La question transversale

http://www.site-magister.com/sujets33.htm#TECNAT

 

Commentaires

1. Le 12 mai 2016, 14:45 par Julie Common

consigne: rédigez la réponse à la question transversale en vous aidant de la carte mentale.
Vous ferez une intro qui présentera les textes et la question posée et vous poursuivrez par un développement qui suivra le plan adopté. Vous terminerez par une conclusion qui fera le bilan de votre analyse et ouvrira sur le texte qui vous a semblé le plus touchant ( a justifier).

Pour répondre a cette question qui traite des relations hommes et animale nous allons nous servir des 3 extraits de textes qui nous sont donnés. On peut voir que dans les titre des texte

2. Le 12 mai 2016, 14:45 par LINA ET MAE

Ces 3 textes s'opposent autant qu'ils se ressemblent en présentant les différentes relations entre l'homme et l'animal. dans le texte 2 ainsi que le texte 3 nous pouvons

3. Le 12 mai 2016, 14:45 par Inès.H

Consigne : rédiger la réponse à la question transversale en s'aidant de la carte mentale. Faire une introduction qui présentera les textes et la question posée et poursuivre par un développement qui suivra le plan adopté. Terminer par une conclusion qui fera le bilan de l'analyse et ouvrira sur le texte qui semble le plus touchant (en justifiant).

Les 3 textes évoquent la relation homme/animal sous différents points de vue.

4. Le 12 mai 2016, 14:45 par Mathilde.G

Consigne: Redirigez la réponse à la question transversale en vous aidant de votre carte mentale .
Vous ferez une introduction qui présentera le texte et la question posée et vous poursuivrez par un développement qui suivra par un développement qui suivra le pan adopté. Vous terminerez par une conclusion qui fera le bilan de votre analyse et ouvrira sur le texte qui vous a semblé le plus touchant (à justifier).

Aujourd'hui, nous allons étudier 3 textes 2 plutôt similaires en principe et un autre complètement

5. Le 12 mai 2016, 14:45 par Léa belloto

Dans les textes 1, 2 et 3, la relation entre l'homme et l'animal est omniprésente, qu'elle soit négative notamment dans les textes 1 et 3 dans lesquelles la violence et la douleur dominent, ou encore quelle soit positive dans le texte 2 qui laisse place à la complicité

6. Le 12 mai 2016, 14:45 par B.Maxime

Les textes présentés sont " les travailleurs de la mer" de Victor Hugo mettant en place l'Histoire de

7. Le 12 mai 2016, 14:45 par jade B

consigne: Rédiger la réponse à la question transversale en vous aidant de votre carte mentale.
Vous ferez une introduction qui présentera les textes et la question posée et vous poursuivrez par un développement qui suivra le plant adopté.
Vous terminerez par une conclusion qui fera le bilan de votre analyse et ouvrira sur le texte qui vous sembles le plus touchant (à justifier ) :

Nous pouvons voir que le texte 1 et 3 on tous les deux un rapport négatif homme-animal mais ils sont également opposés

8. Le 12 mai 2016, 14:45 par emilie. blanchard

Consigne: Rédigez la réponse à la question transversale en vous aidant de votre carte mentale
Vous ferez une introduction qui présentera les texte et la question posée et vous poursuivrez par un développement qui suivra le plan adopté vous terminerez par une conclusion qui ferra le bilan de votre analyse et ouvrira sur le texte qui vous a semblé le plus touchant ( à justifier)

     tout d'abord le corpus nous propose trois texte  de Victor Hugo , Joseph Kessel et Joy Sorman
9. Le 13 mai 2016, 09:25 par Léa.C

En premier lieu le corpus évoque trois textes de 3 époques différentes et donc également de 3 différents auteurs. Le premier texte de Victor Hugo écrit en 1866 évoque la dmination de l'animal sur l'Homme.

10. Le 16 mai 2016, 12:04 par quentin pavy

Ses texte son des fiction qui représentante différente relation homme animal.
Chacun de ses texte montre une relation différente, le texte 1 représente une relation proie prédateur entre Giliatt et la pieuvre, le texte 2 montre une relation amical entre King et Bulit qui joue ensemble et le troisième montre en quelque sorte une relation maitre esclave du point de vu de l'animal qui est mi ours mi homme.
moi j'ai préférer le texte 2 car j'ai bien aimer l’histoire des retrouvaille entre Bulit et King.

11. Le 19 mai 2016, 14:43 par Julie COMMON

nous allons étudier trois textes du corpus: le premier "Les travailleurs de la mer" de Victor Hugo paru en 1886. Le deuxième est "Le lion" de Joseph Kessel paru en 1958. Le dernier texte s'intitule "la peau de l'ours" de Joy Sorman paru en 2014. On remarque alors les trois textes sont paru dans trois siècles différents le XIXème, le XXème puis le XXIème ils auront sans doute alors une approche différente vis à vis de la question.

En revanche les textes de Joy Sorman et Joseph Kessel parle d'animaux dans leur titre: Lion, ours tandis que dans celui de Hugo la présence de l'animal est sous entendu avec "les travailleurs de la mer". Nous allons ici définir les relations hommes animal dans ces trois textes.

Tout d'abord, on peut rapprocher le texte 1 et 3 car dans ces 2 textes, le rapport homme animal est assez négatif Dans le texte 1on remarque un rapport assez violent et douloureux entre l'homme et la pieuvre avec le champs lexical de la douleur: " cherchait a lui boire le sang", "comme des lames d'épée" ou encore "une souffrance inouï". Tout comme dans le texte 3 ou une relation de souffrance et de soumission est présente entre l'homme et l'ours avec l'homme qui exploite et exhibe l'animal au public jusqu'à en faire souffrir l'animal " je suis muselé et enchainé". En revanche on constate une différence entre ces 2 textes car dans le 1er c'est l'animal qui a le dessus sur l'homme tandis que dans le texte 3 l'homme domine l'animal. Alors à la lecture de ces 2 textes, le lecteur du texte 1 ressent de l'horreur et de la peine pour l'homme alors que le lecteur du texte 3 lui ressent de la pitié pour l'ours et de la haine envers l'homme qui traite ainsi un animal innocent.

12. Le 19 mai 2016, 14:45 par Lina

nous allons étudier 3 textes : le premier est un texte de Victor Hugo, " Les travailleurs de la mer " écrit en 1866. Le deuxieme est un texte de Joseph Kessel intitulé " Le lion " écrit en 1958 et le troisieme texte que nous allons étudier à été écrit en 2014 par Joy Sorman qui se nomme " La peau de l'ours. Ces 3 textes s'opposent autant qu'ils se ressemblent en présentant les différentes relations entre l'homme et l'animal. Ces textes parlent tous les trois du comportement que porte les hommes sur les animaux, et montre bien que selon l'homme, les comportements ne sont pas similaires et varient selon chacun

Dans le texte de V.Hugo ainsi que le texte de J.Sorman, les rapports entre l'homme et l'animal sont négatifs . Le texte de V.Hugo ainsi que celui de J.Sorman soutiennent tous les deux un champ lexical sur la violence et la douleur. Cependant dans le texte 1, nous pouvons voir que c'est l'homme qui se fait maitriser par la pieuvre alors que dans le texte 3, la violence est inversée, c'est l'ours qui est soumis à la pression humaine.

Contrairement au texte de J.Kessel, qui lui, montre des relations positives et une certaine complicité entre ces deux êtres. le lion montre une grande affection envers l'homme

13. Le 19 mai 2016, 14:45 par Léa belloto

Nous allons nous intéresser aux trois textes:
Le premier est un extrait de la deuxième partie du chapitre I du livre" Les Travailleurs de la mer" de Victor Hugo paru en 1866.
Le deuxième est un extrait de la deuxième partie du chapitre IX du lire de Joseph Kessel, "Le Lion" publié en 1958.
Le troisième texte est un extrait du livre "La peau de l'ours" de Joy Sorman paru en 2014.
Ces trois textes, bien que différents par leurs factures et leur appartenance à des mouvements littéraires ont un thème commun: la relation entre l'Homme et l'animal, que l'on peut notamment le voir à travers les titres. Nous pouvons aussi remarquer qu'ils sont tout les trois tirés de romans.
Tout d'abord, les champs lexicaux des textes de Victor Hugo et de Joy Sorman sont similaires car ils mettent tout deux en avant la violence, la douleur, la peur et le dégoût notamment lorsque l'auteur emploi des termes comme "horreur indescriptible" dans le texte 1 lorsque la pieuvre sort des eaux face à l'homme ou encore "muselé, enchaîné" dans le texte 3 quand l'homme promène l'ours dans les rues à travers la foule telle une bête de foire.
Par conséquent, on peut observer que dans le texte 1 la pieuvre est dominatrice et effraye l'homme,

14. Le 19 mai 2016, 14:45 par Jordan Soumat

Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?

Nous allons étudier trois textes : le premier « Les Travailleurs de la mer» qui est un texte de Victor Hugo paru en 1866.Le deuxième est le texte de Joseph Kessel " Le Lion" paru en 1958 et le troisième texte de ce corpus est "La peau de l’ours" écrit par Joy Sorman et paru en 2014.Ces trois textes,bien que leurs différents par leurs époque et leurs mouvement littéraires ont un thème commun:La relation homme animale.D'ailleurs deux d'entre eux ont un nom d'animaux comme titre "Le lion" et "la peau de l'ours".Nous allons ici observer les relations entre l'homme et l'animale dans ces différents textes.

Tout d'abord,il s'agit de relations hommes animales mauvaises, car en effet dans ces deux textes,l'homme et l'animal se confronte,il y a un rapport de violence.Dans le texte "les travailleurs de la mer" la pieuvre est entrain d'emprisonner Gilliat dans ses tentacules, "Chacun de ces points était un foyer d'affreuse et bizarre douleur",on remarque ici le champ lexical de la souffrance:douleur,ect..il y a ici un rapport négatif de l'animal envers l'homme ,ce texte eprouve le dégout,la peur de l'homme envers l'animal.Dans le texte "La peau de l'ours" cette mauvaise relation est aussi constaté car en effet dans ce texte l'ours est dégradé,méprisé par l'homme,il y a ici une soumission de l'ours par rapport a l'homme "muselé,enchaîné", l'ours est comme un objet pour l'homme, c'est donc aussi un rapport très négatif mais cette fois ci de l'homme envers l'animal.

Cependant,dans le texte "Le lion",il y a un rapport fraternelle comme un père et son fils entre le lion et Bullit,en effet on remarque que le lion et Bullit sont lié,ne font qu'un, " Crinière et cheveux roux ne firent qu'une toison."Il y a aussi une affection très importante entre l'homme et l'animal car dans ce texte on observe cette phrase:"il frotta son mufle contre le visage de l'homme",contrairement aux textes précédents l'animal est humanisé, cela fait donc un rapport d'égalité entre l'homme et l'animal,qui sont comme fait pour jouer ensemble et s'aimer comme des personnes égaux.

La relation Homme animal est donc très mitigé dans ces différents textes entre violence et amour,amitié et oppositions.

15. Le 19 mai 2016, 14:45 par enzo.maraval

Nous allons étudier trois textes : le premier texte est "Les Travailleurs de la mer " écrit par Victor Hugo en 1866 . Le deuxième texte est " Le Lion" de Joseph Kessel sorti en 1958. Le troisième texte est "La peau de l’ours" de Joy Sorman sorti en 2014, ont a un thème commun qui n'est autre que la relation homme animal .
Tout d’abord, il s’agit d'animal réel. Dans "Les Travailleurs de la mer" l'animal évoqué est une pieuvre qui aborde le bateau de Gilliatt

16. Le 19 mai 2016, 14:45 par theoo tapiaa

relation entre homme et animal

Nous allons étudier trois textes , Les Travailleurs de la mer , qui est un texte de Victor Hugo paru en 1866 .
le second est "Le Lion", écrit par Joseph Kessel paru en 1958 . Le dernier texte est "La peau de l’ours" écrit par Joy Sorman en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leur époque ( les travailleurs de la mer en 1866 , le lion en 1958 et la peau de l'ours en 2014 ), ont un points communs , ces trois textes parlent et évoques tous de façon différentes la relation entre l'homme et l'animal .

Tout d’abord nous pouvons remarquer que dans Les Travailleurs de la mer l'homme subi la violence de l'animal décrit avec un champ lexical varié de la souffrance ce qui peut provoquer chez le lecteur un sentiments de peur et de dégout , "une horreur indescriptible" . dans ce texte l'homme est dominné par l'animal .

Ensuite, on remarque

17. Le 19 mai 2016, 14:45 par aurelien

RELATION HOMME ANIMAL:

Nous allons étudier 3 textes :
le premier , "les travailleurs de la mer" de Victor Hugo(1866)le deuxième," le lion" de joseph Kessel(1958) et enfin le troisième ,"la peau de l ours" de Joy Sorman(2014).
Ces trois texte ont tout les trois un thème en commun qui la relation homme animal.le texte A et le texte C sont différent dans l’un l’homme subi la violence de l'animal avec l exemple dans le texte A avec la pieuvre étreint l' homme qui essaye tant bien que mal de se défendre.
Alors que dans l'autre c'est l'animal qui subi les violence de l'homme.avec l'exemple dans le texte C ou l'homme s'acharne sur l'ours. on ressent pour lui un sentiment d'étouffement
On voit dans les deux texte que ce soit pour l ours ou pour l homme que les deux se débatte.
Le texte B se détache un peu des deux autre car il parlent d une amitié entre un homme et un lion et leur retrouvaille.

18. Le 19 mai 2016, 14:45 par jade B

Nous allons étudier trois textes, tout d'abord nous pouvons voir " Les Travailleurs de la mer" écrit par Victor Hugo en 1866, puis "Le Lion" de Joseph Kessel écrit en 1958 et enfin "La peau de l’ours" écrit par Joy Sorman en 2014. Lorsque nous regardons les dates de ces textes nous pouvons remarquer que ceux-ci on été écrit a des siècles différents ( IX eme - X eme et XI eme siècle ) . Bien que ces trois textes aient été écrit à des périodes très éloignées ils ont tous les trois un point commun, ils ont pour thèmes la relation hommes-animal . Dans un premier temps nous allons comparer le texte de Victor Hugo et celui de Joy Sorman, puis dans un deuxième temps nous allons voir la relation qu'entretien l'homme et l'animal dans le texte de Joseph Kessel.

