Lectures de Germinal 2nde 1.
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 09 décembre 2014, 14:04 - Lien permanent
Si ce chapitre était un instrument de musique, ce serait...à justifier par au moins trois arguments fondés sur le texte.
Commentaires
Après avoir lu ce premier chapitre, le piano est pour moi l'instrument de musique qui qualifierai le plus ce texte triste, tout d'abord Etienne peine à trouver du travail et est démoraliser à l'issue de dormir dehors, Deuxièmement la description et la situaton d'un des personnages : Bonnemort vieil homme d'une cinquantaine d'années, couvert de suie de charbon, travaille depuis l'âge de huit ans, son crachat est noir, a survécu 3 fois dans la mine.
Et enfin l'ambiance de ce chapitre, "nuit, sombre, obscurité, ténébres".
Le piano pourrait donc caractériser ce texte pour ses 3 arguments.
Je pense que le premier chapitre de Germinal de Zola pourrait être associé à un piano, car celui-ci peut faire des notes graves et sombres pouvant représenter la noirceur du texte, comme le paysage ou la pauvreté. Il peut également jouer des notes moyennes, quand le son n'est ni trop grave ni trop aiguë, et cela pourrait représenter les passages ou le narrateur parle, raconte seulement des choses pour informer le lecteur, comme quand il raconte le passé d'Etienne. Et pour finir, il peut aussi jouer des notes aiguë, pouvant représenter la pointe d'humour que le chapitre contient quand Bonnemort raconte l'histoire de son surnom.
Le chapitre 1 de Germinal se déroule dans une atmosphère sombre, glaciale , les gens sont dans une situation dramatique:famine, chômage, maladie...
L’ambiance de l'horreur est retrouvée dans ce texte du aux mots pour décrire le paysage (« nuit sans étoiles », « obscurité », « épaisseur d'encre »...), la métaphore du monde qui mange la chair humaine mais aussi le faite qu’Étienne ressemble à un enfant terrifié par ce paysage désastreux. Si ce chapitre devait être un instrument il serait le violon car lorsqu'il est joué seul il est angoissent (comme le paysage) et il est souvent utilisé dans les films d'horreurs donc cet instrument représente bien ce chapitre.
Pour ma part, la Basse est l'instument qui qualifierait le chapitre 1 de Germinal pour représenter l'obscurité, le froid et la vieillesse de Bonnemort qui est un personnage intrigant dans cette histoire.
Après avoir lu ce premier chapitre, le piano est pour moi l'instrument de musique qui qualifierai le plus ce texte triste, tout d'abord Etienne peine à trouver du travail et est démoraliser à l'issue de dormir dehors, Deuxièmement la description et la situation d'un des personnages : Bonnemort vieil homme d'une cinquantaine d'années, couvert de suie de charbon, travaille depuis l'âge de huit ans, son crachat est noir, a survécu 3 fois dans la mine.
l'instrument que j'ai choisis afin de représenter ce premier chapitre de Germinal serait le trombone car dans ce texte quand on croit que la situation d'Etienne est la pire et que l'on apprend la vie qu'a mené Bonnemort on tombe encore à un niveau plus bat 8-O puis l'on remonte dans la joie lorsque l'on se rend compte de la chance de Bonnemort O-)
Pour moi le piano serait le plus convenus. Zola cherche a montrer le courage du personnage principal qui est bien sur ethienne. Le courage est montrer par le fait qu'il traverse le champs dans "l'obscurité, tenebre' sombre".en second lieu le piano a une grande tonaliter cela peut etre compris par chaque touche = un endroit exemple le sont le plus grave du piano appartien a lendroit au tout debut ou (ou se trouve ethienne)il fait tres froid.
Et ainsi de suite jusqua la plus petite note qui est lendroit le
plus avancer ou(ou se trouve ethienne) il se trouve pres du
feu. Troisiemment ethienne est demoralise et ne reussie pas a trouver de travail. Et il tente a tout pris dans trouver donc le piano servirait a donner une musique triste pour accompagner l'histoire jusqua sa toute fin.
Si le chapitre 1 de Germinal était un instrument, ce serait la Harpe. Notamment, grâce à ses sons vibratoires, elle peut évoquer la cruauté mais aussi la douceur. Cet instrument aux nombreuses cordes nous montre la noirceur du texte comme si la harpe jouait dans les notes graves : « au milieu de l'embrun aveuglant des ténèbres ». Quelques pages plus loin, nous découvrons qui est l'homme en question, ce qui pourrait prétendre à des sons plus doux, plus nuancés. Le travail de la harpe est aussi basé sur le ressenti du lecteur, comme l'espoir, l'espoir qu'il trouve du travail à cette mine. Les notes lourdes de la harpe font référence au cheval du texte, notamment grâce à ses pas pesants : « le gros cheval jaune repartait tout seul, tirait pesamment entre les rails, sous une nouvelle bourasque, qui lui hérissait le poil. »
Comme instrument j ai choisi. le tuba car de cet instrument sort des sons lugubres tout comme cette histoire ,mais lorsque l on joue de cet instrument il faut aller chercher son souffle en profondeur dans ses poumons tout comme Bonnemort qui crachait une substance noire de sa bouche,cette substance qui venait de ses poumons encrassés par le charbon.
Pour moi, ce premier chapitre de Germinal peut se comparer à un instrument grave, à l'image de ce qu'il décrit : une mine de charbon, une « bête méchante », laquelle dévore ses ouvriers miséreux en les réduisant à l'état de simple « chair humaine ». Parmi tous les instruments aux tonalités graves, la contrebasse s'associe le mieux à ce chapitre. Elle est à l'orchestre ce que le premier chapitre est au roman : tous deux tiennent un rôle fondamental et sont le ciment de toute l'oeuvre à laquelle ils appartiennent. La contrebasse est en effet pourvue d'une sonorité riche à l'égal de ce chapitre qui lui est riche en renseignements sur le cours que suivra l'histoire. On apprend tout d'abord l'identité du personnage principal, Etienne Lantier, fraichement renvoyé de son travail pour avoir giflé son employeur, ainsi que celle de « Bonnemort » un vieux machineur. Puis l'on immerge dans l'environnement sombre du « Voreux » que dépeint l’œil d'Etienne, une « masse lourde » ou sifflent des « rafales enragées » que la profondeur des notes d'une contrebasse pourrait aisément reproduire.
Si ce chapitre était un instrument, il serait une trompette car pour moi la trompette est l'instrument le moins mélodieux, celui que l'on utilise lors de certaines cérémonies funéraires, également celui qu'on utilisait à la guerre, hors ce chapitre m'évoque la mort et la souffrance des hommes. En effet, les mineurs travaillent sous terre ce qui évoque les tombes ou une mort certaine. De plus le début est triste et lugubre: travail difficile, misère et "chomage".
Le chapitre 1 de Germinal me fait penser à un violoncelle , un instrument avec une sonorité grave souvent utiliser dans les moments tristes , sombre , Etienne cherche du travail et Mr Bonnemort est un homme d'un certain âge qui est malade à force de travailler dans la mine , l'histoire est triste comme l'instrument .
J ai choisi le violon, car il peut aller en intensité ce qui me rappelle la douleur, la tristesse des personnages, le manque( de nourriture, travail, argent) tout le côté sinistre du chapitre. Le son du violon peut aussi être doux ce qui me fait penser à la fragilité du viel homme. L' instrument peut être entre les deux intonations ( entre intensité et douceur ) ce qui me fait penser au parole du narrateur.
Pour moi, le piano me semble etre un bon instrument car il pourrait representer la marche d'etienne dans le noir, la nuit etoilée mais aussi les ouvriers qui travaillent sans relache comme un son d'une touche qui se repete
le texte est en accord avec le piano car il parle de la chaleur et de la nuit obscure ou il fait froid le personnage principal est représenter comme un lui même le piano
Je reprend le même instrument de musique que le chapitre 1 pour le reprendre dans le chapitre 3, la contrebasse car le chapitre 3 raconte en détail la souffrance des hommes travaillant dans la mine.
le chapitre 4 de Germinal peut nous faire penser a une contrebasse comme pour le chapitre 1, avec des sons qui de répètent constamment comme dans le cas des mineurs qui travaillent sans relâche. de même la contrebasse peut emmètre des sons grave et brutale, ce qui détail les conditions de travail acharnées des mineurs.
