Les chevaliers errants de V. Hugo.
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 14 octobre 2013, 14:39 - Lien permanent
Dans la section "les chevaliers errants" de la Légende des Siècles, vous trouverez trois poèmes: "les chevaliers errants", "Le petit roi de Galice" et "Eviradnus". Les poèmes de cette section vous font-ils penser à un autre texte? à un film que vous avez déjà vu? Justifiez votre réponse. Pour faciliter la compréhension des lecteurs du blog, vous pouvez mettre des liens qui renverront à ce texte ou à ce film.
Commentaires
Les 3 poèmes de la Légende des Siècles de Victor Hugo : "Les Chevaliers errants " , "Le petit roi de Galice " et " Eviradnus" me font penser aux fabuleuses Légendes des Chevaliers de la Table Ronde ( Légende Arthurienne , roi Arthur , Perceval ou le conte du Graal , Yvain Chevalier au Lion , ...) en livres comme en film car les chevaliers errants ( Roland , Bernard , Lahire , Eviradnus , ...) sont semblables aux Chevaliers de la Table Ronde (Artus , Perceval , Yvain , Gauvain , ...). Cela veut dire qu'ils ont une quête commune (trouver le Saint Graal par exemple ) et sauver la Veuve et l'Orphelin ( Roland sauve Nuno des griffes de ses oncles et Eviradnus sauve Mahaud d'une mort certaine et tue ses meurtriers Joss et Zéno ).
Mais dans le chapitre "Eviradnus" et surtout dans le sous-chapitre "Dans la Forêt", la description du lieu de ce poème me fait penser à Dracula de Bram Stocker car Victor Hugo décrit un manoir situé au milieu d'une clairière, habité par une personne nommée Corbus. De plus, personne ne veut s'approcher de ce manoir comme dans Dracula (dont le château situé en Transylvanie ( Roumanie ), au milieu de montagnes et de collines où le comte Dracula vit seul et où la population a peur de s'approcher sauf un homme qui est obligé d'y aller , Jonathan Harker , notaire de Mr Dracula).
Dans ces trois poèmes, Victor Hugo dénonce le mépris et les abus de ceux qui possèdent la force et le pouvoir et rend hommage au courage des Chevaliers épris de justice et défenseurs des valeurs de la foi chrétienne.
A l’époque du moyen-âge, il y avait un grand nombre d’ordres de chevaliers, comme les « Chevaliers de la table ronde », qui étaient au service du Roi Arthur, ou encore les « Chevaliers des Templiers ».
Tous se sont battus avec courage et foi pour défendre leurs terres et venir en aide aux plus opprimés. Dans ces trois poèmes, Victor Hugo met en scène ces chevaliers errants.
Dans le premier poème, « les chevaliers errants », Victor Hugo cite Bernard del Carpio et le Chevalier Lahire. Eviradnus est un chevalier inventé par l’auteur. Dans ce poème, Victor Hugo fait référence aux paladins se battant pour faire régner le droit, l’honneur et la justice aux périls de leur vie. Le mot « paladin » est probablement un amalgame avec le latin « palabundus » qui signifie « errant », « qui voyage sans cesse ».
Dans le second poème « le petit roi de Galice », Victor Hugo met en scène le Chevalier Roland. Ce poème raconte comment le petit roi a été enlevé par ses dix oncles. Ils cherchent à le soustraire au pouvoir en l'enfermant à vie dans un couvent soit même en le tuant. C'est alors qu'arrive le preux chevalier Roland qui affronte seul les brigands. Il sortira grand vainqueur face à cent vingt durs garçons grâce à son épée et permettant à l'adolescent royal de s'échapper. Dès les premières lignes du poème, Victor Hugo fait référence au texte de la « Chanson de Roland » en évoquant la troupe de comédiens (ligne 6 p 178) et le groupe de pèlerins en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle (ligne 14 p179).
Dans le troisième poème, « Eviradnus », Victor Hugo dresse le portrait d’un autre chevalier qu’il a nommé «Eviradnus ».
Les poèmes « les chevaliers errant », « le petit roi de Galice » et « Eviradnus »
évoquent donc le thème abordé dans « la chanson de Roland ».
Il s’agit d’un poème et chanson de geste de la fin du XI siècle. Cette chanson relate le combat fatal du chevalier Roland, Marquis des marches de Bretagne et de ses fidèles contre une armée Gasconne en représailles à des pillages. Le combat de Roland au cours de cette célèbre bataille de Roncevaux est devenu le symbole des Justes, des combats menés par les chevaliers défenseurs de vertus, de l’honneur féodal et de la foi.
Le film français réalisé par Frank Cassenti en 1978 « La Chanson de Roland » retrace cette épopée de manière romancée. L’histoire raconte qu’au Moyen Age, un groupe de pèlerins et une troupe de comédiens cheminent à travers la France en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle. Chaque soir, au gré des étapes, pour les villageois et leurs compagnons de route, Turold et ses amis interprètent " La Chanson de Roland ". Et c'est ainsi que sont tour à tour évoqués la guerre sainte, les combats entre chrétiens et sarrasins, la chute de Saragosse, le retour de Charlemagne en France, la trahison de Ganelon, le guet-apens de Roncevaux, et enfin, la défaite de Roland face aux armées du roi Marsile.