En premier lieu nous remarquons que les textes" Les Travailleurs de la mer" écrit par Victor Hugo et "La peau de l’ours" de Joy Sorman parlent tous deux de relations négatifs entre l'homme et l'animal mais bien que dans ces deux textes les auteurs utilisent le champs lexical de la souffrance et de la violence en utilisant des mots tel que :" l'horreur indescriptible", "fouetta", ou encore "pouvait à peine respirer" dans le texte de Victor Hugo et "bourreau" et "tueront" ils sont également différents dans le sens car Victor Hugo décrit une situation où l'animal à le dessus sur l'homme et le domine.

19. Le 19 mai 2016, 14:45 par Inès.H (texte 2)

Consigne : rédiger la réponse à la question transversale en s'aidant de la carte mentale. Faire une introduction qui présentera les textes et la question posée et poursuivre par un développement qui suivra le plan adopté. Terminer par une conclusion qui fera le bilan de l'analyse et ouvrira sur le texte qui semble le plus touchant (en justifiant).

Nous allons étudier trois textes. Le premier se nomme "Les travailleurs de la mer" de Victor Hugo (1866), le second s'appelle "Le lion" écrit par Joseph Kessel (1958) et le troisième s'appelle "Le peur de l'ours", œuvre de Joy Sorman (2014). Ces trois textes sont différents de part leurs époques, chacun appartenant à un siècle différent mais tous ont un point commun : une référence à un animal. Nous allons étudier les relations homme/animal sous différents points de vue. Nous pouvons également mettre en relations les textes 1 et 3 puisque le rapport homme/animal est négatif, contrairement au texte 2 dans lequel la relation semble amicale.

Tout d'abord, le texte 1 met en relation un homme et une pieuvre dont la relation semble violente. En effet, nous relevons le champ lexical de l'horreur, du dégoût ainsi que de la douleur ("l'horreur indescriptible"). L'homme est dans une position de soumission et il y a l'idée que l'animal domine par la contrainte et la violence ("on ne sait quelle spirale lui avait envahi le poignet"). Nous pouvons associer le texte 3 au texte 1 car la même relation négative est présente entre l'homme et l'animal. Dans ce texte, l'ours est muselé, enchaîné et exposé aux yeux de tous dans les rues. Mais contrairement au texte 1, c'est ici l'homme qui est en position de supériorité et l'ours qui est soumis ("Ce nouveau maître") et dégradé par l'homme. Il est exposé dans les rues et ce sont les hommes qui l'observent, le touchent comme une bête de foire. Ces deux textes expriment une relation homme/animal négative mais la place de l'un et de l'autre change : dans le texte 1 l'animal domine l'homme contrairement au texte 3 dans lequel l'homme domine l'animal.

Pour continuer, dans le texte 2 la relation homme/animal est complètement différente. C'est l'histoire d'un lion retrouvant l'homme qui l'a élevé. C'est un rapport amical, même familial, fusionnel ("ne font qu'un). Nous voyons qu'il y a un rapport d'égalité, de solidarité entre l'homme et le lion et que leur intelligence est égale ("King comprenait").

20. Le 19 mai 2016, 14:45 par M.Barbier

Nous allons étudier trois textes : le premier, un extrait du livre« Les travailleurs de la mer », par Victor Hugo publié en 1866, le deuxième est un extrait du livre « Le lion », par Joseph Kessel sortit en 1958 et enfin le troisième, un extrait de « La peau de l'ours » écrit pas Joy Sorman et publié en 2014. Ces trois textes, bien qu'espacé par de nombreuse années les uns par rapport au autres, traîtres d'un sujet commun : Le rapport entre l'Homme et l'animal, deux des textes on pour comporte dans leurs titres des noms d'animaux. Nous allons ici définir les relations entre l'Homme et l'animal dans ces différents textes,

En premier, nous allons étudier le rapport négatif entre l'Homme et l'animal dans le texte « les travailleurs de la mer » et « la peau de l'ours », dans ses textes, une des deux personnages est en état de faiblesse par rapport à l'autre. Dans le texte de Victor Hugo, par exemple, La pieuvre est en dominance par rapport à l’Homme, elle le fait souffrir et angoisser « Il lui semblait que d'innombrables lèvres, collées à sa chair, cherchaient à lui boire le sang ».
L’homme est totalement impuissant face à l’animal. Dans le texte « La peau de l’ours » c’est l’animal qui est dominé par l’Homme, les rôles s’inversent et l’animal subit la violence de l’Homme «je sens le bout d'une canne s'enfoncer furtivement entre mes côtes ». Dans ces deux textes, les rapports sont mauvais, l’un a peur de l’autre, le fait souffrir, le dégoûtes.
Ensuite, dans le textes « Le lion », on remarque que la relation en L’humain et le lion est complètement différente des deux autres textes : Il y a un rapport d’égalité entre l’homme et le lion qui est mis a niveaux de l’homme en l’humanisant. Il y a un rapport d’amitié et de familiarité entre les deux personnages. Aucun des deux ne cherche à humilié ou rabaissé l’autre, comme c’est dit quand King et Bullit se battent, le lion ne cherche pas a blessé Bullit, et pareil quand King fait la course avec la voiture de Bullit, celui-ci ne pousse pas sa voiture au maximum pour que King puisse suivre.
En conclusion, il y a plusieurs façons de définir les relations entre l’homme et l’animal, une relation de peur et de dégoût comme c’est le cas dans le premier texte, où l’homme est impuissant face à l’animal, une relation de dominance et de violence où l’homme exhibe l’ours comme une bête de foire et où elle se fait maltraiter et enfin une relation d’égalité, où l’animal et égal à l’homme, comme dans le texte « le lion » ou l’animal est humanisé, et qu’aucun de cherche à blesser, dominer, soumettre, exhibé l’autre.

21. Le 19 mai 2016, 14:46 par Elisxp_

Nous allons étudier trois textes appartenant à trois siècles différents. Ces trois textes ont thème commun qui est "l'animal". le premier texte de Victor Hugo "les travailleurs de la mer" (1866), le deuxième qui est de Joseph Kessel "le lion" (1958) et le dernier de Joy Sorman "la peau de l'ours" (2014).Ces trois textes, bien que différents par leurs factures et leur appartenance à des mouvements littéraires opposés ( le champs lexical de la douleur, de l'horreur pour Hugo, le réalisme pour Kessel, le négatif pour Sorman) qui ont un thème commun: l'animal, la relation entre l'homme et l'animal. D’ailleurs deux d'entre eux comporte le nom d'un animal.

Tout d'abord, on peut constater que dans le texte 1 et 3 sont des textes très négatif avec un champs lexical de la violence, de la douleur comme dans le texte 1 on peut constater beaucoup de dégoût, d'horreur. Pour le texte 3 on peut constater beaucoup de rapport négatif, de la maltraitance envers l'ours, de la soumission de l'ours par rapport a l'homme. Le texte 1 exprime de la compassion "une souffrance inouïe" , dans le texte 2 évoque plus la pitié "je suis muselé et enchainé".

Ensuite, on remarque que les lieux évoqués sont étonnamment dépeuplés. En effet le texte de kessel présente au Kenya pays peut fréquenté

22. Le 19 mai 2016, 14:46 par emilie blanchard

Nous allons étudier trois textes dont les auteurs appartiennent a des siècles différents, "les travailleurs de la mer" de Victor Hugo (1866), "Le lion " de Joseph Kessel (1958) et "La peau de l'ours" de Joy Sorman (2014) .Nous pouvons observer que ces trois texte bien que différents ont dans leur titre un point commun qui est l'animal , nous allons alors pouvoir analyser ces trois texte qui malgré un sujet identique proposent des points de vue différents

     tout d'abord nous allons nous intéresser au texte de Victor Hugo et de Joy Sorman qui adoptent un point de vu sur les relation entre l'homme et l'animal assez négatif. En effet dans le premier texte Gilliatt , un marin sur son bateau se fait attaquer par une pieuvre à l'allure monstrueuse qui essaye de le tuer "d'innombrables lèvres, collées à sa chair, cherchaient à lui boire le sang. "On peut remarquer que c'est elle qui domine l'homme et ne lui laisse pratiquement aucune chance de survie . Contrairement à ce texte et malgré ce rapport négatif vis a vis de l'animal le texte de  Joy Sorman monte l'ours , cet animal sauvage tout comme la pieuvre , en état de soumission par rapport a l'homme" je suis mené, muselé et enchaîné"
23. Le 19 mai 2016, 14:46 par Mathilde Gastal

Nous allons étudier trois textes ayant un thème commun; les relations Homme animal. Le premier Les Travailleurs de la mer, Deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I de Victor Hugo (1866). Le deuxième de Joseph Kessel, Le Lion, partie, chapitre IX, (1958). Et enfin le troisième, Joy Sorman, La peau de l’ours, 2014.
Ces trois textes datent de siècles différents, un du 19eme, un du 20eme et l'autre du 21eme siècle.
Ces derniers nous montrent trois différentes manières de percevoir la relation homme animal.

Tout d'abord, dans le premier texte, c'est l'homme qui est effrayé de l'animal et comme nous le fait comprendre le narrateur, "l'angoisse est à son paroxysme". L'animal est en effet vu sous l'angle d'un épouvantable monstre surtout quand le narrateur nous décrit le physique de la chose et la réaction du personnage "Gilliatt" par rapport à ce dernier. C'est alors qu'on retrouve ici un lien avec le texte de Sorman ou l'animal est Dégradé face à l'œil de l'homme.
En effet dans le texte de Sorman, l’animal est soumis à l’homme en étant « muselé » et « enchaîné », ici c’est l’homme qui est le « bourreau ». C’est à cet instant que l’on remarque le lien entre ces deux textes de par le mépris des animaux par l’Homme.

En second lieu, complètement à par, nous retrouvant le texte de J.Kessel, qui lui aurait plutôt tendance à Glorifier l’animal dans sa splendeur. En effet, nous retrouvons ici une liaison forte que l’on pourrait même qualifier d’amour, entre L’Homme et L’Animal. Entre autre, l’histoire va même jusqu’à humaniser le lion aux yeux de l’homme « Et de cette prise-là, qu'est-ce que tu en dis, mon fils ? ». Effectivement, ce dernier appelle la bête « mon fils » puisqu’il se considère comme son père. L’histoire nous montre l’affection entre l’homme et l’animal de façon à ce qu’on comprenne que ces derniers ne font qu’un rapport fusionnel. Les liens que l’on pourrait qualifier de familiaux, ferraient passer l’animal pour un homme sans aucun problème.

24. Le 19 mai 2016, 14:46 par lea s

Nous allons étudier trois textes au thème commun. Le premier intituler « Les travailleurs de la mer » écrit par Victor Hugo en 1866, le second de Joseph Kessel « Le lion » écrit en 1958 et enfin « La peau de l’ours » récit de Joy sorman sortit en 2014.
En effet trois textes éloignés par leurs dates mais proche par leurs thèmes sont ici réunit, nous pouvons alors analyser grâce à ces textes la relation de l’Homme et de l’animal sous deux visions différentes.

Tout d’abord, deux textes s’unissent sur la vision des relations Homme animaux, se sont les textes d’Hugo et de Sorman qui ont mit en avant une relation plutôt négative, en effet la souffrance,la soumission et la violence sont exposé de manière brutale ? Dans le texte de Victor Hugo l’animal prend le contrôle sur l’homme ce qui est différent d’une manière commune de voir les relations Homme animal, effectivement grace cette citation « Chacun de ces points était un foyer d'affreuse et bizarre douleur » nous montre que l’animal à un pouvoir négatif sur l’homme.

En revanche le texte de Sorman nous montre l’emprise de l’homme sur l’animal «Le lendemain je suis mené, muselé et enchaîné, à travers les rues de cette ville toujours aussi brouillonne, par un homme au physique de bourreau ».  Si bien que les écrivains nous indiquent les mauvaises répercutions de ces relations.

Enfin, ce troisième récit nous oriente vers une version positive de ces relations, nous avons ici un lion et un homme ce retrouvant sur des émotions affectueuses « L'homme et le lion roulèrent ensemble. Il y eut entre eux une mêlée confuse et toute sonore de rires et de grondements. Et l'homme se retrouva étendu, les épaules à terre, sous le poitrail du lion. »
Ici le lion est sur l’homme mais cette emprise est positive contrairement à Hugo,ce qui oriente le lecteur vers une pensée positive de l’amitié entre Homme animal.

25. Le 19 mai 2016, 14:47 par Ayoub et Theophile

Nous allons étudier 3 textes: le premier est un chapitre du livre "Les Travailleurs de la mer", écrit par Victor Hugo en 1886. Le deuxième est un chapitre du livre "Le Lion", écrit en 1958 par Joseph Kessel et le troisième et le troisième texte est un court récit qui s'intitule "La peau de l'ours" écrit en 2014 par Joy Sorman.

Tout d’abord, il s’agit de décors ancrés dans le réel : une mer existantes réellement. Dans « Les travailleurs de la mer», il s’agit d'un pêcheur, avec des allusions réalistes à des éléments du décor comme « mer», « l'épave de la Durande». Dans le texte de Joseph Kessel, l’action se déroule dans un Parc royal au Kenya, on nous indique même plus précisément que sa fille Patricia est l'amie d'un lion nommé « King ». Nous n'avons aucune information du décor dans le texte. Dans le dernier texte, celui de Joy, nous avons des informations que sur les personnages: "un homme au physique de bourreau", "galbre", "épais". Nous n'avons pas d'information du décor non plus mais de part la lecture, il semble sombre et pas rassurant.

26. Le 19 mai 2016, 15:37 par RICHARD Peter

Question : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?

Nous allons étudier 3 textes, le premier est de Victor Hugo et date de 1866, le second est écrit par Joseph Kessel, il date de 1958, et enfin le troisième date de 2014 et a été écrit par Joy Sorman, on note tout d’abord un grand décalage au niveau des époques, avec un siècle d’écart entre chaque texte, malgré ce décalage, on observe dans chacun de ses extrait un point commun évident, le thème de l’animal, malgré ce rapprochement, on voit que sur chacun des extrait la façon dont la relation de l’Homme et l’animal est abordé est assez différente, nous allons ici en deux parti définir les relation entre l’Hommes est abordé dans ces extraits.

