Mise en scène de la scène d'exposition du Misanthrope.
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 02 mars 2015, 13:33 - Lien permanent
Vous allez assister à la représentation d'une pièce que vous connaissez. Les lumières s'éteignent progressivement. Vous découvrez alors l'espace scénique. Faites part de vos réactions, de cette expérience des premiers instants du spectacle. Attention, il ne s'agit ni de raconter, ni de résumer la pièce.
http://www.toutmoliere.net/acte-1,405469.html
https://www.youtube.com/watch?v=12twXcL58YA
Commentaires
Au début de la pièce , mes premières impressions sont ,la scène est simple le décor est très pauvre. Il n'y a que deux personnages sur scène, aucun figurants.
Pour commencer, je vois que les personnages ne sont pas habillés comme a l'époque de Molière mais là ils sont habillés en costard et cela me choque un peu. Je remarque aussi qu'il y a beaucoup d'espace sur la scène alors qu'il y a que deux personnages assis sur une chaise.
La scène est assez grande et spacieuse pour deux seuls personnages, elle permet aux acteurs de se déplacer librement.
Au niveau de la luminosité, de l'éclairage, il est assez sombre comme le sont les personnages et donne un sentiment d'être avec eux car l'ambiance mise en scène parait réaliste.
Sur la mise en place de la scène on peut distinguer Alceste avec un bouquet de fleur regardant sa montre à plusieurs reprise comme s'il attendait quelqu'un. Les humeurs et émotions sont beaucoup représentées grâce aux expressions du visage. Alceste fuit Philinte, dès ce moment on remarque alors le conflit;
Pour commencer les personnages ce suive assez rapidement sur l’entrée en scène. Les éclairage semble assez sombre comme les tenues des deux personnages. sur la scène il n'y a pas spécialement d'objet de décor, mais simplement deux chaises.
Je suis intriguée, intéressée, concentrée. Je veux savoir la suite. Je suis destabilisée par le langage utilisée mais l'ont s'habitue assez rapidement.
Cet acte du Misanthrope m'a surpris car je m'attendais à voir 2 hommes habillés avec d'anciens vêtements de l'époque. La gestuelle des deux personnages m'a paru étrange, la façon dont ils marchent ainsi que leurs façons de s'adresser à quelqu'un. le théâtre est bien plus compréhensible en le regardant qu'en le lisant. La scène me parait très grande.
Dès le début, on remarque dans le jeu des acteurs et notamment la façon dont Alceste s'écarte de Philinte que les deux protagonistes sont en conflit. Alceste regarde obstinément sa montre comme pour manifester son impatience. l'etat d'esprit des personnages se ressent sur le visage et les expressions des acteurs
tout d abord ma première réaction était de constater qu ils n avaient pour seul décore deux chaises et un bouquet de fleurs
Cette scène nous fait ressentir de l'insolence ainsi que l’agressivité envers les deux personnages.
tout d'abord le fait que les personnages portent des costumes modernes me choque car la pièce de molière n'est pas moderne et nous avions vue beaucoup de costumes d’époque dans certaines images du misanthrope .De ce fait leurs façon de parlais en langue plus ancienne ne s accorde pas avec leurs costume qui eux sont modernes .
Les expressions du visage des personnages permettent au spectateur de comprendre les pensées de celui-ci
On peut remarquer qu'Alceste tient un bouquet de fleurs. Il est seul sur la scène, assis. Philinte arrive lui aussi avec une chaise, on peut constater que leur relation n'est pas forcément amical ( tons des personnages)
En premier lieu, on appercoit un décor sombre et glacial qui fait trembler le spectateur, l’absence de lumière est horible . Cependant, on distingue deux personnages, dans un premier temps cote à cote puis précipitamment l’un d’eux provoque une distance qui laisse perplexe le spectateur ….
J'ai été surpris car je m attendais a une scène avec des décort de chateau
la scène st peut représentative du texte car le texte ne se trouve pas dans une salle remplit de personne mais dans une pièce de château.
de plus les terme employer par les deux personnage ne sont pas très compréhensible.
pronom "je" plus présent
des détails expliqués! pourquoi le bouquet de fleurs
l'expression des émotions du spectateur
plus d'éléments sur la mise en scène
Vous allez assister à la représentation d'une pièce que vous connaissez. Les lumières s'éteignent progressivement. Vous découvrez alors l'espace scénique. Faites part de vos réactions, de cette expérience des premiers instants du spectacle. Attention, il ne s'agit ni de raconter, ni de résumer la pièce.
http://www.bonjourdefrance.com/exer.
Dès le début, on peut constater que la lumière devient sombre pour nous plonger dans cette ambiance de conflit entre Alceste et Philinte. On peut entendre beaucoup de bruit avant que la scène commence. On peut voir que la scène est grande ce qui permet au deux personnages de bien marquer cette notion de conflit. Les personnages n'ont pas d'habits approprier a l'époque de Molière ce qui me choque.
tout d'abord je suis surprise par le décor dépouillé de la scène, uniquement deux chaises. Ensuite, la relation entre les deux personnages, Alceste et Philinte est intrigante: on se demande pourquoi une chose si anodine a engendré un conflit entre eux. pour moi, leurs costumes ne correspondent pas à ceux de l'époques et sont surprenants
J'ai une impression de grandeur voir même de vide grâce au miroir qui ce situe en arrière des personnages. Je trouve que grâce a la mise en scène et aux personnages les compréhensions est grandement faciliter. j'ai aussi le sentiment de me trouver dans la scène grâce au effet des caméra ainsi que leur différent plans. Et tout cela m'intrigue grandement et me donne envie de voir la suite de l'histoire et du débat entre les personnages. On ressent très bien l'emportement d’Alceste face au action de Philinte.
Je trouve que le gros plan de caméra donne l'impression d’être à coté des acteurs, j'ai l'impression de pouvoir intervenir à tout moment dans leur discussion, ce qui donne le sentiment d’être en face d'eux.
je trouve que le plan large de la caméra au tout début où l'on voit la scène entière ainsi que le miroir nous donne l'impression d’être loin et d’être impuissant face à la dispute des personnages.
je suis assez surpris du réalisme employés par les acteurs au niveau du ton et de la gestuelle, j'ai plus l'impression d’être à cette époque.
Pour commencer je suis intriguée par le décor désert de cette sale ou il y figure deux chaises. Par la suite je suis étonné par leurs costumes moderne. Je distingue deux personnage assis à côté puis l'un se sépare de l'autre.
Je remarque un conflit entre ces deux personnages.
Je suis étonée par le miroir au fond de la salle, il va créer une remise en question par rapport au propos de Alceste. L’entrée en scène de Phillinte ma perturber car il regarde le publique avant de commencer a jouer sa scène. Le décor vide de la salle laisse perplexe
Je trouve ce passage à la foie humoristique dans la manière dans laquelle ici il est joué, et violent dans l’échange qui a lieu entre ces deux amis, je suis attristé de voir cela car deux amis se séparant ce n'est jamais joyeux.
Je suis aussi intéressé par le dénouement de cette fâcheuse dispute.
Tout d'abord la mise en scène est très longue. Le bouquet de fleurs que tient Alceste est pour Célimène. Ensuite je ressent un besoin de solitude chez Philinte car il prend la seconde chaise et s'éloigne d'Alceste. Je suis anéantis que Philinte refuse toute parole et aussi étonné de la façon dont philinte repousse alceste
Je suis choqué du comportements étranges qu'Alceste a envers son ami,sur cette acte Alceste parait sur de lui en exprimant son mécontentement et de l'hypocrisie de Philinte, notamment en se placement très de loin de lui pour discuter. La pièce m'a aussi surpris car Alceste s'énerve très facilement. Au sujet du décors : la scène est très bizarre car elle est très grande avec peu de décors ainsi qu'un miroir derrière les personnages, les personnages ont changés de vêtements car ce ne sont pas ceux de l'époque, je suis etonné.
Cette scène m’intrigue beaucoup, je suis surpris par ce personnage qui apparaît a la lumière. Le conflit qui oppose les deux personnages me laissent sans voix, il n’arrête pas de se disputer et sa semet le trouble dans ma tête. Je me suis mise a la place de philinthe et je me serai défendu par rapport
C'ETAIT ENNUYANT LES DIALOGUES ETAIT PLAT ET DONNAIT L'IMPRESSION DE CE REPETER :-C' . LE DECORS ETAIT SIMPLE ET ON NE COMPRENAIT PAS TROP OU IL SE TROUVAIT :( . LES ACTEUR N'ETAIT PAS HABILLE COMME LES GENS DE L'EPOQUE.
Quand j'ai découvert l'espace scénique, je trouvais une scène étonnamment 8-O vide, seulement de chaise et un miroir, un peu déçu du décors que je pensais voir un décors d'époque mais impatient d'assister a cette scène.
Je touve dommage que les costume des acteur ne soit pas en raport avec l'époque dans la quelle se passe la pièce :-/ .Le language parrait anormalement soutenu pour leur costume :-| .
Dans les premiers instants du spectacle on remarque que la scène est assez sombre !-( et sa nous montre les tensions qu'il y a entre les deux personnages et il y a aussi un grand calme et surtout la pièce qui raisonne n
Même si leurs dialogues sont compliqués à comprendrent car ils utilisent un langage soutenu. Grâce à leurs gestes, leurs expressions et toutes la partie visuelle ont arrivent plus à comprendrent
Lors de ces premiers instants du spectacle, les lumières s'etteignent, puis nous découvront deux personnage dont Alceste et Phillinthe, les lumières se retrouvent figé sur eux.
Suite à la vision d'une partie du premier acte du Misanthrope, je constate que l'ambiance est assez "tendu" , froide. Les deux personnages sont de part et d'autre de la scène, il y a peu d'éclairage pour montrer ce côté froid. Quand aux costumes ils ne sont pas à quoi je m'attendais.
Les personnages était pas habiller comme des noble de l’époque de Molière mais plutôt comme comme maintenant un costard cravate, ce qui me troubla. Les deux personnages ne se déplacer pas énormément, il était statique alors que je m'attendait a une confrontation en face à face a moins de un mètre.
Je trouve ce début de scène assez tendu entre ces deux personnages qui joue leur rôle à la perfection malgré leur langage parfois incompréhensible 8-O on arrive à comprendre ce qu'ils nous dissent grâce à leur fait et geste et surtout leur expression du visage qui nous donnent.
J'ai remarqué que les personnages sont habillés avec des vêtements de notre époque. La pièce reste la même mais on peut dire qu'elle a fait un voyage dans le temps. Et ça peut être une chose bien, qui aide les spectateurs à mieux comprendre et visionner la pièce. :-)
Mais le langage reste très soutenu, ce qui contraste avec l'apparence des personnages. Ça ne fait pas naturel. :-|
les sentiment que l'on ressent pendant ce début de scène sont calme au début :-| et vive au file du temps :mdr: cette scène réveille le publique 8-O puisqu'on assiste a une scène d’opposition :-C , on n'assiste a une scène qui est colérique !-(
En voyant cette scène si vide nous nous attendons a peu de gaité et d'aventure, les acteurs arrivent avec deux chaises donc on peut penser que l'espace de la scène ne sera pas entièrement utiliser puisqu'ils seront assis sur les chaises. Derrière eux, un miroir pouvant illustré la vérité sans choses caché, sans hypocrisie. 8-O
Les personnages de la scène me paraissent habillés d'une façon moderne que je me l'imaginais en lisant la pièce. :-/ Cependant, les humeurs, les réactions, froides et distantes, des acteurs sont celles que j'attendais.
Suite à la vision d'une partie du premier acte du Misanthrope, je constate que l'ambiance est assez "tendu" , froide. Les deux personnages sont de part et d'autre de la scène, il y a peu d'éclairage pour montrer ce côté froid. Quand aux costumes ils ne sont pas à quoi je m'attendais.
Le texte est identique sur papier que joué sur la scène et pourtant, il y a une nette différence entre les deux.
Le texte sur papier est impertinent et difficile à comprendre car le texte ne nous captive pas tandis que joué sur scène , avec le ton des comédien on est plus intéressé et on comprend mieux. :-)
La seule différence entre ces deux textes est l’habit des personnages. Quand on lit le texte on s'imagine les personnages habillé comme a une époque au temps des rois alors que sur la scène ils ont des habits modernes
Ma réaction face aux premiers instants du spectacle est que je suis étonnée :-o par la noirceur de ce passage, il fait sombre, ils sont éloignés, ils ne se regardent pas en face, ils sont chacun d'un côté de la scène
j'ai été déçue de voir les personnage habillés avec des vêtements modernes ;(' . En revanche j'ai remarqué une ambiance plutot glaciale entre les personnage attendu par le public.
PRONOM JE
beaucoup plus d'éléments de mise en scène
http://www.bonjourdefrance.com/exer...
notes des 2nde 9:
2 chaises proches puis séparées puis de nouveau proches.
Miroir dans lequel les spectateurs peuvent se voir + reflète les personnages.
Modernisation de la pièce: costumes des personnages appartiennent à notre époque.
Misanthrope: t. Shirt bleu (couleur froide) / t. Shirt rouge de Philinte: plus chaleureux.
Habillés de la même façon.
Costumes assez distingués.
Montre qu'Alceste regarde.
Les accessoires: le bouquet de fleurs: rendez-vous avec Célimène.
"Calvitie" naissante: ce ne sont pas des jeunes premiers. Tentent de la cacher: donnent de l'importance à leur apparence.
Alceste parle beaucoup. A un fort tempérament. Têtu. Philosophe.
Je suis surprise de trouver cette scène vide, seulement deux chaises et un miroir l’encombre. Je suis déçu de ne pas retrouver des costumes de cette époque, qui n'ont rien a voir avec molière et qui ne ce différencie pas de notre époque actuelle. Les dialogues sont secs et hargneux. Alceste parle beaucoup plus que Philinte.
Je suis tout suite déçue de voir les personnages habillés de notre époque ce qui remet en cause la manière dont les acteurs jouent leur rôle. Je remarque que l'acteur qui joue le rôle d'Alceste tient un bouquet de fleur en main ce que je trouve très intéressant. en revanche, je constate une ambiance sinistre et glaciale entre les deux personnage a laquelle je m'y attendais, l'expression du visage qu'emploient les acteurs le montre bien .ensuite, je suis stupéfaite de voir les personnages se parler avec autant de distance. De même je trouve l'idée du miroir très intéressante, pour moi le metteur en scène a eu raison de l'exploiter.
je trouve que le texte est plus vivant que la pièce je trouve que les costumes ne ressemblent pas a ce que portait la noblesse de cette époque. de plus durant cette pièce je me suis ennuyer. je suis déçu par le décors car je m'attendais a voir un grand château.la mise en scène ne m'a pas di tout plus car je m'attendais a ce que les comédiens bougent plus . je suis franchement déçus par cette pièce.
J'ai remarqué que les personnages sont habillés avec des vêtements de notre époque. La pièce reste la même mais on peut dire qu'elle a fait un voyage dans le temps. Et ça peut être une chose bien, qui aide les spectateurs à mieux comprendre et visionner la pièce.
Mais le langage reste très soutenu, ce qui contraste avec l'apparence des personnages. Ça ne fait pas naturel, donc je trouve ça un peu dommage.
De plus, le miroir reflète la scène, les deux personnages mais nous reflète aussi nous. Ce qui me laisse pensé qu'il puisse avoir un côté, où les personnages jouent leur rôle et où on assiste à la scène et un autre côté, un "monde parallèle" où les personnages disent leur pensées, jouent dans l'honnêteté et où on y assiste également.
Je vois également que sur la scène, il n'y a que deux chaises. Ce qui fait que l'attention est uniquement dirigée vers les personnages et rien d'autre. Les personnages sont focalisés dans leur conversation et ne font pas attention à ce qui les entourent.
La mise en scène me déçois énormément puisque je m'attend a voir des décors et des habits de l’époque de Molière et je vois des costume et une salle a moitié vide avec une vitre et deux chaises et un cinquantaine de personnes autour de moi pour regarder cette pièce. Mais je vois que les personnages focalise l'intention sur et et non sur le décor en étant très expressifs ceux qui me captive énormément.
