Commentaire de "Ce que fit Don Ruy le Subtil" dernier poème de la section "le petit roi de Galice"
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 07 novembre 2013, 21:27 - Lien permanent
Suite à la séance sur les bandes annonces de films projetées en classe, je vous ai proposé l'écriture d'un commentaire sur le texte de V. Hugo à partir de la question suivante: quelle image du héros présente ce texte? 10 lignes minimum.
Commentaires
Dans le texte « le petit roi de Galice » de V. Hugo nous avons la représentation d’un héros sanglant.
Ce texte nous donne une image de force et de conquête que possède ce héros. Il fait peur à beaucoup de monde et ne recule devant rien, même sans armes. Ses efforts sont sans relâche. Il est représenté comme fort, puissant, brave et généreux. Ce héros n’a pas peur de la mort. Il combat sans repos.
Il est comparé à Hercule qui est un demi-dieu, comme nous le montre le passage lignes 10 : « Et, regardant Roland, se souvenaient d’Hercule ». Pour finir ce combattant terrorise les troupes adverses grâce à son charisme, exemple lignes 20-21 : » Tremblants comme des bœufs qu’on ramène à l’étable, à chaque mouvement de son bras redoutable ».
Ce texte, Ce qu’a fait Ruy le Subtil tiré du Petit Roi de Galice, donne une image majestueuse et imposante du héros Roland.
Tout d’abord, Roland combat seul contre tous. Cela montre le côté puissant du personnage qui relève des défis de taille.
Ensuite, Roland est comparé à Hercule, grand héros de la mythologie antique. Ce passage nous dévoile l’énergie et le courage de Roland mais aussi le côté divin qu’Hercule possédait.
L’esprit tenace de Roland est mis en valeur dans le dernier vers. En effet, « n’ayant plus d’épée, il leur jetait des pierres » (v.646) montre ce caractère.
Enfin, dans ce texte, on peut mettre en opposition deux personnages. Le premier fuyant, le second redouté. Le premier est Ruy le Subtil qui a laissé ses 9 frères mourir au combat contre Roland, le second, n’ayant pas peur de ses ennemis.
Pour conclure, Roland est, avec ou sans Durandal, sa fidèle épée, un combattant hors pair qui ne recule devant rien.
Dans le poème " Ce qu'a fait Ruy le Subtile " de la Légende des Siècles.
Victor Hugo donne au chevalier Roland, l'image d'un combattant majestueux, qui aide les faibles ( sauver la veuve et l'orphelin ). Il est un brave chevalier qui combat sans épée, seul contre une centaine d'ennemis ( les oncles de Nuno, ... ), il est redoutable contre eux, c'est donc une image guerrière et combattive que Hugo nous dépeint.
Ce chapitre du " Petit Roi de Galice " a des points communs avec " Excalibur " de John Boorman, avec le côté majestueux et combattif ( les batailles ), avec " 300 ", montrant le côté guerrier (300 contre 1 million qui signifie seul contre cent ), avec " Louis enfant roi ", qui est un enfant en détresse, seul contre sa famille comme Nuno et Roland mais il est aussi combattif et avec " Drive " dans lequel une personne aide deux personnes en détresse, qui montre également le côté combattif et brave.
En résumé, on peut dire que le poème de Victor Hugo a plusieurs points communs avec les 4 extraits ou bandes annonces des films qui ont également des points communs entre eux.
Dans le dernier poème de la section du "Petit roi de Galice", Roland est décrit comme redoutable. En effet, faisant l'éloge des infants dans le vers 626 "Le groupe formidable", Victor Hugo donne plus de crédit à la victoire de Roland. En outre, la tournure hyperbolique de certains vers rejoignent cette idée d'exploit. On peut ainsi citer le vers 624 "De ce défi superbe et sombre, un contre cent". On peut aussi remarquer l'assimilation de Roland à Hercule vers 630, qui est dans la mythologie un demi-dieu. Cette comparaison donne une image extraordinaire du héros. Par ailleurs, on peut qualifier Roland de tenace, il est dit vers 646 que même sans arme il continuerait à se battre.
Ce texte donne une image d’un héros puissant, combattant seul : «Un contre cent.» La bravoure dont fait preuve Roland est redoutable et amène le lecteur à admirer ce personnage. Ce dernier ne recule devant rien, son audace et son courage le mènent jusqu’à la fin du combat, même sans épée, il réussit à se battre et à faire trembler ses adversaires : «Et, n’ayant plus d’épée, il leur jetait des pierres.» On voit à travers ce personnage, une forte personnalité qui même au milieu d’un combat ne pense qu’à défendre sa cause et fait tout pour y parvenir.
L’auteur donne des descriptions de l’endroit où se déroule la scène. Cela nous permet de visualiser le héros dans un paysage de montagnes, ce qui renforce le côté imposant du combat.
Ce texte donne l'image d'un héros courageux, combattant, généreux :
- courageux car malgré qu'il n'ait plus d'épée, il continue à se battre en jetant des pierres.
- combattant car V. Hugo dit "son bras redoutable", ce qui est un sorte de gros plan sur son bras qui contrôle tout.
- généreux, parce qu'il décide de donner son cheval au petit roi de Galice pour qu'il puisse s'enfuir.