Ce n'est pas assez long ni assez précis sur le texte!!! il faut travailler davantage!
Je reprend l'instrument du piano car dans le chapitre 4 de Germinal le piano me semble le bonne instrument car sur cette instrument il y a des note douce et aussi des notes graves et cela me fait penser au travailleur dans les mines , qui travaille dur et sans relâche sans aucun confort ni de la bonne nourriture ....
Mon choix d'instrument de musique par rapport à ce chapitre à changer. Ce chapitre est angoissant, triste et nous fait ressentir de la pitié envers les gens qui travaillent dans la mine. Donc pour ce chapitre j'ai choisi le tuba, car il fait des son graves et lourds pouvant représenter le travail acharné des mineurs et leur désespoir. De plus, le tuba fait des sons angoissants, désignant la peur des mineurs dans l'endroit où ils se trouvent : "Le Vorreux". Ce lieu est angoissant, il est sombre et paraît sans avenir pour les "employés" qui ne voit même plus d'avenir possible pour eux.
L'instrument n'est pas le même dans le chapitre 4 que dan le chapitre 1 car l'ambiance change.
Chapitre 1:solitude, tristesse, désespoir, pas de travail ce qui me faisait penser au violon hors dans le chapitre 4 : Étienne a trouvé du travail, un travail dur, ou la chaleur est lourde, le bruit des marteaux.
Si ce chapitre était un instrument de musique il serait un tambour car il rappelle le bruit des marteaux qui tapent la roche et ce bruit sourd et lourd rappelle la température.
J'avais choisi comme instrument le violoncelle , j'ai toujours le même avis , malgré qu'Etienne a trouvé du travail , le texte reste toujours triste en racontant les conditions de travail dans la mine (la chaleur, le manque d'air...) .
le chapitre 4 de Germinal peut nous faire penser a une harpe car cette instrument peu jouer beaucoup de nuance et de son différent ce qui peu très aisément rappeler les sentiments et le ressenti des mineurs qui sont très épuiser du travail qu'ils font dans la mine. elle pourrait aussi montrer l'effet de répétition des mineur et de leur mouvement.
Comme instrument pour le chapitre 3 je choisirais le violon car il créé une mélodie triste de façon saccadée ce qui représente la dureté des conditions de travail des gens qui travaillent dans la mine. Le violon peut aussi représenter si l'on pince les cordes les mineurs travaillant, tapant de leur pioche la pierre
Comme le premier chapitre de Germinal, le quatrième traduit aussi cette impression de sonorités subtiles de la Harpe. En évoquant notamment la cruauté et la souffrance des mineurs, « Etienne, fut repris du malaise qu'il avait éprouvé déjà sur le terri » cette citation nous montre le courage d'Etienne ce qui ne laisse pas le lecteur indifférent. « Les bruits prenaient une sonorité rauque, sans un écho de l'air mort » : Zola parle ici du bruit qu'éprouve la mine, semblable au son de la Harpe : des cordes pincées fortes, comme un son qui résonne. La harpe nécessite plusieurs cordes pour jouer une mélodie comme une mine exige beaucoup de travails et d'efforts de la part des mineurs pour faire fonctionner celle-ci : « Ils tapaient tous, on n'entendait que ces coups irréguliers, voilés, et comme lointains ». Le travail des mineurs est très dur et pénible où même les conditions de travail sont horribles : « alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux », « n'ayant plus de souffle dans leurs poitrines », « à cette profondeur, sous le poids et l'étouffement de la terre » semblable à la difficulté et à la rareté de jouer de la Harpe. En jouant beaucoup de cet intrument, la douleur aux doigts peut se faire ressentir comme notamment les conditions de travail à la mine comme la lampe que Maheu accroche pour voir clair « qui chauffait son crâne, achevait de lui bruler le sang ». Cette citation accentue l'idée de souffrance des mineurs.
Pour ce chapitre, je suis plutot pour le choix de la trompette qui peut emetttre des sons fort et grave.
Souffler dans une trompette peut etre eprouvant et fatiguant comme le travail a la mine.On peut dire aussi que cet instrument est lourd a porter comme le travail des mineurs et qui les epuisent de jours en jours.
La contrebasse demeure l'instrument qui symbolise le mieux le chapitre 4 et ceux qui le précèdent. En effet, on retrouve dans ce dernier l'allusion à cette « bête méchante » qu'est la mine, ce « puits dévorateur ». La situation est bien évidemment grave, et s'accorde toujours avec les notes de la contrebasse. A cela s'ajoutent les conditions de travail abominables au fond de la mine, que l'on découvre au fil des chapitres : Etienne besogne avec « les mains arrachées » et « les jambes meurtries » tandis que ses compagnons ploient sous une chaleur étouffante. Quant à Catherine, elle travaille avec l'aisance d'un joueur de contrebasse, munie d'une « force nerveuse ou il entrait beaucoup d'adresse ». Ensuite, la profondeur des notes d'une contrebasse pourrait cette fois être associée à la profondeur de la mine même, un immense gouffre dans lequel résonnent les coups de pioches comme autant d'instruments de musique. Mais qu'il soit question d'un piano, d'une contrebasse ou encore d'une harpe, tous les hommes de cette mine sont relayés au rang d'instrument, écrasés « avec l’indifférence de l'habitude ».
le texte est en accord avec le piano car il parle de la nuit obscure et raconte en détail la souffrance des hommes travaillant dans la mine.
Dans ces 4 chapitres, tout se ressemble il y a toujours ces 3 mots qui réapparaissent "courage, tristesse, souffrance". De ce que je viens de lire le piano caractérise le mieux ces 4 chapitres car il a la capacité de jouer la tristesse de ces mineurs, qui doivent se lever à quatre heures pour gagner une modeste somme d'argent. Il peut aussi jouer la souffrance de ces mineurs, notamment en bas, sous terre, où les conditions sont effroyables. A l'inverse, le piano peut renverser la situation en exprimant le courage et la détermination d'Etienne, qui se force à travailler et qui finit par en trouver un, le courage à aller sous terre où le risque est permanent.
La contrebasse est toujours l.instrument qui correspond a ses chapitres de Germinal , des sons graves représentant la souffrance des mineurs, leur exploitations, leur emprisonnement .
j'ai choisie pour le chapitre 4 que le piano étais vraiment l'instrument qui représentais le mieux cette partie d'abord par les son aigu qui rappelle la tristesse du travaille dans les mine qui rappelle un soupçon de mélancolie et par la suite de c'est note grave qui raconte cette acharnement de travaille et de réussite quand le personnage trouve enfin du travaille dans la mine.
L'instrument aux multiples cordes désigne bien se chapitre une fois encore il arrive a représenter une atmosphère tout à fait lugubre et sombre de plus cet instrument est un instrument qui se joue dans un orchestre donc à plusieurs tout comme dans ce chapitre ils sont tous ensemble mais ils souffrent tous de même
Le chapitre 5 de Germinal peut faire penser à une timbale, étant un instrument de percussion qui émet des sons forts et lourds, qui caractérisent la force et la bravoure des mineurs à travers leurs dures journées de travailles, décrites comme surhumaines. De plus la timbale à travers son bruit assonant représente l’ambiance colérique et agitée qui caractérise le sentiment de colère et de révolte des ouvriers à cause des conditions de vie dures et désagréables qu'ils doivent endurer à la mine comme nous le montre les expressions « si l’on nous payait assez, nous boiserions mieux »et « Maheu brisé de colère te de fatigue ». Enfin, elle caractérise la force de la hiérarchie et la répression qu’endurent les mineurs et qui les écrase comme le prouvent les expressions « mettez-vous tous à la besogne » ainsi que « Ce n’est pas trois francs d’amende que je vous flanquerai, moi ! »
Dans ce chapitre 5 je pensais utilisez la flûte car ces un instrument qui est assez petit par rapport au autre mais qui émet tout de même un son très important ce qui ma donc fait penser Paul Négrel qui est un personnage « mince et jolie » mais aussi qui est très autoritaire « une autorité cassante, dans ces rapports avec les ouvriers. » . Dans le texte on remarque que Paul Négrel est très imposant par rapports au autres personnage comme Dansaert qui ne défend a aucun moment les ouvriers et approuve tout ce que dit Paul Négrel ceci me rappel le comportement que pourait avoir la flûte par rapports a un autre instrument moins imposent instrumentalement parlant.