C'est avec regrets que je remarque que les personnages de la scène me paraissent habillés d'une façon plus moderne que je me l'imaginais en lisant la pièce. Cependant, c'est avec joie que découvre que les humeurs, les réactions, froides et distantes, des acteurs sont celles que j'attendais. Le décor sombre et vide, ainsi que le positionnement des chaises, rendent la tension entre les deux personnages plus présente que dans la pièce.
Ma réaction face aux premiers instants du spectacle est que je suis étonnée par la noirceur de ce passage, je vois tout de suite la tension entre Phillinte et Alceste, la scène est obscure, ils sont éloignés, les regards se ils sont chacun d'un côté de la scène, derrière eux se trouve un miroir, le langage est très soutenu, les costumes sont assez moderne, c'est paradoxalement opposé avec l'époque de la pièce.
Quand le rideau s'ouvre je suis étonnée de la pièce qui est juste meublée de 2 chaises et surprise de voir un miroir en face de moi. Les personnages ont beaucoup de distances entre eux et, par le ton que donne le comédien d Alceste on comprend qu'il est vexé par le comportement de son ami.
La scène est vide on ne vois que Alceste et Philinte.
Les habits des personnages sont beaucoup plus modernes que ce que j’avais imaginé.
Je trouve ça étonnant qu'il y ai un miroir en face de nous mais je trouve que c'est en accord avec la pièce. Je suis déçue des costumes car ils ne sont pas du tout comme je me les imaginaient ils sont de notre époque et n'ont rien à voir avec le texte de Molière. L'espace de la scène n'est pas du tout utilisé, ils sont assis l'un à côté de l'autre puis Alceste s'éloignent se qui montre la colère du personnage. Je comprends mieux leurs dialogues que ceux du livre.
je ressent une grande joie au début puisque l'homme présenter tiens un bouquet surement pour sa dulcinée; mais cette joie coupe cour lors de l'arriver du second homme, on voit ces deux hommes; je ressent l’hypocrisie que l'un reproche a l'autre et l'incompréhension de celui si ,cela est assez désagréable puisque il y a une forme d’opposition et j'ai le sentiment que ils sont arriver a un point de non retour. Leurs sentiments nous met mal a l'aise et puis ce décore ou ils sont dos a dos a une vitre comme si c'etait un moyen pour que la discutions passe de l'un a l'autre sans ce regarder. cette vitre ou le reflet des deux personnages est me fait penser a leur sentiment cacher qui ce dévoile.
Tout d'abord je suis assez surpris des vêtements des deux personnage, je m'attendait a avoir des costume plus ancien qui on un lien avec l'époque de Molière et aussi la noirceur de la scène et surtout le miroir qui est assez mystérieux ... La distance qu'il y a entre les personnage est assez étonnante et pou
Lorsque la pièce commence je découvre une salle vide avec un miroir en fond comme si ont voir ses default a travers celui ci pouvaient , les comédiens entre sur la scène. Le premier est habiller en bleu et l'autre en rouge comme si ils étaient de deux partis opposé.
J'ai constater que Alceste et Philinte sont habillés de la même façon et sont très ressemblant comme on l'avait su à la lecture du livre, seul la couleur du t shirt les différencie mais contrairement au livre les costumes sont de cet époque ce qui est dommage. Je suis étonnée de voir que les personnage sont aussi éloignés je suis aussi déçu pour le peu de décor : un grand miroir qui prend la totalité de l'arrière plan nous intrigue, il y a aussi deux chaises.
Quand je découvre l'espace scénique, je trouve une scène étonnamment vide, seulement de chaise et un miroir, un peu déçu du décors et aussi des costumes; nos deux protagonistes sont vêtu comme des personnes de nos jours alors que je pensai voir un décors et des vêtement d'époque car a part leur langage soutenu et riche, on ne peut savoir que se sont des nobles. J 'apersoi que les deux personnage ont les mêmes habits sauf que le personnage d'Alceste porte un polo vert sombre différent de l'autre personnage qui porte un polo rouge vif mais se qui est contradictoire c'est que Alceste donc je peut dire qui a un caractère pas très sympathique porte des fleurs
Tout d'abord j'aperçois à ma grande surprise une scène très grande pour peu d'espace occupé par les acteurs , la salle résonne donc nous implique dans la pièce puisque nous y somme comme dans un "cocon" ce qui peut être appréciable (sauf pour les claustrophobes) puis les rideaux sont noir foncés et la salle tout autant. Un miroir est disposé en face de moi et non des acteurs , je suis littéralement sur la scène puisque mon reflet y est. Les deux personnages rentrent en scène avec le même costume ce qui est paradoxale à l'époque , sauf que l'un porte une montre, signe de impatience ? tandis que l'un porte un t-shirt rouge l'autre en porte un vert ce qui représente le mal et le bien mais les couleur ne représente pas les personnages bizarrement.
Lors de ces premiers instants du spectacle, les lumières se retrouvent figée sur les deux personnage "Alceste et Phylinthe", une fois les rideaux fermer je remarque un miroir qui se retrouve sur la scène reflétant le public et les acteurs, cela permet d'introduire en quelque sorte les spectateur sur la scène avec les acteur, et de donner une impression d'être sur la scène. je remarque également une moderniter dans la pièce, au niveau des vêtements.
Je suis dans le dernier rang de la salle.
Cette pièce me parait étrange puisqu'elle me met mal alaise des le début vu que j'ai un miroir en face de moi. J'ai comme l'impréssion d'être dans la pièce. Le début ne me plait pas car les 2 acteurs reste immobiles et ne font que discuter.
Je suis assis au 2ieme rang et je remarque qu'il n'y a pas de rideaux qui s'ouvre. Sur la scènes se trouve deux chaise cote a cote et derrière ces chaises un miroir qui me met mal a l'aise car c'est comme si j’étais moi même sur la scènes, de plus j'ai l'impression que tout le publics me regarde. Quand les acteurs entres en scènes et le publics continue de parler car les 3 coups habituel du théâtres non pas retentis.
Quels surprise ! Les acteurs ne sont pas en costume d’époque mais de nos jours. L'un en bleu et l'autre en rouge pour souligner leurs désaccord.
Mépris, violence d'Alceste.
Les lumières se tamisent.
Les personnages sont comme des enfants: ils se disputent pour un rien.
Je suis assis au premier rang.
C'est impressionnant ce grand miroir qui nous reflète. Le comportement des personnages reflète la société.
La pièce va bientôt commencer. J'ai hâte de voir la représentation de ce texte que j'ai tant aimé. A première vue...
Je suis assez surpris de ne voir que deux chaises comme décor, moi qui m'attendais à un décor beaucoup plus riche. Je suis déçu de voir que les costumes ne sont pas ceux de l'époque de Molière. Mais, cela me plaît aussi d'un autre côté car la pièce peut parfaitement être une scène de la vie actuelle.
A mon arrivée, je m'assois au premier rang et attends que la scène commence. Les personnes autour de moi parlent.
M'y voilà enfin.
J'ai l'impression d'être intégré à la scène grâce au miroir.
Cette salle est grandiose, je ne peut pas regardé cette scène pièce d'un autre siège. La scène est clair les personnes présente sont très bruyante, il ne manque plus que l'arrivé des acteurs. La pièce commence, la lumière qui éclair les acteurs me gène car elle éclair aussi le miroir en fond de scène qui m'intègre sur scène avec les acteurs. Seulement la scène semble vide, les acteur son à l'écart et laisse un grand vide face à moi. Ce grand miroir montre une doublure des acteurs mais aussi de la fille derrière qui se remet les cheveux chaque minute face a ce miroir. Alceste garde son langage d'époque mais ces vêtements sont moderne. Le plancher et les chaise reste d'époque se qui permet de bien rentré dans l'époque de la pièce du Misanthrope.
Je suis assise au deuxième rang, au première abord le décor me paraît étrange, vide. Pas de rideau, pas de scène surélevé, pas de décoration. Et surtout un miroir face a moi qui me rend mal à l'aise, comme si j'étais face à moi-même, ou encore moi même comédien avec l'impression d'être regarder par l'ensemble des spectateurs.
Je suis assise au deuxième rang, je remarque immédiatement l'absence de rideaux et que les lumières sont allumées. La salle est bruyante et au fond de la scène se trouve un miroir inhabituel qui me met mal à l'aise. Le décor n'est constitué que de deux chaises, c'est un décor vide. Quand les acteurs rentrent en scène, la salle reste bruyante. Ils ne sont pas habillés en costumes d'époques. Ces deux personnages ont l'air de s'opposer comme le montre la couleur de leurs habits et grâce au miroir je vois comme un axe imaginaire qui les séparent lorsque Alceste s'est écarté de Philinthe. Alceste a un bouquet de fleures, je suppose qu'il a rendez-vous avec Célimène.
Je suis assis en haut de la scène, les gens sont bruyants autour de moi .Dès l'arrivée nous remarquons la vitre qui se situe en face de nous. La scène est aussi particulièrement vide, je n'aperçois juste des deux chaises qui sont cote a cote. Puis le personnage d'Alceste apparaît un bouquet de fleure à la main, une démarche plutôt étrange lui est attribué. Je vois tout de suite en lui un homme au caractère fort, qui est sur de lui et qui sait s'affirmer. Je comprend aussi qu'Alceste est le personnage contraire au suivant nommé Phylinthe car il s'éloigne suffisamment et ne fais que le contredire.
Sa y est, je suis enfin arrivée et en plus il y a une place au premier rang, décidément j'ai de la chance. Le décors est vide avec seulement un miroir qui me dérange un peu d'ailleurs ... J'ai l'impression de faire partie de la pièce alors que je ne le suis pas. Ah enfin, les lumières se tamisent, mais pk tout le monde continuent de parler ? C'est agaçant à la fin ! Voici le premier comédiens, je pensais qu'il serait habillé comme à l'époque ... C'est dommage, enfin bref, si je me trompe pas il s'agit d'Alceste qui à ce que je vois à rendez-vous avec Célimène puisqu'il tient un bouquet et regarde sans cesse sa montre. Le second comédiens arrive et il s'agit de Philinte et qui n'a comme seul distinction physique avec Alceste un t-shirt de couleur différente.
Installée sur mon siège, j’attends que la pièce commence quand tout à coup, un comédien monte sur scène un bouquet de fleurs à la main. Je devine que c’est Alceste. Je suis surprise de ne pas le voir en costume d’époque. De même pour Philinte qui est monté sur scène peu de temps après. Je trouve le décor assez pauvre étant donné qu’il n’y a que deux chaises sur la scène. Cependant ce qui m’étonne le plus c’est ce fond qui est un grand miroir. C’est étrange car j’ai l’impression de faire partie de la pièce. Cela me met plutôt mal à l’aise, j’ai le sentiment de passer de spectateur à un élément du décor.
Me voilà enfin assise au premier rang, dans un fauteuil rouge, j'attends avec impatience que cette représentation débute. De nombreuses personnes discutent autour de moi : certaines échangent au sujet de la pièce qui va se jouer dans quelques instants, d'autres semblent être étonnées par le décor très simple de la scène. En effet, j'ai remarqué l'absence de rideau, le présence de deux chaises posées devant un immense miroir en arrière plan. Cette mise en scène me donne l'impression d'être intégrée au décor. Tout d'un coup les lumières se tamisent et voilà enfin Alceste qui entre avec un bouquet de fleurs pour Célimène.
plan :
1) pauvreté du décor
le décor est très sobre, deux chaises, un miroir, peu de lumière. Cette pauvreté scénique permet aux spectateurs d'être plus attentif aux expressions du visages des comédiens ainsi qu'à leur dialogue. Le miroir quant à lui permet d'inclure le spectateur au décor afin qu'il se sente impliquer, on peut aussi penser qu'il reflète notre âme.
2) les vêtements et les personnages
les vêtements des personnages sont plutôt modernes et en opposition avec les dialogues qui eux sont riches et soutenus, limite "rétro". Une double opposition s'opère avec les couleurs, Alceste porte un T-shirt bleu alors que Philinte porte un T-shirt rouge or le rouge est la couleur de la colère et le bleu plus froid représente le calme, les T-shirt auraient dus être inversés. Une autre opposition peut être soulignée avec les fleurs qui suggèrent un rendez-vous galant et donc de la douceur or les propos d'Alceste sont violents.
Lorsque les rideau s'ouvre je suis déçu par la pauvreté du décor et la façon dont sont habillés les acteurs car sur scène il n'y a que des pauvres chaises, j'aurais préféré un décor plus riche en plus la façon dont sont habillés les personnages ne sont pas adaptés au 17ème siècle. Ensuite au niveau de l'ambiance qu'il y avaient entre les personnages j'en suis contente car c'est exactement à ça que je m'attendais de plus je trouve que les acteurs fait bien paraître l'ambiance glaciale entre les deux personnages par contre je me demande pourquoi les personnages se parlent avec autant de distance.
Ensuite, je trouve intéressant l'idée du miroir car c'est un reflet de comment étaient la société à cette époque.
Je remarque aussi que l'acteur qui joue le rôle d'Alceste tient un bouquet de fleur à la main, c'est a ce demandé si n'attendrai pas quelqu'un avec impatiente.
Je suis assis au milieu de du public. La scène est relativement vide, sans décor à part 2 chaises et un miroir reflétant à la fois la scène et le public. Cela rend mal à l'aise et nous place comme acteur de cette pièce. J'ai l'impression d'être à la fois intégrer à la scène et de l'observer. Sans aucune annonce les acteur rentre sur scène, un peu par surprise. Ils sont habillés avec des vêtements de notre époque et non de celle où la pièce à été écrite. Je me rend compte qu'Alceste à un caractère fort, il s'affirme et est sur de lui. Il a ses idées et rien ne lui fera changer cela. En face de lui se trouve Phillinte qui semble être tout l'opposé d'Alceste, dans la façon d'être notamment. Ils sont chacun à un bout de la scène comme pour symboliser cela.
je suis installée au 4eme rang, la salle est bruyante et j'attend avec impatience l'arrivée des comédiens sur scène. je trouve que le décor de la scène est pauvre il y a seulement deux chaises placées l'une a cote de l'autre. et puis derriere il y a un miroir... je suis perturbée par la scène, le fait de me voir dessus me dérange, ca me donne l'impression de faire partie du decor.
un premier personnage fait son apparition, et petit a petit les chuchotement du public disparaissent.le personnage s'assoit sur la chaise de gauche, il a avec lui un bouquet de fleur qu'il tient dans ses mains. cependant quelque chose me choque le personnage ne porte pas de costume d'époque! il est habillé comme un homme du 21eme siecle, alors que la piece jouée a été écrite 3siecle auparavant. un deuxieme personnage fait son arrivée sur scène et vient s'assoir a cote de l'autre personnage. celui ci déplace sa chaise plus loin étant donné cette réaction je devine qu'il s'agit d'Alceste. le miroir crée alors un axe symétrique entre les deux personnages pour les mettre en opposition, ils sont habillés de maniere similaire, la seule différence est la chemise : l'une est bleue alors que l'autre est rouge. cette séparation est surement faite pour mettre leur caractère en opposition (misanthrope d'un cote et philanthrope de l'autre) le public est donc au milieu des personnages. pour finir je trouve que leur manière de parler ne correspond pas a leur maniere d'être habillé et ceci me gêne.
1) pauvreté du décor
le décor est est sombre et ne donne pas envie d’être émotif de plus les personnage ne joue leurs rôle mais on a l'impression qu'il sont aussi sombre que le décor.
2)les personnages
les personnage ne sont pas bien habillés et on ne ressent pas les sentiment cela rang encore plus triste le texte ?
Est ce voulu ?
Tout d'abord le décor est des plus simple et des plus triste. Le décor est noir, il ni a aucune lumière les seuls objets qui si trouve sont deux chaises. Un miroir est en fond pour permette aux téléspectateurs de se regarder et peut être de se poser des questions sur lui même.
Et pour finir les personnages: Alceste rentre en scène avec un bouquet de fleur, on peut voir qu'il est pressé puisqu'il regarde sa montre puis il finit par s’asseoir sur sa chaise. Philinte et Alceste ont des caractères totalement différents : Alceste est renfermé sur lui même et refuse tout contact avec Philinte. Philinte , lui semble perdu et ne comprend pas le comportement de son ami.