Dans ce poème « Ce qui a fait Ruy le Subtil », Victor Hugo dresse les portraits du courageux chevalier Roland et de ses adversaires. L’auteur prend souvent la nature à témoins de la scène. Je vais tenté de décrire l’image du héro présenté dans ce texte.
Dès les premières lignes du poème, la nature est très présente. (Ligne 3), l’auteur attire notre attention avec une allitération pour démontrer que Roland est seul contre tous « de ce défit superbe et sombre, un contre cent ». Roland apparaît ici courageux et déterminé malgré le grand nombres de ses adversaires. (Ligne 5) Victor Hugo utilise l’ironie pour décrire les opposants de Roland « le groupe formidable » et encore une fois prend la nature à témoins (De la ligne 6 à 9). (Ligne 9) Roland est comparé à Hercule qui était un célèbre Héros de la mythologie antique. Il était un modèle d’énergie et de courage honoré comme un dieu. (Ligne 10) Roland est le vainqueur de cette bataille, les autres sont tombés ou on fuit. (Ligne 13) ses opposants incarnent la honte et la lâcheté, ils osent combattre un homme seul. (Ligne 14 à 17) Roland a brisé sont épée, mais déterminé et brave, il continue d’avancer alors que les autres, lâches, reculent. (Ligne 20) Victor Hugo utilise la personnification pour décrire les ennemies de Roland « tremblant comme des boeuf… » Roland face à ce dur combat est exténué (ligne 23), Victor Hugo utilise ici la graduation pour marquer l’affaiblissement du héro « sanglant, terrible, lasse ». Roland finira sont combat à jet de pierres. La pierre est l’arme des enfants et des pauvres gents, ici l’image du héro prend le visage d’un homme qui vient d’accomplir un acte héroïque.
De bonnes choses. Attention à deux commentaires qui sont sur une fausse piste:
- le commentaire 3: les parallèles avec les films vus en classe vous servent de tremplin pour commenter le texte mais ne doivent pas intervenir ici (sauf éventuellement en conclusion). Ici, on vous demande un commentaire du texte proposé exclusivement
- le commentaire 6 n'est pas rédigé. Ici, il ne s'agit pas d'un brouillon ou d'un plan mais bien d'un devoir rédigé.
Attention aussi à l'expression "groupe formidable": l'adjectif vient du verbe latin formidare qui veut dire "craindre".
le commentaire 5 est de qualité: je relève cette phrase: "Ce texte donne une image d’un héros puissant, combattant seul : «Un contre cent.» La bravoure dont fait preuve Roland est redoutable et amène le lecteur à admirer ce personnage" qui montre bien la posture à adopter en commentaire.
Le commentaire 7 est le plus long mais il est trop impersonnel.
Bon courage.
Ce qu'à fait Ruy le Subtil
Dans le texte de "Ce qu'a fait Ruy le Subtil "l’auteur nous donne l'image d'un héros puissant et redoutable, qui se bat seul contre tous les infants. Roland est seul contre 100 et ça ne l'empêche pas de combattre avec bravoure jusqu’au dernier. Comme dans les vers (10 – 12) « Plus d’infant; neuf étaient tombés; un avait fui…mais la bande sans lui avait continué… ».
C’est un héros « saint » et il est comparé à un demi-dieu "Hercule " (l.9). Mais aussi d'un héros sanglant, terrible (voir l.23) mais brave qui intimide les bandits "Tremblant comme des bœufs qu'on ramène à l'étable".
De plus, à la dernière ligne du poème Roland n'a plus d'épée mais il continu de se défendre avec acharnement en jetant des pierres contre ses adversaires.
Le texte "ce qu'a fait Ruy le Subtil" nous donne une image guerriere, redoutable, puissante et brave du héros.Il nous montre bien le courage de Roland. On voit un Roland sur de lui, seul contre tous, près a se battre avec plusieurs hommes malgrès cette solitude.
Ils ont peur de lui, ils reculent a chaque pas de Roland qui est déterminée a combattre. Il n'a pas peur, il ne craint pas ses adversaires,de là on retrouve un héros courageux et brave. Malgres qu'il n'est pas son épée il ne perd pas son courage et sa détermination aux combats , il leur lance donc des pierres "Et, n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres" , il est redoutable pour ces hommes. On voit sa puissance meme sans être armée et en étant devant plusieurs hommes.
Dans ce texte, le héros est perçus comme une preuve de bravoure qui amène le lecteur a admirer ce personnage courageux et qui a peur de personne. Il est compare a Hercule qui est un demi-dieu car il arrive a combattre sans arme juste avec ses mains et les objets qui sont dans la nature comme les pierres .... Cela donne une image de conquête, de force et de puissance. Le héros a une image de généreux car il combat contre des ennemis pour sauver un pays ou même pour une cause personnelle.
Dans le poème " Ce qu'a fait Ruy le Subtile " de la Légende des Siècles. Roland a une image de héros puissant fort et courageux et redoutable qui se bat pour sa nation son peuple et qui recule devant rien. Il est représenté comme un dieu ici Et regardant Roland Se souvenaient d'Hercule. tellement il était fort il est comparé ici a un demi-dieux qui est Hercule qui était lui un personnage de la mythologie Grecque vraiment fort.
Finalement il est le vainqueur de cette bataille il en est ressortis comme un héros qui vient de finir d'accomplir sa tache.