Vous pouvez découvrir la bande annonce du film à partir du lien suivant : www.senscritique.com › Films › Aventure › La chanson de Roland
Enfin, son poème « Eviradnus », Victor Hugo remplace le chevalier Roland par Eviradnus ». Il s’agit ici d’un personnage fictif, inventé par l’auteur. Ce poème raconte que l'empereur d'Allemagne et le roi de Pologne, déguisés en troubadours, ont drogué la reine Mahaut. Dans la grande salle à manger du château, ils se partagent aux dés la marquise et le marquisat. Ladislas gagne la fille et décide de la tuer en la jetant dans de profondes oubliettes dont la trappe s'ouvre au milieu de la salle. Survient le vieil Eviradnus. Il tue à mains nues Ladislas qui tentait de l'attaquer dans le dos et après un long combat avec Sigismond, il gagne la partie. La reine Mahaud est sauvée.
Pour conclure, dans ces trois poèmes Victor Hugo rend hommage au courage des chevaliers de l’époque du moyen-âge qui rendaient justice aux plus faibles.
Merci pour ces premiers commentaires qui vont sans doute permettre aux élèves de voir plus clair dans ces poèmes qui peuvent aussi être difficiles d'accès. Le commentaire 1 correspond cependant davantage à ce que je demande dans la consigne: il s'agit d'établir un ou plusieurs parallèles avec un film et un livre que vous connaissez, mais qui peuvent appartenir à une autre époque. Ce qui m'intéresse, c'est de savoir pourquoi ces textes vous ont mis dans une situation de lecteur ou de spectateur que vous avez déjà expérimentée.
Les trois poèmes de la section "Les chevaliers errants" de "La légende des siècles" me font penser à l'oeuvre cinématographique "Kingdom of Heaven". Tout d'abord parce que les époques coïncident presque sauf pour le poème "Eviradnus". Ensuite, car les chevaliers cités, Roland et Eviradnus, me rappelle le héros de ce film. En effet, ces chevaliers ressemblent énormément au héros qui se nomme Balian et qui est lui-même un chevalier. Ce qui fait que ces trois chevaliers se ressemblent, ce sont leurs actes. Tout d'abord dans "Le petit roi de Galice", Roland affronte une centaine d'hommes pour protéger le jeune Nuno, dans "Eviradnus", celui-ci se bat contre un empereur et un roi et les tue pour sauver la marquise de Lusace, et enfin dans le film Balian affronte avec une poignée d'homme un détachement de l'armée musulmane pour protéger les paysans. Chacun de ces chevaliers a protégé les plus faible et c'est cela qui m'a fait pensé à ce film.
De plus ce qui m'a poussé à choisir ce film ce sont les personnages tels que les dix frères de Nuno dans le "Le petit roi de Galice" et le roi de la Pologne ainsi que l'empereur de L'Allemagne dans "Eviradnus" car ceux-ci essayent d'évincer Nuno et la marquise de Lusace comme le fait Guy de Lusignan en essayent de tuer Balian.
Ces trois poèmes de Victor Hugo dénoncent le mépris et les abus de ceux qui possèdent la force et le pouvoir et rend hommage au courage des Chevaliers épris de justice et défenseurs des valeurs de la foi chrétienne.
Ces poèmes évoquent certains films que j’ai pu voir, notamment :
- «les aventures de Robin des Bois », un film Kevin Reynolds avec Kevin Costner,
- « le Roi Arthur », film d’Antoine Fuqua avec Clive Owen, paru en 2004 (site www.allociné.fr/le roi Arthur).
- « Chanson de Roland ». Vous pouvez découvrir la bande annonce du film à partir du lien suivant : www.senscritique.com › Films › Aventure › La chanson de Roland
- « le dernier des templiers », film de Peter Flinth paru en 1972 (site www.youtube.com/watch
Tous ces films relatent les histoires et les actions des chevaliers du moyen-âge.
A cette époque il y avait un grand nombre d’ordres de chevaliers, comme les « Chevaliers de la table ronde », qui étaient au service du Roi Arthur, ou encore les « Chevaliers des Templiers ».
Tous se sont battus avec courage et foi pour défendre leurs terres et venir en aide aux plus opprimés. Dans ces trois poèmes, Victor Hugo met en scène ces chevaliers errants.
Dans le premier poème, « les chevaliers errants », Victor Hugo cite Bernard del Carpio et le Chevalier Lahire. Eviradnus est un chevalier inventé par l’auteur. Dans ce poème, Victor Hugo fait référence aux paladins se battant pour faire régner le droit, l’honneur et la justice aux périls de leur vie. Le mot « paladin » est probablement un amalgame avec le latin « palabundus » qui signifie « errant », « qui voyage sans cesse ».
Dans le second poème « le petit roi de Galice », Victor Hugo met en scène le Chevalier Roland. Ce poème raconte comment le petit roi a été enlevé par ses dix oncles. Ils cherchent à le soustraire au pouvoir en l'enfermant à vie dans un couvent soit même en le tuant. C'est alors qu'arrive le preux chevalier Roland qui affronte seul les brigands. Il sortira grand vainqueur face à cent vingt durs garçons grâce à son épée et permettant à l'adolescent royal de s'échapper. Dès les premières lignes du poème, Victor Hugo fait référence au texte de la « Chanson de Roland » en évoquant la troupe de comédiens (ligne 6 p 178) et le groupe de pèlerins en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle (ligne 14 p179).
Dans le troisième poème, « Eviradnus », Victor Hugo dresse le portrait d’un autre chevalier qu’il a nommé «Eviradnus ».
