Par Desqueyroux Thomas (Collège Nicolas Copernic Montmagny 95) le 22 mars 2018, 09:52
Mon travail d'écriture est fait de ma propre imagination. Laisser parler son imagination est la meilleure inspiration, on peut exprimer des choses réelles comme irréelles et personne ne peut nous l'interdire.Je mets du temps à trouver l’inspiration car on est en train de parler et de rigoler avec les gens autour de moi.Je m'inspire aussi de la réalité, du monde qui m'entoure, de ce que je vis, de ce que je ressens. Je me suis rendu compte que j’avais plus de mal à mettre en œuvre ma pensée à l’écrit. Le fait de ne pas savoir rédiger ce que je voulais m’a énormément pénalisé dans mon temps. Nous étions en pleine rentrée, le lundi 5 mars, en cours de Français. Je me dirige vers ma place et j’attends l'autorisation du professeur pour m’asseoir. Il nous demanda d’écrire une rédaction à propos du travail, un sujet inconnu pour moi. Le sujet est le suivant ; mettre en scène un ou plusieurs personnages pour qui la science et la technique modifient le travail. Suite à cela j’ai dû me munir d’une copie double.Moi quand je fais un travail d'écriture j'essaye de trouver une histoire en rapport avec le sujet demandé. Je ferme tout de suite les yeux afin d’imaginer une histoire à la fois réelle mais aussi originale. Je rédige ma rédaction mes premières idées sont : le foot, la guerre et le changement de villes.Pour trouver l’idée de mon histoire j’ai cherché un métier que je connais un minimum dans la vie de tous les jours.Pour commencer mon histoire, je fais un schéma avec les informations les plus importantes, puis je choisis le nom de mon personnage car c’est là que je perds du temps, trouver un nom qui me convient.Après la conception de mon schéma j’essaye d’imaginer un objet qui peut révolutionner ce métier, le rendre plus facile.Pour m’aider à imaginer l’objet je me pose des questions sur le travail que j’ai choisi. Après avoir trouvé mon idée, je vais très vite pour écrire parce que j’ai une méthode qui me permet d’écrire l’histoire en même temps que j’imagine son déroulement avec des images dans ma tête.Tout d'abord quand j'écris, je préfère utiliser du bleu plutôt que du noir, je trouve que le bleu est une couleur qui m'aide plus facilement à apprendre. Alors, j'ai pris mon pays natal puis celui dont je connais un peu la culture et que j'apprécie au niveau scolaire : le Japon. Mais j’avais trop d’idées et je ne savais pas où ni quand les placer dans le texte. Suite à cela, j’ai essayé de parler des personnages, de leurs histoires et de leurs vies. J'aime écrire, je trouve que c'est une belle forme pour s'exprimer ; c'est sûr, il y en a d’autres mais l'écriture n'est pas forcément publique ; je mets énormément de temps à trouver le domaine dont je pourrai bien parler, je décide d’en discuter avec des camarades, le temps de trouver mon idée. Cinq minutes après avoir commencé la rédaction, je prends mon vieux stylo 4 couleurs à moitié cassé et commence l’écriture de mon texte. J'ai choisi le métier d'un ami que j'apprécie beaucoup et que je suis sur Youtube. Je me mets à parler pour faire passer le temps. Tout à coup, un de mes amis me donne une idée sublime que je décide d'utiliser pour conclure mon histoire. L'heure de français se termine tandis que je n'avais même pas fini la rédaction, je préviens le professeur que je comptais finir le travail écrit à la maison. Une fois l'histoire terminée , je prends plaisir à la relire pour le bonheur des yeux et le respect que j'ai pour mon ami. Pour essayer de décrire les étapes du travail j’ai tout d’abord fait une description du lieu.A la fin de mon texte je réalise que je n’ai pas conjugué les verbes au présent mais à l’imparfait et au passé simple, je suis vert de rage : je dois tout remettre au présent !
J’ai appris que nous pouvions donner notre avis HONNETEMENT et SINCEREMENT : ça a refait ma journée !:)
Les questions que vous pouvez vous poser c'est : comment ai-je eu l'idée de l’histoire ? comment j'ai travaillé ? Mes difficultés ? Mes facilités ? Etc. Selon moi, le travail d’écriture consiste à mettre sur papier toutes nos pensées sur un thème prédéfinit en étant capable de faire des phrases qui ont un sens et qui nous obligeraient à employer un tout autre vocabulaire.
