Germinal Partie V
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 16 décembre 2013, 13:56 - Lien permanent
Articles critiques sur la partie V de Germinal.
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 16 décembre 2013, 13:56 - Lien permanent
Articles critiques sur la partie V de Germinal.
Commentaires
CINQUIEME PARTIE
Bonjour Chers Lecteurs,
Misère, corruption, faiblesse humaine, vengeance. Voilà ce qui vous attend dans cette Vième partie.
Ici, Zola dépeint la faiblesse des hommes et il faut bien avouer qu’ils sont faciles à corrompre lorsqu’ils meurt de faim ! Corrompre Chaval, c’est ce que Deneulin tente de faire en lui offrant un poste de porion s’il arrive à convaincre ses compagnons de reprendre le travail dans la fosse !
Une guerre éclatent alors entre les ouvriers de Jean-Bart et les ouvriers de Montsou ! C’est un chapitre terrible car on se demande dans quel camp nous aurions, nous-même basculés, si nous avions dû vivre cette horrible aventure ! Aurions-nous été parmi ceux qui résistent ou parmi ceux qui cèdent ? Est-il honteux de ne pas vouloir mourir de faim ? Est-il honteux de croire en ce que l’on nous promet ? Est-il honteux d’avoir envie de sortir de sa condition de misère ? CHAVAL est-il honteux ?
Il n’empêche que les hommes de Jean-Bart se voient en très grand danger une fois descendus dans la fosse. On entend partout «ceux de Montsou coupent les câblent !».... Les hommes sont devenus fous, la misère rend fou et Etienne ne maîtrise plus rien. Les femmes aussi se vengent et s’attaquent à Maigrat en lui prélevant ses organes génétaux !
L’horreur est a son comble !
La suite vous guette !
Du pain! Du pain! Du pain!
Lecteurs! Aujourd'hui je passerai outre des formules de politesse! Cette nouvelle partie, est pour l'instant la plus brutale, violente de toutes! Comparable au printemps arabe que nous avons connu l'année dernière. Les grévistes vont de villes en villes pour arrêter le travail dans les autres mines, une véritable tornade. Ils passent, détruisent tout, inspirent la terreur et le mépris des bourgeois qui persistent a refuser les conditions des mineurs. Vous retrouverez dans cette partie une course au pain! Le slogan des mineurs est "Du pain! Du pain! Du pain!". Si dans la partie précédente vous pensiez que la grève était à son apogée, vous allez être surpris par l'ampleur que celle-ci prend. Loin des discours pacifistes de Rasseneur, les mineurs déséspérés optent désormais pour la violence. Le rythme du récit est haletant, à l'image des mineurs qui ne cessent de courir et de se battre pour survivre comme une meute de chiens enragés qui recherchent leurs prois. Etienne, rattrapé par l'hérédité des Maquart, trouve refuge dans l'alcool. Tout se dégrade et on pressent qu'aucune négociation ne sera possible. Les bourgeois campent sur leur position et donne comme excuse la certitude de faire faillite si ils acceptent les conditions des mineurs.
Le seigneur de la traitrise!
Cinquième partie de Germinal écrit par Zola
5/5 …
Bien plus qu’une grève : Une révolution
Chers lecteurs, chers lectrices
L’autre fois, nous nous étions quittés avec des mineurs qui faisaient grève et qui étaient bien décider à ne pas travailler. Cette fois ci, changement d’ambiance, l’atmosphère est de plus en plus électrique et les mineurs sont plus en plus révoltés.
Soyez-prêt dans cette cinquième partie à affronter le froid, la pluie, le manque de nourriture et la solitude comme un marin qui subit ses conditions seul avec son voilier.
1-Un chao total
A Jean-Bart, les ouvriers refusent de descendre dans la fosse. Ils continuent de ne pas travailler. Deneulin qui se rend compte que ses ouvriers suivent Chaval décide de l’appeler pour lui parler.
Il se voit offrir de la part de Deneulin le poste de porion qui le plaçait déjà parmi les chefs. Chaval accepte l’offre de Deneulin et se met à convaincre les ouvriers de ne plus faire la grève.
Le travail reprend. L'équipe de Chaval travaille au fond de la mine.
Pourquoi un tel changement ? Comment vont réagir les autres mineurs ?
On apprend que les grévistes de Montsou ont coupé les câbles et que la seule solution qu’ils trouvent pour ne pas mourir était de sortir par les échelles de secours. Ce fût une montée difficile, avec beaucoup d’arrêts causés par la panique. Les ouvriers de Montsou se sentaient trahis par Chaval qui leur avait promis la grève. Un sentiment de haine envahi les ouvriers de Montsou.
Etienne tente de les calmer, mais malgré ses efforts les mineurs sabotent le matériel.
Les ouvriers de Jean-Bart réussissent à retourner à la surface comme un escaladeur qui arrive à gravir avec succès la montagne qu’il escalade.
Ils se retrouvèrent au milieu des ouvriers de Montsou qui ne cessaient pas de les huer. Cette scène pourrait nous faire penser au dresseur de fauves qui se retrouve seul enfermé dans la cage avec ses bêtes sauvage ou encore au gladiateur prisonnier dans l’arène qui pendant la période romaine étaient confrontés à toute la foule.
Chaval essaie en vain de s’expliquer.
Chaval peut-il arranger la situation ? Qu’en pensez-vous chers lecteurs ?
Pour tous, Chaval est le responsable. Du coup, Etienne contraint Chaval à se joindre à la manifestation. Etienne et Chaval en viennent aux couteaux, Catherine les raisonne et empêche le drame en giflant Etienne. La foule traverse la plaine et va d'une fosse à l'autre. Ils se dirigent vers d'autres puits, la Madeleine, la Victoire, Feutry-Cantel... Fuyant les gendarmes, la foule revient à Montsou pour réclamer du pain à la Direction.
M. Hennebeau découvre la preuve évidente de l’infidélité de sa femme.
Mettez-vous à sa place, cela doit être dur à vivre ?! Il est très malheureux.
2-Une révolte interminable
Mais soudain les mineurs arrivent en criant: “- Du pain! du pain! du pain!”. Nous n’avions jamais vu une telle détermination de la part des mineurs. Hennebeau fait appel à l'armée. On se barricade. Les mineurs hurlent leur faim. Personne n’obéissait à Etienne.
Pour faire diversion, Étienne lance la foule sur l'épicerie de Maigrat qu’il détruise. En essayant de s’échapper Maigrat fait une chute et meurt. Mourir comme cela est regrettable.
Les femmes deviennent folles et elles se considèrent vengées par cette mort. Elles décident de lui prélever les organes génitaux pour les brandir ensuite en signe de victoire. La foule est dispersée par l’arrivée des gendarmes.
Dans cette cinquième partie, nous faisons face à une terrible rébellion. Est-ce que tout ça va s’arrêter un jour ? Nous l’espérons tous. En tout cas ce dont nous pouvons être sur c’est que une telle violence et une telle hargne aura sûrement d’énormes conséquences sur la suite de l’histoire.
Bonne lecture à tous et à la prochaine pour un nouvel article sur cette incroyable épopée des mineurs.
La grande révolte.
Chers lecteurs !
Dans cette cinquième partie, Maheu et Etienne décident de convaincre les mienurs de Jean Bart qui sont les seuls à continuer de travailler. Les mineurs de Montsou s'attaquent aux installations pour descendre dans la fosse afin que les mineurs de Jean Bart ne puissent pas remonter facilement. Les mineurs vont de mines en mines afin de convaincre par la force tous les mineurs qui travaillent encore. Dans cette partie vous serez confrontés à une très grande violence entre la haine des mineurs et la colère de Etienne. Mais jusqu'où tout cela ira ?
La suite la semaine prochaine.
Destruction, trahison et horreur
Bonjour à vous fidèles lecteurs,
Nous nous retrouvons aujourd’hui pour continuer notre découverte de ce livre tant critiqué en bien ou en mal, Germinal. Cette semaine c’est autour de la partie V, explorons cette partie pleine de terreur et très surprenante.
Les traîtres.
Eh bien cette partie V de Germinal, chers lecteurs, me fit penser à un trampoline. En effet elle fut pleine de rebondissement et peut-être ce qui nous choqua et marqua en grande partie furent les trahisons effectuées sans pitié dans les deux camps. Auriez-vous pu faire cela chères lectrices ? Vous savez surement de qui je parle. Eh oui cette chère Mme Hennebeau, cette lionne qui saute sur les hommes comme s’ils étaient de simples proies pour elle. Mais le pire c’est que ce ne fut pas avec n’importe qui. Pauvre Mr. Hennebeau se faire poignarder dans le dos par son propre neveu, Paul, qu’il héberge, nous en venons à éprouver de la pitié pour exploiteur et parfois mieux vaut ne pas entrer dans une chambre qui n’est pas la notre. Mais les traitres ne sont pas seulement chez les bourgeois. Maintenant, allons voir du coté de Jean-Bart où se trouve Chaval si déterminé à faire grève lui aussi. Pourtant cela commençait bien on aurait vraiment cru qu’il irait au bout de son engagement envers les grévistes qui était de stopper le travail. Mais bon, ce Judas se fit aveugler par l’ambition et par les belles paroles de Deneulin, le directeur de cette fosse. A la grande surprise de nous tous, le travail repris à Jean-Bart. Mais l’homme que nous pensions lâche et cruel envers Catherine, Chaval, se révéla beaucoup plus attentionné envers elle lorsqu’il la sauva dans la fosse, ce qui nous fit un peu oublier l’histoire de la traîtrise.
Après ces trahisons, plus rien ne nous aurait étonné, mais les grévistes du Voreux nous réservent de terrifiantes surprises.
Mais que leur est-il arrivé ?
C’est la question que nous nous posons tous. Cette partie que vous avez parcourue, comme l’on fait les grévistes du coron dans les fosses des alentours vous a-t-elle surpris vous aussi ? Ces gens qui nous paraissaient pourtant si gentils, attachants, et touchants se sont transformés en véritable armée qui détruit tout sur son passage. Le rendez-vous prévu à Jean-Bart qui avait pour but d’empêcher les mineurs de descendre dans la fosse a fini en marathon de destruction dans les fosses les plus proches. Chaval et Catherine furent les premiers touchés par cette horde de marcheurs affamés qui ont coupé les câbles permettant de remonter de la fosse malgré toutes les personnes restées au fond. Comment peuvent-ils faire cela à des gens qui endurent les mêmes souffrances qu’eux ? Il faut dire que ce comportement nous a tous déçu chers lecteurs, même si leurs revendications sont justifiées, leurs actes sont abominables. Une bande de loups affamés traquant sa proie sans cesse mais en épargnant quelques unes. Madeleine où rien ne fut détruit car on préféra effectuer une chasse à l’homme sur ces pauvres miniers non-grévistes, Mirou qui fut épargnée grâce au vieux père Quandieu déterminé à sauver cette fosse. Et les choses ne s’arrêtèrent pas là, Etienne étant ivre ne put empêcher les choses de dégénérer littéralement. S’étant emparé de la fille des Grégoire, Cécile, tentant de se réfugier chez les Hennebeau, ces milliers de personnes l’insultèrent et quelques femmes la frappèrent quand à notre grande surprise, le vieux Bonnemort la prit au cou. Ce vieux que l’on pensait si sympathique révéla au grand jour son véritable esprit machiavélique. Mais Cécile fut miraculeusement sauvée par Deneulin venu dîner chez les Hennebeau. Malgré un sentiment amère en ayant lu ce passage, il faut bien dire que Maigrat a bien mérité son sort. Eh oui le chat a perdu la vie comme l’a dit la foule. Mais pour lui pas de pleurs, seulement des rires et des insultes. Pourtant quelque chose de touchant arriva, Catherine prévint Etienne que les gendarmes arrivaient, un geste d’amour ? A vous de deviner.
Alors rendez-vous la semaine prochaine fidèles lecteurs pour découvrir la partie VI de Germinal et connaitre le destin d’Etienne, Maheu, Catherine et tous les autres…
Yacine A.
L'évolution de la grève.
Dans cet article, nous allons voir la suite des évènements avec les mineurs. Ont-ils continués la grève ou ont-ils repris le travail ?
Les mineurs veulent détruire tout, comme la maison de Mr HENNEBEAU ou encore l'épicerie de Maigrat qui mourait écrasé par la foule. les femmes voulaient se venger et lui prirent ces organes génitaux. Les mineurs sont de plus en plus énervés ce qui les mènent à aller dans les autres mines des alentours pour convaincre les mineurs de faire grève avec eux. Chaval devait aller parler à DENEULIN pour les conditions des mineurs mais DENEULIN sait que Chaval est influençable donc il lui propose un marché, ce qui prouve que Chaval ne pense qu'à lui et pas aux autres ouvriers; Dans cette révolte même les femmes s'en mêlent.
Etienne découvre ce qu'à fait Chaval, ce qui déclenche une bataille à coups de couteaux mais Catherine se met devant pour les calmer. les mineurs n'obéissaient plus à Etienne mais à leur colère qu'ils avaient.