Les poèmes « les chevaliers errant », « le petit roi de Galice » et « Eviradnus »
évoquent donc le thème abordé dans « la chanson de Roland ».
Il s’agit d’un poème et chanson de geste de la fin du XI siècle. Cette chanson relate le combat fatal du chevalier Roland, Marquis des marches de Bretagne et de ses fidèles contre une armée Gasconne en représailles à des pillages. Le combat de Roland au cours de cette célèbre bataille de Roncevaux est devenu le symbole des Justes, des combats menés par les chevaliers défenseurs de vertus, de l’honneur féodal et de la foi.
Le film français réalisé par Frank Cassenti en 1978 « La Chanson de Roland » retrace cette épopée de manière romancée. L’histoire raconte qu’au Moyen Age, un groupe de pèlerins et une troupe de comédiens cheminent à travers la France en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle. Chaque soir, au gré des étapes, pour les villageois et leurs compagnons de route, Turold et ses amis interprètent " La Chanson de Roland ". Et c'est ainsi que sont tour à tour évoqués la guerre sainte, les combats entre chrétiens et sarrasins, la chute de Saragosse, le retour de Charlemagne en France, la trahison de Ganelon, le guet-apens de Roncevaux, et enfin, la défaite de Roland face aux armées du roi Marsile.
Enfin, son poème « Eviradnus », Victor Hugo remplace le chevalier Roland par Eviradnus ». Il s’agit ici d’un personnage fictif, inventé par l’auteur. Ce poème raconte que l'empereur d'Allemagne et le roi de Pologne, déguisés en troubadours, ont drogué la reine Mahaut. Dans la grande salle à manger du château, ils se partagent aux dés la marquise et le marquisat. Ladislas gagne la fille et décide de la tuer en la jetant dans de profondes oubliettes dont la trappe s'ouvre au milieu de la salle. Survient le vieil Eviradnus. Il tue à mains nues Ladislas qui tentait de l'attaquer dans le dos et après un long combat avec Sigismond, il gagne la partie. La reine Mahaud est sauvée.
Dans les poèmes de la section des Chevaliers errants, Victor Hugo reprend les principaux topos du style de l'épopée et des romans de chevalerie. En effet, l'épopée est définie par un long poème narrant les exploits historiques ou mythiques d'un héros ou d'un peuple. De ce point de vue, le poème d'ouverture des Chevaliers errants m'a rappelé la trilogie des seigneurs des anneaux de Peter Jackson. Dans ces deux œuvres, il y a le thème de la quête. Nous pouvons faire un parallèle entre la "Communauté de l'anneau" formée par les Hobbits: Frodons Sacquet, Samesagace Gamegie, Peregrin Touque, Meriadoc Brandebouc, pour les hommes: Aragorn, Boromir, pour les Elfes: Legolas, pour les Nains: Gimli, ainsi qu'un sorcier, Gandalf; et les chevaliers errants que sont Bernard, Labire et Eviradnus dans le poème de Victor Hugo. On retrouve à chaque fois la notion de pacte et d'alliance au service d'une quête. Dans "le petit roi de Galice", Nuno est enlevé par ses dix oncles, les infants, et doit être sauvé par Roland. Dans Le Seigneur des Anneaux, Il s'agit de détruire L'anneau de pouvoir. Dans Les deux cas, il est question d'une lutte contre le mal. Ce mal est représenté a chaque fois dans des lieux sombres et dangereux qu'il faut pourtant traverser, on retrouve dans les trois poèmes d'Hugo le champ lexical de l'obscurité: "ombre, lugubre, ténébreux, nuit, spectre..." et dans la version filmée de Seigneur des anneaux l'atmosphère est rendue par des cœurs froides et sombres rappelant une atmosphère onirique propre à la légende. Cela renforce également la dimension épique de ces deux épopées.
Cet univers épique où tout est extraordinaire m'a rappelé les romans de chevaleries, en effet dans tout roman de chevalerie, il y a un but précis, par exemple dans les Légendes des chevaliers de la table ronde, il y a un objectif à atteindre, mais pour parvenir à cela il faut parcourir un périple, une quête. Dans le petit roi de Galice, Roland doit sauver Nuno, qui a été enlevé par ses oncles. Cela m'a rappelé le roman Yvain ou le chevalier au lion de Chrétien de Troyes dans lequel Yvain doit affronter des épreuves terribles pour reconquérir Laudine, comme par exemple se battre contre le serpent. L'exploit de Roland dans la montagne d'Asturie face à "cent vingt durs garçons" est décrite de manière hyperbolique, ce qui met en valeur la quête du chevalier. Cette utilisation récurrente des hyperboles est également présente dans les romans de Chrétien de Troyes. On y trouve en effet beaucoup d'hyperboles dont la fonction est de mettre en valeur le chevalier idéal. Yvain se livre à des combats dangereux pour celle qu'il aime, il correspond ainsi à l'idéal courtois de l'époque. Par ailleurs, on a aussi une opposition d'ombre contre la lumière, le bien contre le mal, qui dans tout roman de de chevalerie est présent. Dans "le petit roi de Galice" il y a Roland contre les oncles de Nuno, dans "Eviradnus" il y a Eviradnus contre Ladislas, et dans "Les Chevaliers errants" les Paladins défendent les opprimés comme le montrent les expressions "foudroyer le crime" et "souffleter le vice". Pour mener à bien leurs combats les chevaliers errants, comme Yvain et les autres héros de Chrétien de Troyes, font preuve de noblesse d'âme, de courage et de vertu. Victor Hugo définit les paladins comme "Les spectres de l'honneur, du droit, de la justice".