Tout d’abord, nous pouvons remarqué un grand décalage entre le texte 1 et 3 et le texte 2, on voit très clairement que dans le texte de V.Hugo et dans le texte de Joy Sorman, la relation entre l’Homme et l’animal est conflictuelle, il y a une rivalité, et même de la méchanceté, tout d’abord nous avons le cas de figure représenté par V.Hugo ou l’animal a le dessus, celui-ci est représenté comme quelqu’un d’horrible, tel un monstre etc, puis nous avons l’autre cas de figure de rivalité entre l’Homme et l’animal représenté par Joy Sorman ou l’Homme a le dessus sur l’ours, totalement obéissant et maltraité, avec une grande cruauté, on peut lire dans ses deux extrait une rivalité qui peut aller jusqu'à mort de l’un des deux, la pieuvre ne sert pas seulement a battre l’homme dans l’extrait de V.Hugo, elle veut le tuer totalement, les Hommes dans l’extrait de Joy Sorman ne veulent pas seulement battre l’ours, ils cherchent totalement a l’humilié et a le faire souffrir.

Ensuite on remarque que du point de vue de Joseph Kessel, la relation entre l’Homme et l’animal est a l’opposé différente, lui montre dans son texte une relation fusionnel, dans l’histoire le lion a été élevé par John Bullit et son équipe, et on peut voir que quand le lion retrouve la personne qui l’as receuilli et soigné, celui-ci a une réel reconnaissance envers eux, et même une certaine affection, que l’on pourrai presque avoir avec des parents, nous pouvons très bien imaginé la même scène en remplacant le lion par un enfant heureux de retrouvé ses parents, ce qui montre a quel point J.Kessel represente cette relation d’une manière fusionnel et affectif.

Les relations entre l’Homme et l’animal dans ces extrait sont donc divisé en deux, d’un coté une relation affectueuse, complice faite par J.Kessel, et de l’autre une relation rival, d’ennemi, une relation conflictuelle elle-même composé d’un coté de l’animal maltraitant l’Homme représenté par V.Hugo, et de l’autre des Hommes maltraitant l’animal représenté par Joy Sorman.

27. Le 19 mai 2016, 15:42 par thomas2nd10

Nous allons étudier trois textes, qui, bien que différents, ont un thème commun : la relation homme animal. Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ? On peut regrouper ces textes en 2 parties, dans la première, on peut y mettre le texte 1 et 3 où la relation homme animal est négative et dans la deuxième le texte 2 où la relation homme animal est positive.

Tout d’abord, on peut remarquer que le texte 1 et le texte 3 montre un conflit entre l’homme et l’animal car dans le texte 1, la pieuvre fait ressentir a l’homme « une horreur indescriptible » et dans le texte 3 où les hommes présentés comme des « bourreaux » face a l‘animal ce qui montre que le rapport homme animal dans ces deux textes est plutôt une rivalité pour savoir qui est dominant et qui est dominé ; Il y a tout de même une opposition dans ces deux texte car dans l’un, l’animal surpasse totalement l’homme et dans l’autre c’est l’homme qui surpasse l’animal.

Ensuite, on remarque que dans le texte 2, la relation homme animal est totalement différente parce que l’homme entend bien avec son animal et joue même avec. L’animal aussi aime son maître car il lui fait des gestes d’affection comme « lui lécha la joue » par exemple. On voit que cette relation est très proche car les deux personnages peuvent se comprendre sans se parler et joue à se battre sans vraiment se blesser alors que l’homme se bat tout de même avec un lion.

Pour conclure, on peut dire que ces 3 texte on le même thème mais pas les même types de relation homme animal ce qui crée des rapprochements entre ces textes comme des opposition.

28. Le 19 mai 2016, 15:43 par Jérémy.M

Nous allons étudier trois textes, ayant comme point commun la relation entre l’homme et l’animal. Dans le texte 1 et 3, les relations sont négatives et/ou conflictuels. Dans le texte 2, la relation concerne plus l’amitié d’un homme avec l’animal.

Dans le texte 1 et 3, un homme fît la rencontre d’une pieuvre, agressif, « monstrueuse ». Celui-ci étant dans l’incapacité de faire quoi que ce soit pour se défendre, il se laisse « presque faire ».
Les détails de cette scène expliquent bien la situation, ainsi que les mouvements de chaque entité. Par exemple le détail des tentacules de la pieuvre est bien expliqué. Ainsi que l’incapacité de Gilliat pour ce défendre. Dans le dernier texte, de Joy Sorman, nommé « La peau de l’Ours », la relation Homme Animal n’est pas très concrète. En effet, le bourreau cité dans ce texte, est en réalité un Ours possédant la pensée Humaine. Celui-ci est emmené dans un Cirque, sous une foule de personne, l’acclamant. Cet ours était dans un état déplorable. Presque déprimé de voir autant

Dans le texte 2 de Joseph Kessel nommé « Le Lion », l’histoire raconté est l’amitié entre un homme et un lion. En effet, le Lion appelé King et L’homme appelé Bullit, sont comme des grands amis. De plus, une certaine Patricia vint dire « Est-ce que vraiment on ne croirait pas deux lions ?» Leurs amitiés est expliquées tout au long de l’extrait. Ils jouent ensembles rigolent. Le Lion montre son affection envers sont maître en lui léchant le visage. Ce texte montre bien la relation amicale entre un Homme et un Lion.

29. Le 19 mai 2016, 15:44 par VICTORIACLB

Nous allons étudier trois textes : le premier « Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer,le chapitre I, parut en 1866. Le deuxième, un extrait d’un livre de Joseph Kessel, « Le Lion », le chapitre IX, en 1958. Puis enfin le troisième, Joy Sormam , « la peau de l’ours » parut en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leurs manière d’être écrit, ont tout les trois un point commun. La relation entre l’homme et l’animal. D’ailleurs, on constate que les titres ont eux même composés de noms d’animal, en effet « lion », « ours ». Mais comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?

Tout d’abord, il s’agit de d’une relation tout à fait négative, voir une relation totalement surprenante qui est très intrigante. En effet cette relation ici décrite exprime des sentiments de peur, une « horreur indescriptible » est expliquée. Elle est aussi violente car ce monstre des mers « cherchait à boire le sang » de ce pauvre homme. Cette relation est aussi douloureuse et l’homme n’en dit pas moindre face à cette « souffrance inouïe». Ces interventions du réel dans ce texte donne de la peur et de la peine pour cette homme dans cette situation si cruelle.
Ensuite, nous retrouvons une situation plus corsée dans le troisième texte de Joy Sorman. Effectivement, la relation évoquée ici est celle d’un ours et d’un homme. L’ours se montre dans ce texte comme soumit. L’homme se décrit comme « musclé et enchainé », le pauvre ours en souffre.

Enfin, on remarque que Joseph Kessel raconte une relation tout à fait contradictoire aux relations précédentes, celle ci est décrite comme affectueuse, sentimentale. Effectivement, une relation familiale est décrite entre ce lion et cette homme, l’homme appel l’animal « mon fils » ou bien « mon garçon » . Un sentiment amicale, de la complicité est aussi expliqué par exemple lorsque le lion « frotta son mufle sur le visage de l’homme ».

Les relations décrites dans ces textes sont alors toutes différentes, d’une part nous avons deux relations affectueuses, sentimentales, puis d’une autre part une situation cruel et négative entre l’homme et l’animal.
Le lecteur peut alors se sentir perdu, confus.

30. Le 19 mai 2016, 15:45 par Océane

Nous allons étudier trois textes : le premier « Les Travailleurs de la mer » est un texte de Victor Hugo paru en 1866. Le deuxième « Le Lion » est un texte de Joseph Kessel paru en 1958 et le troisième « La peau de l’ours » est un texte écrit de Joy Sorman paru en 2014. Ces trois textes ont un thème un commun : la relation entre l’Homme et l’animal. D’ailleurs, ils ont un titre en rapport avec l’animal. On remarque aussi qu’il s’agit de trois livres. Nous allons donc définir ici la relation entre l’Homme et l’animal.

Tout d’abord, il s’agit de relations négatives voire conflictuelles. En effet dans le premier texte, « Gilliatt » et « la pieuvre » ont un contact dangereux, « la pieuvre » est agressive envers « Gilliatt » qui le devient par la suite. Dans le troisième texte, c’est « l’ours » qui est violenté : l’Homme exhibe l’animal. On peux donc voire que la violence peux provenir de l'Homme ou de l'animal. Ces deux textes paraissent donc réels puisque certains Hommes maltraitent les animaux.

Ensuite, dans le deuxième texte, on peut voire une relation entre l’Homme et l’animal plus joyeuse et familiale. On peut voire des points communs avec « Crinière et cheveux roux ne firent qu'une toison » ainsi qu'un aspect fusionnel avec "Il étendit une patte".

La relation entre l’Homme et l’animal dans ces trois textes peut donc être négative comme positive puisqu’on nous montre des actes violents ainsi que des actes amicaux.

31. Le 19 mai 2016, 15:45 par payet.f

Nous allons étudier trois textes : Le lion de joseph KESSEL, Les travailleurs de la mer victor HUGO, et La peau de l’ours joy SORMAN. Ces trois textes, bien que différents par leurs factures et leur appartenance à des relations hommes, animales opposés. D’ailleur deux d’entre eux on des nom de textes avec des noms d’animaux dedans : Le lion, La peau de l’ours.

Dans le texte 1 et le texte 2 les relations sont negatives car dans ces dernier les hommes et les animaux se battent ou l’un domine l’autre en s’en servant comme "esclave".Les relations hommes-animales sont violente et douloureuse pour les hommes (dans les travailleurs de la mer) mais aussi pour les animaux (dans la peau de l'ours). Les animaux sont maltraités par certains humain et se font enchainé, muselé, et même parfais enfermé.

Mais dans le lion la relation hommes-animales est positif et ils s'entendent bien (BULLIT et KING qui jouent ensemble) et ni l'homme, ni l'animale n'a le dessus sur l'autre. Ils sont sur un même pied d'égalité.

32. Le 19 mai 2016, 15:45 par ines bdj

Nous allons étudier trois textes : le premier de Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, Deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I, le deuxième de Joseph Kessel, Le Lion, Deuxième partie, chapitre IX,et le troisième de Joy Sorman, La peau de l’ours. C’est trois textes ont un point en commun, un thème commun : la relation entre homme et animal. Ces textes, ayant le même thème, tous tous différent les uns des autres. Nous allons ici analyser les relations entre les hommes et les animaux présentent dans chaque texte.

Tout d’abord il s’agit d’une relation négative et conflictuelle que nous pouvons observer dans le texte de Victor Hugo et celui de Joy Sorman. Victor Hugo va nous donner un aspect très sombre des animaux, la méchanceté, la sauvagerie, « c’est l’horreur indescriptible » comme dirait Hugo. La relation entre l’homme et l’animal dans ce texte ne va donc presque pas exister, ce texte nous fais avoir un sentiment de peur envers cet animal, nous ressentons ce que le personnage principal ressent : le dégoût. Dans le texte 3 de Joy Sorman la situation est inversée mais la relation ne change pas, toujours aussi négative. Dans ce texte c’est plutôt de la peine pour l’animal que nous ressentons, l’homme fait de l’animal un objet « muselé et enchaîné ». Grâce à ces deux textes nous avons un aspect entièrement mauvais sur la relation entre homme et animal, ce qui provoque un dégoût soit envers les hommes qui maltraitent soit envers les animaux qui sont violents.

Ensuite, dans le texte 2, on remarque que la relation entre homme et animal est totalement contraire. On pourrait dire que les personnes du texte de Joseph Kessel baignent dans le bonheur. L’auteur a choisit de mettre en valeur un animal sauvage dans la vie courante, qui est totalement inoffensif dans le texte, ce qui peut montrer a l’inverse du texte de Victor Hugo que les animaux ne sont pas forcement mauvais. Dans ce texte une relation fusionnelle entre le lion et l’homme est montrée « est-ce que vraiment on ne croirait pas deux lions ? », mais aussi un aspect familial, un amour paternelle est montré par l’auteur « et de cette prise la qu’est ce que tu en dis mon fils ? », ce qui est un sentiment courant de nos jours avec nos animaux domestiques.

Pour conclure, la relation entre homme et animal est très mitigée. Je penses que chaque être vivant a besoin d’affection, homme comme animal, il suffit donc d’en pourvoir pour chacun et un animal est, je penses, le meilleur être qui puissent exister pour remplir cette tâche.

33. Le 19 mai 2016, 15:45 par Clément Timothé

Nous allons étudier trois textes : le premier « Les travailleurs de la mer » de Victor Hugo écrit en 1866 , le deuxième est « Le Lion » de Joseph Kessel écrit en 1958 et le troisième texte de ce corpus est « Le peau de l’ours » de Joy Sorman , écrit en 2014 . Nous pouvons voir que ces trois textes on été écrit a un siècle d’intervalle et ont un thème commun à savoir le rapport entre l’homme est l’animal

Tout d’abord nous pouvons rassembler le texte 1 et 3 car dans ces deux textes il y a une rivalitée entre l’homme et l’animal qui on est des rapports très violents et dangereux. Dans le texte 1 Gilliatt se fait attaquer par une pieuvre dont ses tentacules « cherchaient à lui boire le sang » ce texte est fait pour nous faire ressentir l’effroi que Gilliatt ressent au moment ou la pieuvre l’agrippe pour le tuer. Dans le texte 3 l’auteur

34. Le 19 mai 2016, 15:45 par Cyril P.

Nous allons étudier trois textes :

Texte A : Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, Deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I, 1866.
Texte B : Joseph Kessel, Le Lion, Deuxième partie, chapitre IX, 1958.
Texte C : Joy Sorman, La peau de l’ours, 2014.

Ces trois textes sont issues de trois époques différentes mais deux d’entre eux ont un nom d’animal comme titre et ils ont un thème commun : la relation entre l’homme et l’animal.
Tout d’abord il s’agit de relation entre l’homme et l’animal : dans le texte A, le personnage principal, Giliatt, est la proie d’une pieuvre ; le texte B nous montre une relation amicale entre le personnage principal, John Bullit, et un lion adulte nommé King qui jouent ensemble ; et dans le texte C, le narrateur nous raconte sa vie à moitié homme moitié ours.

35. Le 19 mai 2016, 15:46 par Orlane

Corpus :
Texte A : Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, Deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I, 1866.
Texte B : Joseph Kessel, Le Lion, Deuxième partie, chapitre IX, 1958.
Texte C : Joy Sorman, La peau de l’ours, 2014.