Ma réaction face aux premiers instants du spectacle est que je suis étonnée par la noirceur de ce passage, je vois tout de suite la tension, de la distance entre Phillinte et Alceste, la scène est obscure, vide, les personnages sont éloignés, ils sont chacun d'un côté de la scène, les regards se croisent, ils sont focalisés dans leur conversation et ne font pas attention à ce qui les entourent. derrière eux se trouve un miroir qui reflète les spectateurs, le langage reste très soutenu, ce qui contraste avec l'apparence des personnages. Les costumes sont assez moderne ce qui est paradoxalement opposé avec l'époque de cette pièce. Cependant la pièce reste la même, mais on peut dire qu'elle a fait un voyage dans le temps, à travers cet extrait nous pouvons mieux comprendre cette pièce.
Enfin j'attendais se jour avec impatience; c'est le jour de la pièce du Misanthrope. En entrant dans la sale, je vois se grand rideau qui d'un instant a l'autre s'ouvrira de vent mais yeux. Je m'installe a ma place en eau de la salle.J'attend est enfin les 3 coups de battons retentis dans la sale; le rideau s'ouvre. Sa y est sa commence. La première chose que je vois c'est le vide de la pièce. Aucun décors d’arrière plans juste se miroir.Ma déception est atteint je pensais que ça sois un magnifique décor d'époque, sous un magnifique palais mais non malheureusement. Après de personnage apparais; le premier dénommer Alceste et l'autre dénommer Philinte. Un détail me titiller l'oeuil, les costumes. Les deux personnage sont habiller de vêtement de nos jours pourtant c'est une pièce sous Louis IV j'attendais un des costumes digne de cette époque mais si cela n'est pas fait c'est pour une bonne raison, j'ai déjà vue des pièce sans costumes d'époque. Cela me gênera pas pour la suite du spectacle. Je remarque aussi que le personnage d'Alceste a un fort caractère, il a un langage soutenue et il n'est pas commode alors que celui de Philinte est plus joyeux.
Me voilà enfin assis au premier rang, dans un fauteuil ma fois confortable, j'attends avec impatience que cette représentation débute. De nombreuses personnes discutent autour de moi , certaines échangent au sujet de la pièce qui va se jouer dans quelques instants, d'autres semblent être étonnées par le décor très simple de la scène. En effet, j'ai remarqué l'absence de rideau, le présence de deux chaises posées devant un immense miroir en arrière plan. Cette mise en scène me donne l'impression d'être intégrée au décor. L’éclairage se tamise, je suis bizarrement stressé comme à chaque fois avant l'entrée des artiste.
Mon stress ce termine lorsqu'un homme rentre sur scène afin de s'asseoir sur une des deux chaises, la pièce commence.
Premièrement nous pouvons remarquer que la scène est très sombre et qu'un miroir est installer derrière pour donner un effet de grandeur et pour inclure le publique dans la scène pour ce qui est du décor, il est très soft car il n'y a que deux chaise. Cela permet au spectateur de se concentrer sur les acteurs ainsi que leur manière de jouer.
Deuxièmement nous remarquons que les acteurs se sont habiller avec des habits assez ressent et cela est assez déstabilisant pour le spectateur car il devient difficile de se dire que la scène ce passe au XVII° siècle cela crée donc une opposition avec les dialogue qui eux date bien de ce siècle. Nous pouvons ensuite remarquez que Alceste a sur scène avec lui un bouquet de fleurs se qui suggère un rendez-vous avec Célimène.
Troisièmement dès le début de la scène Alceste s'écarte de Philinte ce qui nous montre un certain conflit entre les deux personnages et cela ce voit aussi encore un fois dans leur vêtement qui sont opposé car Alceste porte un T-shirt rouge et Philinte en porte un bleu malgré le faite que ce ne sois que des T-shirt cela montre que ces deux personnage apprécie des chose bien différente malgré leur similitude.
Premierement, le decor est simpliste, sombre, et vide.
Il n'y a pas beaucoup de lumiere pour eclairer les acteurs
Ensuite, alceste rentre sur scene l'air pressé comme si il attendait quelqu'un ..
Philinte et alceste sont totalement opposés car l'un est renfermé et l'autre cherche le contact et l'amitié.
Les lumières s'éteignent, les comédiens montent sur scène et le bruit laisse place peu a peu au silence. Je découvre cette scène qui a mon étonnement n'a pour meublement seulement deux chaises qui sont cote a cote. En face de moi se trouve un mirroir , c'est assez étrange car je vois mon reflet et ceci est assez inhabituel.ceci me laisse penser que les deux chaises définissent respectivement la franchise et l'hypocrisie tout comme les tes shorts des comédiens de deux couleurs différentes le rouge qui est une couleur chaude et le bleu couleur froide. De plus la couleur de leur tes shirt est la seule différence dans l'habillement d'Alceste et Philinte e qui m'ammene a penser que seul leur caractère les oppose d'où la différence de couleur du tes short. Ensuite Alceste décidé d'éloigner sa chaise.. Étrange! Il veut sûrement montrer a Philinte qu'une dsitance est présente entre eux. Pour ma part je pense que ce geste de déplacer la chaise n'est pas anodin et qu'il a son importance dans la scène.. Alceste voudrait-il faire passer un message?
La pièce va bientôt commencer, j'ai hâte de voir la représentation du Misanthrope que j'ai tant aimée lire. Avant même que le premier personnage ne pose son pied sur la scène, je remarque cette immense miroir qui nous, nous public, comme si nous faisions partit du décor en tant que :"la société". Je suis étonnée car hormis cela seule deux chaises figure sur la scène comme unique décor, Un personnage vêtu de façon plutôt simple , mais surtout de façon moderne ce qui est pour moi, une grande surprise car cette pièce date du 17ème siècles et je m'attendais à ce que les personnages est d’immenses perruques sur leurs têtes et des costume ornés de dorure... Mais cela m’intéresse de voir la façon dont l'on a modernisé cette pièce ; donc je disais cette homme porte dans ces mains des fleurs, ce doit être Alceste venant charmé sa tendre et douce Célimène. Peut de temps après cela entre un autre homme : Philinte, qui lorsqu'il s'assoit prés de son ami Alceste, celui-ci prend sa chaise et l’emmène a l'autre bout de la scène, tel deux enfants qui se dispute.
Je suis assis au deuxième rang, l'attente pour enfin voir les personnages sur scène me parait interminable, cela me choque car la scène est tellement grande et peu de décors émotionnels. Un personnage qui entre, (enfin !), Alceste, regarde le public avec inquiétude. Les personnages sont en costumes et non pas avec des vêtements de l'époque et je commence à me demander si je suis au bon endroit en train de regarder ce fameux Misanthrope, car rien ne me parait comme je l'avais penser. Un miroir est placée derrière eux, peut être pour nous faire réagir ? pour nous sensibiliser ? nous faire dire que nous trouvons beaucoup de "misanthrope dans notre société ? je ne sais pas ... J'ai aussi remarquer qu'Alceste n'a pas le même Tee-Shirt que Philinte, d'une autre couleur. Le fait que nous voyons de petits personnages par rapport à cette immense scène nous permet de nous concentrer que sur les personnages ainsi que leurs languages qui est difficile à comprendre, ainsi que leurs caractères. L'effet sombre m'avais surpris au début de la pièce mais ne me choque plus car il reflète l'ambiance de la pièce.
Je suis assisse au 1er rang, et j’ai hâte que la pièce de théâtre commence. Tout à coup, un comédien monte sur scène avec un bouquet de fleurs à la main, je peux supposer que ce comédien est Alceste. Je suis assez surprise de ne pas le voir habillé avec le costume de l’époque. Je trouve le décor vraiment très simple, je remarque qu’il y a seulement deux chaises sur scène et qu’il y a la présence d’un grand miroir qui reflète les spectateurs. Ce miroir est assez troublant car j’ai l’impression que nous, les spectateurs, sommes intégrer dans le décor de cette pièce de théâtre.
Je suis assise au premier rang et j'ai hâte que la scène commence.
Je trouve le décor peu recherché, sans décoration ni rideau seulement deux chaises au fond de la scène placées l'une à côté de l'autre. Derrière les chaises il y a un grand miroir qui prend toute la longueur de la scène. Je n'aime pas le fait de me voir à travers lui car je suis plus divertis à le regarder qu'à regarder autres choses et surtout j'ai l'impression d'être regarde par les autres spectateurs. Quand le premier personnage arrive tout le monde se tue. C'est Alceste, il tient un bouquet de fleur à la main. Ce qui me choque le plus en le voyant c'est que je ne retrouve pas les habits d'époque que j'attendais. Le deuxième personne arrive et s'assoit sur la chaise juste à côté de celle de Alceste. Celui-ci se leve et s'éloigne. Je trouve son attitude enfantine.
Après toute cette attente, toute cette impatience, je me trouve enfin dans cette salle, pour la représentation du Misanthrope. Je trouve la scène assez pauvre ma foi, mais je ne suis pas mécontent. Je suis au milieu de gens dont je ne connais l'identité, je me sens assez perdu, peut être même claustrophobe, et je suis assez impressionné de ce miroir, gigantesque, en arrière plan de la scène. Tout le monde peut me voir, me regarder, c'est assez perturbant. L'attente est longue, très longue. Soit, je veux seulement voir cette pièce, alors j'essaye de faire abstraction de cette peur et de mon impatience. Les lumières se tamisent, la pièce commence, enfin !
Je suis assise là au centre du public. La scène ne comporte aucun décor , seulement de chaises l'une à côté de l'autre. En fond se trouve un miroir dans lequel nos silhouette reflètent dedans. La pièce commence, sans un moment précis, par l'entrée des deux personnages puis le déplacement d'Alceste et de sa chaise plus loin sur la scène comme si un axe de symétrie imaginaire les séparait, ce qui peut nous faire penser que les deux chaise se reflètent, comme le public dans le miroir, malgré l'atmosphère tendu dans le contraste aux niveaux des pensées des personnages. Cependant, avant l'entrée des personnages, la salle est dans un brouhaha, mais à l'entrée des deux personnages le calme règne dans le public malgré un bruit de fond. Le dialogue commence, et avec la hausse de ton d'Alceste, l’atmosphère devient pesante. D'autre part, nous pouvons remarqué que les tenues des personnages sont identiques sauf à la couleur du tee-shirt de ceux-ci : Bleu pour Alceste et rouge pour Philinte. Ces deux couleurs s'opposent ce qui rejoint l'axe de symétrie. A cela s'ajoute l’interprétation des deux couleurs : bleu, qui me fait penser au froid, sec qui n'attire point qui correspond aux répliques cassantes et au caractère d'Alceste. Et le rouge, qui nous fait penser à la chaleur, la convivialité, l'amour qui correspond à Philinte et ses répliques douces et gentille.
en premier lieu je découvre une pièce remplie de gens, en face de moi une scène et surtout un grand rideau qui sera la première chose et la dernière de cette représentation. Ensuite l'on constate deux chaise et un miroir, ce miroir double la pièce, elle parais effectivement plus grande et moins close, puisque il y a peu d’accessoire on peux commencer a imaginer ou va ce dérouler exactement la première entrer; 3coupes de et ces partie! Un personnage joyeux attendant surement une femmes puisqu'il a des fleurs surement "a offrir"; les deux premiers personnages que nous découvrons sont décalé avec les mots et la scène exprimer puisqu'ils ont des vêtements qui ne sont pas vraiment ce de l’époque,ce-ci est assez regrettable! L'attitude qu'ont ces deux personnages est un peux humoristique même si leurs dialogues ne les points, ils nous semble que ils ne veulent pas partager leurs avis et comprendre que le points de vu de l'un n'est certes pas le même,mais cependant ceci ne les empêchent pas de communiquer leurs points de vu et cette petit querelle est assez comique puisqu'on dirait un enfant gronder par sa mère puisque il ne veut pas faire comme "tous le monde".
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La pièce va bientôt commencer, j’ai tout des suite remarqué le grand miroir en fond, j’arrive a m’y voir malgré l’obscurité, se qui me mets mal a l’aise de me voir face a face, j’ai l’impression d’être sur scène. A par se grand miroir, la scène est vide il n’y a que deux chaises en bois posées dans le coin à droite. Je trouve se décor trop vide. Se décor ne me fait rien ressentir. Ensuite quand les deux personnages entre l’un après l’autre sur scène, je remarque tout de suite qu’il ne sont pas en costumes d’époque, moi qui m’attendais à des costumes qui me fassent rire et qui attirent mon attention, et bien j’ai plus l’impression de voir deux personnes choisies dans le public que deux acteurs. La pièce en elle-même est attirante mais se qui tourne autour d’elle ne m’interpelle pas, et m’ennuie même un peu.
1) le miroir
la lumière qui éclaire les acteurs me gène car elle éclaire aussi le miroir en fond de scène qui m'intègre sur scène avec les acteurs.
Et surtout un miroir face a moi qui me rend mal à l'aise, comme si j'étais face à moi-même, ou encore moi même comédien avec l'impression d'être regarder par l'ensemble des spectateurs.
un grand miroir qui prend toute la longueur de la scène
2) la scène, le décor
La scène semble vide
Laisse un grand vide face à moi
Je remarque immédiatement l'absence de rideaux
Pas de rideau, pas de scène surélevé, pas de décoration
Le décor est très sobre, deux chaises, un miroir, peu de lumière
Le décor est noir, il ni a aucune lumière les seuls objets qui si trouve sont deux chaises
pour donner un effet de grandeur et pour inclure le publique dans la scène pour ce qui est du décor Mais cela m’intéresse de voir la façon dont l'on a modernisé cette pièce
3) le public
Les personnes présentent sont très bruyantes
Mais aussi de la fille derrière qui se remet les cheveux chaque minute face a ce miroir.
Quand les acteurs rentrent en scène, la salle reste bruyante
4) les costumes
Le fait qu'il soit en habit moderne me surprend je pensais voir les personnages en habits d'époque
les personnages est d’immenses perruques sur leurs têtes et des costume ornés de dorure
5) personnages
D'Alceste apparaît un bouquet de fleure à la main,
C'est dommage, enfin bref, si je me trompe pas il s'agit d'Alceste qui à ce que je vois à rendez-vous avec Célimène puisqu'il tient un bouquet et regarde sans cesse sa montre
Sans aucune annonce les acteurs rentrent sur scène, un peu par surprise
je vois tout de suite la tension, de la distance entre Philinte et Alceste,
Le Misanthrope
1) Miroir et significations
Et surtout un miroir face a moi qui me rend mal à l'aise, comme si j'étais face à moi-même, ou encore moi même comédien avec l'impression d'être regarder par l'ensemble des spectateurs.
un miroir inhabituel qui me met mal à l'aise
faire partie de la pièce
sentiment de passer de spectateur à un élément du décor.
2) la scène vide
La scène est clair
Pas de rideau, pas de scène surélevé, pas de décoration
deux chaises
Cette pauvreté scénique permet aux spectateurs d'être plus attentif aux expressions du visages des comédiens ainsi qu'à leur dialogue
3) public
les personnes présente sont très bruyante, il ne manque plus que l'arrivé des acteurs.
4) les personnages
Alceste garde son langage d'époque mais ces vêtements sont moderne
Alceste a un bouquet de fleures
5 ) mise en scene
comédien entre en scène sans être annoncer , ni les fameux coup que l'on entend au début des pièce de théâtre, ni un lever de rideau, de plus dans le bruit. Il n'y a pas vraiment de début à la pièce en tous cas pas mis en avant.
deux personnages ont l'air de s'opposer comme le montre la couleur de leurs habits
lumières se tamisent
5) vetements
deux personnages ont l'air de s'opposer comme le montre la couleur de leurs habits
nous pouvons remarqué que les tenues des personnages sont identiques sauf à la couleur du tee-shirt
rouge, qui nous fait penser à la chaleur, la convivialité, l'amour
bleu, qui me fait penser au froid, sec qui n'attire point
1) le miroir
Scène semble vide
Mais aussi de la fille derrière qui se remet les cheveux chaque minute face a ce miroir
Et surtout un miroir face a moi qui me rend mal à l'aise, comme si j'étais face à moi-même, ou encore moi même comédien avec l'impression d'être regarder par l'ensemble des spectateurs.
La lumière qui éclair les acteurs me gène car elle éclair aussi le miroir en fond de scène qui m'intègre sur scène avec les acteurs
Cela me met plutôt mal à l’aise, j’ai le sentiment de passer de spectateur à un élément du décor.