Je vous souhaite une très bonne lecture et à la semaine prochaine pour savoir comment la grève aura évolué. vous serez tout cela dans le prochain numéro. A bientot.
L'évolution de la grève.
Dans cet article, nous allons voir la suite des évènements avec les mineurs. Ont-ils continués la grève ou ont-ils repris le travail ?
Les mineurs veulent détruire tout, comme la maison de Mr HENNEBEAU ou encore l'épicerie de Maigrat qui mourait écrasé par la foule. les femmes voulaient se venger et lui prirent ces organes génitaux. Les mineurs sont de plus en plus énervés ce qui les mènent à aller dans les autres mines des alentours pour convaincre les mineurs de faire grève avec eux. Chaval devait aller parler à DENEULIN pour les conditions des mineurs mais DENEULIN sait que Chaval est influençable donc il lui propose un marché, ce qui prouve que Chaval ne pense qu'à lui et pas aux autres ouvriers; Dans cette révolte même les femmes s'en mêlent.
Etienne découvre ce qu'à fait Chaval, ce qui déclenche une bataille à coups de couteaux mais Catherine se met devant pour les calmer. les mineurs n'obéissaient plus à Etienne mais à leur colère qu'ils avaient.
Je vous souhaite une très bonne lecture et à la semaine prochaine pour savoir comment la grève aura évolué. vous serez tout cela dans le prochain numéro. A bientot.
Le marathon de destruction
Avis:***
Les mineurs bien décidés à aller à Jean-Bart pour convaincre les ouvriers de Jean-Bart à faire grève avec eux mais ces derniers refusent. Deneulin se rend compte que les ouvriers suivent Chaval depuis le départ et décide de lui parler. Deneulin se rend compte que Chaval est très vaniteux, ambitieux et facile à corrompre par la flatterie. C'est par la suite que l'histoire va se "corser" en effet plus rien ne va à Jean-Bart les ouvriers se sentent en danger et doivent évacuer la mine au plus vite on entrendait :”Ceux de Montsou coupent les câbles! Que tout le monde sorte!” La panique était la et devaient très vite remontée par les échelles de secours seulement certaines étaient cassées ce qui rendait encore plus difficile l'évacuation.
Revenons un petit peu en arrière afin de connaître ce qui a poussé les mineurs de Montsou à faire ça et à savoir surtout si c'est eux !
Ceux de Jean-Bart ne c'était pas tromper ils s'agissaient bien des travailleurs de Montsou. Se sentant trahi par Chaval qui leur avait promis la grève se sentant trahi ils décidèrent de punir les traîtres en s’attaquant aux installations de la fosse et en coupant les câbles. Malgré les cris pacifistes d’Etienne qui essaie de les arrêter rien ne faisait... De plus les femmes s'attaquaient aux chaudières en les détruisant.
La foule des mineurs va désormais de fosse en fosse à la Madeleine, la Victoire, Feutry-Cantel, à Mirou.... en détruisant quelques installations. Y'aura t-il des blessers? Des morts?
Quand à Etienne et à Chaval les ennemis qui ne peuevent s'apprécier depuis le départ se menacent avec leur couteux. Va t-il y avoir des blessers? Qui va intervenir?
Tous ce dirigèrent ensuite chez Maigrat pour demander du pain, Etienne ne controlais plus rien il était impuissant tous avaient une colère si forte en eux que personnes ne pouvaient rien faire....
Encore une fois la destruction était le seul moyene de combat Maigrat fit une chute violente.
La destruction va t-il améliorer les choses?
Maigrat sera gravement blesser ou va t-il mourir?
Etienne et Chaval sertont prêt à enterrer la hache de guerre ?
Je vous dit à la semaine prochaine pour un nouvelle article critique. A bientôt.
Public
Je suis heureux de vous retrouvez pour découvrir la suite de ce livre . Aujourd'hui nous allons étudiez la cinquième partie de GEMINAL.
A Jean Bart, les ouvriers ne veulent pas descendre dans la fosse. Depuis le debut Deneulin se rend compte que Chaval est très vaniteux et ambitieux . Chaval se voit s'offrir de la part de Deneulin le poste de porion qui le plaçait déjà parmi les chefs. Chaval accepte l'offre et essaie de convaincre les ouvriers a ne plus faire la guerre .Descandus dans la fosse , les ouvriers se voient en très grand danger car les câbles sont coupés. Ils se voient obligés de sortir par les échelles de secours. Ils réussissent a retourner a la surface des ouvrier de Montsou qui ne cessaient pas de le huer.
Zola revient en arrière pour nous faire découvrir le mystère de tout ce qui venait de se passer avec les ouvriers de Jean Bart.Les ouvriers de Montsou se sentent trahis par Chval qui leur avait promis la grève La foule va désormais de fosse en fosse. Ils se dirigent vers d'autres puits, la Madelaine, la Victoire, Feutry-Cantel mais les mineurs redoutent fortement les gendarmes et les dragons. Ils détruisent certaines installations et Etienne et Chaval en viennent aux couteaux. Catherine s'interpose entre les deux en giflant Etienne. M.Hennebeau découvre l'infidélité de sa femme. Il sombre alors dans une grande tristesse lorsque les mineurs arrivent en criant "Du pain! Du pain! Du pain! Etienne n'avait plus aucuns pouvoir sur personnes. La foule s'attaque a la maison de M.Hennebeau et en essayant de s'échapper Maigrat a fait une chute et est mort. La foule se disperse par l'arrivé des gendarmes .
Dans cette cinquieme partie on peut remarqué que les mineurs font peuvent d'une grande violence. Alors tout cela s'achèvera t-il un jour? Est ce que tout redeviendra comme avant?
Pour le savoir suivez moi a travers mes procchaines lectures
Je vous souhaite une bonne lectures
Journaliste=Alexia
Ami lecteur,
Je vous ai déjà écrit une critique sur la partie 4 de Geminal d'Emile Zola, aujourd'hui je prend la plume pour la partie 5.
Les scènes des grévistes sont bien expliquées, on sait exactement ce que veulent les ouvriers, leur revendication et leurs actions.
La haine que nous ressentons à la lecture nous guide et nous fait comprendre leur envie face au patronat qui les exploite.
Cette partie est passionnante, différente car elle est mouvementée et rythmée par l'avancement de la grève.
C'est sur ces dernières lignes que je vous souhaite à tous et a tout une bonne lecture !!!
Germinal de Zola : Aperçu de la PARTIE V
Nous passons maintenant à la partie cinq. Par bien des aspects la succession des évènements est surprenante de rebondissements. Autant pour la tournure des événements attisés par la faim et l’énervement, que par la folle violence entre mineurs qui prend une place importante. Mais aussi par la trahison inattendue de certaines personnes et les volte-face …
Révolte, infidélité, et abomination
A Jean Bart, c’est la REVOLTE. Les ouvriers refusent de descendre dans la mine. Mr Deneulin le responsable de la mine tente de les convaincre d’y retourner mais sans succès. Alors il tente de corrompre l’ouvrier CHAVAL en lui promettant de le nommer en tant que porions s’il réussit à briser la grève. Ce dernier s’exécute et tente de persuader ces acolytes. Et ça marche ! Certain descendent avec lui dans la mine. Cela leur portera-t-il préjudice ?
Eh oui c’est le basculement dans l’horreur! Les ouvriers de Jean-Bart qui l’ont suivi se retrouvent coincés par les ouvriers de Montsou, qui enragés de les voir descendre travailler, leurs coupent les câbles des remontées mécaniques. Du coup ces derniers ne peuvent remonter de cet enfer noir. Les « prisonniers » de Jean Bart et Chaval arriveront-ils à s’évader ? Et une fois arrivé à la surface quel accueil leurs sera réservé ?
Dans cette ivresse de vengeance collective combien de trahisons, d’infidélités, de drames et de morts avant de faire reconnaitre leurs droits ? Quelle suite sera donnée à cette grève ?
Si vous voulez connaître le dénouement de cette tragédie, je vous invite à vous plonger dans la « saison cinq ». Et rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel article.
Bonne lecture
DU PAIN ! VIVE LA SOCIAL ! A MORT LES BOURGEOIS !
Chers lecteurs,
Cette semaine, nous passons au peigne fin la cinquième partie du chef d'oeuvre d'Emile ZOLA, GERMINAL.
Dans cette partie Etienne perd le contrôle des ouvriers, lui qui savait si bien les mener et qui étais leur "chef" ne sais plus où donner de la tête. Les ouvriers sont en colère, voila maintenant deux mois que dure la grève, voila maintenant deux mois qu'ils ont faim et qu'on les laissent mourir à petit feu. C'est la cohue, le bazar, les ouvriers partent sur les routes en allant de mine en mine pour empêcher les traîtres de travailler lorsque eux ont faim. Les mines sont détruites, saccagées...
Dans cette cinquième partie il y a de la violence, dans les mots ainsi que dans les gestes. Les détails sont là, on si croirait ! Nous nous imaginons courir avec les camarades une barre de fer à la mains pour crier notre ras-le-bol.
Dans cette cinquième partie, il y a enfin un vrai affrontement entre Chaval et Etienne qu'on attend depuis longtemps. Tous le monde veut tuer Chaval, le traître !
Enfin dans cette partie, nous sommes plus proches des bourgeois que les parties d'avant, ils ont peur et c'est mérité. Nous pouvons vraiment éprouver de la compassion envers les ouvriers à cause de ce qu'ils endurent, et on comprend leurs soif de vengeance envers ces bourgeois qui on tous ce qu'il faut dans leur petite vie tranquille.
On attend avec impatience la suite des aventures de nos personnages préférés.
Violence, horreur et vengeance.
Dans cette cinquième partie, on peut constater que c'est pour l'instant la partie la plus violente, brutale parmi les autres. Deneulin tente de faire marcher Chaval en lui disant qu'il lui offre un poste de porion s'il arrive à convaincre ses compagnons de reprendre le travail dans la fosse.
Une guerre éclate entre les mineurs de Montsou et ceux de Jean-Bart. Ceux de Montsou vont détruire la mine de Jean-Bart en coupant les câbles, ainsi que les installations pour avoir accès à la mine afin de compliquer la remontée de la mine pour leurs adversaires. Une fois qu'ils ont finis avec la mine de Jean-Bart, ils vont de mines en mines pour les convaincre d'arrêter de travailler. Ensuite ils s'attaquent à la maison de Mr Hennebeau, pour après aller détruire l'épicerie de Maigrat qui en essayant d'échapper à la colère de la foule, il fait une chute et meurt. Pour ainsi se venger, les femmes de lui prélever les organes génitaux pour, ensuite les brandir en signe de victoire.
Étienne découvre ce qu'à fait Chaval, ce qui déclenche une bataille à coups de couteaux mais Catherine décident de les calmer. Dans tous ça, Étienne avait perdu tous ses "pouvoirs" de chef...
Alors, va-t-il y avoir d'autres morts? Jusqu'à où les grévistes vont-t-ils aller? Pour savoir cela, on se donne rendez-vous très bientôt!
Une rage qui devient incontrôlable.
Note attribuée : ★★★★☆
Rien ne va plus dans Germinal… Vous pensiez peut-être comme moi que la grève touchait à sa fin, que les mineurs retourneraient dans les mines, croulant sous la fatigue et la famine. Mais détrompez-vous, elle est loin d’être terminée, ce n’est peut-être au contraire qu’un commencement.
La colère des mineurs se transforme rapidement en une haine ou devrais-je même dire une rage qu’ils ne contrôlent plus. Les mineurs ne sont plus des hommes mais des animaux. Ils se rendent à Jean-Bart afin d’arrêter l’activité de la mine. Tels des bêtes, ils coupent les câbles et renversent les chaudières. Les mineurs travaillant encore sont pris par la panique et sont obligés de sortir de la mine. Chaval qui y travaillait est traité de lâche, de traitre. Catherine, elle, se fait même insultée par sa propre mère. Les bourgeois, de leur côté, commencent à avoir peur.
Après avoir répété « Du pain ! Du pain ! Du pain ! » tout au long de la partie, les mineurs débarquent finalement chez Maigrat. Celui-ci est terrorisé par l’arrivée des mineurs et se réfugie sur le toit de l'épicerie. Un troupeau se forme en bas du toit. C’est donc au tour de Maigrat de se faire persécuté. Après avoir entendu des insultes, il glisse du toit et meurt. A ce moment, tout le monde se tait un instant. Etienne, toujours aux côtés des mineurs, semble réaliser que tout cela va trop loin. Mais il ne maitrise plus la situation et les femmes se remettent à hurler et à s’attaquer au pauvre Maigrat, déjà mort pourtant. C’est à leur tour de devenir de véritables bêtes.
