Concours mairie. 2nde.

Écrire un texte narratif à partir d'une BD.

Envoyez votre texte (60 lignes minimum) à partir de la BD choisie en prenant en compte lesmots piochés et l'incipit choisi.

Commentaires

1. Le 28 décembre 2014, 13:04 par Victoria

Toutes les familles heureuses se ressemblent mais chaque famille malheureuse l’est à sa façon. Ce jour-là, c’était le jour le plus horrible de ma vie car ce jour-là j’étais contrainte de lui dire adieux te de le laisser partir loin de nous sans laisser aucune trace. Ma mère et moi l’accompagnons au lieu du départ, nous y étions allés à pieds. Tous les deux demeuraient silencieux, n’osant point se regarder pour ne pas exprimer ce qu’ils ressentaient l’un pour l’autre.
Durant le trajet, le peur c’était emparée de moi à cause de la séparation qui nous attendait. Soudain, nous fûmes déjà arrivés au lieu des adieux, le train était déjà sur la place et plusieurs personnes prêtes au départ, patientaient à côté de leur valise. L’atmosphère était tendu et sinistre, il n’y avait pas un bruit. Soudain, il posa sa valise puis me pris la main pour me rassurer, mais cela ne changeait rien à ce que je ressentais. La peur et la tristesse étaient de telles que je ne pus m’arrêter de penser à ce qui allait se passer par la suite lorsqu’il sera partit : Que vais-je devenir sans lui ? Vais- je réussir à me remettre face à cette perte ?
Quand soudain, on entendit un son qui annonçait le départ. Ainsi c’était la fin, le moment que je redoutais de plus allait se produire, il mit ses mains sur mes épaules et sortit de sa poche une sorte d’oiseaux en papiers qu’il me donna puis me dit que je devais être forte puis je lui fis un sourire puis c’est lorsqu’il s’était retourné pour prendre ma mère dans ses bras, que je versai des petites larmes, en serrant le cadeaux qu’il venait de m’offrir à l’instant. Il finit par dire un mot à l’oreille à ma mère qui avait les larmes aux yeux et le mouchoir au nez, puis il monta dans le train en faisant un grand signe de la main, puis il partit au loin pour toujours et on voyait s’éloigner de plus en plus, puis ma mère mit son bras sur mes épaules, puis me fit un sourire. Ce moment avait été étrangement si court que je n’avais pas sentis les minutes passer. Cette perte était si grande dans mon cœur que je ne pus contenir mes larmes, car cette perte c’était la perte d’un oncle qui était à mes yeux tel un père car il a toujours été présent pour ma mère et moi et a toujours tous sacrifié pour notre bonheur. Pendant un court instant, je pensais dans ma tête aux bons moments passés avec lui, tout défilait dans ma tête, souvenir par souvenir. A partir de ce moment-là je ressentis comme de la colère et me sentis comme abandonnée par la personne que je considérais comme mon père. Je gémissais en silence face à cette blessure si profonde te si douloureuse, comme si l’on m’enfonçait un couteau dans le cœur. C’était un si grand vide à cause de son absence, ma mère et moi étions silencieuses toujours en train de réaliser ce qui venait de se passer. Ainsi, nous nous résolvions à rentrer chez nous en ayant en tête qu’il ne sera plus là quand nous serons arrivées à la maison.

2. Le 30 décembre 2014, 14:32 par Solane.P

L’arrivée de nos adieux

                Tous cela est si lent, si lourd, si triste. J’attends là, les secondes me paraissent des heures. Chaque minute me semble interminable. Je regarde à ma gauche puis à ma droite et ne vois que des visages fermés et assombris. D’entre tous ces visages deux se distinguent des autres. Ce sont ceux de mes parents qui tentent vainement de garder leur sang-froid. Je peux sentir leur désarroi, leur angoisse qui m’atteint de plus en plus. Je suis comme étouffée par les vagues de sanglots qui trouvent refuges sur mes joues, rougies par le froid poignant de l’hiver qui règne sur le quai. On m’a longuement expliqué ce qu’il allait se produire. Mais je pense que je ne m’en rendais pas compte. A dire vrai, je pense que je ne voulais pas m’en rendre compte. Je levais la tête et pouvait apercevoir le regard qu’avait l’un pour l’autre mes parents. Ce regard me fit comprendre que ce n’étais pas un cauchemar, que la scène qui allait se produire était bien réelle. En leurs yeux j’observais le reflet de leurs âmes, j’observais l’amour mais aussi l’angoisse et la tristesse. Trois amis qui, je le savais, m’accompagnerai longtemps. Alors mon père s’accroupit afin de se mettre à ma hauteur et m’offrit un de ses sourires qu’il me faisait le soir avant de m’endormir. Un sourire qui serait peut-être le dernier de tous. Je lui disais que je ne voulais pas partir sans lui. A quoi il me répondait qu’il serait, d’une certaine manière, toujours avec moi. Que nous parlerions par courrier tous les mois, aussi longtemps que cela durerai. Je le regardais. Je regardais son visage si généreux, si doux, et essayait de lui rendre son sourire. Papa m’expliquait que ce voyage à la campagne était nécessaire pour notre sécurité à maman et à moi. Il disait que si ça ne tenais qu’à lui il viendrai avec nous, mais qu’il n’avait pas cette chance. En revanche il insistait sur l’honneur qu’il avait d’avoir été réquisitionné dans l’infanterie. En quelque sorte mon papa était un héros, mais à quelle prix ? Au milieu de cette atmosphère lugubre mon père leva son chapeau melon, avec cette malice dans les yeux qui lui allait si bien. Et je vis posée sur sa tête une cocotte de papier. Cela me fit rire et papa riait aussi. Pour me faire plaisir il m’avait acheté il y a de cela trois mois un livre d’origamis. Nous étions tellement enthousiastes avec papa et maman à créer de belles choses. Malheureusement nous n’étions vraiment pas très abiles de nos mains. D’ailleurs maman disait en riant : « une vrai famille de bras cassés !». Alors quand je vis la cocotte j voyais les heures que papa avait dû y passer. Je pris la cocotte dans mes mains et la serrait fort contre mon cœur. Comme pour m’imprégner de tous ces souvenirs joyeux que l’on avait tous les trois. Papa m’enlaçait, à ce moment je ne voulais plus le lâcher. Je voulais rester dans ses bras pour toujours. Puis il m’embrassa sur le front comme pour me protéger. Puis il se leva et serra fort maman contre lui. On aurait dit qu’il voulait s’imprégner de son odeur, une dernière fois. Maman pleurait et papa l’embrassait, et j’entendis la cloche du train. L’arrivée de nos adieux. D’un coup l’angoisse prit le dessus sur le chagrin et je me blottis contre mes deux parents. Le monstre de ferraille arrivait à quai dans un vacarme effroyable. Papa nous prit les mains et nous murmura, les yeux emplis de larmes, des mots simples : « Je vous aime ». Nos mains se délièrent et maman et moi montâmes dans le train. Je courais à la fenêtre en tirant maman par la main afin de voir papa le plus longtemps possible. Il nous faisait de grands signes d’aurevoir que nous lui rendions. Doucement, le train commençait sa marche vers les campagnes. Doucement, je vis mon père fondre en larmes.
3. Le 30 décembre 2014, 14:42 par Solane.P

L’arrivée de nos adieux

                Tous cela est si lent, si lourd, si triste. J’attends là, les secondes me paraissent des heures. Chaque minute me semble interminable. Je regarde à ma gauche puis à ma droite et ne vois que des visages fermés et assombris. D’entre tous ces visages deux se distinguent des autres. Ce sont ceux de mes parents qui tentent vainement de garder leur sang-froid. Je peux sentir leur désarroi, leur angoisse qui m’atteint de plus en plus. Je suis comme étouffée par les vagues de sanglots qui trouvent refuges sur mes joues, rougies par le froid poignant de l’hiver qui règne sur le quai. On m’a longuement expliqué ce qu’il allait se produire. Mais je pense que je ne m’en rendais pas compte. A dire vrai, je pense que je ne voulais pas m’en rendre compte. Je levais la tête et pouvait apercevoir le regard qu’avait l’un pour l’autre mes parents. Ce regard me fit comprendre que ce n’étais pas un cauchemar, que la scène qui allait se produire était bien réelle. En leurs yeux j’observais le reflet de leurs âmes, j’observais l’amour mais aussi l’angoisse et la tristesse. Trois amis qui, je le savais, m’accompagnerai longtemps. Alors mon père s’accroupit afin de se mettre à ma hauteur et m’offrit un de ses sourires qu’il me faisait le soir avant de m’endormir. Un sourire qui serait peut-être le dernier de tous. Je lui disais que je ne voulais pas partir sans lui. A quoi il me répondait qu’il serait, d’une certaine manière, toujours avec moi. Que nous parlerions par courrier tous les mois, aussi longtemps que cela durerai. Je le regardais. Je regardais son visage si généreux, si doux, et essayait de lui rendre son sourire. Papa m’expliquait que ce voyage à la campagne était nécessaire pour notre sécurité à maman et à moi. Il disait que si ça ne tenais qu’à lui il viendrai avec nous, mais qu’il n’avait pas cette chance. En revanche il insistait sur l’honneur qu’il avait d’avoir été réquisitionné dans l’infanterie. En quelque sorte mon papa était un héros, mais à quelle prix ? Au milieu de cette atmosphère lugubre mon père leva son chapeau melon, avec cette malice dans les yeux qui lui allait si bien. Et je vis posée sur sa tête une cocotte de papier. Cela me fit rire et papa riait aussi. Pour me faire plaisir il m’avait acheté il y a de cela trois mois un livre d’origamis. Nous étions tellement enthousiastes avec papa et maman à créer de belles choses. Malheureusement nous n’étions vraiment pas très abiles de nos mains. D’ailleurs maman disait en riant : « une vrai famille de bras cassés !». Alors quand je vis la cocotte j voyais les heures que papa avait dû y passer. Je pris la cocotte dans mes mains et la serrait fort contre mon cœur. Comme pour m’imprégner de tous ces souvenirs joyeux que l’on avait tous les trois. Papa m’enlaçait, à ce moment je ne voulais plus le lâcher. Je voulais rester dans ses bras pour toujours. Puis il m’embrassa sur le front comme pour me protéger. Puis il se leva et serra fort maman contre lui. On aurait dit qu’il voulait s’imprégner de son odeur, une dernière fois. Maman pleurait et papa l’embrassait, et j’entendis la cloche du train. L’arrivée de nos adieux. D’un coup l’angoisse prit le dessus sur le chagrin et je me blottis contre mes deux parents. Le monstre de ferraille arrivait à quai dans un vacarme effroyable. Papa nous prit les mains et nous murmura, les yeux emplis de larmes, des mots simples : « Je vous aime ». Nos mains se délièrent et maman et moi montâmes dans le train. Je courais à la fenêtre en tirant maman par la main afin de voir papa le plus longtemps possible. Il nous faisait de grands signes d’aurevoir que nous lui rendions. Doucement, le train commençait sa marche vers les campagnes. Doucement, je vis mon père fondre en larmes.
4. Le 31 décembre 2014, 12:37 par khemisK

Vendredi 13

Je cherchais un endroit tranquille où je pouvais réfléchir, penser à l'avenir sans lui et me dire quelle serai l'ambiance à la maison lors de son départ. Le vendredi 13 décembre 1936 ,mon père rentra pour son dernier soir et ce soir là bien aux chaud au fond de mon lit j'entendit ma mère qui pleurait et mon père de même, sur le moment je ne comprenais pas trop ce qu'il se passait car j'était à moitié endormie. Alors, j'ai décidé de descendre pour essayer de comprendre se qu'il se passait .C'est à ceux moment la que mon père ma dit qu'il était obligé de partir travailler en Pologne pour son bien et bien sûr pour le bien de toute la famille. C'était une belle opportunité pour lui, mais une mauvais pour moi et ma mère même si on savait que c'était pour notre bien car rien ne serait comme avant lors de son départ. Mon père lui décida de faire ces valises car le grand départ se fera demain matin. Ma mère elle était en pleure et mon père lui n'avait pas les mots pour la rassurer et moi du haut de mes 10 ans je ne serai quoi faire à part pleuré de même .C'était un jour absolument affreux pour la famille , ce vendredi 13 je ne l'oublierais jamais car ce jour la toute la maison était en pleure et c'est aussi ce jour la on mon père et venu m'avouer qu'il partirais pour bien longtemps. Alors, pour essayer de remettre de la bonne humeur moi et ma mère avons décidé de préparer la fameuse tarte au pomme que mon père aimé tant. Mes ce repas était toujours d'une ambiance très sombre, tellement sombre que mon père arrivait a peine a manger la tarte au pomme et c'est a ce moment que mon père prit la parole pour me dire que demain avant de monter dans le train il allait me donner un cadeau qui me redonnera force a avancer dans le futur sans rien ajouter de plus sur ce cadeaux. Alors moi,ma mère et mon père décida d'allait se coucher car demain c'est le départ de mon père et il fallait avoir un minimum de force pour résister à cette grande émotion alors il fallait ce coucher tôt , ma mère et mon père monta en pleurant et moi avec des millions de question en tête . Lendemain matin , mon père est le premier debout , tout seul , pensif, il regardait la télévision et prenait peut-être son dernier petit déjeuner sous notre toit. Ma mère et moi descendit aussitôt et nous allons rejoindre mon père au petit déjeuner. Mon père pendant ce petit déjeuner il ne savait quoi dire a part un simple pardon, même si moi et ma mère nous l'avons supplier pour qu'il reste .Alors, nous nous préparons puis nous partons amener mon père a la gare pour peut-être notre dernier trajet ensemble .Pendant le trajet l'ambiance était morte personne ne parlait on entendit juste les larme de ma mère tomber.Nous arrivons sur les lieux la gare était grande et il y avait plus de personne que je ne le pensait .J'était pensif car je regardait en haut , en bas , à droite , à gauche .J'était assez surprit du monde qui avait donc j'observait tout sa main à main avec mon père .Et tout d'un coup mon père se pencha vers moi et me dit qu'il a quelque chose pour moi,alors moi tout de suite je ne le montrait pas mais j'était impatiente de savoir quelle était ce cadeaux :"Souvient tu du premier cadeaux que je t'est offerte quand tu était petite ? me dit-il stresser je répondit:"Oui! c'était une hirondelle en papier qui porté bonheur."Cette hirondelle en papier était un porte bonheur qui m'avait offert à mon plus jeune âge. Soudain, il enleva son chapeau et me donner l'hirondelle qu'il avait bien cacher dans son chapeau après, il c'est mit a genou devant moi et ma dit surtout de ne jamais la perdre car quand t'aura besoin de mon soutient et que malheureusement je ne serait pas la alors il y aura l'hirondelle au prêt de toi . Après ce petit échange entre lui et moi je l'est serai très fort dans mes bras et je les remercier de tout mon coeur pour tout ce qu'il avait fait pour la famille et je l'est encore supplier de rester mes c'était encore trop tard.Ensuite, mon père et partit voir ma mère qui elle était encore en pleure et moi qui les regardait se dire au revoir , avec mon hirondelle en main,mon père serrer ma mère fort dans ces bras et lui disait surtout de bien prendre soin de moi car j'était peut-être le dernière enfant qu'il puisse avoir ensemble.Ces bon c'est l'heure du départ pour mon père,mon père embrassa ma mère et lui a souhaiter tout le bonheur du monde.Mon père qui monta dans le train,toujours main à main avec ma mère , ma mère ne voulais pas le laisser partir et le train commence a avancé et ma mère perd le contrôle et lâche la main de mon père, moi qui était derrière ne lâcher pas mon père du regard ma mère était en pleure et moi plus que triste ,et on voyait le train qui partait au loin , on voyait plus que de la vapeur et on entendit les oiseaux chanter.

5. Le 31 décembre 2014, 12:37 par khemisK

Vendredi 13

Je cherchais un endroit tranquille où je pouvais réfléchir, penser à l'avenir sans lui et me dire quelle serai l'ambiance à la maison lors de son départ. Le vendredi 13 décembre 1936 ,mon père rentra pour son dernier soir et ce soir là bien aux chaud au fond de mon lit j'entendit ma mère qui pleurait et mon père de même, sur le moment je ne comprenais pas trop ce qu'il se passait car j'était à moitié endormie. Alors, j'ai décidé de descendre pour essayer de comprendre se qu'il se passait .C'est à ceux moment la que mon père ma dit qu'il était obligé de partir travailler en Pologne pour son bien et bien sûr pour le bien de toute la famille. C'était une belle opportunité pour lui, mais une mauvais pour moi et ma mère même si on savait que c'était pour notre bien car rien ne serait comme avant lors de son départ. Mon père lui décida de faire ces valises car le grand départ se fera demain matin. Ma mère elle était en pleure et mon père lui n'avait pas les mots pour la rassurer et moi du haut de mes 10 ans je ne serai quoi faire à part pleuré de même .C'était un jour absolument affreux pour la famille , ce vendredi 13 je ne l'oublierais jamais car ce jour la toute la maison était en pleure et c'est aussi ce jour la on mon père et venu m'avouer qu'il partirais pour bien longtemps. Alors, pour essayer de remettre de la bonne humeur moi et ma mère avons décidé de préparer la fameuse tarte au pomme que mon père aimé tant. Mes ce repas était toujours d'une ambiance très sombre, tellement sombre que mon père arrivait a peine a manger la tarte au pomme et c'est a ce moment que mon père prit la parole pour me dire que demain avant de monter dans le train il allait me donner un cadeau qui me redonnera force a avancer dans le futur sans rien ajouter de plus sur ce cadeaux. Alors moi,ma mère et mon père décida d'allait se coucher car demain c'est le départ de mon père et il fallait avoir un minimum de force pour résister à cette grande émotion alors il fallait ce coucher tôt , ma mère et mon père monta en pleurant et moi avec des millions de question en tête . Lendemain matin , mon père est le premier debout , tout seul , pensif, il regardait la télévision et prenait peut-être son dernier petit déjeuner sous notre toit. Ma mère et moi descendit aussitôt et nous allons rejoindre mon père au petit déjeuner. Mon père pendant ce petit déjeuner il ne savait quoi dire a part un simple pardon, même si moi et ma mère nous l'avons supplier pour qu'il reste .Alors, nous nous préparons puis nous partons amener mon père a la gare pour peut-être notre dernier trajet ensemble .Pendant le trajet l'ambiance était morte personne ne parlait on entendit juste les larme de ma mère tomber.Nous arrivons sur les lieux la gare était grande et il y avait plus de personne que je ne le pensait .J'était pensif car je regardait en haut , en bas , à droite , à gauche .J'était assez surprit du monde qui avait donc j'observait tout sa main à main avec mon père .Et tout d'un coup mon père se pencha vers moi et me dit qu'il a quelque chose pour moi,alors moi tout de suite je ne le montrait pas mais j'était impatiente de savoir quelle était ce cadeaux :"Souvient tu du premier cadeaux que je t'est offerte quand tu était petite ? me dit-il stresser je répondit:"Oui! c'était une hirondelle en papier qui porté bonheur."Cette hirondelle en papier était un porte bonheur qui m'avait offert à mon plus jeune âge. Soudain, il enleva son chapeau et me donner l'hirondelle qu'il avait bien cacher dans son chapeau après, il c'est mit a genou devant moi et ma dit surtout de ne jamais la perdre car quand t'aura besoin de mon soutient et que malheureusement je ne serait pas la alors il y aura l'hirondelle au prêt de toi . Après ce petit échange entre lui et moi je l'est serai très fort dans mes bras et je les remercier de tout mon coeur pour tout ce qu'il avait fait pour la famille et je l'est encore supplier de rester mes c'était encore trop tard.Ensuite, mon père et partit voir ma mère qui elle était encore en pleure et moi qui les regardait se dire au revoir , avec mon hirondelle en main,mon père serrer ma mère fort dans ces bras et lui disait surtout de bien prendre soin de moi car j'était peut-être le dernière enfant qu'il puisse avoir ensemble.Ces bon c'est l'heure du départ pour mon père,mon père embrassa ma mère et lui a souhaiter tout le bonheur du monde.Mon père qui monta dans le train,toujours main à main avec ma mère , ma mère ne voulais pas le laisser partir et le train commence a avancé et ma mère perd le contrôle et lâche la main de mon père, moi qui était derrière ne lâcher pas mon père du regard ma mère était en pleure et moi plus que triste ,et on voyait le train qui partait au loin , on voyait plus que de la vapeur et on entendit les oiseaux chanter.