La partie des Chevaliers errants me fait penser à des romans de Victoria Hugo comme "Les misérables" car le nom des poèmes nous font penser à la vie courante de personnes comme vous et moi. Et je ne vois pas quoi dire d'autre.
En lisant les trois poèmes "Les Chevaliers errants", "Le petit roi de Galice" et "Eviradnus" issus de la "Légende des Siècles" de Victor Hugo, j'ai tout de suite pensé au roman "Renégats" écrits par David Gemmell. Les Chevaliers errants ont pour but de défendre les opprimés et de châtier les coupables, ils sont décrits tels qu'on les perçoit presque comme "la main de Dieu" . Dans le livre de D.Gemmell, on trouve neuf chevaliers au cœur pur tous bénis par la "Source" et qui ont le même rôle que les chevaliers errants.
Dans le poème "Le petit roi de Galice", la description de la montagne m'a fait penser à celle qu'on peut trouver dans la série "Eragon" écrite par Christopher Paolini dans laquelle on trouve des montagnes gigantesques très escarpées: les montagnes du Beor.
De plus dans ce poème, on trouve une scène durant laquelle un chevaliers juste lutte contre une centaine d'hommes coupables. Cette scène est assez dramatique et est utilisée dans beaucoup de films et de livres car elle attire la sympathie du lecteur à l'égard du/des héros. Personnellement, elle me fait penser au film "Spartacus" où un petit groupe d'esclaves se révoltent contre un empire mais aussi à un autre livre de David Gemmell "Le Roi sur le Seuil" où le héros subit une situation similaire.
Dans ce poème, le vers "Un ruisseau de pourpre erre et fume dans le val" (v.552 p.205) me ramène tout de suite au "Dormeur du Val" d'Arthur Rimbaud. Dans ce poème le soldat se trouve dans un val où se trouve un ruisseau. Il est blessé et saigne.
Ensuite, le chevalier dont il est ici question est Roland, c'est très probablement le même personnage décrit dans "La chanson de Roland". En effet dans les deux textes, il a une épée nommée Durandal ce qui est un indice important puisque cette épée légendaire est unique.
Enfin, dans le dernier poème "Eviradnus", le château de Corbus est personnifié. Il est dit qu'il résiste à tous ses assaillants, ici les tempêtes et les intempéries, et même qu'il rit d'eux. Cela m'a rappelé la série de "L’Apprenti Epouvanteur" car la maison de l'épouvanteur est protégée par un gobelin et dès qu'un intrus essaye d'y pénétrer le gobelin déclenche une énorme tempête.
Ces trois poèmes écrits par V.Hugo sont des poèmes épiques parlant de chevaliers, c'est un sujet grandement utilisé c'est pour cela qu'on peut trouver beaucoup de similitudes avec d'autres œuvres.
En lisant ces trois poème, je n'est pensé a aucun livre je ne sais pas , ca ne ma pas rappeler quelque chose, pour moi c'étais quelque chose de nouveau, de très différents mais c'est surtout parce que je ne lis pas de livre qui se réfère a cette époque, ou qui en date je suis plutôt livre et film moderne . Donc pour moi ces trois poèmes ne m'ont rien rappeler ni en livre ni en film LOL
Pour ces trois poèmes, je n’arriverai pas à faire de comparaison propre avec un autre livre ou film où l’histoire est correspondante avec celle des poèmes.
En revanche, je trouve que le personnage de Roland dans le poème Les chevaliers errants est un personnage fréquent et que je retrouve dans l’un de mes livres, Les Hauts Conteurs, où le héros se nomme Roland et est lui aussi un combattant.
Ces trois poèmes ne m'ont rien rappelés du tout. C'est surement parce que je ne lis pas en dehors des livres imposés par le lycée et que je ne regarde pas vraiment de films en rapport avec cette époque que je ne n'aime pas trop. Je préfère les films d'humour, d'horreur et fantastique.
Mais le poème "Le petit roi de Galice" me fait penser au film "300" de Zack Snyder, car quand Roland se bat seul face à une centaine d'hommes pour protéger la vie de Nuno cela me fait penser à ce film historique où 300 Spartiates vont batailler contre plus 'd'un million' de Perses.
Bande annonce du film "300" (scènes parfois violentes pour certains): http://www.dailymotion.com/video/x1...
La section "es chevaliers errants" tirée de livre de Victor Hugo me fait fortement penser à "Avatar", un film de James, apparu en décembre 2009, malgré des périodes tout à fait différentes.
Les rôles de Sigourney Weaver une scientifique prête à tout pour les Avatars, ainsi que celui de de Sam Worthington m font penser aux chevaliers errants qui se dressent contre le mal, ici Stephen Lang à la tête des soldats pour lancer une attaque contre les Avatars.
De même pour "les chevaliers errants" le bien est toujours prêt à risquer sa vie comme dans "Le petit roi de Galice" où Roland se bats contre les infants qui voulaient la mort de ce petit roi.
C'est un autre point commun car dans Avatar, Jake Sully (Sam Worthington) un marine paraplégique, via son avatar, peut soit aider le peuple de Na'vis (les Avatars) à luter contre les humains soit prêter main forte aux marines afin de les aider à obtenir un minerai dénommé l'Unobtainium.
