissent… Sont-ils ignorants au point de ne pas se rendre compte de qui est le leur véritable ennemi, la Compagnie ?
Des coupables idéaux mais innocents
Le pire dans cette partie, est peut-être le besoin des mineurs de trouver un coupable. Ils cherchent un coupable qu’ils pourront facilement punir, facilement atteindre. Ainsi, tous les maux des ouvriers désespérés retombent sur les ouvriers belges embauchés par la Compagnie. Vous serez agacé par cette nécessité de faire du mal, de punir quelqu’un d’inconnu qui n’est pas responsable. Car, après tout, ces étrangers n’ont rien fait de mal ! Ils ont juste accepté un travail. Et pour cela, les grévistes, aveuglés par la haine, sont prêts à les assassiner sans un remord ! Une fois de plus, vous serez découragé par leur manque de compréhension et de discernement.
Si malgré tout, vous ressentez le courage de lire la fin de ce livre, rendez-vous dans mon prochain article.
Chez lecteurs,
Aujourd'hui je reviens pour vous parlez de la partie 6 de germinal. Que dire que dire, à part que tout devient de plus en plus sombre et horrible.
Le comble de L'Horreur
Etienne qui était devenu comme un chef pour les mineurs est maintenant plus bas que terre! Et c'est peu dire! Il doit se cacher dans le terrier de Jeanlin pour éviter la colère des mineurs! C'est vrai qu'il faut avouer qu'à sa place nous aurions pas pu faire grand chose mais tout de même, de là à se cacher avec un assassin! Oui vous'avez bien lu, Jeanlin, un assassin, il a enfoncé son couteau dans la gorge d'un soldat et sans remord en plus !! Nous aurions jamais pensé cela de lui, moi-même j'ai été déçue par ce voyou, voleur par dessus le marché! En parlant des Maheu, ils ne sont pas gâtés, eux qui ont travaillé plus d'un siècle pour la Compagnie, leur petite fille Alzire meurt de faim. C'est une fin atroce et le désespoir est à son comble pour cette famille!
le mot Amour banni de notre Vocabulaire
Ah oui.. Et vous vous souvenez de Catherine, d'Etienne et de Chaval ce trio infernale. Etienne qu'on pensait être une femme le voire dans cette nouvelle bagarre avec Chaval où devinez qui domine et oui ? ETIENNE SURPRISE ! Il nous parait fort robuste face à ce "monstre" de CHAVAL. Les mots nous échappe pour parler de l'amour de Catherine pour Etienne comme elle qui l'esquive, qui esquive sa demande lisez et vous serez laquelle. Je vous dirait que l'amour, les sentiments dans une tel situation sa n'existe plus, elle est remplacer par la rage, la colère et l'angoisse qui serait notre musique de fond.
Vous l'aurez compris, entre fuite, bataille, amour, trahison, scandale et désastre, ce sera la suite dans le prochaine article, la semaine prochaine.
Germinal, Sixième partie
Cette partie est intéressante grâce à cette grève qui met de l'action. Les miniers continu à maintenir cette grève malgré la famine qui a déjà fait une victime : Alzire.
La grève ne fait que de s'empirer, Étienne n'est plus le chef, il n'en peut plus du mécontentement des mineurs. Étienne vit toujours chez jeanlin. Les mineurs se réunissent pour contester l'arrivée des borains, les borains sont des étranger qui vont travailler dans les mines pour combattre contre les grévistes. L'entrée pour accéder au Voreux était gardée par des militaires, la foule qui tenta d'avancer obliga les militaires a tirer comme dernier recours, ce qui tua et blessa beaucoup d'hommes.
Article critique sur la sixième partie de "Germinal" de Zola.
Note: 2/5
Chers lecteurs, chères lectrices dans cette sixième partie nous avons un livre qui reçoit quelques changements tels que le retournement de veste d'Etienne, la mort...
Grève, grève et encore grève...
Tout d'abord, je vous préviens cette sixième partie est triste, il n'y a pratiquement aucune "touche" de gaieté.
Les propriétaires de la mine font appellent à des mineurs étrangers pour combattre la grève. Cette grève qui persiste depuis un certains temps engendre la faim et les mineurs doivent se battre pour survivre à la famine et au froid meurtrier. On sent qu'Etienne perd de plus en plus le contrôle de cette grève révolutionnaire qui prenait de plus en plus d’ampleur. De plus Alzire meurt. Tous les ouvriers se révoltent, montrent leurs colères et leurs haines envers les gens de la "haute société"
Tous cette partie répond de l'horreur. Etienne qui était présenté comme une forte tête, généreux et qui aidait les mineurs devient un lâche... Il se réfugie tranquillement chez des gens qui le logent et le nourrissent lorsque la grève devient trop difficile à gérer.
Dans cette sixième partie vous allez assister à des batailles entres les hommes.
Alors, chers lecteurs, chères lectrices courage si vous voulez continuez cette lectures, car qui sait ce qui vous attend ?!
A la prochaine fois pour l'article sur la septième partie de "Germinal".
Article critique sur la sixième partie de "Germinal" de Zola.
Note: 2/5
Chers lecteurs, chères lectrices dans cette sixième partie nous avons un livre qui reçoit quelques changements tels que le retournement de veste d'Etienne, la mort...
Grève, grève et encore grève...
Tout d'abord, je vous préviens cette sixième partie est triste, il n'y a pratiquement aucune "touche" de gaieté.