6. Le 02 janvier 2015, 14:38 par Andreia

C'était l'hiver, il faisait froid, très froid. Un vent glacial parcourait les rues de la ville. Les gens devaient sûrement être chez eux, en famille, autour d'une belle dinde de Noël, ou d'autres au travail, excités d'en sortir pour pouvoir retrouver la leur.
Nous, nous étions au froid, silencieux et attendant, encore et encore. Nous étions entourés de visages plus tristes les uns que les autres. Les seuls tissus qui me protégeaient du froid étaient mon petit bonnet en laine et ma veste en coton.



Nous étions debout, au pied du mur de la gare de Saint-Lazare, moi et ma chère mère, prêtes à nous être laissées à l'abandon. J'entendais au loin la locomotive, grondant et sifflant tel un animal. Je tenais la main de mon père, qui bientôt ne sera plus parmi nous, mais loin, très loin... Je la serrait fort, à un tel point que mes phalanges en devinrent blanches.
Finalement, mon père posa sa main sur ma frêle épaule et de l'autre, souleva son chapeau. En dessous de celui-ci, sur sa tête, se trouvait un cygne en origami. Je le pris entre mes mains et souris légèrement. Il me câlina une dernière fois avant d'aller consoler ma mère qui pleurait à chaudes larmes. Elle s'essuyait les yeux avec un mouchoir que papa lui avait offert il y a bien longtemps de cela. Il la prit dans ses bras et lui chuchota des mots réconfortants à l'oreille. Il lui dit que tout allait bien se passer et qu'il reviendrait le plus tôt possible. J' espérait que ce qu'il disait était vrai.
La locomotive avait sifflé une nouvelle fois et nous savions tous ce que cela signifiait. Il nous regarda. Du chagrin pouvait se lire dans ses yeux. Moi et maman étions accablées, mais nous ne pouvions rien y faire. Il commençait à rentrer dans la locomotive quand je courus lui prendre la main une dernière fois. Je lui criai des je t'aime papa avant que le train ne démarre et qu'il nous sépare pour un long moment.
Au revoir papa...

7. Le 02 janvier 2015, 17:50 par Mathilde P.

Nous voici encore seuls. Tout cela était si lent, si lourd, si triste. Il faisait froid, le vent soufflait fort. Je sentis le froid à travers mes vêtements. Les mains de ma petite fille Marilynn étaient toutes rosées, gelées. C’était le soir, il faisait très sombre, la lune n’était pas visible, elle était cachée par de gros nuages. Nous n’étions pas les seuls à attendre qu’un train arrive. Les trains ne passaient pas souvent dans notre ville, il y en avait un le matin et deux le soir. Il était donc important d’arriver en avance, mon mari ne pouvait pas le louper. Le train que nous attendions n’était pas habituel, il en passait un comme celui-ci tous les six mois, il allait à Milan en Italie. En fait, mon mari partait en voyage pour le travail, car il œuvrait sur les chantiers et parfois sur des gros chantiers comme celui de Milan. Ce n’était pas son premier voyage mais j’espérais que ce fut le dernier. A la fin de chaque long déplacement qu’il effectuait il gagnait une bourse, c’est la raison pour laquelle je le laissais partir. Notre vie quotidienne était des plus simples et notre souhait était de faire en sorte que notre petite Marilynn est une vie paisible et qu’elle ne vive pas dans le besoin. Nous étions tous les trois, main dans la main, et profitions des derniers instants ensemble. Je faisais en sorte de ne pas pleurer car j’étais très attristée de quitter mon mari une nouvelle fois cependant devant mon enfant je devais me montrer forte. Marilynn, habituellement de tempérament jovial, était très triste en ce jour. Ce n’était pas facile pour son jeune âge de voir son père s’absenter durant six mois. Néanmoins, je ne pensais pas qu’elle comprenait réellement pourquoi elle et moi allions nous retrouver toutes les deux. Soudain, mon mari lâcha ma main, je ne compris pas tout de suite pourquoi jusqu’au moment où il se baissa au niveau de Marilynn et lui fit un grand sourire puis souleva son chapeau noir. Un oiseau blanc en papier était apparu, il l’avait caché sous son chapeau pendant un long moment. Nick était le genre de personnes qui aimait beaucoup faire de petites blagues et faire des surprises. Dès l’instant où notre fille l’aperçu, son visage s’était illuminé elle prit l’oiseau dans ses mains avec de grand yeux émerveillés. Son père lui disait ensuite que cet oiseau allait la protéger. Il l’avait pris dans ses bras et la serrait contre lui. Ces derniers instants passés ensemble étaient comme magique, j’avais le sentiment que le temps s’était arrêté, que nous allions être ensemble tous les trois, pour toujours. Mais ce moment de bonheur fut brutalement stoppé par les cloches de l’église qui symbolisaient l’arrivée du train et l’heure du départ. Je regardais autour de moi et je vis le monde arriver. Mon cœur s’était comme arrêté mais je sentis une pression sur ma main, et je vis que c’était la main de Marilynn qui serrait la mienne. Je sortis mon mouchoir de la poche de mon manteau car je ne pus me retenir de pleurer. Je pris par la suite mon mari dans mes bras. Sa chaleur m’avait aussitôt réchauffé le cœur. Il me glissa quelques mots dans l’oreille, m’avait dit que six mois passaient vite et il m’avait récité mon poème préféré un poème de Victor Hugo. Apres cela il prit notre fille dans ses bras, je supposai qu’il lui racontait une blague car ils avaient tous les deux le sourire aux lèvres. Soudain le klaxon d’un train retentit, le train de Nick. Il nous regarda un moment puis monta dans le train. Cependant jusqu’à ce que le train ne parte il resta à la porte tendit sa main, je dus porter Marilynn pour qu’elle lui attrapait la main puis je l’attrapais à mon tour, nous étions tous les trois mains dans la main comme nous le faisions souvent. Le train se mit en route et commença à avancer tout doucement, alors nous lâchions sa main. On le vit s’éloigner il nous regardait le visage triste. Le train était partit et je l’aperçu légèrement au fond de ce paysage triste et sombre espérant que ces six mois passent vite.

8. Le 03 janvier 2015, 16:39 par Agathe brun

La séparation
Me voici donc seule sur la terre n'ayant plus de frères, de proches, d'ami, de société que moi même. Ce soir là, le lundi 14 décembre 1889, j'arrivais à la gare. J'observais depuis un long moment l'énorme horloge plantée au milieu de cette gare délabrée et polluée par les fumées noires des locomotives. J'avançais en serrant bien fort la main de mon père, je songeais aux moments de bonheurs, de tristesses et de joies que j'avais pu passer avec lui et ma mère. En se rapprochant du quai j'entendis des cris, des éclats de rire. C'était des retrouvailles pour certains, des adieux pour d'autres. Cela me faisait sourire mais, d'un autre côté, j'appréhendais le fait que mon père nous quitte. Je ne savais pas vraiment où il allait et quand j'allais le revoir... Une fois arrivée sur le quai, j'aperçus au loin le train de mon père entré en gare avec un sifflement strident. À ce moment là, mon père s'agenouilla, retira son chapeau sous lequel se cachait, à ma grande surprise, une ravissante colombe en papier. Je pris alors cette colombe, elle avait beaucoup d'importance à mes yeux car elle signifiait l'amour et la paix que me porte mon père. Je sautai dans ses bras pour le remercier de ce magnifique cadeau et lui faire part de l'amour que j'ai pour lui. Mon père me dit alors que cette colombe est là pour me protéger et me rassurer lors de mes moments de tristesse et de mélancolie. En lâchant mon père, je vis que ma mère nous regardait, elle avait des larmes de tristesse qui coulaient. Mon père s'approcha d'elle, l'enlaça et l'embrassa. Elle avait peur pour mon père car elle non plus ne savais pas quand est-ce-qu'on le reverrait. Elle devait s'occuper de moi toute seule à partir de ce jour. Mon père lui chuchota quelque chose dans l'oreille. Pendant ce temps, je ramassais une pierre blanche que je donnerai à mon père en souvenir. La locomotive s'arrêta enfin. Tous les passagers embarquèrent chacun à leur tour après avoir dit au revoir à leur famille, leurs amis. Mon père, lui, monta quasiment le dernier. Je le regardais, désespérée, monter avec sa valise à la main. Avec ma mère, on s'approcha de la porte. On tendit une dernière fois à mon père une de nos mains ; nos trois mains réunies formaient un coeur. Je lâchais en première la main de mon père. Ma mère serra la main de mon père encore une dernière fois avant le départ du train. Les portes claquèrent, les gens qui se trouvaient sur le quai pleuraient, ils faisaient leurs adieux avec leurs mains. Le conducteur fit retentir le sifflet pour indiquer le départ. Avec ma mère, nous regardions le train s'éloigner. La locomotive disparaissait peu à peu dans l'obscurité et vers une destination inconnue...

9. Le 03 janvier 2015, 16:47 par Agathe brun

La séparation
Me voici donc seule sur la terre n'ayant plus de frères, de proches, d'ami, de société que moi même. Ce soir là, le lundi 14 décembre 1889, j'arrivais à la gare. J'observais depuis un long moment l'énorme horloge plantée au milieu de cette gare délabrée et polluée par les fumées noires des locomotives. J'avançais en serrant bien fort la main de mon père, je songeais aux moments de bonheurs, de tristesses et de joies que j'avais pu passer avec lui et ma mère. En se rapprochant du quai j'entendis des cris, des éclats de rire. C'était des retrouvailles pour certains, des adieux pour d'autres. Cela me faisait sourire mais, d'un autre côté, j'appréhendais le fait que mon père nous quitte. Je ne savais pas vraiment où il allait et quand j'allais le revoir... Une fois arrivée sur le quai, j'aperçus au loin le train de mon père entré en gare avec un sifflement strident. À ce moment là, mon père s'agenouilla, retira son chapeau sous lequel se cachait, à ma grande surprise, une ravissante colombe en papier. Je pris alors cette colombe, elle avait beaucoup d'importance à mes yeux car elle signifiait l'amour et la paix que me porte mon père. Je sautai dans ses bras pour le remercier de ce magnifique cadeau et lui faire part de l'amour que j'ai pour lui. Mon père me dit alors que cette colombe est là pour me protéger et me rassurer lors de mes moments de tristesse et de mélancolie. En lâchant mon père, je vis que ma mère nous regardait, elle avait des larmes de tristesse qui coulaient. Mon père s'approcha d'elle, l'enlaça et l'embrassa. Elle avait peur pour mon père car elle non plus ne savais pas quand est-ce-qu'on le reverrait. Elle devait s'occuper de moi toute seule à partir de ce jour. Mon père lui chuchota quelque chose dans l'oreille. Pendant ce temps, je ramassais une pierre blanche que je donnerai à mon père en souvenir. La locomotive s'arrêta enfin. Tous les passagers embarquèrent chacun à leur tour après avoir dit au revoir à leur famille, leurs amis. Mon père, lui, monta quasiment le dernier. Je le regardais, désespérée, monter avec sa valise à la main. Avec ma mère, on s'approcha de la porte. On tendit une dernière fois à mon père une de nos mains ; nos trois mains réunies formaient un coeur. Je lâchais en première la main de mon père. Ma mère serra la main de mon père encore une dernière fois avant le départ du train. Les portes claquèrent, les gens qui se trouvaient sur le quai pleuraient, ils faisaient leurs adieux avec leurs mains. Le conducteur fit retentir le sifflet pour indiquer le départ. Avec ma mère, nous regardions le train s'éloigner. La locomotive disparaissait peu à peu dans l'obscurité et vers une destination inconnue...

10. Le 03 janvier 2015, 21:48 par Carla

Toutes les familles heureuses se ressemblent mais chaque famille malheureuse l'est a sa façon.
Le 14 janvier 1943, cette date qui restera à jamais gravée dans ma mémoire. Ce jour là, ma famille et moi étions allés à la gare. De nombreuses familles s'y trouvaient déjà, toutes pleuraient et s'entrelaçaient. Sur le moment, je ne compris l'ampleur de la situation, je n'étais qu'une petite fille de six ans, mais ce fut la dernière fois que je voyait mon père...
Je me souviens encore, du petit oiseau en papier qu'il avait sorti de son chapeau, juste avant son départ. Il est toujours en ma possession, c'est tout ce qu'il me reste de lui à présent. Le temps l'a abimé et jauni, mais il a toujours cette valeur sentimentale inestimable.
Je revois, au moment des aux revoir, le visage de ma mère noyé de larmes et ne voulant quitter mon père. Lui, c'était un homme brillant, et digne, qui ne laissait percevoir ses émotions. Cette fois-ci, il ne put retenir cette petite larme, à peine visible, qui coulait sur sa joue, quand je tentais en vain de rattraper sa main. Sa main tendu qui s'éloignait peu à peu. J'arrivais encore a distinguais son joli foulard qui flottait vaguement dans le vent glacial. Puis quelques instants plus tard, la vapeur du train avait pris l'avantage. Mon père avait définitivement disparu.
Vingt années ce sont écoulées depuis que mon père est parti. Je n'ai appris, qu'après de longues années de recherches, qu'il avait été envoyé dans le camp d'extermination Auschwitz, ainsi que tout les pères, les hommes présents ce jour.
Il m'arrive encore, quand je m'endors, de revoir des moments passés avec lui, ou de m'imaginer comment serait ma vie s'il n'était pas parti. Et si je le pouvais, je lui dirais à quel point je l'aime, une dernière fois...

11. Le 04 janvier 2015, 10:32 par Johann

J'avais vingt ans. Je ne laisserai jamais personne dire que cet le plus bel âge de la vie.
En été j'était encore seul en vacance, mais pas si seul en réalité j'était avec mon meilleur amis Tobi. Tobi, J'aimais tellement ce chien car c'était la seul personne qui m'aimais vraiment.
Un jour, mon dernier jour de vacance, je l'ai passer sur la plage avec Tobi. On jouer a lance-bâton, ce jeu consistait a ce que je jette un bâton et que le bâton ne touche pas le sol avant que Tobi le rattrape. Tobi était très fort a ce jeu ci. Il arrivait pratiquement tout le temps a rattraper le bâton en l'air. On était si heureux tout les deux, Tobi adorer me faire courir après lui quand il avait le bâton dans sa gueule. Il arrivait de face puis passa très vite entre mes jambes et reparti rapidement le plus loin de moi pour me chargé encore un fois comme un rhinocéros plusieurs fois et je n'arrivais jamais a le rattraper il était si vif et agile qu'on aurai di que c'était le meilleur chien de course de tout les temps. Qu'es ce que l'on était bien tout les deux, on croyais être les seul sur terre. Sur la plage calment on entendait les rouleaux des vague et les cri des oiseaux dans le ciel ou il n'y avais pratiquement aucun nuage.
On était allonger sur le sable tout les deux pendant des heures. le sable si chaud nous endormais. Mais tout à coup des perturbateur a ce moment arrivais sur la plage. C'était un couple de vacancier qui était très bronzer et qui venait gâcher notre moment avec Tobi. mais , en observant ce couple sa rouvrit une plaie dans mon cœur celle de l'amour humain. Je n'avais jamais eu d'amour pour une femme et en voyant ce couple j'était jaloux même si Tobi était toujours a mes côtés.

12. Le 04 janvier 2015, 10:32 par Johann

J'avais vingt ans. Je ne laisserai jamais personne dire que cet le plus bel âge de la vie.
En été j'était encore seul en vacance, mais pas si seul en réalité j'était avec mon meilleur amis Tobi. Tobi, J'aimais tellement ce chien car c'était la seul personne qui m'aimais vraiment.
Un jour, mon dernier jour de vacance, je l'ai passer sur la plage avec Tobi. On jouer a lance-bâton, ce jeu consistait a ce que je jette un bâton et que le bâton ne touche pas le sol avant que Tobi le rattrape. Tobi était très fort a ce jeu ci. Il arrivait pratiquement tout le temps a rattraper le bâton en l'air. On était si heureux tout les deux, Tobi adorer me faire courir après lui quand il avait le bâton dans sa gueule. Il arrivait de face puis passa très vite entre mes jambes et reparti rapidement le plus loin de moi pour me chargé encore un fois comme un rhinocéros plusieurs fois et je n'arrivais jamais a le rattraper il était si vif et agile qu'on aurai di que c'était le meilleur chien de course de tout les temps. Qu'es ce que l'on était bien tout les deux, on croyais être les seul sur terre. Sur la plage calment on entendait les rouleaux des vague et les cri des oiseaux dans le ciel ou il n'y avais pratiquement aucun nuage.
On était allonger sur le sable tout les deux pendant des heures. le sable si chaud nous endormais. Mais tout à coup des perturbateur a ce moment arrivais sur la plage. C'était un couple de vacancier qui était très bronzer et qui venait gâcher notre moment avec Tobi. mais , en observant ce couple sa rouvrit une plaie dans mon cœur celle de l'amour humain. Je n'avais jamais eu d'amour pour une femme et en voyant ce couple j'était jaloux même si Tobi était toujours a mes côtés.

13. Le 04 janvier 2015, 14:20 par romain.l'ecrivain

Mon île

Me voici donc seul sur terre sans frère ni prochain, sans le poison du quotidien. A moi la liberté sur cette île enchantée, sans hiver ni été, seul comme Robinson Crusoé, mon chien comme unique compagnon. Je lui ai appris à traquer le gibier, il me sera d'une grande utilité. Après avoir joué durant des heures avec Joakim, mon fidèle ami à quatre pattes, cet insouciant et inépuisable chien qui court, tourne, virevolte et m'esquive sans se poser de question : je me demande bien ce q'il peut avoir dans la tête. Je continue ma promenade et m'installe sur un tas de sable sur lequel une touffe d'herbe émerge et où un coquelicot, quel drôle d'endroit pour pousser, domine par sa couleur rouge sang. Une fois bien placé pour regarder la mer et contempler le ciel, je me laisse bercer par les vagues et les cris des oiseaux. Enfin, j'avais trouvé la paix et le calme. Je me mis à réfléchir à mon avenir et à un campement sur l'île. Je construirais ma maison en haut de la colline pour ne pas être inonder en cas de forte crue, seulement cela risque de dénaturer le paysage, j'opte finalement pour une cabane perchée entre deux arbres, je serai protégé des animaux sauvages. Soudain, au loin j'entendis un sirène de bateau et en l'espace d'un instant un homme et une femme vinrent polluer mon île, ma précieuse et chère île. Il me revint à l'esprit la raison de ma présence sur cette île, ce que j'avais fui : une société de consommation où l'argent dirige votre vie, une société qui détruit pour construire toujours plus grand et empiète sur la nature, une société qui pollue et engendre des catastrophes naturelles qui tuent des centaines de personnes. Mais j'avais fui également les hommes et leur égoïsme, leurs guerres et leurs massacres qui inondent nos informations, la folie des hommes et de leur quête insatiable du pouvoir. Un monde fou où les gens sont si pressés qu'ils vous ignorent où l'indifférence règne et laisse place à l'égoïsme. J'avais trouvé sur cette île une sérénité que l'homme venait encore une fois polluer, avec l'arrivée de ce bateau, arrivait également tout ce que j'avais fui. Je décidais de rester immobile et de les laisser repartir sans signaler ma présence, avec un peu de chance ils ne reviendraient jamais. Finalement, le comble de l'ironie était que si j'analysais mon comportement, j'incarnais exactement ce que j'avais fui : l'égoïsme.