Vous l’aurez donc compris, la situation dégénère. Nous n’avons plus des humains en face de nous mais bien des bêtes, des monstres. Ils ne contrôlent plus leur colère et semblent oublier leur but initial qui était de régler les injustices. A présent, ils ont soif de vengeance, de violence, de sang, de mort, et veulent la destruction de la bourgeoisie.
Mais jusqu’où seront-ils capables d’aller ? Y-aura-t-il d’autres morts encore ?
Vous le saurez dans la semaine prochaine avec la parution de la sixième partie qui sera surement pleine de rebondissements elle aussi !
A LA UNE,
AU SECOUR, AU SECOUR LES MINEURS ONT DISJONCTER !
Bonjour à toutes et à tous, nous nous retrouvons enfin après une très longue semaine d’attente. Nous nous étions quittés avec des mineurs en grève, et sur la décision prise lors de la réunion qui était de descendre convaincre les ouvriers qui travaillaient encore, ceux de la fosse Jean-Bart.
Dans cette partie V, nous allons découvrir d’autres facettes de ces mineurs, leurs facettes sombre, et violente ces qu’on trouvait tous attachant, touchant, gentils voir adorable. Ils se sont transformés en véritable armée qui détruit tout sur son passage Et bien oui chers lecteur nous avons à faire à des personnes voir des animaux assoiffés de violence. Cette partie est riche en rebondissement, elle va vous surprendre voir même vous choqués. Des trahisons a vous en mettre plein la vu, des anéantissement et des destruction. Vous vous demandez pourquoi ? Soyez attentif.
TRAHISONS AVEC UN S
Chaval qui était si décidé à se rebellait trahit tous ses compagnons. En effet il retourne sa veste et le travail reprend à Jean-Bart , l’équipe de Chaval travaille au fond de la mine. Il agit sous l’influence de Deneulin qui lui offre un poste qui le place en chef. Mais pourquoi cette trahison, c’est simple cher lecteur. C’est un homme, un être humain, personne né saint. Les autres mineurs dans tout ca comment vont-ils le prendre ? Mal cela c’est certain. Trahir ainsi tout ce monde… C’est un preuve de lâcheté ? Quand pensez-vous ?
Mr Hennebeau se voit à son tour trahi, comme l’expression le dit elle lui a mit un « coup de poignard dans le dos » pas seulement elle d’ailleurs lui aussi. Venons-en à l’explication, ce cher Mr Hennebeau découvre que sa femme le trompe, comme si cela ne suffisez pas, devenez avec qui elle le trompe ? Et bien avec son neveu Paul, qu’il héberge chez lui. Imaginez-vous la scène, chez vous votre neveu que vous hébergé gentiment qui prend du bon temps avec votre femme. Pour une trahison c’est une trahison.
UNE ATMONPHERE ELECTRIQUEMENT SOMBRE
Les mineurs sont complètement révoltés, leur bon sens a totalement disparut. Suite à cette trahison de Chaval, une guerre éclate entre les ouvriers de Montsou et ceux de Jean Bart. Aurions-nous été parmi ceux qui résistent ou parmi ceux qui cèdent ? Tel est la question, ou dans quel camp auriez vous pris place ? Dans quel camp auriez vous basculé ? Autant ne pas y répondre, car vivre ou même s’imaginez dans cette situation nous mettrez dans ‘tout nos états’.
Lorsque les ouvriers Jean Bart descendent dans la fosse ils sont en danger, ils sont menacés par les mineurs de Montsou, on criait ”Ceux de Montsou coupent les câbles! Que tout le monde sorte!” Les mineurs qui étaient bon et amis sont devenus fou à cause la misère et de la faim qui les mets dans un état de grande violence, ils ont tout simplement disjoncté. Etienne quand à lui ne maitrise plus rien.
Les femmes de Montsou aussi se vengent et s’attaquent aux chaudières en les détruisant. Maigrat en prenant fuite à la foule des ouvriers enragés tombe t meurt. Les femmes qui sont complètement folle se vengent et lui prélève les organes génitaux pour les brandir en signe de victoire. Tout à fait normal, pas vrai cher lecteur ?
La foule est dispersée par l’arrivée des gendarmes que Catherine vient d’annoncer à Etienne. Un petit signe d’amour peut être quand pensez-vous, qui sait ?
La foule s’attaque à ma maison de M.Hennebeau. Les mineurs arrivent en criant: “- Du pain! du pain! du pain!” ils hurlent leur faim.
Pour en savoir plus je vous invite à lire cette partie, je vous assure elle est complètement captivante. Nous la marquons dans notre coup de cœur !! A la semaine prochaine pour un nouveau numéro sur Germinal. Soyez nombreux avec nous! A BIENTOT
Révolution,Trahison, Destruction
-Trahison Souterraine...
Chers lecteurs et chères lectrices dans cette V ème partie nous voyons que des trahisons se font de partout, chez les bourgeois comme les mineurs ! À Jean-Bart, les ouvriers font eux aussi la grève fasse à cette misère. Le directeur de cette mine, Deneulin se rend compte que les mineurs suivent Chaval, déterminé en tant que gréviste à faire régner son idée. Mais vous le connaissez chers lecteurs, ce Chaval vaniteux et facile à corrompre par la flatterie se fait "piéger" par le directeur lui promettant de le placer parmi les chefs. Chaval "retourna sa veste" et se mit à convaincre les ouvriers de se remettre au travail.
-Le Commencement de la Destruction!
Les ouvriers de Jean-Bart qui étaient redescendus dans la fosse, se firent piégés par les mineurs de Montsou qui coupaient les câbles et détruisaient petit à petit la mine. Ils réussirent tout de même à remonter à la surface par les échelles de secours mais se faisaient huer par ceux de Montsou qui leurs lançaient des regards noirs sous cette dure trahison. Etienne qui tentait en vain de les arrêter n'avait plus aucun contrôle sur cette foule enragée.
La foule de mineurs allait désormais de fosse en fosse: ils se dirigèrent vers d'autres mines, la Madeleine, la Victoire, Feutry-Cantel... où ils détruisirent quelques installations.
Catherine gifla Etienne lors d'une autre querelle entre, vous l'aurez deviné: Etienne et Chaval cependant ils étaient armés de couteaux mais elle empêcha le drame en les raisonnants.
-Trahison Bourgeoise.
Les mineurs se dirigent vers Montsou en réclamant du pain, ils s'en prenaient à la maison de M.Hennebeau qui venait de découvrir l’infidélité de sa femme. Un gros coup de couteau dans le dos pour ce dernier qui découvrit que l'amant de son épouse était tout autre que son neveu. Et bien oui chers lecteurs vous allez éprouver de la compassion, non pour les ouvriers ici, mais pour ce cher M.Hennebeau, trahi par son entourage.
En parallèle, les mineurs détruisirent l'épicerie de Maigrat qui fit une chute mortelle en essayant d'échapper à la colère de la foule.Catherine annonça l'arrivée des gendarmes qui dissipa la foule.
Dans cette partie plus horrifiante que les autres, mais cependant toujours aussi bien écrite et mis dans le contexte, vous allez éprouver beaucoup d'émotions chers lecteurs et chères lectrices.
La peine comme la compassion et la tristesse sont au rendez-vous, mais aussi de la cruauté envers les mineurs qui jusque là faisaient pitié, dans cette partie ils font preuve de cruauté inhumaine détruisant tous et toutes sur leur passage, causant la mort de certains et n'éprouvant aucune pitié.
Les questions d'aujourd'hui sont :
Vont-ils continuer ce massacre? Arrêteront-ils à temps? Es-ce la fin de la grève ou le commencement d'une révolution souterraine?
A bientôt pour un nouvel article, restez avec nous.
La suite la semaine prochaine!
~FEMME ACTUELLE~
À L'ASSAULT !
Je reviens pour vous parler de la partie 5 que je viens de terminer.
J'espère que vous avez eu le temps de lire la partie 4 et que vous savez qui est l'amant de Mme Hennebeau. Mais ne vous y tromper pas dans cette partie Mr Hennebeau decouvre tout comment va t-il reagir...?
Mais aussi au même moment la grêve s'empire, la violence,la mort, la corruption, la misère est partout.
Même les femmes qui au début représentait la douceur Zola fait paraitre les femmes sous leur vraies visages; guerriere, combattante, pour proterger les leurs. Je me demande même si Zola ne fait pas parti de notre "GIRL POWER"
Pendant la rébellion Chaval va trahir les ouvriers de Montsou mais pourquoi?
Qui Catherine va defendre entre Chaval celui qui l'a "voler" et Etienne notre "chouchou"?
Rendez vous dans cette partie pour tout savoir et à la semaine prochaine
" Lectures "
Cette semaine nous passons a la 5eme Partie , nous nous rapprochons de la fin , une partie très intéressante ...
Cette Révolte continue , les ouvriers décident de se battre et de convaincre les mineurs de ne pas travailler et si il refusent , ils les convaincrons par la violence. Chaval trahis les siens pour un poste haut placé et pour augmenter dans l'échelle sociale. On peut parler de guerre , les deux camps discutent mais ne cèdent pas et décident de passer a des moyens plus radicaux. Au fur et a mesure la colère prend le dessus , tout s'intensifie. Etienne qui était le chef incontesté perd peu a peu de son autorité , la situation stagne et les ouvriers décident d'agir en conséquence , tout pars " en vrille " , toutes ces émotions gardées au fond d'eux sortent , comme un ballon qui se perce et laisse éclater un bruit qui dans ce cas est une colère laisser pour compte trop longtemps. La rivalité entre Chaval et Etienne devient plus que grandissante , Catherine est au centre d'un triangle amoureux , elle a fait un choix , mais le bon ? En tant que lectrice je ne pense pas. Cette bataille mener entre les deux camps nous transporte et nous font réfléchir a pleins de questions , entre la raison et l'espoir d'une vie meilleure , le choix est difficile , un livre que l'on pourrai croire sans fin , dans lequel on se persuade de croire ce qui nous parais le plus juste.
La réponse la semaine prochaine ...
Votre journaliste , Océane
Saccage
Germinal de Zola 5eme partie
Notation : ★★★★★
Dans cette 5eme partie Zola vous offre un peu d’action.
Grève et Trahison
Alors que Chaval entraine ses camarades dans une grève acharnée, Mr Deuneulin semble désarmé. Ne sachant quoi faire il va tenter d’amadouer Chaval en lui proposant un poste de porion s’il faisait descendre ses camarades dans la mine. Celui-ci tomba en plein dans le piège, il changea tout de suite d’attitude. Il passa d’un homme meneur voulant que les conditions de travail change à un vrai traitre ne pensant plus qu’à lui-même, à son petit confort lorsqu’il sera porion. L’esprit d’entraide lui avait échappé.
Retour à la normal
Tous travaillent malgré leur rage. Chaval continue de malmener Catherine qui souffre à rouler les berlines sous une chaleur écrasante. Elle doit se déshabiller complétement pour continuer à travailler. De telle conditions de travail sont inacceptables, elle se montre nu devant tous ses camarades ! C’est une honte pour elle mais elle n’a pas le choix. Seulement voilà la fatigue l’emporta et elle tomba inconsciente. Mais son prince charmant était là pour le sauver, d’ailleurs il changea d’attitude il devenait gentil avec elle, c’était une grande première. Devait-elle faire plus de malaise pour qu’il puisse être sympathique avec elle ?
Panique sous terre
Alors que les grévistes coupaient les câbles de la cage, les ouvriers s’entassaient devant les échelles pour remonter à la surface. Malgré toute leurs bonnes volontés, ils avaient l’impression de ne pas avancer vous savez comme lorsque vous faites un rêve où vous devez courir pour sauver votre peau mais que vous n’y arrivez pas.
Retour en arrière
Les grévistes enragés décident de prendre les devants, c’est Etienne qui est à la tête. Ils vont de fausses en fausses en évitant les gendarmes.
Chaval est sous l’emprise d’Etienne qui l’oblige à suivre le mouvement. Leur rage est telle qu’ils détruisent tous sur leurs passages. Même les femmes armées de barres de fers se mettent à la tâche. On se croirait dans un jeu vidéo, on a l’impression que les ouvriers ne mesurent pas l’ampleur des dégâts tellement leur fureur est immense. Mais leur fureur était telle que plus personne ne pouvait les contrôler même Etienne que beaucoup d’entre eux écoutaient. Pourtant quelque chose les fit fuirent momentanément. Chaval en serait-il l’auteur ?
Je vous souhaite bonne lecture à tous et vous donne rendez-vous à la semaine prochaine pour la parution de l’article sur la 6ème partie.
PLONGEE DANS L'HORREUR !!!
Ames sensibles s'abstenir ...
Les mineurs, telle une marée humaine, déferlent vers Jean-Bart et les autres mines, en criant "Du pain , du pain, du pain". La faim qui les tiraille les rend agressifs, l'alcool échauffe les esprits. Etienne est dépassé par les évènements et ne peut empêcher la foule hurlante de détruire les chaudières de Jean-Bart et d'autres mines. Chaval est traité comme un traître et battu. Il est sauvé par Catherine qui gifle Etienne.