La flûte ma aussi fait penser au hennissement du cheval surnommer « bataille » qui semblait être heureux de recevoir un nouveau compagnons. Car la flûte est un instrument qui peu jouer des aire très entretenant comme pour représenter la joie de ce chevale a la vue de l'arriver du nouveau.
Pour finir a la fin du chapitre les ouvrier ce taisent car Paul Négrel s'approche « soudain les voix tombèrent Négrel et Dansaert, revenant de leur inspection » et cela mais fait penser a un orchestre s’arrêtant afin de laisser jouer la flute de peur de gâcher sa mélodie, comme la les ouvrier s’arrêtent de parler de peur d'envenimer encore les choses.
Pour ce qui est du titre j'ai choisie « le solo du flûtiste » car il me fait penser a Paul Négrel qui est seul et si important.
UNE DURE ET MISERABLE VIE.
Sur ce chapitre 5 j'ai changé d'instrument de musique, j'ai pris le violon car : Sur une scène l'auteur nous décrit des énervements, des cris, de la colère. Le violon peut décrire cette scène sous tension car le violon est réputé pour ça. Ensuite, je l'ai choisi, car nous avons l'impression que les journées passent très lentement notamment la première journée d'Etienne sous terre (effectivement l’auteur a beaucoup détailler la scène) , ce rituel : les mineurs se lèvent toujours à quatres heures du matin en effectuant leurs travail très dures et finissent toujours la journées avec de violentes courbatures, le violon peut jouer le rituel en prenant un aspect triste. Nous avons aussi remarquer le faite que les supérieurs « gueulent » sur les employés, les considérant comme « moins que rien », profitant de la situation pour les disputer comme des chiens, cette scène est caractérisé comme une hiérarchie abusif, militaire, le violon pourrait jouer la rage, même la haine de ces mineurs, en prenant un aspect révoltant. Ensuite, sur ce chapitre, il y a l'entrée d'un nouveau personnage, Paul Négrel, jeune homme de 26 ans, au caractère bien trempé, c'est le neveu de M. Hennebeau, on pourrait avoir le pressentiment que cet homme est « le grand méchant loup », la bête, n'ayant pas de cœur, notamment quand il rejette l'arrivée d'Etienne en le caractérisant d'inconnu « Je n'aime guère qu'on ramasse des inconnus sur les routes ... » , le violon pourrait faire une mélodie symbolisant l'arrivée du cruel personnage en prenant un aspect méchant. Dernièrement comme sur les précédents chapitres, l'auteur évoque des ténèbres, les décors lugubres, les fins fonds des mines, ce violon peut évoquer cela.
Germinal un récit sombre
Pour définir le chapitre V, je choisirais un instrument qui produit un son très puissant comme l'orgue pour représenter colère de chaval qu'il éprouve envers daenserte"si le cochon de daenserte me parle sur le ton de l'autre jour, je lui colle une brique dans le ventre.".l'orgue peut aussi jouer une musique stressante qui représenterait le passage où Étienne et Catherine s'en vont furtivement jusqu'à l'écurie où ils n'ont pas le droit d'aller. Mais lorgue peut aussi jouer une musique douce comme la chaleur qui teigne dans l'écurie où Catherine et Étienne retrouvent la mouquette l'orgue joue surtout des mélodies lugubres et résonnantes représentant le voreux.l'orgue peut aussi jouer une mélodie violente qui peut représenter la dureté du travail à la mine. Elle peut aussi jouer un son très faible qui peut représenter les plaintes des ouvriers qui ne sont pas prises en compte par les maitres de la mine.
Si le chapitre 5 était un instrument, il serait un violon car cet instrument est capable de monter en puissance tout comme il est capable de mélodies douces et harmonieuses. En effet, ce chapitre m'évoque la peur de la hiérarchie, la colère et la fureur des mineurs quand l'ingénieur les pénalise d'une amende et menace de diminuer le prix de la berline et de payer le boisage à part. Hors le violon est capable de montrer cette montée en puissance de la colère des mineurs, de leur dégout, de leur humiliation et du fait que la révolte germe dans leur esprit. D'autre part, ce chapitre évoque un passage plus calme quand Catherine fait visiter les écuries à Etiennes ou quand Zola évoque les possibles pensées du cheval se remémorant un vie calme et paisible, ce passage peut être traduit avec le violon par une mélodie plus douce et harmonieuse.
L'instrument qui qualifierait le plus le chapitre 5 , serait le violoncelle parce que l'on voit la révolte des ouvriers , parce que le monsieur leur demande de travailler plus , pour leur sécurité , pour cela , ils doivent faire des heures supplémentaires sans être payer , la situation est bien évidemment grave , ils ressentent un sentiment de colère , de haine , ils sont hostiles , abattus , désespérés et furieux .
L'arrivée de trompette (le nouveau cheval de 3 ans) relève un sentiment de mélancolie au vieux cheval de 10 ans parce qu'en reniflant trompette , il repense à sa liberté , ça lui évoque de nouvelles odeurs .
Mouquette qui travaille dans la mine , pour pousser les chariots , se cache dans l'écurie pour se reposer , elle prend l'excuse d'avoir mal au nez , son père, le père Mouque (l'homme qui s'occupe des chevaux) le sait et l'autorise mais Étienne et Catherine ont vu Mouquette dans l'écurie parce qu'ils voulaient se réchauffer , eux aussi , ils ont été surpris par le père Mouque , et ont été renvoyés , parce que cela est interdit , pour travailler dans la mine .
Cela montre que les ouvriers sont très fatigués à cause de leurs nombreuses heures de travail épuisantes .
L'ambiance de ce chapitre est sombre , triste , elle met en évidence la souffrance des ouvriers , qui me fait faire un lien avec le violoncelle , qui est un instrument doux , utilisé durant les moments tristes .
L'instrument de musique pourrait représenter tous les endroits de la scène car la musique douce pourrait être entendue dès les premières lignes du texte. La musique pourrait dépeindre tout dans un livre, du début à la fin. Dans le livre de Germinal, la musique triste serait présente car au fil des chapitres on peut entendre dans notre tête une petite musique qui nous aide à comprendre le texte et à l'apprécier.
La musique peut servir aussi pour des passages dynamiques en changeant de tonalité. Dans le chapitre1, la musique est plutôt dynamique car cela commence dans une mine où une personne interpelle une autre pour lui demander du travail et pour la fin on pourrait mettre une musique triste car le mineur rêve de manger tous les jours. Dans le chapitre , une musique dynamique serait bien pour commencer ce chapitre car cela pourrait nous rappeler les chamailleries des enfants. Dans le chapitre3, la musique serait plutôt lente même inquiétante pour illustrer "l'escalier obscur", "l'ombre flottante et "le silence lourd". Ce chapitre est le plus important.
Pour le numéro 4, la mélodie serait dépressive car ce chapitre montre la souffrance de Maheu et se terminerai par une musique calme pour montrer que le court de l'histoire continue. Dans le chapitre 5, la musique serait une musique épique qui nous raconterait les méfaits des ouvriers et des représentants.
Pour moi, je pense que le piano pourrait faire vivre le texte de Zola en musique, tantôt lent et triste tantôt rapide et joyeux.
Pour ce chapitre,mon instrument a changé .J'ai choisie comme instrument la contrebasse car dans cette instrument il y a des note qui sont grave et cela me fait penser au chapitre 5 parce que il y a une forme d'injustice et sa met une ambiance électrique car les mineurs critique la direction ,l’ingénieur de la fosse, Paul Négrel et Dansaert font leurs apparition et leur annoncent qu'il devront payer une amende de 3 francs pour "défaut de boisage" ce passage me fait totalement penser a les notes graves de la contrebasse et a la colère des mineurs de plus , il leur annonce une baisse de salaire:" on vous paiera le boisage à part" et cette décision leur parut injuste car l’habitude de la discipline les retenaient à ne pas se révolter contre cette injustice: “Etait-ce possible qu'on se tuât à une si dure besogne dans ces ténèbres mortelles, et qu'on n'y gagnât même pas les quelques sous du pain quotidien?” et toute cette histoire créé une mauvais ambiance voila pourquoi sa me fait penser au note grave de la contrebasse.
