25 novembre 2021

Thème 1. De nouveaux espaces de conquête. OTC. La Chine : à la conquête de l'espace, des mers et des océans

Jalon 2. Des enjeux économiques et géopolitiques considérables pour la Chine et le reste du monde.

Comment la Chine bouleverse-t-elle par sa stratégie de conquête l’économie et la géopolitique mondiales ?

 

            « Alors que depuis Deng Xiaoping à la fin des années 1970, l’empire du Milieu veillait à s’insérer dans le monde tout en « fuyant la lumière et recherchant l’obscurité », la conquête des espaces maritimes et extra-atmosphériques ces dernières décennies éclaire les rapides et profondes transformations que la Chine engendre sur l’économie et la géopolitique mondiales. Nouveau centre de gravité de la mondialisation, la Chine utilise les espaces maritime et extra-atmosphérique comme des vecteurs de puissance qui déstabilisent le système géopolitique mondial. En effet, les conquêtes maritimes et extra-atmosphériques chinoises revêtent des enjeux économiques et géopolitiques intimement liés autant au pays lui-même qu’aux autres États du monde. » (eduscol.education.fr)

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22 novembre 2021

Thème 1. De nouveaux espaces de conquête. OTC. La Chine : à la conquête de l'espace, des mers et des océans

Introduction : chronologie

 

            Activité 1. Sélectionner des informations pour construire une chronologie

CONSIGNES

1. Lisez cours du manuel p. 82-85 ou écoutez-les en podcast
- Cours 1. La Chine au XXe siècle : à la conquête des mers, de l'océan et de l'espace

- Cours 2. La Chine au XXIe siècle : les défis d'une superpuissance en devenir

2. Construisez une chronologie relevant les grandes dates :

- de la conquête et de l’affirmation de puissance des mers et des océans

- de la conquête de l’espace

3. Choisissez une date et complétez une chronologie collaborative .

            « La puissance est une notion centrale et structurante des relations internationales. (…) La puissance est une capacité traditionnellement liée à l’État. Pour Raymond Aron, elle est « la capacité d’une unité politique d’imposer sa volonté aux autres unités ». Le juriste Serge Sur la décline alors en une capacité positive (celle de faire ou de faire faire à d’autres) et négative (refuser de faire ou empêcher de faire). Il s’agit donc à la fois pour un État de pouvoir garantir sa liberté d’action, et d’être capable de peser sur le comportement des autres dans le sens de ses intérêts. La puissance est en outre définie comme une interaction. (…)  Selon l’adversaire et le contexte, une population dense ou un territoire vaste peuvent être soit un atout, soit une faiblesse. De même, les dépenses technologiques peuvent assurer une avance stratégique déterminante, ou au contraire peser sur le budget de l’État au point de le fragiliser. Cette approche dynamique de la puissance permet de saisir ses évolutions. » (vie-publique.fr)

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