Les rumeurs les plus folles courent poussant les mineurs à revenir vers Montsou. En passant devant la maison de Monsieur Hennebeau, la foule compacte redevient menaçante, les pierres viennent frapper la demeure où sont réfugiés Monsieur Hennebeau et les Grégoire.
Monsieur Hennebeau, qui a eu la confirmation que sa femme le trompe avec son neveu Paul, s'enfonce dans une déprime. Il ne réagit pas assez rapidement à tous les messages envoyés par les différents porions. A tort, il ne croit pas au soulèvement des grévistes.
Les femmes sont les plus virulentes : La Brûlé, la Levaque, La Maheude vont même s'attaquer à la jeune Cécile qui n'a pas réussi à entrer dans la maison à la suite de Madame Hennebeau et des filles de Deneulin. Avant d'être molestée et même étranglée par le vieux Bonnemort, elle est sauvée par ce dernier.
Face à une telle violence, une telle haine, Etienne pousse les femmes vers le magasin de Maigrat. Avec une hache, il attaque la porte de la boutique. Maigrat qui s'était réfugié chez Monsieur Hennebeau, essaie par tous les moyens de rentrer chez lui afin de protéger ses biens. En tentant de passer par une fenêtre sur le toit, il tombe et meurt le crâne fracassé.
LE COMBLE DE L'HORREUR
Une scène abominable va alors se produire, sous le regard effaré des hommes. Les femmes, véritables harpies enragées, criant vengeance, vont se ruer sur le corps et le mutiler puis piquer les parties génitales de cet homme haï au bout d'un bâton
Encore bouleversé par la scène, Etienne n'entend pas Catherine qui vient le prévenir que les gendarmes arrivent, avertis par Chaval.
Tous les mineurs se dispersent rapidement, Etienne part se cacher. Seul le corps de Maigrat gît, là, sur la route ...
Que vont devenir les mineurs ? Que va devenir Etienne ?
POUR INFO : Vous pourrez également voir une interprétation cinématographique de Germinal Dimanche soir sur la chaîne D8 (Film de Claude Berri - 1993). A VOUS DE JUGER ...
Vengeance sanglante, trahisons répugnantes et démence
Pour les plus courageux d’entre vous qui auraient continué leur lecture, voici mon avis après avoir lu la Vème partie du roman Germinal : après quatre parties assommantes, Zola dépeint le portait de mineurs violents, brutaux, presque bestiaux.
Une partie faite de déloyauté et de trahisons
Le nombre de grévistes se réduit à vue d’œil, et vous serez exaspéré par leur faiblesse, leur lâcheté, eux qui ont trahi leurs camarades en retournant travailler. Cet agacement sera à son comble lorsque vous verrez que Chaval, l’un des plus fervents partisans de la révolte, se laisse corrompre pour une augmentation, mettant en péril les efforts des autres ouvriers. Vous vous demanderez comment cet homme peut être aussi malhonnête et égoïste : il ne pense qu’à lui-même ! Vous serez aussi désespéré en voyant Catherine prendre le parti de Chaval, pour des raisons qui paraissent incompréhensibles.
Le commencement d’une émeute sanglante et immorale
Suite à cette trahison qui nous inspire le plus profond dégoût, on comprend l’indignation des grévistes, qui sont eux aussi exaspérés par la lâcheté de leur « faux-frères ». Et vous assisterez alors à quelque chose d’inattendu : des mineurs déments saccageant tout sur leur passage, détruisant les mines, détruisant Montsou. Cette crise de folie vous décevra surement, vous ne comprendrez pas pourquoi ils deviennent aussi violents, aussi barbares. Qu’est donc arrivé au brave Etienne et à la méfiante Maheude ? Comment ont-ils put se transformer en monstres sanguinaires, avide d’une vengeance cruelle ?
De nouvelles descriptions qui n’apportent rien à l’histoire
Autre point décevant de cette cinquième partie, la description de la journée des bourgeois. Le point de vue des patrons est plutôt enrichissant, mais la journée de Mme Hennebeau ne nous intéresse pas ! Pourquoi Zola s’obstine-t-il à parler de personnages qui n’apportent rien à l’histoire ?
Pour ceux qui trouveraient encore la volonté de continuer leur lecture, rendez-vous la semaine prochaine pour une critique de la VIème partie.
…Le pain de la mort …
Voici cher lecteur la critique de la partie V de germinal ! Et nous pouvons vous dire que rien ne va plus ! Vous vouliez la révolte, de l’action, de la violence, et du sang ?! Vous serez servis !!
Les mineurs sont en colère ! Dans cette partie ils ont disjoncté ! On dirait qu’ils en veulent à tout le monde ! Au début de la cinquième partie ils vont faire une petite visite à Jean Bart pour voir les « traîtres » c'est-à-dire ceux qui sont descendu travailler notamment Chaval et Catherine. Et les grévistes de Montsou se déchaînent sur les autres mineurs : les rouent de coups, les insultent, les humilient… Et commence ensuite a détruire les machines de la mine … Bon on peut les comprendre, après tant d’années à creuser leur propre tombe dans la mine, à mourir de faim, de froid, d’être tellement pauvre et de voir juste en face de chez eux des gens riches qui ne manquent de rien et qui s’enrichissent sur leur dos, c’est vrai qu’on peut être un peu en colère après sa …
Emportés par la rage et la phrase très symbolique qui représente tout à fait cette partie pour moi : « du pain, du pain, du pain !!!! » ; ils font donc le tour des mines pour les détruire, ou plutôt se défouler.
C’est enfin se qu’on attendait (depuis 4 partie déjà) ! Côté action on est servis, même si il y a toujours avec ces interminables descriptions… Mais il y a certains points dans la révolte intéressants et d’autre plutôt inquiétant …
Le personnage qui nous a le plus ému dans cette partie est Catherine : la pauvre jeune fille, toujours malmenée par Chaval, se tue au travail mais cette dernière, à cause de la chaleur fait un malaise. Remontée à la surface elle est humiliée… Elle ne sait pas qui choisir entre Chaval ou Etienne. On est triste pour cette fille d’à peine 15ans pour qui son destin est incertain, sombre, même peut être cruel … Mais vous aimerez surement le courage qu’elle a quand elle s’oppose entre Etienne et Chaval, quand elle décide de suivre son amant ou quand elle prévient les mineurs que les gendarmes arrivent. C’est vraiment LE personnage principal de cette partie V.
HORRIBLE ! Attention ! Fortement déconseiller aux enfants !! Je me demande comment on peut écrire de telles choses, jugez en par vous-même lecteur : dans le dernier chapitre de la partie V, les grévistes se précipitent dans la boutique de Maigrat pour lui voler son pain ; il prend peur, monte sur le toit, tombe et meurt sur le coup. Bon outre le fait que Zola nous décrit la cervelle écrasé sur le sol, il nous raconte comment les femmes, enragées, décident de le castrer… Zola nous montre ainsi que c’est un pervers sadique.
Pourquoi nous décrire cette scène ? La Maheude lui fait avaler de la terre, on frappe son cadavre, sa suffisait ! Là on plonge dans l’atrocité, la monstruosité, la terreur…
Si vous voulez lire cette partie : âme sensible s’abstenir, déconseiller aux enfants (surtout avec la quantité d’injures toutes plus abominables les unes que les autres), c’est maintenant Catherine qui mène la danse et non plus Etienne qui est au contraire dévaloriser (c'est-à-dire ivre… mauvaise image !) , et les mineurs meurent encore de faim mais ils cassent tout comme de grands enfants… Ce n’est pas la révolte qu’on attendait vraiment, elle tourne plus au cauchemar !
Alors pour la critique de la partie VI de Germinal à la semaine prochaine !!
Une grève?
Partie V et toujours et encore "coups de coeur"!!!
Dans cette partie la grève? Euh... non la révolution est plus que jamais présente! Étienne qui cherchait une grève sans brutalité est lui même (à certains moments) devenu brutal. Cette partie montre toute les fosse qui se font massacrer une à une. Ces révolutionnaires sont des Usain Bolt inépuisables: ils démolissent tout ce qui est sur leur passage et ne s'arrête jamais. On se rapproche beacoup dans cette partie de la "Révolution Française". C'est pour moi toujours un coup de coeur (comme je l'ai dis au début) parce que: d'une j'aime le contexte historique dont il s'est inspiré (la révolution) et j'aime les situations d'injustice dont certaines que je ne citerais pas pour des raisons de sécurité. N'oublions pas un certains Chaval qui est en "couple" avec Catherine. Vous vous doutez que si je parle de lui, il doit bien se passer quelque chose non? En effet, ce personnage et grossier à souhait! Je le déteste plus que tout car il n'arrête pas de maltraiter Catherine.
Je ne peut plus dire si le camp des révolutionnaires est le camps des gentils ou non, il y a trop de violences dans leurs rangs, alors que les bourgeois, eux, ne peuvent rien faire dans la baisse de salaires. Ils y sont obligés.
Au final, Germinal, malgré de TRÈS nombreuses vulgarités voir même violations, est un roman à part entière.
S.B.
CINQUIEME PARTIE
Bonjour Chers Lecteurs,
Misère, corruption, faiblesse humaine, vengeance. Voilà ce qui vous attend dans cette Vème partie.
LORSQUE LE PEUPLE DEVIENT FOULE !
Je l’avoue, ce chapitre m’a beaucoup marqué car Zola dépeint magnifiquement la faiblesse des hommes et il faut bien avouer qu’ils sont faciles à corrompre lorsqu’ils meurent de faim ! Corrompre Chaval, c’est ce que Deneulin tente de faire en lui offrant un poste de porion s’il arrive à convaincre ses compagnons de reprendre le travail dans la fosse !
Une rixe survient alors entre les ouvriers de Jean-Bart et les ouvriers de Montsou ! C’est un chapitre terrible car on se demande dans quel camp nous aurions, nous-même basculés, si nous avions dû vivre cette horrible aventure ! Aurions-nous été parmi ceux qui résistent ou parmi ceux qui cèdent ? Est-il honteux de ne pas vouloir mourir de faim ? Est-il honteux de croire en ce que l’on nous promet ? Est-il honteux d’avoir envie de sortir de sa condition de misère ? CHAVAL est-il honteux ?
J’espère que vous serez comme moi passionné par ce passage où l’on voit progressivement le peuple se transformer en foule. Jusqu’à présent, il y avait deux univers : «les exploités et les exploitants». Ces deux univers vivaient de façon tout à fait indépendante. Ici, elles vont se rencontrer et s’affronter de façon dramatique.
Vous allez assister à une montée en puissance de la révolte où l’on s’enfonce sans cesse dans la dégradation. Les femmes vont s’offrir leur «grand soir» ! Maigrat, l’épicier et complice des «possédants» va même subir une castration !
On peut légitimement se demander s’il n’y a pas chez Zola, une véritable fascination pour le morbide !
Dans ce passage en tout cas, l’horreur est à son comble !
La suite vous attend !
~Des souvenirs à l’avenir~
Nous avions demandé de l’action de la part d’Etienne, et bien avec cette 5ème partie, nous sommes servis et le plat est plutôt chaud ! Nous n’avons même pas le temps de laisser refroidir notre plat que, déjà, la course effrénée des grévistes continue de fosses en fosses ! Jusqu’où sont-ils capable pour cette révolte ? Toujours avec l’espoir qu’Etienne fasse le premier pas vers Catherine pour faire avancer cette situation qui n’avance pas très vite, il faut bien le dire, c’est finalement notre petite Catherine qui va faire le travail d’Etienne en allant le prévenir que Chaval avait appelé la police. Vous vous souvenez de ce moment ? C’était au chapitre 6 ! A ce moment-là, j’ai eu l’impression que Catherine avait trahis Chaval pour finalement prévenir Etienne du danger ! Quel moment romantique pour nous les filles, bien que ça soit Catherine qui a fait le premier pas au lieu de Lantier. C’est à cet instant que je suis rappelé la 1ere partie de Germinal, cet instant où Lantier prend la place d’une femme dans la mine car celle-ci était décédée et cet instant où Lantier prenait notre Catherine pour un homme … Les rôles avaient été inversés ! Et on se retrouve dans la même situation à ce chapitre. Une coïncidence de la part de Zola ? C’est ainsi qu’on va terminer ce cinquième article critique sur Germinal et on se retrouve la semaine prochaine dans le prochain numéro. Rédactrice en chef : Marilyn Littière.>Parlons du Roman "Germinal" d'Emile Zola!<
Article n°5: cinquième partie.
RÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉVOLTE!!!!!!!!!
Waouh. Cette partie est incroyable!
Trahison, action, violence, horreur, sang! Il y a de tout!
Trahison.
Chaval est pris au piège, soit il décide d'avoir un plus haut rang au service de Mr Deuneulin, c'est-à-dire le poste de porion ou il choisit d'être le "lieutenant" d'Etienne!