Nous allons étudier trois textes : le premier « Les Travailleurs de la mer » écrit par Victor Hugo et est un roman qui est parut en 1866. Le deuxième est « Le Lion » un roman de Joseph Kessel écrit en 1958. Le troisième de ce corpus est « La peau de l’ours » un roman de Joy Sorman qui est parut en 2014. Ces trois textes ont un seule et même point commun : les relations entre les homes et les animaux. D’ailleurs deux d’entre eux on dans leur titre le nom d’un animal comme « le lion » et « l’ours » pour les romans de Joseph Kessel et de Joy Sorman. On remarque qu’il s’agit de trois romans. Nous allons ici définir les relations entre hommes et les animaux qui parfois peuvent être fusionnel ou dangereuse.

Tout d’abord dans « Les Travailleurs de la mer » et « La peau de l’ours » les relations entre l’homme et l’animal sont presque similaires. En effet, dans le premier texte du corpus, la relation entre Gilliatt et la pieuvre est violente « cherchait à lui boire le sang » ou encore pour aller plus loin douloureuse « une souffrance inouie ». La scène telle qu’elle nous est présentée nous désigne un moment effroyable. Cependant, dans « La peau de l’ours » la relation avec l’animal est une relation dominante.

36. Le 19 mai 2016, 15:46 par mahina g

Question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?

Nous allons étudier trois textes le premier est Les Travailleurs de la mer de Victor Hugo. le second Joseph Kessel, Le Lion et le dernier est Joy Sorman, La peau de l’ours. Ces trois textes, bien que différent sont un thème commun la relation entre l’homme et l’animal.

Tout d’abord il s’agit d’une relation négative conflictuelle mauvaise dans le texte 1 et le texte 3 entre l’homme et l’animal. Car on peut remarquer dans le texte de Victor Hugo la peur et le dégoût de l’être humain envers l’animal « cherchait a lui boire le sang » cette citations montre que la pieuvre est violente envers l’homme on voit aussi par cela qu’elle est dangereuse. Dans ce texte Victor Hugo montre aussi que la pieuvre provoque une angoisse chez l’homme « il se senti saisi ». Dans le texte 3 celui de Joy Sorman c’est l’animal qui a peur la situation est différentes que celle du texte 1 mais cependant l’auteur nous fait aussi ressentir les mêmes sentiments de l’animal envers l’homme « je suis muselé et enchaîné »
L’homme ici exploite et exhibe l’animal ce qui lui inflige une souffrance.
Ensuite, on remarque que dans le texte 2 celui de joseph Kessel une relation complice et amicale entre l’homme et l’animal en effet les deux êtres se comporte comme si ils faisaient parti de la même famille ils entretiennent une relation comme père fils « mon fils, mon garçon » cette complicité représenté dans ce texte est durable et forte on voit que les deux personnage ont un lien très fort.

Nous pouvons donc en conclure que chaque êtres humains peut entretenir une relation différentes elle peut tout aussi bien être amicale et complice tout comme elle peut être au contraire une relation ou les deux êtres ressentes de la peur de l’angoisse du dégoût l’un envers l’autre. Il se peut que parfois l’animal soit de meilleure compagnie pour l’homme que l’homme lui-même.

37. Le 19 mai 2016, 15:46 par Marie-Amelie et Coralie

Nous allons étudier trois textes, le premier « Les Travailleurs de la mer » de Victor Hugo, paru en 1866, le deuxième est « Le Lion » de Joseph Kessel (1958) et le dernier est « La peau de l’ours » de Joy Sorman en 2014. Ces trois textes bien que différent par leur style et leur époque ont un thème commun : le rapport entre l’homme et l’animal. Nous allons ici définir l’importance de cette relation. Deux d’entre eux ont une relation conflictuelle entre l’homme et l’animal et le dernier a une relation amicale.

Tout d’abord, le premier texte « Les Travailleurs de la mer » et le deuxième « La peau de l’ours » ont pour point commun un rapport conflictuel et mauvais entre l’homme et l’animal. En effet, dans le texte de Victor Hugo l’homme est prit comme cible par le monstre qui l’étouffe et s’empare de lui comme une proie. La citation « Cherchait à lui boire le sang » prouve que l’animal prend le dessus sur l’homme. Or, dans le second texte, c’est l’inverse l’homme contrôle l’animal et le maîtrise, l’ours est « muselé et enchaîné » il est confronté à la foule, un milieu inhabituel pour un animal tel que l’ours.

38. Le 19 mai 2016, 15:47 par noemie khettab

Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?

Nous allons étudier trois textes celui de Victor Hugo « Les travailleurs de la mer », celui de Joseph Kessel, « Le Lion » et enfin Joy Sorman, « La peau de l’ours ».
Ces trois texte bien que différents par la façon d’écriture de l’auteur ou encore l’histoire ont quand meme chacun des points communs car chacun de ces textes exprime des sentiments entre l’homme et l’animal. Nous allons ici définir les relations animales négatives et/ou positives dans ces différents textes et les sentiments évoqués.

Tout d’abord, il s’agit d’une relation négative conflictuelle dans le texte 1 de Victor Hugo car l’animal est contre l’humain, je site « Ce qu'il éprouva en ce moment, c'est l'horreur indescriptible », l’humain se fit attaqué par une pieuvre et celui-ci ne pouvant plus se débattre, « Il était comme cloué ». Cette relation entre l’homme et l’animal provoque un sentiment de peur et d’effroi donc cela provoque une certaine distance entre cette pieuvre et cette personne. On remarque que dans le troisième texte, les relations entre homme et animal sont tout aussi négatives. C’est un ours maltraité par un humain, « je suis mené, muselé et enchaîné », l’homme dans ce texte est qualifié de « bourreau », l’ours parle de cet homme comme si qu’il n’avait pas de pitié envers cet animal « Il me semble qu'il prend mille détours pour que la promenade soit sans fin, que nous n'atteignions jamais notre but ». Cet ours ressent de la peur, de la fierté, de l’indifférence ou encore de l’excitation face a cette foule qui eux ressente de « l’admiration » ou encore des « cris d'étonnement ».

Cependant les sentiments que le personnage éprouve dans le premier texte et dans le troisième sont totalement différents du deuxième celui de Joseph Kessel, Le Lion. On remarque que dans ce texte, les sentiments éprouvés sont ceux de la joie, et de la complicité entre l’homme et l’animal, je site « Sa fille Patricia est l’amie d’un lion nommé King », cette personne est « l’amie » d’un lion qui à lui un prénom, ces relations sont positives, « Bullit procure à Patricia la joie de retrouver King ».

On peut conclure que les relations entre animales et humains peuvent etre tout aussi differents les une que les autres, cela depend de la complicité ou bien des relations de peur ou d’angoisse.

39. Le 19 mai 2016, 16:55 par Théo.dllr

Nous allons étudier trois textes : le premier nous parviens de Victor Hugo, « Les travailleurs de la mer » écrit en 1866. Le second a été écrit par Joseph Kessel, « Le Lion » écrit en 1958.Enfin le dernier texte a été rédigé par Joy Sorman, « La peau de l’ours » écrit en 2014. Ces trois textes, bien que différent ont un thème commun l’animal. D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animal pour titre. Tous ces textes sont des romans. Enfin nous allons ici définir l’importance des relations entre l'homme et l'animal.

Tout d’abord, il s’agit de liens conflictuels dans les textes 1 et 3. Dans le texte de Victor Hugo, l’homme est dominé par l’animal, « Tout à coup il se sentit saisir le bras. » nous pouvons constater que l’homme est bien victime de l’attaque de l’animal, on retrouve cette domination quelque phrases plus tard « cherchait à lui boire le sang ». Dans le texte de Joy Sorman, l’animal est dominé par l’homme créant une domination de l’homme sur l’animal, « je suis muselé et enchaîné ».

40. Le 19 mai 2016, 16:55 par lucie.c

Nous allons étudier trois textes : Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, 1866.
Le second, Joseph Kessel, Le Lion, 1958 puis Joy Sorman, La peau de l’ours, 2014.
Ces trois textes, bien que différents par leur appartenance à des siècles différents ont un thème commun : la relation homme animal
D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d’animal pour titre
Nous allons ici définir l’importance des relations homme animal dans ces différents textes.

Tout d’abord, il s’agit des liens conflictuels entre l’homme et l’animal comme dans le premier texte ou le danger et la violence sont présents : «Il sentait dans sa peau des enfoncements ronds, horribles. » et dernier texte ou l’homme domine l’animal : « Le lendemain je suis mené, muselé et enchaîné », on observe aussi que l’animal reste sauvage : « cette masse survoltée qui m'entoure, me serre de trop près, m'étouffe, une marée humaine que ma présence semble aimanter ».

Ensuite, on remarque qu’il existe des liens affectifs entre l’homme et l’animal comme dans le deuxième texte où on peut observer un lien affectif : « Crinière et cheveux roux ne firent qu'une toison. » on qualifie ici l’homme et l’animal presque identiques. On peut aussi distinguer la complicité entre ces deux être vivants : « il frotta son mufle contre le visage de l'homme qui avait abrité son enfance ».

41. Le 19 mai 2016, 16:55 par elyne et emma

Nous allons étudier trois textes : le premier « Les travailleurs de la mer » un extrait du roman de Victor Hugo, paru en 1866, le deuxième est le texte de Joseph Kessel « Le Lion » parut en 1958 puis le troisième texte est « La peau de l’ours Joy Sorman », parut en 2014. Nous remarquons que c’est textes ont tous été écrit avec un siècle d’écart. Ces trois textes, bien que différents par leurs factures, ont un thème commun : les liens qui unissent ou séparent l’Homme et l’animal. D’ailleurs, deux d’entre eux ont un titre contenant un nom d’animal, ceux qui nous ramènent à notre thème. On remarque aussi qu’il s’agit de trois extraits de récits. Nous allons ici définir les différents liens qui rapprochent les hommes des animaux.

Tout d’abord, il s’agit de liens conflictuels dans les textes 1 et 3. Nous abordons ici dans ces textes, des liens entre Homme et animal plutôt dangereux ou dominateurs l’un envers l’autre. Dans le texte 1 nous pouvons voir que les animaux peuvent être dangereux ou même violent, la pieuvre « cherchait a lui boire le sang » on peut voir que dans ce contexte, l’animal domine effectivement l’Homme. Alors que dans le texte 3, l’homme exploite l’animal, celui si est « muselé » et « enchaîné » humilier et souffrant. Nous retrouvons le thème de la domination mais cette fois a l’inverse du texte 1, l’animal est dominé. C’est textes prouvent que les liens entre animaux et humains peuvent être dangereux et dégradant pour l’un d’eux.

Ensuite, on remarque que dans le texte 2, qui va totalement a l’encontre des textes 1 et 3, une vrai complicté est possible entre Homme et animal.

42. Le 19 mai 2016, 16:55 par Quentin Pavy, Julien Harlaut

Nous allons étudier trois textes : « Les travailleurs de la mer » de Victor Hugo, « Le Lion » de Joseph Kessel ainsi que « La peau de l'ours » de Joy Sorman.
Ces trois textes, bien que différents par leur facture et par leur époque XIXème siècle pour Victor Hugo jusqu'au XXIème siècle pour Joy Sorman ont un thème commun la relation (positive ou négative) entre les hommes et les animaux. D'ailleurs deux d'entre eux ont un nom d'animal pour titre. Nous allons ici définir l'importance des rapports dans la relations entre les hommes et les animaux.

Tout d’abord, il s’agit de relation conflictuelle dans les textes 1 et 3. On peut savoir que c'est une relations conflictuelle graces aux différents termes péjoratif utilisé pour qualifié l'animal et ce qui l'entour. Par exemple dans le premier texte Hugo utilise les termes de « lames d'épées » ainsi que « cherchait a lui boire le sang » ils sont utilisé afin de rendre la pieuvre beaucoup plus impressionnante et monstrueuse. Dans le troisième texte on peut également noté que les relations entre l'homme et l'animal est mauvauise l'animal est « muselé » et enchaîné » ce qui montre que l'homme est contraint de la limiter pour la dominé de même pour la pieuvre qui est obliger de « l'attaché » pour le dominé.

43. Le 19 mai 2016, 16:55 par Pauline.B

Nous allons étudier trois textes : le premier est un extrait d’un roman de Victor Hugo «Les Travailleurs de la mer » Deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I,paru en 1866. Le deuxième est un texte de Joseph Kessel « Le Lion » Deuxième partie, chapitre IX, paru en 1958 et le troisième texte de ce corpus est « La peau de l’ours » de Joy Sorman paru en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leur point de vue, ont un thème commun : L’Animal. D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d’animal dans le titre. Ils sont également tous écrit a un siècle différents Nous allons ici définir l’importance de la différence entre l’homme et L’animal dans ces différents textes. Nous allons étudier les différents liens entre L’homme et L’animal dans ces trois textes

Tout d’abord, il s’agit de liens conflictuels comme on peut le voir dans les textes 1 et 3. L’animal peut être source d’angoisse, de dégoûts mais il peut aussi être violent ou même dangereux pour l’Homme. L’homme peut lui aussi faire du tord a l’animal comme dans le texte 3 ou l’ours est « muselé et enchaîné » L’homme cherche donc a dominer l’Animal mais l’Homme exploite aussi l’animal en l’exhibant tous ceci peut provoquer de la souffrance a l’un comme à l’autre

Ensuite, on remarque qu’il existe des liens affectifs entre l’Homme et l’animal le texte 2 nous le montre il y met en scène un retrouvaille sincère entre un lion et son éleveur il se fait appeler « mon fils » « mon garçon » ce sont des marques d’affections,de moments complices de relation père-fils . D’une relation forte et durable .

Pour conclure on peut dire que l’homme et l’animal peuvent éprouver des émotions l’un envers l’autre qu’elle soit bonne ou mauvaise. Le texte qui m’a le plus plu est le texte de Joseph Kessel « Le Lion »

44. Le 19 mai 2016, 16:55 par clelia.matthys

Nous allons étudier trois textes : le premier « Les Travailleurs de la mer » est un roman de Victor Hugo, paru en 1866. Le deuxième est « Le Lion » de Joseph Kessel, paru en 1958 et le troisième texte de ce corpus est « La peau de l’ours » de Joy Sorman paru en 2014. Ces trois textes, bien que différents ont un thème commun : le rapport entre l'homme et l'animal. D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animal pour titre. On remarque aussi qu’il s’agit de trois romans écrient à trois siècles de différence. Nous allons ici définir les différents liens possible entre l'homme et l'animal dans ces différents textes.