Par Desqueyroux Thomas (Collège Nicolas Copernic Montmagny 95) le 22 mars 2018, 09:25
Durant une semaine et demie, le professeur nous a donné un travail d’écriture à faire. Le sujet est le suivant ; mettre en scène un ou plusieurs personnages pour qui la science et la technique modifient le travail. Le travail d'écriture en Français est un texte que le professeur nous donne à faire avec plusieurs idées.Selon moi, ce travail consiste à mettre sur papier toutes nos pensées sur un thème prédéfinit en étant capable de faire des phrases qui ont un sens et qui nous obligeraient à employer un tout autre vocabulaire. J'aime créer différents « mondes » avec mon imagination et le partager avec d'autres personnes voulant s'évader de la réalité. Je n'aime pas le cycle de la vie qui nous est imposé (règles, inégalités, chemins tracés par d'autres, …). L'angoisse et le stress nous mènent dans la voie de la souffrance.Vous me dîtes que c'est beau de rêver ? Je vous réponds que c'est beau d'avoir une si belle et misérable naïveté.
Je ferme tout de suite les yeux afin d’imaginer une histoire à la fois réelle mais aussi originale. Comme je parle portugais je voulais que mon personnage vienne d'un pays qui parle cette langue.Je prends une feuille double, j’ouvre ma trousse je prends mon crayon à papier et je commence à faire le brouillon.Je choisis de raconter l’histoire d’un ouvrier qui habite dans un quartier qu’il déteste. Les questions que vous pouvez vous poser c'est : comment j'ai travaillé ? Mes difficultés ? Mes facilités ? Etc... Plus je structurais mon texte plus les informations me survenais je suis donc parvenue à finalisé mon histoire assez rapidement. Je suis très heureux d'avoir fini mon histoire et je la trouve intéressante. Une fois l'histoire terminée , je prends plaisir à la relire pour le bonheur des yeux.
Par Desqueyroux Thomas (Collège Nicolas Copernic Montmagny 95) le 22 mars 2018, 09:15
Nous étions en pleine rentrée, le lundi 5 mars, en cours de Français. Je me dirige vers ma place et j’attends l'autorisation du professeur pour m’asseoir.Notre professeur nous dit que nous allions participer à un concours d’écriture. Il nous demande d’écrire une rédaction à propos du travail, un sujet inconnu pour moi. Durant une semaine et demie, le professeur nous a donné ce travail d’écriture à faire. Évidemment nous avons des contraintes qui m’énervent légèrement car nous n’avons pas la liberté d’écrire ce qui nous passe par la tête. Nous devons écrire au présent, insérer la description précise et complète d’un lieu, décrire un personnage. La difficulté de ce travail d’écriture est de rester concentrée sur le sujet donné.
Mon travail d'écriture est fait de ma propre imagination. Laisser parler son imagination est la meilleure inspiration, on peut exprimer des choses réelles comme irréelles et personne ne peut nous l'interdire. Pour commencer mon histoire, je fais un schéma avec les informations les plus importantes. Ensuite je fais un premier brouillon que je relis plusieurs fois pour plus ou moins le modifier. Une fois qu'il me paraît le mieux possible, c'est à dire qu'il me plaît, qu'il a du sens et qu'il se rapproche de ce que j’attendais, je montre à mon professeur pour savoir si mon brouillon est bon et correct, et j’attends la réponse du prof j’attends ses remarques pour voir s’ils sont positifs ou négatifs ensuite, je le recopie au stylos bleu car je n'aime pas écrire mes histoires au stylos noir, le vert est la couleur de la correction et le rouge du professeur. Malheureusement, le bruit conséquent de tous les élèves m’empêche de rédiger la fin calmement. L'heure de français se termine tandis que je n'avais même pas fini la rédaction, je préviens le professeur que je comptais finir le travail écrit à la maison.