Alors à votre avis, que choisit-il? Facile! Il accepte la proposition de Mr Deuneulin et fait descendre les grévistes dans la mine. Quel égoïsme venant de sa part mais ce n'est pas du tout surprenant.
Malgré cela, il dévoile une facette de lui qui me surprend en tant que lecteur! En effet, il devient gentil envers Catherine lorsque celle-ci s'était évanouie! Une surprise inattendue alors que Chaval lui criait dessus du fait qu'elle ne poussait plus la berline.. Bien évidemment cette surprise ne dura pas longtemps...
L'arrivée des mineurs fous.
Hé oui! Les compagnons d'Etienne ont décidé de tout saccager lorsqu'ils arrivent dans cette autre mine malgré les protestations du Maheu, de la Maheude et d'Etienne.
Ils voulaient d'abord remonter les hommes qui étaient entrés dans la mine mais les autres refusent. Selon eux, ce sont des traîtres qui ont osé descendre pour travailler et méritent donc la mort.
Auriez-vous fait pareil? Moi, non. Pourquoi? Car je ne suis pas sans âme, ni une personne qui aime tuer et ils restent tout de même des êtres humains.
Action et moment écœurant !
Etienne décidé d'attaquer la boutique de Maigrat.
Ah! Le pervers va enfin périr ! d'une façon assez.. dégoûtante?
Et donc ! Pour tous ceux qui sont sensibles, pas très fan du sang, un petit conseil: ne lisez pas cette extrait si ne voulez pas faire de cauchemar.. J'écris ça surtout pour les garçons..
Je vous laisse la surprise de le découvrir par vous-même!
Allez! Les gendarmes arrivent! Je dois vous quitter mes amis ! Ah j'oubliais: si cet article vous a plu, alors soyez à l'heure pour le prochain sur la sixième partie de ce roman si je ne fais pas attraper!
A bientôt!!
Article sur la cinquième partie de Germinal de Zola.
Note: 2,5/5
De l'action dan la monotonie !
Chers lecteurs, chères lectrices,
Après avoir lus ces quatre longues premières parties de ce roman que je trouve monotone jusqu'ici (appart quelques épisodes de la quatrième partie) Zola nous offre enfin quelques passages d'actions dans cette cinquième partie.
En effet, Zola met de nouveau de l'action dans son oeuvre se qui "relance" l'histoire, cependant nous avons toujours cette sensation de faire du sur place dans cette histoire. Il y a tout de même cette "guerre des clans" qui fait "renaître" l'histoire. Presque toutes les personnes se rebellent, une Révolution ? Dans cette partie nous assistons à une révolte, celle des mineurs qui deviennent violant, enragés et énervés.Vous pourrez aussi , si vous continuer la lecture de ce livre, assister à une scène "émouvante" comme celle de la mort d'un homme...
Je vous dis au revoir bonne lecture pour ceux qui ont le courage de continuer ! Et à la semaine prochaine pour l'article sur la sixième partie de Germinal.
Germinal Partie V
Bonjour chers lecteurs,
Misère, trahison, corruption et anarchie sont au rendez-vous!
Trahison :
A travers ces pages, Zola nous montre la faiblesse de Chaval qui succombe à la tentation de devenir maître porion. En tant que lecteur notre dégoût envers ce fourbe et malsain personnage n’est qu’augmenté, j’irais même jusque dire que ce personnage me répugne.
Du côté de chez les riches, la jalousie s’installe entre M. Hennebeau et Négrel .Effectivement, le « pauvre » M. Hennebeau est rendu cocu par son neveu, celui-ci est alors anéanti ; il pourrait presque nous faire de la peine.
La course à la grève :
Les mineurs n’en peuvent plus ! Déjà un mois qu’ils serrent le ventre, il y en a marre, il faut frapper fort ! C’est ainsi que tous les grévistes engagèrent une course effrénée pour faire fermer les autres mines en coupant les câbles des ascenseur . Le texte donne l’impression d’assister au Tour de France dont les étapes correspondraient aux mines encore ouvertes. Une véritable impression de vitesse et de destruction s’installe en nous.
La violence s’installe :
Dans cette partie, la révolte des grévistes se transforme en haine, ils ne cherchent plus à arrêter les mines mais à se soulager par la destruction. Etienne ne contrôlant plus la situation, décide d’envoyer la foule s’attaquer au magasin de Maigrat. Celui-ci se réfugia sur le toit d’où il tomba et mourut sur le coup, les hommes se calmèrent alors. Alors que les femmes de leur côté mutilèrent le corps de Maigrat en l’émasculant et en humiliant son cadavre pour se venger de tous ce qu’il leur avait fait subir. C’est ainsi que nous découvrons les mineurs sous un nouveau jour, un jour à tendance sanguinaire, voire même sadique.
Cette partie est un délice à lire, l’action et les rebondissements ne manquent pas. Note: ✮✮✮✮
On se retrouve la semaine prochaine pour la Partie VI !
Bonjours a tous comme chaque semaine je vous fais partager ma lecture du moment. Cette semaine sans étonnement c'est la partie 5 de Germinal d'Emile Zola. La tristesse et l'horreur continue.
GERMINAL PARTIE 5, une scene d'horreur.
Dans cette partie vous serez au premier plan d'une scene d'horreur qui vous choquera peut-etre. Maigrat l'épicier pas tres apprecier par les mineurs et leurs femmes, va décéder lors d'une chute. Ce qui n'est peut etre pas tres triste, vous pourrez considéré cela comme mérité mais je n'en suis pas si sur...... Il y a des détails peut etre trop debordant sur son cadavre. Les femmes et les ouvriers le torture même apres qu'il soit mort. Une vrai scene d'horreur, vous imaginerez ce corps sans vie mutillé ect. Je pense qu'on sort un peu du sujet mais qu'est ce qu'une histoire sans péripeties. Un peu d'actions, cela ne fait pas de mal, je pense.
L'INVASION DESTRUCTRICE DES MINEURS.
J'ai bien dit un peu d'actions... Et bien oui on retourne dans une sorte d'ennuie lorsque les ouvrier accompagnés de Etienne vont envahir Jean Bart pour "saboter la mine". Trop de détail, de passages peut etre pour raconter cela. Ce n'est pas vraiment interessant de savoir qu'ils ont aussi detruit des cables ect. Les mineurs de Montsou ont saboter plusieurs autre mine. Vous aller etre emporter dans ces invasions sans pas vraiment tout comprendre. L'ennuie is back !!!
Etienne et Catherine, plus d'espoir ???
Dans cette partie, Catherine a l'air bien décidé a rester avec Chaval à notre grande déception. Elle le défendra meme lors d'une dispute avec des couteau le considérant comme son "homme"malgres des coups quel supporte. Cétait l'amour entre Etienne et Catherine qui redonnait du pepse à cette histoire. Si cela est fini, est-ce que les prochaines parties seront enuyeuses ? En tout cas les deux hommes en sont bien venu au main. En tous cas Chaval ne sera décidement pas votre personnage favori, traitre, egoiste,agressif. Il posssede tous les défauts que peut avoir un homme. On se demande pourquoi Catherine ne le laisse pas tomber pour Etienne.
Une partie 5 assez decevante, on s'attendait a un peu plus d'actions. A LA SEMAINE PROCHAINE CHER LECTEUR POUR LA PARTIE 6.
Mag'anarchie articles littérature : Germinal 5ème partie
Cette partie qui m'a plutôt plu obtiendra pour moi un 7/10, car je n'oublie pas que Zola donne toujours ce côté sombre et sordide, qui, étrangement me déplait, alors que dans d'autres livres m'attire.
A très bientôt pour le prochain article
CULTURE MAGAZINE
"Lectures"
Germinal : Partie 5
Très chers lecteurs, bonjour ! Nous voici déjà au cinquième article critique concernant Germinal. Le temps passe vite, n'est-ce pas ? Bien, trêve de bavardages, passons aux choses sérieuses !
Cette cinquième partie rime avec action ! Oui, ENFIN !! Enfin, un peu de rebondissements au milieu de ces interminables descriptions ! Je crois pouvoir affirmer que c'est la première fois depuis le début du roman, que les évènements s'enchaînent ainsi et où il n'y a pas de long moment d'attente synonyme d'ennui... En effet, les mineurs de Montsou sont bien déterminés à généraliser cette grève qui dure depuis deux mois, et ils emploient les grands moyens : c'est le moins qu'on puisse dire !! Les femmes, jusqu'ici bien tranquilles au foyer et se contentant de puérils commérages, deviennent de véritables furies détruisant tout sur leur passage. Une chose est sûre, dans cette partie, les nobles ne sont pas en bonne posture et le cortège des mineurs affamés qui défile dans les rues leur "remet les pieds sur Terre", si l'on peut s'exprimer ainsi. Cette partie marque alors une sorte d'étape car les nobles réalisent qu'à un certain point, des milliers de femmes et d'hommes au ventre vide, dont ont écoute pas les revendications, peuvent décider d'agir et de sortir de leur soumission pour obtenir de quoi manger. Mais ce n'est pas tout ! Dans cette partie, Chaval dévoile enfin son vrai visage. Jusqu'à maintenant, son caractère, ses actes, et sa relation avec Catherine et avec les mineurs étaient assez ambigus et flous, mais à présent, il est clair que cet homme est un traître, vaniteux, lâche, ambitieux et facile à corrompre par la flatterie puisqu'il est capable de trahir ses camarades pour la promesse d'un poste de porion. Et finalement, cette partie nous montre une Catherine tiraillée entre Chaval qui la soumet, mais pour qui elle voue une admiration naïve et sa famille (Etienne comprit), qui ne lui adresse plus la parole depuis qu'elle a quitté le foyer familial. Plus la fin approche, plus le suspense monte ! Alors jusqu'où iront les mineurs pour obtenir du pain ? Les nobles vont-ils résister où de rendre au peule ? Et Catherine a-t-elle définitivement rejoint sa famille où se laissera-t-elle amadouer une fois de plus par Chaval ? Pour la suite des évènements, rendez-vous la semaine prochaine, même jour, même page ! Bonne lecture !
LA REVOLTE DEGENERE …
La grève continue mais la fosse Jean-Bart pose toujours un problème ! Alors que les ouvriers commençaient à arrêter de descendre dans la mine, Chaval se fait naïvement amadoué par le porion Deneulin qui lui promet d’être riche et il ordonne aux mineurs de continuer à travailler. Cependant, les mineurs de Montsou arrivent à grande vitesse pour couper les câbles. Commence alors une course contre la montre pour que les ouvriers de Jean-Bart réussissent à sortir. Ils se voient obliger de prendre les échelles de secours et cela est une véritable épreuve pour eux. En tant que lecteur, cette montée nous donne l’impression de gravir une montagne : on avance, on avance, mais on croît être toujours au même endroit tant cette montée est longue et difficile. Les mineurs arrivent tout de même à sortir après de multiples efforts. Et une fois dehors, ils ne peuvent se reposer. On ressent de l’oppression causée par les cris des ouvriers de Montsou qui traitent les mineurs de Jean Bart de « traîtres ».Dans cette partie, Etienne a beaucoup de mal à contenir la rage de ses camarades. Ces derniers détruisent tout sur leur passage malgré ses cris pacifistes et il voit sa bande échapper à son autorité. Dans ce passage, on ressent la souffrance d’Etienne dans son orgueil de chef. Tous ces plans ne se sont pas passés comme prévu. Même les femmes, qui sont pourtant des êtres doux, sont violentes et sans pitié !! Après avoir détruit la fosse de Montsou, la foule se dirige vers les autres fosses avec la seule intention d’arrêter partout le travail. Elle détruit tout sur son passage telle un bulldozer énorme !! Une fois le tour de toutes les fosses terminé, les mineurs arrivent tout droit sur l’épicerie de Maigrat qu’ils détruisent. En essayant de s’échapper à la colère de la foule, Maigrat fait une chute et meurt. Les femmes se considèrent vengées par cette mort et elles décident de lui prélever les organes génitaux pour les brandir ensuite en signe de victoire. Zola nous montre ici une scène très « cru » voire « sale ». L’arrivée des gendarmes disperse tout le monde et la révolte est finie pour ce jour.La résistance va-t-elle continuer de plus belle ou bien enfin s’arrêter pour stopper le massacre qui est en train de se produire ?
Etienne va-t-il réussir à reprendre le contrôle de la situation et calmer ses troupes ?
Retrouvez-nous la semaine prochaine pour la Partie VI !
Le dénouement de l’histoire approche !!
Je vous souhaite donc bonnes lectures chers lecteurs !!
Partie 5 du roman Germinal de Zola
Bonjour chers amis lecteurs,
Guerre , vengeance et misère, ces mots représente cette 5 eme partie de Germinal.
Dans cette partie, Zola nous montre la faiblesse et la facilité a convaincre des hommes et les corrompre est bien facile lorsque leur vie est en jeux ! Corrompre Chaval, c’est ce que Deneulin essaye de faire en lui proposant un poste de porion si il convainc les ouvrier à reprendre le travail dans la mine !