    Tout d’abord, il s’agit de liens conflictuels comme dans le premier et le troisième texte. Dans chacun de ces textes, on peut remarquer que la relation est compliquée car seulement une personne domine. Dans le premier texte, l'animal, qui est en fait une pieuvre, domine l'homme. Elle le considère comme sa proie et devient violente au point de lui « cherchait à lui boire son sang ». la situation est angoissante pour l'homme. Dans le troisième texte,

Ensuite, on remarque qu'il existe des liens affectifs entre l'homme et l'animale

45. Le 19 mai 2016, 16:55 par cassandre

Nous allons étudier trois textes : le premier est de Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, en1866, le deuxième de Joseph Kessel, Le Lion en 1958 et le troisième de Joy Sorman, La peau de l’ours, en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leurs facteur ont un thème commun l’homme et l’animal.
Nous allons ici définir l’importance des relations hommes animaux.





Tout d’abord dans les textes 1 et 3, il s’agit de liens conflictuels. Dans ces textes les rapports homme animal sont négatifs. Dans le texte de Hugo l’animal domine l’homme en lui provoquant de la surprise et de l’angoisse. Dans le texte de Sorman l’homme est supérieur à l’animal et le fait souffrir.




Ensuite, on remarque qu’il, existe des liens affectif entre l’homme et l’animal , dans le texte 2 il existe une relation complice et amical entre le personnage et le lion, au point que la famille du garçon le considère comme un des leur «  mon fils » « mon garçon ».
46. Le 19 mai 2016, 16:55 par thaïs DERVILLE

Nous allons étudier trois textes : le premier est un extrait « des travailleurs de la mer » de Victor Hugo paru en 1866, le second est un extrait « du lion » de Joseph Kessel paru en 1958 et le dernier « La peau de l’ours » de Joy Sorman paru en 2014. Ces trois textes, bien que différent par leurs années de parution, ont un thème commun : l’animal. Dans ces trois textes, l’homme est soit dominé par l’animal ou inversement. Nous allons ici définir les différentes relations possibles entre l’homme et l’animal.

Tout d’abord, il s’agit de liens conflictuels pour les extes1 et 3. Dans le texte 1, l’homme est dominé par la pieuvre lorsqu’il c’est aventuré dans son domaine et dans le texte 3 l’animal est dominé par l’homme et est utilisé comme animal de foire : l’animal est exhibé a la foule par son possesseur.

Enfin, on remarque qu’il existe des liens affectifs comme dans le texte 2. L’animal fait partie intégrante de la famille et malgré le fait qu’il est était relâché lorsque les hommes avec qui il a vécu viennent le voir il y a toujours leur complicité qui était présente lors du passé « Alors, garçon, tu veux voir qui est le plus fort ? Comme dans le bon temps ? ».

47. Le 19 mai 2016, 16:55 par yohann lg

Nous allons étudier trois textes : le premier est un extrait des « travailleurs de la mer » écrit par Victor Hugo en 1866. LE deuxième, « Le Lion » est écrit par Joseph Kessel est écrit en 1958, et le dernier s’appelle La peau de l’ours, et est écrit par Joy Sorman, en 2014. Ces trois textes, bien qu’écrit a différentes époques, par différents auteurs ont un thème commun : L’animal. D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d’animal pour titre.
Nous allons ici définir l’importance de la relation entre l’homme et l’animal.

Tout d’abord, il s’agit de liens conflictuels entre l’homme et l’animal, comme dans les textes 1 et 3. En effet, dans le texte de V.Hugo, l’homme est la victime, la proie de l’animal : « Tout à coup il se sentit saisir le bras. » De plus, l’homme a peur « c'est l'horreur indescriptible ». Cette situation est angoissante « L'angoisse, à son paroxysme3, est muette. ». Ici, la relation homme animal est très violente : C’est l’animal le prédateur. Ensuite, dans le texte 3, l’animal est exploité par l’homme, l’homme est montré comme supérieur. En effet, l’animal est « mené, muselé et enchaîné, à travers les rues de cette ville toujours aussi brouillonne, par un homme au physique de bourreau, glabre1 et épais ». L’ours souffre, il est maltraité : « Je reçois une pierre à l'arrière de la tête et vois aussitôt détaler un jeune garçon, je sens le bout d'une canne s'enfoncer furtivement entre mes côtes, une botte écrase mon pied, un soldat me bouscule … ». Ici, l’homme exhibe l’animal : « Le bourreau fait durer le plaisir, celui de me montrer à la foule qui, sur mon passage, produit toujours ces mêmes cris d'étonnement et d'admiration ». Le bourreau prend du plaisir a faire souffrir l’animal. Ici, c’est l’homme le prédateur, et l’animal la proie.

Ensuite, on remarque qu’il existe des liens affectifs entre l’homme et l’animal. En effet, dans le texte 2, le Lion est très proche de Bullit et Patricia : « il frotta son mufle contre le visage de l'homme qui avait abrité son enfance. Crinière et cheveux roux ne firent qu'une toison. », Comme s’il formait une famille : Bullit serait le père, et le Lion l’enfant : « Alors, garçon, tu veux voir qui est le plus fort ? Comme dans le bon temps ? C'est bien ça ? »Une forte complicité s’est installée : « — Est-ce que vraiment on ne croirait pas deux lions ? »

48. Le 19 mai 2016, 16:56 par virgile

Nous allons étudier trois textes : « Les Travailleurs de la mer », le deuxième texte est « Le Lion » et le troisième est « La peau de l’ours ». Ces trois textes, bien que différents parlent de relations entre l’homme et l’animal. D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d’animal pour titre. Comment peux on définir la relation homme, animal dans ces textes.

Tout d’abord, il s’agit de lien conflictuel. Dans le premier texte un homme : Gilliatt. Est pris dans un terrible combat. Dans ce texte on peut ressentir toute la violence de la pieuvre « Une souffrance inouïe» mais aussi la peur et la surprise « Tout à coup il se sentit saisir le bras ».

49. Le 19 mai 2016, 16:56 par Griezmann et Pogba

Nous allons étudier trois textes, le premier : « Les Travailleurs de la mer », le deuxième texte est : « Le Lion » , le troisième : « La Peau de l’Ours » .
Ces trois textes bien que différents par leur séparation dans le temps,débattent de la relation entre l’homme et l’animal, dans le but de montrer comment évolue leurs relations au fil du temps. D’ailleurs, deux de ces textes ont un nom d’animal comme titre. Nous allons, ici, définir l’importance de cette relation.

Le premier texte montre les aspects négatifs de la relation homme animal.

50. Le 19 mai 2016, 16:56 par Ricardo D.B

Nous allons étudier trois textes, le premier texte ce nome « Les Travailleurs de la mer » racontant le ressenti de Gilliatt qui fait la rencontre d’une pieuvre lors de son expédition dans une crevasse, le deuxième ce nome « Le Lion », racontant l’histoire d’un lion nommé King qui retrouve des vieille connaissance lors qu’ils se promenaient en voiture et le troisième texte ce nome « La peau de l’ours » racontant l’histoire d’un

51. Le 20 mai 2016, 09:19 par thomasr

Nous allons étudier trois textes : le premier "Les travailleurs de la mer" est un roman de Victor Hugo paru en 1866. Le deuxième est le roman de Jossef Kessel (1958): "Le lion" et le troisième texte de corpus est "La peau d'ours" de Joy Sorman paru en 2014.Ces trois textes, bien que différents ont un thème commun: le rapport homme-animal. Nous allons ici définir l’importance des multiples relations entre l'homme et l'animal

52. Le 20 mai 2016, 09:19 par jeremie et julien

Nous allons étudier trois textes,Ces trois textes ont un thème commun ils sont lié au monde animalier, ils présentent toujours les rapports entre Homme et animaux.
D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom de d'animal pour titre,comme"Le Lion" et "La peau de l’ours". Nous allons ici définir l’importance des multiples liens entre l'Homme et l'animal.

53. Le 20 mai 2016, 09:21 par Cyrielle

Nous allons étudier trois textes: premièrement « Les Travailleurs de la mer » de Victor Hugo, écrit en 1886, deuxièmement «Le Lion » de Joseph Kessel, écrit lui en 1958 Pour finir, nous étudierons aussi « La peau de l’ours » de Joy Sorman , écrit tout récemment, en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leur date d'écriture, leur style ou même leur contexte, possèdent tous un point commun : la présence animal ainsi qu'humaine. On peut aussi remarquer que ces trois texte sont des contes imaginaire.De plus, deux d’entre eux ont un nom d'animal dans leur titre.Nous allons ici définir l’importance des relations entre homme et animal présentes dans ses différents textes.

54. Le 20 mai 2016, 09:23 par Jason 2nd9

Nous allons étudier trois textes : le premier «Les Travailleurs de la mer » un roman de Victor Hugo de 1866. Le deuxième roman de Joseph Kessel en 1958 : « Le Lion » et le troisième roman de ce corpus est « La peau de l’ours » de Joy Sorman de 2014. Ces trois textes, bien que différents du fait de leur date bien différentes ont un thème commun : la relation entre l'homme et l'animal. D'ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animal pour titre. On remarque aussi qu’il s’agit de trois romans. Nous allons ici définir l’importance entre l'homme et l'animal.

55. Le 20 mai 2016, 09:24 par Tom.l

Nous allons étudier trois textes: le premier « Les Travailleurs de la mer » est un roman de Victor Hugo . Le deuxième est le roman de Joseph Kessel du Le Lion(1958 ) et le troisième texte de ce corpus est «La peau de l'ours » de Joy Sorman paru en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leurs date de parution et leur point de vue different sur le rapport Homme Animal mais un thème commun : L'homme et l'Animal . D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animal pour titre. On remarque aussi qu’il s’agit de trois poèmes. Nous allons ici définir l’importance entre l'Homme et l'Animal.

Tout d'abord

56. Le 20 mai 2016, 09:25 par Greg

Ses textes présente une relation entre l'homme et l' animale très apparente bien que différente entre chaque texte comme dans les texte 1 et 3 ou le rapport homme animale se résume a la violence et a la douleur donc ici un coter négatif de ce rapport ou encore dans le texte 2 ou la relation ici et valoriser par la complicité donc ce coter positif de ce rapport, on aperçoit alors que ses trois textes qui traite du même sujet de la relation homme animale peuvent être parfois très hétérogènes.
Ses trois textes ont étaient écrit par 3 auteur différents.

57. Le 20 mai 2016, 09:25 par laurine M

Nous allons étudier trois textes qui ont étaient écrit par Victor Hugo, Joseph Kessel et Joy Sorman. Ces textes ont tous étaient écrit à des siècles différents. Celui de Vistor Hugo en 1866, celui de Joseph Kessel en 1958 et pour finir celui de Joy Sorman en 2014. Ces trois textes, bien que différents parlent tous d'un Homme et d'un animal. Ces animaux viennent tous d'un milieux différents avec leurs propre rapports avec un l'Humain.

58. Le 20 mai 2016, 09:25 par Sorenza V

Nous allons étudier trois textes, le premier s’agit de la deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I, de « Les travailleurs de la mer » écrit par Victor Hugo en 1866, Le deuxième est la deuxième partie, chapitre IX de « Le lion » de Joseph Kessel écrit en 1958 et Le dernier texte est « La peau de l’ours » de Joy Sorman datant de 2014. Ces trois textes, bien que différents par des époque distincte mais ont tout de même un thème commun qui est l’homme par rapport a l’animal. D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animaux. Nous allons ici définir l’importance entre l'homme et l'animal dans ces différents textes. Nous allons ici définir l’importance entre l'homme et l'animal dans ces différents textes.

Tout d’abord, dans « Les travailleurs de la mer » l’homme se bat contre l’animal , nous sentons une relation de peur dans « Gilliatt reconnut la preuve » mais également une relation de force quand il se fit « saisir le bras » par l’animal. Ensuite, dans « La peau de l’ours » l’homme veut montrer sa supériorité face a l’animal en étant « mené, muselé et enchaîner »

59. Le 20 mai 2016, 09:25 par Matéo P.

Nous allons étudier trois textes : "Les travailleurs de la mer" de Victor Hugo, paru en 1866 ; "Le Lion" de Joseph Kessel, paru en 1958 ; et "La peau de l'ours", paru en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leurs styles et leurs dates de parution, explorent un même thème : les relations entre l'Homme et les animaux ; d’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animaux. Nous allons ici définir les différents rapports existant entre l'Homme et les animaux, ainsi que leur importance.

Pour commencer, nous allons étudier "Les travailleurs de la mer" et "La peau de l'ours". Ici, les relations évoquées entre l'animal et l'homme sont la haine

60. Le 20 mai 2016, 09:25 par lea.C

Nous allons étudier trois textes : le premier est la deuxième partie du chapitre I dans "Les travailleurs de la mer" écrit en 1866 par Victor Hugo. Le deuxième texte écrit par Joseph Kessel en 1958 est "Le Lion", c'est un extrait de la deuxième partie du chapitre IX. Et le troisième texte écrit en 2014 par Joy Sorman est "La peau de l’ours". Ces trois textes sont différents pour plusieurs raisons. Premièrement par leur époque: en effet, leurs époques sont distinctes, ainsi la pensée des auteurs sont différentes. Deuxièmement par la relation: en effet le texte 1 et 3 se ressemble, ils ont un thème commun car la relation avec l'animal et l'Homme est une relation de force même si pour l'un c'est l'Homme qui domine et pour l'autre l'animal. Mais le texte 2 est opposé au deux autres textes car la relation est positive ou amicale. D'ailleurs deux d'entre eux ont un nom d'animal pour titre: "Le Lion" pour le texte 2 et "L'Ours" pour le texte 3. Il y a également le fait que ces trois histoires sont fictifs, imaginaires.

61. Le 20 mai 2016, 09:25 par enzo.h

Nous allons étudier trois texte: le premier, Les Travailleurs de la mer écrit par Victor Hugo en 1866, le deuxième, Le Lion écrit par Joseph Kessel en 1958 et le dernier, La peau de l'ours écrit par Joy Sorman en 2014, bien qu'ils ont chacun était écrit a des époque différente et que les relation soient différente dans chacun de ces texte il reste un point commun qui est le rapport entre l'homme et l'animal.D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animal pour titre. Nous allons ici décrire la différence par laquelle chacun de ces textes remet en jeu le rapport homme animal.

Dans un premier temps on remarque que chacun de ces textes se contredise, en effet car dans Les travailleurs de la mer: il est très clairement l'animal qui domine l'homme "Impossible de couper ni d'arracher ces courroies." alors que dans le deuxième texte l'homme et l'animal, bien qu'il ne sont pas a égalité arrivent a trouver une relation père-fils "Et de cette prise-là, qu'est-ce que tu en dis, mon fils ?" et pour finir dans le dernier texte il est aussi très clairement expliquer que se pauvre ours est totalement dominer par l'homme "Ce nouveau maître".