J'aime écrire, je trouve que c'est une belle forme pour s'exprimer. J'aime créer différents « mondes » avec mon imagination et le partager avec d'autres personnes voulant s'évader de la réalité. Parce que dans notre monde les hommes ne pensent qu'à assouvir leurs désirs égoïstes dénués de sens. Afin de les sortir de cet état, je veux leurs montrer qu'ils peuvent évader leurs esprits en dehors de leur réalité étouffante, en les soulageant pour pouvoir les laisser respirer. De temps en temps mes histoires s'inspirent de moi, de ma famille, de la vie que j'aurais pu avoir, si elle avait été un peu différente de celle-ci. Ces travaux d'écriture m'aident à extérioriser mes peines ou justement à partager mon bonheur.
Dans mes travaux d'écriture, ce qui me parait le plus compliqué c'est de trouver un sens à l'histoire, le pourquoi du comment. J'ai beaucoup de mal à écrire des histoires courtes car, une fois lancée, tous me vient en tête, des fois j'ai même du mal à m'arrêter.
L'histoire que j'ai écrite parle d'une famille qui n'a pas énormément d'argent, la mère tombe malade mais ne veut pas se faire soigner par des médecins. La fille (moi), depuis petite, veut faire des études de médecine et décide tant bien que mal de partir très loin de chez elle pour aller dans une école de médecine et de tout faire pour réussir à sauver sa mère. Elle réussit à avoir son diplôme et fini par rentrer chez elle. A la fin de l'histoire elle fait des recherches pour trouver ce qui pourrait sauver sa mère et elle réussit.
Par Desqueyroux Thomas (Collège Nicolas Copernic Montmagny 95) le 22 mars 2018, 08:41
L'HISTOIRE D'UNE HISTOIRE
Écrire une histoire, pour moi, c'est une forme de soulagement car quand j’écris, je dégage toute mon énergie dans l'histoire. J'aime le travail bien fait : soit je le fais bien, soit je le fais pas. C'est quitte ou double.
Lorsque je ne me sens pas inspiré, ou à 100% sûr de moi par rapport à mon histoire, et bien je la modifie un maximum ou je ne l’écris tout simplement pas. Perfectionniste me diriez-vous et bien pas vraiment, juste idéaliste.
J'aime créer différents « mondes » avec mon imagination et le partager avec d'autres personnes voulant s'évader de la réalité. Parce que dans notre monde les hommes ne pensent qu'à assouvir leurs désirs égoïstes dénués de sens. Afin de les sortir de cet état, je veux leurs montrer qu'ils peuvent évader leurs esprits en dehors de leur réalité étouffante, en les soulageant pour pouvoir les laisser respirer. Je n'aime pas le cycle de la vie qui nous est imposé (règles, inégalités, chemins tracés par d'autres, …). L'angoisse et le stress nous mènent dans la voie de la souffrance. Je veux oublier la réalité médiocre qui nous entoure depuis notre naissance jusqu'à notre mort. Je veux pouvoir imaginer chaque point de ma vie d'un autre angle complètement différent, presque fantaisiste.
Vous me dîtes que c'est beau de rêver ? Je vous réponds que c'est beau d'avoir une si belle et misérable naïveté.
J'aime écrire, je trouve que c'est une belle forme pour s'exprimer ; c'est sûr, il y en a d’autres mais l'écriture n'est pas forcément publique, elle peut être personnelle, ça peut être une confidence, une histoire pour soi-même ou tout simplement un lâcher prise et écrire tout ce qu'on ressent et sans que personne ne nous dise quoi faire ou comment faire. Écrire à sa façon. Ça peut être aussi un moyen de se rassurer, pour évacuer ce qu'on a à l'intérieur de nous, ça peut être des mots, un poème, une déclaration, des choses qu’on ne veut pas faire partager.
Laisser parler son imagination est la meilleure inspiration, on peut exprimer des choses réelles comme irréelles et personne ne peut nous l'interdire. Tout d'abord quand j'écris, je préfère utiliser du bleu plutôt que du noir, je trouve que le bleu est une couleur qui m'aide plus facilement à apprendre.
Écrire une histoire, pour moi, c'est une des nombreuses manières de libérer mon imagination et mes émotions, aussi bien positives que négatives. Tout est permis. Malgré les contraintes (longueur, thème, temps d'écriture…) l'imagination humaine est un muscle qui se développe de manière spontanée, en tout cas chez moi. Je déborde d'imagination c'est pourquoi je ne respecte jamais entièrement les contraintes imposées (longueur du texte et délais) car j'ai toujours un maximum de choses à raconter et d'aventures à développer. En plus, j'aime bien les détails, mes histoires ressemblent souvent plus à des scénarios qu'à des petites nouvelles. Mes thèmes de prédilection sont : le fantastique, la science-fiction ainsi que l'horreur. Oui, tout ceci demande beaucoup d'imagination mais la banalité, c'est pas trop mon truc à vrai dire, je n'aime pas ça, ce n'est vraiment pas inintéressant pour moi. Le futur c'est le changement.