Un miroir est en fond pour permette aux téléspectateurs de se regarder et peut être de se poser des questions sur lui même.
2) la scène vide
Pas de rideau, pas de scène surélevé, pas de décoration
Laisse un grand vide face à moi
Cette pauvreté scénique permet aux spectateurs d'être plus attentif aux expressions du visages des comédiens ainsi qu'à leur dialogue
3) public
Personnes présentes sont très bruyante
4) les costumes
Le fait qu'il soit en habit moderne me surprend je pensais voir les personnages en habits d'époque
5) Opposition des personnages
Ces deux personnages ont l'air de s'opposer comme le montre la couleur de leurs habits et grâce au miroir je vois comme un axe imaginaire qui les séparent lorsque Alceste s'est écarté de Philinthe.
ambiance glaciale entre les deux personnages
Ils sont chacun à un bout de la scène comme pour symboliser cela.
Les costumes sont assez moderne ce qui est paradoxalement opposé avec l'époque de cette pièce
6) Personnages
Puis le personnage d'Alceste apparaît un bouquet de fleure à la main, une démarche plutôt étrange lui est attribué.
pour finir je trouve que leur manière de parler ne correspond pas a leur maniere d'être habillé et ceci me gêne.
Alceste est renfermé sur lui même et refuse tout contact avec Philinte
En vous aidant des axes et des idées sélectionnées par vos camarades, vous écrirez votre texte final sur ce sujet:
Vous allez assister à la représentation d'une pièce que vous connaissez. Les lumières s'éteignent progressivement. Vous découvrez alors l'espace scénique. Faites part de vos réactions, de cette expérience des premiers instants du spectacle. Attention, il ne s'agit ni de raconter, ni de résumer la pièce.
votre texte devra suivre un plan, à la manière de ceux proposés par vos camarades (un paragraphe par partie). Évidemment, le plan ne doit pas être apparent dans votre texte.
Votre texte devra être riche en exemples (vous pouvez revisionner la scène en cliquant sur le lien:https://www.youtube.com/watch?v=12twXcL58YA) , en vocabulaire et en connaissances (aidez-vous des fiches sur la comédie, le théâtre classique et les théâtre français au XVIIème siècle faites en classe).
Vous devez également utiliser les sites indiqués aux commentaires 47 et 94.
En voyant les 2 personnages arriver sur la scène je suis étonner de pouvoir voir aussi bien devant que derrière eux. Je suis aussi surpris de voir qu'il on mis des costume du XXe au lieu des costumes du XVIIe siècle qui serai plus en rapport avec le langage parler. Je suis déçu ne voir aucune décor car on est Comme même dans un salon de noble, celui de Célimène. Je suis exaspérer d'entendre le bruit du public qui ne devrait faire aucun bruit comme la pièce à commencer. Je suis plutôt satisfait de voir que l'expression des personnages respecter durant la confrontation;
Je suis au premier rang j'attend avec impatience la représentation du misanthrope, j'apercois tout de suite un grand miroir devant moi c'est assez génant car on a une impression d'être vu par tout le monde comme les comédien qui sont sur scène et sa me rend très mâle a l'aise.Ensuite on remarque que la scène est vide, sa raisonne et le décor est très pauvre car la première chose qu'on peut voir c' est un miroir et on s'attendez plutôt a un rideau,la scène est elle aussi pauvre car il y a que deux chaise qui sont a l'opposer.Ensuite, j'ai remarquer que leur façon de parler ne va pas avec leur façon d'être habillé car ils ont des vêtement moderne et une façon de parler qui est ancienne.On remarque aussi que les personnage sont rarement proche ils sont souvent a l'opposé comme les deux chaise et sont très différent car ils n'ont pas la même manière de s'habiller.Le public est très bruyant même après l'entré des comédien.Et pour finir des le début on est sur que ces deux personnage ne sont pas de bon amie car la distance le prouve et la voix qui monte très vite.Le décor et la scène est tellement pauvre qu'on est très attentif a chaque mots qui sort de la bouche des comédien comme si on était en face d'eux.
Pour commencer, la scène est petite et complète ce qui fait du publique des "privilégiés" puisque il n'y a pas non plus beaucoup de places.Le publique est bruyant ce qui est plutôt normal mais ce qui nous interpelle c'est qu'ils le sont encore après l'entrée des comédiens.
L'espace scénique est mal répartis puisque la scène est occupé seulement de deux chaises collées à droite mais orientées vers le publique comme si les personnages interagissaient avec le publique; on pourrais s'attendre à quelque chose sur la gauche d'important puisque de la place y a été faite.Face au publique ,disposé derrière la scène , un grand miroir.Le publique est littéralement sur la scène et est donc plus attiré par ce qui s'y passe.Les lumières sont orientées sur l'ensemble de la scène et non pas seulement sur les chaises ce qui signifie que plus tard toute la scène sera utilisée.
Ensuite, deux personnages arrivent , Alceste puis Philinte, les deux vêtues d’habit plutôt moderne et très "professionnel", ce qui est paradoxale à l'époque. les deux personnages sont très expressif et parle avec beaucoup de gestuelle, on peut comprendre en cela qu'ils sont sois nerveux sois incompris de l'autre puisque les paroles ne suffisent pas la gestuelle pourrais se faire comprendre par l'autre. Alceste me fait penser a Joker dans Batman dans son smoking noir et ses larges expressions corporelle. le manque d'objet incite les spectateurs à être attentif aux expressions des comédiens.Les deux personnages sont habillés de la même façon sauf que Alceste porte un polo rouge tandis que Philinte en porte un vert signe peut-être pour bien les distingués et pour comprendre qu'ils sont bien différents. Alceste porte une montre et la regarde a plusieurs reprise, nous pouvons imaginer qu'il est impatient, nerveux ou tout simplement il attend quelque chose.Il est aussi équipé d'un bouquet de fleur, signe qu'il attend peut-être sa bien aimée.
Un débat s'offre alors entre les deux personnages qui sont écartés puisque Alceste qui " n'est point l'ami du genre humain" c'est décalés pour être plus loin de Philinte , signe qu'ils sont bien différents.
Tout d'abord la scène me semble vide. La scène ne dispose que d'un miroir face aux spectateurs qui me rend mal à l'aise car j'ai l'impression d'être regardée par l'ensemble des spectateurs.
Ma réaction face aux premiers instants du spectacle est que je suis étonnée par la noirceur de ce passage, je vois tout de suite la tension, de la distance entre Phillinte et Alceste, la scène est obscure, vide.
Les personnages sont éloignés, ils sont chacun d'un côté de la scène, les regards se croisent, ils sont focalisés dans leur conversation et ne font pas attention à ce qui les entourent.
Derrière eux se trouve un miroir qui reflète les spectateurs, ce qui peut rendre mal à l'aise et qui est inhabituel.
Le langage reste très soutenu, ce qui contraste avec l'apparence des personnages.
Les costumes sont assez moderne ce qui est paradoxalement opposé avec l'époque de cette pièce.
Cependant la pièce reste la même, mais on peut dire qu'elle a fait un voyage dans le temps, à travers cet extrait nous pouvons mieux comprendre cette pièce.
Je suis assise au deuxième rang, immédiatement je remarque le grand miroir se trouvant face à moi au fond de la scène, il me met assez mal à l'aise, c'est comme si j'étais face à moi même, j'ai l'impression d'être regardé par l'ensemble des spectateurs, de plus me trouvant près de la scène, la lumière éclairant les acteurs m'éclaire aussi,ce qui me met encore plus mal à l'aise.
Je suis surprise de l'absence de rideaux, curieux pour le théâtre. La scène est pauvre en décor, il n'y a que deux chaises et le miroir, l'éclairage est peu intense. Il est noir et les deux seules chaises sont ici pour donner un effet de grandeur et pour inclure le public dans la scène, la modélisation de cette pièce est tout de même intéressante.
Dans la salle, le public est très bruyant et le reste même quand les acteurs entrent en scène, le théâtre est censé être un endroit où les personnes se retiennent de parler.
En ce qui concerne les acteurs, ils sont habillés de costumes modernes, ce qui est surprenant pour une pièce du XIIe siècle, je m'attendais plutôt à voir des costumes d'époques.
Les personnages présents dans ce début de pièce sont Alceste et Philinthe, Alceste apparaît tenant un bouquet de fleurs, il regarde sans cesse sa montre, je penses qu'il a rendez-vous avec Célimène. Je remarque tout de suite la tension entre les deux individus, Alceste s'écarte de Philinthe et avec le miroir j'ai l'impression qu'un axe imaginaire les séparent. Le misanthrope d'un coté et le philanthrope de l'autre. Cela se voit aussi avec leurs habits, les couleurs sont opposées.
Théâtre National de Strasbourg, 20h30, me voilà assise au premier rang, dans un fauteuil rouge. J’attends avec impatience que le Misanthrope de Molière, une comédie du théâtre classique du XII° siècle, débute.
Tout d’abord, je remarque que l’espace scénique n’est pas caché par un rideau. A ce moment là, je me demande s’il va y avoir les trois coups de bâton habituel lors l’ouverture du rideau. Puis, j’aperçois la présence d’un immense miroir sur la partie de la scène la plus éloignée, le lointain. La lumière, qui éclaire la scène, me gène car elle m’éclaire aussi par le miroir, ce qui me donne l’impression d’être avec les acteurs dans le salon de Célimène. Le décor est très sobre, il n’y a que deux chaises présentes sur le plateau. Plus tars, un lit vient compléter le décor. Le choix de cette pauvreté scénique est peut être fait pour obliger les spectateurs à être plus attentifs aux expressions des visages des comédiens ainsi qu’à leurs dialogues.
Tout à coup, arrive Alceste par le côté cour muni d’un bouquet de fleurs à la main, suivi rapidement par Philinte. Je remarque immédiatement que ces deux personnages se ressemblent un peu grâce à leur même costume, à leur même allure. En effet, ils sont vêtus un costume moderne ce qui me surprend car je m’attendais à ce qu’ils portent des habits de l’époque. Cet anachronisme me gène. Néanmoins, Alceste est vêtu d’un tee-shirt bleu tandis que Philinte porte un tee-shirt rouge. Ces couleurs opposées sont un reflet des caractères de chacun. Alceste a l’air nerveux, agacé ; il regarde sa montre sans cesse. Il doit attendre sa bien-aimée. Oronte, lui, est vêtu d’une chemise largement ouverte, avec une coiffure originale. Il me fait plus penser à un clown qu’à un poète. Son allure et son attitude ne prêtent pas à le prendre au sérieux.
Quant à la mise en scène, sur le plateau, deux chaises sont côte à côte au départ mais Alceste va éloigner sa chaise de celle de Philinte pour montrer leur désaccord. Ils sont dorénavant assis au lointain, à l’opposé sur la scène. A présent, grâce au miroir, je vois comme un axe imaginaire qui les sépare. D’un coup, Philinte se rapproche avec sa chaise de son ami. Je comprends donc que le sujet de conversation est devenu plus intime. Ils parlent de Célimène et d’amour.
C’est à ce moment là, à la fin du premier acte que je me demande comment cette pièce avec ce décor, cette mise en scène et ces personnages sera reçu par l’ensemble des spectateurs.
Je bien installé dans mon fauteuil et je suis impatient à l'idée de voir comment cette pièce va être mise en scène car à chacune des représentations du Misanthrope de Molière le décor était différent comme le jeu d'acteur, assis dans mon siège je remarque la présence d'un miroir, ce qui d’ailleurs cause l'interrogation général des spectateurs qui m'entourent. Bizarrement, les trois coups attirant le calme et la concentration du spectateur ne retentissent pas. Mais le premiers acteur entre en scène , la pièce commence.
Lorsque les deux premiers acteurs entre en scène je me rend compte du décors qui est bien trop simple à mon goût et le fait qu'il n'y ai que deux chaises cote à cote renforce mes railleries, les lumières quand à elles sont tout aussi simples il n'y aucun jeu de lumière.
Les deux acteurs qui se présentent à nous ne sont autre que Alceste et Philinte. Je suis intrigué par leurs accoutrements qui ne sont pour moi pas appropriés à l'époque où ce déroule cette pièce, ensuite Alceste tiens dans sa main un bouquet de fleurs sans doute destiné à Célimène plus tard dans la pièce. Le visage froid et le corps tremblant de Alceste ne me laissent pas indifférents. J'ai l'impression d’éprouvé un sentiment de tristesse pour Alceste.
Après avoir observé chaque détails de cette mise en scène je repose ma tête confortablement contre le fauteuil et détendu, je profite de cette pièce.
Je suis actuellement assise au troisième rang, entourée d'autre personnes venues au théâtre pour la même raison que la mienne. Nous allons assister à la représentation du Misanthrope, pièce de théâtre écrite par Molière en 1666. Je suis bien installée, mais quand je relève la tête, j’aperçois un miroir, couvrant tout le mur face au public. Je suis assez amusée de voir tous le monde autour de moi regarder également le miroir. C'est une idée assez originale. Nous parlions tranquillement quand soudain, les trois coups retentirent, plongeant la salle dans un vaste silence.
Deux hommes montent sur scène afin de se montrer au public. Contre toute attente, leur costume de scène est assez moderne, tout droit sortit du XXIème siècle. Je trouve cela assez dommage étant donné que la pièce est censée se déroulée au XVIIème siècle. Ces costumes ne nous intègrent pas vraiment dans l'ambiance de la pièce.
Deuxièmement, je trouve que les personnages intègrent parfaitement bien leur rôle. Le comédien jouant Alceste sait particulièrement montrer la révolte qui s'imprègne de lui, et montrer l'indignation qu'il a contre Philinte, et ce dernier montre parfaitement bien la gêne et la stupéfaction qu'il a contre le comportement de son ami. On voit bien qu'il essaye de le remettre sur le droit chemin mais peu à peu, nous voyons qu'il est de moins en moins confiant. Il se rend compte que rien ne pourra changer le comportement d'Alceste.
Nous allons finalement parler du décor de la scène. Je le trouve assez pauvre en éléments, mise à part deux chaises, posées contre un énorme miroir qui orne le mur côté lointain du plancher. Les deux personnages sont assis sur leur chaise pendant presque toute la première partie, signe qu'ils sont tout de même assez calmes. Mais ceci s'arrête à la levée d'Alceste, révolté par les paroles de Philinte. Alceste s'approche donc de la face du plancher et paraît entrer en interaction avec les spectateurs. Comme si ses paroles nous étaient adressées. De plus, le miroir reflète Philinte et Alceste, comme si celui-ci était une barrière, ou une protection protégeant Alceste, misanthrope, de Philinte, plutôt philanthrope. C'est comme si Alceste ne voulait plus rien avoir à faire avec ce dernier.
La pièce va bientôt commencer, je suis impatiente de voir la mise en scène du Misanthrope que j’ai tant aimé lire. Je me suis installée au troisième rang. Au premier abord je suis surprise… en face de moi, un miroir immense domine le fond de la scène. Il prend une place colossale dans le théâtre. Il me donne l’impression d’être sur scène, j’ai le sentiment que les regards sont fixés sur moi et c’est assez stressant. Ce miroir me gêne et je pense qu’il va me gêner tout au long de la pièce. De plus le décor est assez pauvre deux chaises sont placée l’une à côté de l’autre au centre de la scène. Je pensais que le décor serait plus riche ce qui me déçois.
La salle est très bruyante et à ma grande surprise l’arrivée des comédiens sur scène n’est pas annoncée par les coups habituellement donnés au théâtre, ce qui fait que la salle met du temps à se taire. Si au moins il y avait eu un rideau pour cacher la scène, l’arrivée des acteurs aurait été davantage marquée, et le public se serait tût plus rapidement.