62. Le 20 mai 2016, 09:25 par elise b

Nous allons étudier trois textes, le premier « les travailleurs de la mer » est un texte écrit par Victor Hugo en 1866, le deuxième « le lion » de Joseph Kessel, publié en 1958 et le troisième « la peau de l’ours » écrit par Joy Sorman en 2014. Ces textes, écrits à des époques différentes ont tous un thème commun ; la domination. Nous allons ici définir l’importance de la relation entre l’Homme et l’animal présente dans les trois textes, que ce soit entre une pieuvre et un homme, un lion et un homme puis un ours et un homme.

Tout d’abord, dans le texte 1 et 3, nous pouvons observer les relations négatives entre l’homme et l’animal

63. Le 20 mai 2016, 09:26 par Gaëlle.R

Nous allons étudier trois textes : le premier « les travailleurs de la mer » de Victor Hugo est un roman (1866). Le deuxième est « le lion » de Joseph Kessel (1958) et le troisième « la peau de l’ours » de Joy Sorman (2014). Ces trois textes, bien que différents par la relation entre l’homme et l’animal, relation négative et conflictuel dans le texte de Victor Hugo et celui de joy Soman contraire à la relation positive et amical du texte de Joseph Kessel, ont un thèmes commun la relation homme, animal. D’ailleurs deux de ces textes on un nom en rapport avec les animaux. Nous allons donc définir l’importance de la relation entre l’homme et l’animal.

64. Le 20 mai 2016, 09:26 par daniel

Nous allons étudier trois extrait de roman. En premier lieu : Les Travailleurs de la mer de Victor Hugo, en second lieu : La peau de l’ours de Joy Sorman
Ces deux textes, bien que différent par différent mouvements littéraires mais traitant sur le même thème.

D’ailleurs,ces deux textes ont un nom d'animale pour titre

Nous allons ici définir l’importance du rapport entre l'homme avec l'animale

Tout d'abord

65. Le 20 mai 2016, 09:26 par fanny

Le corpus nous présente trois textes, contenant chacun un animal différent ayant un rapport avec l'humain.Ces trois textes ont été écrit par différents écrivains a un siècle de différences chacun. Par exemple dans le texte 1"le tire du texte" le rapport entre une pieuvre avec gilliat un marin, dans le texte 2"titre" le rapport entre le lion et l'homme et pour finir dans le texte 3"titre" le rapport entre un ours et l'homme toujours ...

Ces trois textes sont plus dans les pensées négatives que positives malgré qu'ils aient tous un thème commun "le rapport homme animale". Bien que différent

66. Le 20 mai 2016, 09:26 par Bastien

Nous allons étudier trois textes; "Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, Deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I, 1866." ; "Joseph Kessel, Le Lion, Deuxième partie, chapitre IX, 1958." et le dernier "Joy Sorman, La peau de l’ours, 2014." Ces trois texte on tous en commun un nom d'animal pour titre, mais ils on été écrit a une époque différente. Dans ces trois texte, nous allons ici définir l’importance de la relation entre l'homme et l'animal.

Pour commencer, Nous allons étudier "Les travailleurs de la mer" et "La peau de l'ours" ces deux œuvres on été écrites a une époque différente,mais elles on un rapport entre l'homme et l'animal

67. Le 21 mai 2016, 18:50 par mme baudry

50 (Ricardo): une seule introduction! Manque de soin dans la rédaction. 8/20
49 (Lilian et Renaud démasqués): très confus!! 8/20
48 (Virgile): assez bon début mais l'ensemble n'est pas abouti! 10/20
47 (Yohann): bien mais trop de citations. On ne peut pas dire que dans le texte 3, l'homme soit un prédateur. 14/20
46 (Thais): bonne introduction mais pas de citation dans la partie I + manque d'approfondissement de la réflexion et partie 2 très confuse. 11/20
45 (Cassandre): première partie trop courte!!! 10/20
44 (Clélia): l'analyse du 3ème texte manque dans la 1ère partie. c'est dommage. 10/20
43 (Pauline): le texte 1 n'est pas assez exploité. L'analyse manque un peu d'approfondissement. La conclusion n'est pas aboutie non plus. Travail sérieux. 12/20
42 (Julien et Quentin): malgré des fautes, bonne analyse dans le développement. 14/20
41 (Emma et Elyne): Bonne analyse. Bonne compréhension de l'exercice. 14.5/20
40 (Lucie): trop de citations par rapport aux analyses. On ne comprend pas la remarque sur l'animal sauvage, même si cette idée était intéressante. 10/20
39 (Théo D.): travail correct. Exercice compris. Attention à la présentation de l'introduction 12/20

68. Le 22 mai 2016, 11:38 par Léa.C

Nous allons étudier trois textes : le premier est la deuxième partie du chapitre I dans "Les travailleurs de la mer" écrit en 1866 par Victor Hugo. Le deuxième texte écrit par Joseph Kessel en 1958 est "Le Lion", c'est un extrait de la deuxième partie du chapitre IX. Et le troisième texte parut en 2014 par Joy Sorman est "La peau de l’ours". Ces trois textes sont différents pour plusieurs raisons. Premièrement par leur époque: en effet, leurs époques sont distinctes ( IX eme - X eme et XI eme siècle ) , ainsi la pensée et la façon dont le texte est écrit peuvent être différentes selon les auteurs. Deuxièmement par la relation entre l'homme et l'animal: en effet le texte 1 et 3 se ressemble, ils ont un thème commun car la relation avec l'animal et l'Homme est une relation de force même si pour l'un c'est l'Homme qui domine et pour l'autre l'animal. Mais le texte 2 est opposé au deux autres textes car la relation est positive ou amicale. D'ailleurs deux d'entre eux ont un nom d'animal pour titre: "Le Lion" pour le texte 2 et "L'Ours" pour le texte 3. Il y a également le fait que ces trois histoires sont fictifs, imaginaires.

Tout d'abord étudions le texte 1 et 3, on remarque que dans ces deux textes la relation entre l'homme et l'animal est négatif ou conflictuelle. En effet dans le texte de Victor Hugo la relation entre l'homme « Gilliat » et l'animal « la pieuvre » est une relation de force, il y a de la violence car Gilliat est sous l'emprise de la pieuvre, il n'arrive pas à s'en débarrasser et ne peut s'enfuir ce qui provoque en lui une grande peur car à cette époque l'homme avec sa technologie arrive à vaincre les animaux plus forts physiquement mais ici ce n'est pas le cas « l'horreur indescriptible » ,« L'angoisse, à son paroxysme ». Il y a donc une relation de domination de l'animal sur l'Homme « Gilliatt se rejeta en arrière, mais put à peine remuer. Il était comme cloué. » On peut également constaté qu'il y a un champ lexical du dégoût et de la douleur
« mince, âpre, plat, glacé, gluant » « lécha épouvantablement le torse nu de Gilliatt » «  une souffrance inouïe, comparable à rien » « horribles » « les repoussantes formes appliquées sur lui » « foyer d'affreuse et bizarre douleur ». Dans celui de Joy Sorman, il y a aussi de la violence voire même une relation de cruauté qui s'établit cette fois-ci sur l'animal « l'ours » car l'animal sans défense est muselé et enchaîné « Le lendemain je suis mené, muselé et enchaîné, à travers les rues de cette ville », cette relation est aussi montré par le nom que l'on donne à l'homme « un homme au physique de bourreau, glabre et épais ». La violence est aussi montré par une relation de force car l'ours reçoit des coups mais ne peut se défendre « Je reçois une pierre à l'arrière de la tête et vois aussitôt détaler un jeune garçon, je sens le bout d'une canne s'enfoncer furtivement entre mes côtes, une botte écrase mon pied, un soldat me bouscule ». C'est donc une relation de domination mais cette fois-ci elle n'est pas de l'animal sur l'Homme mais de l'Homme sur l'animal. Ces deux textes se ressemblent alors par le faites qu'ils montrent de la souffrance, de la violence et de la domination.

Ensuite dans le texte 2 on peut constaté qu'il n'y à alors aucune ressemblance avec les deux autres textes, ils lui sont opposés. Effectivement, dans ce texte il n'y a aucune souffrance, ni douleur mais de l'amour,de l'amicalité et de la paternité. C'est pourquoi la relation entre l'homme et l'animal est positive et sincère. La première relation qu'on constate est une relation amicale que ce soit entre le lion King et Bullit ou de King et Patricia « il frotta son mufle contre le visage de l'homme qui avait abrité son enfance » « attira sa tête contre celle de Bullit et leur lécha le visage d'un même coup de langue. ». Cette relation est également montré par la ressemblance physique entre l'homme et l'animal bien que réellement ils soit totalement différents « Est-ce que vraiment on ne croirait pas deux lions ? ». Puis à la suite du texte on peut voire que cette relation est bien plus que amicale, elle est familiale, paternel, c'est une relation père/fils « Allons, tiens-toi bien, mon garçon » « Et de cette prise-là, qu'est-ce que tu en dis, mon fils ? ». Une autre relation est également aperçu. Celle d'une relation d'égalité entre ces deux personnages. Ce qui montre ceci est que le lion est bien plus fort que l'homme mais pourtant celui-ci n'emploie pas toute sa force pour être au même pied d’escale que Bullit «  Assurément, si le lion avait voulu employer toute sa puissance ou si un accès de fureur avait soudain armé ses reins et son poitrail de leur véritable pouvoir, Bullit, malgré ses étonnantes ressources physiques, eût été incapable d'y résister un instant. » Bullit lui rend aussi bien cette égalité en ayant fait avancer la voiture de telle sorte que lion puisse le suivre « poussé sa voiture à la limite seulement où King pouvait la suivre ». L'auteur montre que l'intelligence est également égale «  Mais King savait - et d'une intelligence égale à celle de Bullit ».

Pour conclure je dirais que la relation entre l'homme et l'animal peut être aussi bien positive que négative, cela dépend de ce que veux nous transmettre l'auteur. L'auteur peut aussi bien humaniser l'animal comme dans le texte 2 que déshumaniser l'humain comme le texte 3 ou encore montré qu'il y a une dominance entre l'animal et l'homme qui peut se faire dans les deux cas comme le texte 1 et 3.

69. Le 22 mai 2016, 18:36 par mme baudry

38 (Noémie) : des maladresses d'écriture « je cite ». Raisonnement parfois inabouti. Une conclusion qui n'apporte pas grand-chose. Mais, travail sérieux. 13/20
37 (Marie-Amélie et Coralie) : Texte clair et bien écrit. Réflexion incomplète cependant. 13.5/20
36 (Mahina) : il faut reprendre la question posée en introduction. Attention à la ponctuation et à la présentation. Conclusion intéressante. Mais, des problèmes de rédaction. 13/20
35 (Orlane) : des fautes. On ne peut pas vraiment dire que les relations entre l'homme et l'animal dans les textes 1 et 3 sont « presque similaires »… Bonne introduction cependant. 12/20
34 (Cyril) : attention à la rédaction !! 8/20
33 (Clément et Timothé) :bon début même si l'introduction a besoin d'être étoffée. 12/20
32 (Inès) : des fautes, une introduction assez confuse. Conclusion à revoir (voir commentaire 36). mais, un bon développement malgré des maladresses dans la rédaction. Une bonne expression de la sensibilité face aux textes. 14/20
31 (Florian) : manque de rigueur. Dans l'introduction, il faut reprendre la question posée. Bonne analyse mais des fautes et aucune citation !! 11/20
30 (Océane) : ce sont certes des livres mais surtout des extraits de roman !! L'analyse n'est cependant pas assez approfondie. Devoir trop court. 10/20
29 (Victoria) : des passages incompréhensibles comme « Ces interventions du réel dans ce texte donne de la peur et de la peine pour cette homme dans cette situation si cruelle » ??? Attention à bien comparer les textes entre eux. 11/20
28 (Jérémy) : dans l'introduction, il faut présenter les textes. Contresens sur le texte 1 : Gilliat ne se laisse pas faire ! Et aussi dans le texte 3 : l'ours n'est pas le bourreau ! Lecture inattentive des textes. 9/20
27 (Thomas) : la conclusion n'apporte rien et dans l'introduction, il faudrait présenter les textes. Cependant, les textes sont bien compris et bien expliqués. 12.5/20
26 (Peter) : textes très bien compris mais il faudrait les citer !! de plus, beaucoup de fautes. 15/20

70. Le 22 mai 2016, 19:48 par mme baudry

25 (Ayoub et Théophile) : complet hors sujet. 5/20
24 (Léa S) : bonne introduction mais un développement assez confus. Des citations trop longues. 10/20
23 (Mathilde) : une présentation à revoir. Dans le texte 1, le mépris de l'homme face à l'animal est contestable (contresens sur le texte). Bonne deuxième partie. 12/20
22 (Emilie) : un problème technique. Ce qui est écrit montre que c'est compris. 13/20
21 (Elise P) : la notion de mouvement littéraire n'est pas cerné. 2ème partie hors sujet. Une première partie confuse. 7/20
20 (Maxime) : quelques maladresses de rédaction : par exemple : « deux des textes on pour comporte dans leurs titres des noms d'animaux ». La fin du devoir est meilleure : bon paragraphe sur le Lion de Kessel. 14/20
19 (Inès) : développement très clair. Attention à l'insertion des citations : parenthèses à éviter. 14.5/20
18 (Jade) : bon début. Attention aux siècles des textes !! 13.5/20
17 (Aurélien) : Devoir désordonné qui ne respecte pas les étapes indiquées. 7/20
16 (Théo) : attention à comparer les textes entre eux. La réflexion est à développer davantage 8.5/20
15 (Enzo) : manque de travail !! 7/20
14 (Jordan) : des maladresses dans la rédaction mais l'exercice est compris. 13/20
13 (Léa B) : la présentation est à revoir. Manque de rigueur. On ne peut pas vraiment dire que les champs lexicaux des textes 1 et 3 soient similaires...9/20
12 (Lina) : pas de citations !! la réflexion manque d'approfondissement. 10/20
11 (Julie) : bon développement sur la première partie. C'est compris. 14.5/20.
67 (Léa C) : attention aux siècles des textes. Les citations sont un peu longues. Bon travail. 15/20.