14. Le 04 janvier 2015, 14:54 par ilona m

Les aux revoirs,
Nous voici encore seuls. Tout cela est si lent, si lourd, si triste. Le jeudi 20 janvier 1880, j’étais là, sur le quaie de la gare, dans l’incompréhension la plus totale. Je regardais le ciel comme pour demander de l’aide. C’était un soir d’hiver, j’avais froid malgrè le fait que ma mère avait recouvert ma tête d’un bonnet de laine. Mon père me donnait la main, je comprenais pas la situation, tout me semblait si étrange. Mon visage laissait entrevoir une impression de tristesse mais aussi de colère. Tout à coup, j’entendis un bruit, un énorme bruit. A travers un épais nuage de fumée, je vis apparaître un train. C’est à partir de ce moment , que je commencais à comprendre la situation. Toutes les personnes présentes sur le quai, se dirigèrent alors vers le train, les bras chargés de valises. Mon père essayait tant bien que mal de me distraire et de me faire rire. Soudain, il souleva son chapeau et fit apparaître un magnifique origami. C’était un superbe oiseau blanc, aux ailes déployées. Je le pris entre mes doigts et le contempla. Mes parents étaient très pauvres et par conséquent, les cadeaux se faisaient très rare. Mon père posa sa main sur mon épaule gauche. Il me regardait, fier de m’avoir offert ce modeste c adeau qui à mes yeux n’avait pas de prix . Il m’enlaca si fort, que je sentis son cœur battre. C’était un « au revoir » plein d’amour mais également de mélancolie. Tout en conservant l’oiseau entre mes doigts, je me retournais vers ma mère. Son visage était métamorphosé, envahi d’une tristesse aussi profonde, qu’indescriptible. Ma mère saisit un mouchoir afin d’essuyer les quelques larmes qui coulaient le long de ses joues. Mon père l’enlaca à son tour. Ils ne formaient plus qu’un et tentaient de partager pour quelques secondes encore, l’amour sans limite qui les unissait. Mon père embrassa ma mère. Ce baiser plein de tendresse était peut être le dernier. Puis mon père se retourna, saisit sa valie et monta une à une les quelques marches du wagon. Mon père que j’aimais tant, nous laissait ma mère et moi, seules sur ce quai, dans notre tristesse et notre désespoir. Jamais je ne pourrais m’habituer à cette séparation. De nouveau, je me retournai vers ma mère et la vis sangloter. Je lui donnais la main afin de lui rappeler que désormais, nous n’étions plus que deux et que j’étais à ses cotés pour l’aider. A travers ce petit signe d’affection, je voulais également lui témoigner tout l’amour que je lui portais. Nous nous retournâmes toutes les deux vers le train qui peu à peu disparaissait dans l’ombre. La destination vers laquelle, il emportait mon père : Paris. La capitale où il espérait enfin trouver un travail pour subvenir aux besoins primaires de notre famille, manger tous les jours à notre faim, vivre dans un logement avec de l’eau potable et du chauffage, étaient devenus pour mon père, une obsession. Quand le reverrais-je ? Ni lui, ni moi, ni ma mère n’en n’avions la moindre idée. La seule chose dont j’étais certaine, c’est que notre famille était soudée, et ce en dépit des séparations. A plusieurs reprises déjà, mon père était parti dans les villes environnantes pour chercher du travail. J’espèrais tout au fond de moi, que cette séparation serait la dernière.

15. Le 04 janvier 2015, 15:51 par Lisa . L

Jalousie mortelle

J'avais vingts ans. Je ne laisserais personne dire que c'est le plus belle âge. Vingts année que j'étais de ce monde pour cela, vingts années que je travaillais au plus dur pour cela, pour réaliser mon objectif, décrocher ce travail. Beaucoup de gens disaient que je le méritais, que j'avais les compétences requises pour celui-ci. Or d'autres, disaient qu'il n'étais pas pour moi, que je n'avais pas les qualités satisfaisantes pour ce job, que malgré le peu de chance qu'il y avait pour que je sois embauchée ce serait grâce à mon caractère enfantin et mon physique d'âge mures qui aurait fait succomber le directeur. Lorsque les gens sous-estimes tes rêves, prédissent tes pertes ou te critique, rappelle-toi qu'ils te racontent leur histoire, pas la tienne. Je fais de chaque jour un tremplin pour remplir ma vie d’aventures, de passions et d'énergies en injectant de nouvelles découvertes à explorer. Comme l'espoir est le pilier du monde, alors je passe au dessus de ces critiques et je tente ma chance. Je pars avec l'idée que si j'ai confiance en moi, j'inspirerais confiance aux autres. Celui qui a peur de perde, ne prends pas le risques de gagner. L'entretient d'embauche se passa a merveille, je fit la connaissance de Mr. River, le directeur de l'entreprise, un homme très charmant, plutôt flatteur, très souriant, avec beaucoup de respect, redonnant une impression d’espérance. Je fut prise ! Ce fut une joie immense qui m’emparais.
Une semaine c'était passée pour moi où j'avais intégrer l'entreprise à ma plus grande satisfaction. Mr River était très honorable pour ma belle intégration au seins de son lieu. Il poursuivait tous mes faits et gestes de son regards attentif , il me félicitait ou me corrigeait aux différentes actions que j'accomplissais. L'affection de Mr River à mon égard devenait trop entreprenante à mon goût. Son regard noir et froid ne m'abandonnait plus, il ne suivait plus que mes gestes mais toute ma silhouette à n'importe quel endroit où je me déplaçais. Puis vînt les gestes légèrement déplacés de sa part. Je pensais que ce n'était rien, juste un signe d'affections envers son employée. Ces gestes devinrent familiés et répétitifs de jours en jours jusqu'à ce que ce soit habituelle. Insupportée, du haut de mes vingts ans et de mon entrée dans l’entreprise qui ne datait que de 3 mois, je gardais mon silence et me contentais juste de sourire gênée. Il ne faut pas prendre le silence pour de l'ignorance, le calme pour l'acceptation et la gentillesse pour une faiblesse. Dans ce monde, ce n'est pas nous qui choisissons si l'on nous fait dit mal ou non, en revanche on peut choisir qui nous fait du mal. Alors je décida de ne plus me laisser faire, de lui résister sans provoquer un conflit qui pourrait jouer mon licenciement de l'entreprise. Il n'en fut pas convaincu mais ne me montra rien. Je le vu dans la double charge de travail qu'il m'ordonna en comptant les taches les plus ingrates. Il y avait des taches qui me semblaient impossible, mais cela est impossible jusqu'à ce qui soit fait. Les jours passaient et je continuais mon travail. Un matin où Mr River nous observait du haut de son bureau perché au dessus de l'atelier, les employés travaillaient tous les émeraudes rouges vifs d'une beauté rare que l'entreprise avait reçue la veille. Alors que je passais sur chaque table pour relever le nombre d’émeraude présent, je me fit bousculer par un jeune homme qui me fit tomber toute mes feuilles et ma plaquette a terre. Il s’excusa et se baissa en face de moi pour m'aider a ramasser les feuilles volante comme dans tous les films romantiques. Un sourire , un regard , un geste , la naissance d'une attirance. Avant de le rencontrer, je ne savais pas que c'était que de regarder quelqu'un et de sourire sans raison. Puis nous nous séparions en reprenant chacun notre activité définit. Nos regards se croisaient, et nos sourires répondaient. Ce court moment s'interrompit par un hurlement qui venait du bureau de Mr River prononçant mon nom. Je monta aussitôt a son bureau avec l’appréhension au ventre. A peine la porte fermée, il s'empressa de me hurler dessus, en me dévisagant de son regard noyé de colère. Je ne comprenais plus, tout était flou.Qu'avais- je fais ? Je ne savais pas. Sous ses hurlements, j'avais l'impression que quatre masses noires m’étouffaient, comme si le diable me tombait dessus. J'en retenue que de ses cris, que j'étais à lui, qu'aucun autre ne devait me parler ou même me regarder de la façon où le jeune homme venait de le faire précédent. Je ne lui répondit que à ces violentes paroles que il n'y aurait jamais rien pu se produire entre lui et moi, qu'il me dégouttait. D'un coup sans savoir comment je me retrouva nue,puis je quitta la pièce sous les regards de tous les ouvriers de l'atelier et du jeune homme. C'était sûrement la parole de trop. Fou de rage, comme un ouragan déchaîné il me suivi. Il me rua de jet d'émeraudes, une centaine. Ce qui m’abattis au sol, me coupa le souffle, pleurant. Les émeraudes me recouvraient une partie du corps, flottant dans une mare de sang. Tout devint sombre autour de moi, plus aucun son seulement cet ultrason qui ne s’arrêtait plus. La dernière image que je vue c’était ce jeune homme me laisser un dernier baiser en riant de tristesse. Parfois, rire n'est pas quelque chose que tu fait pour le plaisir. Parfois c'est un soulagement lorsque tu n'as nulle part où aller. Triste fin. Mr River venait de mettre fin à vingts ans d'investissements, vingts années pour ce but , vingts années de vie. Tout est perdu. Stupide Jalousie !

16. Le 04 janvier 2015, 16:24 par Noémie Garnier

Les retrouvailles.

C’était le meilleur et le pire de tous les temps. La lumière commençait à baisser, le ciel s’assombrissait et la luminosité de la lune apparaissait dans le ciel. Un homme, nommé Jean, vêtu d’un chapeau noir qui lui cachait le visage, était habillé d’un costume très modeste avec des chaussures qui brillaient à la lumière des lampadaires des rues. Son visage était crispé, inquiet. Il n’arrêtait pas de tourner la tête de droite à gauche, comme s’il cherchait quelqu’un, quelque chose. Il regardait en l’air en direction du ciel, comme si un événement de grave et d’important allait arriver.
Jean courait. A droite. A gauche. Tournait dans les ruelles. S’arrêtait. Se remettait à marcher. Revenait sur ses pas. S’arrêtait pour reprendre son souffle puis repartait. Les passant s’interrogeaient, le regardaient courir. Leurs visages marquaient l’étonnement et peu à peu se crispaient à leurs tours.
Jean déboucha sur une grande place et s’arrêta. Il observa silencieusement tout ce qui l’entourait. Il dévisageait les gens, les immeubles, les murs, le paysage. C’est sûr, il cherchait désespérément quelqu’un. Son regard s’arrêta sur les oiseaux se trouvant sur la place. Ils étaient des milliers, ils picoraient le sol en essayant de récupérer des graines. Ils étaient calmes mais regardaient, eux aussi, très souvent le ciel.
Au fur et à mesure les oiseaux commencèrent à se regrouper en cercle autour d’une sorte de grande boite rectangulaire, qui se situait au milieu de la grande place. Tous les oiseaux se rapprochaient tout en étant méfiants.
Tout d’un coup, la boite s’ouvrit. La porte grinça comme une vieille porte en bois. Mais rien ne sortit. Les minutes passèrent mais toujours rien. Au bout d’un certain temps, on vit une ombre sortir. C’était un pied. Ensuite, une valise apparut et enfin un visage. C’était celui d’une femme, qui devait avoir une quarantaine d’années. Elle avait un voile blanc nacré qui couvrait ses cheveux attachés en chignons. Après, apparu une petite fille qui elle, portait sur sa tête un bonnet rouge. C’était un rouge délavé avec des motifs en carré et au bout, pendait un pompon grisâtre. Elles se tenaient toutes les deux la main, telles une mère et sa fille. Quand elles sortirent, leurs visages étaient crispés, leurs yeux remplis de peur.
Au loin, on apercevait Jean, criant et faisant de grands gestes, comme si il essayait d’attirer leur attention. Il se rapprochait de plus en plus. La petite fille finit par le voir. Son visage s’éclaira un instant. On le remarqua grâce à un sourire éclatant qui était apparu, laissant découvrir une dent manquante sur la mâchoire supérieure. La mère, très étonnée et surprise, lâcha d’un seul coup la valise qu’elle tenait dans sa main. Puis, un puissant coup de vent emporta le chapeau de Jean, et le fit virevolter dans tous les sens.
Les oiseaux s’envolèrent, assombrissant le ciel tel des oiseaux migrateurs.

17. Le 04 janvier 2015, 16:48 par Mathilde.s

Toute les familles heureuses se ressembles, mais chaque famille malheureuse l'est a sa facon.
Je contemple le vide allongé dans l'herbe gelée qui me gele le dos, le froid m'envahis d'une vague froide qui commence par mes pied et finis par ma tete, je ne peut plus bouger et je ne sens plus mes membres. je suis une statue. Cette sensation est atroce mais elle n'est que poussière face a l' immense tristesse qui me dévaste de jour en jour. Aujourdhui,nous sommes le 15 janvier, et c'est plutot un jour un banal d'hiver. Du moins sa devrais l'etre.. Cela fais maintenant 10 longues années que je suis depourvue de toutes nouvelles de mon pere, 10 longues année que mon pere est mort. 10 longues années que je souffre. J'avais 5 ans losque j'ai vue mon pere pour la derniere fois. je me souvient nous nous étions levaient tot mais je ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passais mais je devinais par le reguard et la tristesse du visage de mes parents qu'il se passais quelque chose. Nous nous dirigions vers la gare, un endroit sinistre est asser sombre, il faisait froid, très frois. Il pleuvais, l'eau qui tombais ruisselais le long du sol. Plusieurs personne étaient déà là et pleurent leurs maris, je compris donc ce qu'il se passais. Mon pere étais vetus de son chapeux fétiche, un chapeux de magicien qui me facinais, il y sortis une cocote en papier qu'il me donna et essayais tant bien que mal de me faire rire. Tous se passa très vite, une personne cria que c'etais l'heure. Le cours moment de joie pris fin. Mon père me pris dans ses bras et me serra fort. J'aurais voulus qu'il ne me lache jamais. Nous pleurions beaucoup il embrassa ma mere en guise d'adieux, il montta dans le train, et il pris nos mains, elles furent reunis pour la dernieres fois ensemble puis il les lachas les portes se fermerent. Le train partis. je revis mon pere assis dans le train une larme qui coulais le long de sa joue et c'etais la derniere fois que je le voyais. J' aurais voulus lui dire tellement de chose.. Mais rien n'etais sortis de ma bouche a ce moment la. Je n'etais qu'une petite fille , et c'est à cet àge là que tout mes reves de petite fille s'envolèrent et ne revenurent jamais. J'aurais tout donner pour revivre le moment ou mon pere rentrais du travaille et entendre ses chaussures frotais le sol, revivre le moment ou je sauttais dans ses bras en le serrant aussi fort que le pouvais et admirais la joie qui se devinais dans son reguard en me voyant. juste une derniere fois..

18. Le 04 janvier 2015, 17:15 par Mathilde P.

Séparation éphémère.

Nous voici encore seuls. Tout cela était si lent, si lourd, si triste. Il faisait froid, le vent soufflait fort. Je sentis le froid à travers mes vêtements. Les mains de ma petite fille Marilynn étaient toutes rosées, gelées. C’était le soir, il faisait très sombre, la lune n’était pas visible, elle était cachée par de gros nuages. Nous n’étions pas les seuls à attendre qu’un train arrive. Les trains ne passaient pas souvent dans notre ville, il y en avait un le matin et deux le soir. Il était donc important d’arriver en avance, mon mari ne pouvait pas le louper. Le train que nous attendions n’était pas habituel, il en passait un comme celui-ci tous les six mois, il allait à Milan en Italie. En fait, mon mari partait en voyage pour le travail, car il œuvrait sur les chantiers et parfois sur des gros chantiers comme celui de Milan. Ce n’était pas son premier voyage mais j’espérais que ce fut le dernier. A la fin de chaque long déplacement qu’il effectuait il gagnait une bourse, c’est la raison pour laquelle je le laissais partir. Notre vie quotidienne était des plus simples et notre souhait était de faire en sorte que notre petite Marilynn est une vie paisible et qu’elle ne vive pas dans le besoin. Nous étions tous les trois, main dans la main, et profitions des derniers instants ensemble. Je faisais en sorte de ne pas pleurer car j’étais très attristée de quitter mon mari une nouvelle fois cependant devant mon enfant je devais me montrer forte. Marilynn, habituellement de tempérament jovial, était très triste en ce jour. Ce n’était pas facile pour son jeune âge de voir son père s’absenter durant six mois. Néanmoins, je ne pensais pas qu’elle comprenait réellement pourquoi elle et moi allions nous retrouver toutes les deux. Soudain, mon mari lâcha ma main, je ne compris pas tout de suite pourquoi jusqu’au moment où il se baissa au niveau de Marilynn et lui fit un grand sourire puis souleva son chapeau noir. Un oiseau blanc en papier était apparu, il l’avait caché sous son chapeau pendant un long moment. Nick était le genre de personnes qui aimait beaucoup faire de petites blagues et faire des surprises. Dès l’instant où notre fille l’aperçu, son visage s’était illuminé elle prit l’oiseau dans ses mains avec de grand yeux émerveillés. Son père lui disait ensuite que cet oiseau allait la protéger. Il l’avait pris dans ses bras et la serrait contre lui. Ces derniers instants passés ensemble étaient comme magique, j’avais le sentiment que le temps s’était arrêté, que nous allions être ensemble tous les trois, pour toujours. Mais ce moment de bonheur fut brutalement stoppé par les cloches de l’église qui symbolisaient l’arrivée du train et l’heure du départ. Je regardais autour de moi et je vis le monde arriver. Mon cœur s’était comme arrêté mais je sentis une pression sur ma main, et je vis que c’était la main de Marilynn qui serrait la mienne. Je sortis mon mouchoir de la poche de mon manteau car je ne pus me retenir de pleurer. Je pris par la suite mon mari dans mes bras. Sa chaleur m’avait aussitôt réchauffé le cœur. Il me glissa quelques mots dans l’oreille, m’avait dit que six mois passaient vite et il m’avait récité mon poème préféré un poème de Victor Hugo. Apres cela il prit notre fille dans ses bras, je supposai qu’il lui racontait une blague car ils avaient tous les deux le sourire aux lèvres. Soudain le klaxon d’un train retentit, le train de Nick. Il nous regarda un moment puis monta dans le train. Cependant jusqu’à ce que le train ne parte il resta à la porte tendit sa main, je dus porter Marilynn pour qu’elle lui attrapait la main puis je l’attrapais à mon tour, nous étions tous les trois mains dans la main comme nous le faisions souvent. Le train se mit en route et commença à avancer tout doucement, alors nous lâchions sa main. On le vit s’éloigner il nous regardait le visage triste. Le train était partit et je l’aperçu légèrement au fond de ce paysage triste et sombre espérant que ces six mois passent vite.