Le premier personnage fait son entrée sur scène, je suis choquée de voir un homme arriver en tenue moderne je m’attendais à des personnages portant des costumes de l’époque de Molière. Il s’assoit sur la chaise de gauche et tient un bouquet de fleurs. Je pense que c’est Alceste qui a rendez-vous avec Célimène mais je n’en suis pas sûre. Un second personnage arrive et la réaction du premier personnage me prouve qu’il s’agit bien d’Alceste qui déplace sa chaise pour s’éloigner de Philinte. Lorsque le dialogue commence entre les deux personnages un réel décalage se produit entre leurs costumes et leur façon de parler, ce qui est assez déroutant. Ils sont habillés de la même manière, seule la couleur de leur chemise est différente : celle d’Alceste est bleue qui est une couleur froide et sèche alors que Philinte porte une chemise rouge qui rappelle la chaleur, la convivialité et l’amour. Cette légère différence marque une forte opposition entre les deux personnages qui sont tous les deux des extrémités : d’un côté le misanthrope caractérisé par la couleur bleue de l’autre le philanthrope caractérisé lui par la couleur rouge. Je me rends à présent compte de l’utilité du miroir qui trace un axe de symétrie invisible entre les personnages et les met en opposition, le fait que le public se reflète à l’intérieur donne l’impression qu’il faut prendre partit pour l’un ou l’autre des deux personnages. De plus le miroir nous permet de voir les personnages sous deux angles (c’est sûrement pour rappeler aux spectateurs qu’il faut regarder la pièce sous plusieurs angles la vision d’Alceste d’un côté celle de Philinte de l’autre).
On voit bien que Molière renouvelle le genre de la farce à son époque car il ne respecte pas les « règles » du théâtre classique, où les personnages nobles et les alexandrins sont réservés à la tragédie. Ce qui donne à sa pièce toute sa spécificité.
Me voilà assis au premier rang, près a regardé la pièce. mais au bout de quelque seconde mon regard se posa sur mon reflet, oui mon reflet dans se miroir au fond de la scène. Toute les personnes présente peuvent me voir dans se miroir, se qui me met vite mal alaise. J'ai déjà l'impression d'être l'acteur sur scène, je n'ai jamais vu cela dans un théâtre. Sans parler de cette dame a côté de moi qui ne cesse de me regardé dans le miroir, c'est anormal que l'on puisse m'observer en tant que spectateur.
La pièce ne commençant pas les personne présentes sont extrêmement bruyantes, il est tant que les acteurs arrive pour n'entendre plus qu'eux.
A les voilà, il rendre sans prévenir et ils reste au fond de la scène sur leur chaises. Les costumes sont moderne, Alceste pour le même t-shirt que moi mais lui à pensé au bouquet. Philinte et Alceste ont un language d'époque avec une carrure moderne mais je vois au moin un avantage a cette scène, c'est que l'on a que les acteurs sur qui se concentré.
Je suis assise au troisième rang, les lumières s’éteignent progressivement.
Je remarque immédiatement, un mystérieux miroir, de la longueur de la scène, face à moi, qui me rend mal à l’aise, comme si j’étais face à moi-même, où encore moi-même comédiens avec l’impression d’être regarder par l’ensemble du public. Le fait que ce miroir soit face à moi me donne l’impression de passer de spectateurs à éléments de décor. Il me permet également de me remettre en questions. En ce qui concerne la lumière, elle me dérange, me gène, car elle éclaire le miroir qui m’intègre sur scène avec les comédiens.
Je suis surprise de l’absence de rideaux, de scène surélevée pour séparer le public et l’espace scénique, ce qui est étrange pour une pièce de théâtre. Mais cela permet de crée directement un lien entre les spectateurs et les comédiens. Cette particularité permet de crée un effet de grandeur et d’inclure le publique sur la scène. De plus, la scène est pauvre en décor, il n’y a que deux chaises et un miroir. Le décor est sombre, seules les deux chaises sont ici pour me modéliser un grand vide face à moi. Cette pauvreté scénique permet aux spectateurs d’être plus attentifs, de faire attention aux détails, aux tonalités de voix, aux expressions du visage des comédiens ainsi qu’à leur dialogue.
Je suis surprise, mais aussi agacé, du bruit des spectateurs qui interagissent, rigolent entre eux en attendant les comédiens. A ma grande stupéfaction les bruits persistent à l’arrivée des comédiens ce qui me laisse dans l’incompréhension la plus totale. Comme si le public n’écoutait pas la pièce.
Je suis étonné que la dramaturgie ne soit pas plus présente, en effet, ni les fameux coups de théâtre, ni le fameux levé de rideau n’annonce le début de la pièce, comme si il n’y avait pas de début du moins pas prononcer
Je suis troublé par le fait que les deux comédiens rentrent sur scène sans être annoncé. Les deux personnages présents dans ce début de pièce sont Alceste et Philinte. Alceste est le premier personnage à rentrer sur scène un bouquet de fleur à la main, ce que je trouve étrange pour le rôle qu’il joue, le fait qu’il regarde sans cesse sa montre m’intrigue, je pense donc qu’il a rendez vous avec Célimène. A l’arrivée de Philinte, je vois tout de suite une tension, distance entre les deux personnages, l’ambiance est glacial. En effet, Alceste est renfermé sur lui-même et refuse tous contact avec Philinte. De plus leur manière de parler ne correspond pas à leur manière d’être habillé ce qui me dérange.
Je suis étonnée lorsque je vois les costumes. Je l’ai imaginais d’époque avec de grandes perruques, des costumes ornés de dorure .Dès l’arrivée des comédiens je m’aperçois que leur costumes sont modernes, ce qui est étrange pour une pièce du XVIIème siècle. Leurs costumes sont pareils, identiques à une différence près la couleur de leur tee-shirt, l’un avec un tee-shirt rouge qui me fais penser à la chaleur, convivialité, mais aussi à l’amour, et, l’autre avec un tee-shirt bleu qui me fais penser à un personnage froid, pas conviviale. Ce qui me donne l’impression qu’un axe de symétrie imaginaire les sépare. Comme si Alceste et Philinte étaient des jumeaux opposés.
Je suis assise au premier rang. Je remarque alors sur le coup que la scène est vide, orner dans le fond d'un gigantesque miroir qui me met mal à l'aise. Celui ci m'intrigue énormément car tout abord ceci n'est pas communs au salle de théâtre, puis en l'absence de rideaux, ce miroir reflète notre silhouette ce qui nous fait participer au décors de la scène.
Je remarque aussi la pauvreté de la scène qui ne comporte que deux chaise. Rien d'autre ni est présent. Cependant les deux chaise sont mis en valeur par l'éclairage.
J'attends le début de la pièce dans un brouhaha. le public parait agiter, mais surtout oppresser dans la salle. La pièce commence sans un moment précis différent d'un théâtre traditionnelle, ainsi le calme règne.
A l'entrée des personnages, je remarque Alceste avec un bouquet a la main et Philinte le suivant, les deux personnages qui sont censé être amis sont séparer par le déplacement de la chaise d'Alceste qui marque un axe imaginaire entre les deux personnages qui peut rejoindre l'axe qui les sépare dans leur façon de penser quand nous connaissant l'histoire. Alceste est sur de lui, agressif , tant dis que Philinte, lui, est calme , posé, ne cherche qu'a adoucir leur dialogue fâcheux.
Enfin , je remarque que les deux personnage ne porte pas de costume d'époque. Ils sont tous deux habiller pareil excepté la couleur de leur tee-shirt. Alceste porte un tee-shirt bleu ce qui me fait penser au repoussement, froid et Philinte, lui, porte un tee-shirt rouge qui me fait penser a la convivialité, l'amour. Ainsi, leur tenue rejoint le terme " jumeaux opposés" les désignant.
Je suis assise au deuxième rang. J’aperçois immédiatement le grand miroir. Il est présent sur toute la longueur de la scène. Il se situe juste devant moi et en le regardant je peux me voir ainsi que tout le reste de la salle. Cette vision est assez troublante car j’ai l’impression d’être un élément du décor de cette pièce de théâtre. Je remarque aussi que le décor est vraiment très sobre, en effet il n’y a que deux chaises en bois présentent sur scène et pourtant cette scène est d’une grandeur assez imposante. La luminosité de la salle n’est pas très vive. Les spectateurs qui attendent que la pièce commence, sont très bruyants ce qui est gênant pour les autres spectateurs.
Ensuite, quand le premier personnage, qui est Alceste, fait son apparition mon regard est immédiatement attiré vers son costume qui me déçoit fortement. J’aurai plutôt imaginé des acteurs portant des habits de l’époque et non des habits modernes. En effet, je trouve cela assez étrange que les acteurs soient habillés à la manière de notre époque alors que c’est une pièce datant du XVII ème siècle. On peut voir aussi qu’Alceste parait pressé ou attendant quelque chose car il regarde sans cesse sa montre. L’attitude d’Alceste, me fait penser qu’il a rendez-vous avec quelqu’un car il regarde sans cesse sa montre et qu’il est entré avec un bouquet de fleurs à la main.
Puis, entre en scène le deuxième personnage, Plilinte. Les deux hommes se regardent à peine, et au moment où Philinte s’installe sur la chaise à côté d’Alceste, ce dernier prend sa chaise, va s’installer à l’autre bout de la scène en l’ignorant. On peut également remarquer que la couleur rouge du teeshirt d’Alceste s’oppose au bleu du teeshirt de Philinte. Une ambiance froide règne alors sur scène.
Je suis assis au premier rang, la scene me semble tres petite de mon point de vue. Le public est assez bruyant ce qui me derange pour regarder la piece.
Je trouve que l'espace est assez mal reparti car sur la scene, on y trouve seulement deux chaises l'une a coté de l'autre ce qui un sentiment de vide.
Le miroir me fait l'impression d'etre avec les acteurs sur scene et qu'a tout moment je peux interagir dans leur dialogue. Je suis assez intrigué car les lumieres de la scene sont centrées dessus et non sur les acteurs, la scene aura peut etre une autre utilité.
Viens le moment ou les philinte et alceste montent sur scene, je suis choqué de voir que leur costumes sont ceux du XXI eme siecle et non de l'epoque. Les personnages sont tres mobiles et parlent avec un ton approprié, ce qui me fait croire que malgré leur costumes, je suis bien a l'ancienne epoque. Les deux personnages ne sont pas habillés de la meme facon, peut etre pour montrer leurs differences ?
Alceste regarde sa montre a plusieurs reprises, quelqu'un d'autre va peut etre arrivé, ce qui m'impatiente de plus en plus.
Installée sur mon siège au troisième rang, j’attends que la pièce commence quand tout à coup, un comédien monte sur scène un bouquet de fleurs à la main. Une démarche plutôt étrange lui est attribuée. Je devine que c’est Alceste. Je remarque qu’il attend quelqu’un et que son bouquet est donc pour cette personne qui doit surement être Célimène.
Ensuite Je trouve le décor assez pauvre étant donné qu’il n’y a que deux chaises sur scène, cela me parait donc vide, je trouve qu’il manque quelque chose.je remarque également immédiatement l’absence de rideaux. Cependant ce qui m’étonne le plus c’est ce fond qui est un grand miroir. C’est étrange car j’ai l’impression de faire partie de la pièce. Cela me met plutôt mal à l’aise, j’ai le sentiment de passer de spectateur à un élément du décor. De plus la lumière qui éclaire les acteurs me gêne car elle éclaire aussi le miroir en fond de scène qui m'intègre sur scène avec les acteurs.
La mise en scène est particulière, Les comédiens rentrant sur scène ne sont pas annoncés, et il n’y a également pas les fameux coups que l'on entend au début des pièces de théâtre. Il n'y a pas vraiment de début à la pièce en tous cas pas mis en avant. Pour finir je trouve que leur manière de parler ne correspond pas à leur manière d'être habillé et ceci me gêne.
Je suis enfin arriver à la grande salle de ce beau théâtre ou j'y suis allée très rarement. Je m'assoie, par chance, au premier rang et j'ai qu'une hâte, que le spectacle commence. Tout à coup, les lumières s’éteignent, pas de rideau bizarre pour un théâtre mais se n'est pas important; ça commence.
Je suis confortablement installée au premier rang, à l'attente du début de cette pièce que je connait bien. La salle est bruyante, et les personnes assez nombreuses.
Enfin, un acteur rentre, je suis surprise de ne pas avoir entendu les 3 coups annonçant normalement le commencement de la pièce ; de plus l'acteur, Alceste apparemment est vêtu de façon moderne, je m'attendait a ceux que les acteurs soit vêtus a la manière du 17eme siècles, le décor est uniquement composé de 2 chaises mais un immense miroir me reflète, moi et le public et nous intègrent d'une certaine manière a la pièce, comme si l'on fessait partie de la société...
Alceste tient un bouquet a la main et ne cesse de regarder sa montre, il doit avoir rendez vous avec la coquette Célimène. Peut de temps après un homme vêtu de façon presque identique, et qui lui lui ressemble un peu d’ailleurs, ce doit être Philinte. L'ambiance semble être assez tendu entre ces deux faux jumeaux, Alceste reproche a Phillinte de faire preuve d'hypocrisie en vers des gens de la cours.
Alceste donne l'impression de tout savoir, et ne semble pas apprécier la société qui l'entoure.
Je suis au théâtre national de Strasbourg, pour assister à la mise en scène du " Misanthrope " de Molière. Je suis installée au 2émé rang, place parfaite, puisque je vois très bien la scène. D’ailleurs quelque chose me dérange. Le rideau rouge, oui, il n'y en a pas, rien qu'une grande scène vide avec seulement deux chaises placé l'une a coté de l'autre, et un énorme miroir au fond.
La pièce commence, aucun coups pour annoncer le début de la pièce. Je m’aperçois qu'il y a toujours du bruit dans la salle même après l'arrivée du premier personnage, je trouve cela très irrespectueux. A ma grande surprise, les comédiens ne sont pas habillés en costumes d'époques ce qui ne respect pas l'une des règles, de la comédie qui est d'avoir des personnages déguisés. Ils sont habillés comme dans la vie de tous les jours. Pour l'instant, tous est décevant de mon point de vue. J'aurais aimé des costumes, des décors, le respect des règles du théâtre ( les trois coups, le rideau qui s'ouvre au commencement de la pièce ). Cependant, le plus important reste le jeu des comédiens, j'attends donc que cela commence. Je remarque un échange avec le public. En effet, la première chose que font les comédiens en entrant sur scène est de nous regarder quelques secondes puis retourner à leurs occupations. Enfin, le jeu des acteurs commence. Il n'est pas naturel,les gestes et les paroles, tous est surfait, exagéré, ce qui ne reflète pas l'une des règles du théâtre classique qui est d'imiter le réel.Je viens de m'installer dans mon fauteuil, je discute avec mon amis. La je vois le rideau qui se lève.Je me tait. Et je suis surpris! Il y a un miroir ce qui causa un vacarme pas possible. Je remarque que le décor est vide, juste deux chaises. Cela promet un très bonne pièce ! :-C . J’espère au moins que les acteurs sont bons !
La scène débute. Je vois arriver deux acteurs qui sont vêtus de costumes de l'époque moderne. Bon Dieux !! Le Misanthrope est une pièce du XVII siècle, les acteurs devrait-être en costumes du XVII siècle. Pour moi cette pièce débute mal ! Les deux acteurs représenté sont Alceste, celui en bleu, et Philinte,celui en rouge. Alceste s'assoie. Philinte arrive et là Alceste s'éloigne de lui. Je comprends plus le vide du décor. Il permet de montrer la distance et le désaccord (qui représente la colère d'Alceste envers Philinte ) ! Je voie que les acteurs jouent bien, cela me plait fort ! Mais ce qui est dommage,c'est leur costume cela me pose un soucis vu qu'il ne sont pas dans le thème du XVII siècle et je n'arrive pas à bien m'imaginer à cette époque . Mais bon reste à voir la suite de la pièce ...
Me voilà dans la salle, je suis assise sur mon siège en aillant en tête le mauvais souvenir de la lecture de la pièce qui n'attirait pas du tout mon attention. La pièce n'a pas encore commencé mais les rideaux sont absents, la scène est déjà éclairée, les gens parlent tous entre eux ce qui donne l'impression que la scène a déjà commencée sans que personne ne s'en est rendu compte.
Ah ! Me voilà enfin assise. Après une heure de queue ce siège rouge est le bien venu. Il y a beaucoup de brouhaha, pour finalement pas tant de monde que ça. Mais bon, ce n'est pas ce qui va m'empêcher de prendre du plaisir devant cette représentation du Misanthrope de Molière. J'espère être surprise par la mise en scène, qu'elle ne soit pas trop ... "Vieillotte".