71. Le 23 mai 2016, 15:39 par Matéo P.

Nous allons étudier trois textes : "Les travailleurs de la mer" de Victor Hugo, paru en 1866 ; "Le Lion" de Joseph Kessel, paru en 1958 ; et "La peau de l'ours", paru en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leurs styles et leurs dates de parution, explorent un même thème : les relations entre l'Homme et les animaux ; d’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animaux. Nous allons ici définir les différents rapports existant entre l'Homme et les animaux, ainsi que leur importance.

Tout d’abord, les relations entre l'Homme et les animaux sont d'ordre conflictuelles. On nous indique même plus précisément la violence de ces relations avec de mots tels que "tordre" et "fouetta", qui sont du lexique de la violence physique, ou encore "mené" et "muselé" qui sont de l'ordre de la supériorité et de la soumission de la victime. On peut cependant remarquer que les victimes de ces relations ne sont pas que l'homme ou que les animaux, mais les deux, suivant les textes : dans "Les travailleurs de la mer", la victime est l'homme, et l'animal est représenté comme un monstre infiniment supérieur, avec pour appuyer ce sentiment des mots comme "large" ou inouïe, tandis que dans "La peau de l'Ours", la victime est l'animal, qui est totalement soumis à l'homme.

Ensuite, on remarque dans "Le Lion" que la violence n'est pas le seul type de relation possible entre l'homme et l'animal : en effet, ici la relation est d'ordre amicale, et cette sensation positive est appuyée par des mots tels que "joie", "frotta" ou "caresse", qui sont du lexique de la joie et de la tendresse. Il semble également que les hommes et les animaux peuvent se comporter de façon très fraternelle, voir même compétitive, comme nous le montre ce passage dans le livre où un homme et son ami le lion se livre à une sorte de combat amical accompagné de mots comme "effort", "saillaient", ou "renverser", qui appartiennent au lexique du combat, qui sont adoucis par d'autres mots comme "jeu" ou "enlaça", qui, du fait de leur appartenance au lexique de l'amusement, permettent d'atténuer l'effet de violence que pourrait donner ce texte.

Ainsi, les relations exprimées dans ces textes sont troubles : dans certains, elles sont humiliantes, violentes et donc négatives ; et dans d'autres elles sont amicales, fraternelles, tendres et donc positives. On peut en conclure que dans les textes traitant comme thème principal les relations entre l'homme et les animaux, le type de relation dépend uniquement de l'avis personnel de l'auteur.

72. Le 23 mai 2016, 15:40 par Elise B

Nous allons étudier trois textes, le premier « les travailleurs de la mer » est un texte écrit par Victor Hugo en 1866, le deuxième « le lion » de Joseph Kessel, publié en 1958 et le troisième « la peau de l’ours » écrit par Joy Sorman en 2014. Ces textes, écrits à des époques différentes ont tous un thème commun ; la domination. Nous allons ici définir l’importance de la relation entre l’Homme et l’animal présente dans les trois textes, que ce soit entre une pieuvre et un homme, un lion et un homme puis un ours et un homme.

Tout d’abord, dans le texte 1 et 3, nous pouvons observer les relations négatives entre l’homme et l’animal. Dans le texte 1, nous pouvons voir la violence entre la pieuvre et l’homme qui se débattent tous les deux avec « fouetta » ou encore « cri ». Puis dans le texte 3, la violence est également présente avec l’ours et les hommes « je reçois une pierre à l'arrière de la tête », « je sens le bout d'une canne » ou encore « une botte écrase mon pied ». Dans ces deux textes, nous pouvons également voir la domination, même si ce n’est pas la même personne qui domine. Dans le texte 1, c’est l’animal donc la pieuvre qui domine, à l’inverse du texte 3 ou c’est l’Homme qui domine l’animal. Dans les deux récits, il y a une personne qui souffre.

Ensuite, on remarque dans le texte 3, à l’opposé des deux autres textes, une relation amicale voir sentimentale « leur lécha le visage d'un même coup de langue » entre l’Homme Bullit et le lion, King. Dans ce texte, il n’y a pas une personne qui domine, l’Homme et l’animal sont tous les deux au même niveau comme nous le dit Joseph Kessel ; « d'une intelligence égale à celle de Bullit ». Il n’y a également aucunes formes de violence puisqu’il s’agit d’un « jeu » de combat entre Bullit et King.

Les relations entre l’Homme et l’animal diffèrent donc selon le texte 1, 2 ou 3. Dans le texte 1, c’est l’animal qui domine, dans le deuxième texte, l’Homme et l’animal sont égaux et dans le texte 3, c’est l’Homme qui domine l’animal. J’ai donc préféré le texte 2 car les deux personnages sont au même niveau, personne ne domine quelqu’un d’autre. Les relations entre l’Homme et l’animal dans un texte nous donnent donc une idée du texte écrit, si il sera positif ou négatif.

73. Le 23 mai 2016, 15:40 par Sorenza V

Nous allons étudier trois textes, le premier s’agit de la deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I, de « Les travailleurs de la mer » écrit par Victor Hugo en 1866, Le deuxième est la deuxième partie, chapitre IX de « Le lion » de Joseph Kessel écrit en 1958 et Le dernier texte est « La peau de l’ours » de Joy Sorman datant de 2014. Ces trois textes, bien que différents par des époque distincte mais ont tout de même un thème commun qui est l’homme par rapport a l’animal. D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animaux. Nous allons ici définir l’importance entre l'homme et l'animal dans ces différents textes. Nous allons ici définir l’importance entre l'homme et l'animal dans ces différents textes.

Tout d’abord, dans « Les travailleurs de la mer » l’homme se bat contre l’animal , nous sentons une relation de peur dans « Gilliatt reconnut la preuve » mais également une relation de force quand il se fit « saisir le bras » par l’animal. Puis, dans « La peau de l’ours » l’homme veut montrer sa supériorité face a l’animal en étant « mené, muselé et enchaîner », alors que l’animal est beaucoup plus fort que l’homme. Il y a une relation d’aisance qu’ « une femme vêtue d'une robe éclatante se jette sur moi en hurlant » comme si elle ne craignait pas la bête.

Ensuite, on remarque que dans « Le lion » c’est une relation amical, « il frotta son mufle contre le visage de l'homme » alors que l’animal peut l’attaquer d’un moment a un autre, mais il choisi la douceur, il l’accueille comme un membre de sa famille « on ne croirait pas deux lions », mais sa marche également dans l’autre sens avec les surnom, « mon fils », « mon garcon ».

La relation homme animal a donc un rôle important dans ces textes, surtout dans « le lion » qui est une relation très fortes et très amical que dans « les travailleurs de la mer » et « La peau de l’ours », qui l’à, est une relation de force.

74. Le 23 mai 2016, 15:42 par Cyrielle

Nous allons étudier trois textes: premièrement « Les Travailleurs de la mer » de Victor hugo, écrit en 1886, deuxièmement «Le Lion » de Joseph Kessel, écrit lui en 1958.Pour finir, nous étudierons aussi « La peau de l’ours » de Joy Sorman , écrit tout récemment, en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leur date d'écriture, leur style ou même leur contexte, possèdent tous un point commun : la présence animal ainsi qu'humaine. On peut aussi remarquer que ces trois texte sont des contes imaginaires.De plus, deux d’entre eux ont un nom d'animal dans leur titre.Nous allons ici définir l’importance des relations entre homme et animal présentes dans ses différents textes.

Tout d’abord, il s’agit de relations conflictuelles. Dans Les Travailleurs de la mer,de Victor Hugo, la pieuvre terrorise Gilliatt, il s'agit ici d'une relation de peur, avec des moments de souffrance pour l'homme« Gilliatt pouvait à peine respirer » «une souffrance inouïe», ce texte comporte de plus une autre relation entre homme et animal, celle de la force et de la dominance: la pieuvre domine Gilliatt comme ici «comme des lames d'épée» « lui boire le sang». Cependant dans La peau de l’ours, de Joy Sorman c'est le bourreau qui domine l'ours. L'auteur met en scène ici une relation d'exploitation de l'ours comme «me montrer à la foule»,en plus de la relation de dominance vu dans ces passages « mené» «muselé» «enchaîné». Nous pouvons aussi voir une relation plutôt étrange,fictif car dans ce texte, l'homme et l'animal ne font qu'un.Ces relations presque bestiales sont la pour donner du réel et du mouvement au récit, pour apporter du combat, ou des problèmes.

Ensuite, on remarque que dans le dernier texte du corpus, Le Lion de Joseph Kessel, les relations sont tout autres voir même l'opposer de celles vu précédemment. En effet, le lion et l'homme ont une relation presque amicale, affectif comme dit ici « « qu'il s'agissait d'un jeu » « crinière et cheveux roux ne firent qu'une toison. ». On nous indique même plus précisément une relation familiale voir paternel comme indiquer ici «mon fils » « mon garçon ». Mais aussi une relation durable et forte, car même après la séparation, ils sont toujours aussi complice « dans le bon temps». Les relations utiliser dans ce récit sont la pour apporter de l’imaginaire, de l'amitié et de renforcer le coter positif de cet œuvre.

Les relations entre homme et animal ont donc un rôle important dans ces textes, elles font passer des messages ( famille, esclavage, politique) mais montre aussi le ton auquel appartient les œuvres, que se soit imaginaire, terrifiant, affectif...

75. Le 23 mai 2016, 15:43 par Rieux

Nous allons étudier trois textes : le premier "Les travailleurs de la mer" est un roman de Victor Hugo paru en 1866. Le deuxième est le roman de Jossef Kessel (1958): "Le lion" et le troisième texte de corpus est "La peau d'ours" de Joy Sorman paru en 2014.Ces trois textes, bien que différents ont un thème commun: le rapport homme-animal. Nous allons ici définir l’importance des multiples relations entre l'homme et l'animal.

Tout d’abord, il s’agit d'une relation de force entre un homme et un animal. Dans "Les travailleurs de la mer", il s'agit d'un combat entre l'homme et la pieuvre, un combat désavantageux pour l'homme. Dans "La peau d'ours" il existe aussi un rapport de domination entre l'homme et l'animal. En effet, l'homme est supérieur a l'animal, il le promène en laisse à la vue de tous. Cependant, il existe également un rapport étonnant à la vue de l'ours lorsqu'une femme se dirige en courant vers l'ours pour que celui-ci la sauve mais elle tombe et personne ne l'aide.

Ensuite, on remarque qu'un rapport d'amitié apparait entre l'homme et l'animal. En effet, dans "Le lion", une amitié très forte est mise en avant entre un ranger et un lion, tellement forte que lors des retrouvailles, l'homme et le lion vont, au souvenir de leur passé, joué à la "bagarre" pour déterminer qui sera le plus fort.

Il existe donc plusieurs rapports liants un homme à un animal, qu'il soit violent, dominateur ou amicale, nous pouvons émettre une hypothèse: celle que, quoi qu'il advienne, il existera toujours un lien entre un homme et un animal.

76. Le 23 mai 2016, 15:44 par Laurine M

Nous allons étudier trois textes qui ont étaient écrit par Victor Hugo, Joseph Kessel et Joy Sorman. Ces textes ont tous étaient écrit à des siècles différents. Celui de Vistor Hugo en 1866, celui de Joseph Kessel en 1958 et pour finir celui de Joy Sorman en 2014. Ces trois textes, bien que différents parlent tous d'un Homme et d'un animal. Ces animaux viennent tous d'un milieux différents avec leurs propre rapports avec un l'Humain.

Tout d'abord il s'agit de relation conflictuel entre le premier texte de Victor Hugo et le troisième texte de Joy Sorman avec pour animal une pieuvre en pleins combats mortelle avec un homme et un ours attaché de part des chaines par un homme. Ces textes ne sont pas écrit à la même époque mais on en commun se rapport très cruels et d'affrontements.

77. Le 23 mai 2016, 15:45 par mathieu.L

Nous allons étudier trois textes: le premier « Les Travailleurs de la mer » est un roman de Victor Hugo. Le deuxième est le roman de Joseph Kessel du Le Lion (1958 ) et le troisième texte de ce corpus est «La peau de l'ours » de Joy Sorman paru en 2014. Ces trois textes, bien que différents par leurs date de parution et leur point de vue différent sur le rapport Homme Animal mais un thème commun : L'homme et l'Animal D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animal pour titre. On remarque aussi qu’il s’agit de trois poèmes. Nous allons ici définir l’importance entre l'Homme et l'Animal.



Tout d’abord, il s’agit de relations conflictuelles comme dans le texte de Hugo la démonstration de force entre la pieuvre et Gilliat « Il sentait dans sa peau des enfoncements ronds, horribles » ou bien « lui fouetta les côtes comme une corde ».
On peut remarqué que ces deux êtres ne semblent partager une bonne relation non seulement la pieuvre cherche a tué l homme et cet homme cherche a vaincre la pieuvre pour vivre. De plus dans La peau de l’ours l’homme qui semble être le bourreau veut mener la danse avec cet homme ours « muselé et enchaîné » est des qu’une femme s’approche de l’ours elle est violemment rejeté. Dans ces textes on peut voir que les personnages les plus présent sont en conflit, qu’il y a un dominant qui n’est pas celui généralement le préféré des lecteurs ce qui nous a lire ces histoires mais aussi que ces soi-disantes batailles n’ont pas de raisons valable.

 Ensuite, on remarque que dans le deuxième texte les personnages sont amicales car ils se connaissent bien « qui avait abrité son enfance » ces relations sont même familiale et enfantine « tiens-toi bien, mon garçon ». Même si dans ce texte on voit le lion et l’homme se battre on remarque qu’il ne herche en rien a faire mal ce qui change des autres texte «  Alors, garçon, tu veux voir qui est le plus fort ? ». Ce texte est beaucoup plus appréciable car il est question de joie de jeu de souvenir.


Le premier et le troisième texte sont attristant je trouve car il n’y a que bataille et séquestration ce qui peut nous empêcher d’aimer ces texte ce qui vient est que le second texte doit être le plus aimer et je suis de cet avis. En général les texte comme le lion me semble p^lus intéressant a lire que les deux autres.

78. Le 23 mai 2016, 15:45 par Bastien

Nous allons étudier trois textes; "Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, Deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I, 1866." ; "Joseph Kessel, Le Lion, Deuxième partie, chapitre IX, 1958." et le dernier "Joy Sorman, La peau de l’ours, 2014." Ces trois texte on tous en commun le nom d'un animal pour titre, sauf qu'ils on été écrit a une époque différente. Dans ces trois texte, nous allons ici définir l’importance de la relation entre l'homme et l'animal.