J'adore mettre les femmes à l’honneur dans mes textes, elle sont si belles, si fortes et si sensuelles. Rien que la femme fait l’histoire, ses émotions, sa description… tout cela me prend toujours plusieurs ligne car il y a tellement de choses a dire sur les femmes, surtout quand elles sortent tout droit de notre imagination.
Dans mon histoire je parlais d'espionnage, avec une femme dans le métier, cela me plaisait beaucoup d’où le fait que j'écrive cinq pages en un week-end. En cours je ne suis pas productif car j'ai absolument besoin de musique et de détente.
Malheureusement, suite à une décision du PROFESSEUR, nous avons dû ce travail qui m’a désespéré puis qui m’a plu lorsque j’ai appris que nous pouvions donner notre avis HONNÊTEMENT et SINCÈREMENT : ça a refait ma journée ! Je n'ai pas trop apprécié le nouveau thème ; mais bon, comme je l'ai dit, les contraintes sont faites pour pousser notre imagination au plus loin.
Par Desqueyroux Thomas (Collège Nicolas Copernic Montmagny 95) le 22 mars 2018, 08:37
Travail d'écriture 2.0 :
J'aime écrire, je trouve que c'est une belle forme pour s'exprimer, c'est sûr, il y en a d’autres mais l'écriture n'est pas forcément publique, elle peut être personnelle, ça peut être une confidence, une histoire ou tout simplement un lâcher prise et écrire ce qu'on ressent et sans que personne ne nous dise quoi faire ou comment faire. Écrire à sa façon. Ça peut être aussi un moyen de se rassurer, pour évacuer ce qu'on a à l'intérieur de nous, ça peut être des mots, un poème, une déclaration, des choses qu’on ne veut pas faire partager.
Hier, en cours de français, dans ma classe de 3ème, le professeur nous a donné un travail d’écriture à faire durant une semaine et demie.Le sujet est le suivant ; mettre en scène un ou plusieurs personnages pour qui la science et la technique modifient le travail.Évidemment nous avons des contraintes qui m’énerve légèrement car nous n’avons pas la liberté d’écrire ce qui nous passe par la tête. Nous devons écrire au présent, insérer la description précise et complète d’un lieu, décrire un personnage et montrer un personnage pour qui la situation est soit positive, soit négative.Le thème m’a permis d’avoir une idée bien spécifique sur cette histoire car le sujet en lui-même n’était pas très facile à traiter.
Tout d'abord quand j'écris, je préfère utiliser du bleu plutôt que du noire, je trouve que le bleu est une couleur qui m'aide plus facilement à apprendre. Dans mes travaux d'écriture, ce qui me parait le plus compliqué c'est de trouver un sens à l'histoire, le pourquoi du comment. J'ai beaucoup de mal à écrire des histoires courtes car, une fois lancée, tous me vient en tête, des fois j'ai même du mal à m'arrêter, de temps en temps mes histoires s'inspirent de moi, de ma famille, de la vie que j'aurais pu avoir, si elle avait été un peu différente de celle-ci, je ferme tout de suite les yeux afin d’imaginer une histoire à la fois réelle mais aussi originale. Je prends une feuille double, je prends mon crayon à papier et je commence à faire un schéma avec les informations les plus importantes.Après la conception de mon schéma j’essaye d’imaginer un objet qui peut révolutionner ce métier. Je réfléchis longtemps, c’est un peu dur de trouver l'inspiration en plus j'ai peur de ne pas faire assez de lignes car le prof en demande une trentaine mais à la fin j'en fais 64 ! Pour essayer de décrire les étapes du travail j’ai tout d’abord fait une description du lieu en mettant en avant des appareils sophistiqués : les ordinateurs, les appareils technologiques, les grandes vitrines tactiles… J’ai été inspirée par ces appareils en m’inspirant de mon imagination (pour les machines), j'ai aussi pensé à mon histoire en regardant la télévision, je demande des conseils à mes grandes sœurs, je lis des BD, etc. Ensuite ma facilité est de trouver la fin de l’histoire, mon inspiration vient toute seule.