Je suis bien installé dans mon fauteuil et je suis impatient à l'idée de voir comment cette pièce va être mise en scène je vais assister à la représentation du Misanthrope. Je remarque un miroir qui me donne une impression de vide et de froideur, ce genre de miroir n'es pas commun dans une salle de théâtre.
J'observe ensuite que la scène est très vide, elle n'est composer que de deux chaise qui sont d’ailleurs mise en valeur par l’éclairage.
Viens le moment où les deux hommes montes sur scène, contre toute attente leurs costumes semble plus tôt récent, je trouve ce détail assez dérangeant car cette scène est sansser ce passer au XVII° siècle.
Pour continuer je trouve les jeux d'acteur vraiment bien, on ressent exactement les émotions que molière a voulu faire paraître dans ça pièce comme par exemple le rejet de la société par Alceste et incompréhension de la part de philinte.
Pour finir je trouve ce début de scène très surprenant car les règles du théâtre classique ne sembles pas respecter comme par exemples pour les trois coup et le lever de rideaux qui sont totalement absent.
Installée sur mon siège, j'attends que les trois coups retentissent. Aussitôt dit aussitôt fait, l'empressement s'empare et de moi et j'ai pour seule hâte de découvrir les personnages. Quand tout a coup Alceste monte sur scène un bouquet de fleurs a la main, celui attends quelqu'un j'en conclus alors que cette personne doit être Celimene son amante. Philinte entre ensuite sur scène.
Me voici assis au second rang de ce théâtre particulier.
Une faible lueur éclaire la salle, pour nous plonger dans une atmosphère intrigante.
Contrairement au théâtre classique, il n'y a pas de rideau, en nous installant nous découvrons de suite le décor.
Mis à part ça, le décor est très vide, seulement deux chaises sont visibles sur scène, l'espace semble vraiment vide ce qui rend cette salle plus grande.
Tout à coup, sans annonce un comédien entre sur scène, puis un second. Le public ne se tut point,toujours une rumeur persistance, comme si personne n'avais fais attention à l'entrée de l'acteur. En effet les fameux "trois coups' n'ont pas retentit, encore un détail qui change de l’ordinaire.
Je remarque que les deux acteurs sont habillés non pas avec des costumes d'époque, mais plus récent. Je ne m'attendais pas à cela, en effet je les imaginais avec des tenues plus extravagante, là on pourrait penser à une adaptation pour notre époque.
Sur scène les 2 comédiens sont tout à fait opposé, en effet Alceste et Philinte sont à une extrémité chacun de la scène. L'un est habillé de rouge, l'autre de bleu, un détail montrant encore plus leur opposition à la fois physiquement et dans leur caractère.
Alceste un bouquet de fleur à la main semble énerver, éxciter, nerveux et reproche de nombreuses choses à son ami. Philinte quand à lui est accusé, il semble tel un enfant prit en train de faire une "bêtise". Il essaye de se justifier. Ces 2 personnages peuvent vraiment nous faire penser à des enfants se disputant pour n'importe quoi.
L'ambiance est donc asser tendue du fait de la froideur et de la tension entre Alceste et Philinte.
Je suis enfin arrivé dans la salle je suis maintenant assis depuis une vingtaine de minute. Je remarque enfin ce grand miroir aussi, qu'on ne peut pas louper, il me donne l'étrange impression d'être regardé de tous coté de la pièce.
En ce premier jour de décembre, je me rend au théâtre de Paris afin de découvrir la comédie "le Misanthrope" du 1666, le chef d'œuvre de Molière. J'ai pris tant de goût a lire ce livre que j'attend beaucoup de cette pièce.
Pour commencer, je m'installe au troisième rangs où d'ici j'ai une vie imprenable sur la scène entière qui toute fois n'est pas bien grande. Je suis outrée du fonds sonores que produisent les spectateurs tout au long de la pièce, ce qui me semble irrespectueux à l'égard des acteurs même suce la ne les perturbe point, je me sens oppressé.
À ma grande surprise on distingue a peine le début de la pièce car il n'est marqué d'aucun signal, pas même un lève de rideaux ce qui est stupéfiant puisque je suis habituée aux coups de théâtre, des entrées comiques. Or, Alceste fait une entrée calme avec un air attristé avec un bouquet de fleurs à la main sans doute pour sa bien-aimée qu'il attend avec impatience. Tandis que, le second personnage, Philinte semble plus gai.
Ensuite, je suis étonnée de la mise en scène et notamment du décor incomplet. En effet, seulement deux chaises sont disposées sur la scène ainsi que un grand miroir parallèle aux spectateurs. Cet élément colossal est perturbateur, je me demande pourquoi est-il placé ici, ce qui est inhabituel au théâtre. Chaque personne présente ce soir fait ainsi partie de la pièce, ce qui peut nous donner un sentiment d'importance. Un jeu de lumière est également mît en place. De ma place, je suis légèrement éblouie par les reflet des éclairage dans le miroir.
De plus, je suis pour le moins déçue des tenus vestimentaires des deux hommes. Ces personnages nobles devraient d'après moi porter des costumes d'époque plutôt des tenus basiques du XXIe siècle. Heureusement, les vers utilisés nous démontrent que ce n'est pas une pièce de XXIe siècle. Néanmoins, ces oppositions me paraissent anormales.
Finalement, je suis abasourdie de certains détails de la pièce qui est bien différente des pièces habituelles. Cependant, je remarque des interactions avec le public et cela m'a divertie or ce sont des caractéristiques propre de la comédie influencée par le théâtre italien (la commedia dell arte).
La pièce va bientôt commencer. Je suis assise au troisième rang.
D’emblée, je vois ce miroir, il me met très mal à l’aise comme si j’étais face à moi-même, ou encore il me donne l’impression d’être un comédien sur cette scène avec le regard de l’ensemble des spectateurs pointé sur moi car la lumière éclaire les comédiens et le miroir, donc il m’éclaire aussi. Après une minute de représentation, je me dis que ce miroir est là comme fond de scène pour permettre aux spectateurs et à moi-même de pouvoir se regarder ou peut-être même pour que l’on puisse se poser des questions. De plus, à travers ce miroir, je remarque cette fille qui se remet les cheveux sans cesse chaque minute, ce qui ne me permet pas de me concentrer à cent pour cent dans la représentation.
Ensuite, la scène me paraît vraiment vide, je remarque l’absence de rideaux, ce qui me surprend car en général, au début d’une pièce, il y a toujours ces rideaux qui s’ouvrent pour nous « dire » que la pièce de théâtre va commencer. Il n’y a pas de scène surélevée, pas de décoration ce qui me déçoit un peu, moi qui m’attendais à une scène d’époque ! Tout comme les costumes, les comédiens sont habillés de façon moderne ! Mais je trouve cela quand même bien d’un coté, cette pauvreté scénique, car cela nous permet de plus nous concentrer sur les expressions du visage des comédiens et d’être plus attentif à leurs dialogues.
De plus, je n’arrive pas toujours à rester concentrer dans la représentation car, autour de moi, les personnes présentent sont très bruyantes. Chaque personne parle avec son voisin, cela fait un bruit de fond et on ne peut pas entendre les répliques des comédiens entièrement.
Pendant la représentation, je remarque une opposition entre les deux personnages principaux, Alceste et Philinthe, qui sont opposés par la couleur de leurs habits et grâce au miroir, je vois comme un axe imaginaire qui les sépare lorsqu’Alceste s’écarte de Philinthe, ce qui nous met tout de suite dans une ambiance un petit peu glaciale entre les deux personnages. Ils sont assis chacun à un bout de la scène, et à ce moment là, Alceste nous est présenté comme un personnage renfermé sur lui-même refusant tout contact avec Philinthe.
Pour conclure, je trouve que cette pièce ne correspond pas à mes attentes car je m’étais plus basé sur une atmosphère de l’époque. La manière de parler des comédiens ne correspond pas à leur manière d’être vêtus, ce qui me dérange un petit peu.
Je me trouve au premier rang. Je suis étonné de la présence de ce miroir, plutôt inhabituelle. Il me rend mal a l'aise, je me sens intégré dans le décor, comme si je faisais partie de la scène. J'ai l'impression d'être observé par l'ensemble des spectateurs, c'est très dérangeant. Je me demande ce que je ferai si j'étais vraiment sur cette scène.
L'espace snénique est, ma foi, assez pauvre et sinistre, seulement deux chaises en bois sont présentent, rien de plus, il n'y a pas de rideau. Cela laisse un grand vide face a moi. Cette pauvreté permet sans doute de prêter plus forte attention aux expressions du visage des personnages, ainsi qu'à leurs gestes, leurs mimiques.
L'entrée en scène des personnages est incroyablement inhabituelle. Aucun signe, mise a part l'entrée des personnages, ne montre le début de la pièce. Les personnages sont habillés de manière étonnante, avec des habits de notre époque, je m'attendais à les voir habillés de manière plus ancienne.
Les personnages sont distants l'un de l'autre, et ils sont distants des spectateurs. Ils ont l'air de s'opposer, de part la couleur de leurs vêtements, mais aussi a cause du miroir, qui me laisse imaginer une séparation entre eux. L'opposition est très présente sur scène, l'opposition de la réalité et de l'image que reflètent les personnages avec ce miroir. L'opposition de la couleur des vêtements, l'opposition entre les personnages, l'ambiance est froide et paraît fragile, les costumes sont récents contrairement aux vêtement que portaient les personnages à l'époque. Il y a aussi une opposition entre la manière de s'habiller, et la manière de parler et la gestuelle des personnages.
En premier lieu je découvre une pièce remplie de gens, tous discute et il y a un beaucoup de bruit, j’espere que il ni en aura pas pendant la représentation et que je vais pouvoir rentrer dans l’univers du théâtre. En face de moi une grande scène qui sera la première chose et la dernière de cette représentation que je pourrais voire. De nombreuses personnes discutent autour de moi et certaines échangent au sujet de la pièce qui va se jouer dans quelques instants.
Même pas les 3coupes! Je suis un peu dessus mais bous la scène commence .
On constate deux chaise et un miroir, ce miroir double la pièce, elle parais effectivement plus grande et moins close, je vois mon reflet dans ce miroir et cela me fait réfléchir a ce qu’il va se passer dans cette pièce et surtout a la première chose que je verrais, mais sur cette scène je remarque que puisque il y a peu d’accessoire on peut commencer a imaginer ou va se dérouler exactement la première entrer.
Mais son visage change a la vu d’un autre homme qui entre, les deux premiers personnages que nous découvrons sont décalé avec les mots et la scène exprimer puisqu'ils ont des vêtements qui ne sont pas vraiment ceux de l’époque, ceci est assez regrettable! Le fait que les personnages sois décalé physiquement par rapport a l’époque est réellement troublant.
Cette petite querelle est assez comique puisqu'on dirait un enfant gronder par sa mère puisque il ne veut pas faire comme "tout le monde" mais cette enfant n’est pas du tout de cette avis.
Je suis confortablement installé dans un fauteuil de velours rouge.Autour de moi ,les derniers spectateurs prennent place et ajoutent leurs propos ah fort brouhaha qui règne.Tout à coup ,l obscurité descend et enveloppe progressivement dans la salle .Personne ne frappe les trois coups qui feraient taire les spectateurs .Face à nous,au fond de la scène un immense miroir reflète le public ,donnant ainsi l illusion d une foule bavarde entourant le théâtre ambulant de Molière sur une place de village .La scène est nue ,aucun décors,la foule seul sert de décor.Au centre de l arène ainsi formé ,légèrement sur la droit,deux chaises sembles inviter des amis à s asseoir.Privée d information par l absence total de décor je me demande ce qu il va se passer ,c en est presque angoissant .Soudain,gravissant l escalier pour monter sur scène,un homme ,très agité,vêtu d un complet veston avec un bouquet de fleurs à la main regarde sans cesse ça montre.On pourrait croire à un amoureux venue a un rendez vous galant .Le brouhaha diminue lentement .
Je suis assis au premier rang. Les gens assis autour de moi sont bruitent. Je n’entends pas les 3 coups mais la première scène commence par l’arrivée d’Alceste. Il évolue dans un décor simple, constitué d’un miroir qui reflète le publique, ce qui est très dérangent, et de deux chaises. Alceste va s’assoir sur celle de gauche, un bouquet de fleur a la main.
Je remarque très vite que les costumes de l’époque n’ont pas été respectés car les comédiens portent des habits du XXI ème siècle. J’en suis sur j’ai les même ! Alceste est habillé d’une veste noire et d’un tee-shirt bleu qui est une couleur froide. Un deuxième personnage arrive, ce doit être Philinte. Bizarrement il est habiller de la même façon qu’Alceste mais le tee-shirt est rouge cette fois ci qui est une couleur plus chaude. Philinte s’assoit sur l’autre chaise. Alceste, en le voyant arriver, déplace la sienne pour la placer le plus loin possible de Philinte. Grace à ce jeu on comprend facilement que les personnages sont en rogne l’un contre l’autre.
On voit qu’Alceste en énerver, mécontent et ignore Philinte qui lui cherche a comprendre les raison de son silence. Les échanges entre ces deux personnages sont vivants et rapide. On ne s’ennuie pas !
Ce début de spectacle me réjouit, m’enchante mais d’un autre coté m’intrigue et me déçoit. Cette pièce risque d’être dynamique mais la présence de ce miroir en face de moi m’étonne. Les costumes me déçoivent un peu par manque d’originalité mais ce vide est comblé par la présence de ce miroir. Je remarque d’ailleurs que je ne me suis pas coiffer ce matin.
je me retrouve dans le théâtre de paris pour retro :mdr: uver le chefs d'oeuvre de molière sortit en 1666 et nommée de cela misanthrope. je me tient a l'acte 1 scène 2 comment je le sait le chefs d'oeuvre en livre est tout aussi bien. je retrouve Oronte dans sont sonnet qu'il fait présenter a Philinte et Alseste. la scène demeure désertique car le bruit des spectateur avait totalement disparue au moment ou Oronte entame sont sonnet. Oronte est coupe plusieurs fois par Alseste et par Philinte. Alseste comme a sont habitude néglige le sonnet et Philinte l'adore et lui dit fermement. De plus le personnage d'Oronte est très peu commun dans sa façon de parler et dans ses façon de faire et dans sa coiffure mais je trouve que les habit ne sont pas très convaincant.
je suis bien installé dans le fauteuil du la pièce de théâtre au 3eme rang, et comme les autres j’attends impatiemment le début de la pièce (et l'entrer des personnage) de molière : le misanthrope écrit en 1666 après l'interdiction de Donjuan et de Tartuffe. Quand tout à coup, un comédien monte sur scène avec un bouquet de fleurs à la main. Une démarche étrange lui est attribuer. Je devine que c'est Alceste car tout comme molière a la fin de sa vie avait une démarche très peu commune. Le bouquet dans la main. Je ressent une démarche étrange qui doit être Alseste connaissant le texte. Grâce a cela je remarque donc qu'il attend celimene
Le public devient plus calme, mais les tensions entre Alceste et Phillinte ne sont toujours pas apaisait lorsque qu'un personnage plutôt étrange fait son apparition, il possède d’étranges mimiques accentuées et a une veste d'une couleurs rose vive posée sur le bras.
Ce personnage, Oronte, m’amuse beaucoup ainsi que le public , qui rit face a ses larges gestes et son sourire béa. Il semble comme ivre, mais et très poli et ne cesse de faire preuve de courtoisie et de manifester des signe de politesse, il s'excuse pour un rien et complimente sans cesse Alceste.
Oronte semble épris d'une admiration sans fin en vers Alceste dont il ne cesse de vanter le mérite, que vous êtes intelligent, que vous pensez bien... Ce qui me rappelle le comportement que Alceste reprocher à Phillinte peut avant dans la pièce ; il dit venir en ses lieu seulement pour témoigner à Alceste l'estime qu'il lui porte.
Oronte souhaite avoir l'avis de d'Alceste sur un sonnet qu'il a écrit, et veut bien sur avoir une honnête réponse de l'homme dont il admire la sagesse. Après avoir lu le sonnet que Phillinte trouve fort bon et qu'il ne cesse de complimenter, Alceste donne lui un avis bien différent même tout à fait opposer, il lui dit de le jeter "au cabinet".
Ce qui contrarie fortement Oronte qui lui trouve son sonnet fort bon et quitte la scène vexé.