Attention à l'expression écrite des derniers commentaires: les tournures employées sont souvent fautives.
prenez davantage le point de vue du lecteur.
Votre lecture du texte n'est pas non plus assez détaillée: Roland ne se bat pas pour sa nation ici (!!!) mais pour sauver le roi orphelin...De même, qu'est-ce qui autorise à parler de "conquête" dans le texte de Hugo?
La fin du commentaire 9: "De plus, à la dernière ligne du poème Roland n'a plus d'épée mais il continu de se défendre avec acharnement en jetant des pierres contre ses adversaires." est intéressante mais allons plus loin en nous interrogeant sur l'image du héros ainsi donnée et sur les émotions que le lecteur peut ressentir face à ce dernier vers du texte.
Dans le poème "Ce qu'a fait Ruy le Subtil", V. Hugo décrit Roland comme un héros solitaire et courageux, qui se bat à "un contre cent", ce qui génère l'admiration du lecteur, et son mépris pour les infants, décrits comme des lâches.
Roland est aussi généreux, car il se bat à la place de quelqu'un qui ne peut pas se défendre. Il a l'image de quelqu'un de bon, combattant pour un but noble.
De plus, Hugo rend son héros majestueux et divin en le comparant à Hercule, qui est un grand héros mythologique connu pour son courage et ses exploits.
Roland est aussi prêt à tout pour défendre la cause qui lui tient à cœur, et même son épée cassée, il n'abandonne pas, jetant des pierres à ses ennemis. Les pierres étant "l'arme des pauvres", on peut penser qu'Hugo cherche à rendre son héros plus proche du peuple, et donc du lecteur.
Ce texte nous donne comme image du héros celle d'un homme que rien n'arrête lorsqu'il défend une cause. Ici, Roland combat bravement cent personnes, il est seul et à la fin du combat "n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres" v.25. Ses ennemis "tremblants comme des bœufs qu'on ramène à l'étable" v.20 "reculaient" devant lui. Il est d'un courage sans faille, c'est un guerrier valeureux que rien n'effraie pas même la mort. Son courage et sa témérité sont d'autant plus accentués par le fait que Don Ruy le Subtil s'est lâchement enfui devant la puissance de son adversaire, abandonnant même ses frères et ses hommes. Alors que Roland est prêt à se sacrifier pour une cause qui n'est pas la sienne mais qui est juste. Son geste est noble. C'est un héros guerrier majestueux et si puissant qu'il nous donne l'impression que ce n'est pas un simple mortel mais presque un demi-dieu.
Ces deux derniers commentaires sont de qualité.
Il y a une "tension" intéressante dans ce que vous écrivez à propos de Roland, un héros à la fois extraordinaire car comparé à "Hercule" et à la fois humain, qui combat avec des "pierres".
N'oubliez pas d'exploiter votre point de vue de lecteur, l'image que vous vous faites de ce héros à partir du texte. N'hésitez pas aussi à vous attacher à d'autres éléments du texte, qui restent dans l'ombre pour l'instant.
Plus la copie est personnelle et originale, mieux c'est.
Ce texte donne une image guerrière, majestueuse et puissante de Roland. Il met en valeur ce guerrier en appuyant sur le fait que son épée Durandal s'est rompue (ligne 17), or une épée est pour un guerrier comme un membre de son bras. Si Roland trouve encore la force de combattre alors qu'il a comme la sensation de s'être fait prendre une partie de lui-même, il nous donne alors l'image de quelqu'un de très brave, de très courageux, qui n'a pas peur de la mort, mais aussi quelqu'un de redoutable. Dans la dernière ligne, on nous dit que Roland continue de se battre en jetant des pierres. Beaucoup de guerriers auraient sûrement abandonner le combat, n'ayant plus son arme pour se battre. Ce texte nous donne donc aussi de Roland une image héroïque, et unique.
Dans le dernier poème du « Petit roi de Galice » Ce texte nous donne l'image d'un héros courageux et puissant ,il combat « un contre cent » v.3. Ce texte peut aussi donner l'image de force car ses ennemis « A chaque mouvement de son bras redoutable, reculaient » v.21-22 ou encore l'image d'un héros brave car il continue à se battre alors qu'il est désarmé « Et, n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres » v.25. On peut ici comparer l'homme à Hercule « Et, regardant Roland, se souvenant d'Hercule » v.9 Ce texte montre donc un héros ne reculant devant rien.
Dans ce texte, Roland nous donne l'image de l'héros redoutable, courageux, n'ayant peur de rien, il est représenté comme fort et puissant. Ce héros n'a peur de rien y compris la mort. Il ne recule devant rien, il est seul contre plusieurs personne même voir contre tous, mais ne dégage aucune crainte ni peur. Il dégage une image de force, puissance et de conquête. Il fait peur à beaucoup de monde, même sans armes il continuer à se battre sans jamais lâcher prise. Ses efforts sont sans relâche. V.Hugo va même jusqu'à le comparer aux demi-dieu Hercule: "Et, regardant Roland, se souvenaient d’Hercule". Il donne aussi l'image de la bravoure il possède une forte personnalité, en plus de cela il est généreux, parce qu'il va décidé de faire le don de son cheval au petit roi de Galice pour qu'il puisse s’enfuir.