19. Le 04 janvier 2015, 17:51 par ANTHOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONY

Retrouvailles inattendues.

Ce fut le meilleur et le pire de tous les temps. Ce soir-là, il faisait sombre, si sombre qu'il m'était impossible de me déplacer sans tendre les bras devant moi. Ce fut un temps où nous n'avions plus vu la lumière du jour depuis près d'une semaine, c'était désastreux, il pleuvait sans cesse, tout était noir, comme si nous, les Hommes, étions plongés dans les ténèbres. Le sol m'était parfois invisible, seul la lune était une source de lumière. J'étais pensif, seul, dépourvu de tout espoir depuis la disparition soudaine de ma femme et de ma fille deux ans auparavant, je les cherchais sans relâche. Je n'avais plus de nouvelles, j'avais perdu tout espoir, jusqu'à ce soir là. Quelques connaissance m'avaient informé que mes deux amours venaient d'atteindre le Grand-Bourg, un village voisin. Après deux ans, ce fut les premières nouvelles que j'eus. De ce fait, je fus très optimiste, et sans même réfléchir une seule seconde, je pari à leur recherche. Elles étaient ce que j'avais de plus précieux, elles étaient comme une bouffée d'air frai, un rayon de soleil, après leur départ, tout était devenu sombre, absolument tout. Après plusieurs jours, plusieurs semaines, plusieurs mois de réflexion, je ne comprenais toujours pas pourquoi elles étaient parties, sans laisser de petit mot. On dirait qu'elles avaient fuit le domicile, ou peut-être qu'elles me fuyaient, je fus dans l'incompréhension totale. Je courais sans m'arrêter, dans l'obscurité, trempé de la tête aux pieds, une forte pluie agaçante mais enthousiaste. Je passais parfois dans des ruelles si sombre que je me croyais enfermé dans un placard, mais malgré tout, je continuais de courir, c'est comme si je les sentais, une renaissance d'espoir était là. Plus je m'approchais du village, et plus elle s'accentuait. Essoufflé, je m'étais arrêté à mi-chemin, pour reprendre mon souffle. Les mains sur les hanches, je regardais vers le ciel, et je vis la lune s'éclaircir. Quelques minutes passèrent et je me remis a courir aussi vite que mon possible. J'étais presque arrivé, il ne me restais que quelques centaines de mètre a parcourir pour atteindre le village, mais il fallait encore que je les trouve. Une fois arrivé au village, j'ai aussitôt pensé à rejoindre la gare. Je repris immédiatement ma course quand soudain, j'entendis une porte grincer derrière moi. Je me retourna, et aperçu une petite fille vêtu d'un long mentaux et d'un bonnet qui m'étais familier. Je me rapprochais discrètement, je ne savais pas si c'était ma fille car elle était de dos. Je me rapprochais encore et encore, mais je fus démasqué, la fillette se retourna, et c'était bien elle. A ce moment-là, je vis un sourire se dessiner sur son visage, un regard rempli de joie. Elle me sauta dans les bras, et appela aussitôt sa mère, ma femme. Elle cria "Maman, papa est là !". Elle ouvrit la porte, et marchais d'un pas méfiant, mais quand elle eut vu que c'était bien moi, elle couru dans mes bras a son tour. Ce fut le plus beau jour de ma vie, je les avais enfin retrouvé, après tout ce temps d'attente, d'effort, et d'incompréhension. Je savais enfin les raisons de leur départ, elles avaient fuit le domicile à cause d'une guerre civile dans une ville voisine, par peur qu'elle se propage jusqu'à notre village. Je ne voulais pas en savoir plus, j'avais retrouvé tout ce que j'avais de plus chère a mes yeux. Je me suis senti à nouveau libre, je n'avais plus a me questionner a longueur de journée, je savais que je ne serai plus seul. Enfin, ce fut une journée inoubliable.

20. Le 04 janvier 2015, 18:36 par Léa.P 2nde9

Adieu

Les familles heureuses se ressemblent toutes, les familles malheureuses sont malheureuses chacune à leur façon. Pour ma part, nous n’étions pas malheureux mais pas tant heureux que ça. Mais nous avions le nécessaire, à boire, à manger, nous nous aimions et nous étions tous ensemble ce qui fut le plus important.



Cependant, en ce jour, hélas je devais partir une année à Moscou pour travailler. Quitter ma famille pour leur donner le meilleur et pouvoir leur envoyer une partie de mon salaire chaque mois. Faire mes adieux était une rude tâche à laquelle jamais je ne pu me préparer, bien que nous savions depuis des mois que je partirai le lundi 30 décembre.

Après avoir marché de longues heures pour parvenir à la gare, nous étions à présent tous les trois sur le quai. Autour de nous, des centaines d’autres familles qui attendaient patiemment dans le froid. Le vent glacial soufflait d’une telle force que nous pouvions à peine nous déplacer. Il était encore tôt, le soleil n’était pas encore levé, il faisait sombre. Nous ne pouvions à peine distinguer mes compagnons de voyage.
Ma petite fille, Amanda, semblait désespérée, perdue, je le voyais à la lueur de ses yeux, ses jolis petits yeux bleu clair qui étaient remplient de larmes. Tout en compressant ma main, elle regardait partout autour d’elle, en haut, en bas, à sa droite, comme si elle attendait quelque chose. Un signe de Dieu peut être ? Rien ne vient, seule une larme coula le long de sa joue pâle. J’étais désemparée de la voir si triste, elle qui gardait toujours le sourire habituellement. Je me pencha vers elle pour lui murmurer quelque mots doux pour la réconforter. Je me baissa à sa hauteur et releva mon chapeau, un petit oiseau en papier était posé sur ma tête. Je la vit sourire à nouveau. Nous avions pour habitude, chaque dimanche, tous les trois, de confectionner de petits animaux en origami. Elle saisit l’oiseau en papier et le garda dans ses mains, je me pencha vers mon enfant et lui expliqua que cet oiseau veillerai sur elle pendant mon absence, qu’elle devait le garder précieusement et que lorsque je serai de retour nous en ferions bien d’autres encore. Elle me serra fort dans ses bras pour me remercier. Elle était si petite, si fragile. Je me demandais comment pouvait elle rester si forte et compréhensive, si jeune encore du haut de ses dix ans.

Tout à coup, une alarme retentie, ce fut l’heure du départ. Ce moment tant redouté. Nous nous dirigions vers mon wagon, puis je regarda ma femme, elle pleurait, je lui donnait mon mouchoir blanc que ma mère m’avait brodé, elle s’essuya ses larmes avec. Je l’a prit dans mes bras en la serrant aussi fort que je le pouvait sans lui faire de mal. Néanmoins, elle était inconsolable. Son visage était marqué par la fatigue avec des cernes, tandis que, ses yeux marrons étaient devenus rouge tant elle pleurai. Je déposai un dernier baisé sur ses douces lèvres. Toutes deux lièrent leurs mains à la mienne jusqu’à ce que le train démarrent. Je ne cessa de les fixer jusqu’à ne plus percevoir que la poussière que laissait le train sur son passage.
J’était seul à présent, face à mon destin, je me posait des milliards de questions sur l’avenir, j’était effrayé.

21. Le 04 janvier 2015, 20:19 par najwab

L’innocence d’un ange
J’avais vingt ans, je ne laisserai jamais personne dire que c’est le plus bel âge de la vie
C’était il y a 6 mois de cela, je venais d’avoir 20 ans. J’avais d’emménager a Paris dans un appartement du quatrième arrondissement, a mon grand regrée j’avais dut laisser mes proche dans mon pays car ils disaient de paris que c’est une ville insalubre. Je m’étais inscrit a un concours pour rentrer a « Privela » une agence internationale de beauté reconnu dans le monde entier, nous étions prés d’une centaine de candidats, le jury devait en sélectionner 20 pour le poste de directeur markéting. Le lendemain, je devais me présenté pour mon audition, il fallait renouveler une crème anti âge en proposant de nouveaux produits, l’air stresser j’avançais vers mon jury d’un pas déterminer puis je présentais mon idée de produit. A peine que je put commencer un certain Mortier, l’un des jury , me regarda d’un air hautain puis me dis : « Excusez moi mademoiselle mais vous ne faite que répéter les biens faits du produit , nous voulons votre avis personnelle » , il était hors de question que je me laisse intimidé par un juge prétentieux , puis par la suite je rétorqua : « Pour moi cher monsieur , ce produit a bien sure ces biens fait or j’ai pris l’initiative de le tester sur une de mes amie , elle ma affirmé que sa texture douce provoquait chez la femme une sensation d’apaisement et de bien être » . Par mon initiative, le juge resta sans voix et la directrice donna son avis puis elle affirme : « C’est très bien mademoiselle, un projet fructueux qui ne manquera pas de faire bouger les grandes entreprises. ». Tandis que les candidats défilait les uns âpres les autre, je me rendis a mon logis puis a peine rentrée je me mis a révisez l’étape 2 pour le lendemain qui consiste à vendre un produit a un acheteur chinois. Le soir même, en dehors de mon concours, je travaillais à l’hôtel entant que réceptionniste, avec ce boulot je parvenais à subvenir aux besoins de ma famille. Le jour qui suit, mon réveille avait sonné trop tard, je me pressé a vive allure a l’agence, mais lorsque je passais le bas de la porte, la directrice m’annonça une nouvelle. J’avais l’immense surprise d’être prise parmi les 20 candidats. Soudain, mon téléphone se mis à sonner, c’était Mr Mortier, il voulait me voir pour un entretien individuel, cela me paraissait bizarre mais bon je me rendis tant bien que mal a son appartement. Une fois mes affaires déposé, je sortis mon cahier de note pour commencer l’exercice puis brusquement il me l’arracha des mains et il me dis : « vous avez peur », je répondis : « non, pourquoi aurais je peur de vous ». Il s’avança vers moi me tenant par la taille je lui ais dis « que faites vous ? » il répondit « je dois vous avouez une chose Mme vous m’attirez beaucoup par votre charisme, cela ne m’est guère indifférent ». Je lui répondis que je devais partir et qu’il ne fallait en aucun cas que cette soirée viennent aux oreilles de la directrice d’agence. Le lendemain, je mettais préparer pour la deuxième épreuve malgré l’incident d’hier soir, je me rendis a l’agence quand soudainement la directrice me demanda de venir a son bureau. Elle me montra sur son ordinateur une photo peut compromettante c’était moi et MORTIER. Je lui affirma : « Madame il ne s’est rien passé avec cet homme, je suis juste partis boire un verre avec celui-ci « puis elle rétorqua « ce n’est pas une attitude a avoir vis-à-vis de votre jury, les faits sont biens la vous avez essayez de le séduire ? » affolé elle répond : « Oh, non cher madame demander a Mr mortier il vous dira ce qui s’est réellement passée » elle se retire pour demandé des explications a son collègue. Elle entra dans la salle , lui demanda de bien vouloir le suivre , mortier savait très bien pour quelles raison elle voulait le voir . Tout les deux se retrouvais dans le bureau de Madame puis elle affirma :
Madame : « Mr Mortier avez vous pris un verre avec cette jeune fille « mr mortier : « OUI , c’est vrai nous étions très proche hier soir » madame : « c’est un comportement que je ne tolère guére au sein de mon entreprise, pour cela vous serait suspendus, et vous Mme votre concours s’arrête la vous n’irez pas plus loin » .
Sur ceux j’ai dut quitté l’agence , a cause d’une malheureuse faute je n’ai pas venir a bout de mes objectif. Finalement le poste était pour une femme beaucoup plus agé que moi environ la trentaine.

22. Le 04 janvier 2015, 20:35 par Christina.

Nous voici encore seuls. Tout cela est si lent, si lourd, si triste.Les adieux sont durs, froid, glacier. C'était l'hiver et nos coeurs étaient déjà gelés. Gelés de cette tristesse qui petit à petit nous submerger, au fur et à mesure que le train s'avançait.
Nous attendions, patiement.
Il nous faisait sourire pour passer le temps ou surement oublier nos tourments,
il lui suffisait seulement d'une feuille de papier, pour apercevoir nos visages s'illuminer. Nous etions si calme, si muet, Il avait sur nous ce pouvoir que rares avaient, celui de faire disparaître tout nos chagrins pendant un court instant,
Et, pendant ce cour instant, nous l'avions pris dans nos bras pour la dernière fois,
ce fut tellement réconfortant et déchirant à la fois.
Il me glissa des mots doux; plus tendre qu'un baiser, mais pourtant, si dur à prononcer,
Nous attendions un appel, un simple son qui bouleverse une vie, mais qu'importe si cela nous ennui,
Le son de sa voix fu restait avec moi ce jour-là,
sa main était si froide mais pourtant, nous ne pouvions plus la quitter.
À jamais, il me semblait l'abandonner,
Dans ses larmes se noyait la pitié, qu'il s'efforçait cependant à cacher.
Quand ils nous eurent enfin lâché,toute la peur du monde m'envahit, car maintenant, nous nous sentions plus a l'abri, nous étions si seul face à cette dure vie, car nous avions perdu aujourd'hui,
certainement notre plus grand ami;
Confident et amour de notre vie,
nous le regardâmes nous échapper petit à petit.

Et quand le train fu enfin parti, le voyage pour nous venait de commencer. Nous voici passager de notre propre vie,

les rires autrefois echangés étaient maintenant qu'un oubli,
les visages si familiers nous paraissaient pourtant déjà oublier. Le coeur déchiré, nous ne pouvions plus bouger,
Nous étions là à attendre, attendre comme deux êtres paralysées.Totalement meurtries et désemparé. Il était déjà loin dans l'obscurité, car nous ne pouvions plus distinguer, le train caché sous son épaisse fumée.
Des espoirs meurent, d'autres naissent, certains demeurent, tandis que d'autres disparaissent.

23. Le 04 janvier 2015, 22:08 par Elisa Lct

Notre dernier au revoir.
Nous voici encore seuls. Tout cela est si lent, si lourd, si triste. J’entends encore ces paroles de ma mère lorsque le train eût disparu de cette voie ferrée. Aux abords d’un quai de gare, dans la nuit froide et noire, j’ai plongé mon regard de prière dans celui de mon père. Que pouvait-il me dire de ce départ à la guerre ? Rien. Il avait préféré rappeler à mon bon souvenir ces derniers moments heureux que nous venions de passer ensemble comme s’ils ne pouvaient être les derniers. Je sens encore la force de ses mains serrant les miennes. Ces mains unies que j’avais voulues aussi près que possible de ma joue en expression de notre amour profond. J’entends encore sa voix comme une mélodie de tendresse dont le sens des mots m’échappait totalement. Ce départ était inévitable. Je me devais d’être forte pour prendre soin de ma maman. Notre famille se devait de rester unie pour éviter tout naufrage. Quoi qu’il arrive m’avait-il dit, je resterai à tout jamais dans vos cœurs. L’intimité de ces quelques instants volés, fût bientôt brisée par les hurlements d’une machine bruyante. Elle est arrivée en gare en crachant de toute part. Un nuage noir s’échappait d’une cheminée de métal et vint obscurcir cette nuit déjà sans clarté. Tandis que la machine s’approchait encore plus de nous, elle inondait le quai d’un brouillard siffleur pour alourdir plus encore les larmes qui coulaient de toute part. L’ambiance était devenue soudain plus pesante. Les hommes s’arrachaient des bras de leurs familles qui restaient comme pétrifiées au moment de leur séparation. Des hommes étaient déjà montés dans la bête, et mon père se penchait vers moi pour me serrer dans ses bras avant de partir. Je revois encore ce regard malicieux qu’il avait lorsqu’il souleva son chapeau. Il en sortit une colombe fragile de papier qu’il arrangeait quelque peu avant de me la remettre. Une colombe blanche symbole d’une paix possible que je me devais d’espérer m’avait-il dit. Une dernière étreinte d’amour, un dernier regard vers mon père avant qu’il ne parte. Je revois aussi ses larmes que ma mère s’efforçait de sécher avant qu’elles n’aient vraiment coulées sur son visage. Elle le prit elle aussi bientôt dans ses bras pour une étreinte forte de détresse. Il se devait de partir maintenant. Sa petite valise à la main, il s’engouffrait bientôt dans ce train et mon chagrin fût immense. Une dernière tentative pour le retenir, prendre sa main dans les miennes et en silence résigné, accepter de le voir partir. Et plus le train s’éloignait et plus mon chagrin grandissait. Une colombe blanche de papier en seul espoir de revoir un jour le père qui en cette lourde nuit devenait un soldat de la mort. Le train s’est éloigné et cette voie ferrée fût le dernier voyage de mon père. Cette colombe jaunie par le temps encore aujourd’hui posée sur le buffet nous rappelle à ma mère et moi ces derniers instants de douleur. J’entends encore sa douce voix, mélodie de tendresse…

24. Le 05 janvier 2015, 18:58 par Célia S

Ne jamais dire adieu

Nous voici encore seuls. Tout ça est si lent, si lourd, si triste... Cette famille est tout ce qu'il y a de plus ordinaire. Un père, une mère et leur petite fille. John se tenait la, assis au milieu du salon, pendant qu'Elizabeth préparait à manger dans la cuisine. Elena quant à elle était dans sa chambre et redoutait le jour où son père allait quitter la maison. Il s'en allait dans une semaine, Elena descendit donc voir son père et le regarda, il avait le regard livide, il était si triste mais quand il l'a vit, il sourit. Il dit qu'il allait bien avec un air serin, mais elle savait qu'il mentait. Il lui proposa de fabriquer une cocotte en papier, ce qu'elle adorait faire avec son père le soir, ils se mirent donc à la tache, mais c'est à ce moment qu'Elizabeth les appela pour manger. Après dîner, Elena partit se coucher donc son père continua l’œuvre tout seul. La semaine défila si vite que le jour de partir arriva. Elizabeth aida John a porter ses valises jusqu'à la gare, l'ambiance du trajet fut pesante, personne n'a osé parler. Une fois arrivé, le train n'était pas encore là, heureusement. John s'agenouilla devant sa fille et la regarda tendrement, il souleva son chapeau et Elena découvrit la cocotte en papier terminé, elle poussa un léger cri de joie à peine audible, elle contempla le petit animal avec amour et remercia son père, il la serra fort dans ses bras et se leva pour regarder sa femme, elle pleurait, il l'a pris dans ses bras et lui souffla à l'oreille qu'il l'aimait. Une fois le train arrivé, John entra dedans et tous les trois se prirent la main. La cloche retentit et quelqu'un vint pour fermer la porte. Il fit un dernier geste d'adieu de la main à sa famille et il disparu dans l'ombre. Elena savait qu'elle allait revoir son père un jour, il leur a promis de revenir. Elles recevaient une lettre de lui toutes les semaines pendant 3 mois, puis elle se firent de plus en plus rares jusqu'à ce qu'elles disparaissent. Un an après son départ, Elizabeth reçu enfin une lettre de John, il disait qu'il allait bien et qu'il avait espoir de revenir dans 1 an, il s'excusa de ne pas avoir écrit plus tôt, il était trop occupé par son nouveau travail. Il demanda des nouvelles d'Elena et lui confia de lui dire qu'il ne l'avait pas oublié. Il ne reste plus qu'à attendre un an, et quand ce jour arrivera, tout s'arrangera.