Une guerre va éclater entre les miniers de Jean-Bart et les ouvriers de Montsou ! Le lecteur se fait cette réflexion : Quel camp aurais-je choisis ? Aurais-je été parmi ceux qui persiste ou parmi ceux qui abandonne ? Est ce une honte d'essayer de lutter , de survivre contre la faim ? Est ce une honte de croire aux promesse ? Est ce une honte de connaître autre chose que la misère ? Alors Chaval est-il quelqu'un de honteux ?
Cela n'empêche pas que les ouvriers de la mine de Jean-Bart se voient en très grand une fois descendu dans le gouffre. On entend a tout bout de champs : «ceux de Montsou coupent les câblent !»... Les hommes sont devenus incontrôlable , la misère rend fou et Etienne n'arrive plus à maîtriser la situation. Les femmes ont soif de vengeance et prélevent à Maigrat ses organes génitaux !
L’horreur est au rendre vous dans cette 5eme partie !
La suite la semaine prochaine...
♥ Les Coups de cœur et Les Coups de gueules ☹
☹ Coup de Geule ☹
❥ La rédac de Grazio
Enfin ça commence !
Comme promit nous nous retrouvons aujourd'hui pour aborder la cinquième partie de Germinal. Eh bien je dois avouer que cette partie est de loin la meilleure que j'ai lue jusqu'ici. Nous évoquerons donc les points positifs mais aussi les points négatifs de cette partie.
Pourquoi autant de temps ?
Dans cette cinquième partie Zola décide enfin de nous donner de l'action mais pourquoi aussi tard. En effet, il faut lire les quatre parties précédentes qui je le rappelle sont d'un ennuie mortel pour voir les mineurs déclencher une révolution. Le sentiment d'avoir perdu son temps est très fort à ce moment précis. Je dois avouer que les premières pages de la cinquième partie mon terriblement troublés. En effet, lorsque Deneulin est appelé a Jean-Bart, nous lecteur sommes pris d'adrénaline, nous ne voulons qu'une seule chose c'est de savoir ce-qui ci passe ! Mais Zola encore une fois nous énerve avec des descriptions qui semblent à mon goût trop longue et inutile.
Zola sort l'artillerie lourde
Après avoir évoqué les aspects négatifs de cette partie il me tarde de vous donner les aspects positifs. Lorsque enfin nous arrivons à Jean-bart, Zola n'hésite pas à envoyer tout ce qu'il a en stock pour nous faire oublier les lignes précédentes qui nous faisaientt dormir. En effet, lorsque la révolution commence elle commence fort. Plongé au coeur de la mine à plus de sept cents mètres de profondeur, la rumeur que les hommes de Montsou coupent les cables sème la panique. Et nous somment donc prit dans un tourbillon d'homme tentant de sauver leur vie dans un tumulte infernal. Je tire mon chapeau à monsieur Zola car pour moi cette scène est d'une beauté sans pareils. Chaval qui avait tourné sa veste pour une augmentation est donc pris au piège dans la mine puis par les hommes de Montsou indignés que l'un des plus fervents défenseurs de la grève puisse les lâcher ainsi. Mais pour moi cette trahison sonne plutôt comme un avertissement : Si Etienne ne peut pas gérer l'avenir d'un seul homme qu'en sera-t-il de plusieurs milliers ? Et cette question eut une réponse quelque ligne après puisque les grévistes devenus maintenant révolutionnaires commencent à détruire tous sous le regard impuissant d'Etienne.
La course aux ouvriers
Les révolutionnaires décident donc d'aller dans les fosses voisines pour faire sortir les derniers mineurs et pour casser les installations. Lorsque les ouvriers furent nombreux ils décidèrent d'aller à la direction. Et c'est à ce moment-là que cela devient du grand n'importe quoi. Pour ma part cela ressemblait plus à un troupeau de moutons guidés par leur bergé ivre dans une course sans but. Des femmes devenues complétement folles, des hommes prient de colère et des enfants faisant des farces, un festival de cailloux enfin bon du n'importe quoi ! Cela nous donnerait presque envie de vomir lorsque les femmes s'acharnent sur le corps de Maigrat, mort en tombant d'un toit. Du sang du sang et du sang, c'est plutôt cela qu'ils auraient dû crier. Mais le comble est que tous n'arrêtent pas de dire qu'ils peuvent mourrir pour cette révolution cependant tous fuient les gendarmes alors que nous lecteurs pensions qu'ils se battraient afin de montrer qu'ils ne sont pas ici pour rien.
3,5/5 : Zola nous donne de l'action cependant cela manque d'organisation et il reste beaucoup trop de description qui viennent couper le rythme du récit.
Adrien Gaillard, rédacteur en chef
Les bêtes sauvages
Aujourd’hui, dans l’article de la cinquième partie de Germinal, je vais contredire toutes les idées que j’ai pu évoquer dans les quatre premières parties, qui disaient que se livre était agréable à lire et qu’il pouvait être lu par n’importe qui. Dans cette cinquième partie, les mineurs continuent leur grève mais d’une manière complètement différentes.
Le début de la « vraie bataille
Tout d’abord, les mineurs ont cessé d'être gentils et de discuter, ils agissent. Ils ont décidé de s’en prendre aux mines, aux biens matériels pour empêcher les mineurs des autres fosses à travailler et à descendre dans la mine. Pour cela, ils coupent les câbles des remontés, ils incendient les fours à coke et ouvrent les gaz. Ainsi, ils font comprendre leur colère et leur force de persuasion des autres mines, ils se vengent de la Compagnie et menaces les ouvriers déjà descendus.
Place à la Violence
Les mineurs pris de colère, en viennent aux mains, ils menacent de mort ceux qui ne sont pas de leur côté et arrivent même vers la fin de cette partie, à attraper une bourgeoise, la fille des Grégoire, la déshabille, l’humilient et tente de la fouetter devant tous les mineurs, spectateurs. Affamés ils s’en prennent à Maigrat et à sa boutique. Essayant de trouver une issus par le toit Maigrat, pris de panique et d’angoisse car les mineurs l’avait vu et ils criaient qu’ils allaient le tuer, est tombés du toit et est mort sur le coup. Donc les mineurs ont également « poussé » un homme vers la mort. Mais ils ne coptaient pas s’arrêter là, les femmes se mirent à crier des injures sur le corps inerte, ce qui une façon pour elles de se venger.
La transformation
Dans cette partie, les mineurs changent complètement ils passé d'hommes courtois et aimables à de pauvres bêtes féroces. Ils sont plus violents et agressifs que jamais, ils sont pareils à un groupe de loups enragés et affamés.
Cette partie est très violente, agressive et surtout très vulgaire. Qui a envie de lire un livre dans lequel les mots « salop », « pervers » ou bien encore « sales gueules » sont employés.
Pour ma part, cette partie me déçoit beaucoup car les mineurs sont inhumains, se sont devenu des monstres, c’est pour cela que j’ai décidé de lui attribuer la note de 3/10
Rendez-vous dans la prochaine parution pour connaitre la suite des évènements.
Bonnes lectures tout de même !
Une promesse, un traître, une révolution
De retour pour la cinquième partie de ce roman qui commence à devenir très intéressant! Beaucoup de choses vont se passer et donner suite à ce que tous les lecteurs attendent : une vraie révolte ! Je dis "vraie" car les mineurs avaient déjà fais une sorte de révolte en faisant la grève mais maintenant ils ont décidés de ce rebeller une bonne fois pour toute contre le pouvoir capitaliste.
Deneulin apprend que sa fosse se met en grève, et tente de convaincre les mineurs de continuer à travailler. Il sait que si la grève éclate chez lui, la compagnie avalera sa mine. Il a l'ingénieuse idée de corrompre Chaval. Il voit en lui le meneur, et lui propose un poste de chef si la grève est évitée. Personnage égoïste et avide de pouvoir, Chaval accepte et met un terme à la révolte : il trahit Etienne et les mineurs de Montsou !
Vous l'aurez compris ce "traître" n'est autre que Chaval. Nous pouvons voir que par cet acte de lâcheté, une personne peut trahir plusieurs personnes juste pour un poste de chef ! C'est honteux !
Catherine a repris le travail depuis deux heures à Jean-Bart alors qu'elle est victime d'un autre danger de la mine : un coup de grisou lui fait perdre connaissance quelques instants. Chaval s'attendrit, il a eu peur pour Catherine.C'est alors que la mine se met en émoi, de toute part on crie :"Ceux de Montsou coupent les câbles ! Que tout le monde sorte !".La seule issue restante est de remonter par des échelles de secours.
La montée est difficile,des altercations ont lieu, les échelles se cassent, les mineurs sont trop nombreux... Mais ils réussissent à retourner à la surface. Ils se retrouvent,éblouis par le jour, au milieu d'une foule hurlante et huante : "ceux de Montsou" les attendent, la situation s'annonce tendue. Le début de la révolution commence enfin !
Un petit retour en arrière s'impose : pourquoi les câbles ont-ils été coupés ?Que s'est-il passé ? A la fin de la quatrième partie, Chaval avait promit aux grévistes que les mineurs de Jean-Bart les rejoindraient. Etienne est sceptique ; il doute de la bonne foi de Chaval. Il part donc, avec 300 compagnons, en direction de Jean-Bart. Ils comprirent rapidement qu'ils avaient été trahis par ceux de Jean-Bart,menés par Chaval.Ils assurent à Deneulin, le directeur de la mine, qu'il "faut que le travail cesse partout". Deneulin refuse de faire remonter ses ouvriers, malgré la colère croissante des manifestants. Etienne tente de parlementer, mais c'est trop tard.Les mineurs, surexcités, donnent l'assaut, et en quelques instants les installations de Jean-Bart leur appartiennent. Deneulin est épargné, grâce aux principes pacifistes d'Etienne. La foule veut détruire les installations, alors que l'idée de punir les traîtres en coupant les câbles s'impose. Ils laissent cependant les échelles intactes, ne voulant la mort de personne. Puis les mineurs (surtout les femmes) s'attaquent aux chaudières, et en quelques minutes, tout est détruit. Toute reprise de travail à Jean-Bart devient donc impossible. Puis les "traîtres" remontent. Les grévistes se rangent en deux files à la sortie,afin de les obliger à passer devant ceux qu'ils ont trompés. Chaval est blême de peur. Les mineurs de Montsou décident de se diriger désormais vers les autres fosses. Ils emmènent Chaval et Catherine tétanisés, en symbole de leur force grandissante. Malgré leur force, les mineurs en colère prennent garde de ne pas tomber sur les gendarmes.
Les mineurs se dirigent vers la direction, à Montsou, pour obtenir du pain!
Le siège de la maison des Hennebeau débute. Les pierres volent, les insultes fusent... Les Grégoire arrivent chez les Hennebeau, sans trop d'encombres.C'est alors que les promeneurs reviennent, et les mineurs prennent d'assaut l'arrivée en calèche des bourgeois. Cécile est engloutie par la foule, insulté et humilié. Heureusement, Deneulin intervient à temps pour éviter la mort de la jeune femme.Etienne tente de calmer la foule en les réorientant vers l'épicerie de Maigrat. La foule affamée et éreintée encercle rapidement l'épicerie. Ils débutent la destruction de la boutique et pillent ce qui reste. En tentant de fuir, Maigrat fait une chute et meurt. Les femmes sont soulagées, justice est faite, il n'abusera plus des femmes qui ne peuvent payer. Folles de joie, elles lui prélèvent ses organes génitaux, qu'elles brandissent en signe de victoire. Mais la foule est vite dispersée par l'arrivée annoncée des gendarmes.
Ça y est ! L'action, la révolution et la vengeance sont enfin au rendez- vous ! Les mineurs sont vraiment décidés à changer de vie . Ce livre devient très intéressant pour moi même si cela n'était pas gagné !
Note : ★★★★★
Rubrique Lecture : GERMINAL Partie V
Comme dans les précédentes parties, la lecture de Germinal me frappe par le caractère intemporel des aventures des humains, leur colère qui se manifeste avec toujours plus de violence, dans l’univers de Zola comme dans les évènements historique ou les faits d’actualité. Pour comprendre l’être humain dans son esprit de révolte, je vous encourage à lire cette partie V.
Germinal, une manifestation révolutionnaire.
Assurée de retrouver dans l’écriture de Zola les moindres détails, cette partie m’a fait découvrir la montée en puissance de la colère des mineurs. Le groupe des ouvriers grévistes se déplace dans toute la région et se renforce à chaque pas. Plus ils sont nombreux, plus la colère qu’ils expriment grossit. Si vous êtes convaincus, comme moi, que Zola s’est inspiré des évènements de la Révolution Française, ne vous attendez pas dans ce passage à voir le peuple se soulever dans une action symbolique comme le fut la Prise de la Bastille, mais les dégradations restent importantes vu la violence du mouvement. Je suis aussi frappée de retrouver dans notre actualité, la même expression de la colère des hommes. De la Bretagne jusqu’à la capitale, le groupe des Bonnets Rouges prend de l’ampleur et manifeste avec violence son opposition aux projets de taxes sur le transport. Comprenez-vous maintenant les objectifs de ce mouvement ?