Les propriétaires de la mine font appellent à des mineurs étrangers pour combattre la grève. Cette grève qui persiste depuis un certains temps engendre la faim et les mineurs doivent se battre pour survivre à la famine et au froid meurtrier. On sent qu'Etienne perd de plus en plus le contrôle de cette grève révolutionnaire qui prenait de plus en plus d’ampleur. De plus Alzire meurt. Tous les ouvriers se révoltent, montrent leurs colères et leurs haines envers les gens de la "haute société"
Tous cette partie répond de l'horreur. Etienne qui était présenté comme une forte tête, généreux et qui aidait les mineurs devient un lâche... Il se réfugie tranquillement chez des gens qui le logent et le nourrissent lorsque la grève devient trop difficile à gérer.
Dans cette sixième partie vous allez assister à des batailles entres les hommes.
Alors, chers lecteurs, chères lectrices courage si vous voulez continuez cette lectures, car qui sait ce qui vous attend ?!
A la prochaine fois pour l'article sur la septième partie de "Germinal".
N° 6, 31 Aout 1885 Par le journaliste Antoine GAND
Mesdames, Monsieur, chers lecteurs, chères lectrices, voici le 6ème article sur Germinal, de Zola.
J’espère que vous avez signé ma pétition.
Le cas Zola s’aggrave !!!
Zola continue son massacre, il aggrave l’image de Jeanlin en lui fessant tuer un gendarme innocent, lui aussi c’est un travailleur, alors pourquoi le tuer.
Etienne ne contrôle vraiment plus rien, les mineurs, son amour pour Catherine, sa colère et sa faim.
On voit alors le héros qui est en Etienne disparaître encore une fois, j’en conclus donc que Zola n’arrive pas à organisé ses pensés : il change tout le temps d’avis, héros, pas héros, héros, pas héros.
Il faut qu’il fasse son choix !!!
Au delà de ça l’histoire avance bien, son but depuis le début était de détruire les Maheu, chose faites dans cette partie avec la mort d’Alzire et de Maheu.
Enfin Etienne ose s’expliquer avec Catherine, il montre une nouvelle fois sa supériorité vis-à-vis de Chaval mais à la grande surprise du lecteur Catherine choisi Chaval.
La fin de la partie est très violente, on retrouve la haine contre les bourgeois de la partie d’avant mais cette fois contre des ouvriers !!!
Le sort d’Etienne et des mineurs sera scellé dans la 7ème et dernière partie de Germinal.
N° 6, 31 Aout 1885 Par le journaliste Antoine GAND
Mesdames, Monsieur, chers lecteurs, chères lectrices, voici le 6ème article sur Germinal, de Zola.
J’espère que vous avez signé ma pétition.
Le cas Zola s’aggrave !!!
Zola continue son massacre, il aggrave l’image de Jeanlin en lui fessant tuer un gendarme innocent, lui aussi c’est un travailleur, alors pourquoi le tuer.
Etienne ne contrôle vraiment plus rien, les mineurs, son amour pour Catherine, sa colère et sa faim.
On voit alors le héros qui est en Etienne disparaître encore une fois, j’en conclus donc que Zola n’arrive pas à organisé ses pensés : il change tout le temps d’avis, héros, pas héros, héros, pas héros.
Il faut qu’il fasse son choix !!!
Au delà de ça l’histoire avance bien, son but depuis le début était de détruire les Maheu, chose faites dans cette partie avec la mort d’Alzire et de Maheu.
Enfin Etienne ose s’expliquer avec Catherine, il montre une nouvelle fois sa supériorité vis-à-vis de Chaval mais à la grande surprise du lecteur Catherine choisi Chaval.
La fin de la partie est très violente, on retrouve la haine contre les bourgeois de la partie d’avant mais cette fois contre des ouvriers !!!
Le sort d’Etienne et des mineurs sera scellé dans la 7ème et dernière partie de Germinal.
N° 6, 31 Aout 1885 Par le journaliste Antoine GAND
Mesdames, Monsieur, chers lecteurs, chères lectrices, voici le 6ème article sur Germinal, de Zola.
J’espère que vous avez signé ma pétition.
Le cas Zola s’aggrave !!!
Zola continue son massacre, il aggrave l’image de Jeanlin en lui fessant tuer un gendarme innocent, lui aussi c’est un travailleur, alors pourquoi le tuer.
Etienne ne contrôle vraiment plus rien, les mineurs, son amour pour Catherine, sa colère et sa faim.
On voit alors le héros qui est en Etienne disparaître encore une fois, j’en conclus donc que Zola n’arrive pas à organisé ses pensés : il change tout le temps d’avis, héros, pas héros, héros, pas héros.
Il faut qu’il fasse son choix !!!
Au delà de ça l’histoire avance bien, son but depuis le début était de détruire les Maheu, chose faites dans cette partie avec la mort d’Alzire et de Maheu.
Enfin Etienne ose s’expliquer avec Catherine, il montre une nouvelle fois sa supériorité vis-à-vis de Chaval mais à la grande surprise du lecteur Catherine choisi Chaval.
La fin de la partie est très violente, on retrouve la haine contre les bourgeois de la partie d’avant mais cette fois contre des ouvriers !!!
Le sort d’Etienne et des mineurs sera scellé dans la 7ème et dernière partie de Germinal.
N° 6, 31 Aout 1885 Par le journaliste Antoine GAND
Mesdames, Monsieur, chers lecteurs, chères lectrices, voici le 6ème article sur Germinal, de Zola.
J’espère que vous avez signé ma pétition.
Le cas Zola s’aggrave !!!
Zola continue son massacre, il aggrave l’image de Jeanlin en lui fessant tuer un gendarme innocent, lui aussi c’est un travailleur, alors pourquoi le tuer.
Etienne ne contrôle vraiment plus rien, les mineurs, son amour pour Catherine, sa colère et sa faim.
On voit alors le héros qui est en Etienne disparaître encore une fois, j’en conclus donc que Zola n’arrive pas à organisé ses pensés : il change tout le temps d’avis, héros, pas héros, héros, pas héros.
Il faut qu’il fasse son choix !!!