Je me trouve actuellement au theatre national de Strasbourg ou se déroule la pièce de Misanthrope de Molière écrit en 1666 . Je suis au 3éme rang , à la place la plus centrer . Il fait sombre et d'un coup les lumière s'allume et le rideau de velours rouge s'ouvre et laisse place a la scène . Je ne mit attendais pas car je pensais entendre le coup a chaque début de pièces de theatre qui annonce le début de la pièce .
J’aperçois Alceste habiller de manière étrange car il est habiller en habit qui ne correspondent point a sont temps a cause de sont costume et de son tee-shirt bleu. Ayant lue le livre je penserai qu'il porterait son ruban vert . Ensuite j’aperçois Philinte qui lui est habiller de la même manière que Alceste mais avec un tee-shirt rouge certainement pour montrer que tout les oppose . Apres avoir chercher je me rend compte que le dernier personnage présent sur scène est Oronte avec son sonnet dans la main . Un premier détail me dérange , c'est le fait que la manière de parler des personnages ne correspond pas avec les vêtement dont ils sont vêtu .
Apres avoir analyser les personnages je me penche vers le décor de la scène plutôt vide , sobre ou il y a seulement 2 chaise et des miroir derrière la scène . Je me suis demander a quoi pourrai servir ces miroir mais enfaite j'ai réaliser qu'il servait a n'avoir aucun angles mort sur les personnages car si les personnages sont face a nous ou dos a nous nous pouvons toujours les observer, quoi qu'ils fassent nous pouvons les observer cela nous permet de plus s’immerger dans la scène et j’apprécie beaucoup cela . Pendant la pièce le public et bruyant mais pas trop , ça ne me dérange pas bien au contraire sa me donne encore plus l'impression de participer a la pièce avec les comédien . Quand Oronte se met a parler je découvre un nouveau personne qui me fait beaucoup rire contrairement au livre ou il ne m'avait fait sourire plus que sa . En redécouvrant ce personnage j'attend avec impatience la suite de la pièce pour pouvoir redécouvrir les personnages et passer un agréable moment .
En pleine discussion entre Philinte et Alceste, un troisième personnage fait son entrée sur scène, je suppose que c'est Oronte. Ce personnage me fait penser un peu à un "nigaud" avec ses mimiques, son rire et son sourire un peu bizarre, mais cela est effectivement assez drôle, je me suis moi-même surpris à rire, et le public est d'accord avec moi, il rigole à chaque fois qu'Oronte sourit ou s'esclaffe bêtement. Quand Oronte se met à parler, Philinte semble boire les mots d'Oronte alors qu'Alceste lui semble complément l'ignorer alors que les dires d'Oronte lui sont adresser. Aussi quand j'arrive à percevoir le regard d'Oronte, celui-ci me renvoie de la peur, et une gêne. Ses yeux ronds semblent vouloir agripper l'attention d'Alceste.
Aussi je suis assez surpris de la disparition du lit qui était apparu peu de temps avant qu'Oronte n'arrive, et je n'ai pas compris sa venue ni son départ de la scène, je l'ai trouvé inutile, d'ailleurs sans le miroir au fond de la scène je ne l'aurais ni vu arrivé ni vu partir.
Les vêtements d'Oronte sont un peu différents de ceux de Philinte et d'Alceste, déjà il porte sa veste sur son bras, elle est violette contrairement à ceux des deux autres personnages qui portent un veste noire sur leur dos, aussi Oronte semble plus décontracter avec sa chemise déboutonnée sur le haut.
Pendant la lecture de son sonnet, Oronte semble sûr de lui et confiant et Alceste lui est sérieux et se concentre sur les mots d'Oronte, Philinte est un peu exclu de la conversation, les seuls moments où il parle, se situent au début du sonnet et à la fin pour dire qu'il adore ce dernier. Je ressens encore une fois l'admiration que Philinte porte à Oronte. A ce moment là, sa confiance est décuplée. Cependant Alceste lui n'aime pas le sonnet, et le fait dire quand Oronte a fini de lire et change complètement son humeur après avoir entendu ce qu'Alceste avait pensé de son sonnet, il doute et semble même perdu… ensuite il admet qu'Alceste a raison et s'en va comme si il était soumis à Alceste car il se qualifie comme étant son valet.
Je suis toujours assis sur mon siège, toujours face à ce grand miroir, quand d'un coup entre un nouveau personnage, habillé d'une chemise bleu très claire, d'un pantalon noir et qui tient au bras, une veste. Je devine ainsi que c'est Oronte. Je suis surpris par ce personnage plutôt efféminé, car il tient une veste rose or a cette époque cette couleur était habituellement réservée aux femmes, bref, on ne risque pas de le manquer. Néanmoins, il m'amuse beaucoup avec ses expressions du visages, toute ces mimiques font rire le publique autour de moi, il a les yeux grands ouverts, et une longue mèche de cheveux qui lui descend le long du visage. Il fait également beaucoup de gestes. Les personnages autours de moi sont très réactives face à ce personnage, à tel point qu'elles rigolent à la fin de chacun de ses vers ! Il s'adresse directement à Alceste et lui dit exactement ce qu'il veut, il est franc et direct ! Oronte va lire son sonnet a Alceste, les 3 personnages posent d'une façon hilarante ! :') A peine la première phrase lue, Philinte complimente Oronte, ce qui ne m'étonne en aucun cas ! :') au contraire d'Alceste qui lui est direct et cassant. Au début sur un ton humoristique au point d'improviser une petite chanson, puis sérieusement. Mais Oronte qui est déçu montre qu'il ne désespère pas en disant : "je suis votre valais monsieur, de tout mon coeur" C'est alors que tout les personnages quittent la pièce et l'obscurité retombe.
J’arrive dans la salle, à mon plus grand regret en retard, éclairée par la lumière de la scène, j’avance dans l’obscurité, jusqu'à en trouver ma chaise. Je m’empresse alors de m’asseoir sans déranger les autres personnes qui sont déjà assise depuis maintenant longtemps, et ayant loupé la première scène, énervée j’observe la pièce , surprise j’entrevoie dans un étrange miroir mon aire aigris, cette étrange procédé me plait, avec ce miroir nous sommes tous sur scène et cela nous permet de mieux se plonger dans cette pièce il me fallu quelques instants avant de me rendre compte que j’étais bel et bien devant la pièce de Molière « le misanthrope » , désorienter face a une scène nue dépourvue de rideau, et a ces touches de modernité comme par exemple , la façon dont sont habillés les comédiens. Le choix des couleurs sont particulièrement bien choisis, le rouge caractérise les sentiments de Alceste ainsi que le bleu ceux de phyllithes , face à ces deux couleurs plutôt gaies, viens départager la couleur de la chemise neutre de Oronte une couleur blanche. Je trouve le jeux des acteurs particulièrement bon, au fur et a mesure de cette pièce je ne peut m’empêcher de rire, comme le public aux mimiques et aux allures de Oronte, un personnage aux allures enfantines qui au premier abord persiste pour lire son fameux sonnet. Alors qu’Alceste se montre indifférent à celui ci, pour moi Alceste est un personnage aux caractères fort de cette pièce, notamment quand Oronte lui fais un geste amical, Alceste le rejette comme si il étais supérieur, ont remarque qu’il ressent un dégout profond pour les autres, notamment Oronte joue beaucoup de cette caractéristique de Alceste, quand il lui dit « toucher la s’il vous plait, vous me la promettre votre amitié. »
La 2ème scène de l'acte II commence, d'emblé nous remarquons qu'un troisième personnage entre en scène un homme tennant une veste à son bras. "L'homme à la veste" pensais - je. Je l'ai tout de suite associé à Oronte. J'ai était surprise de voir que c'est un personnage fort détendu beaucoup plus qu'Alceste et Philinte il a aussi des vêtements différents il est vêtu d'une chemise legèrement déboutonnée ce qui montre qu'il est plutôt à l'aise.Il parle aussi avec de grands gestes et un large sourire à la limite du sarcasme et il semble aussi legerement naïf.
Dès les premiers vers, le public ri, c'est donc là que entre en scène la comédie. Oronte est donc en interaction avec le public ce qui fait "vivre" la scène. Comme dans la pièce "Tartuffe" l'hypocrisie critiquer ici par Molière est là aussi un point important et incarné dans le personnage de Philinte.Cette pièce renvoie au spectateur l'image qu'avait Molière sur le XVII. Mais Molière s'en prend aussi à l'extrème sincérité qui est très certainement dans le personnage d'Alceste, qui n'a pas hésiter à dire ce qu'il pense par rapport au sonnet d'Oronte. Cette grande sincérité fait à nouveau rire le public. Oronte, étant aussi l'amant de Cèliméne est donc en conflit avec Alceste, ce différent est surtout très dévoilé à la fin de la scène ce qui nous fait penser qu'Oronte est aussi un personnage hypocrite. Les lumières s'éteignent et une musique dissonante commence.
La pièce a déjà commencé quand un autre comédien s'ajoute au deux autres, ce n'est autre qu'Oronte qui fait son entrer auprès d'Alceste et Phlinte. Je remarque directement que son jeu est assez ridicule mais j'avoue, très amusant. Il parle avec de grands gestes et parle d'une façon assez particulière qu'on pourrais même en arriver à la conclusion qu'il est saoul.
Aussi, il n'est pas vêtu de la même manière qu'Alceste et Philinte, qui eux, ressemblent plus à de jumeaux ooposés, n'ayant comme seul distinction vestimentaire un t-shirt de couleurs différentes. Autant Alceste porte un t-shirt bleu qui lui confère surement une attitude plutôt froide, autant Philinte porte un t-shirt rouge qui lui donne l'air beaucoup plus sympathique et sociable qu'Alceste. Oronte lui, porte une chemise violette qui je pense lui donne un air psychédélique et assez fou. Mais je suis quand même assez déçu qu'ils ne portent pas de costumes d'époque car je trouve que c'est un peu paradoxale au fait que les comédiens on gardé le vocabulaire initiale qui est très soutenu et qui doivent être un peu compliqué pour certaines personnes.
Aussi je trouve que c'est intéressant et à la fois surprenant qu'au niveau du miroir, un lit apparaît sans qu'on sache pour autant comment il arrive à travers un miroir.
C’était un de ces matins de printemps ensoleillé. Pierre était mon meilleur ami et nous nous voyions quotidiennement, ne fut-ce que pour constater que nous existions. La terrasse dite « de la tour Eiffel » avait été choisie par lui pour prendre notre café, parce que c’était celle où nous allions toujours et que l’amitié avait ancré en nous cette habitude. Nous étions donc assis là, l’un en face de l’autre, buvant notre café au lait ; il m’écoutait avec abnégation et moi je lui disais que ce matin-là, j’avais découvert le théâtre. Mon enthousiasme était tel que je me mis à parler comme un moulin, faisant un éloge vibrant de l’œuvre, commentant ses personnages, sa technique, ses idées…
- Mais d’où te vient donc cette soudaine passion pour le théâtre ? me demanda-t-il. Qu’a-t-il que les livres n’aient pas, par exemple ?
- C’est plus vivant d’entendre parler les personnages, c’est plus réel, lui expliquai-je après quelques instants de réflexion.
Puis, achevant ma dernière gorgée de café, je lui racontais :
- Figure-toi, j’étais assis au premier rang dans un de ces fauteuils en velours, et si confortable ! La salle commençait à s’emplir de monde, puis les lumières s’éteignirent, pour laisser, seule, la scène éclairée. C’est là que je découvris l’objet le plus surprenant de la mise en scène : un immense miroir qui s’étendait sur la totalité du mur qui me faisait face. Mon regard fasciné explora involontairement les profondeurs qu’il révélait. Tout me paraissait plus sombre et plus froid dans ce vide illusoire que dans la réalité. Mais le plus invraisemblable, c’était l’étrange personne qui m’y regardait, tachant l’obscurité de son visage blême, et qui me faisait l’effet d’un inconnu ; c’était moi. Alors, prenant soudain conscience que mon reflet se trouvait en quelque sorte sur scène, contrevenant à toutes les lois de la raison, j’avais l’impression que c’était moi que les acteurs tour à tour pointaient du doigt, blâmaient, louaient… Je les sentais me transpercer du regard, me frôler de leurs costumes… D’ailleurs, ces derniers m’étonnèrent, ils n’étaient pas, comme je m’y attendais, des habits de cour de l’époque mais de simples complets noirs et gris et…
Je fus interrompu par le long bâillement que lâcha Pierre, et je décidais alors de lui épargner la description de l’intégralité de la pièce, et me concentrais plutôt sur ce qui m’avait le plus marqué.
- Il me semble, hésitai-je, que c’était la seconde scène… Oui. Les deux personnages principaux, Alceste et Philinte, respectivement un misanthrope et un philanthrope achevaient leur conversation lorsqu’à ma plus grande surprise, une espèce d’individu de très grande taille et aux membres qui semblaient comme disloqués de par leurs mouvements saccadés, fit son apparition. Mais, t’en souviens-tu ? J’avais déjà lu le misanthrope, cette pièce de Molière, et je devinais alors en peu de temps que ce personnage était Oronte, l’homme au sonnet.
Ses manières et sa façon de se mouvoir sur scène m’étaient insupportables, il était à lui seul le démenti même du naturel et du spontané. J’avais fait de pâles efforts pour l’applaudir ; mais ils étaient trop vains pour être poursuivis. Cependant je ne cessai de rire, tant ses vers étaient grotesques, puis j’allais silencieusement de rage en déception et de déception en rage… Oui, il me faisait littéralement enrager ! Mais plus insolite encore que les paroles de cet idiot personnage, il fallait voir la ferveur avec laquelle il les proférait et peut être plus encore l’effet qu’elles produisaient sur le malheureux Alceste.
Il se contenait tout d’abord, comme enfermant sa franchise dans une sorte de stoïcisme forcé, laissant à peine transparaître son honnêteté dans de fines allusions… Mais moi, du haut de mon siège, je le sentais bouillonner, j’entendais l’orage gronder. Et, pour être franc moi aussi, j’étais impatient de découvrir comment cette effusion de sincérité allait jaillir. J’étais donc là, hébété et suspendu, lorsque, me laissant incrédule, il empoigna le sonnet et dit ce que tous les spectateurs, moi inclus, avaient envie de crier : le sonnet ne valait rien.
Alceste entama alors un fiévreux discours sur sa conception de la poésie, qui me paraissait très juste, et sans doute bien meilleure que celle de son compagnon, qui, sous sa rhétorique effervescente, s’échauffait. Mais moi j’admirais Alceste, sa façon de parler, ses mots qui jaillissaient directement de l’inconscient, esquivant les censures de la raison ! Et hormis la curiosité entomologique et la fascination qu’il m’inspirait, j’avais la secrète impression qu’il y avait quelque chose de beau, de vrai, dans son élocution…
Mais un bruit de verre brisé m’interrompit, pour la seconde fois ; c’était Pierre qui, las de mes velléités littéraires, avait gratifié sa tasse d’un voyage aérien au-dessus de mon crâne. Des hauteurs artistiques ou je pérorais, il tenta de me faire descendre au terrain médiocre d’une conversation plus banale.
- Allons manger… Entre deux verres, je t’autorise à me parler littérature.
En plein discussion entre Alceste et Philinte un troisième personnage entre en scène, cette personne est très grande je suppose que c'est Oronte, lui aussi est vêtu d'un costume récent qui ne date pas de l'époque de Molière, il porte une veste sur son bras avec un aire décontracté et une coupe élégante, de même que pour ce personnage le vocabulaire de l'époque ne va pas bien avec son costume moderne il a des gestuelles et des mimiques appelé des lazzi chez les comédiens italiens.
Le personnage d'oronte est très confiant mais aussi drôle par sa personnalité qui m'intrigue.Enfin la règle des trois unités a bien été respecté dans cette scèn, les actions n'ont pas dépassé un certains temps, tout se déroule dans un même lieu de plus que les éléments sont liés.