Ce texte donne une image du héros très déterminé, courageux, acharné, qui se bat, même n'ayant plus d'épée. Il se dévoue entièrement au petit roi de galice en faisant de son malheur le sien. Il risque sa vie pour sauver celle de l'enfant. Mais on voit aussi un héros seul, seul contre tous. Roland est également divinisé, car en le voyant ses ennemis voient "Hercule", comme s'il était tellement fort qu'il n'était plus humain. L'image qui vient à l'esprit du lecteur est celle d'un homme imposant, fort, grave et déterminé, "terrible" selon le texte. Il pourrait faire peur.
Dans le poème "Ce qu'a fait Ruy Le Subtil" V.Hugo décrit Roland comme un héros redoutable , courageux qui ne recule devant rien . Il combat seul contre tous . Roland est comparé a Hercule qui est un demie-dieu car Même en ayant plus d'épée il utilise des pierres pour combattre . Il montre donc une image de force et ne relâche devant rien. Il n'a peur de rien même pas de la mort et est prêt a se sacrifier pour une cause qui n'est pas la sienne .Mais Roland est aussi généreux car il donne son cheval au petit roi de galice pour qu'il puisse s'enfuir . C'est donc un homme combattant , courageux , genereux et n'ayant peur de rien.
Dans ce poème « Ce qui a fait Ruy le Subtil », Victor Hugo dresse les portraits du courageux chevalier Roland et de ses adversaires. L’auteur prend souvent la nature à témoins de la scène. Je vais tenté de décrire l’image du héros présenté dans ce texte.
Dès les premières lignes du poème, la nature est très présente. (Ligne 3), l’auteur attire notre attention avec une allitération pour démontrer que Roland est seul contre tous « de ce défit superbe et sombre, un contre cent ». Roland apparaît ici courageux et déterminé malgré le grand nombre de ses adversaires. (Ligne 5) Il sait qu’il peut perdre la vie dans ce combat mais malgré cela il ne fuit pas ; il se bat vigoureusement. Il se comporte en héros, fidèle à la cause qu’il défend. On peut même dire qu’il est téméraire.
Ligne 9, Roland est comparé à Hercule qui était un célèbre Héros de la mythologie antique. Il était un modèle d’énergie et de courage honoré comme un dieu. Après un long et terrible combat, Roland est le vainqueur de cette bataille, les autres sont tombés ou on fuit. Ses opposants incarnent la honte et la lâcheté, ils osent combattre un homme seul. Alors que Roland vient de briser sont épée, il reste déterminé et brave, il continue d’avancer pendant que les autres, lâches, reculent. (Ligne 20) Victor Hugo utilise la personnification pour décrire les ennemies de Roland « tremblant comme des boeuf… » Roland face à ce dur combat est exténué et Victor Hugo utilise ici la graduation pour marquer l’affaiblissement du héros « sanglant, terrible, lasse ». L’image du héros infaillible qu’on avait de lui jusqu’alors s’effrite. Il commence à prendre le visage d’un homme. Roland finira sont combat à jet de pierres. La pierre est l’arme des enfants et des pauvres gents. Ici l’image du héros prend le visage d’un homme qui vient d’accomplir un acte héroïque. Tout au long de ce combat cet homme aura fait preuve de courage, de loyauté et de bravoure.
Dans la partie "Ce qu'a fait Ruy le Subtil" du poème "Le petit roi de Galice", le texte nous montre tout d'abord une image très glorieuse, une image d'un homme presque invincible et qui ne recule jamais devant son devoir qui est de protéger les plus faibles. L'exagération qui est surement la plus flagrante dans ce texte "un contre cent" v.624, nous montre bien cette image de chevalier téméraire. De plus la mort de neuf infants et la fuite de Ruy le Subtil montre d'autant plus la force de Roland mais aussi la peur de la mort que peut provoquer le combat contre un homme aussi puissant que lui "Plus d'infants ; neuf étaient tombés ; un avait fui" v.631. Le héros Roland nous parait aussi comme un vengeur, comme un ange de la mort "Avait jonché de morts la terre" vers. 636. Enfin. Le texte nous montre qu'il est très déterminé car malgré la fatigue et son épée cassée il continue à se battre et à chasser ses ennemis avec des pierres "n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres" v.646. Enfin, Roland est comparé à Hercule qui est un demi-dieux.
Ces deux textes nous donnent pour image un heros qui se bat donc combative , un homme courageux mais pas forcement victorieux , le titre du texte 2 pourrait le montrer le mariage de Roland cela voudrait peut etre dire que Roland serait marié a la guerre ? De plus il a un grand pouvoir avec l'epee Durendal ce qui le rend un peu divin dans le texte 2 la chanson de Roland
Dans le Petit Roi de Galice, ce texte donne une image du héros positive :
Roland est un preux chevalier qui va sauver la vie au jeune roi, il le protège, lui donne même son cheval, on peut même dire qu'il se sacrifie pour lui.
Il continue à se battre alors que les espoirs semblent être impossible, Roland est le sauveur, il est courageux, brave.... Il défend ce qu'il pense juste a ses yeux.
Il donne une chance au roi de fuir et de rester en vie, il se montre généreux envers un enfant qu'il ne connaît même pas, il lui donne sa confiance, dans ce texte c'est un héros, il se bat pour une cause juste, et il ne lâche pas, il continu a se battre jusqu'a ce qu'il ne puisse plus.