Au delà de ça l’histoire avance bien, son but depuis le début était de détruire les Maheu, chose faites dans cette partie avec la mort d’Alzire et de Maheu.
Enfin Etienne ose s’expliquer avec Catherine, il montre une nouvelle fois sa supériorité vis-à-vis de Chaval mais à la grande surprise du lecteur Catherine choisi Chaval.
La fin de la partie est très violente, on retrouve la haine contre les bourgeois de la partie d’avant mais cette fois contre des ouvriers !!!
Le sort d’Etienne et des mineurs sera scellé dans la 7ème et dernière partie de Germinal.
N° 6, 31 Aout 1885 Par le journaliste Antoine GAND
Mesdames, Monsieur, chers lecteurs, chères lectrices, voici le 6ème article sur Germinal, de Zola.
J’espère que vous avez signé ma pétition.
Le cas Zola s’aggrave !!!
Zola continue son massacre, il aggrave l’image de Jeanlin en lui fessant tuer un gendarme innocent, lui aussi c’est un travailleur, alors pourquoi le tuer.
Etienne ne contrôle vraiment plus rien, les mineurs, son amour pour Catherine, sa colère et sa faim.
On voit alors le héros qui est en Etienne disparaître encore une fois, j’en conclus donc que Zola n’arrive pas à organisé ses pensés : il change tout le temps d’avis, héros, pas héros, héros, pas héros.
Il faut qu’il fasse son choix !!!
Au delà de ça l’histoire avance bien, son but depuis le début était de détruire les Maheu, chose faites dans cette partie avec la mort d’Alzire et de Maheu.
Enfin Etienne ose s’expliquer avec Catherine, il montre une nouvelle fois sa supériorité vis-à-vis de Chaval mais à la grande surprise du lecteur Catherine choisi Chaval.
La fin de la partie est très violente, on retrouve la haine contre les bourgeois de la partie d’avant mais cette fois contre des ouvriers !!!
Le sort d’Etienne et des mineurs sera scellé dans la 7ème et dernière partie de Germinal.
N° 6, 31 Aout 1885 Par le journaliste Antoine GAND
Mesdames, Monsieur, chers lecteurs, chères lectrices, voici le 6ème article sur Germinal, de Zola.
J’espère que vous avez signé ma pétition.
Le cas Zola s’aggrave !!!
Zola continue son massacre, il aggrave l’image de Jeanlin en lui fessant tuer un gendarme innocent, lui aussi c’est un travailleur, alors pourquoi le tuer.
Etienne ne contrôle vraiment plus rien, les mineurs, son amour pour Catherine, sa colère et sa faim.
On voit alors le héros qui est en Etienne disparaître encore une fois, j’en conclus donc que Zola n’arrive pas à organisé ses pensés : il change tout le temps d’avis, héros, pas héros, héros, pas héros.
Il faut qu’il fasse son choix !!!
Au delà de ça l’histoire avance bien, son but depuis le début était de détruire les Maheu, chose faites dans cette partie avec la mort d’Alzire et de Maheu.
Enfin Etienne ose s’expliquer avec Catherine, il montre une nouvelle fois sa supériorité vis-à-vis de Chaval mais à la grande surprise du lecteur Catherine choisi Chaval.
La fin de la partie est très violente, on retrouve la haine contre les bourgeois de la partie d’avant mais cette fois contre des ouvriers !!!
Le sort d’Etienne et des mineurs sera scellé dans la 7ème et dernière partie de Germinal.
Comme chaque semaine , je vais vous faire partager ma lecture qui est sans étonnement : Germinal d'Emile Zola partie 6. Bientôt la fin...
Maheu, la mort d'un vrai guerrier.
Un vrai retournement de situation dans cette partie, vous serez au premier plan d'un bouleversement terrible. Vous aviez l'espoir que les mineurs aient le pouvoir. Cela avait l'air d'aboutir. Et bien non, on peut dire que sa a empirer, Maheu l'un des personnages principale que vous n'avez pas pu rater va décéder des suite d'une fuisillades de l'armée. Un vrai choque, on peut le dire. Vous aurez sans doute de la tristesse mais aussi de l'admiration pour ce personnages que vous suivez depuis le debut. Il est mort sans avoir baisser les bras, avec du courage, et toujours en mémoire son but comme un homme de guerre. Des emotions dans cette partie.
Etienne, l'exil du chef.
Un autre retournement de situation, Etienne va passez du chef a l'exilé. Les mineurs lui en veulent pour cette misère sans fin. Il va se réfugier dans une sorte de souterrain appartenant à Jeanlin. Que va-t-il lui arriver ? Est-ce normal que le personnage principale soit détesté ? Du suspens, qui vous donnera envie de lire la suite, vous aurez envie de savoir s'il va sortir de cette vie en noire. Et oui il va sortir son travail n'est pas fini.
Une partie 6 bouleversante et plus captivante que d'autres. Nous approchons a grand pas de notre but final : la fin. A la semaine prochaine pour la septième partie.
Comme chaque semaine , je vais vous faire partager ma lecture qui est sans étonnement : Germinal d'Emile Zola partie 6. Bientôt la fin...
Maheu, la mort d'un vrai guerrier.
Un vrai retournement de situation dans cette partie, vous serez au premier plan d'un bouleversement terrible. Vous aviez l'espoir que les mineurs aient le pouvoir. Cela avait l'air d'aboutir. Et bien non, on peut dire que sa a empirer, Maheu l'un des personnages principale que vous n'avez pas pu rater va décéder des suite d'une fuisillades de l'armée. Un vrai choque, on peut le dire. Vous aurez sans doute de la tristesse mais aussi de l'admiration pour ce personnages que vous suivez depuis le debut. Il est mort sans avoir baisser les bras, avec du courage, et toujours en mémoire son but comme un homme de guerre. Des emotions dans cette partie.