Je trouve que le violon est l'instrument qui caractérise le chapitre 4 pour plusieurs raison. Un violon est très fragile ce qui qualifie l'état de la mine qui se fragilise, s'écroule et se fissure se qui laisse place a l' humidité qui fragilise les poteaux de bois qui soutiennent la mine.que la mine qui Il n'y a pas se fragilise, il y a aussi les mineurs qui, en travaillant sans relâche, leurs organisme deviennent faible, fragile il n'y en a même qui perd leurs bras et aussi certaine personne succombe. Un violon n'est pas que fragile, c'est long a faire comme une mine qui est long a construire puis a vider. Un violon est dure a manier comme travailler dans la mine dans des conditions déplorable. Cette instrument joue, dans les moments triste, seul; sa nous montre que les mineurs sont seul limite rejeter de la société. Et enfin, un violon, en jouant des note grave, montre le mécontentement des supérieurs mais aussi des mineur.
Pour ce chapitre 5, l'instrument le plus approprié serait le violon car il peut représenter la colère mais aussi la surprise tout en évoquant tout de même de l'espoir, dans ce chapitre la colère est exprimé a travers les mineurs par rapport a la baisse de leur salaire, que le violon peut tout a fait exprimer. La touche d'espoir est ressentie par rapport à Catherine qui essaye de plus se rapprocher d'Etienne. La surprise peut être évoquer par la Mouquette lorsque Catherine et Etienne entra dans la petite écurie, il vit la Mouquette sortir du foin qui venait juste de se reveiller. Donc pour représenté ce chapitre,ce serait plutôt le violon.
L'assemblage d'une contrebasse.
Dans ce texte on peu voir à la fin les mineurs commençant à s'unir comme une sorte d'assemblage chauqe mineur est la corde sans laquelle l'instrument ne serait pas ce qu'il est ils ont donc besoin d'étre tous ensemble pour étre quelque chose; pour ce faire entendre.Ce qui présage le début d'une révolte et donc d'une bataille ou d'une manifestation, ces deux termes laisse penser à de la violence et la contrebasse et souvent utilisé pour les scéne de batailles ou de tristesse dans les orchestres.
attention, cela doit être plus long.
attention aussi à donner un titre au-dessus de votre texte.
Pour ce chapitre, le violon serait un bon instrument car il qualifie le cote triste, lent du chapitre. Le violon decrit aussi l'aspect tenebreux de la mine. Il peut d'un seul coup elever le son et redescendre comme le suspense de l'histoire et de ce chapitre. On peut apercevoir dans le texte que pes journées sont très detaillées, le son triste du violon permet de sentir la douleur ressenti par les mineurs aux fins de leurs journées. Dans ce chapitre, le patron maltraite verbalement et physiquement les employés en les traitant comme des objets ou des animaux.
Ensuite, l'arrivée de paul Negrell est caractériser par le violon car il peut accelerer son rythme comme si le personnage arrivait de nulle part. Il peut etre considerer comme le mechant de l'histoire
Titre : Quand le son sonne faux.
Pour ce chapitre 5 de Germinal de Zola, j'ai choisi comme instrument de musique le trombone car premièrement, celui-ci peut jouer volontairement des fausses notes, réveillant tout de suite l'angoisse dans ce chapitre. Les mineurs sont désanimés, fatigués et angoissés à l'idée de devoir refaire le travail si dur qu'ils ont déjà accomplis : "Je vous prie de m'étayer ça sur-le-champ. Doublez les bois, entendez-vous !". De plus, la méchanceté du porion Richomme n'arrange rien à la situation dans laquelle sont déjà les mineurs : "Dépêchons ! Dépêchons !". Dans cette citation, on peut voir que Richomme les traite comme des esclaves, ils sont considérés comme des instruments. Puis il les traite également comme des moins que rien : "Toi qui est raisonnable, fais-les donc taire. Quand on est pas les plus forts, on doit être les plus sages."
Deuxièmement, cette nouvelle créé un désordre entre les mineurs qui commencent à crier et à parler tous en même temps. Plus personne ne s'entend alors qu'ils devrait s'allier et se soutenir dans leur vie misérable. Seul Maheu arrive à mettre les choses en place : "Nom de Dieu ! ce qui n'est pas juste n'est pas juste. Moi, j'aime qu'on soit calme, parce que c'est la seule façon de s'entendre ; mais, à la fin, ils vous rendraient enragés...".
Pour continuer, le trombone peut jouer des notes lourdes et fortes. Mais pour faire ces notes, encore faut-il savoir souffler assez fort pour pouvoir produire un son quelconque. Ce souffle pourrait très bien représenter le souffle des mineurs qui travaillent beaucoup trop pour ne presque rien gagner au final. Avec ceci, on peut se mettre dans la peau des mineurs : "Si l'on nous payait assez, nous boiserons mieux." ou encore "En voilà assez ! dit enfin Maheu brisé de colère et de fatigue. Une heure et demi... Ah ! une propre journée, nous n'aurons pas cinquante sous !... Je m'en vais,ça me dégoûte."
Dernièrement, ce chapitre contient aussi des passages d'humour ironique, et l'ambiance change quand les mineurs critiquent la direction. Pour représenter ces passages du chapitre, on peut dire que le trombone peut jouer des notes hautes et fortes. Les mineurs critiquent la direction sur leurs heures de travail beaucoup trop élevés et sur leur "salaire" beaucoup trop bas mais ne font rien pour y remédier : "On vous paiera le boisage à part, et l'en réduira proportionnellement le prix de la berline." ou alors " “Était-ce possible qu'on se tuât à une si dure besogne dans ces ténèbres mortelles, et qu'on n'y gagnât même pas les quelques sous du pain quotidien?”.
Tout d abord nous pouvons associer ce chapitre à un piano car ses notes jouent le mieux l énervement des mineurs râlant de leur besogne et de la modique somme d'argent qu ils reçoivent ."Si l on nous payait assez nous boiserions mieux.".mais cet instrument joue aussi le pouvoir grâce à ses sons graves , il joue également la peur
Les touches du piano passant du grave à l aigu nous rappellent un passage du chapitre où le personnage est content il retrouve ,la chaleur des chevaux "viens donc voir l écurie c est là qu il y fait bon !"
Le concerto de la mine.
Comme dans les chapitres précédents, le cinquième chapitre rappelle un son évocateur à la cruauté et à l'affliction des mineurs. La harpe peut endosser ce rôle à l'aide de ses sons vibratoires évoquant la douceur mais aussi la souffrance.
Dans ce chapitre, Négrel et Dansaert annoncent aux mineurs une baisse de salaire et une amende de trois francs à cause du boisage qu'ils considèrent « bâti comme quatre sous » et comme un « un chapeau que les moutons ne portent déjà plus, tellement on l'a posé à la hâte. ». Ces paroles d'une allure péjorative renforcent l'injustice au sein des mineurs qui sont utilisés comme des instruments. Pour faire référence à la Harpe, comme-ci elle perdait de sa valeur, en enlevant de ses cordes, ce qui ne laisse pas le lecteur ou l'auditeur indifférent. Ils pourraient eux deux ressentir de la haine et de la colère. Cependant, eux, les mineurs, ne se révoltent pas encore contre cette injustice car seule la mine est leur moyen de survivre « Était-il possible qu'on se tuât à une si dure besogne, dans ces ténèbres mortelles, et qu'on y gagnât même pas les quelques sous du pain quotidien ! ».
Comme dit précédemment, la harpe peut évoquer la douceur. Celle-ci peut être symbole de la féminité comme la Mouquette. Zola la décrit comme une « bonne enfant ». Celle -ci apparaît dans ce chapitre comme une femme amusante : « Mouquette trouvait ça drôle, se tenait le ventre », « sortait d'un tas de paille, où elle dormait », « lorsqu'elle était trop lasse des farces du dimanche, elle se donnait un violent coup de poing sur le nez ».