25. Le 05 janvier 2015, 19:21 par Caroline. M

Mes deux mots sont "Paysage" et "piège"

                              L' adieu
    Nous voici encore seules. Tout cela est si lent, si lourd, si triste... Un soir de l'an 1950, Eliote, mon mari, était rentré et m'avait annoncé qu'il devait encore partir, encore! mais pourquoi? il était déjà parti deux fois... et si longtemps. Cette fois, il m'avait avoué qu'il ignorait s'il rentrerait un jour, voire même s'il rentrerait vivant. A cette nouvelle j'avais bien failli m'évanouir.
  -"Tu as pensé à la réaction de notre fille? Elle n'a que sept ans! Comment vais-je faire pour l'élever toute seule si tu ne rentres pas? et tout cela pour, peut être ne gagner que quelques sous de plus! non, je ne veux pas, même pour tout l'or du monde, je ne voudrais pas que tu risques ta vie, lui dis-je très énervée.
  -Écoutes, nous n'avons plus d'argent, plus rien, et comme tu l'as dis, il faut élever notre enfant... sans argent ce n'est pas possible. J'ai pris ma décision et je te demande de la respecter."

Prise d'une envie soudaine de pleurer, je me retirais dans ma chambre jusqu'au lendemain.

    Pendant des jours, j'ai essayé de le raisonné, en vain. Quand "Mr Eliote Devret" avait décidé de quelque chose, il n'y avait rien à faire. Une semaine plus tard, c'était l'heure, l'heure pour mon mari de prendre ce fichu train en direction de Lille. Ce jour-là, nous l'accompagnâmes, ma fille et moi, à la gare. Ma petite Helene était toute paniquée, elle ne comprenait qu'à moitié se qu'il se passait; elle tournait la tête à gauche, à droite, regardait en bas, en haut. Voyant son état; Eliote s'accroupit, pour se mettre à sa hauteur, et retira son chapeau, laissant apparaître un oiseau en origami posé sur sa tête. Il lui donna en lui chuchotant, d'un ton apaisant, de ne pas s'inquiéter; que quoi qu'il arriverait, il serait toujours auprès d'elle, d'une manière ou d'une autre. Helene le serra dans ses bras. Soudain, dans ce paysage sordide, je vis apparaître ce maudit train, je fondis en larmes. Eliote me pris à son tour dans ses bras. J'aurais voulu que ce moment dure éternellement... puis il me baisa la joue. Enfin, l'heure de partir était arrivée; lui lâcher la main fut pour moi un véritable déchirement, et ma tristesse se transforma en un profond désespoir. J'ai regardé le train s'éloigner jusqu'à ce qu'il disparaisse totalement.
    En rentrant chez moi, je mis quelques minutes avant de réaliser que mon mari était parti et ne reviendrait peut être jamais... il était à peu près 12h35, et comme je n'avais pas faim, je laissais ma fille manger seule dans la cuisine. Je repensais alors à la discussion avec mon mari; risquer sa vie pour quelques petit franc en plus, cela revenait au principe d'un "piège à souris": risquer de mourir pour un petit bout de fromage.
    Pendant des semaines, je recevais des lettres d' Eliote, accompagnées d'un peu d'argent. Dans ses lettres, il me décrivait ses conditions de vie. Il habitais dans une petite maison délabrée d'une seule pièce. Elle était à peine chauffée, avait un petit lit, une table, deux chaises et un meuble où l'on mettait la vaisselle et la nourriture (souvent absente) et enfin une gazinière défectueuse. Il me parlait aussi de son travail. Le matin, il devait se lever à 4h30 au plus tard,pour partir à 5h00, marcher plus d'une demi heure pour atteindre le chantier. Une heure de pause était autorisée vers 12h15, et plus aucun arrêt jusqu'à 21h45. Tous ces efforts pour seulement 1,20 franc par jour!!!
  Eliote endura ce calvaire pendant plus de cinq mois, avant de trouver la mort, écrasé par un amas de rochers. Aujourd'hui, nous voici encore seules ma fille et moi, mais cette fois, c'est sûre, à tout jamais.
26. Le 05 janvier 2015, 19:51 par Sterenn

Les familles heureuses se ressemblent toutes ; les familles malheureuses sont malheureuses chacune à leur façon. C’était un matin glacé de décembre 1943, dans une gare près de Paris, il faisait sombre et la gare était effrayante il y avait du bruit. Pierre avait 20 ans, il était à l’ordinaire un jeune homme joyeux mais depuis que la guerre a éclaté il a changé cette guerre a éveillé en lui une colère inexplicable. Pierre voulait un monde de justice ou les guerres n’existent pas. C’est pour pouvoir continuer sa lutte contre l’Allemagne nazie qu’il doit désormais quitter Paris. Pierre attend donc un train pour partir en France libre, il était accompagné par sa mère Madeleine, elle a 42 ans et est institutrice, et par sa petite sœur Lucie. Lucie avait 7 ans elle a du mal à comprendre tout ce qui se passait autour d’elle, de multiples questions lui traversaient l’esprit mais Lucie n’osait pas les poser. Pour essayer de mieux comprendre Lucie observait le visage de sa mère et il lui semblait apercevoir dans l’ombre qu’une larme tombait le long de sa joue. Lucie ne comprenait peut être pas pourquoi elle était là mais elle sentait que quelque chose allait se passer, cependant elle était loin de se douter que c’était la dernière fois qu’elle voyait son frère. Leur père avait été tue par les allemands au tout début de la guerre ce jour la Madeleine avait peur que son fils subisse les même sort funeste. Soudain le sifflement d’un train retentit dans la gare quelque minutes plus tard il monterait dans ce train et disparaitrait dans l’horizon. Sa mère éclata en sanglot. A ce moment elle ignorait si elle reverrait son fils un jour. C’est alors que le train arriva sur le quai, Pierre se pencha vers sa petite sœur et lui donna un oiseau en papier, il pencha son visage près de l’oreille de Lucie et lui chuchota ces mots :
« Cet oiseau est une colombe elle est le symbole de la paix garde la en souvenir de moi, j’en ai fait une deuxième identique à celle-ci je la garde avec moi je la mettrai dans ma poche comme ça tu seras toujours près de moi »
Maintenant Lucie comprenait ce qu’il se passait elle voyait son frère partir sous ses yeux et c’était d’une voix chancelante qu’elle lui répondit :
« Non Pierre reste avec nous ! »
Pierre lui sourit mais il avait le regard triste malgré tout, Lucie pleurait désormais. Pierre se tourna ensuite vers sa mère et la serra fort contre lui. Dans le creux de l’oreille il lui chuchota qu’il l’aimait du plus profond de son cœur et qu’il ferait tout pour revenir le plus vite possible. Les mots que Madeleine voulait lui dire ne pouvaient sortir de sa bouche tant le chagrin la dévastait. D’une main Pierre ramassa sa valise avec l’autre il tenait les mains de sa mère et de sa sœur, il regardait leur visage une dernière fois puis il ferma les yeux pour les mémoriser, le moment le plus difficile pour Pierre fut de lâcher leur mains puis de partir sans se retourner. Ce jour-là ce fut le déchirement d’une famille qui s’était déroulé dans cette gare. Pierre monta dans le train il choisit soigneusement sa place près de la fenêtre pour observer une dernière fois le monde qu’il s’apprêtait à quitter et regarder une dernière fois sa famille. Madeleine et Lucie restaient immobile sur le quai de la gare et avaient regardé le train s’éloigner jusqu’à ce qu’il disparaisse de l’horizon puis elles quittèrent la gare main dans la main plus démunies que jamais.

27. Le 05 janvier 2015, 20:18 par Landry

un homme et son chien
lors de notre première rencontrej'ai senti une grande clarté dans son regard. Moi c'est John et j'ai 10 ans je suis fils unique car mais me disent qu'ils n'ont pas vraiment le temps de s'occuper d'un autre enfant et en plus je n'ai pas d'amis. C'était un soir de Noël et il neigait beaucoup, j'admirais par la fenêtre le bonhomme de neige que j'avais fait avec mes parents, puis tout à coup je vis une étoile filante passer, alors je me suis souvenu avoir lu dans un livre qu'après avoir vu une étoile filante passer il fallait faire un voeu, alors je fis le voeu pour Noël d'avoir un meilleur ami sur qui je pourrais compter pour ne plus me sentir seul. L'horloge sonna, c'était l'heure d'ouvrir les cadeaux, devant le sapin je vis une très grosse boîte, j'accourus le plus vite que possible pour l'ouvrir, surpris à l'intérieur je vis un chien, un chien avec un regard dou comme une étoile, " Salut moi c'est John et je vais t'appelé Bobby" je le vis faire un très grand sourire donc ce nom devait lui plaire, "Nous serons les meilleurs amis du monde mais aussi inséparable". 10 ans passérent mais depuis le temps John et Bobby restèrent toujours ensemble, ils étaient liés comme des frères.
Cet j'étais allé à la plage avec Bobby, cependant Bobby était pas comme les autres chiens, il était unique toujours existé mais un peu derangé dans sa tête car de temps en temps il était foufou, mais qu'est-ce qu'on était bien tout les deux, je 'avait vraiment plus besoins d' autres choses a part lui, nous étions allongés le sable en observent l'immensité de la mer et du ciel, un magnifique bateau qui naviguait sur la mer des mouettes qui voulaient dans le ciel puis passa un couple, un couple d'amoureux et sur le coup je ne fus pas content, pourquoi peu être parce que je n'étais jaloux je ne sais pas, ce sentiment était comme un très grand mur inaccessible, moi qui pensais pouvoir être heureux qu'avec bobby j'ignorais beaucoup de choses et cela me rendis très triste.

28. Le 05 janvier 2015, 21:43 par guenard matiss 2nd1

Mon hirondelle
Toutes les familles heureuses se ressemblent mais, chaque famille malheureuse, l’est à sa façon la mienne, le sera bientôt…

Mes exploits et mon égoïsme nous ont menés à notre perte, et tout est de ma faute. Je me revois devant ce train, ma valise vide et mon esprit l’est aussi. Humilier aux yeux de ma famille, aux yeux du monde et seul derrière ces soldats.
La petite Lucie, mon hirondelle, si jeune et si innocente devant tant de cruauté. Je m’en veux de ne pas pouvoir te cacher de ses horreurs ; Cette petite était bien trop jeune pour comprendre, mais je vois bien, dans son visage la tristesse mélancolique. Cependant, le peu de joie que je lis en elle, me fait reprendre le sourire, car dans ses mains se trouve ; son compagnon ; notre ciment. Cette cocote en papier qui nous représentait !
Dans ma valise, il n’y a pas que du vide et du désespoir, il y a du regret et du chagrin car, à coté de ma Lucie…ma femme et mon fils y sont manquant ! Ou sont t-ils ?... dans ma valise…. ?

Le 24 décembre à Varsovie dans ma belle maison, peut esthétique mais belle à nos yeux, était notre havre de paix. Juste à coté, un lac, que nous surnommions « le Magistral » dû à sa grandeur et sa clarté étrange. C’était un lac vivant, c'est-à-dire qu’il y avait des oiseaux qui venaient y boire de l’eau. En temps de guerre l’eau était rarement potable en milieu naturel. Ces nazis ! nous mettaient des produits chimiques dans l’eau pour nous obliger à rejoindre la ville, et pouvoir nous « contenir » disaient-ils.
Cette nuit là, Lucie n’arrivait pas à dormir, encore une de ses fièvres agitées. Nous ne savions plus quoi faire avec ma femme, elle avait été infirmière et disait ne pouvoir rien y faire. Le médecin était passé de « l’autre coté », il avait été dénoncé comme passeur de l’autre coté de la frontière. Il ne pût jamais revenir sous peine de se retrouver à Birkenau.
Ma Lucie ne dormit guère, il était bien tard pour une jeune fille, et son état commençait à s’aggraver. J’avais un salaire de misère mais je savais travailler de mes mains. J’étais une sorte d’artisan et j’utilisais ce talent pour confectionner une petite cocote en papier qui était censée représenter une hirondelle . Je m’y repris à deux fois avant d’avoir un résultat correct, et je la donna à ma fille. Après l’avoir soigneusement observé, elle s’endormit avec sa cocotte.
J’en avais profité pour aller voir mon petit Thibault qui n’était pas couché, il regardait les astres, et il était persuadé que le futur pouvait se lire dans les planètes et les étoiles. Thibault jouait comme les enfants de son âge à des jeux peu constructifs, mais c’était un enfant intelligent du haut de ses 12 ans.
Il avait compris, après son arrestation par la police allemande, qu’il ne serait jamais en paix ; tant qu’il avait son étoile jaune sur sa carte d’identité. Le jeune sot jouait avec des enfants Ariens près d’un parc public. Il en avait eu tellement peur, qu’il ne parla plus pendant trois jours.
Je devais intervenir ! L’avenir de ma famille était en jeu. J’avais changé de nom et changer de papier, grâce à mon ami qui était imprimeur. J’étais intervenu, c’était un cas d’urgence, je voulais un bel avenir pour mon fils, il avait de belles ambitions et personne ne devait l’en empêcher de se réaliser !

L’occupation était de plus en plus pesante à cause de notre religion, nous n’avions accès qu’a peu de droits et je n’avais pas assez d’argent pour payer un passeur et quitter ce pays. Nous étions coincés par ces nazis et puis, quoi que nous aurions essayé, les SS nous aurais retrouvé et déporté. Mais, si seulement j’avais su… Deux mois plus tard, les SS sont devants ma porte et me laisse deux heures pour faire nos valises. Nous étions déportés dans des régions éloignés avec des juifs, que de juifs. J’ai essayé de négocier, de leur dire que m’a femme et mon fils n’étaient pas revenus. Mais ils me répétaient des mots allemands tout en se fâchant. Des mots que je ne comprenais pas. Ils m’ont emmené de force avec ma fille sur le champ ! Je n’avais aucun moyen de prévenir ma femme pour qu’ils nous rejoignent et puis j’avais eu des échos de ce qui ce passait là bas, et j’aurais même préféré qu’ils ne me suivent pas. Les SS avaient découvert, par je ne sais quel moyen, ma supercherie avec nos noms. Ma fille apeurée se mit à pleurer. Je ne su quoi faire donc je lui reconfectionna une nouvelle cocote avec un mouchoir en tissu. J’avais honte d’avoir laissé Thibault et ma femme seuls mais, je savais que où elle était, elle serait en sécurité.
Les jours étaient longs et mon ancien ami imprimeur, celui qui m’avait fourni les faux papiers nous avait rejoints, à deux kilomètres de là où nous étions.
J’allai à sa rencontre. A ma vue, il sombra dans un chagrin incontrôlable. Il me jetait toutes ses excuses, toutes ses condoléances et je m’arrêtai net ! Je lui demandai de répéter. Il m’apprit que ma maison avait été brulée le soir de mon départ avec ma femme et mon fils à l’intérieur. Il me raconta, dans ses larmes, que mon fils s’en était sorti de justesse ;Thibault avait un objet quasi carbonisé dans les mains, mais qu’il était retourné immédiatement dans la maison courageusement pour sauver sa mère…. mais il ne le revit pas sortir. Mon ami, effondré, sorti de sa mallette la cocote en papier que mon Thibault avait sorti des flammes. Je pris la cocotte et je tombai dans un coma si profond, que l’on me réveilla 2 mois après.
Sur un lit d’hôpital, rafistolé par des médecins, auprès de ma Lucie avec sa cocotte dans les mains, j’avais du mal à reprendre mes esprits. Etais-ce un rêve ? Non ! juste un cauchemar interminable. Lucie ! Comment vais-je dire à ma Lucie que sa mère est décéder ?
Je me précipite voir mon ami, j’aimerais connaitre les détails, pour pouvoir faire mon deuil. J’aimerais savoir ce que mon fils a dit, ces moindres mots, ces expressions..Je veux tout savoir ! Mais, sur place, plus personnes. Le néant !
Ce quartier a été déporté à Auschwitz, encore ces allemand je ne peux plus m’écraser je dois agir. Je vais voir le commandant allemand, d’un pas ferme. J’arrive avec ma fille et à mes cotés, puis avec des juifs tout autant révoltés que moi, suite aux conditions d’hygiène déplorable. Devant nous, trois soldats. Nous hurlant dessus de manière incompréhensible. Nous forçons le passage et tout ce passa très vite. Deux pas en arrière des soldats, et en moins de deux seconde, nous sommes à genoux avec des cannons de fusils sur la tête. Je regarde autour de moi et ma fille n’est pas à mes cotés. Les Allemands notes notre immatriculation , mais pas celui de ma fille , et ils nous relâchent avec un coup de pied dans les mollets .
Dans ma maison Lucie et ma sœur, Adelaïde que je n’avais pas vue depuis ses études de droit. Je vais la voir et je la serre dans mes bras puis, je lui glisse à l’oreille que, si Lucie devenait orpheline, j’aimerais qu’elle soit là pour ma fille. Elle acquiesça avec un sourire en coin. J’ai vite compris que j’étais dans les prochains à partir pour Auschwitz. J’avais provoqué les soldats allemands et ils avaient trouvés une sentence. Cela arriva plus vite que prévu. 2 semaines après mon altercation, j’ai été réveillé par les allemands aux alentours de 6h du matin. Ils me préparent mes affaires en moins de 5 minutes. J’avais eu échos de ce qui s’y passait, mais je ne pense pas que cela soit possible. Vient, ce moment cruel ! Qui m’arrache le cœur. Ces deux derniers mois ont fait grandir Lucie d’au moins 3ans. Elle comprend tout, et j’en suis presque content. Plus tard, elle sera que son père l’aimait.
Je lui donne sa cocote et elle pleure, je ne peux plus retenir mes émotions.
Je monte dans se train, obscure, qui n’inspire que la mort. Forcé, je monte dedans et je prends ma place, si on peut appeler cela des places. « 5 heures de train » c’est exactement le temps que j’ai besoin pour écrire c’est quelques phrases sur mon journal.
« Je pense à vous Lucie, Thibault et toi ma femme Martina ».
Gabriel.

29. Le 05 janvier 2015, 21:46 par guenard matiss

Mon hirondelle
Toutes les familles heureuses se ressemblent mais, chaque famille malheureuse, l’est à sa façon la mienne, le sera bientôt…

Mes exploits et mon égoïsme nous ont menés à notre perte, et tout est de ma faute. Je me revois devant ce train, ma valise vide et mon esprit l’est aussi. Humilier aux yeux de ma famille, aux yeux du monde et seul derrière ces soldats.
La petite Lucie, mon hirondelle, si jeune et si innocente devant tant de cruauté. Je m’en veux de ne pas pouvoir te cacher de ses horreurs ; Cette petite était bien trop jeune pour comprendre, mais je vois bien, dans son visage la tristesse mélancolique. Cependant, le peu de joie que je lis en elle, me fait reprendre le sourire, car dans ses mains se trouve ; son compagnon ; notre ciment. Cette cocote en papier qui nous représentait !
Dans ma valise, il n’y a pas que du vide et du désespoir, il y a du regret et du chagrin car, à coté de ma Lucie…ma femme et mon fils y sont manquant ! Ou sont t-ils ?... dans ma valise…. ?