Etienne, l'exil du chef.
Un autre retournement de situation, Etienne va passez du chef a l'exilé. Les mineurs lui en veulent pour cette misère sans fin. Il va se réfugier dans une sorte de souterrain appartenant à Jeanlin. Que va-t-il lui arriver ? Est-ce normal que le personnage principale soit détesté ? Du suspens, qui vous donnera envie de lire la suite, vous aurez envie de savoir s'il va sortir de cette vie en noire. Et oui il va sortir son travail n'est pas fini.
Une partie 6 bouleversante et plus captivante que d'autres. Nous approchons a grand pas de notre but final : la fin. A la semaine prochaine pour la septieme partie.
♥ les Coups de Cœurs et les Coups de Gueule ☹
Chers lecteurs et lectrices, nous nous retrouvons pour porter notre avis sur la sixième partie de Germinal. Ce livre de Zola que nous commentons déjà depuis deux mois. Contrairement aux précédentes parties, la sixième est très mouvementée. Le comportement d’Étienne Lantier nous déçoit de plus en plus. En de venant le chefs des gréviste il en oublie son but, qui est de défendre ces derniers. Il devient très vaniteux. Quand aux Maheu leur situation est critique, la petite Alzire Et le Maheu meurent. Cette partie de Germinal est surement l'une des plus durs, car il y a beaucoup de pertes. Cependant elle est surement la plus intéressante de toutes. Et cette semaine, on la classe Coup de Cœur!Rubrique Lecture : GERMINAL Partie VI
Grâce aux descriptions de Zola, je me suis attachée au fur et à mesure de ma lecture aux personnages et à leur histoire. J’ai partagé le quotidien des mineurs, leur combat, leurs espoirs, leurs déceptions. Et précisément, les évènements de cette partie VI, tragiques, vont sceller le sort des mineurs.
Germinal, trahison et défaite.
Dans cette partie, les propriétaires jouent leur dernière carte en faisant entrer des Belges dans la mine qui reprend son activité. Cette intervention est vécue comme un acte de guerre pour les mineurs qui se rendent en masse à la mine, tentant de s’interposer. Si vous vous sentez emportés, comme dans un match, par les outsiders jusqu’à la dernière minute, ne vous attendez pas à leur victoire car un but fatal scellera leur défaite. Germinal est un peu l’histoire d’une cause perdue, comme certaines histoires des esclaves noirs américains luttant pour leurs droits et finalement contraints de reprendre leur position sans aucun avantage, sans aucun changement. Est-ce un retour au point de départ ?
La tragédie d’une famille.
Emportée par l’histoire de la famille Maheu au fur et à mesure de ma lecture, j’ai eu le sentiment d’en faire partie. Entendrez-vous, comme moi, dans cet épisode tragique marqué par la mort de deux de ses membres, le cri de désespoir d’une mère de famille bouleversée ayant tout perdu ? Ainsi par le coup fatal infligé par les propriétaires, la famille Maheu est détruite et sombre plus que jamais dans la misère. Une lutte si acharnée pour une fin si tragique ! Mais si cette bataille est perdue, la guerre est-elle finie pour autant ? Que nous révélera la suite de l’histoire ?
Comme toujours, j’attends vos commentaires sur cette partie VI à l’adresse du siège du magazine Tout pour Vous. N’oubliez pas la semaine prochaine l’article final de Germinal.
L'hiver vient...
Chers lecteurs, aujourd'hui vous allez avoir mon avis sur la partie 6 de germinal !
Alors le froid de l'hiver aggrave les conditions de vie des mineurs sans compter la misère Etienne continue de lutter pour les mineurs mais on sent que en devenant leur chef , il commence à devenir vantard ce qui nous déçoit tous. Cette grève que les mineurs ont déclenché n'épargne personne, en effet la petite alzire succombe au froid et à la misère mais la mort qui choque, qui vous choquera chers lecteurs c'est la mort de Maheu.
Lors d'une fusillade qu'il décède devant tous les mineurs qui étaient venus.
Si la fin de la partie 5 vous avez parue "gore" la scène ou Jeanlin égorge un gendarme innocent paraît assez surprenante venant de lui.
Chers lecteurs il est temps de ou quitter mais ne vous inquietez pas car je reviens pour la partie 7 qui est la dernière...
Sur ce, bonne lecture !
L'ACHARNEMENT ET LA VIOLENCE
Dans cette 6ème partie nous allons voir que les mineurs ne se calment pas mais deviennent de plus en plus violent, brutal …. Que va faire Etienne pour les calment ?
LA MISERE
Les mineurs continuent la grève malgré le froid, la faim, la misère. Ils ne veulent pas abandonner ! La misère que cause cette grève va même jusqu’à tue ALZIR la fille des MAHEU mais ne fais pas redescendre la colère des mineurs mais l’empire de jour en jour. Etienne n’a plus aucun pouvoir sur les mineurs. Etienne se battra avec Chaval et tuera un soldat ce qui va impressionner JEANLIN.
L’ACTION DES MINEURS : A mort les BORAINS !!!!
Les patrons demande au mineurs étranges devenir travaille dans leur mine mais les mineurs de Motsou ne sont pas contente et provoque une bataille ou y a beaucoup de mort. Les travailleurs étranges veulent lutter contre les grévistes mais ne vont pas y arriver.
Dans cette partie, il y a eu beaucoup de rebondissement avec les mineurs et les travailleurs étranges. Si vous voulez connaitre la fin des aventures d’Etienne et des mineurs du Voreux ! Revenez la semaine prochaine pour le dernier numéro du mois.