La naissance d'une révolte
L'injustice est fortement ressentit dans ce chapitre ; en effet, les ouvriers sont victimes d'une injustice : ils sont peut payés et essayent donc de travailler au maximum pour gagner le maximum d'argent. Le temps de travail est égal à l'argent donc le temps est très important à leurs yeux, ils mettent même leur vie en danger (boiser peut solidement) mais un homme les oblige à boiser d'avantage donc d’être moins payé. C'est la naissance de la révolte le coup de trompette qui déclare le début d'une guerre entre les ouvriers et leurs supérieurs. L'ambiance devient agressive, les ouvriers sont rageurs, en colères et font ressortir leur rage par des insultes ce qui donne une ambiance des plus violente. L'instrument le mieux adapté serait donc la trompette pour l'annonce de cette révolte, cette « guerre » entre ouvriers et leurs supérieurs.
L'instrument de musique qui correspond le mieux au chapitre cinq est le piano, car il permet de faire des notes graves tout comme des notes aigus. Comme ont peut le voire avec des notes de joie et de rire. "Zacharie se mit a rire." mais aussi des notes plus sombre, des notes d'énérvement et de révoltes comme nous le montre ces phrase, "quand je vous dis qu'il se fichent du monde!" et "C'est encore une facon de nous payais moins." Pour moi le piano est donc l'instrument qui reflaite au mieux ce chapitre car les sentiment varie tout comme les sons varie d'un piano.
DE NOTES OPPOSEES :
A la lecture de ce chapitre, je pense que l'instrument qui pourrait le mieux le représenter serait l'alto; et non un violon car l'alto possède un son plus sombre que celui du violon ce qui pourrait effectivement beaucoup mieux représenter quelques scènes, comme lorsqu'on veut mettre en évidence la tension, la difficulté, et le timbre sombre et fatiguant d'une longue journée comme la première d'Etienne sous terre. Toute c'est notes sombre pourraient nous faire penser à la mort comme le dit Zola "ces ténèbres mortelles" Mais pour cela je pense qu'on peut aussi représenter l'impatience du fait que plus la journée est longue plus vite nous voulons la terminer, et pour cela l'alto pourrait contrairement représenter des note aiguës, courtes et saccadées comme les "tic tac" d'une montre. Pour revenir sur les notes sombres et longues je fais aussi allusion a la routine très dure des mineurs souffrants du matin au soir, et c'est pourquoi je pense à de longues notes lourdes représentant leurs longues et lourdes journées. Le violon pourrait aussi jouer de grandes notes fortes et spontanées qui représenteraient la fureur et la haine face à la hiérarchie abusive et la répression qu'endurent les mineurs par leurs supérieurs. Mais cependant l'alto peut aussi jouer une mélodie harmonieuse et apaisante pour évoquer le moment ou Catherine essaye de se rapprocher d'Etienne. J'ai aussi pris cette instrument car l'alto est un instrument très compliqué à jouer, ce qui peut aussi représenter la vie compliquée et difficile des mineurs.
Les 4 saisons
je pense que ce texte est bien représenté par la caisse clair car on comprend dans ce texte que les mineurs sont traité avec militarisme et autorité . Ils sont prisonnier du "Voreux" mais aussi des directeurs qui les menacent exemple "les bois vous seront compté dans la paye". le chapitre me fait penser a la révolution française avec les caisses claires qui encourage à la rébellion et la révolutions. Les mineurs sont persécutés et manipulé et cela personne ne peut rien changer pour le moment car on comprend que tous les mineurs ne se voient pas.
L' atmosphère est toujours aussi lugubre et noir avec tout ces travailleurs acharnés qui se tuent dans les profondeurs de la mine. Ils sont dirigés et ont peur des propriétaires, comme s'ils étaient des êtres surnaturels qui pouvaient tout entendre et tout voir. << Une obsession des mouchards les hantaient, même à cette profondeur, comme si la houille des actionnaires, encore dans la vaine, avait eu des oreilles.>> Il y a toujours se manque d'argent malgré un travail acharné et très physique. Ce qui me fait penser au violon dont les notes représentent l'atmosphère effrayante de ce chapitre. Le violon se joue seul ce qui représente la solitude des mineurs mais il peut aussi y avoir plusieurs violons, ce qui me fait penser que les mineurs sont tous dans le même cas, ils ont tous cette sensation de solitude. Les notes qui augmentent en crescendo me font penser à l'exigence de Negrel et Danseart qui leur en demandent encore plus sans augmentation de salaire en retour. << Était-ce possible qu'on se tuât à une si dure besogne, dans ces ténèbres mortelles, et qu'on n'y gagnât même pas les quelques sous du pain quotidien ?>>
Ce chapitre, rempli de sentiments de révoltes et de colères, me fait penser au son d'une batterie. Car en effet, le son précipité de cet instrument peut être assimiler à une colère qui menace d'exploser. Le sentiment d'injustice est réel et la colère intérieure omniprésente. Cet instrument représente aussi la répétition de leurs gestes quotidien, sa sonorité peut aussi faire penser aux coups de pioches.
Chapitre 5 : Le violon est sûrement l'instrument caractérisant le plus ce chapitre, le début est doux, lent, il marque une sorte de pause comme on pourrait en avoir sur une partition, les personnages se mirent à "se moquer" d'autre personnages. Ils se tuent rapidement lorsque Dansaert et Négrel vinrent à leur rencontre. Ensuite un sentiment de colère et de révolte commença à monter dans le petit groupe. Donc comme pour le violon, les notes varies très souvent et peuvent monter très vite : il peut avoir un moment où il ne se passe pas grand chose donc un moment stable, comme une note de violon en continue, et parfois, la colère des mineurs change tout et donc la musique s'accelère au fur et à mesure, comme un effet de stress. Le violon peut monter autant dans les notes hautes que dans les basses.
La contrebasse est l’instrument qui symbolise le mieux le chapitre 5. En effet, c’est un instrument grave, à l’image de la situation dans la mine. Désignée comme un « trou obscur, infini », c’est en son sein que germe la misère sociale, entre ses murs que sont exploités des milliers d’ouvriers. On observe effectivement dans le chapitre 5 la faiblesse des mineurs face à leurs patrons : lls sont victimes « d’une hiérarchie qui les courbe les uns sous les autres ». Quelque inhumain que cela puisse paraitre même les enfants travaillent, comme Lydie par exemple, une jeune fille salie par la mine, « éreintée, boueuse ». Les mineurs travaillent comme joue un musicien passionné, « rageusement » ; à la seule différence que le musicien joue avec la force de l’enthousiasme, et que le mineur, lui, travaille avec la rage du désespoir. En outre, il est question dans ce chapitre d’un cheval de la mine du nom de Bataille. Celui-ci accueille un nouveau compagnon de travail, Trompette, lui aussi condamné à subir le même triste destin. Il le reçoit avec un « hennissement sonore, une musique d’allégresse » chargé de souvenirs, que l’on peut apparenter à un chant à la contrebasse. Enfin, il y a parfois de ces sons qui font trembler les murs, briser les verres, fêler les vitres… C’est ce son, digne d’une contrebasse, qui retentit au fond de la mine, la musique d’une rébellion, les voix des mineurs « qui ne se contiennent plus dans ce coin étroit ».
L'instrument qui pourrait convenir au chapitre 5 me semble être le violon car il rîme avec douceur et patience : tout comme ces ouvriers qui font des heures supplémentaires et ne sont pas payer. Ce qui peut amener a un sentiment de colère et rage qu'il n'exprime pas forcément.
Or, dans ce chapitre la musique a aussi son rôle a joué, celle ci peut varié des sons les plus grave aux plus aigus; des pas accélérer qui ne font qu'augmenter notre rythme cardiaque .
Puis, soudain , un grand silence ou aperçoit Moquette qui travail dans la mine , elle pousse les chariots, ralentis son pas et se cache dans l'écurie pour se reposer, zola décrit cela comme "bonne enfant ". Elle trouva sa amusant se se taper sur le nez . lattitude dune enfant est présente dans ce texte ....