Le 24 décembre à Varsovie dans ma belle maison, peut esthétique mais belle à nos yeux, était notre havre de paix. Juste à coté, un lac, que nous surnommions « le Magistral » dû à sa grandeur et sa clarté étrange. C’était un lac vivant, c'est-à-dire qu’il y avait des oiseaux qui venaient y boire de l’eau. En temps de guerre l’eau était rarement potable en milieu naturel. Ces nazis ! nous mettaient des produits chimiques dans l’eau pour nous obliger à rejoindre la ville, et pouvoir nous « contenir » disaient-ils.
Cette nuit là, Lucie n’arrivait pas à dormir, encore une de ses fièvres agitées. Nous ne savions plus quoi faire avec ma femme, elle avait été infirmière et disait ne pouvoir rien y faire. Le médecin était passé de « l’autre coté », il avait été dénoncé comme passeur de l’autre coté de la frontière. Il ne pût jamais revenir sous peine de se retrouver à Birkenau.
Ma Lucie ne dormit guère, il était bien tard pour une jeune fille, et son état commençait à s’aggraver. J’avais un salaire de misère mais je savais travailler de mes mains. J’étais une sorte d’artisan et j’utilisais ce talent pour confectionner une petite cocote en papier qui était censée représenter une hirondelle . Je m’y repris à deux fois avant d’avoir un résultat correct, et je la donna à ma fille. Après l’avoir soigneusement observé, elle s’endormit avec sa cocotte.
J’en avais profité pour aller voir mon petit Thibault qui n’était pas couché, il regardait les astres, et il était persuadé que le futur pouvait se lire dans les planètes et les étoiles. Thibault jouait comme les enfants de son âge à des jeux peu constructifs, mais c’était un enfant intelligent du haut de ses 12 ans.
Il avait compris, après son arrestation par la police allemande, qu’il ne serait jamais en paix ; tant qu’il avait son étoile jaune sur sa carte d’identité. Le jeune sot jouait avec des enfants Ariens près d’un parc public. Il en avait eu tellement peur, qu’il ne parla plus pendant trois jours.
Je devais intervenir ! L’avenir de ma famille était en jeu. J’avais changé de nom et changer de papier, grâce à mon ami qui était imprimeur. J’étais intervenu, c’était un cas d’urgence, je voulais un bel avenir pour mon fils, il avait de belles ambitions et personne ne devait l’en empêcher de se réaliser !

L’occupation était de plus en plus pesante à cause de notre religion, nous n’avions accès qu’a peu de droits et je n’avais pas assez d’argent pour payer un passeur et quitter ce pays. Nous étions coincés par ces nazis et puis, quoi que nous aurions essayé, les SS nous aurais retrouvé et déporté. Mais, si seulement j’avais su… Deux mois plus tard, les SS sont devants ma porte et me laisse deux heures pour faire nos valises. Nous étions déportés dans des régions éloignés avec des juifs, que de juifs. J’ai essayé de négocier, de leur dire que m’a femme et mon fils n’étaient pas revenus. Mais ils me répétaient des mots allemands tout en se fâchant. Des mots que je ne comprenais pas. Ils m’ont emmené de force avec ma fille sur le champ ! Je n’avais aucun moyen de prévenir ma femme pour qu’ils nous rejoignent et puis j’avais eu des échos de ce qui ce passait là bas, et j’aurais même préféré qu’ils ne me suivent pas. Les SS avaient découvert, par je ne sais quel moyen, ma supercherie avec nos noms. Ma fille apeurée se mit à pleurer. Je ne su quoi faire donc je lui reconfectionna une nouvelle cocote avec un mouchoir en tissu. J’avais honte d’avoir laissé Thibault et ma femme seuls mais, je savais que où elle était, elle serait en sécurité.
Les jours étaient longs et mon ancien ami imprimeur, celui qui m’avait fourni les faux papiers nous avait rejoints, à deux kilomètres de là où nous étions.
J’allai à sa rencontre. A ma vue, il sombra dans un chagrin incontrôlable. Il me jetait toutes ses excuses, toutes ses condoléances et je m’arrêtai net ! Je lui demandai de répéter. Il m’apprit que ma maison avait été brulée le soir de mon départ avec ma femme et mon fils à l’intérieur. Il me raconta, dans ses larmes, que mon fils s’en était sorti de justesse ;Thibault avait un objet quasi carbonisé dans les mains, mais qu’il était retourné immédiatement dans la maison courageusement pour sauver sa mère…. mais il ne le revit pas sortir. Mon ami, effondré, sorti de sa mallette la cocote en papier que mon Thibault avait sorti des flammes. Je pris la cocotte et je tombai dans un coma si profond, que l’on me réveilla 2 mois après.
Sur un lit d’hôpital, rafistolé par des médecins, auprès de ma Lucie avec sa cocotte dans les mains, j’avais du mal à reprendre mes esprits. Etais-ce un rêve ? Non ! juste un cauchemar interminable. Lucie ! Comment vais-je dire à ma Lucie que sa mère est décéder ?
Je me précipite voir mon ami, j’aimerais connaitre les détails, pour pouvoir faire mon deuil. J’aimerais savoir ce que mon fils a dit, ces moindres mots, ces expressions..Je veux tout savoir ! Mais, sur place, plus personnes. Le néant !
Ce quartier a été déporté à Auschwitz, encore ces allemand je ne peux plus m’écraser je dois agir. Je vais voir le commandant allemand, d’un pas ferme. J’arrive avec ma fille et à mes cotés, puis avec des juifs tout autant révoltés que moi, suite aux conditions d’hygiène déplorable. Devant nous, trois soldats. Nous hurlant dessus de manière incompréhensible. Nous forçons le passage et tout ce passa très vite. Deux pas en arrière des soldats, et en moins de deux seconde, nous sommes à genoux avec des cannons de fusils sur la tête. Je regarde autour de moi et ma fille n’est pas à mes cotés. Les Allemands notes notre immatriculation , mais pas celui de ma fille , et ils nous relâchent avec un coup de pied dans les mollets .
Dans ma maison Lucie et ma sœur, Adelaïde que je n’avais pas vue depuis ses études de droit. Je vais la voir et je la serre dans mes bras puis, je lui glisse à l’oreille que, si Lucie devenait orpheline, j’aimerais qu’elle soit là pour ma fille. Elle acquiesça avec un sourire en coin. J’ai vite compris que j’étais dans les prochains à partir pour Auschwitz. J’avais provoqué les soldats allemands et ils avaient trouvés une sentence. Cela arriva plus vite que prévu. 2 semaines après mon altercation, j’ai été réveillé par les allemands aux alentours de 6h du matin. Ils me préparent mes affaires en moins de 5 minutes. J’avais eu échos de ce qui s’y passait, mais je ne pense pas que cela soit possible. Vient, ce moment cruel ! Qui m’arrache le cœur. Ces deux derniers mois ont fait grandir Lucie d’au moins 3ans. Elle comprend tout, et j’en suis presque content. Plus tard, elle sera que son père l’aimait.
Je lui donne sa cocote et elle pleure, je ne peux plus retenir mes émotions.
Je monte dans se train, obscure, qui n’inspire que la mort. Forcé, je monte dedans et je prends ma place, si on peut appeler cela des places. « 5 heures de train » c’est exactement le temps que j’ai besoin pour écrire c’est quelques phrases sur mon journal.
« Je pense à vous Lucie, Thibault et toi ma femme Martina ».
Gabriel.

30. Le 05 janvier 2015, 22:02 par Lea martin

Le depart,
Nous voici encore seuls.tout cela est si lent,si lourd, si triste...cette nuit la qui devrait etre un evenement particulier pour n'importe quel enfant mais qui pour moi etait devenu routinier, je regardais mon pere. Une fois de plus il se voyait oblige de nous quitter pour aller travailler. Mon papa etait commandant dans l'armee de Terre c'etait pour cette raison qu'il etait oblige de partir en intervention cette la en Israël. La bas la guerre etait declaree et la violence etait omnipresente. Mon papa risquait sa vie chaque jour. Alors cette nuit la, je l'accompagnais a la gare. Je me souviens, je lui serrais la main de toutes mes forces afin que nos deux mains ne soient pas separées. Quand nous fûmes arrives sur le quai de la gare, mon pere s'agenouilla afin d'etre a ma hauteur et me dit des mots doux. Puis il souleva son chapeau et je vis sur sa tete un oiseau en papier. Papa savait que j'aimais beaucoup les origamis, il trouvait toujours le moyen de me faire sourir. Alors je pris l'oiseau que papa m'avait offert, ceci faisait plaisir mais n'enlevait pas de ma tête l'idée que papa partait pour une duree de temps indefinie. Je renerciai papa et il me prit dans ses bras, il me serrais si fort que je sentais sur mon thorax les battements de son coeur. Puis vint le tour de ma maman, , elle pleurait avant meme que papa lui ai dit aurevoir. Elle essayait tant bien que mal d'essuyer ses larmes qui coulaient a flots. Mamansit aurevoir a papa et lui balbutia quelques paroles a l'oreille. Maman avait les yeux brillants et le regard vide. Peinee et attristee par le depart de papa elle regardait le sol. Pourtant ma maman etait une battante, une femme forte mais le depart de mon pere lui faisait perdre tous ses moyens. Le train arriva sur le quai et c'etait le moment pour papa de monter dans le train. Maman et moi lui tenions la main mais lorsque les portes se fermerent papa lacha nos mains. A ce moment ci, une sensation horrible parvient a moi, je sentais ma gorge se serrer. Je je ne sais pas pourquoi a chaque depart de mon papa jetais dans de tels etats surement parce que Jean un camarade de classe m'avait dit : "tu sais Anne mon papa etait militaire, il partait souvent en interventions mais revenait toujours et puis le jour de mon huitieme anniversaire ou il devait etre present il n'est jamais revenu". A chauque depart cette phrase tournait en boucle dans ma tete. Je voyais le train s'eloignait de plus en plus,mon pere nous faisait des signes. Plus le train s'emoignait plus je pleurais ... Je preferais autant pleurer que me retenir car quand nous ne vimes plus le train, comme a chauque fois il n'y avait pas un bruit juste celui de nos pas. Et moi je pensais a mon pere et je me damandais s'il reviendrait ar la date de mon huitieme anniversaire approchait...

31. Le 05 janvier 2015, 22:04 par Romain G.

Le jugement

     J'avais 20 ans, lui 22. Je ne laisserai personne dire que c'est le plus bel âge de la vie. Nous étions seuls, il me raccompagnait chez moi. A peine arrivés sous sa fenêtre, j'entendis mon père râler, sûrement à cause de mon ami. Avant de nous séparer, il me regarda dans les yeux et me dit:

-"Ta chevelure est magnifique, et aussi orange que les feuilles automnales".
En entendant cela, je lui souris, mais je sentais, je ne sais comment, la colère de mon père, et, me souvins de ses yeux rouges aussi flamboyants que la braise, de sa peau grise comme la cendre. Mon père, venons en à lui, ce n'était pas un humain ordinaire, d'ailleurs, je pense qu'il n'en n'étais pas un. C'était le seul de la ville à ne jamais sortir, le seul à ne parler a personne sauf à moi, et surtout le seul à pouvoir manipuler des objets sans les toucher. En y repensant, cela ressemblait à de la magie, de la magie noire, comme je l'ai vu dans les films de sorcellerie, comme Percy Jackson ou Harry Potter. Mais à l'époque, pour moi, tout ceci était normal. En entrant chez moi, mon père m'attendait sur le seuil de la porte du salon et me dit de le suivre, ce que je fis, je m'attendais à ce qu'il me fasse la morale comme à son habitude quand il me voyait rentrer, accompagnée d'un garçon. La dernière fois qu'il me fit la morale, il avait fini en me disant que ce serait la dernière. Evidemment, pour moi ce n'était que des paroles en l'air. Je m'attendais une fois de plus à ce que mon père s'installe confortablement sur "son fauteuil", ce fauteuil qui a l'air plus vieux que lui, d'ailleurs personne à par lui et lui seul ne peut s'asseoir dessus. Mon père contrairement à son habitude traversa la pièce sans s'asseoir sur son fauteuil. Il se dirigea sans s'arrêter à la porte de la cave et l'ouvrit. Cette cave je n'ai pas l'autorisation d'y accéder, depuis 20 ans je n'en connais que la porte.

Il descendit le premier, moi, je ne bougeais plus. Mon père qui avait disparu dans l'obscurité qui m'était familière et inconnue à la fois m'appela à ce moment, je commençais à transpirer, à trembler, en me demandant pourquoi? Pourquoi il me demandait de descendre dans cette cave après 20ans d'interdiction, qui ou quoi était en bas?
Je descendis et vis sur ma droite, une table en marbre blanc, avec mon père et 3 autres hommes, ces derniers avaient la peau grise comme père et le même regard rouge. Ce dernier me cria qu'aujourd'hui le conseil s'était réuni pour me punir, moi, que depuis plus 5 ans, j'avais l'interdiction d'être en compagnie d'homme, mais que j'en avais fait qu'à ma tête et ne l'écoutais pas, et il finit par dire:

-" Après discussion, le conseil et moi-même avons décidé de t'enfermer pour le restant de ta vie et l'éternité dans une enveloppe de pierre philosophale".
A ce moment là, il leva la main qui tenait une de ces pierres et la lança sur moi. Je pensais que ce n'était qu'un rêve, un mauvais songe et qu'il me suffirait de crier de peur pour me réveiller comme pour tous mes cauchemars, alors je me mis à crier mais cette fois j'étais toujours dans la cave avec la pierre qui tournoyait et se multipliait autour de moi et prenait la forme d'une couronne.
Petit à petit mon corps s'engourdissait. La sensation me faisait l'effet de tomber dans un lac gelé. Tout se figeait en moi… A la différence que les pierres étaient brûlantes. Si intense était la douleur, si désespérée j'étais, que des larmes coulaient inlassablement sur mes joues rosies.
Mon cœur se serra une dernière fois, mes yeux cherchant le regard de mon père pour l'implorer d'arrêter ce jeu cruel et insupportable. Mon visage se figeât dans un ultime effroi… Ultime effroi qui devait se répéter à l'infini, je continuerai à sentir, voir, entendre tout ce qui se passait et se passerait autour de moi, je sentais mon cœur battre, mais aucun mouvement ne seraient dorénavant possible.

32. Le 05 janvier 2015, 22:18 par Julia

l'ai donc enlevée de sous mon oreiller pour la mettre discrètement dans le grenier. Le grenier se trouve juste a au dessus de ma chambre. Je me suis couchée et le mal de tête est apparut mais j'ai résisté, j'avais besoins de savoir si je pouvais restée loin d'elle même si au fond de moi je connaissais la réponse: c'était impossible. J'essayais donc d'oublier cette terrible migraine et j'entendais un bruit en haut, la pierre tremblait, cette torture a durée pendant plus de trois heures et s'empirait jusqu'au moment ou les voix sont apparues et m'ont clairement ordonnées d'aller chercher la pierre et j'ai craquée la souffrance était insupportable. Dans la seconde ou j'ai prit la pierre la douleurs et les voix ont disparues. J'ai remise la pierre sous mon lit et je suis restée éveillée tout le restant de la nuit en me rendant compte de la bêtise que j'avais faite en prenant cette pierre dans le parc à Paris. Ma conclusion de cette horrible nuit était claire : il était impossible de me séparée de cette pierre. Et il me faut absolument trouver un endroit sur pour la cachée car ma vie est maintenant liée à cette pierre.

         Lundi 26 mars 2015
         Aujourd'hui je suis allée en cours ; je n'ai jamais été aussi mal. Je n'ai pas eu d'autre choix que de prendre la pierre avec moi dans mon sac. J'avais la hantise qu'on me la vole ou bien qu'elle tombe de mon sac. J'ai l'impression d’être observée, suivie. Je vis un véritable cauchemar depuis que je suis rentrée on se croirait dans un film. Je suis toute seule à la maison, il est vingt heures et une voiture aux vitres tintées qui m'est inconnue est stationnée devant la maison depuis que je suis rentrée et elle m’inquiète. Comment cette histoire va-t-elle se finir ? Va t-elle se finir un jour ? Je ne ressens aucune fatigue physique, je ne dors plus et n'en ressens pas le besoins mais psychologiquement je suis à bout de force. Je ne peux parler de cette histoire à personne,  je me sens terriblement seule, angoissée, terrifiée ; mon dieu dans qu'elle histoire me suis-je embarquée.

Mardi 27 mars 2015

         Ma sensation d’être espionnée et suivie n'était pas qu'une impression. La voiture qui était devant la maison hier soir était devant mon lycée. Un moment pour je ne sais qu'elle raison je me suis retrouvée seule dehors et des hommes sont sortis de la voiture et se sont dirigés vers moi; les voix sont venues et m'ont ordonnées de fuir et c'est ce que j'ai fais. Je ne sais pas ce que me veulent ces hommes mais quelque chose me dit que ce n'est rien de bon. Je m'éloigne petit à petit de mes amies et de Steven et par conséquent je me retrouve souvent seule. Je ne sais pour qu'elle raison mais la pierre m'éloigne de mes proches je le sens.

Mercredi 28 mars 2015

         Aujourd'hui je ne suis pas allée en cours. La présence de ces hommes me pétrifie de peur. Je me sens en sécurité nul part, aussi bien dehors que dans ma propre maison car dehors il y a ces inconnus et à l'intérieur il y a cette pierre. Je voudrais la détruire, qu'elle disparaisse de ma vie mais je ne peux pas. Ce matin, lorsque ma mère est partie travaillée j ai voulu mettre la pierre dans la cheminée ou il y avait du feu mais lorsque le pierre est tombée dans les flammes j ai du tout de suite la retirer car je brûlais moi aussi. La pierre et moi sommes liée par je ne sais quelle force et il m'est impossible de briser ce lien. Ma mère et mes amis pensent que je fais une dépression mais comment pourrais je leur expliquer ?

Demain je vais allée voir un psychologue avec ma mère j'espère qu'il trouvera une dépression comme ça je n'aurais pas trouver d excuses à mon comportement.

Jeudi 29 mars 2015

         Je suis en danger,  j'ai suis maintenant sur. Hier nous sommes partit à mon rendez vous et lorsque nous sommes rentrée la maison était en désordre, on a d'abord cru que nous avions été cambriolée mais aucun objets n'a été voler. La pièce qui a été le plus fouiller était ma chambre. Je n'ai nul doute les auteurs de cette effraction, c'est forcément les hommes. Heureusement que j'avais pris la pierre avec moi mais une chose auquel je n'avais pas pensée: mon journal. Tout est marqué ici, dieu merci qu'ils ne l'ont pas trouvé, il avait heureusement glissé derrière mon armoire. A présent je n'ai plus seulement peur pour moi mais aussi peur pour ma mère car j'ai eu l'idée de fuir mais qui sait ce qu'ils pourraient lui faire pour retrouver moi et la pierre. Il faut sue je trouve un moyen de partir d'ici sans mettre la vie de mes proches en danger. Si je pars il faut que personnes le sache et je n'ose pas imaginer a quel point je vais faire du mal à ma mère. Je dois inventer une histoire, une histoire d'amour peut etre que j'aurais rencontré à Paris, oui c'est une bonne idée je vais préparer mes valises et lui en parler dès ce soir et pour sa sécurité il faut que j'attire ces hommes loin d'ici. Ils reviendront dans la maison j'en suis sur donc je pourrais faire un lettre mise en évidence sur mon bureau destinée à ma mère et dire que je pars dans je ne sais qu'elle destination mais qu'ils me suivent. Je vais préparer mon plan et j'espère qu'il va marcher et que je vais partir au plus vite mais avant je veux voir une dernière fois mes amis et Steven car je ne sais même pas si je les reverrais un jour.