Bonne lecture et a bientôt
Ce qui arrive lorsque l'on abuse
Cher lecteur. C'est avec horreur que je vous écris un article sur la partie VI de Germinal. Il songeaient à arrêter la grève si on peut l'appeler ainsi. Je suis littéralement HORRIFIÉ par ce que j'ai lu. Ils auraient du le faire. C'est une catastrophe et les mots ont du mal à sortir. Comment Zola a t'il pu faire ça!!? C'est horrible!! Zola n'est qu'un monstre. Je suis écœuré de lire les 3 dernières pages de ce livre. Ils étaient tous devant le Voreux (en espérant ne pas dire de bêtises). Il criaient, jetaient de briques, et l'horreur est arrivé. Des soldats étaient armés et en joue prêt à faire lorsque le chef des soldats crie feu. Lydie, Bébert, La Brûlé, Mouquet, La Mouquette et même Maheu tombèrent tous à terre. C'est HORRIBLE!! Zola n'est qu'un gros sadique et malade!! Ce n'est qu'un monstre! Je suis vraiment déçu de cette fin qui m'a complètement fais changer mon avis sur cette partie. Bon honnêtement, j'ai bien aimé la fin de cette partie (je sais c'est contradictoire) mais le problème est qu'il a tué Maheu! Sans Maheu, que va devenir l'histoire!
Au final je ne peut vous dire si cette partie est un coup de coeur ou un coup de gueule que lorsque j'aurai lu la suite. Alors à très vite! S.B.
LA CHUTE D’UN GRAND HOMME
De nouveau, les mineurs sont mécontents envers la direction à cause de l’arrivée de Borains, des travailleurs étrangers. Ils se réunissent donc pour protester et sous le poids de la colère, échappent encore au contrôle d’Etienne. Il attaquent l’entrée du Voreux gardée par des soldats. La foule tente d’avancer, de faire reculer les militaires, tout en les injuriant. Fort de leur nombre, ils ne craignent rien. Etienne sait que c’est de la folie mais une fois de plus ils ne peut rien faire !! Tous les mineurs sont venus pour ce qui s’annonce être la lutte finale. Ils sont très sûr d’eux, de toute façon, ils n’ont rien à perdre. Les militaires font feu et beaucoup tombent dont Maheu !! C’est le désastre, toute le monde reste immobile à la chute de cet grand homme qui a tant donné pour les autres. Des cris déchirants s’élevèrent et il y eut une panique folle. Au final, bilan de la bataille : vingt-cinq blessés et quatorze morts pour les mineurs. En tant que lecteur, on ressent beaucoup de peine pour ces pauvres qui ne sont pas récompensés par leurs efforts.La grève va-t-elle servir a quelque chose ou bien était-ce juste un massacre ?
Les rivalités entre Etienne et Chaval vont-elles continuer de plus belle ?
On sera tout cela dans la dernière partie à ne manquer sous aucun prétexte !!
C’est la fin chers lecteurs !!
Je vous souhaite tout de même bonne lectures !
Lectrices, lecteurs, habitués de notre rubrique "Lectures", ne nous attardons pas sur la présentation, vous la connaissez !
Dans cette sixième partie de Germinal, nous sommes transportés au cœur d'un épisode de série dramatico-romantique à l'américaine !! En effet à la lecture, nous pouvons remarquer l'apparition d'un bon nombre "d'ingrédients" qui font la qualité d'une série et qui entretiennent le fait que l'ont veut la suivre jusqu'au bout pour connaître la fin.
Tout d'abord il y a la MISÈRE et la famine qui s'amplifient et qui causent la mort d' Alzire. Mais également la VIOLENCE avec les autorités qui tirent sur la foule ; sans parler du DÉSESPOIR avec les appels à la mort de la Maheude qui préférait mourir que de voir ça et avec la lente chute d'Etienne qui est progressivement exclu et rejeté de tous perdant tout contrôle possible sur la foule de mineurs enragés. Vous remarquerez d'ailleurs que cette chute et très habilement symbolisée par Zola qui fait dormir Étienne sous terre, dans le terrier de Jeanlin comme s'il s'exilait. Mais apparaît également le DOUTE qui s'immisce dans l'esprit d'Etienne : doit-il se résigner à retourner travailler ? Et pour finir avec le côté romantique de l'épisode, il y a le TRIANGLE AMOUREUX avec Étienne et Chaval se battant pour Catherine et avec le rapprochement des "amants maudits" (Cathetine et Étienne) et l'espoir de les voir réunis une bonne fois pour toute...
Nous nous transformons donc en véritables spectateurs assoiffés et impatients à la lecture de cette partie pleine de rebondissements. Qui aurait cru que des personnages d'un roman classique pourraient s'identifier à des personnages de séries actuelles ? Croyez vous que Zola serait content de le savoir ? Dans tous les cas, le suspense est à son comble ! Ne ratez donc surtout pas le rendez-vous de la semaine prochaine où nous découvrirons la fin du roman et peut être même celle des mineurs, ou celle de la révolte ? Qui sait ? Tout peut arriver et Zola compte bien nous surprendre jusqu'au bout ! Alors à la semaine prochaine !
CULTURE MAGAZINE
"Lectures"
Germinal: Partie 6
Lectrices, lecteurs, habitués de notre rubrique "Lectures", ne nous attardons pas sur la présentation, vous la connaissez !
Dans cette sixième partie de Germinal, nous sommes transportés au cœur d'un épisode de série dramatico-romantique à l'américaine !! En effet à la lecture, nous pouvons remarquer l'apparition d'un bon nombre "d'ingrédients" qui font la qualité d'une série et qui entretiennent le fait que l'ont veut la suivre jusqu'au bout pour connaître la fin.