A la fin de mon texte je réalise que je n’ai pas conjugué les verbes au présent mais à l’imparfait et au passé simple, je suis vert de rage : je dois tout remettre au présent ! Mais j’avais trop d’idées et je ne savais pas où ni quand les placer dans le texte. Suite à cela, j’ai essayé de parler des personnages, de leurs histoires et de leurs vies.
Après avoir réalisé ces tâches, je lis mon texte qui me plaît, je le trouve intéressant.
Par Desqueyroux Thomas (Collège Nicolas Copernic Montmagny 95) le 21 mars 2018, 22:23
Hier, en cours, dans ma classe de 3ème, notre professeur de Français nous demande d’écrire un texte sur le travail, un sujet inconnu pour moi. Évidemment nous avons des contraintes qui m’énervent légèrement car nous n’avons pas la liberté d’écrire ce qui nous passe par la tête. Nous devons écrire au présent, insérer la description précise et complète d’un lieu, décrire un personnage et montrer un personnage pour qui la situation est soit positive, soit négative.
Je mets énormément de temps à trouver le domaine dont je pourrai bien parler, je décide d’en discuter avec des camarades, le temps de trouver mon idée. Pour commencer mon histoire, je fais un premier brouillon que je relis plusieurs fois pour plus ou moins le modifier. Une fois qu'il me paraît le mieux possible, c'est à dire qu'il me plaît, qu'il a du sens et qu'il se rapproche de ce que j’attendais, je le recopie au stylo bleu car je n'aime pas écrire mes histoires au stylos noir. Quand j’écris, je préfère utiliser du bleu plutôt que du noir, je trouve que le bleu est une couleur qui m'aide plus facilement à apprendre.
De temps en temps mes histoires s'inspirent de moi, de ma famille, de la vie que j'aurais pu avoir, si elle avait été un peu différente de celle-ci. Ces travaux d'écriture m'aident à extérioriser mes peines ou justement à partager mon bonheur. Dans l'histoire que je viens d'écrire, je suis le personnage principal, je me suis mis dans mon histoire pour être plus inspiré. Quand je n'ai plus d'imagination je me demande ce que je ferais à la place du personnage.Je me suis inspiré de ce qui m'arrive (en gros) en ce moment, à cette expérience que j'attends impatiemment, j’écris cela comme si je me projetais vers l'avenir. Je trouve cette inspiration dans mes rêves, dans ce que j'aimerais faire ou avoir. Je m'inspire aussi de la réalité, du monde qui m'entoure, de ce que je vis, de ce que je ressens. J'aime créer différents « mondes » avec mon imagination et le partager avec d'autres personnes voulant s'évader de la réalité. Je veux leur montrer qu'ils peuvent évader leurs esprits en dehors de leur réalité étouffante, en les soulageant pour pouvoir les laisser respirer. Je ferme tout de suite les yeux afin d’imaginer une histoire à la fois réelle mais aussi originale. Après avoir trouvé mon idée, je vais très vite pour écrire parce que j’ai une méthode qui me permet d’écrire l’histoire en même temps que j’imagine son déroulement avec des images dans ma tête.
Pour trouver l’idée principale de mon histoire j’ai cherché un métier que je connais un minimum dans la vie de tous les jours. Je réfléchis longtemps jusqu’à ce que je trouve le métier de contrôleur dans le bus. Pourquoi ce métier ? Parce que je prends le bus presque tous les jours et les contrôleurs je les vois quelques fois. J’essaye d’imaginer un objet qui peut révolutionner ce métier, le rendre plus facile car le sujet est d’inventer une histoire ou nous mettons en scène un ou plusieurs personnages pour qui la science et la technique changent le travail. Pour m’aider à imaginer l’objet je me pose des questions sur le travail que j’ai choisi. Comment les contrôleurs de bus peuvent contrôler les gens plus vite et plus efficacement ? J’ai une idée, un gadget qui peut analyser tous les passagers dans le bus et dire s’ils fraudent ou pas. J’ai mon idée, il ne me reste plus qu’à inventer une histoire à partir de cet objet et montrer qu’il rend ce métier plus facile. Mon personnage principal, je l’appelle Michel, car je m’inspire de la vie de tous les jours pour trouver ce nom, et mon entraîneur de Basket s’appelle Jean-Michel. Je trouve que ce nom colle bien avec mon personnage.