Au départ, les poèmes ne me faisait penser à rien du tout, mais en lisant les commentaires des autres j'ai remarquer qu'ils parlaient des chevaliers de la table ronde alors j'ai essayé de me rappeler de l'histoire et , en effet, je me suis rendu compte que cela pour avoir des "liens". Et aussi, dans "Le petit roi de galice", j'ai eu une pensée pour "Le mariage de Roland" que nous avons travaillé en classe car il y a le personnage "Roland" puis c'est aussi un chevalier. Mais pour Eviradnus, rien ne me fait penser à ce poème.
Le poème "Les chevaliers errants" me rappelle le roman de Chrétien de Troyes: "Le Chevalier au lion".
Mon choix s'explique par le fait qu'au début du roman, le chevalier Calogrenant part en quête d'aventure pour mettre en valeur sa vaillance et son courage et pour rendre justice aux innocents, tout comme dans le poème lorsque V. HUGO écrit des chevaliers errants qu'ils sont: "les spectres de l'honneur, du droit, de la justice" ligne 7 page 173. De plus le chevalier Calogrenant fait un très long voyage lors de sa quête pour servir le communauté, ce qui rejoint le "voyage éternel" ligne 70 page 177 des chevaliers errants et le début d'un des vers qui dit : "Ils venaient de si loin" ligne 72 page 177.
Les chevaliers errants du poème pourraient également être identifiés à Yvain, un autre chevalier du même roman, qui est véritablement prêt à tout pour défendre les plus faibles, aider les citoyens, tenir ses promesses et triompher de l'injustice. Ceci correspond donc une fois de plus au dévouement des chevaliers errants qui sont désignés comme: "Prêts à toute besogne, à toute heure, en tout lieu" ligne 17 page 174. Pour finir, je remarque également qu' qu' Yvain, combat des créatures imaginaires et des animaux lors de ses aventures, comme les chevaliers errants qui triomphent "du maure ou du chenil" ligne 49 page 175
J'ai lu ces 3 poèmes, qui était très dure à comprendre, je n'est pas compris l'histoire ni le contexte. Je n'est pensé à aucun livre car je n'est jamais lu de livre de cette époque car sa ne m'intéresse pas. J'aime pas lire de base donc sa ma parut encore plus difficile à la compréhension de ces 3 poèmes...
Attention à signer votre commentaire par votre prénom et la première lettre de votre nom.
N'hésitez pas à mettre des liens internet pour que l'on puisse voir en classe les films ou les autres textes auxquels vous songez.
Les deux poèmes de la Légende des Siècles de Victor Hugo : "Les Chevaliers errants " et "Le petit roi de Galice " me font penser au film « Excalibur » de John Boorman (1981).
En effet car dans « les chevaliers errants » et "Le petit roi de Galice " il y a des chevaliers (Roland , Bernard , Lahire , Eviradnus…) qui ressemble à ceux dans le film qui appartiennent aux chevaliers de la table ronde (comme : Artus , Perceval , Yvain , Gauvain) .
De plus je trouve qu’il y a beaucoup de ressemblance avec le poème "Le petit roi de Galice "et le film « Excalibur ». D’abord parce que le roi Nuno est jeune quand il arrive au pouvoir de même que le roi Arthur dans le film. Ensuite parce que dans le poème le chevalier Roland a une épée, Durandal, qui a des sentiments et que dans le film le roi Arthur détient l’épée Excalibur qui est dotées de pouvoirs magiques. On peut comparer le roi Arthur à Roland car ils se battent pour l’honneur et pour aider leur prochain (Roland sauve le Roi et Arthur sauve le peuple des mains de Mordred et Morgane).
"Les chevaliers errants" me fait penser à Don Quichotte , un roman de Miguel de Cervantès. Don Quichotte, passionné de romans chevaleresques, croit être un véritable chevalier. Les gens se moquent de lui car il est ridicule et il "se fait des films". Il veut sauver les gens mais interprète mal les situations. Il a un compagnon appelé Sancho Panza avec qui il parcourt les routes. Dans le poème de Victor Hugo, les 3 paladins sont courageux, impressionnants, intimidants et même effrayants. Ils parcourent les chemins et les champs de bataille en quête d'actes héroïques à accomplir. Ils aident les oppressés.
Lien Don Quichotte: http://www.lisons.info/Don-Quichott...
"Le petit roi de Galice" me fait penser à la nouvelle "L'enlèvement de Louis XIV" de Jean d'Aillon car dans les 2 cas, il s'agit de l'enlèvement d'un roi par des personnes qu'ils connaissent. Pour le petit roi de Galice, il s'agit de ses oncles alors que dans le texte que j'ai choisi, c'est soit le chef des séditieux marseillais ou le capitaine de la garde du prince de Condé.
Lien "L'enlèvement de Louis XIV": http://www.bibliopoche.com/livre/L-...
La section « Les chevaliers Errants » me fait penser à plusieurs œuvres :
Dans « Les Chevaliers Errants », cela fait référence à mon avis aux chevaliers de la table ronde qui étaient au service d’Arthur de Bretagne ou un passage dit : « Si ce passant était roi D’Albe ou de Bretagne », puis aussi « Et ces grands chevaliers mêlaient à leurs blasons »
Ceux de la table ronde n’étaient pas tous du même blasons : Il y avait des Gallois, des Anglais et des Bretons. Dans « Eviradnus » une phrase dit : « Fit une table ronde à douze chevaliers » donc en référence aux chevaliers de la table ronde.