Tout d'abord il y a la MISÈRE et la famine qui s'amplifient et qui causent la mort d' Alzire. Mais également la VIOLENCE avec les autorités qui tirent sur la foule ; sans parler du DÉSESPOIR avec les appels à la mort de la Maheude qui préférait mourir que de voir ça et avec la lente chute d'Etienne qui est progressivement exclu et rejeté de tous perdant tout contrôle possible sur la foule de mineurs enragés. Vous remarquerez d'ailleurs que cette chute et très habilement symbolisée par Zola qui fait dormir Étienne sous terre, dans le terrier de Jeanlin comme s'il s'exilait. Mais apparaît également le DOUTE qui s'immisce dans l'esprit d'Etienne : doit-il se résigner à retourner travailler ? Et pour finir avec le côté romantique de l'épisode, il y a le TRIANGLE AMOUREUX avec Étienne et Chaval se battant pour Catherine et avec le rapprochement des "amants maudits" (Cathetine et Étienne) et l'espoir de les voir réunis une bonne fois pour toute...
Nous nous transformons donc en véritables spectateurs assoiffés et impatients à la lecture de cette partie pleine de rebondissements. Qui aurait cru que des personnages d'un roman classique pourraient s'identifier à des personnages de séries actuelles ? Croyez vous que Zola serait content de le savoir ? Dans tous les cas, le suspense est à son comble ! Ne ratez donc surtout pas le rendez-vous de la semaine prochaine où nous découvrirons la fin du roman et peut être même celle des mineurs, ou celle de la révolte ? Qui sait ? Tout peut arriver et Zola compte bien nous surprendre jusqu'au bout ! Alors à la semaine prochaine !
A L’AMOUR, A LA GUERRE
Bonjour fidèles lecteurs,
Nous revoici cette semaine pour parcourir la sixième et avant dernière partie de Germinal écrit par Emile Zola. Cette partie VI nous donnera-t-elle les réponses que nous attendons tous, ou nous fera-t-elle plonger dans le désespoir et la tristesse dues à la compassion que nous portons à ces pauvres gens ? Découvrons cela tout de suite et entrons dans la vie du coron Deux-Cent-Quarante.
LA RAGE INCESSANTE
Dans cette sixième partie assez violente, une rage constante est présente dans chaque cœur des miniers, même ceux que l’on croyait les plus pieux.
Dans un combat que nous attendions tous, deux mastodontes s’affrontèrent. Savez-vous qui sont ces deux animaux féroces ? Votre instinct doit surement le savoir. Avez-vous ressenti la même excitation lors de ce combat ? Etienne et Chaval finirent enfin par libérer toute la rage qui était en eux. Peu de temps avant ce magnifique combat, Etienne s’était décidé à sortir du terrier de Jeanlin car la vie y devenait assez difficile. Il angoissait par peur de la défaite, mais au déplaisir de nous tous, lecteurs, il eut un sentiment de supériorité face aux miniers. Restez enfermé dans un trou à plusieurs centaines de mètres de profondeur, quel calvaire ! Il se rendit ensuite à L’Avantage chez Rasseneur. Il y rencontra Souvarine, continuant, sans surprise, sur ses idées destruction et parla aussi avec Rasseneur qu’Etienne estimait malgré ses opinions. Nous fûmes pris stupeur et d’étonnant quand arrivèrent Chaval et Catherine. Cette femme, qu’Etienne désirait était dans les bras de cet infâme brute. Mais pourquoi continuait-elle à s’attacher à Chaval ? Une certaine tension régnait dans cette auberge. C’est ici que s’entama le combat des ces deux lions, surement pour pouvoir la posséder elle, pourtant si jeune mais si désirer. Quel suspense ! Quelle exaltation dans ce combat ! On aurait cru que nous étions à coté d’eux, chaque coup qu’ils portaient nous atteignait de plein fouet. Mais comme l’espérait tous les lecteurs de ce combat, ce fut Etienne qui domina largement ce qui obligea ce serpent de Chaval à sortir un couteau comme le ferait une guêpe avec son dard. Mais malgré tout, Etienne s’en sort et laisse la vie sauve à Chaval. Il aurait du l’achever ! Cette vipère délaissa Catherine et partit. Ce geste de Chaval permit à Etienne et Catherine, au grand plaisir des lecteurs, de se rapprocher. Cependant nos espoirs s’effondrèrent devant l’acte de Catherine. Il lui proposa de s’installer chez lui car elle avait peur de rentrer, mais elle refusa et s’en alla à son tour. La rage n’était pas seulement présente dans le cœur d’Etienne après cet acte mais aussi dans les nôtres car tout l’amour qu’il lui portait, elle le rejetait malgré les sentiments qu’elle éprouvait pour lui. Je suis peut-être un tantinet vulgaire et familier mais c’est fille est une vraie IDIOTE !
Mais la rage éclatait aussi au coron Deux-Cent-Quarante. Les ragots ne cessaient de se répandre, mais certains n’étaient pas aussi faux qu’il n’y parait. La Pierronne, trompait son mari d’une part. Mais ce n’était pas cela qui nous exaspérait le plus chers lecteurs. Même Maheu et Levaque ne se préoccupait pas de se détaille. La chose qui choqua surement le plus, ce fut qu’un grand feu brulait dans la cheminée, des gâteaux étaient posés sur la table à coté d’une bouteille. Ce n’est peut-être pas choquant sur le coup mais n’oublier pas que tous les autres grévistes mourraient de faim et de froid ! Et le pire, ce fut qu’elle coucha avec des chefs, des ennemis de la grève. Il faut dire que cette femme fut très décevante voir même écœurante. Et cet acte ne cessa de remplir nos cœurs d’une rage incommensurable. Mais bientôt, cette rage ferait place à des pleurs chers lecteurs.