C'est une image très positive, il est le gentil et tout les autres sont des personnes qui veulent sa mort car il est un obstacle dans ce qu'il voulait faire et donc une personne à abattre.
Dans "Ce qu'a fait Ruy Le Subtil" de la Légende des siècle, V-Hugo nous donne une image du héros, Roland, noble, courageux, majestueuse et sanglante.
Dans ce passage le héros combat courageusement, "un contre cent" (ligne 624). V-Hugo nous montre clairement d'image d'un héros que la peur de mourir et la peur du combat n’atteint pas. Roland est aussi divinisé par V-Hugo du fait qu'il le compare à Hercule, soit à un demi-dieux : "Et, regardant Roland, se souvenait d'Hercule"(ligne 630). Le héros est avant tout dans ce texte un noble guerrier servant un juste cause, il combat seul et remplis de courage allant jusqu'au bout de sa fois "Et n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres" (ligne 646).
Dans ce texte, Roland, le héros paraît puissant.
Il a l'aire impressionnant et courageux car il nous donne l'impression de n'avoir peur de rien comme quand t-il se bat avec des cailloux alors que les autres hommes ont des coutelas.
Aussi il est seul contre cent ce qui est physiquement impossible.
C'est donc pourquoi je me dit qu'il est comparé à Hercule un demi-dieu.
Il a l'air aussi sanglant et terrible car dans le texte alors que les infants sont morts et un enfui il veut toujours continuer la bataille. Mais aussi iĺ a l'aire généreux car dans cette quête "accidentelle" il s'est donner le devoir de risquer sa vie pour sauver un enfant-roi.
Plusieurs remarques:
- il s'agit de commenter le texte précis "ce qu'a fait Ruy le Subtil", le dernier texte du "petit roi de galice" et non pas tout le poème "le petit roi de Galice"
- appuyez-vous sur le texte (par le biais de citations) pour prouver ce que vous avancez.
J'attire votre attention sur
- le commentaire 23: "Le héros Roland nous parait aussi comme un vengeur, comme un ange de la mort "Avait jonché de morts la terre" vers. 636."
- le commentaire 22: "Ses opposants incarnent la honte et la lâcheté, ils osent combattre un homme seul."
- les commentaires 14, 15 et 5.
Ce texte nous donne une image du héros sur de lui, redoutable, courageux, qui n'a peur de rien alors qu'il n'a plus d'épée, il ne lache rien : "Et, n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres". Malgres tous, il impose une image de force car même sans épée les hommes face a lui, ont peur : "Les bandits ... à l'étable". Il inspire également de la peur, il est effrayant et inspire de la pitier : " Roland, sanglant, terrible, las".
On voit également une image de conquète. On ressent en lisant le texte qu'il à tellement de rage à combattre que, s'il mourait, il combattrait surement toujours dans sa mort.
Ce texte donne une image d'un héros puissant, combattant seul " un contre cent ". La bravoure dont fait preuve Roland face à ce défi superbe et sombre est valorisée par la lâcheté de ses ennemis qui ne respectent pas les codes de noblesse en s'attaquant à un seul homme alors qu'ils sont plusieurs, cela montre aussi aux lecteurs que les ennemis sont faibles et sont traités péjorativement pour amplifier le courage de Roland, pour le magnifier.
L'auteur met face à face la bravoure de Roland et la lâcheté de Ruy le Subtile quand il abandonne ses compagnons. Il glorifie Roland en le faisant passer pour un demi-dieu comme Hercule mais en même temps il nous montre l'humanité de Roland qui, après avoir cassé l'épée légendaire " DURANDAL ", est obligé de jeter des pierres à ses ennemis. Dans le texte, l'auteur ne nous montre jamais les moments où Roland tue ses ennemis, il ne fait que se défendre. Le lecteur voit ainsi Roland comme un héros.
Le texte de Victor Hugo et les 4 bandes annonces sont comparables, car on nous montre toujours un héros solitaire, souvent sur-humain (légendaire), qui combat des ennemis à la recherche du pouvoir (complot) et souvent plus nombreux que lui.
Le texte de Victor Hugo « Ce qu'a fait Ruy le Subtil » nous donne une image du héros très valorisante. Il y est décrit comme un héros puissant, d'une grande bravoure, qui ne reculera devant rien pour défendre sa cause, même si celle-ci doit le conduire à sa perte.
Lorsqu'on lit le dernier vers: « Et, n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres.» le texte change de dimension car après l'avoir lu, le lecteur se remet en question sur l'image qu'il a pu se faire du héros.
Son image de demi-dieu disparaît au moment où l'on apprend qu'il se bat avec des pierres. Cela change notre point de vu car les pierres sont les armes des pauvres, du peuple et non celles des demi-dieu. Ensuite on se questionne sur sa bravoure. Et si ce n'était pas de la bravoure mais seulement la lâcheté de ses ennemis? En effet, ils tremblent quand même devant un seul homme qui se bat avec des pierres alors qu'ils sont cent avec des armes.
Pour moi ce dernier vers nous laisse sur notre faim car l'on ne connaît pas l'issue de cette bataille.