Dans « Le petit roi de Galice », j’ai pensé à un jeu télévisé : 1 contre 100. Car dans le livre Roland se bat contre cent personnes : « Vous êtes cent contre un ! », il essaye de résister pour éviter de mourir, il « élimine » ses adversaires, qui comme dans le jeu, la personne doit répondre à des questions et essayer de battre les 100 personnes qui sont face à lui, de les « éliminer » comme pour Roland, le candidat et le chevalier ont le même but : Gagner.
Puis dans « Eviradnus » certains passages m’ont rappelé le conte : « La belle au bois dormant ». Dans ce conte, la princesse s’endort dans le Donjon et tous les habitants du château s’endorment aussi pendant 100 ans, le château perdu au cœur de la forêt se recouvre de végétation, dans le livre ce passage y est semblable : « Quelque chose d’étrange au fond de la forêt ; (…) Le lierre, le chiendent, l’églantier sauvageon, Font, depuis trois cents ans, l’assaut de ce donjon » puis pour finir, quand le prince arrive dans le chemin au bout de cent ans et qu’il va découvrir le château les branches s’écartent pour le laisser passer comme dans le livre : « Et, le soir, à travers les branches qui s’écartent » .
Ces deux poemes ne me font penser a aucun film et encore moins a un livre a part le livre : le chevalier au Lion Dont mes souvenirs sont assez lointain cependant grace au commentaires précédent j'ai effectué des recherche sur certains films nommé et dans la majorité des cas j'ai vu une forme de ressemblance comme avec "excalibur" au commentaire 17 . Avec ma culture cinéfile completement opposée et ma culture littéraire completement inexistante ce fut assez compliqué de trouver d autres oeuvres ressemblantes a celles ci .
En lissant les trois nouvelles " Les chevaliers errants" , "Eviradnus" et " Le petit rois de Galice " ne n'ont pas fais penser a un film ou un livre en particulier. Je pence que les livres "les chevaliers errant " et "le petit rois de Galice" me rappelle la Légende de la Table Ronde (comme par exemple la légende Arthurienne ou Perceval ou le compte de Graal ) ainsi qu'avec les personnages ( Perceval, Gauvain .... ) qui sont semblables au personnages des chevaliers errants ( Roland, Bernard, Edviradnus ....)
Edviradnus ne fais pence a "la belle au bois dormant" car dans ce compte la princesse s'endort dans un donjon et le village entier s'endort pendant 100 ans.
Pour moi, "les chevaliers errants" et "Le petit roi de Galice" m'ont fait penser aux légendes des chevaliers de la Table Ronde car ces chevaliers ont tous une quête. Pour les chevaliers de la Table Ronde ce fut la quête du Saint Graal.
Ici je fais référence au livre de Jacqueline Mirande.
L'histoire "les chevaliers errants" m'a également fait penser au Roi Arthur qui, d'après les romances médiévales, aurait organisé la défense de la Grande-Bretagne face aux envahisseurs saxons.
Et là, ma référence littéraire est le roman de Michael Morpurgo.
Le poème " Les chevaliers errants " m'a fait pensé à la série littéraire des " Chevaliers d’Émeraude ". En effet, comme dans cette série, les chevaliers errants ont la " toute puissance ", ils respectent la seigneurie, ils sont masqués de fer, ils ont tués des monstres, .....
Ce poème m'a aussi fait pensé au " Trône de fer " et aussi à la série.
Le petit roi de Galice m'a, au début, fait pensé à la trilogie " Le seigneurs des anneaux " puis j'ai rapidement pensé au film " Troie " car, comme Roland, Achille se bat quasiment seul contre de nombreux ennemis de plus c'est une quête de pouvoir par la destruction dans ces deux exemples.
Ce poème m'a, finalement, rappelé le film " 300 " dans lequel 300 personnes se battent contre plusieurs milliers de soldats et c'est le fait d'être quasis seul contre beaucoup d'ennemis qui m'a fait rappelé ce film.
Pour résumé, ces deux poèmes font surtout pensé à des films et des livres médiévaux et/ou de science fiction.
Les chevaliers me fait penser à Robin des bois "On ne sait jamais d'où sortait ces fantômes; On disait: Qui sont-ils ? d'où viennent-ils ? Ils sont ceux qui punissent, ceux qui jugent, ceux qui vont" comme Robin Des Bois qui défendait les opprimés. Mais cela me fait penser aussi aux chevaliers de la table ronde "Farouches, ils étaient les chevaliers de Dieu" un peu comme les chevaliers au service du Roi Arthur. Bernard, Lahire et Eviradnus me font un peu penser à Gauvain, Perceval et Yvain.
Le poème " Les chevaliers errants " m'a fait pensé à la série littéraire des " Chevaliers d’Émeraude ". En effet, comme dans cette série, les chevaliers errants ont la " toute puissance ", ils respectent la seigneurie, ils sont masqués de fer, ils ont tués des monstres, .....
Ce poème m'a aussi fait pensé au " Trône de fer " et aussi à la série.
Lien Trône de fer : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Tr%...
Lien Chevaliers d’Émeraude : http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Ch...
Le petit roi de Galice m'a, au début, fait pensé à la trilogie " Le seigneurs des anneaux " puis j'ai rapidement pensé au film " Troie " car, comme Roland, Achille se bat quasiment seul contre de nombreux ennemis de plus c'est une quête de pouvoir par la destruction dans ces deux exemples.
