Le vrai nom de Dalida est Yolanda GOGLIOTTI, elle est d'origine italienne mais elle est née en Egypte le 17 janvier 1933 au Caire.
C'est une chanteuse très célèbre. Elle s'est installée à Montmartre en mai 1962 jusqu'à 1987 car elle avait besoin d'espace et de liberté. Dalida a acheté un hôtel particulier: le château de la Belle au Bois Dormant, sur la rue d'Orchampt au centre de Montmartre.
Maison de Dalida
C'est dans cette maison qu'elle se suicida dans la nuit du 2 au 3 mai 1987 en avalant une forte dose de barbituriques.
Lors du dixième anniversaire de sa mort en 1997, le quartier de Montmartre lui rend hommage avec un buste à son effigie sur une place à son nom, elle est sculpté par Alain ASLAN. D'ailleurs, il fait une statut d'elle en pierre devant sa tombe.
Montmartre est une cité d'artiste construite dans les années 1930 par l'architecte Adolphe THIERS dans le 18éme arrondissement de Paris.
Montmartre
Montmartre une cité particulière, très active, en forme de montagne c'est à dire des hauts et des bas en forme d'escalier avec une vue exceptionnelle sur Paris, des bâtiments qui garde le même architecte d'époque. Aussi, on y découvre des éléments historiques comme le Moulins de la galette,on dirait une cité de collectionneur d'objet historique précieux qui attire beaucoup de touriste.
Beaucoup d'artistes vont s'y installer, parmis eux on a:
- Auguste Renoir qui s'y installe en 1876 pour pouvoir peindre à proximité le fameux moulin de la galette.
- Maurice Utrillo, 12, rue Cortot s'y installe 1912 avec sa mère
- Frantisek KupKa , Panorama de la Butte, 1897
- Pierre Bonnard,la Revue Blanche, 1894
- Max Jacob,château des Brouillards,1918
- Maurice Liberti, pomme ou Eugénie de Montfaucon 1937
Joseph-Louis LEPIC est né à Montpellier, le 20 septembre 1765 d’une fratrie de 22 frères et sœurs.Il s’engage dans le corps d’armée « les dragons » à l’âge de 16 ans .
Il entre au service en 1781 en tant que simple dragon, dans le régime de Lescure .
De 1793 à 1796, combattant au côté de l’armée de l’Ouest, il se bat contre les vendéens et se blesse considérablement à la cuisse suite à un coup de feu et ce lors de la prise de Montaigu. Très vite il se fit remarquer par sa bravoure et son humanité .
En 1796, il intègre l’armée d’Italie et se distingue une fois de plus suite à son courage. Et lors de la bataille de Vérone et à Marengo, celui-ci recoit sept coups de sabre sur la tête, un à l'épaule et un coup de feu au bras. Ces batailles font de lui un colonel du 15e régiment de chasseurs à cheval après la bataille de Marengo . Puis peu après il entre avec le grade de major dans les grenadiers à cheval de la garde consulaire et fait avec ce corps les campagnes de la Grande Armée. Nommé colonel major des grenadiers à cheval de la garde impériale après Austerlitz, il participe aux campagnes de Prusse et de Pologne.
Mais sa grande bataille reste celle menée à Elyau qui commence le 8 février 1807. Louis Lepic se tient avec la Garde impériale dans le cimetière d'Eylau, près de l'Empereur, lorsqu'une contre-attaque russe visant le cimetière se rapproche. Sur le champ de bataille, le soldat Billon le voit ainsi :
« Le jour d’Eylau, le régiment est placé sous les ordres du colonel-major, Lepic. Les boulets russes qui se fraient sans difficulté un chemin au milieu des flocons, enlèvent hommes et bêtes. Soudain, une voix s'élève, dominant le fracas. C’est Lepic qui hurle : « Haut les têtes, la mitraille c'est pas de la merde ! »
Il meurt le 7 janvier 182 . On retrouve une rue qui porte son nom à Montmartre et sur le côtés de l’arc de triomphe sous l’inscription « l’Héritier Lepic ».
Après la défaite de Napoléon III contre Sedan en 1870, Une grande famine touche les Parisiens. Il y a eu 30 000 personnes mortes.
Les catholiques pensent que c’est une punition de Dieu. Ils vont alors faire des grandes processions de foi (Défilé religieux qui s'effectue en chantant et en priant) autour du Sacré Cœur.
