J’ai cherché longtemps un lieu rural,
En harmonie avec le développement durable
Cette nuit, l’ancre fut levée
Fuyant le port, un pôle de compétitivité
J’entrepris un beau voyage !
Vers d’inconnus rivages,
Sans réseaux, sur des flots incertain
En attendant le flux prochain
L’horizon colore et illumine un paysage de néant
Parsemé de bouts de terres appelaient Océan
Iles immobiles,
Je navigue pour découvrir les villes ;
Nous voyons en périphérie des mégalopoles
Où perdure la mémoire de mes visites folleS
Le vent qui m’a maintes fois fait chaviré
Vers ces villes monde, dynamiques et enclavées
une réaction
1 De sandrine - 04/06/2015,
C'est un très beau poème. Je relève seulement une petite maladresse au dernier vers. Il me semble qu'on dit en terme géographique, qu'une ville est enclavée quand elle est éloignée de tout axe de transport. Or, les villes mondes et dynamiques sont très bien desservies et sont donc loin d'être enclavées. Je propose de remplacer ce terme par "surpeuplés"