Ce poème m'a, finalement, rappelé le film " 300 " dans lequel 300 personnes se battent contre plusieurs milliers de soldats et c'est le fait d'être quasis seul contre beaucoup d'ennemis qui m'a fait rappelé ce film.
Lien Seigneurs des anneaux : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Sei...
Lien Troie : http://fr.wikipedia.org/wiki/Troie_...
Lien 300 : http://fr.wikipedia.org/wiki/300_%2...
Pour résumé, ces deux poèmes font surtout pensé à des films et des livres médiévaux et/ou de science fiction.
Les chevaliers errants m'ont immédiatement fait penser a la Legende de la Table ronde ...ainsi les personnages m'ont aider a quel livre ou film ils pouvaient ressembler.(roland, Bernard...)et pour la table ronde (Lancelot,perceval...)Aucun de ces poemes m'ont fait penser a des films en particulier .De plus les chevaliers errants m'ont juste fait penser a Kaamelott , une serie télévisé comique .La série s’inspire de la légende arthurienne et apporte une vision décalée de la légende en présentant un roi Arthur qui peine à être à la hauteur de la tâche que les Dieux lui ont confiée. Entouré de chevaliers de la Table ronde passablement incompétents, confronté à la chute de l’Empire romain et aux incessantes incursions barbares.Ainsi ces 2 poèmes m'ont pas vraiment inspirés. On peut de que je ne lis pas beaucoup aussi donc je n'ai pu me me rappeler que de quelques oeuvres que j'ai lu les années précédentes.
Les trois poèmes qui constituent la section des Chevaliers Errant dans la Légende des siècle de V-Hugo ne m'ont fait penser a aucun livre ou film en particulier si ce n'est une vague ressemblance avec les légende des chevaliers de la table ronde.
Ces poèmes étaient tous nouveaux pour moi, mais il ne sont pas dans le genre de lecture que je lis. Je n'aime pas particulièrement les textes ou romans parlant de cette époque.
En lisant ces textes, le poème des "chevaliers errants" m'a rappelé les fabliots du Moyen-Age dont j'ai un vague souvenir car je les ait étudiés lorsque j'étais en 5ième.
Le petit roi de Galice, quand à lui ne m'a rappelé aucunes oeuvres puisque je n'ai pas encore eue l'occasion de lire ou de regarder un film traitant ce sujet, je n'ai donc aucune référence pour ce titre.
Les deux poèmes de la légende des siècles: " les chevaliers errants" et "Le petit roi de Galice" se rapprochent beaucoup du film "Excalibur" de John Boorman. En effet, le film se déroule durant la même période de l'histoire que dans les deux poèmes qui sont le Moyen Âge.
Mais l'indice le plus flagrant est l'épée! Dans le film on nous montre qu'Arthur fils d'Uther pendragon détient une épée au pouvoir surnaturel qui lui a été destiné. Durandal étant l'épée de Roland m'y fait fortement penser. Quand on lit le passage où l'épée tranche en deux un des frères dans le sens de la longueur en tuant le cheval avec on ne peut que penser au surnaturel.
Ayant des connaissances limitées sur ce sujet je ne peux que décrire vaguement à quoi ces poèmes me font penser.
http://www.youtube.com/watch?v=aCdF...
Le poème « Les chevaliers errants » me rappelle le film Le Roi Arthur qui parle de la légende du roi Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Les chevaliers assuraient la paix des royaumes réunis de même que dans le poème il dit « Ce sont des spectres de l’honneur, du droit et de la justice ; ils foudroyaient le crime ils souffletaient le vice ». Par leur bravoure et leur adresse, ils combattaient pour faire régner l’ordre et la justice dans le royaume. Ils parcourraient des contrés lointaines et intervenaient pour asseoir le pouvoir d’Arthur. Ces mêmes images me font penser à celles décrites dans ce poème de Victor Hugo où il décrit qu’ils peuvent surgir de n’importe où comme des « fantômes » avec leur armures et leur épée étincelante. « Près à toute besogne à toute heure en tout lieu, farouche ils étaient les chevaliers de dieu ».
Le second poème de la section « Les Chevaliers errants » « Le petit roi de Galice » me fait penser à La chanson de Roland car c’est le récit d'une guerre sanglante, des païens contre les français. Et dans "Le petit roi de Galice" il y a des passages sanglants entre le chevalier Roland et les 10 infants.
Et dans le dernier poème, « Eviradnus » la citation : « Il écoute partout si l’on crie au secours ; Quand les rois courbent trop le peuple, il le redresse ... Il est le fort ami du faible ;il attaqua dans leur antre les rois du Rhin » me fait penser à Robin des bois car il défend les pauvres et les opprimés, il dévalise les riches au profit des pauvres.