Dans un premier temps, le fait que le sujet nous soit imposé réduit mon champ d’imagination. Ce qui me parait le plus compliqué c'est de trouver un sens à l'histoire, le pourquoi du comment. J'ai beaucoup de mal à écrire des histoires courtes car, une fois lancée, tout me vient en tête, des fois j'ai même du mal à m'arrêter.Malheureusement, le bruit conséquent de tous les élèves m’empêche de rédiger la fin calmement. L'heure de français se termine tandis que je n'avais même pas fini la rédaction, je préviens le professeur que je comptais finir le travail écrit à la maison. A la fin de mon texte je réalise que je n’ai pas conjugué les verbes au présent mais à l’imparfait et au passé simple, je suis vert de rage : je dois tout remettre au présent ! Au début c’est un peu dur de trouver l'inspiration en plus j'ai peur de ne pas faire assez de lignes car le prof en demande une trentaine mais à la fin j'en fais 64 ! Je lis mon texte. Il me plait. Je suis fier !
J'aime écrire, je trouve que c'est une belle forme pour s'exprimer ; c'est sûr, il y en a d’autres mais l'écriture n'est pas forcément publique, elle peut être personnelle, ça peut être une confidence, une histoire pour soi-même ou tout simplement un lâcher prise. Ecrire tout ce qu'on ressent et sans que personne ne nous dise quoi faire ou comment faire. Écrire à sa façon. Ça peut être aussi un moyen de se rassurer, pour évacuer ce qu'on a à l'intérieur de nous, ça peut être des mots, un poème, une déclaration, des choses qu’on ne veut pas faire partager. Laisser parler son imagination est la meilleure inspiration et personne ne peut nous l'interdire.
Par Desqueyroux Thomas (Collège Nicolas Copernic Montmagny 95) le 21 mars 2018, 22:09
Mon travail d'écriture est fait de ma propre imagination. Pour commencer mon histoire, je fais un schéma avec les informations les plus importantes. Ensuite je fais un premier brouillon que je relis plusieurs fois pour plus ou moins le modifier. Une fois qu'il me paraît le mieux possible, c'est à dire qu'il me plaît, qu'il a du sens et qu'il se rapproche de ce que j’attendais, je le recopie au stylos bleu car je n'aime pas écrire mes histoires au stylos noir, le vert est la couleur de la correction et le rouge du professeur.
Dans mes travaux d'écriture, ce qui me parait le plus compliqué c'est de trouver un sens à l'histoire, le pourquoi du comment. J'ai beaucoup de mal à écrire des histoires courtes car, une fois lancée, tous me vient en tête, des fois j'ai même du mal à m'arrêter. De temps en temps mes histoires s'inspirent de moi, de ma famille, de la vie que j'aurais pu avoir, si elle avait été un peu différente de celle-ci. Ces travaux d'écriture m'aident à extérioriser mes peines ou justement à partager mon bonheur.
Dans l'histoire que je viens d'écrire, je suis le personnage principal, je me suis mise dans mon histoire pour être la plus inspirée possible. Quand je n'ai plus d'imagination je me demande ce que je ferais à la place du personnage.
L'histoire que j'ai écrite parle d'une famille qui n'a pas énormément d'argent, la mère tombe malade mais ne veut pas se faire soigner par des médecins. La fille (moi), depuis petite, veut faire des études de médecine et décide tant bien que mal de partir très loin de chez elle pour aller dans une école de médecine et de tout faire pour réussir à sauver sa mère. Elle réussit à avoir son diplôme et finit par rentrer chez elle. A la fin de l'histoire elle fait des recherches pour trouver ce qui pourrait sauver sa mère et elle réussit.
J'aime créer différents « mondes » avec mon imagination et le partager avec d'autres personnes voulant s'évader de la réalité. Parce que dans notre monde les hommes ne pensent qu'à assouvir leurs désirs égoïstes dénués de sens. Afin de les sortir de cet état, je veux leurs montrer qu'ils peuvent évader leurs esprits en dehors de leur réalité étouffante, en les soulageant pour pouvoir les laisser respirer.