Ce poème me rappelle le film « 300 » car ils racontent tous les deux l'histoire d'un homme ou d'un peuple qui n'arrêtera de se battre que lorsqu'il aura vaincu ou qu'il aura été vaincu. Ils se battent tous les deux pour une cause qu'ils défendent.
Ce texte donne tout d'abord une image d'un héros puissant, faisant preuve de bravoure, courageux, combattant seul "un contre cent", il combat avec acharnement et détermination "n'ayant plus d'épée il leur jetait des pierres", Ce dernier ne recule devant rien, son audace et son courage le mènent jusqu'à la fin du combat. On voit également a travers ce personnage, un personnalité qui même au milieu du combat ne pense qu'à défendre sa cause et fait tout pour y parvenir. Il est terrible même fatigué " sanglant, terrible,las".
Ensuite, on peut voir le manque de courage de ses adversaires "la honte et la peur de combattre un seul homme" ce qui souligne la puissance de Roland qui ne faiblit pas et fait trembler de peur ses adversaires "tremblant comme des bœufs" ce qui amène le lecteur à admirer ce personnage.
Enfin, L'auteur donne des descriptions de l'endroit où se déroule la scène. Cela nous permet de visualiser le héros dans un paysage de montagnes; ce qui renforce le coté imposant du combat.
Pour conclure, Romand est un héros courageux, intrépide, qui ne reculera devant rien pour gagner ce terrible et sanglant combat.
Ce texte donne une image d'un héros puissant, supérieur, courageux , brave et combattant seul "un contre cent". La bravoure dont fait preuve Roland est redoutable et amène le lecteur à admirer ce personnage.
On voit a travers ce personnage, une forte personnalité, un homme fort et brave qui même au milieu d'un combat, ne pense qu'à défendre sa cause et non pas a tuer et à faire du mal gratuitement pour y parvenir. Tout est à la gloire de Roland qui est un homme bon, qui ne baissera jamais les bras devant son ennemis. Il est mis en avant tout au long du texte. Le lecteur ne peut que l'admirer pour ses actes.
L'auteur donne des descriptions de l'endroit ou se trouve la scène. Cela permet donc au lecteur de visualiser le héros dans un paysage de montagnes, ce qui renforce le côté imposant du combat entre Roland et ses hommes.
Ce texte donne une image d’un héros puissant, combattant seul, relevant tous les défis même les plus durs comme un combat « un contre cent » (v.624). La bravoure dont fait preuve Roland est redoutable. L’auteur le compare à Hercule et par ce procédé nous impose cette image de demi-dieu ne reculant devant rien. Même ses ennemis, « tremblants comme des bœufs qu’on ramène à l’étable » (v.641), sont furieux de combattre un homme aussi fort que Roland et cette vision nous amène à admirer ce personnage.
Cependant, lorsque Durandal, sa fidèle épée, va se briser l’auteur nous révèle le côté humain de Roland car « n’ayant plus d’épée, il leur jetait des pierres » (v.646). Cette image contraste avec la précédente et nous ramène à un aspect plus « normal » du personnage plutôt qu’héroïque. L’audace et le courage de Roland le mènent jusqu’à la fin du combat. La ténacité de Roland est aussi montrée dans ce texte puisqu’il continue à se battre, à tuer les infants même si l’un d’eux a fui.
Cette forte personnalité prouve qu’il sera prêt à tout pour défendre sa cause et y parvenir.
Ce texte donne une image d’un héros puissant, combattant seul : «Un contre
cent». Si l’on se représente la scène, on n’imagine pas voir gagner un homme seul contre cent, et pourtant Roland, un guerrier sûrement pas comme les autres y arrive magistralement. La bravoure dont fait preuve Roland est redoutable et amène le lecteur à admirer ce personnage. Dès le début du texte l’auteur nous montre des facettes positives du héros et cela accentue l’admiration portée à son égard. Il ne recule devant rien, son audace et son courage le mènent jusqu’à la fin du combat, même sans épée, il réussit à se battre et à faire trembler ses adversaires : «Et, n’ayant plus d’épée, il leur jetait des pierres». Roland s’adapte, comme peu savent si bien le faire, à toutes les difficultés qu’il peut rencontrer. Sa ténacité a eu raison du combat, Roland est un vrai guerrier relevant des défis de taille. On peut même se demander si son âme combattrait toujours même une fois mort. On voit à travers ce personnage, une forte personnalité qui même au milieu d’un combat ne pense qu’à défendre sa cause et fait tout pour y parvenir. L’auteur le compare à Hercule, grand héros de la mythologie grecque, ce qui renforce la puissance de Roland dans le combat : «Et, regardant Roland, se souvenaient d’Hercule». Vers la fin du texte, l’auteur compare ses adversaires à des boeufs, cela témoigne de leur impuissance face à un tel adversaire. On imagine alors, après les comparaisons de l’auteur, la scène avec d’un côté une grande puissance et de l’autre l’impuissance.
On peut en regardant le film «Excalibur» retrouver de nombreux points communs avec le texte. Cela permet une visualisation réelle de quelques éléments identiques du texte et donc une représentation réelle et non imaginative.