Résonance
Cette musique calme mais si sombre sortant de ce piano et résonnant dans la mine apparaissait au début comme la joie du travaille au départ, mais par la suite Etienne découvre l’expression de souffrance qu’il avait remarqué au début lors de sa rencontre avec Bonnemort, les trais de souffrance et de fatigue qui ressortais de ce personnage résonne comme une symphonie légère des note de piano qui nous font ressentir la dure réalité du travaille dans les mines, des hommes et des femmes fort qui ont le courage de descendre dans les mines sombres et hostiles. On peut désigné le piano comme instrument représentent chaque personnage de c’est texte l’un aura une symphonie douce de découverte représentent Etienne, Bonnemort aurait des note plus grave représentent sa faiblesse, son âge et ça volonté malgré tous la mine elle aurait des notes hostiles on n’imagine pas c’est note la souffrance, la fatigue, le noir, la solitude tous c’est élément qui font que cette mine représente le chaos.
Coup de trompète.
Tout d’abbord, L'instrument de musique qui correspond le mieux au chapitre cinq est la trompete car elle permet de faire des notes graves et des notes plus douce Comme ont peut le voire avec des notes de joie et de rire. "Zacharie se mit a rire." mais aussi des notes plus sombre, des notes d'énérvement et de révoltes qui peuvent se comprendre, comme nous le montre ces phrase, "quand je vous dis qu'il se fichent du monde!" et "C'est encore une facon de nous payais moins." Ont peut ici voir une forme d’injustice tout comme quand Négrel et Dansaert annoncent une baisse de salaire et une amande de trois francs aux ouvriers.
Enfin le cheval ‘’trompete’’ est un élément important du chapitre car il represente toutes les notes de sobriété et de douceur, relevé auparavant. Il est en quelque sorte le guide du chapitre, et nous guide avec sa mélodie.
Pour moi la trompete est donc l'instrument qui reflaite au mieux ce chapitre car tout les sentiment peuvent être trensmis a travers des notes de trompete, notament elle peut donner des sons intriguants ce qui donne une touche de mystère comme ‘’la mouquette ‘’ ici représenter très mystérieuse.
Titre:La contrebasse et l'injustice dans la mine
Une note de révolte
Dans le chapitre 5, les ouvriers travaillent dur et leur temps est compté, le temps est l'argent. Ils sont prêts à tout pour gagner l'argent même jusqu'à mettre leur vie en danger.
Les ouvriers gagnent peu et Négrel et Dansaert leur annoncent une baisse de salaire et une amende pour ce boisage qu'ils considèrent « bâtit comme quatre sous » ; cette annonce fait naître de la haine , une terrible tension, rend l'ambiance électrique. C'est le départ, le coup de trompette de la révolte. Le lecteur est lui aussi heurté par cette injustice et la rage va naître en lui mais les ouvriers doivent se contenter de sortir leur rage par de simples insultes car ce travail est leur seul moyen de survivre. La trompette peut représentée la rage, les disputes des ouvriers par ses notes graves car leur situation est catastrophique et on ne voit pas vraiment ou peut être l'issue de leur malheur.
Ce texte montre combien la hiérarchie est importante dans la mine, ce « monstre qui mange de la chair humaine », dans cette organisation les personnes les plus basses ,donc, les ouvriers sont les instruments de la mine, traités comme des esclaves. En effet, la mine ressemble à un véritable orchestre dramatique. Les ouvriers subissent cette organisation et se plient aux ordres de leurs supérieurs mais l'intervention des deux hommes semble créée une rage plus violente qu'habituellement. La rage de révolte est donc là mais vont-ils vraiment se révoltés ?
L'instrument qui représente le plus ce chapitre est donc la trompette car cet instrument peut représenter le « départ » de la révolte, de plus c'est un instrument à vents, le musicien souffle dans son instrument et s’essouffle tout comme les ouvriers qui sont essoufflés, épuisés par leur travail.
Les noms des chevaux : bataille pour le plus âgé et Trompette pour le nouveau peuvent intrigués le lecteur. Le plus âgé a peut être été baptisé ainsi du à une bataille qu'a connut la mine et le jeune : Trompette est sans doute le signe d'une révolte futur.
Une note de révolte
Dans le chapitre 5, les ouvriers travaillent dur et leur temps est compté, le temps est l'argent. Ils sont prêts à tout pour gagner l'argent même jusqu'à mettre leur vie en danger.
Les ouvriers gagnent peu et Négrel et Dansaert leur annoncent une baisse de salaire et une amende pour ce boisage qu'ils considèrent « bâtit comme quatre sous » ; cette annonce fait naître de la haine , une terrible tension, rend l'ambiance électrique. C'est le départ, le coup de trompette de la révolte. Le lecteur est lui aussi heurté par cette injustice et la rage va naître en lui mais les ouvriers doivent se contenter de sortir leur rage par de simples insultes car ce travail est leur seul moyen de survivre. La trompette peut représentée la rage, les disputes des ouvriers par ses notes graves car leur situation est catastrophique et on ne voit pas vraiment ou peut être l'issue de leur malheur.
Ce texte montre combien la hiérarchie est importante dans la mine, ce « monstre qui mange de la chair humaine », dans cette organisation les personnes les plus basses ,donc, les ouvriers sont les instruments de la mine, traités comme des esclaves. En effet, la mine ressemble à un véritable orchestre dramatique. Les ouvriers subissent cette organisation et se plient aux ordres de leurs supérieurs mais l'intervention des deux hommes semble créée une rage plus violente qu'habituellement. La rage de révolte est donc là mais vont-ils vraiment se révoltés ?
L'instrument qui représente le plus ce chapitre est donc la trompette car cet instrument peut représenter le « départ » de la révolte, de plus c'est un instrument à vents, le musicien souffle dans son instrument et s’essouffle tout comme les ouvriers qui sont essoufflés, épuisés par leur travail.
Les noms des chevaux : bataille pour le plus âgé et Trompette pour le nouveau peuvent intrigués le lecteur. Le plus âgé a peut être été baptisé ainsi du à une bataille qu'a connut la mine et le jeune : Trompette est sans doute le signe d'une révolte futur.
Une note de révolte
Dans le chapitre 5, les ouvriers travaillent dur et leur temps est compté, le temps est l'argent. Ils sont prêts à tout pour gagner l'argent même jusqu'à mettre leur vie en danger.
Les ouvriers gagnent peu et Négrel et Dansaert leur annoncent une baisse de salaire et une amende pour ce boisage qu'ils considèrent « bâtit comme quatre sous » ; cette annonce fait naître de la haine , une terrible tension, rend l'ambiance électrique. C'est le départ, le coup de trompette de la révolte. Le lecteur est lui aussi heurté par cette injustice et la rage va naître en lui mais les ouvriers doivent se contenter de sortir leur rage par de simples insultes car ce travail est leur seul moyen de survivre. La trompette peut représentée la rage, les disputes des ouvriers par ses notes graves car leur situation est catastrophique et on ne voit pas vraiment ou peut être l'issue de leur malheur.
Ce texte montre combien la hiérarchie est importante dans la mine, ce « monstre qui mange de la chair humaine », dans cette organisation les personnes les plus basses ,donc, les ouvriers sont les instruments de la mine, traités comme des esclaves. En effet, la mine ressemble à un véritable orchestre dramatique. Les ouvriers subissent cette organisation et se plient aux ordres de leurs supérieurs mais l'intervention des deux hommes semble créée une rage plus violente qu'habituellement. La rage de révolte est donc là mais vont-ils vraiment se révoltés ?
L'instrument qui représente le plus ce chapitre est donc la trompette car cet instrument peut représenter le « départ » de la révolte, de plus c'est un instrument à vents, le musicien souffle dans son instrument et s’essouffle tout comme les ouvriers qui sont essoufflés, épuisés par leur travail.
Les noms des chevaux : bataille pour le plus âgé et Trompette pour le nouveau peuvent intrigués le lecteur. Le plus âgé a peut être été baptisé ainsi du à une bataille qu'a connut la mine et le jeune : Trompette est sans doute le signe d'une révolte futur.