Vendredi 30 mars 2015

         Hier soir j'ai donc inventé une histoire à ma mère pour partir. Je lui ai dis que j'avais rencontré un garçon à Paris et que j'étais folle amoureuse de lui. C'est la raison de ma dépression, il me manque et j'ai besoin de le revoir, c'est pour lui que je veux repartir en France, je vivrais dans son appartement. Ma mère a cru mon histoire, elle était bouleversée mais aussi émue car c'est la première fois que je suis amoureuse mais elle trouvait que ça allait trop vite, bien sur je m'attendais à cette réaction mais j'ai réussi a la convaincre et de lui faire le moins de peine possible. Je peux donc partir le cœur légé sachant que ma mère me pensera heureuse et amoureuse à Paris. Il ne me manque plus qu'a préparer ma lettre destinée à ma mère et la laisser sur mon bureau en espérant que les hommes viendront et découvriront le mot. Je dirais dans cette lettre que je parts à Paris, pour toujours. Ma famille sera en sécurité loin de ces hommes et de cette terrible histoire.

Demain j'ai rendez vous avec Steven, je ne lui dirai rien, on se retrouvera comme à notre habitude derrière le mur. Il me manquera terriblement.

        Samedi 31 mars 2015
         Aujourd'hui j'ai vu Steven pour la dernière fois mais les choses ont mal tourné. Mes adieux étaient durs, il ne se doutait de rien et me promettait de venir à la maison demain après les cours. Il est partit en me laissant un simple petit baiser mais pour moi se fut le dernier et je le savais. Je me suis retrouvée seule derrière ce mur, je commençais à partir, quand soudain, les hommes qui me surveillent sont apparus, m'ont volé mon sac ou se trouvait la pierre et m'ont dit que jamais je n'aurais du toucher à cette pierre , que ma vie était maintenant terminée. A ce moment la je savais qu'il allait partir avec la pierre et donc qu'elle allait partir loin de moi et donc que j'allais mourir. L'un d'entre eux ma simplement dit « La curiosité est un vilain défaut », cette phrase m'a beaucoup marquée, c'était vrai, si seulement je n'avais pas été aussi curieuse rien de tout ça ne serrait arrivé.

Ils sont parti en voiture, je ne sais pas qui sont ces hommes, ils ont disparus avec la pierre et moi je me sens de plus en plus mal, la distance avec la pierre devient de plus en plus importante, je ne sais pas ce qu'il arrivera lorsque la distance sera trop importante.

Dimanche 1 avril 2014

         Je me sens de plus en plus faible, je pense que c'est bientôt la fin pour moi et cette histoire. Le seul regret est de ne pas connaître le mystère de cette pierre et qui étaient ces hommes. J'espère que ma famille va surmontée mon absence.

ROXANE

33. Le 05 janvier 2015, 22:19 par AlexandraB

L’envol.

C’était l’hiver.
L’aube commençait à luire. Rose se réveilla éperdument seul, elle regardait les étoiles vives brillées de sa chambre nue. Chaque étoile dont elle pouvait apercevoir, symbolisait un souvenir lié à son mari. Elle rejoignit sa fille, Louise, attristé du départ de son père, repensant à la veille.
Le jour d’avant, au bord de la ville, à l’aube naissante et encore grise de brume, tout était prêt pour le grand départ, laissant un vide immense au sein de la maison. La famille au complet marcha, leur regard fixé sur leur propre pas et leurs cœurs lourds remplis d’un sentiment de peine et de désespoir. Il y avait tellement de brouillard qu’on ne pouvait distinguer que quelques couleurs. Ils arrivèrent à l’endroit, un flot incessant de véhicules passait à toute vitesse sur cette route abimé par les nombreuses voitures qui demeuraient. Ils contemplèrent le spectacle dans cette nuit ardente. D’un côté de la route se situaient de vieilles bâtisses noircies par le gaz qui s’échappait des pots d’échappements des machines alentour, de l’autre, de belles habitations, dont les balconnières étaient fleuries de toutes sortes de pensés, plus belles les unes que les autres. Un bâtiment imposant se distinguait fortement, constitué de deux entrées surélevées par quelque marche. La famille au complet entra à l'intérieur, un immense hall carrelé aux couleurs blanchâtres et gris s’offrait à eux. Les pères achetaient des billets tandis que leur famille se réchauffait du froid hivernal. Après un court instant, Rose et sa petite famille sortirent.
Dehors, des bancs étaient parsemés de part et d’autre du quai. Une foule innombrable se déplaçait en toutes directions, l'esprit ennuagé d’inquiétude et d’anxiété. Sur ce quai s’entassaient d’ailleurs les bagages de ces hommes, leurs femmes et leurs enfants à leurs côtés attendant le train dans un silence traduisant leur tristesse et leur chagrin.
Sous cette vague d’esprit occupé, des bruits assourdissants s’emmêlaient. Les wagons arrivaient aussi vite qu’ils partaient, laissant échapper de la fumée prospérant dans la nature. Les familles riaient amer. Un homme se distinguait sur le quai, tenant de sa main droite un sifflet au son strident qui indiquait les départs des trains. Le paysage filait, tout était de plus en plus sombre laissant place à un sol tremblant. Rose et son mari tenaient les mains gelées de Louise qui analysait de ces petits yeux noisette, les moindres détails. Elle avait froid, malgré le manteau qu’elle portait et le joli bonnet fait de formes diverses et tricotées par les soins de sa grand-mère. Son visage était aussi pâle qu’une statue de cire et son regard était éteint. Son père, lui, portait un costume noir assorti à son chapeau. Il y sortit un oiseau en papier qu’il donna à sa fille bien-aimée. Elle était émerveillée et avait le sourire aux lèvres. Son père la prit dans ses bras, elle était aux oiseaux. Rose était ravissante et éblouissante de beauté. Elle pleurait à chaudes larmes et essuyait ses goutes blanches muni d’un mouchoir de soie à la main. Il la câlina et posa sur sa bouche un baiser très affectueux. Ce geste très spontané exprimait tant d’amour et de tristesse. C’était bientôt l’heure, l’heure où les pères partent laissant derrière eux un manque horrible. Un autre coup de sifflet retenti et une rangée d’homme s’approcha du wagon. Ayant déversé tout ce qu’il avait sur le cœur, le train arriva et il monta valise à la main. Ce dernier baisé, ce dernier touché, plus rien n’éclaira la gare. Le train s’était éteint comme s’éteint une chandelle dont on vient de souffler la flamme. Il était devenu un point noir sur l’horizon. Et l’obscurité sur le quai en fut plus profonde encore laissant place à un monde meilleur, plus loin, plus beau. Le père, cœur battant, partit à tout jamais.

34. Le 05 janvier 2015, 22:29 par Co Leen

C’était l’hiver, une nuit paisible où le ciel couvert de quelques nuages laissait voir cette lune, si belle et si pleine. Aucune étoile à l’horizon c’était une nuit d’hiver que l’on pourrait qualifier de nuit quelconque. Mais un évènement vient percuter cette tranquillité affolante, telle un cri dans un immense gouffre silencieux. C’était un homme, qui se précipitait dehors guettant le ciel comme un gardien vielle sur une prison. Il portait un chapeau, était vêtu d’un costume noir classe et de chaussure noire comme pour se rendre à une réception distingué. Il avait l’air d’avoir la trentaine. L’homme courrait aussi vite qu’il le pouvait, dans la ville encore endormie comme s’il voulait échapper à une bête terrifiante. Dans les petites ruelles couvertes de neige, ses mocassins s’enfonçaient peu à peu comme si à chaque pas qu’il faisait le sol se brisé sous ses pieds lourds. Les oiseaux affolés, divertis par l’arrivée étrange de passagers inconnus. Un objet les attirés c’était une immense boîte refermant dans ces entrailles, des nouveaux venus. C’est peut être cet objet si mystérieux que le jeune homme cherchait à rattraper. Cette boîte avait l’air de venir du ciel, comme un immense oiseau transportant des passagers. Une personne commençait à sortir de cet objet puis une deuxième. Une femme et un enfant. Elles avaient l’air tristes et perdues venant d’un autre monde et perturbées par quelque chose. Cette femme accompagnée d’une valise, était vêtue d’un long manteau et d’un tissu qui recouvrait ses cheveux, elle tenait par la main cette petite âme innocente, une petite fille qui avait l’air d’avoir vécue plusieurs misères. Un silence chaotique se faisait entendre quand soudain le fameux jeune homme apparu tout en criant :
<<Je suis là ! Hélène et Rose J’arrive ! >>
L’enfant et la femme qui entendirent leurs prénoms se retournèrent d’un coup sec et vif. Mais comment se connaissaient-ils. Soudain toute cette tristesse et cette peur que nous transmettaient l’enfant et la jeune femme disparue comme si le simple fait d’avoir reconnu la voix de l’homme les rassuraient. Un rayon de de soleil brilla soudain dans les yeux de l’enfant qui auparavant était terrassé, à la vue de l’homme. Ils avaient l’air de se connaître depuis des années. Peut-être revenaient elles au village et que le territoire avait tellement changé depuis leur départ quelles ne le reconnaissaient plus. Cette atmosphère lugubre disparue, la femme et l’enfant se lâchèrent toutes les deux et coururent aussitôt vers l’homme. Plus rien n’avait d’importance à ce moment précis, il pouvait y avoir n’importe qu’elle catastrophe rien ne pouvaient les atteindrent car ils étaient tous trois enfin réunit. Seul le réconfort des retrouvailles comptait pour eux. Mais plusieurs questions se posent à ce moment de l’histoire :
-D’où venaient elles et pourquoi cette enthousiasme lors de ces retrouvailles avec le jeune homme. Ne vous inquiétez pas, nous le découvrirons très bientôt. Aussitôt l’objet avait il déposait ces deux passagers il repartit comme il était venu, par le ciel emportant avec lui tous les oiseaux comme si il était l’un des leurs et aussi emportant cette tristesse qui régnait au début de leur arrivés des débuts hostiles.

35. Le 05 janvier 2015, 22:35 par Pauline

Douleur

Les familles heureuses se ressemblent toutes ; les familles malheureuses sont malheureuses chacune à leur façon. Cette famille qui n’était pas riche, qui n’était pas malheureuse, qui n’était pas brisée par la séparation et la guerre, avait son histoire. Cette fille, cette petite fille innocente ne savait pas, elle ne comprenait pas. On lui avait seulement dit qu’il partait, que l’homme qui l’avait élevé s’en allait. La petite Marie ne savait pas où ? Et pourquoi ? Son père adoré partait.
Ils étaient là, tous les trois, les mains entrelacées pour se réchauffer dans cet hiver glacé. Ils étaient sur le quai de la gare, au milieu de toutes ces familles qui elles aussi se séparaient, à attendre ce monstre à vapeur qui se fichait bien du chagrin qu’éprouvaient ces pauvres gens.
Cette machine sans cœur ne faisait qu’emmener des centaines d’hommes au combat sans remords. M. Havin devait embarquer dans ces wagons qui l’emmèneraient loin de tout ce qu’il était, de tout ce qu’il aimait. Marie et sa mère pleuraient, leurs sanglots étouffés par les bruits du train qui se rapprochait. Le père se pencha doucement vers sa fille en larme et sortit de son chapeau melon un origami en papier blanc. Celui-ci représentait un oiseau. M. Havin prit sa fille dans ces bras, comme si c’était la chose la plus importante à ses yeux et, dans le creux de son oreille, il lui chuchota :
- Cet oiseau que je t’offre représente la liberté. Aujourd’hui je pars me battre pour que toi et ta mère puissent retrouver cette liberté. Ne le perds jamais, il signifie beaucoup trop de choses. Garde le jusqu’à ce que je revienne.
Ils ne s’étaient toujours pas lâchés les mains et c’est ainsi que M. Havin sentit sa femme en larme, trembler. Il s’approcha d’elle et la serra dans ses bras aussi fort qu’il put jusqu’à l’étouffer. Il la serra tellement fort qu’on aurait pu croire que sa femme allait s’envoler. Il la regarda et l’embrassa le plus tendrement du monde. Elle pleurait toujours, elle ne voulait pas le laisser partir. L’homme dit doucement à sa femme :
- Prends soin de Marie. Ce sera peut-être et surement la seule chose qui te restera de moi alors fait en sorte qu’elle soit heureuse ! Toi aussi soit heureuse ! Je vous aime.
Et sur ces mots, ils se lâchèrent et M. Havin se dirigea vers les wagons. Le chef de gare sonnait déjà le départ. Tous les hommes embarquaient, au ralenti. Personne n’aimait la séparation. M. Havin se retourna une dernière fois pour voir ce qu’il allait quitter, pour graver dans sa mémoire cette image, la dernière qu’il verrait de sa femme et de sa fille. Celle-ci cria et voulut courir vers son père. Mais sa mère l’en empêcha car elle savait que Marie ne pouvait rien y faire. Elle avait peur de perdre sa fille dans ce labyrinthe qu’était la foule.
M. Havin monta une marche, puis deux, il avait embarqué, on ne le verra plus…
Dès que Marie perdit de vue le seul homme qu’elle connaissait, elle s’écroula par terre avec une telle force qu’elle entraina sa mère dans sa chute.
Avec un bruit terrible la locomotive démarra et tira derrière elle tous ces hommes qui allaient peut être mourir demain. Doucement, la machine s’éloignait avec un tel bruit qu’on aurait dit que le train avait été conçu pour masquer les cris de peur et d’angoisse des passagers.
Le monstre inébranlable et implacable disparut, ne laissant derrière lui qu’un long nuage de cendres et des milliers de cœurs brisés.

36. Le 05 janvier 2015, 22:37 par Léa c

Jusqu'au dernier instant.
Nous voici encore seules. Tout cela est si lent, si lourd, si triste... C'était l'aube. Ma mère m'avait mis ce joli bonnet qu'elle aimait tant, elle disait toujours qu'il me rendait encore plus jolie que je ne l'étais déjà. Il faisait très froid et je sentais déjà ce sentiment, ce sentiment de tristesse s'amplifier en moi. Il m’annonçait la séparation de ma famille, le départ de mon cher père. Je leva les yeux au ciel comme ci celui-ci allait m'apporter quelque chose de meilleur. J’espérai beaucoup mais en vain. Les larmes me montaient, je les sentis arriver jusqu'à mes petits yeux jusqu'à ce qu'à je fondis en larmes. Je mis ma tête dans mes bras, ma mère posa sa main sur mon épaule pour essayer de me réconforter tant bien que mal. Puis je leva la tête et je vis ce train, le train qui allait séparer notre famille que l'on avaient construit au fur et à mesure mais surtout avec beaucoup de joie et d'amour. Mon père posa sa main sur mon épaule, se baissa, il remarqua que je n'étais pas dans ma meilleure forme, et comme à son habitude, il décida de me faire sourire, de me changer les idées. Il savait toujours ce qu'il fallait faire. Il faisait des tours de magie avec ce petit oiseau qu'il avait fabriqué lui-même avec du joli papier. Je le pris dans mes petites mains, et ressentis tout l'amour que mon père avait mis dedans. Il s'agenouilla près de moi, et me glissa cette jolie phrase dans mon oreille "ma petite beauté,ton papa va s'en aller mais je reste au près de toi dans ce joli petit oiseau". Je me retourna et le pris dans mes bras, il m'avait rendu tellement heureuse à cet instant. D'un coup, on entendit un bruit, on se retourna, c'était le train,les portes venaient de s'ouvrir. Je me retourna et vis la personne la plus chère au monde pour moi, ma mère, fondre en larme dans ce joli morceau de tissu que mon père lui avait offert l'année précédente lors de son anniversaire. Mon père prit ma mère dans ses bras, lui fit un baiser sur la joue, lui disant qu'il reviendra dans quelques temps. C'était le moment, mon père monta dans ce train tout en nous donnant la main à toutes les deux . C'était une habitude, cela signifiait pour nous que nous étions uni, que l'on était une vraie famille. Mais la raison pour laquelle mon père partit fût plus forte que notre amour de famille quelque part même si au fond de moi je savais que cela était pour son travail, pour gagner un peu plus de sous pour qu'on ait une vie à peu près bien. A ce moment là,nos mains entrelacer se détachèrent. Le son du train retentit, me laissa figer. Il s'éloigna. Quelques secondes plus tard, le train n'était qu'une simple petite ombre qui s'éloignait de plus en plus de moi.

37. Le 06 janvier 2015, 13:39 par Tiffany

Au service de la Patrie

C’est l’hiver, un matin d’hiver glacial !
La petite Louise accompagne son père Joseph à la gare en compagnie de sa maman Yvonne. Il la tient par la main. Il part pour le front, en ce jour de décembre 1915. Il est mobilisé. Sa fille est tellement triste à l’idée de voir partir son père. Elle le regarde en levant sa tête, les yeux brillants, retenant ses larmes, angoissée.
Puis elle la baisse et regarde ses pieds, résignée mais pour bientôt montrer son visage empreint de colère retenue! Elle ne peut se résigner à voir son père s’en aller !
La famille arrive sur le quai au moment où la grosse locomotive fumante, tirant les wagons, entre en gare dans un vacarme assourdissant.
La scène est lugubre en ce matin gelé !
D’autres famille sont là, mais également des personnes seules pour qui ce train est aussi synonyme de peur, de départ vers l’inconnu, de départ vers l’enfer…
Joseph tourne Louise face à lui et pose ses mains sur ses épaules. La petite esquisse un sourire. Elle aime tant son papa !
Celui-ci ôte son chapeau et un origami, qu’il a fabriqué pour elle, apparaît. C’est si peu de chose mais cela représente tellement pour elle !
Joseph s’agenouille et Louise saisit l’oiseau de papier pour le tenir dans ses mains. Son père veut tellement faire plaisir à son enfant et c’est peut-être la dernière fois…..
Louise est ravie de ce cadeau qui est pour elle le plus merveilleux des présents et qu’elle gardera toujours.
Joseph serre sa fille chérie très fort contre son cœur, très ému.
Yvonne ne peut s’empêcher de pleurer et essuie ses larmes avec son mouchoir.
Sous les yeux de louise, Joseph étreint sa femme et la serre très fort dans des bras. Il lui dit à l’oreille qu’il les aime plus que tout, qu’il hait cette guerre et jure qu’il reviendra !
La chevelure d’Yvonne est ensevelie sous une écharpe telle un linceul qui fait penser à la mort, tout comme le froid de ce jour d’hiver et de départ, tout comme l’obscurité où est plongée la gare, tout comme le noir du ciel!
Tout trahit le désespoir, la fin!
Joseph demande à ses « deux femmes » de prier pour lui, de croire en son retour et surtout de ne pas l’oublier…
Joseph gravit les marches du wagon qui va l’emmener loin des siens, mais avant de se diriger plus avant, il tient les petites mains de sa fille entre une des siennes. Il emporte avec lui tout cet amour qu’il a pour elle et qu’elle a pour lui.
Louise ne veut pas que son papa s’en aille. Elle s’agrippe à ses doigts.
Mais, soudain, des coups de sifflet, le train commence à s’ébranler…..Joseph retire sa main des mains de Louise. Un immense chagrin submerge la mère et la fille (et Joseph aussi). C’est une déchirure.
Les wagons défilent maintenant devant elles.
Joseph est parti. Le dernier wagon est désormais dans leur champ de vision et bientôt, elles n’aperçoivent plus au lointain que la vapeur qui s’échappe dans l’air !
Le train est parti, Joseph disparaît, la longue attente commence…..