Ce texte donne une image d'un héros puissant, combattant seul et courageux, avec le vers 3 "Un contre cent" car il n'abandonne jamais, même si il sait très bien qu'il va surement y laisser la vie. Mais il préfère mourir en ce sacrifiant pour quelqu'un (ici un jeune roi orphelin, Nuno) ce qui nous amène à admirer Roland pour sa bravoure et le courage dont il fait preuve.
De plus, Roland est même comparé à un demi-dieu "Et regardant Roland, se souvenait d'Hercule" dans le vers 9. Mais il reste très humain en même temps, car à la fin dans le vers 25, V. Hugo dit "Et, n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres", ce qui le montre très humain car Hercule n'aurait pas eu besoins de pierres pour se défendre. Ce dernier vers montre aussi qu'il a la rage de vaincre, qu'il combattra jusqu'à la fin et cela même sans armes égales à celles de ses ennemis qui eux sont assez lâche pour être une centaine sur lui, ce qui glorifie encore plus le héros.
Ce texte donne l'image d'un héros combattant, brave, avec l'hyperbole du vers 3 "De ce défi superbe et sombre, un contre cent". V.Hugo voulait que l'on admire Roland dans les premiers vers : il le compare à un demi-dieux, Hercule, ce qui montre sa force et ses capacités impressionnantes. Il est puissant avec son épée et son courage, ses deux armes maîtresses, tout comme l'était Hercule, courageux et sans limite. Ensuite, dans le vers 10 avec "plus d'infants, neuf étaient tombés, un avait fui", l'auteur montre que le vers 3 était une exagération pour évoquer, une fois de plus, une image de force.
De plus, il réussit à se battre seul, à faire trembler ses adversaires, à comme les déshonorer avec "la honte et la fureur de combattre un seul homme" v.13. Il les fait fuir et trembler "comme des boeufs", cette animalisation dans le vers 20 accentue la honte des soldats à combattre face un seul homme.
Toutefois le vers 23 laisse une image de fatigue avec "et pas à pas, Roland, sanglant, terrible, las," et une opposition avec le vers 9 qui compare Roland à Hercule.
Enfin, le dernier vers, le 25 est peut-être celui qui transmet le plus d'émotions : le héros est audacieux, toujours aussi courageux malgré la fatigue et la lassitude évoquées au v.23, il n'abandonne pas car "n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres.". Ce vers transmet une image d'acharnement, d'un homme sans limite.
Pour conclure ce texte peut nous évoquer plusieurs image : celles d'un héros las, mais aussi courageux, audacieux , sans limite et surtout très puissant.
Ce texte donne une image d'un héro puissant en le comparant à un demi Dieu comme nous l'explique le vers 9: "Hercule".
Il combat seul contre 100, cela nous fait penser au film "300".
La bravoure dont fait preuve Roland à bien été intégré et expliqué dans ce poème car il combat pour sauver la vie du petit roi de Galice.
Mais V. Hugo veut nous montrer aussi que le héros lors du combat est un "monstre" assoiffé de sang, de conquête comme nous l'explique le vers 25: "Et n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres."
Roland est comparé à un Dieu, mais pas un Dieu immortel car il perd son épée et se blesse comme nous le dit le vers 23: "Et pas à pas, Roland, sanglant, terrible et las".
Le héros est sans pitié car il fait tout pour parvenir à son but même si il doit mourir pour y arriver.
Il fera tout pour les tuer même sans arme, comme nous l'indique le vers 25 "Et n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres".
Ce texte est d’ailleurs comparable au film "300" où là encore on peut voir la violence, le courage fasse à des combats pour une cause: la liberté.
Ce texte donne une image d'un héros puissant, courageux, combattant seul, V.3: " un contre 100". La bravoure et le courage dont fait preuve Roland est redoutable et amène le lecteur à admirer ce personnage. Ce dernier ne recule devant rien, il ne lâche pas prise, il est déterminé et acharné. Son audace et son courage le mène jusqu'à la fin du combat, même sans épée, il ne faiblit pas, cela montre dans un sens qu'il n'est pas invincible mais même ainsi il reste fort et puissant, autant physiquement que moralement. Il réussit à se battre et à faire trembler ses adversaires, même désarmé, V 25: "n'ayant plus d'épée, il leur jetait des pierres" Ensuite, on voit à travers ce personnage, une forte personnalité, qu'il n'a peur de rien, même au milieu d'un combat il ne pense qu'à défendre sa cause, et fait tout pour y parvenir. La puissance et la force physique de Roland est presque exagéré, il est comparé à Hercule V 9: "se souvenaient d'Hercule" mais la puissance intérieur et moral de ce personnage est bien réel et non exagéré. Pour conclure, on pourrait comparé ce texte à la bande annonce d'Excalibur car il fait aussi référence à une épée. Dans ces deux cas (Roland et Excalibur) on peut apercevoir comme sujet principal la bataille et une épée.
Ce texte donne une image d’un héros puissant , combattant seul :
« Un contre cent » , il n’abandonne pas , ce combat à l’air éternel .
La bravoure , le courage dont fait preuve Roland est redoutable et amène le lecteur à admirer ce personnage .
Ce dernier ne recule devant rien , il s’acharne , son audace et sa détermination le mènent jusqu'à la fin du combat , même sans épée , il réussit à se battre , a les faire trembler , et à les rabaisser comme on peut le lire vers 25 : « Et n’ayant plus d’épée , il leur jetait des pierres . » , il les humilies , il continu a se battre avec de simples pierres , on passe du Demi-dieu à une personne tout a fait ordinaire .