Tout d'abord, dans le texte de Victor.H et de Joy.S, il s'agit de relations conflictuelle entre l'homme et l'animal.Dans le texte de Victor.H l'homme se retrouve dans une position de faiblesse "une souffrance inouïe" l'homme est totalement dominé par la force de l'animal "put à peine remuer" de plus dans ce texte l'homme est armé "il prit son couteau" mais sans intérêt l'animal domine, Gilliat se retrouve donc étrangler "Gilliatt pouvait à peine respirer" , ce qui est tout le contraire dans le texte de Joy.S ou l'animal est complétement dominé et humilié par l'homme "muselé et enchaîné", le bourreau prend plaisir a humilié l'ours " Le bourreau fait durer le plaisir", l'ours n'est pas le seul victime d'une humiliation "Le bourreau la repousse violemment",

"personne ne la relève" nous pouvons donc penser que les rôles ce sont inversés, car dans ce comportement l'homme peut être considéré comme un animal.

Ensuite, dans Le Lion de Joseph.K, l'homme et l'animal on une relation amical voir père fils "qu'est-ce que tu en dis, mon fils ?", dans ce texte l'homme est mis a rang égal au lion " ni Bullit ni King ne cédaient d'un pouce"

79. Le 23 mai 2016, 15:45 par greg

- Nous allons voir trois textes, le premier s’agit de « Les travailleurs de la mer » écrit par Victor Hugo en 1866, Le deuxième est « Le lion » de Joseph Kessel écrit en 1958 et le dernier est « La peau de l’ours » de Joy Sorman datant de 2014. Ces trois textes, ont était écrit a une époque très différentes mais il ont tous en commun un thème bien précis celui du rapport homme-animal. Nous allons donc voir que sur un même sujet nous pouvons y voir des relations très contraire.
-
- Tout d’abord, il s’agit de relation confectuelle car ses textes présente toute une relation entre l'homme et l’animale très apparente bien que différente entre chaque texte comme dans les texte 1 et 3 ou le rapport homme animale se résume a la violence au conflit et a la douleur "une souffrance inouïe, comparable à rien"la pieuvre veut enchaîner l’homme pour montrer sa domination donc ici un coter négatif de ce rapport comme par exemple dans le texte 1 ou le conflit de Gilliatt face a la pieuvre ce fait nettement ressentir "Ces yeux voyaient Gilliatt, Gilliatt reconnut la pieuvre » une atmosphère très froide et de conflit intense que nous fais ressentir l’auteur a la fin de ce texte, mais aussi dans le texte 3 « Je reçois une pierre à l'arrière de la tête » il parle ici pour la bête, pour montrer la souffrance de la bête a travers ses phrase ou les spectateur aide que la bête a souffrir, l’ours et juste une distraction un objet sans émotion et sentiment pour l’homme ici. Le conflit, la souffrance et la violence sont donc les maîtres mots pour pouvoir décrire ses deux textes.

Ensuite, dans le texte deux, seulement celui-ci, il s’agit d’une relation positive et amicale : la relation ici et valoriser par la complicité donc ce coter positif de ce rapport « il frotta son mufle contre le visage de l'homme qui avait abrité son enfance »
- l’homme défend, protége son lion, il n’est que a lui est rien que a lui, une complicité des le plus jeune age, qui as commencer durant son enfance comme nous l’explique si bien le texte. « L'homme et le lion roulèrent ensemble » on peut voir un rapport fusionnel et quotidien avec l’animal, l’homme ressent la plus grande compassion pour sa bête, «Elle avait parlé dans un souffle, mais King avait entendu sa voix »
Le lion et comme intégrer ici dans leur famille, il reconnaît la voix de Patricia même tout bas. Complicité et amour décrive leur relation.

on aperçoit alors que ses trois textes qui traite du même sujet de la relation homme animale peuvent être parfois très hétérogènes.

80. Le 23 mai 2016, 15:46 par enzo.h

Nous allons étudier trois texte: le premier, Les Travailleurs de la mer écrit par Victor Hugo en 1866, le deuxième, Le Lion écrit par Joseph Kessel en 1958 et le dernier, La peau de l'ours écrit par Joy Sorman en 2014, bien qu'ils ont chacun était écrit a des époque différente et que les relation soient différente dans chacun de ces texte il reste un point commun qui est le rapport entre l'homme et l'animal.D’ailleurs, deux d’entre eux ont un nom d'animal pour titre. Nous allons ici décrire la différence par laquelle chacun de ces textes remet en jeu le rapport homme animal.

Tout d'abord il s'agit de relation conflictuel et négative, de la part des hommes envers les animaux et aussi de la part des animaux envers les hommes "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête" comme ici ou l'ours reçoit une pierre derrière la tête sans raison apparente.Cependant les relations conflictuels ne sont pas les même dans ces deux textes, d'une part dans le texte 1 c'est l'animal qui domine l'homme, de force"Impossible de couper ni d'arracher ces courroies." ou ici l'homme n'arrivent pas a couper les tentacules de la pieuvre, on voit clairement,t ici l’incapacité pour l'homme de résister a la pieuvre, alors que dans le texte trois c'est l'homme qui dominent l'animal mais pas par la force," je suis mené, muselé et enchaîné" c'est comme si l'ours était dominer par la simple intimidation de l'homme se qui n'est pas logique car un ours est effectivement plus fort qu'un homme.c'est rapport de force souvent malsain et violent rajoute de la crédibilité au récit et nous montre que homme comme animal ressens le besoin de dominer.

Ensuite on remarque que, comme montré dans le texte deux, les hommes et les animaux peuvent très bien vivre ensemble "d'une intelligence égale à celle de Bullit" ici le lion retient sa force pour ne pas blesser son amis car il serait capable de le tuer si l'envie lui prenait mais le lion est assez intelligent pour comprendre qu'il s'agit d'un jeu, cela signifie que un lion, connu pour son insensibilité et sa violence est tout a fait capable d'adopter un comportement doux envers les hommes, on nous indique plus précisément que le lion avait déjà était en contact avec les hommes, et que apparemment il se souvient encore d'eux, on peut ici comprendre que le lion, tout comme nous, aurait crée une sorte de liens envers les hommes qui ne disparaitrai pas avec le temps.

Les relation entre homme peuvent être très différente comme nous le montre c'est trois texte, dans le texte 1 la pieuvre tue le marin sans doute pour se nourrir, dans le texte deux un homme arrivent a avoir une relation fraternel avec un lion pourtant connu pour leurs sang chaud et leurs agressivité et dans le texte trois un homme humilie un ours en l'attachant et en le promenant dans la rue sans raison. Cela nous ouvre sur l'hypothèse suivante: est ce que les animaux ne se comporteraient pas que par instinct de survie, comme dans le texte 1 mais aussi par lien fraternel ?

81. Le 23 mai 2016, 15:46 par Daniel.P

Nous allons étudier trois extrait de roman. En premier lieu : Les Travailleurs de la mer de Victor Hugo, en second lieu : La peau de l’ours de Joy Sorman

Ces deux textes, bien que différent par différent mouvements littéraires mais traitant sur le même thème.

D'ailleurs,ces deux textes ont un nom d'animale pour titre
Nous allons ici définir l’importance du rapport entre l'homme avec l'animale

Tout d'abord il s'agit de relation conflictuelle qu'il peut y avoir entre l'homme et l'animales.
on nous indique dans le texte 1 et 3 que les relations sont conflictuelles mais qu'elle sont bien différentes car dans le textes 1, bien que Gilliatt ne semble pas abandonné face a la souffrance et la peur " Gilliatt ne jetait pas un cri" il se fait dominé par la monstrueuse créature qui est une pieuvre "Impossible de couper ni d'arracher ces courroies visqueuses qui adhéraient étroitement au corps de Gilliatt" , dans ce textes l'animale est en position de force face a l'homme alors que dans le texte 3 l'animale est soumis, dominé par l'homme " je suis museler et enchainé,
De plus, on remarque que dans le texte 3 ce que pense l'animale a une place très importante dans ce texte ce qui attire l'attention du lecteur, l'animale est donc mis en évidence et personnifier alors que les homme ont l'air d'être des animaux a exploiter cette pauvre bête, le lecteur aura plus tendance a être du coté de l'animale que l'homme car c'est la victime et inversement pour le texte 1.

Ensuite on remarque que dans le texte 2 la relation entre l'homme et l'animale est amicale, il sont lié bien qu'on pourrai croire que l'homme cherche a provoquer l'animale, il n'en est pas. De plus les réaction du lion face à l'homme sont très sage il joue avec l'homme tout en faisant attention a ne pas être trop brute ce qui est en totale opposition avec les deux autres textes

Le texte le plus marquant est le texte 3 car l'ours est exploité par les homme sans aucune raison particulière alors que la pieuvre agit dans le texte 1 pour se nourrir ce qui est tout a fait naturel.

82. Le 23 mai 2016, 15:46 par fanny

Le corpus nous présente trois textes, contenant chacun un animal différent ayant un rapport avec l'humain.Ces trois textes ont été écrit par différents écrivains a un siècle de différences chacun. Par exemple dans le texte 1 " Les Travailleurs de la mer, Deuxième partie, Livre Quatrième, chapitre I" de Victor Hugo écrit en 1866.
le rapport entre une pieuvre avec gilliat un marin, dans le texte 2 " Le Lion, Deuxième partie, chapitre IX" de Joseph Kessel écrit en 1958 le rapport entre le lion et l'homme et pour finir dans le texte 3 "La peau de l’ours" de Joy Sorman, écrit en 2014" le rapport entre un ours et l'homme toujours ...

 Il s’agit de relation confectuelle. Ces trois textes sont dans les pensées négatives malgré qu'elles aient toutes des différences. C'est a dire qu'elles aient toutes un auteur différent, écrites a des siècles différents des unes des autres. Chaque auteurs a ca propre pensée du monde .Un thème commun  les relies  "le rapport homme animals".

Tous d'abord dans le texte 1 et 3, il y a une agressiviter mais ne venant pas de la meme personne le texte de Victor Hugo c'est la pieuvre qui attaque physiquement l'homme alors que dans le texte de Joy Sorman c'est l'ours qui reçois des violences physique. Ensuite, on remarque que dans le texte de Victor Hugo l'homme parle de sa rencontre avec la pieuvre et par la suite dans le troisième texte c'est l'ours qui raconte sa malheureuse rencontre ou histoires avec les humains.Nous avons ainsi ici défini la différence entre ces deux textes.

Pour fini, nous allons étudier la relation positive du deuxième texte

83. Le 23 mai 2016, 15:47 par Gaëlle

Tout d’abord, il s’agit de relations conflictuelles, entre le texte de Victor Hugo « les travailleurs de la mer » et celui de Joy soman « la peau de l’ours » puisque l’on peut constater que dans le premier texte l’homme est dominé par la pieuvre qui l’étreint au point de le faire suffoquer « Gilliatt pouvait à peine respirer » malgré cette domination Gilliat ne se laisse pas faire, il n’abandonne pas malgré ses nombreuses tentatives « Impossible de couper ni d'arracher ces courroies visqueuses ». Nous pouvons donc constater une relation proie/ prédateur car la vie de l’un comme de l’autre sont en danger, ainsi qu’une relation de force. Cependant, dans le second texte cette fois l’homme a le dessus sur l’animal qui lui est « muselé », « enchaîné ». L’ours raconte l’histoire et qualifie l’homme qui le tien de « bourreau » ce qui nous montre bien la relation conflictuelle entre ces deux personnages. On a comme l’impression que l’homme ne fait qu’humilier l’ours « Le bourreau fait durer le plaisir, celui de me montrer à la foule » on a aussi l’impression qu’il le montre comme un trophée «Ce nouveau maître se contente de me faire avancer sur les pattes postérieures, ne me demande d'exécuter aucun tour ». On peut voir une relation de domination.

Ensuite il s’agit d’une relation positive et amicale dans le texte de Joseph Kessel « le lion ». On remarque que le lion et l’homme on une relation très étroite liée, dans le texte on parle même d’une relation père /fils « qu'est-ce que tu en dis, mon fils ? » Ce texte est très positif car les deux personnages font en sorte de ne pas faire de mal à l’autre « la limite seulement où King pouvait la suivre » « juste dans la mesure où ils lui permettaient d'équilibrer les efforts de Bullit. » contrairement au deux autres textes.

On remarque donc des relations totalement opposé, mais qui on le même but nous montrez en quelque sorte le monde d’aujourd’hui. Le texte « le lion » est très intéressante car on pourrai ce demander comment une telle relation est possible

84. Le 26 mai 2016, 09:38 par mme baudry

83 (Gaëlle) : tu en dis trop en introduction. Un peu trop de citations. La démarche est comprise. Beaucoup de bonnes remarques. 14/20
82 (Fanny) : le narrateur du texte 1 n'est pas Gilliat. Une introduction assez confuse. Devoir inachevé. Pas de citations. 9/20
81 (Daniel) : présentation à revoir. Une bonne analyse du texte 3. Des maladresses dans la rédaction cependant. 12.5/20
80 (Enzo) : des fautes et des maladresses dans la rédaction. Cependant, les textes sont bien expliqués (surtout le texte 3) : 14/20
79 (Grégoire) : des passages difficiles à comprendre (par ex : « il parle ici pour la bête, pour montrer la souffrance de la bête a travers ses phrase ou les spectateur aide que la bête a souffrir, l’ours et juste une distraction »). Trop de fautes. Contresens sur le texte 3 : le lion n'est pas la propriété de Bullit. 9/20
78 (Bastien) : texte inachevé. Des problèmes de rédaction. Attention à l'insertion des citations. Raisonnements parfois inaboutis. 8/20
77 (Mathieu) : des passages peu clairs (par ex : « Dans ces textes on peut voir que les personnages les plus présent sont en conflit, qu’il y a un dominant qui n’est pas celui généralement le préféré des lecteurs ce qui nous a lire ces histoires mais aussi que ces soi-disantes batailles n’ont pas de raisons valable. »). Des efforts. 9/20
76 (Laurine) : texte inachevé !! 7/20
75 (Thomas) : bien compris. Cependant, aucune citation. 12/20
74 (Cyrielle) : domination et non dominance. Attention à l'insertion des citations. Exercice compris. 13/20
73 (Sorenza) : des répétitions. Des problèmes de vocabilaire aussi : « aisance » ??? une rédaction qui manque de rigueur. 10.5/20
72 (Elise):C'est bien mené. Bravo. 15/20
71 (Matéo) : C'est bien mené. Bonne compréhension de l'exercice. 15/20.