Je suis bien installé la pièce a déjà commencé il n'y avait que deux personnage sans trop de présence sur scène je parle bien d'Alceste et Philinte qui s'expliquai quand soudain un personnage très present avec une gestuelle très accentué ce personnage plutôt comique remet de l'enthousiasme sur scène il accable Alceste de compliment sans que ce dernier puisse lui répondre ce qui rend ce moment extrêmement comique toute la salle rit. Ce personnage est Oronte. Enfin a la fin de la scène quand Oronte demande a Alceste de lui dire franchement ce qu'il pense de son sonnet une fois encore Oronte ne laisse pas le temps a Alceste de s'explique et ne veut pas entendre la critique que lui fait Alceste sur son sonnet.
La seconde scène du premier acte commence. Un comédien, qui semble être Oronte, entre en scène. L'acteur exagère tous ses mouvements et paroles, ce qui fait rire le public. La scène est humoristique, j'entends à nombreuses reprises les personnes de la salle rire.
Dans cette scène, nous voyons l'agacement d'Alceste, il ne veux pas blessé son valet en disant exactement ce qu'il a sur le cœur.
Je remarque qu'Oronte n'est pas habillé comme les autres comédiens, Alceste et Philinte, il porte une chemise déboutonnée, ce qui accentu son côté “décalé” et euphorique.
Il y a toujours ce mirroir en fond, qui me gène quelque peu. Je ne suis effectivement pas habitué à voir mon reflet et celui des autres spectateurs lorsque je me rend au théâtre.
Mais maintenant chut! La scène II commence. Oronte arrive, il est assez différent de Alceste et de Philinte, dans sa personnalité et son charisme, ce que j'ai pensé être un bon point. D'une part pour les différencier facilement, d'autre part pour les rendre plus crédibles.
Le personnage amène un peu de "joie" sur la scène. Il veut en effet présenter à Alceste un sonnet, écrit de ses propres mains. Ce que l'on peut trouver
amusant par la suite est le fait que Oronte va presque se venter et montrer sa fierté pour son écrit, jusqu'à presque en oublier de le réciter à Alceste.
Mais voila le moment venu, Oronte doit réciter son sonnet. C'est finalement le passage le plus "drôle" pour moi de cette scène. En effet,
lorsque Oronte eu finit de réciter son sonnet, Alceste n'y trouve aucun point positif. Alceste est déçu car il devait surement s'attendre à mieux, surtout pour l'avoir aussi
vendu que ça.
Je me trouve au troisième rang, ce qui me permet de bien voir la scène. Mais quelque chose me dérange, ce miroir. En effet, il me donne l'impression d'être présent dans cette pièce qui va être jouée, cela me rend assez nerveux. En parlant de le scène justement, pour ma part elle me paraît un peu trop vide, elle ne comporte que deux chaises. Mais bon ça doit être fait exprès, pour plus porter notre regard sur les personnages et donc apprécier leurs paroles et non le décors. Un autre élément m'interpelle, c'est que les personnages n'ont pas d'habits de l'époque mais des habits comme vous et moi ce qui est assez inhabituel. Maintenant, le personnage qui m'intrigue est celui d'Oronthe, en effet il a une posture extrêmement décontractée, cela montre qu'il à une énorme confiance en lui quand il va lire son sonnet à Alceste et Philinte. Mais il n'y a pas que sa posture qui montre cette "zen-attitude", ses vêtements également nous prouve qu'il est sûre de lui tout le temps. En effet, il porte une chemise blanche déboutonnée au tiers, un manteau rose/violet mais aussi sa façon de marcher et de parler. C'est ce qui m'a fait un peu rire chez lui quand il a lu son sonnet avec une parole de crâneur. Seulement, une chose m'a déplu dans cette scène, c'est que les personnages étaient très distant les-uns des autres surtout Alceste et Oronthe. Cela est du notamment à leur rivalité amoureuse face à Célimène. Voilà mon impression de cette scène que j'ai quand même bien aimé.
Je suis installé sur mon siège au premier rang, j'attend avec impatience que la pièce commence quand tout a coup je vois Oronte.Oronte a une démarche un peu particulaire qui le fait passer pour quelqu'un de ridicule.Les mimiques qui lui sont attribuer son ridicule .Je pense que se qu'il tient dans la main doit être son sonnet vouer a Célimène.
Je suis déçus de ne pas voir les personnages en costume d’époques. De.De plus la tenus que porte Oronte est vraiment la pour se moquer de lui. Une fois qu'il est arriver sur scène on se dit que se personnage est sot.De plus sa gestuel aussi est agaçante de part ses déplacement et le mouvement de ces bras. De plus on remarque que Oronte veux être proche des gens car une fois arriver sur scène il se rapproche de Alceste et Philinte pour avoirs leur avis sur son sonnet.
Ensuite je trouve que le décor est misérable, le fait qu'il n'y est que deux chaises me perturbe.Je trouve qu'une table au moins n'aurait pas été de trop. De plus le fait que les personnage arrive sur scène juste en montant les escalier et sans être cacher par des rideaux je trouve cela décevant. Mais l'élément du décors qui me perturbe et me mais le plus mal-à-l'aise c'est le grand miroir derrière les personnages qui m’intègre a la pièce du fait que mont reflet est visible par les acteurs et les autres spectateur.
De plus la présence des spectateur est dérangeante car il ne cesse de faire du bruit et je trouve se comportement inapproprié. De plus les personnes autours de moi ne cesse de bouger ou d se regarder dans le miroir ou bien encore de se recoiffer.
La pièce se déroule d'une manière qui n'est pas traditionnelle car on a n'y les trois coups pour dire que la pièce comment n'y l’annonce des personnages se qui les rends encore plus dur a identifier. Enfin les personnages de Molière ne colle pas avec les personnage que je vois sur scène de part leur tenus, leurs voix et leurs mimiques.
J'ai une bonne place, au milieu du second rang. Je suis plutôt bien installé, mais le miroir au fond de la scène me dérange, j'ai l'impression qu'on me regarde fixement... C'est peut-être parce que je ne fais que me regarder... Ce n'est pas important.
Mis à part ce grand miroir en fond de scène, il n'y a presque rien, juste deux chaise contre le miroir. Je remarque aussi l'absence de rideau, et au début de la représentation, je n'ai pas entendu les trois coups.
Ensuite, les personnages ne sont pas habillés de la même façon qu'à l'époque où la pièce a été écrite : ils sont habillés de façon moderne. Je pense qu'il est important de noter que seules les couleurs des T-shirt sont différents dans leur costume. Celui d'Alceste est bleu, et celui de Philinte rouge. Ces couleurs représentent, je pense, l'opposition des caractères des deux personnages.
100 Johan. Bien trop court. 06/20.
101. Khémis. Pas de paragraphe : manque de réactions personnelles. Pas de travail de l'écriture. 8/20
102. Matiss : des fautes ! Pas d'expression de réactions personnelles. Attention au niveau des références ! 9/20
103. Victoria : attention à « téléspectateur ». Pas de transition entre les idées : texte décousu. De bonnes réflexions cependant. 11/20
104. Anaëlle : manque de précision et d'approfondissement. Cependant, une rédaction claire. 9/20
105. Célia. Ensemble clair mais qui pourrait être plus approfondi 12/20
106 Agathe : contresens sur Oronte. Bonne utilisation du vocabulaire du théâtre. 14/20
107. Lucas : manque d'approfondissement. 10/20
108. Andréia. Travail sérieux, le style n'est pas laissé au hasard. 14/20
109. Sterenn. Un travail approfondi. Des fautes mais un bon niveau de réflexion 17/20. :mdr:
110 : Valentin N. Beaucoup de fautes mais des efforts d'analyse 10/20
111.Ilona. Du travail ! Attention à rendre le texte vivant : c'est cela qui doit être retravaillé. 16/20 O-)
112. Lisa. Des fautes. Un manque de spontanéité également. Cependant, l'enjeu de l'exercice est compris. 11/20
113. Noémie. Il faut rendre le texte plus vivant ! Ce sont les expressions des réactions personnelles que l'on demande. Travail satisfaisant dans l'ensemble.12/20.
114. Tony. Manque d'approfondissement. 8/20
115. Mathilde. Travail solide et structuré. Un effort pour introduire des connaissances. Attention à l'expression des émotions. 14/20.
116. Adrien. Les lumières ne s'éteignent pas, justement ! Des problèmes de langue qui nuisent à la compréhension. Les connaissances manquent ainsi qu'une réflexion plus approfondie. 9/20.
117. Domnine. Des fautes. Un texte un peu trop court, qui n'intègre pas assez de connaissances.
134. Domnine bis. C'est bien écrit et c'est bien compris mais il n'y a pas de réactions personnelles exprimées ici ! Le sujet dit bien qu'il ne faut ni résumer, ni raconter la pièce. Note de l'ensemble 14/20.
114. Caroline. Un effort pour introduire des connaissances. Attention concernant la comédie : les personnages ne doivent pas être nécessairement déguisés !13/20
119. Florian G. Attention au niveau de langue utilisé. Le registre est trop familier. Il faut prendre davantage de distance. Bonne interprétation du vide de la scène. 10/20.
120. Julia. Très bonne réflexion sur les personnages. Bravo ! Attention cependant à rester concentrée sur la mise en scène de la scène d'exposition. 16/20 :-D
121. Solane. Très bon texte ! BRAVO !! 17/20. :mdr:
122. Bastien. Des paragraphes sans lien entre eux. Un ensemble décousu qui manque d'approfondissement. Beaucoup de fautes. 8/20.
123. L éa M. Il n'y a pas de coups dans cette mise en scène. Il faudrait interpréter les choix de mise en scène sans se contenter de les énumérer. 11/20
124. Adrien R. Des fautes. Cependant, un effort d'interprétation à la fin : « Philinte quand à lui est accusé, il semble tel un enfant prit en train de faire une "bêtise". Il essaye de se justifier. Ces 2 personnages peuvent vraiment nous faire penser à des enfants se disputant pour n'importe quoi. » 12/20.
125. Florian. Les personnages n'ont pas de cravate. Un ensemble satisfaisant avec un assez bon niveau de réflexion. 14/20.
126. Léa P. Un bon travail. « perturbant » au lieu de « perturbateur ». la référence finale à la commédia dell arte est très maladroite. Au contraire ici, le jeu des comédiens n'est pas vraiment « souple ». Certes, il passe par le corps, mais on est loin du théâtre italien. 13/20.
127. Léa C. Travail très sérieux et bien écrit. On aurait pu accentuer cependant sur les réactions spontanées du spectateur. 15/20. O-)
128. Antony. Un bon travail, sérieux et rigoureux. 15/20. O-)
129. Déborah. Confusion « pièce »/ « scène » : problème dans le vocabulaire du théâtre. Beaucoup de fautes. Un ensemble qui manque de cohérence au niveau du plan. 9/20.
130. Medhi. Très bonne référence à la période itinérante de Molière. Des fautes. De plus, il n'y a pas de paragraphe. Mais un bon niveau de réflexion. 12/20. ;-)
131. Pauline. Un ensemble correct. On aurait pu attendre une réflexion plus approfondie. Mais l'écriture est agréable à lire. 12/20.
132. Juju. La mise en scène a lieu à Strasbourg ! Beaucoup de fautes et trop peu de contenu. Attention à aborder le travail avec plus de sérieux. 6/20
133. Julien. Bonus. Quelques efforts. Cependant, la démarche de Molière n'est pas celle de l'acteur...A revoir ! + 1 point.
135. Maxime. Beaucoup de fautes, un manque de soin dans la rédaction. La réflexion manque également d'approfondissement. 8.5/20
136. Kiinder. Un devoir soigné. Attention au contresens final sur la question du « valet », qui, ici, est ironique. 14/20.
137. Alexandre. Il faudrait faire des paragraphes. Un ensemble qui reste satisfaisant. 12/20.
138. Mathilde. Pas de chaise dans un théâtre. Attention au registre familier « louper ». Manque de cohérence d'ensemble. Le jeu des comédiens n'est pas assez décrit. 10/20.
139. Christina. Un bon niveau d'analyse, bonne utilisation des connaissances. 13.5/20.
140. Clara. La réflexion aurait pu être davantage approfondi mais c'est correct. 11/20.
141. Adina. Attention au sujet : il s'agit de livrer ses réactions pendant le spectacle, comme si on faisait partie de la salle. Cependant, un excellent niveau ! 17/20.
142. Landry. Un effort pour introduire des connaissances. Cependant, la référence à la règle des trois unités ne peut pas être convoquée ici. C'est trop court également. 11/20.
143. Florian. Pas assez de contenu. 7/20.
144. Carla. Manque de contenu. 8/20.
145. Antoine. Une fin un peu décevante. Il faut davantage développer. 9/20.
146. Titouan. Attention au niveau de langue utilisé ! Il faut davantage de distance. Peu de connaissances introduites. 8/20.
147. Quentin. La scène 2 n'est pas très précisément évoquée. Il y a du travail mais ce n'est pas centré sur le bon support. 10/20.
148. Eric. Scène 2 acte I ? Un travail superficiel ! 8/20
Sujet : vous asister a la representation du Misantrope de moliere mise en scene par Stephan branshwuig au theatre National de stresbourg en 2002 Faites par de vos reactio s de spectateur face a la secne 4de l'acte 2( la scene des portrait jusqua pour bien peindre les gens vous etes admirablee
Attention , il ne sagit ni de raconter ni de resumer la iece
vous veillerez a introduire des connaissancedans votre texte
vous veillerez a rendre votre texte vivant
vous veillerez a un texte agrealbla a lirre avec des passage poetique
sueriorite
Dans le texte de l'acte 4 scène 2 on retrouve Celimene, Clitandre, Alceste, Philinte, Acaste, Eliante, on voit Alceste mise a l'écart de tous le groupe de personne. On voit un lit et l'ossature du lit qui remonte entre Alceste et le groupe pourrait faire comprendre qu'Alceste est mis a l'écart rejeté de tous on penserait a lui dans le désert et le reste des personnage ensemble a se moquer des personnages. Car oui Célimene fait comprendre en parlant très fort, le fait de faire ressortir le mauvais caractère des personnage, et le reste des personnages. Les personnages sur le lit vont des fois se vanter « d'avoir de amis » car Célimene le fit comprendre vers 533 « il est de mes amis » puis a partir du vers 534 elle se moque de lui et lui fait énormément de reproche. A la suite du passage on peut voir Célimene au dessus de Alceste, elle est au centre,avec plus bas a gauche et a droite Acaste et Philinte. Ce qui montre les Hommes en infériorité et Célimene en supériorité. On retrouve dans la pièce les habits avec des couleurs définitives. Pour Alceste le vers et pour Philinte le bleu. Le lit est le symbole de la richesse et donc on voit tous les personnage dessus sauf Alceste qui est assis a coté se qui montre la pauvreté car il va allé dans un désert tous seul sans argent et sans maison. Le lit montre aussi la soumission de Alceste avec a la fin du passage tous le monde le regarde ou parle mais en l'ignorant en lui jetant des objet dessus comme l'a fait Célimene. Dans le passage on voit Philinte l'ami de Alceste qui vient lui proposé a manger et Alceste refuse comme si il voulait rester seul dans sont désert
carre: connaissance
Copie de Mathilde. Réécriture.
Installée sur mon siège au troisième rang, je suis impatiente que la pièce du Misanthrope de Molière écrite en 1666 après l'interdiction de ses fameux Don Juan et Tartuffe, commence. Quand tout à coup, un comédien monte sur scène, un bouquet de fleur à la main. une démarche plutôt étrange lui est attribuée. Il fait de drôles de mimiques, assez exagérées cependant, ce qui est caractéristique de la comédie. Cela montre qu'il veut nous divertir. je devine que ce comédien est Alceste, l'homme aux rubans verts. Mais ici, à ma grande surprise, aucune trace de ruban vert dans l'accoutrement d'Alceste. Alceste était également joué par Molière à son époque: je me demande si le comédien saura jouer aussi bien que son illustre prédécesseur! Le défi est lancé! Je remarque qu'Alceste attend quelqu'un et que son bouquet est donc pour cette personne qui à mon avis doit sûrement être Célimène, la coquette.
Ensuite, je suis très surprise de ne pas le voir en costume d'époque. De même pour Philinte, qui est monté sur scène peu de temps après. mais, où sont passées leurs tenues d'époque? leur perruque? Cela me laisse sans voix, je ne comprends pas exactement. De plus, les tenues des personnages sont identiques, excepté la couleur de leur tee-shirts: celui de Philinte est rouge, ce qui me fait penser à la chaleur, la convivialité et l'amour.