LA MORT A CHAQUE COINS DE RUES
Il faut dire que dans cette partie VI, Emile Zola s’est vraiment fait plaisir. Il a réussi à répandre la mort dans cette partie comme le ferait un requin dans un banc de sardines sans défense. En effet la mort était très présente dans notre lecture chers lecteurs, mais elle apportait une touche d’action dans cette partie assez monotone. Malgré cela, nous ne sommes que de simples humains et nous ne pouvons pas rester insensibles à ce massacre de plus en plus cruel.
Tout commença par l’acharnement du sort sur la famille Maheu comme s’acharnerait un lion sur sa proie. Cette pauvre famille ravagée nous avait déjà fait ressentir à nous, lecteurs, un tel chagrin avec leur misère et ce que leurs enfants ont fait subir à leurs pauvres parents, que nous pensions que leur sort ne pouvait que s’améliorer. Mais malheureusement nous avions encore tord. Cette fois-ci ce fut le tour de la funeste Alzire. Cette pauvre fillette n’avait rien demandé, mais comme de nombreux enfants, elle fut emportée par la faim. La Maheude supplia qu’on prenne sa vie et celle des autres à son tour, mais qu’aurions-nous dit à sa place et face à un tel chagrin ?
La mort, cependant, ne cessa pas de s’abattre. Mais cette fois, nous n’avons pas ressenti un sentiment de tristesse. L’émotion qui nous a envahie ne fut pas celui de la compassion mais au contraire ce fut totalement l’inverse. La répugnance, voila ce décrit bien notre sentiment envers l’acte abominable que fit Jeanlin. Nous le connaissions déjà comme un garçon voleur et dominateur mais ici, Zola, à notre grande déception, a vraiment accentué le côté sombre de ce jeune homme. Jeanlin, sans scrupule et sans hésitation, planta un couteau dans le cou de cette pauvre recrue, Jules. Ce chat tua sa proie pour s’amuser et pour seule justification qu’il « en avait envie ». Mais ensuite il accentua notre sentiment de dégout envers lui en s’endormant et en ronflant sans penser une minute au soldat qu’il venait de tuer.
La série de massacre ne s’arrêta pas là. Les mineurs se réunirent pour protester contre l’arrivée des Borains et nous aurions surement fait la même chose mais aurions-nous pu aller si loin ? Nous nous attendions tous à cette issue, les nerfs des soldats finiraient bien par lâcher. Comme une colonie de fourmis se ruant sur de la nourriture, les mineurs se ruaient sur ces pauvres soldats. A notre grande attention et notre peur, les coups de feu s’abattirent telles des notes sur un piano. Peu de coups, certes, mais ravageurs car ceux qui furent emportés étaient des amis comme Bébert ou Lydie. Des filles comme la Mouquette ou encore des maris comme, à notre grande tristesse, Maheu dont la famille ne cessait de souffrir. Mais au moins, lui, avait trouvé le repos ce qui ne fut pas le cas de sa femme qui n’était pas résignée à accepter sa mort.
Eh bien chers lecteurs, après cette partie pleine de douleur et d’accablements, quel sera le sort de la Maheude ? Nous avons tous une petite idée derrière la tête mais nous espérons qu’elle est fausse. Après cette affreuse épreuve qu’ont subie Etienne et Catherine, pourront-ils exprimer leur amour ? Toutes vos réponses la semaine prochaine pour l’ultime partie de Germinal. Au revoir à vous fidèles lecteurs.
Yacine A.
Entêtement, courage, et détermination.
Ce sont les trois mots qui définissent cette partie.
Je suis très déçu de cette partie, elle a pour moi aucun intérêt, aucune émotions, juste de la haine pure et dure.
Dans cette partie, vous allez être confrontés à l'entêtement des mineurs pour la grève. En effet malgré le froid et la faim qui les menacent allant jusqu'à causer la mort de Alzire la fille des Maheu, les mineurs ne renoncent pas. Au contraire la grève empire.
Dans cette partie Etienne n'est plus le chef, il est dépassé par la colère des mineurs.
Dans cette partie pleine de violence, vous verrez Etienne se battre avec Chaval et Etienne surprendre Jeanlin en train de trancher la gorge d'un soldat.
Zola perd la tête, il salit l'image de Jeanlin qui était jusqu'ici propre, il le fait tuer un gendarme innocent.
Je ne comprends vraiment pas Emile Zola dans cette partie, j'attends mieux pour la prochaine.
Note : 3/10
C'était Monsieur.Kerebel à très bientôt.
Salut alors voila nous sommes bientôt arriver a la fin du Germinal l'avant-dernière partie enfin qui se résume en 2 mots :LA GRÉVE ET LES MORTS.
Si vous espériez que la grève et tout ce qui va avec soit fini dans cette partie et bien ce n'est pas du tout le cas bien au contraire. J'avais moi même un petit espoir que tout soit fini mais en vain on est en plein mois de janvier les mineurs ont faims il fais froid. DES MORTS, oui des MORTS, encore des MORTS, que des MORTS, Zola aime sa les morts. La fille des Maheu, Alzine meurt; Le Maheu lui aussi meurt fusillé, Jeanlin tue un soldat innocent lui aussi, c'st une sorte de guerre qui se passe a la base c'était une simple grève qui a virer au vacarme au total a la fin de cette partie on compte 25 blessés et 14 morts.
La GRÈVE devient RÉVOLTE ils ne s’arrêtent pas et comme si tout cela ne suffisait pas des mineurs belges arrivent ce qui les révoltera encore plus “ A mort, les Borains! pas d'étrangers chez nous! à mort! à mort!” quesqu'il va se passer dites moi ? Moi même je ne sais pas on peut s'attendre a tout mais Zola est assez bizarre dans ces dernières parties.
Et Etienne qui commence a ne penser qu'a lui et qui s'imagine une carrière politique alors que ses soit-disant amis les mineurs combattent et qu'il ne fais rien du tout pour eux. Quel fin aura ce livre ? Une guerre mondiale ? Plus de mines? Tous le monde sera morts ?