Une note de révolte
Dans le chapitre 5, les ouvriers travaillent dur et leur temps est compté, le temps est l'argent. Ils sont prêts à tout pour gagner l'argent même jusqu'à mettre leur vie en danger.
Les ouvriers gagnent peu et Négrel et Dansaert leur annoncent une baisse de salaire et une amende pour ce boisage qu'ils considèrent « bâtit comme quatre sous » ; cette annonce fait naître de la haine , une terrible tension, rend l'ambiance électrique. C'est le départ, le coup de trompette de la révolte. Le lecteur est lui aussi heurté par cette injustice et la rage va naître en lui mais les ouvriers doivent se contenter de sortir leur rage par de simples insultes car ce travail est leur seul moyen de survivre. La trompette peut représentée la rage, les disputes des ouvriers par ses notes graves car leur situation est catastrophique et on ne voit pas vraiment ou peut être l'issue de leur malheur.
Ce texte montre combien la hiérarchie est importante dans la mine, ce « monstre qui mange de la chair humaine », dans cette organisation les personnes les plus basses ,donc, les ouvriers sont les instruments de la mine, traités comme des esclaves. En effet, la mine ressemble à un véritable orchestre dramatique. Les ouvriers subissent cette organisation et se plient aux ordres de leurs supérieurs mais l'intervention des deux hommes semble créée une rage plus violente qu'habituellement. La rage de révolte est donc là mais vont-ils vraiment se révoltés ?
L'instrument qui représente le plus ce chapitre est donc la trompette car cet instrument peut représenter le « départ » de la révolte, de plus c'est un instrument à vents, le musicien souffle dans son instrument et s’essouffle tout comme les ouvriers qui sont essoufflés, épuisés par leur travail.
Les noms des chevaux : bataille pour le plus âgé et Trompette pour le nouveau peuvent intrigués le lecteur. Le plus âgé a peut être été baptisé ainsi du à une bataille qu'a connut la mine et le jeune : Trompette est sans doute le signe d'une révolte futur.
Le jeu de Paume.
Ce chapitre est tout d'abords un chapitre différents des autres car celui-ci n'est pas démonstratif comme les précédent car dans ce chapitre nous nous mettons plus dans la peau des mineurs et non pas une vision extérieure. Je pense que ce chapitre peut-être le mieux représenté par la caisse claire car cette instrument peux émettre un battement rapide et entraînant comme lent et fatiguant ce qui pourrais évoquer la fatigue des mineurs, comme nous le dit Zola dans " Était-ce possible qu'on se tuât à une si dure besogne".Ce chapitre me rappelle la révolution française d'ou vient le jeu de Paume joué par les Lumières durant la Révolution car comme les révolutionnaires les mineurs sont dispersés et inefficace face aux injustices des personnes plus puissantes et les personnes plus puissantes en profitent en plus de cela : "ce qui n'est pas juste n'est pas juste." et ils en profitent c'est a dire que déjà les mineurs travaillent avec des horaires épouvantables pour un travaille très peu payés mais en plus les mineurs sont tenues sous pression car si leur travaille est mal fait alors ils ont des amendes déduis de leur salaire"le boisage sera déduis de votre salaire".Mais tout comme pendant la révolution les mineurs vont se révoltés et commencent à y penser sérieusement c'est pour cela que j'ai pensé a la caisse clair car cela entraîne et encourage les "troupes ici les mineurs. l'ambiance est vraiment très électrique et sombre ce qui est fidèle au début du texte.
Résonne
L'instrument devient l'orchestre.
Lors de la lecture de ce chapitre de Germinal de Zola, on peut tout de suite penser que l'instrument qui représente le mieux ce texte est le tuba, autant pour ses notes graves et sombres que pour le fait qu'il soit un instrument souvent utilisé au sein d'un orchestre avec d'autres instruments.Ici les mineurs sont un peu comme des instruments, pas de musique non, des instruments de travail qu'on force à se fatiguer sans rien en retour comme le dit maheu « si l'on nous payait assez, nous boiserions mieux ». On comprend que les mineurs font ce travail sans même toucher un salaire
correspondant au danger que représente le métier de mineur.On se demande ce qui les pousse à continuer de faire ce travail insupportable.
Le tuba joue un son grave, parfois sourd, comme le bruit des mineurs qui parvient des entrailles de la mine, comme un souffle continu qui résonne jusqu'à la surface. La lourdeur de l'instrument rappelle celle des hommes et de la charge qu'ils ont à porter ou à pousser, la tristesse mélancolique du son renvoie à celle des mineurs dont la vie est liée à celle du charbon, noir. Mais tel un orchestre, les mineurs ne peuvent se révolter qu'en étant unis et ne peuvent supporter leur travail qu'en se soutenant. Pour les instruments c'est là que nait la mélodie.
Le monde des Enfer:
La trompette est l'instrument qui symbolise le mieux le chapitre 5. Premièrement, la mine est considéré comme un troue sans fond, obscur, que la lumière ne peu pas être présente comme les Enfers et comme quand joue une trompette car si on joue de la trompette c'est soi pour du Jazz ou pour des enterrement. Deuxièmement, à chaque fois que les mineurs rentrent dans la mine, le sort n'appartient plus a eu mais à la mine, plus a la chance; la mine est installe, à tout moment la mine peut s'écrouler et sera le tombeau des mineur comme le monde des Enfer qui es le monde des morts comme la trompette d'ou son bruit annonce la mort. Enfin on peut considéré les patrons de la mine comme des généraux dans une bataille car c'est les patron qui envoi les mineurs dans le "Voreu" comme les généraux qui envoie leurs hommes, par le son de la trompette, sur le champs de bataille ou il peuvent trépasser et que la mort emmène leur âmes dans le monde des Enfers comme les patrons qui envoie les mineurs dans la mine qui n'est pas stable donc a tout moment s’effondrer.
Le monde des Enfer:
La trompette est l'instrument qui symbolise le mieux le chapitre 5. Premièrement, la mine est considéré comme un troue sans fond, obscur, que la lumière ne peu pas être présente comme les Enfers et comme quand joue une trompette car si on joue de la trompette c'est soi pour du Jazz ou pour des enterrement. Deuxièmement, à chaque fois que les mineurs rentrent dans la mine, le sort n'appartient plus a eu mais à la mine, plus a la chance; la mine est installe, à tout moment la mine peut s'écrouler et sera le tombeau des mineur comme le monde des Enfer qui es le monde des morts comme la trompette d'ou son bruit annonce la mort. Enfin on peut considéré les patrons de la mine comme des généraux dans une bataille car c'est les patron qui envoi les mineurs dans le "Voreu" comme les généraux qui envoie leurs hommes, par le son de la trompette, sur le champs de bataille ou il peuvent trépasser et que la mort emmène leur âmes dans le monde des Enfers comme les patrons qui envoie les mineurs dans la mine qui n'est pas stable donc a tout moment s’effondrer.
Dans quel monde le son nous enverra t-il ?
Le piano est l'instrument qui correspond le mieux à ce chapitre pour sa faciliter a changer de tonalité, donc d'ambiance.
En effet, au début du chapitre l'ambiance est mélancolique, on y parle de souvenir perdu comme nous le démontre cet exemple : « révassant au partie de cross « . On pourrait utilisé les touches du piano plus situés sur la droite pour pouvoir décrire musicalement cette scène.
Puis, l'ambiance devint plus lugubre : comme l'illustre cette phrase dite par Maheu « ils ne cherchent qu'a nous foutre dedans . Comme si les patrons de la mine, qui sont comparés a des dieux , apporterait a manger a leurs monstres pour qu'il restent tranquilles . Ici le monstre étant la mine surnommé le « voreux » et la nourriture les mineurs. Un fond de chapitre plutôt sombre qui peut être facilement jouée par le piano.
Mais on y trouve aussi des moments humoristiques, comme nous la montré zacharie « il se mit a rire « quand les mineurs ce sont moqués des supérieurs. On y devine la joie, surtout quand le cheval sentit l'air frais impregné sur le nouveaux cheval « trompette « (ce nom pouvant être une référence au sujet). Le cheval se mit a hennir pour montrer son bonheur.