On voit à travers ce personnage , une forte personnalité qui même au milieu d’un combat ne pense qu’a défendre sa cause et fait tout pour y parvenir .
L’auteur donne des descriptions de l’endroit où se déroule la scène . Cela permet de visualiser le héros , de se faire une idée propre , il est dans un paysage de montagne , ce qui renforce le côté imposant du combat .
Roland est un peu comme le personnage principal de Drive , lui il a son épée et l’autre a sa voiture , mais ils sont tout les deux seuls .
Ce texte donne une image d'un héros puissant et d'un valeureux guerrier combattant seul contre tous :"un contre cent". La bravoure dont fait preuve Roland est redoutable et amène le lecteur à mystifier ce personnage. Ce dernier ne recule devant rien même en situation qu'on pourrait croire désespérée. Son audace et son courage sont tels qu’ils le mènent jusqu'à la fin du combat. Même démuni d'épée et fatigué, il réussit à se battre et à faire trembler ses adversaires « Et, n’ayant plus d’épée, il leur jetait des pierres.». On voit à travers ce vers, qu'il fait fi de tout danger au milieu du combat et ne pense qu’à défendre sa cause et il va jusqu'au bout.
La force de celui ci est soulignée par la citation « Et regardant Roland se souvenaient d'Hercule» . Victor Hugo utilise l'exagération en le divinisant et en le comparant à un demi-dieu. Il rabaisse les infants qui le craignent:: " Tremblants comme des bœufs qu'on ramène à l'étable" en les comparant a des animaux craintifs.
Ensuite il donne des descriptions précises de l’endroit où se déroule la scène. Cela nous permet de visualiser le héros dans un paysage montagneux et désert, ce qui renforce le côté impressionnant et irréel du combat.
Ce texte donne une image d’un héros puissant, combattant seul avec le vers : « un contre cent ». D’abord la bravoure dont fait preuve Roland est redoutable son courage est exceptionnelle et cela amène le lecteur à admirer ce personnage. On aperçoit à travers ce personnage un acharnement et une détermination incroyable qui reflète bien son état d’esprit. Ce dernier ne recule devant rien, il n’abandonne pas alors qu’il est en situation d’infériorité.
Son audace, sa force et son courage le mènent jusqu’à la fin du combat, le héros est fatigué et désarmé mais il réussit à se battre et à faire trembler ses adversaires, comme nous l’indique le vers : « Et, n’ayant plus d’épée, il leur jetait des pierres ». On voit à travers ce personnage une générosité qui est mis à rude épreuve. Roland à une forte personnalité qui même au milieu d’un combat ne pense qu’à défendre sa cause et fait tout pour y parvenir. Ensuite, on voit qu’il ne faiblit pas, qu’il ne lâche pas et qu’il ne recule pas devant tous ces guerriers qui sont en supériorité. Roland est comparé à un demi-dieu et en même temps à un humain, car en perdant son épée, cela nous montre qu’il n’est pas invincible. Malgré aucune aide, in n’abandonne pas. C’est un héros téméraire et battant.
Pour finir, le film Excalibur nous fait vraiment penser à cette scène et il nous permet de mieux l’imaginer.
Ce texte donne une image d'un héros puissant combattant seul:"un contre cent". Sa bravoure ne le fais même pas reculer devant l'impossible. Elle est redoutable et amène me lecteur à admirer ce personnage. Il serait même capable de se battre sans l'aide de son épée qu'il a cassé durant son combat. "Et n'ayant plus d'épée, il leur jetai des pierres".
On voit que dans le vers 13, "la honte et la fureur de combattre un seul homme leur met la pression. Cependant il s'agit plus d'un demi dieu que d'un homme: "et regardant Rolland se souvenait d'Hercule". Au vers 10:" plus d'infant; neuf étaient tombé; un avait fui", on comprend que Rolland est capable de faire l'impossible.
Ce texte donne une image d'un héros puissant, combattant seul "un contre cent". La bravoure dont faait preuve Rolland est redoutable et amene le lecteur à admirer le personnage, le héros est même comparé à Hercules qui est uun demi-dieux ce quii souligne et la force de Rolland mais aussi à l'éxagération de la force de Rolland . Ce dernier ne recule devant rien, son audace et son courage le mène jusqu'a la fin du combat, il fait trembler ses ennemis et on peut lire dans vers10 "Plus d'infants, neuf étaient tombés, un avait fui" et celui qui avait fui était Ruy le subtil ce qui le rabaisse et montre sa lacheté.
Même sans épée, il réussit à se battre et a faire trembler ses oreilles, c'est là qu'on voit que même face a ce déséquilibre Roland est courageux. Ce personnage a une forte personnalité il se bat pour sa cause et même quand son épée se brise il ne lache rien : il leur jette des pierres. Malgrés la comparaison à Herules, on peut lire dans le vers 23"Et pas à pas, sanglant, terrible, las" Roland est fatigué ce qui signifie qu'il n'est qu'un homme, vunlérable,et qu'il peut mourir.
Conclusion : ce film se rapproche par le point commun sur l'infériorité numérique un contre cent dans le texte 300 contre un million pour le film.