38. Le 06 janvier 2015, 15:24 par KalashKalash

Mon histoire

Ce soir là , j'étais avec mon meilleur ami...
Nous parlions tranquillement comme d' habitude . Nous avons entendu un bruit étrange, nous avons tout de suite pensés à un chat, rien de grave... Peu après, je lui ai évoqué le fait que plus tot dans la journée un jeune garcon m'avait demandé de sortir avec lui. Mon meilleur ami Thomas me demendit :
_Quelqu'un s'interesse à toi ! Mais il est fou ! Il y a que moi qui ai le droit de cela . De toute facon quelle etait ta reponse ?
_Je lui ai dit.. oui...
_Quoi ? Tu..
_Je rigole orrh calme toi dis donc !
Je fit un sourire de soulagement car je ne lui avait pas encore évoqué mes sentiments vis à vis d'elle.
Après elle me parlais de son père , elle me le décrivait comme très souffrant , au bord de la rupture avec sa mère .
J'étais malheureux pour elle et sa famille … Mais comme elle était très triste , j'ai profité de cette situation pour lui faire part de mes sentiments pour elle :
_Lucie , il faut que je t'avoue quelque chose.
_Oui quoi Thomas ?
_Euh … Voilà, je ressens plus que de l'amitié pour toi
_C'est …
Je ne puis dire cette phrase car j'ai été coupé par un nouveau bruit .
Ce bruit venait de derrière , là où on croyait avoir entendu un chat. Nous nnous sommes retournés et avons vu quatre personnes mais une paraissait plus enervée , il saisit une pierre rouge qui ressemblait à une pierre précieuse sur moi , mais celle ci ne m'atteint pas , ils saisissent plusieurs pierres et me touchèrent .. J'ai été gravement touché puis hospitalisé .

39. Le 06 janvier 2015, 20:57 par adrien

La liberté
Nous n'avons séjourné qu'un jour à la plage de Saint-Tropez mais il n'y avait aucun vacarne juste moi, Bobby et le silence qui régnait jusqu’à l'horizon. Se silence me fait rappeler ma vie avant que je trouve Bobby qui était laisser à l'abandon dans la rue mais maintenant je vois ses yeux illuminés de joie et de vivassité . Ah! c'était un bon séjour, un moyen de s'évader de la ville et de nous retrouver en plein air, la liberté prend tout son sens. Ca fait depuis trois mois que je ne suis pas partie en vacance avec Bobby. Et quand je voyais qu'il n'y avait plus personne, je sentais que ce séjour serait reposant et inoubliable. Ah!je me rappel encore quand je te lancais le bâton et après que tu me faisais courir, ces vacances n'étaient peut être pas de tout repos mais de l'exercice ne fait jamais de mal et quand je te voyais heureux, ca me rendait heureux aussi. Et heureusement que tu étais attirer pas le concert. Avec de la chance, le concert venait juste de commencer. J'avais jamais eu l'occasion, la motivation d,aller en ecouter; les seules musiques que j'écoutais c'était chez les amis de Georges.Ca me rappelle que je dois les inviter après ce séjour qui m'a donner la patate, une pêche d'enfer. Mais bon! il faut que je trouve de la musique mais j'ai tout mon temps. Il faut que je m'ouvre plus, chercher d'autre amis dans la ville, aller dans des bowlings; des concerts bref des activités qui pourraent moins me faire déprimer. Et aussi je dois faire plus de voyage, quitter la France pour aller au Etat-Unis, en Afrique du Sud, des endroits ou je peux me détendre, m'émerveiller devant des paysages et rencontrer aussi de nouveaux amis. Ca me rappelait qu' après le concert, avant de partir, on s'était assis, le vent caressent mes cheveux et toi mon petit chien tes poiles; moi regardant les mouettes qui vivaient et respiraient la liberté. Après, quand j'ai vu cet homme avec une femme, j'ai vu que le bonheur se partage toujours. J'ai beau avoir toi, mon petit Bobby, à mes côté mais un jour, malheureusement, tu me quitteras et je me retrouverai seul. J'ai besoin d'une personne pour partager mes moments heureux, partager mes aventures, de vivre avec mon âme sœur le reste de ma vie et aussi d'être père, d' élever mon enfant. Ah! espérons que ce moment arrivera et que ce moment ne sera pas trop long. Ce séjour m'a ouvert les yeux et un autre jour on reviendra a Saint Tropez pour plusieurs jours.

40. Le 06 janvier 2015, 21:02 par adina

C’était l’hiver. Oui, il faut le préciser, car c’est en cette froide saison que se déroulera mon récit. Ce fut par une furieuse journée d’hiver que tout commença. Une journée ou les rafales secouaient les arbres jusqu’à en rompre les branches ; un de ces implacables jours d’hiver qui rendent le foyer doublement chaleureux.

       Pour bon nombre des habitants qui peuplaient la ville, ce fut un jour ordinaire. Le boulanger se leva ce matin-là de la même façon que le matin précédant, suivi du carrossier, du pharmacien, de l’épicier et des écoliers qui faisaient cliqueter leurs patins sur le pavé humide. Mais bien qu’il semblât que toutes les maisons fussent désormais désertes, l’une d’entre elles ne demeura pas tout à fait vide, et ce jusqu’au soir. C’était au fond d’une impasse que se dressait cette habitation si froide et si solitaire, bien que la lueur vacillante d’un feu de cheminée projetât sur ses murs l’ombre d’un homme. Ses pavés désormais silencieux qui avaient autrefois porté les empreintes de quelques jolis souliers semblaient avoir perdu l’habitude des pas et même des regards. Un quelconque passant aurait sans doute jugé cette bâtisse abandonnée ; mais s’il s’était hasardé à regarder par l’une des fenêtres, peut-être aurait-il aperçu, non sans quelque effroi, une silhouette indéfinissablement sinistre.             
     Cette sombre forme était manifestement celle d’un homme, au vu des bras languissants qui gisaient le long du fauteuil dans lequel il était assis. Un feu éclairait la pièce, ou plutôt il en troublait l’obscurité, et aux crépitements sourds surgissant parfois de l’âtre se joignait la valse monotone et étouffée du vent qui rampait le long des murs. C’était une petite pièce, aux murs tapissés de lambris et au plancher nu. Au fond se trouvait une table entourée de chaises dont seules les formes étaient visibles dans l’obscurité croissante, et le mur de droite était garni d’une longue bibliothèque. Mais dans cette multitude d’objets qui, au fil des années et des évènements, constituent la chaleur d’un salon familial, un seul accaparait l’attention de l’unique occupant de la pièce. Ce n’était pas le gros vase aux couleurs exotiques qui ornait la table, ni les bibelots élégamment répartis au milieu des livres. 
     Ce n’était pas non plus la grande horloge du fond dont chaque battement retentissait en un sourd écho, ou encore la casserole négligemment posée dans une encoignure. Non, la chose sur laquelle étaient rivés deux yeux allumés par l’attente, la chose qui semblait projeter une lumière plus vive que le feu lui-même n’était autre qu’un cadre, disposé au-dessus de la cheminée. C’était la photo d’une jeune femme et d’une petite fille aux sourires éclatants qui auraient suffi à elles seules à raviver le bonheur dans le plus dur des cœurs, car rien ne se communique plus irrésistiblement qu’un sourire. Pourtant, ce furent les larmes les plus douloureuses qu’il eût jamais versées qui coulèrent sur le visage de Nicolas Cherbon tandis qu’il les regardait, et ses yeux se plissaient tant à la vue de ce cadre qu’il semblait fixer le soleil en pleine face. Il avait de beaux yeux sombres, dont la tristesse tremblante redoublait l’éclat, et un visage serein, d’une délicatesse féminine.  Il portait ce jour-là un costume noir qu’il venait d’acheter, mais pourtant il n’avait pas fait un pas dehors avec son complet neuf. Il attendait, depuis le matin, quelque chose qui suscitait en lui de telles émotions qu’il avait tantôt l’air de se cramponner aux accoudoirs pour ne pas se jeter hors du fauteuil et tantôt l’air d’un cadavre qui se serait oublié dans la chaleur du feu. Quel n’était pas mon bonheur il y a de cela un an! se disait Nicolas, lorsque autour de moi se trouvaient ces deux anges ! Vais-je jamais les retrouver ? ajoutait-il sans un cillement du regard qu’il tenait toujours fixé sur le cadre. 
    Ce fut donc avec un immense bonheur que M. Cherbon prit congé du dernier rayon de soleil qui se mourait au bout de la rue et qu’il salua les ombres indistinctes auxquelles donnait naissance la pâle lueur crépusculaire. Une heure se passa avant que son irrépressible besoin de mouvement ne fût soulagé et qu’il se ruât enfin sur la porte donnant sur la cour pavée. Il sortit en saisissant son chapeau noir et trotta plus qu’il ne marcha jusqu’à la grille du jardin. Une fois dans la rue, il observa la lune, qui, ayant terminé sa longue ascension parmi les hautes toitures, dominait la ville de son scintillement qu’interrompaient par intervalles les nuages. Les étoiles commencèrent aussi à briller, sans pour autant projeter de lumière sur le doute qui se promenait inlassablement dans l’esprit de Nicolas : Vais-je les retrouver ce soir ? Mais ses pensées se dérobèrent à l’examen de cette question tandis qu’il regardait les premiers flocons de la soirée tomber dans le plus grand calme et le plus apaisant silence. 
     Cependant il lui restait encore la moitié de la ville à traverser et, à en juger par l’allure rapide qu’il maintenait, il voulait y arriver au plus vite. Il avançait toujours en direction de la grande place, et il avait beau redoubler de vitesse, il semblait que l’humide froideur de la neige fût rivée à ses pieds. Il regarda sa montre, et dans un sursaut d’effroi reprit sa course à plus vive allure. De tous côtés s’étendaient une quantité de rues latérales, d’impasses et d’autres avenues sans nom, mais ses pas n’erraient pas au hasard, et on devinait qu’il avait suivi ce chemin déjà d’innombrables fois.  
     Lorsque M. Cherbon arriva, essoufflé, en vue de la cage de retour, les « oiseaux de malheur », comme il avait l’habitude de les appeler, étaient déjà là, occupés à lever sournoisement leur museau touffu vers le ciel comme pour étouffer les flocons de neige qui auraient le malheur de tomber dans leur sombre fourrure. Leur nombre croissait et ils s’amoncelaient autours de la cage, désormais cernée par la pression de leurs incessants piaillements. Cette espèce d’ascenseur était situé dans un coin reculé de la ville, un quartier où il y avait tellement peu de raisons d’être que les rues y menant étaient toujours désertes. Seule cette sombre place au-dessus de laquelle s’étendaient les voûtes noires des arbres recevait parfois des visiteurs. C’étaient ceux qui, comme M. Cherbon, attendaient dans l’angoisse l’heureux retour de leurs proches qu’on avait enlevés durant la guerre pour servir aux armées. Femmes, enfants et vieillards, jugés faibles, avaient été emmenés les premiers, tandis que ceux qui le pouvaient s’enfuyaient. Et c’est à cet ascenseur qu’étaient réduits les espoirs de Nicolas quant à revoir un jour sa femme et sa fille. 
    Les dimensions du susdit ascenseur ne dépassant pas les deux mètres, je laisse au lecteur le loisir de se figurer par lui-même l’étroit espace où étaient confinées les pauvres espérances de M. Cherbon. Pourtant, quelle que fût l’exiguïté dans laquelle subsistait miraculeusement le rêve qu’il avait de revoir Mme Cherbon et la petite Estelle, jamais il ne laissa périr cette flamme d’espoir qui répandait dans tout son être une si douce chaleur. Cette flamme dont les jets de lumière faisaient vivre immuablement jeunes et heureux ses deux anges. Cette flamme qui peignait dans les yeux de Nicolas un amour que ni l’immensité de la difficulté à vaincre ni l’incertitude ne suffisaient à étouffer. 
   Alors qu’il haletait toujours sous les coups des éléments qui se déchainaient dehors, un bruit l’arrêta. C’était un craquement rauque dont l’écho se perdait dans l’immensité des ténèbres, suivi d’un roulement de chaînes qui semblaient trainées contre une paroi. Soudain, quelque chose de bizarre, quelque chose qui ressemblait étrangement à un éclair parcourut les yeux de Nicolas. L’ascenseur s’ouvrit ; il n’en distinguait pas très bien la forme, mais elle était là et il le savait, vague, sombre, muette. Une seconde forme, suivie d’une troisième, se détacha de l’obscurité, comme mue par un mécanisme.
   Et soudain, brisant comme une vitre fêlée le morne et inquiétant silence qui régnait, un cri retentit. Non, ce n’était ni un « oh ! » ni un « ah ! ». Ce n’était pas un éclat de rire, ni un sanglot. Certainement, pour émettre un pareil cri, il aurait fallu que le cœur de M. Cherbon soit étreint par des cordes jusqu’à l’en déchirer. C’est alors qu’il les reconnut. Oui, c’étaient bien Jane et Estelle, c’étaient bien ses deux anges. Devant l’ascenseur se tenaient une femme et une petite fille du cœur desquelles il n’avait jamais disparu ; dans les yeux desquelles il apparaissait radieux de toutes les espérances que depuis si longtemps il entretenait recluses dans une cage de fer. Et tandis que les oiseaux de malheur s’envolaient effrayés, que la valise se déroba sous les doigts de Jane et que le chapeau de Nicolas s’envola, ce cri, si pénétrant et si fort, rompit une à une les barres de la cage. 
   Revenons à la sombre bâtisse et à la petite pièce solitaire qu’occupait M. Cherbon quelques heures auparavant. Marchons sur ces pavés autrefois silencieux, et laissons de nouveau errer nos regards du côté de la fenêtre ; c’est un tout autre spectacle qui s’offre à nos yeux. Mme Cherbon, assise aux côtés de son mari au coin de la cheminée, contemple d’un regard attendri sa petite fille. Cette dernière, le visage rayonnant et les joues empourprées par la chaleur, se tapit confortablement au fond du grand fauteuil de son père. Jane sourit, de son sourire éclatant que l’on connait bien. Il y a quelque chose de si naturel, de si confiant, de si innocent, dans sa façon de laisser Nicolas lui passer le bras autour de la taille… Que pour rien au monde, vous et moi ne voudrions interrompre cette tranquillité. 
    Et ce salon, si petit qu’il fût, était pour Nicolas tout l’univers, puisque Jane et Estelle s’y trouvaient.
41. Le 11 janvier 2015, 21:12 par Mme Baudry

Commentaire 40. Très bien. 18/20. O-)
Commentaire 39
Style trop familier. L'écriture n'est pas assez travaillée. 8/20
Commentaire 38
Pas assez de poésie dans l'écriture. La scène de lynchage manque d'approfondissement. 8/20.
Commentaire 37. Bon travail, très bien écrit. 16/20. 8-)
Commentaire 36
Travail sérieux. Des fautes de conjugaison sur le passé simple. 13/20. ;-)
Commentaire 35. Très bon travail. 16/20. 8-)
Commentaire 34
L'écriture est travaillée mais il y a des fautes de langue.14/20 ;-)
Commentaire 33
Travail sérieux et sensible. Quelques fautes de langue. 14/20. ;-)
Commentaire 32
Un texte qui est plus fantastique que polémique. Du coup, des éléments de la BD ne sont pas vraiment mis en valeur. 11/20.
Commentaire 31
Un texte au registre fantastique: on s'attendait davantage à un texte polémique. La condition de la femme et le mépris de sa liberté ne sont pas assez exploités. Cependant, un travail sur le style. 13/20 ;-)
Commentaire 30
Trop de fautes, qui gênent parfois la compréhension. Un texte qui manque un peu d'originalité par rapport au support et qui aurait pu être davantage poétique. 11/20.
Commentaire 29
Un ensemble qui manque de cohérence et qui se heurte au problème du hors sujet. Pourtant, du travail. 10/20
Commentaire 27

Le début paraît hors-sujet. Beaucoup de fautes de langue et un manque de soin dans la rédaction. 8/20

Commentaire 26.
L'utilisation des temps (présent/imparfait) est à revoir: on passe de l'un à l'autre sans logique. Un ensemble moyen. 11/20
Commentaire 25.
Le texte ne correspond pas strictement au support: il y a des débordements en amont et en aval. De plus, un mélange des registres (plutôt léger au début pour aller vers le tragique) difficile à cerner. 10/20.
Commentaire 24
Un manque d'originalité dans le contenu et dans l'écriture. 9/20.
Commentaire 23.
Très bien. 16/20. 8-)
Commentaire 22
Un texte dont l'écriture a été travaillé. Cependant, des fautes de langue nuisent à la compréhension. 13/20. ;-)
Commentaire 21
Un texte hors-sujet. Cependant, il y a eu du travail. 7/20.
Commentaire 20
Le passé simple à la première personne du singulier est à revoir. Texte cohérente mais sans grande recherche stylistique. 11/20.
Commentaire 19.
Un texte bien écrit malgré les fautes. La trame narrative n'est en revanche pas vraiment convaincante (surtout à la fin). 13/20 ;-)
commentaire 17
C'est dommage qu'il y ait tellement de fautes car le texte montre un effort d'écriture. 9/20.
Commentaire 16.
Du travail mais le texte reste trop sur un plan descriptif surtout vers la fin. Il aurait fallu davantage exploiter la psychologie et les sentiments des personnages. 13.5/20. ;-)
Commentaire 15
La première partie du texte est hors sujet. On ne comprend pas pourquoi le texte se passe dans le milieu professionnel. Une mauvaise compréhension du support. 8/20
Commentaire 14
Travail sérieux même si cela manque un peu d'originalité par rapport au support proposé. 14/20. ;-)
Commentaire 13
TB. Des idées très intéressantes, exprimées dans un style clair. 17/20. 8-)
Commentaire 11
Un texte cohérent mais qui manque de rigueur (des fautes) et d'approfondissement (le sentiment de jalousie opposé à la complicité avec le chien). 11.5/20
Commentaire 10
Un effort de travail. Des fautes de langue cependant. La référence au camp de concentration n'est pas vraiment fondée si l'on considère la BD. 11/20.
commentaire 9
Travail sérieux. On aurait pu donner au texte un registre plus poétique ou étrange en prenant davantage en compte tous les éléments de la BD. 12/20.
Commentaire 18
Point de vue de la mère. Une contextualisation assez intéressante même s'il reste des fautes. 14/20. ;-)
Commentaire 6
Un texte clair et bien écrit, qui manque cependant d'originalité par rapport à la BD.13/20. ;-)
Commentaire 4
Un bel effort de travail mais beaucoup de fautes! L'écriture manque de style poétique. Des incohérences et des anachronismes. 11/20.
Commentaire 2
Un texte bien écrit. Ecriture très travaillée. 16/20. 8-)
Commentaire 1.
Travail sérieux mais qui manque un peu d'originalité. 12/20.