Germinal, des louves enragées.
Lors de leur manifestation, les mineurs vont détruire tout ce qui se trouve sur leur passage : de la mine jusqu’au commerce de Maigrat. Enfin les femmes se lancent dans le combat ! Jusqu’à présent prudentes et réservées sur les conséquences d’un tel mouvement, elles sont maintenant plus déterminées que leurs hommes. Mais pourquoi cette détermination à ce stade de l’histoire ? La mine rend malade leurs maris, les propriétaires les laissent mourir de faim, elles et leurs familles, et Maigrat profite de leur misère pour les soudoyer. Toutes ces souffrances, enfouies depuis des années, explosent et désignent les coupables comme des cibles, des proies de choix pour des femmes désespérées, comme le sont des agneaux pour des loups affamés. Entendez-vous le cri de ces femmes sous l’emprise de la colère ?
L’histoire s’achève bientôt alors plus que jamais n’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires à l’adresse du siège du magazine Tout pour Vous.
C’est repartis, nous nous retrouvons cette semaine dans avis de lecteur pour la V em partie de Germinal. Serons-nous déçus et endormi ou ravi les yeux plein d’action qui traverserait enfin ces barreaux qu’étaient les lignes des chapitres précèdent ?
Fausse alerte
Ce chapitre commence à la mine de Jean-Bart ou tout le monde dort chez ces fainéants de Deneulin. Mais plus pour longtemps puisque un porion vint sortir Deneulin de son lit pour lui rapporter que les ouvriers ne veulent pas descendre à la mine. Deneulin fut paniqué. Mais arriver sur les lieux il se trouva rassuré de ne voir que ce n’était que la bande de Chaval qu’il endormirait facilement avec des promesses d’une augmentation. Ce qu’il fit en lui disant qu’il deviendrait maître porion. Chaval descendit alors dans les abysses noirs de la mine Jean-Bart. Nous, lecteurs sommes à se moments la exaspéré par ce personnage que l’on savait pourtant fourbe… Profitant alors de son autorité qui lui fut léguée il maltraitait et insultais Catherine qui agonisait dans les entrailles de cette chose qui les dévorait tous. Mais cette fois si, après s’être ridiculisée de par sa nudité devant les hommes, elle s’évanouit dans le gaz asphyxiant de ce couloir. Cet fois ci j’ai vraiment cru que c’était la fin de Catherine, de la seul chose qui paraissait belle et pur de ce récit assombris par la houille. Mais non c’était enfaite un petit coup de théâtre de la part de Zola. Mais une nouvelle alarmante parvint à l’oreille de Chaval qui venait de sauver Catherine évanouit, on avait coupé les câbles des cages. En effet l’armée ivre de vengeance d’Etienne était venue massacrer Jean-Bart.
Flash-Back et vengeance
Mais second coup de théâtre de Zola, il nous fait un « flash-back » d’abord perdu nous comprenons que ce petit pervers de Zola nous a fait faire un retour dans le temps auprès d’Etienne. Nous nous retrouvons alors aux coté de cette armée déchainée. Semblable à une vague destructrices, l’armée grossissante d’Etienne dévore tous sur son passage et ne laisse que traitres caillassés ou machines écrasées. Mais nous serons déçu, car nous aussi emporté par cette armée et saoulé par ces lignes de vengeances, on se rend compte qu’Etienne repose les pieds sur terre en épargnant un vieillard défendant sa mine qui l’a tant rongé pourtant… Mais notre fureur reprendra quelques lignes plus tard sur d’autres mines. L’autre évènement qui fut important à mes yeux, fut ce règlement de compte fait à Maigrat par les femmes du coron, elles lui prélevèrent belle et bien cette arme dont il se servait tant pour faire payer les dettes aux jeunes filles… Oui, elles lui arrachèrent le sexe sanglant qui avait surement retiré la virginité et la dignité de certaines jeunes filles…. Justice est faite durant ce chapitre !
LIVRES:
La colère ivre:
L'action apparaît de façon brute et inopinément. Qui s'attendait à une tel colère, ce roman qui autrefois si ennuyant attise maintenant la peur chez nous les lecteurs
Les mineurs étant affamées crie " du pain,du pain,du pain!!!" et avec l'alcool en plus leur colère ne fait qu'augmenté leur colère..Etienne n'aura plus aucun contrôle et cela va dégénéré, les mineurs iront détruire les usines, tabasseront Chaval et bien sûr Catherine viendra le défendre en giflant Etienne. Vous serez surpris sur le plan amoureux où Catherine en mettant une gifle à Etienne montre qu'elle restera avec Chaval qui est traité de traître et qu'Etienne ne sera jamais avec elle ou est-ce qu'un autre bouleversement va arriver ?
Sur la violence des mineurs où les La Maheude, La Brûlé et La Levaque attaqueront la jeune Cécile mais qui sera sauver par le vieux Bonnemort, où lorsque l'épicier qui mourra en tombant d'une fenêtre de son toit.
On lui découpera ces parties génitales pour les accrochés à un bâton, ce qui est atroce. Zola passe d'un extreme à l'autre, de l'ennuie à la peur, de l'agacement à la terreur. Les gendarmes interviendront et cela va faire fuir les mineurs mais comment vont-ils finirent et que va devenir Etienne ? Espérons que l'histoire deviennent de plus en plus attirante et qu'on continue d'avoir de l'action.
Je vous écrirait mon nouvel article sur la partie VI de germinal la semaine prochaine
Rébellion
Révolte et trahison
Chers lecteurs, la critique de cette semaine est la cinquième partie de Germinal.
Dans cette partie tout part en vrille, les mineurs sont plus révoltés que jamais!
Si vous vouliez plus d'action vous êtes servis! En effet, bien que les précédentes parties laissaient quelque peu à désirer, la cinquième partie est bien au contraire riche en action. Les mineurs qui jusqu'à présents faisaient des réunions et des grèves pour améliorer leur situation se transforment en des personnes méconnaissables, des personnes avides de bagarre et de sang pour obtenir ce qu'ils réclament depuis si longtemps.L'opposition bourgeois, mineurs est bien là. Malgré les efforts des bourgeois pour rétablir le calme, les mineurs veulent se venger! Les épouses des mineurs qui étaient si douces sont maintenant prête à tuer pour du pain, plus rien ne les effraient! Cependant je trouve leur comportement légèrement excessif. Pourquoi continuer a mutiler Maigrat alors que celui-ci est mort?
avec lui. J'aurais pensé qu'elle soutiendrait sa famille mais au lieu de ça elle trahis les mineurs elle aussi. Mais le fait qu'elle est prévenue Etienne de l'arrivé des gendarme prouve qu'elle essaie de se racheter et c'est pour cela que ce passage m'a plus.
Cette partie est stimulante malgré les longues descriptions qui viennent compromettre le récit mais le comportement est trop excessif à mon gout.
Note: 3/5
C'est ainsi que ce termine cette cinquième partie de Germinal, bonne lecture et à la semaine prochaine!
Entre Violence, Révolte et Trahison
Chers lecteurs,
Nous passons maintenant à la cinquième partie de Germinal. Par bien des aspects la succession des évènements est surprenante de rebondissements. Autant pour la tournure des événements attisés par la faim et l’énervement, que par la folle violence entre mineurs qui prend une place importante. Mais aussi par la trahison inattendue de certaines personnes.
La Révolte continue , les ouvriers décident de se battre et de convaincre les mineurs de ne pas travailler et si il refusent , ils les convaincrons par la violence. Chaval trahis les siens pour un poste haut placé et pour augmenter dans l'échelle sociale. On peut parler de guerre , les deux camps discutent mais ne cèdent pas et décident de passer a des moyens plus radicaux. Au fur et a mesure la colère prend le dessus , tout s'intensifie. Etienne qui était le chef incontesté perd peu a peu de son autorité , la situation stagne et les ouvriers décident d'agir en conséquence , tout pars " en vrille " , toutes ces émotions gardées au fond d'eux sortent , comme un ballon qui se perce et laisse éclater un bruit qui dans ce cas est une colère laisser pour compte trop longtemps. La rivalité entre Chaval et Etienne devient plus que grandissante , Catherine est au centre d'un triangle amoureux , elle a fait un choix , mais le bon ? Entre la raison et l'espoir d'une vie meilleure , le choix est difficile.
La semaine prochaine, je vous écrirai un autre article sur la prochaine partie de Germinal.
Terreur, horreur et malheur:
3 mots qualificatifs du mot Mine.
Dans cette partie V que je n'ai pas aimé du tout, la guerre sera déclaré.
"Aux armes, citoyens ! Formez vos bataillons !"
La guerre est déclaré, Maheu et Etienne décident de convaincre les mineurs de Jean Bart qui sont les seuls à continuer à travailler, pour attaquer la mine de Montsou.
En effet Etienne les qualifient de traître, il se rend donc avec son équipe dans chacune des mines de Montsou pour convaincre ou plutôt forcer les mineurs à le suivre dans sa démarche, contre l'injustice qu'est la mine. Les bourgeois sont à bout..
Etienne et Maheu vont-ils arrivés à leur fin ? Les bourgeois seront-ils obligés de se rendre ?
Toutes ses réponses dans le prochain numéro de Germinal, je vous invite à lire ou ne pas lire cette partie, comme bon vous semble.. Elle ne pas rien inspiré de concret, c'est une partie qui comporte des scènes censurable..
A la prochaine !
Chroniqueur : Hicham Ahil
Note: ★
Mes salutations amis lecteurs,je vous invitent aujourd'hui à vous penchez sur la 5ème partie qui parait pour moi la plus mouvementé et la plus intéressante à mes yeux .C'est pour cela que je vais vous faire part de mon avis sur cette partie.
La foule se dirige vers les autres fosses aussi à la seule intention d’arrêter partout le travail ,ça ressemblait plutôt à un troupeau de vaches qui essaye de luter, de survivre contre la faim.
La foule était aux ordres d'Etienne,on n’obéissait plus qu'a sa colère!!!Zola nous montre parfaitement quelle place porte Etienne au sein du groupe ,Zola nous montre aussi qu'Etienne est bien le chef des mineurs.
Les questions que nous pouvons nous poser sont nombreuses !!!!
La GRÈVE va-t-elle s'empiré?Est-ce que les mineurs renonceront--ils à poursuivre la grève malgré le froid et la faim qui les menacent?!!!
Nous verrons tous cela la semaine prochaine dans une prochaine revue critique pleine de suspens !!!
A bientôt et bonne lecture...
Lecture, émotion et frisson,
Aujourd'hui, nous nous retrouvons pour parler de la partie 5 de Germinal!
QUE DU BON ! Quel plaisir de poursuivre cette lecture si abondante en terme d'actions et de suspenses !
Cette fois ci c'est parti, la guerre est déclarée, Etienne et ses compagnons décident de convaincre la mine de Jean Bart de cesser de travailler et de passer à l'action afin de régler leurs comptes avec Maigrat, j'aime énormément ce passage car il me rappel un peu les Misérables et la résistance pendant la guerre civil.
J'aime aussi beaucoup la détermination des femmes durant la révolte, elles sont plus entreprenantes que les hommes notamment quand elles achèvent Pluchart.
Suite partie 6.
Note :9,5/10
C'était Kerebel, à très vite !
Salut alors voila je vais faire court aujourd'hui ni chercher le pourquoi du comment. C'EST LA GUERRE!!!
J'ai clairement adorer cette partie mais pour les personnes sensibles a éviter. En lisant cette partie, j'ai repenser a un événement m'ayant personnellement marquée qui est la Guerre d'Algérie. Je me suis sentie dans l'histoire je me suis sentie mineur en lisant la partie je m'imaginais avec eux saccager les mines et crier "DU PAIN, DU PAIN, DU PAIN"
Les mineurs se révoltent pour de bon ils détruisent tout sur leurs passages pour commencer la maison de Hennaubaut, des mines et autres. Plus personne ne peut les contrôler ils sont devenus incontrôlables même Etienne qui étais leur soit-disant chef n'arrive pas a les contrôler. Leurs haines, leurs colères, leurs rages même parle toute seule en agissant.Au fait je ne vous avais pas parler dans les articles précédents de la relation secrète entre Catherine et Etienne derrière le dos de Chaval qui le découvrira et viendra au coup avec Etienne. Catherine les arrêta et se mit a défendre son soit-disant bien aimé Chaval. Grosse trahison envers Etienne, sans doute la fin d'une histoire d'amour si particulière mais belle ?
La suite dans mon article sur la partie VI la semaine prochaine avec une seule question en tète, cette révolution sera t-elle fini ou s'aggravera t-elle ?