Mais, directement on passe a un ton fort comme nous le prouve cette citation « la mélancolie de se prisonnier de plus qui ne remonterait qu'une fois mort « . Le « prisonnier de plus « ne faisait pas seulement référence au cheval, mais aussi bien au mineur étant eux aussi prisonniers. Ils ne détiennent aucune issu. Soit il mort de faim, de froid car sans emploi soit ils meurt dans cette affreuse mine. La seul chose qu'ils puissent faire c'est repousser leur mort en travaillant comme esclaves.
De plus, les mineurs sont soumis a l'injustice, mélangé au dur travaille qu'ils doivent produire, Cela les rends agressifs , en colères , alors qu'ils devraient se soutenir pour pouvoir se lever contre les personnes comme Richomme ( un des supérieurs ) qui les déshumanise totalement comme le montre cette phrase qu'a dit lazaque ( un autre supérieurs ) : « quand on est pas les plus forts, on doit être les plus sages « comme si les personnes physiquement faible n'ont pas le droit à un minimum de considération. Les mineurs dans ce texte n'ont aucun droit. Dés qu'ils osent s'opposer au supérieurs, ont les menaces d'amende, d'être moins payer, ce qui revient a les menacer de mort. Puisque avec leur salaire de base ils n'ont même pas assez pour se payer ne serait-ce que le pain quotidien.
Ce texte créer aussi de l'impatience chez le lecteur. Par exemple, quand tous les mineurs étaient autour du nouveau cheval pour savoir si il était toujours en vie. Cette phrase « il ne bougeait toujours pas « est un bon exemple pour montrer l'impatience, le mystère que ce texte va dégager.
Pour conclure , j'ai choisit le piano pour sa faciliter de changement de tonalité ainsi que pour son pèlmèle de note très variés qui lui permet de passer du rire au pleure, du sombre a la joie.
Dans quel monde le son nous enverra t-il ?
Le piano est l'instrument qui correspond le mieux à ce chapitre pour sa faciliter a changer de tonalité, donc d'ambiance.
En effet, au début du chapitre l'ambiance est mélancolique, on y parle de souvenir perdu comme nous le démontre cet exemple : « révassant au partie de cross « . On pourrait utilisé les touches du piano plus situés sur la droite pour pouvoir décrire musicalement cette scène.
Puis, l'ambiance devint plus lugubre : comme l'illustre cette phrase dite par Maheu « ils ne cherchent qu'a nous foutre dedans . Comme si les patrons de la mine, qui sont comparés a des dieux , apporterait a manger a leurs monstres pour qu'il restent tranquilles . Ici le monstre étant la mine surnommé le « voreux » et la nourriture les mineurs. Un fond de chapitre plutôt sombre qui peut être facilement jouée par le piano.
Mais on y trouve aussi des moments humoristiques, comme nous la montré zacharie « il se mit a rire « quand les mineurs ce sont moqués des supérieurs. On y devine la joie, surtout quand le cheval sentit l'air frais impregné sur le nouveaux cheval « trompette « (ce nom pouvant être une référence au sujet). Le cheval se mit a hennir pour montrer son bonheur.
Mais, directement on passe a un ton fort comme nous le prouve cette citation « la mélancolie de se prisonnier de plus qui ne remonterait qu'une fois mort « . Le « prisonnier de plus « ne faisait pas seulement référence au cheval, mais aussi bien au mineur étant eux aussi prisonniers. Ils ne détiennent aucune issu. Soit il mort de faim, de froid car sans emploi soit ils meurt dans cette affreuse mine. La seul chose qu'ils puissent faire c'est repousser leur mort en travaillant comme esclaves.
De plus, les mineurs sont soumis a l'injustice, mélangé au dur travaille qu'ils doivent produire, Cela les rends agressifs , en colères , alors qu'ils devraient se soutenir pour pouvoir se lever contre les personnes comme Richomme ( un des supérieurs ) qui les déshumanise totalement comme le montre cette phrase qu'a dit lazaque ( un autre supérieurs ) : « quand on est pas les plus forts, on doit être les plus sages « comme si les personnes physiquement faible n'ont pas le droit à un minimum de considération. Les mineurs dans ce texte n'ont aucun droit. Dés qu'ils osent s'opposer au supérieurs, ont les menaces d'amende, d'être moins payer, ce qui revient a les menacer de mort. Puisque avec leur salaire de base ils n'ont même pas assez pour se payer ne serait-ce que le pain quotidien.
Ce texte créer aussi de l'impatience chez le lecteur. Par exemple, quand tous les mineurs étaient autour du nouveau cheval pour savoir si il était toujours en vie. Cette phrase « il ne bougeait toujours pas « est un bon exemple pour montrer l'impatience, le mystère que ce texte va dégager.
Pour conclure , j'ai choisit le piano pour sa faciliter de changement de tonalité ainsi que pour son pèlmèle de note très variés qui lui permet de passer du rire au pleure, du sombre a la joie.
L' atmosphère est toujours aussi lugubre et noir avec tout ces travailleurs acharnés qui se tuent dans les profondeurs de la mine"la chaleur qui monte. << Une obsession des mouchards les hantaient, même à cette profondeur, comme si la houille des actionnaires, encore dans la vaine"ce qui montre que les personne ne sont pas rassurer << Était-ce possible qu'on se tuât à une si dure besogne, dans ces ténèbres mortelles, et qu'on n'y gagnât même pas les quelques sous du pain quotidien ?>>la phrase est tourner par la peur.la phrase qui suit est ce que cherche a demontrer zola dans cet ouevreune longue journée comme la première d'Etienne sous terre, que les mineurs s' acharne a travailler alors que certaine personne des nobles et des clerge vive gracieusement .L'ambiance devient agressive, on pourrait penser que les ouvriers pense a la diference entre eu et les noble. les ouvriers sont rageurs, en colères et font ressortir leur rage par des insultes ce qui donne une ambiance des plus violente.a la fin les ouvrier prenne pitier pour la pauvre famille et les heberge et leurs fait une brioche. Comme quoi certaine personne modeste prenne plus pitier que d'autre riche qui ne travaille pas eu contrairement a se qui on du mal a manger tout les jours un bout de pain .
La pitier l'affaire de pauvre.
FRÉQUENCE FONDAMENTALE:
Pour le chapitre 5 après une meilleure relecture, je me rends compte que il n’y a pas qu’un instrument jouant, il y aurait deux fois le même instrument, mais ne représentant pas les mêmes personnages qui en quelque sorte ce répondrais, c’est deux instruments seraient deux piano qui selon les émotions des différant personnages et des différant scène aurais des résonances différentes et transmettrais donc c’est différentes émotions. D’un cotés on remarque des mineurs abimé par leurs travaille qui ont de la haine pour leurs direction, ce qui est très approprié a des note grave d’un piano, qui garde une résonnance encore sombre lorsque l’ingénieur de la fosse et le maitre-porion annonce que les mineurs devrons payés une amande de trois francs à cause de « défaut de boisage » ce qui transmette l’atmosphère de haine accentué part cette annonce qui l’est encore plus quand les mineurs entendes qu’il y a une baisse de salaire « on vous paiera le boisage a part, et l’on réduira proportionnellement le prix de la berline. », C’est à ce moment-là qu’apparais le second piano qui jouera des note délicates aigue mais accélérer (d’un ère vif) qui n’énerve pas les penser du lecteur, car les mineurs ne se révolte pas, ils sont retenus par le fait qu’il y ait une hiérarchie et surtout qu’ils avaient l’habitude de la discipline « était-ce possible qu’on se tuât a une si dure besogne dans ces ténèbres mortelles, et qu’on n’y gagnât même pas les quelques sous du pain quotidien ? ». Les notes les plus accentués de ce chapitre 5 sont les moments où le lecteur peut imaginer le décent verre l’enfer des personnages dans cette min, elle serait représentée par des notes graves pour montrer la terreur de cette bâtisse et il y a aussi les moments plus calmes ou le lecteur pense que les mineurs ne pourront pas survivre à ce monstrueux accord. Cette magnifique partition et grande en émotions.