-Le premier poème,Les chevaliers errants, me fait beaucoup penser au roman adapté de le bande dessinée La Rose Écarlate. Il est question dans cette histoire de deux justiciers masqués qui défendent les opprimés en attaquant et dépouillant les les mauvaises personnes de la haute société . Ils redistribuent ensuite les richesses accumulées aux personnes les plus démunies. Ce poème m'a également beaucoup rappelé la légende d’Excalibur et des chevaliers de la table ronde. Cependant étant donné que cette idée a déjà été très utilisée et justifiée,je ne m’étendrai pas sur ce sujet.Et j'aimerais ajouter qu'il y a une légère ressemblance avec les Nazguls du seigneur des anneaux qui sont les 9 chevaliers de l'anneau. Ce sont des spectres qui ne sont ni morts ni vivants dont les chevaux les sinistres capes noires et les armures en métal se rapportent au troisieme paragraphe du poeme: "On ne savait jamais d'où sortaient ces fantômes(...)Tragiques, ils avaient l'attitude du rêve.Ô les noirs chevaucheurs ! ô les marcheurs sans trêve !(...) surgissait leur ombre colossale(...)"
Pour La rose ecarlate:http://pmcdn.priceminister.com/phot...
Pour les Nazguls:http://www.youtube.com/watch?featur...
(regardez la video à partir de 4min45)
http://www.youtube.com/watch?featur...
http://www.youtube.com/watch?v=GGWG...
Je pense donc que ce recueil portant sur les chevaliers peut être assimilé de différentes manières et comme cela est un sujet très rependu,ou du moins très utilisé on peut rapidement l'associer à plusieurs autres œuvres.
En lisant ces nouvelles, je me suis aperçu que le personnage de Roland m'étais familié. Effectivement, je me suis souvenu de la "Chanson de Roland" que j'avais précédemment étudiée. De plus l'épée Durandal me rappelait Excalibur, l'épée du roi Arthur car elles sont toutes deux "magiques".
Pour en savoir plus sur la chanson de Roland vous pouvez aller sur http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Cha...
Ces deux textes me font penser aux "chevaliers de la table ronde". Ces textes m'évoquent cela car le titre du premier texte est "les Chevaliers errants" et cela m'y a donc immédiatement fait penser. Mais ces textes me font aussi penser aux "trois mousquetaires" de Alexandre Dumas car ces hommes voyagent pour combattre et c'est ce qu'effectue Roland. A un certain passage du "Petit roi de Galice" il est questions d'un roi assez jeune cela ma donc évoqué Louis XIV. A la fin du "Petit roi de Galice" il y est évoqué un orphelin cela m'a rappelé le livre et le film "Jane Eyre" de Charlotte Bronte.
Les deux poèmes que j’ai lus, Les chevaliers Errants et La petit roi de Galice, ressemblent beaucoup au film Excalibur de John Booman pour plusieurs raisons.
L'épopée "les chevaliers errants" me fais penser au film avec Hannibal qui est un général et un homme politique cartaginois, il est considéré comme l’un des plus grands tacticiens militaires de l’histoire. Il a quitté l’Espagne avec son armée et traversé les Pyrénées, puis les Alpes pour gagner le nord de l’Italie et ainsi envahir Rome : c'est la Deuxième Guerre punique.
J'ai comparé cette première épopée avec "Hannibal : Le Plus Grand ennemi de Rome" car quelques passages, mais surtout les 5 derniers vers du récit me fais penser à son voyage accompagné de son armée, traversant les Pyrénées en plein hiver, avec "voyage éternel", "ayant franchi les flots, les monts, les bois horribles", et de plus avec "ils venaient de si loin".
(c'est un lien de jeu vidéo, mais qui retrace bien l'histoire) :
--> http://www.youtube.com/watch?v=xk95...
D'autre part, le film "Yamakasi" me fais penser au "petit roi de Galice" car, même si ce n'est pas du tout les mêmes moyens employés, les yamakasi et Roland se battent pour la même cause, pour le même enjeu : Roland se bat pour Nuno et les yamakasi, aussi pour un petit garçon. Les yamakasi utilise leur passion, leur agilité pour prendre aux riches et donner aux pauvres, et sur ce, sauver le petit garçon ; et Roland utilise son courage ainsi que son épée pour sauver Nuno, enlevé par ses dix oncles. Le film "les Yamakasi" est comme le parallèle de l'épopée "le petit roi de Galice" et en plus moderne. --> http://www.youtube.com/watch?v=MlCv...
En lisant le poème les chevaliers errants et "le petit roi de galice" cela m'a fait penser au "Seigneur des anneaux" avec les cavaliers noirs même si ils font l'inverse des chevaliers errants en faisant le mal. ils sont au nombre de neuf se qui est très proche des dix "chevaliers errant" mais aussi Victor Hugo utilise de mots comme "spectre", "ténébreux", "lugubre", "effrayants", "muet", "masqués de fer" se qui décrit très bien les cavaliers noirs mais aussi la phrase " Ô les noirs chevaucheurs ! " qui m'a mis sur cette voie. Mais il m'a fait aussi penser au "roi arthur" qui avec les chevaliers des la table ronde "errent" pour trouver le Graal.
En lisant le poème les chevaliers errants et "le petit roi de galice" cela m'a fait penser au "Seigneur des anneaux" avec les cavaliers noirs même si ils font l'inverse des chevaliers errants en faisant le mal. ils sont au nombre de neuf se qui est très proche des dix "chevaliers errant" mais aussi Victor Hugo utilise de mots comme "spectre", "ténébreux", "lugubre", "effrayants", "muet", "masqués de fer" se qui décrit très bien les cavaliers noirs mais aussi la phrase " Ô les noirs chevaucheurs ! " qui m'a mis sur cette voie: http://fr.wikipedia.org/wiki/Nazg%C... .Mais il m'a fait aussi penser au "roi arthur" qui avec les chevaliers des la table ronde "errent" pour trouver le Graal : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cheval... .