Donc rendez vous la semaine prochaine pour découvrir la suite de cette histoire et réponse a mes questions comme aux vôtres
Voila bisous mes lecteurs
Bonjours a tous ! Quel plaisir de vous retrouver pour notre rendez-vous hebdomadaire !
Cette semaine notre article critique portera sur la cinquième partie Germinal !
Fini les descriptions interminables, de nombreux rebondissements sont au menue de cette partie !
Vous pensiez peut-être que la révolte des mineurs allait cesser, mais elle repart de plus belle !
En effet ce traitre de Chaval corrompu par Deneulin trahit Etienne et les mineurs de Montsou en mettant un terme à la révolte. Il part travailler dans la mine avec Catherine.Cette dernière est victime d’un malaise, pour la première fois Chaval s’attendrit pour elle. C'est alors que la mine se met en émoi, les mineurs de Montsou ont coupé les cables. Leur seule issue est de remonter par les échelles de secours. On assiste à une remonter longue et difficile. Mais ils réussissent à remonter à la surface.
La foule de mineurs va désormais de fosse en fosse avec une puissante énergie destructrice. Etienne et Chaval en viennent aux couteaux, Catherine les raisonne et empêche le drame. Les mineurs se dirigent vers la maison des directeurs, à Montsou, pour obtenir du pain. "Du pain ! Du pain ! ", la foule est bruyante. A l'arrivée de la foule, Mme Hennebeau, sa fille, Cécile et Négrel croient à une révolution, ils sont impressionnés par l'ampleur du mouvement. Le siège de la maison des Hennebeau débute. Les pierres volent, les insultes fusent. C'est alors que les promeneurs reviennent, et les mineurs prennent d'assaut l'arrivée en calèche des bourgeois. Cécile est engloutie par la foule, insulté et humilié. Heureusement, Deneulin intervient à temps pour éviter la mort de la jeune femme. Etienne tente de calmer la foule en les réorientant vers l'épicerie de Maigrat. La foule affamée et éreintée encercle rapidement l'épicerie. Ils débutent la destruction de la boutique et pillent ce qui reste. En tentant de fuir, Maigrat fait une chute et meurt.
Cette partie est riche en rebondissements, les mineurs sont enragés et n’ont jamais fait preuve d’une telle violence ! Sont-ils allés trop loin ? Vont-t-ils s’en rendre compte ? Que va-t-il leurs arrivés ?
Toutes ces réponses la semaine prochaine pour la parution de l’article sur la partie VI de Germinal ! A la semaine prochaine et bonne lecture !
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Vous pensiez peut-être que la révolte des mineurs allait cesser, mais elle repart de plus belle !
En effet ce traitre de Chaval corrompu par Deneulin trahit Etienne et les mineurs de Montsou en mettant un terme à la révolte. Il part travailler dans la mine avec Catherine.Cette dernière est victime d’un malaise, pour la première fois Chaval s’attendrit pour elle. C'est alors que la mine se met en émoi, les mineurs de Montsou ont coupé les cables. Leur seule issue est de remonter par les échelles de secours. On assiste à une remonter longue et difficile. Mais ils réussissent à remonter à la surface.
La foule de mineurs va désormais de fosse en fosse avec une puissante énergie destructrice. Etienne et Chaval en viennent aux couteaux, Catherine les raisonne et empêche le drame. Les mineurs se dirigent vers la maison des directeurs, à Montsou, pour obtenir du pain. "Du pain ! Du pain ! ", la foule est bruyante. A l'arrivée de la foule, Mme Hennebeau, sa fille, Cécile et Négrel croient à une révolution, ils sont impressionnés par l'ampleur du mouvement. Le siège de la maison des Hennebeau débute. Les pierres volent, les insultes fusent. C'est alors que les promeneurs reviennent, et les mineurs prennent d'assaut l'arrivée en calèche des bourgeois. Cécile est engloutie par la foule, insulté et humilié. Heureusement, Deneulin intervient à temps pour éviter la mort de la jeune femme. Etienne tente de calmer la foule en les réorientant vers l'épicerie de Maigrat. La foule affamée et éreintée encercle rapidement l'épicerie. Ils débutent la destruction de la boutique et pillent ce qui reste. En tentant de fuir, Maigrat fait une chute et meurt.
Cette partie est riche en rebondissements, les mineurs sont enragés et n’ont jamais fait preuve d’une telle violence ! Sont-ils allés trop loin ? Vont-t-ils s’en rendre compte ? Que va-t-il leurs arrivés ?
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Vous pensiez peut-être que la révolte des mineurs allait cesser, mais elle repart de plus belle !
En effet ce traitre de Chaval corrompu par Deneulin trahit Etienne et les mineurs de Montsou en mettant un terme à la révolte. Il part travailler dans la mine avec Catherine.Cette dernière est victime d’un malaise, pour la première fois Chaval s’attendrit pour elle. C'est alors que la mine se met en émoi, les mineurs de Montsou ont coupé les cables. Leur seule issue est de remonter par les échelles de secours. On assiste à une remonter longue et difficile. Mais ils réussissent à remonter à la surface.
La foule de mineurs va désormais de fosse en fosse avec une puissante énergie destructrice. Etienne et Chaval en viennent aux couteaux, Catherine les raisonne et empêche le drame. Les mineurs se dirigent vers la maison des directeurs, à Montsou, pour obtenir du pain. "Du pain ! Du pain ! ", la foule est bruyante. A l'arrivée de la foule, Mme Hennebeau, sa fille, Cécile et Négrel croient à une révolution, ils sont impressionnés par l'ampleur du mouvement. Le siège de la maison des Hennebeau débute. Les pierres volent, les insultes fusent. C'est alors que les promeneurs reviennent, et les mineurs prennent d'assaut l'arrivée en calèche des bourgeois. Cécile est engloutie par la foule, insulté et humilié. Heureusement, Deneulin intervient à temps pour éviter la mort de la jeune femme. Etienne tente de calmer la foule en les réorientant vers l'épicerie de Maigrat. La foule affamée et éreintée encercle rapidement l'épicerie. Ils débutent la destruction de la boutique et pillent ce qui reste. En tentant de fuir, Maigrat fait une chute et meurt.
Cette partie est riche en rebondissements, les mineurs sont enragés et n’ont jamais fait preuve d’une telle violence ! Sont-ils allés trop loin ? Vont-t-ils s’en rendre compte ? Que va-t-il leurs arrivés ?
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Vous pensiez peut-être que la révolte des mineurs allait cesser, mais elle repart de plus belle !
En effet ce traitre de Chaval corrompu par Deneulin trahit Etienne et les mineurs de Montsou en mettant un terme à la révolte. Il part travailler dans la mine avec Catherine.Cette dernière est victime d’un malaise, pour la première fois Chaval s’attendrit pour elle. C'est alors que la mine se met en émoi, les mineurs de Montsou ont coupé les cables. Leur seule issue est de remonter par les échelles de secours. On assiste à une remonter longue et difficile. Mais ils réussissent à remonter à la surface.
La foule de mineurs va désormais de fosse en fosse avec une puissante énergie destructrice. Etienne et Chaval en viennent aux couteaux, Catherine les raisonne et empêche le drame. Les mineurs se dirigent vers la maison des directeurs, à Montsou, pour obtenir du pain. "Du pain ! Du pain ! ", la foule est bruyante. A l'arrivée de la foule, Mme Hennebeau, sa fille, Cécile et Négrel croient à une révolution, ils sont impressionnés par l'ampleur du mouvement. Le siège de la maison des Hennebeau débute. Les pierres volent, les insultes fusent. C'est alors que les promeneurs reviennent, et les mineurs prennent d'assaut l'arrivée en calèche des bourgeois. Cécile est engloutie par la foule, insulté et humilié. Heureusement, Deneulin intervient à temps pour éviter la mort de la jeune femme. Etienne tente de calmer la foule en les réorientant vers l'épicerie de Maigrat. La foule affamée et éreintée encercle rapidement l'épicerie. Ils débutent la destruction de la boutique et pillent ce qui reste. En tentant de fuir, Maigrat fait une chute et meurt.
Cette partie est riche en rebondissements, les mineurs sont enragés et n’ont jamais fait preuve d’une telle violence ! Sont-ils allés trop loin ? Vont-t-ils s’en rendre compte ? Que va-t-il leurs arrivés ?
Toutes ces réponses la semaine prochaine pour la parution de l’article sur la partie VI de Germinal ! A la semaine prochaine et bonne lecture !
Bonjours a tous ! Quel plaisir de vous retrouver pour notre rendez-vous hebdomadaire !
Cette semaine notre article critique portera sur la cinquième partie Germinal !
Fini les descriptions interminables, de nombreux rebondissements sont au menue de cette partie !
Vous pensiez peut-être que la révolte des mineurs allait cesser, mais elle repart de plus belle !
En effet ce traitre de Chaval corrompu par Deneulin trahit Etienne et les mineurs de Montsou en mettant un terme à la révolte. Il part travailler dans la mine avec Catherine.Cette dernière est victime d’un malaise, pour la première fois Chaval s’attendrit pour elle. C'est alors que la mine se met en émoi, les mineurs de Montsou ont coupé les cables. Leur seule issue est de remonter par les échelles de secours. On assiste à une remonter longue et difficile. Mais ils réussissent à remonter à la surface.
La foule de mineurs va désormais de fosse en fosse avec une puissante énergie destructrice. Etienne et Chaval en viennent aux couteaux, Catherine les raisonne et empêche le drame. Les mineurs se dirigent vers la maison des directeurs, à Montsou, pour obtenir du pain. "Du pain ! Du pain ! ", la foule est bruyante. A l'arrivée de la foule, Mme Hennebeau, sa fille, Cécile et Négrel croient à une révolution, ils sont impressionnés par l'ampleur du mouvement. Le siège de la maison des Hennebeau débute. Les pierres volent, les insultes fusent. C'est alors que les promeneurs reviennent, et les mineurs prennent d'assaut l'arrivée en calèche des bourgeois. Cécile est engloutie par la foule, insulté et humilié. Heureusement, Deneulin intervient à temps pour éviter la mort de la jeune femme. Etienne tente de calmer la foule en les réorientant vers l'épicerie de Maigrat. La foule affamée et éreintée encercle rapidement l'épicerie. Ils débutent la destruction de la boutique et pillent ce qui reste. En tentant de fuir, Maigrat fait une chute et meurt.
Cette partie est riche en rebondissements, les mineurs sont enragés et n’ont jamais fait preuve d’une telle violence ! Sont-ils allés trop loin ? Vont-t-ils s’en rendre compte ? Que va-t-il leurs arrivés ?
Toutes ces réponses la semaine prochaine pour la parution de l’article sur la partie VI de Germinal ! A la semaine prochaine et bonne lecture !
Bonjours a tous ! Quel plaisir de vous retrouver pour notre rendez-vous hebdomadaire !
Cette semaine notre article critique portera sur la cinquième partie Germinal !
Fini les descriptions interminables, de nombreux rebondissements sont au menue de cette partie !
Vous pensiez peut-être que la révolte des mineurs allait cesser, mais elle repart de plus belle !
En effet ce traitre de Chaval corrompu par Deneulin trahit Etienne et les mineurs de Montsou en mettant un terme à la révolte. Il part travailler dans la mine avec Catherine.Cette dernière est victime d’un malaise, pour la première fois Chaval s’attendrit pour elle. C'est alors que la mine se met en émoi, les mineurs de Montsou ont coupé les cables. Leur seule issue est de remonter par les échelles de secours. On assiste à une remonter longue et difficile. Mais ils réussissent à remonter à la surface.
La foule de mineurs va désormais de fosse en fosse avec une puissante énergie destructrice. Etienne et Chaval en viennent aux couteaux, Catherine les raisonne et empêche le drame. Les mineurs se dirigent vers la maison des directeurs, à Montsou, pour obtenir du pain. "Du pain ! Du pain ! ", la foule est bruyante. A l'arrivée de la foule, Mme Hennebeau, sa fille, Cécile et Négrel croient à une révolution, ils sont impressionnés par l'ampleur du mouvement. Le siège de la maison des Hennebeau débute. Les pierres volent, les insultes fusent. C'est alors que les promeneurs reviennent, et les mineurs prennent d'assaut l'arrivée en calèche des bourgeois. Cécile est engloutie par la foule, insulté et humilié. Heureusement, Deneulin intervient à temps pour éviter la mort de la jeune femme. Etienne tente de calmer la foule en les réorientant vers l'épicerie de Maigrat. La foule affamée et éreintée encercle rapidement l'épicerie. Ils débutent la destruction de la boutique et pillent ce qui reste. En tentant de fuir, Maigrat fait une chute et meurt.
Cette partie est riche en rebondissements, les mineurs sont enragés et n’ont jamais fait preuve d’une telle violence ! Sont-ils allés trop loin ? Vont-t-ils s’en rendre compte ? Que va-t-il leurs arrivés ?
Toutes ces réponses la semaine prochaine pour la parution de l’article sur la partie VI de Germinal ! A la semaine prochaine et bonne lecture !