Je vous donnes rendez-vous la semaine prochaine pour vous parlez de la dernière partie qui sera sans doute une sorte de surprise pour nous. Personnellement si on se met dans l'idéologie de Zola je m'attends au pire.
Voila voila a la semaine prochaine, bisous
Bonjour cher lecteur, aujourd'hui MORT VIOLENCE et MISERE au programme.
Entre famine, duel, meurte et fusillades on ne sait plus donner de la tête.
Effectivement, dans cette sixième partie, la mort de la petite Alzire et celle de Maheu va plomber le morale de la Maheude et le notre par la même occasion.
On se sent vraiment impuissant face aux soldats armés de fusils ayant la possibilité à tout instant d'abattre nos personnages favoris. Je trouve cela écoeurant.
De plus, on comprend que la grève est devenue inutile puisque les mines recrutent de nouveaux mineurs belges et délaissent alors leurs anciens employés.
Je tiens à dire, en tant que lecteur que cette partie pourra en dégoûter certains mais tout aussi bien faire le bonheur de beaucoup d'autres assoiffés de sang et de misère.
Note ; 6/10
A bientôt pour la prochaine partie, votre rédacteur Théo DILLIES
~Des souvenirs à l’avenir~
LE HEROS : ETIENNE OU LE MAHEU ?
ETIENNE PERD TOTALEMENT LE CONTROLE …
Le bateau va-t-il vraiment prendre l’eau ? Vous saurez tout dans le prochain numéro, la semaine prochaine …
Votre rédactrice en chef : Marilyn Littière.Germinal Partie VI
Germinal, la cascade aux enfers
Dans cette partie la noirceur de l'histoire de ces mineurs est, si vaste que rien ne pourra les sauvées.
A Montsou, la grève continue, le froid et la faim attisent les haines et les convoitises. Les bagarres, les reproches sont très présentes dans cette partie du livre.
La Maheude est au fond du gouffre ses enfants souffrent de la famine, Jeanlin se met à tuer (Zola ne nous épargne rien). Il nous décrit leur grève sous tous leurs aspects surtout ceux qui vous toucheront moralement,
Zola veut surement dénoncer la société et ces inégalités.
Les mineurs qui réclament leurs droits se font remplacer par des belges, ceux qui montre des aspects très négatifs de la bourgeoisie (ne cherche que l'appât du gain sans ce soucier du reste), c'est comme si il se dénonçait lui même puisqu'il appartient à cette classe.
On constate qu'il ne recule devant rien pour écrire son livre mais c'est aussi courageux de sa part.
A la fin de cette partie Zola essaye de nous assommer,de nous briser une dernière fois, en faisant tuer le Maheu et plusieurs autres mineurs pendant une fusillade. Zola n'hésite pas à jouer avec nos émotions, ceux avec qui nous avons tous découvert (la mine, le déroulement de leurs vies, la grève...) se font tuer,se font abattre comme des animaux. A la chaîne, un par un...
La semaine, prochaine vous découvrirez la dernière partie de Germinal écrit par Emile Zola.
Germinal Partie VII
Consommé jusqu'au bout...
La suite de tous ces événements et la famine qui devient de plus en plus critique. Les mineurs ont décidé de se remettre au travail. Même si Zola fait terminé son histoire de façon bouleversante et affreuse. La morale de l'histoire qu'en à elle, elle est différente car derrière
cette affreuse histoire Zola a essayé de nous faire passer un message. Que c'est grâce à ce genre d'acte que les choses bouges, c'est grâce ces révoltes qu'on bénéficie de tout ça et il ne faut pas attendre la bouche ouverte jusqu'à que ça arrive car des fois il est trop tard. Zola a prouvé qu'il est un grand écrivain, en nous faisant croire à un roman ennuyant, il a réussi à nous attacher à cette histoire jusqu'à nous passionée.
Merci de m'avoir suivi à travers cette oeuvre et à bientôt pour un nouvel article critique sur un autre livre.
Germinal Partie VII
Consommé jusqu'au bout...
La suite de tous ces événements et la famine qui devient de plus en plus critique. Les mineurs ont décidé de se remettre au travail. Même si Zola fait terminé son histoire de façon bouleversante et affreuse. La morale de l'histoire qu'en à elle, elle est différente car derrière
cette affreuse histoire Zola a essayé de nous faire passer un message. Que c'est grâce à ce genre d'acte que les choses bouges, c'est grâce ces révoltes qu'on bénéficie de tout ça et il ne faut pas attendre la bouche ouverte jusqu'à que ça arrive car des fois il est trop tard. Zola a prouvé qu'il est un grand écrivain, en nous faisant croire à un roman ennuyant, il a réussi à nous attacher à cette histoire jusqu'à nous passionée.
Merci de m'avoir suivi à travers cette oeuvre et à bientôt pour un nouvel article critique sur un autre livre.
Germinal Partie VII
Consommé jusqu'au bout...
La suite de tous ces événements et la famine qui devient de plus en plus critique. Les mineurs ont décidé de se remettre au travail. Même si Zola fait terminé son histoire de façon bouleversante et affreuse. La morale de l'histoire qu'en à elle, elle est différente car derrière
cette affreuse histoire Zola a essayé de nous faire passer un message. Que c'est grâce à ce genre d'acte que les choses bouges, c'est grâce ces révoltes qu'on bénéficie de tout ça et il ne faut pas attendre la bouche ouverte jusqu'à que ça arrive car des fois il est trop tard. Zola a prouvé qu'il est un grand écrivain, en nous faisant croire à un roman ennuyant, il a réussi à nous attacher à cette histoire jusqu'à nous passionée.
Merci de m'avoir suivi à travers cette oeuvre et à bientôt pour un nouvel article critique sur un autre livre.