L’Archevêque de Paris fait une lettre au ministre culte pour demander d’appuyer ce projet afin d’avoir une protection divine de la capitale.
Il voulait qu’elle soit visible aux yeux de tous. On construit le monument sur une colline. L’Archevêque aimait la vision de la butte Montmartre qui offre une vue ensoleillée sur Paris.
En 1914, les travaux du Sacré cœur sont finis.
Description
Elle est à 130 m d'altitude et son sommet arrondie qui s'élève à 83 mètres, la rendent visible de très loin.
Elle a un style romano-byzantin, reconnaissable à sa couleur blanche. Avec près de onze millions de pèlerins et visiteurs par an, c'est le deuxième monument religieux parisien le plus visité après la cathédrale Notre-Dame de Paris.
En avril 1944, un miracle a lieu, 13 bombes éclatent sur le Sacré-Cœur sans faire aucune victime.
Vincent Willem Van Gogh était un célèbre peintre impressionniste et pointilliste. Il est né le 30 Mars 1859 dans la ville de Zundert aux Pays-Bas et est mort en 1890.
Il n'a pas connu sa célébrité, en effet, de son vivant Van Gogh vivait simplement, son talent n'a été reconnu seulement après sa mort, aujourd'hui, ses toiles sont très chères et recherchées.
Van Gogh peint dans la mode du pointillisme et de l'impressionnisme, il utilise des couleurs et avec des contrastes.
C'est l'un des premiers peintres à peindre des paysages ruraux
"La sieste"
Il a vécu à Montmartre au 54 rue Lepic avec son frère Théo Van Gogh en 1886.
C'est un lieu qui l'a beaucoup inspiré, il y possédait même un atelier et fréquentait de nombreux artistes célèbres, qui lui ont permis de faire évoluer son art.
Marcel Aymé est un écrivain, scénariste… français né en 1902 et mort en 1967 à Paris. Parmi ces œuvres on compte deux essais, dix-sept romans, plusieurs dizaines de nouvelles, une dizaine de pièces de théâtre, plus de cent soixante articles et des contes.
Marcel Aymé (1902-1967)
Le Passe-muraille paraît d'abord dans Lecture 40 le 15 août 1941 et dans Sept Jours en février 1942, sous le titre Garou-Garou, puis dans le recueil de nouvelles du même nom, le quatrième de l'auteur, en 1943. Le Passe-muraille est l’histoire d’un homme nommé Dutilleul qui possède le don de traverser les murs. Il profite d'abord de son don pour commettre des vols dans les plus grandes banques et bijouteries, signant au nom de « Garou Garou ». Il se fait volontairement arrêter et est incarcéré à la prison de la Santé. Il s'évade. Il pense partir pour l'Égypte mais tombe amoureux d'une femme qu'il a croisée dans la rue. Mais une nuit, il perd son incroyable don pour se retrouver prisonnier d'un des murs de la maison. Il n'aura que le peintre Eugène Paul et sa guitare pour le consoler de sa solitude, illustré par le peintre Jean Joyet. L'action se déroule à la butte Montmartre, où résidait Marcel Aymé, dans le 18e arrondissement de Paris. Dutilleul habite initialement au « 75 bis » de la rue d'Orchampt, puis après s'être évadé de prison, loge dans un appartement de l'avenue Junot, tombe amoureux d'une femme, rue Lepic. C'est finalement dans la rue Norvins qu'il finit par rester bloqué dans un mur.
C'est d'ailleurs ce personnage qui aura inspiré l'organisme de notre visite enquête pour le Cambrioleur de Montmartre.
La statue du Passe-muraille, place Marcel Aymé (Paris)
Ce mercredi 27 février nous avons participé à une visite enquête. Celle-ci consistait à enquêter et à découvrir l'identité d'un voleur à travers les différents indices disséminés dans les rues que constituent le célèbre quartier de Montmartre.
Dans cette enquête, le voleur donne du fil à retordre au commissariat du 18ème arrondissement de Paris car il commet une série de vol sans cohérence. Cependant le voleur s'amuse à laisser sa signature sous forme de phrases énigmatiques. Notre mission est la suivante: résoudre ces phrases et mettre en lien ces nombreux indices pour laquelle nous avons formé 3 groupes afin de connaître l'identité de ce voleur et d'avoir la lumière sur cette enquête. Cela nous a permis de déambuler tout Montmartre et de découvrir son histoire.
Par Yassine Rahaoui, Sofiane Wadag, Djibril Dahoub
"La sieste"