Je n'aime pas le cycle de la vie qui nous est imposé (règles, inégalités, chemins tracés par d'autres, …). L'angoisse et le stress nous mènent dans la voie de la souffrance. Je veux oublier la réalité médiocre qui nous entoure depuis notre naissance jusqu'à notre mort. Je veux pouvoir imaginer chaque point de ma vie d'un autre angle complètement différent, presque fantaisiste.
Vous me dîtes que c'est beau de rêver ? Je vous réponds que c'est beau d'avoir une si belle et misérable naïveté.
J'ai commencé mon histoire en débutant par le déracinement qui est l'une des consignes données. Alors, j'ai pris mon pays natal puis celui dont je connais un peu la culture et que j'apprécie au niveau scolaire : le Japon.
Je continue avec le scénario, en m'imaginant que je suis japonaise et pourquoi j'irais en France ? Quelles sont les raisons ? Quelles seraient mes réactions face à une nouvelle langue, une nouvelle culture et d'autres différences.
J'aime écrire, je trouve que c'est une belle forme pour s'exprimer ; c'est sûr, il y en a d’autres mais l'écriture n'est pas forcément publique, elle peut être personnelle, ça peut être une confidence, une histoire pour soi-même ou tout simplement un lâcher prise et écrire tout ce qu'on ressent et sans que personne ne nous dise quoi faire ou comment faire. Écrire à sa façon. Ça peut être aussi un moyen de se rassurer, pour évacuer ce qu'on a à l'intérieur de nous, ça peut être des mots, un poème, une déclaration, des choses qu’on ne veut pas faire partager.
Laisser parler son imagination est la meilleure inspiration, on peut exprimer des choses réelles comme irréelles et personne ne peut nous l'interdire.
Tout d'abord quand j'écris, je préfère utiliser du bleu plutôt que du noire, je trouve que le bleu est une couleur qui m'aide plus facilement à apprendre.
Pour mon travail d'écriture en Français, je raconte l'histoire d'une jeune fille qui a la chance de passer des auditions pour intégrer l'Opéra, j'explique comment elle y parvient, comment elle se prépare et comment elle réussit.
Je me suis inspirée de ce qui m'arrive (en gros) en ce moment, à cette expérience que j'attends impatiemment, j'ai écrit cela comme si je me projetais vers l'avenir, c'est comme une forme pour me rassurer, pour m'encourager et même réussir.
Je trouve cette inspiration dans mes rêves, dans ce que j'aimerais faire ou avoir. Je m'inspire aussi de la réalité, du monde qui m'entoure, de ce que je vis, de ce que je ressens.
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Nous étions en pleine rentrée, le lundi 5 mars, en cours de Français. Je me dirige vers ma place et j’attends l'autorisation du professeur pour m’asseoir. Il nous demanda d’écrire une rédaction à propos du travail, un sujet inconnu pour moi. Je mets énormément de temps à trouver le domaine dont je pourrai bien parler, je décide d’en discuter avec des camarades, le temps de trouver mon idée. Cinq minutes après avoir commencé la rédaction, je prends mon vieux stylo 4 couleurs à moitié cassé et commence l’écriture de mon texte. J'ai choisi le métier d'un ami que j'apprécie beaucoup et que je suis sur Youtube. Il manquait simplement la conclusion à mon histoire pour finir mon sujet. Je me mets à parler pour faire passer le temps. Tout à coup, un de mes amis me donne une idée sublime que je décide d'utiliser pour conclure mon histoire. Malheureusement, le bruit conséquent de tous les élèves m’empêche de rédiger la fin calmement. Un de mes amis me demande pourquoi j'ai choisi cette histoire, je lui dis que je trouve ça bien de pouvoir partager une passion, une même activité grâce à internet. L'heure de français se termine tandis que je n'avais même pas fini la rédaction, je préviens le professeur que je comptais finir le travail écrit à la maison. Une fois l'histoire terminée , je prends plaisir à la relire pour le bonheur des yeux et le respect que j'ai pour mon ami.
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Durant une semaine et demie, le professeur nous a donné un travail d’écriture à faire. Le sujet est le suivant ; mettre en scène un ou plusieurs personnages pour qui la science et la technique modifient le travail. Suite à cela j’ai dû me munir d’une copie double. Dans un premier temps je réalise, au crayon à papier, un schéma qui pourrait m’aider à écrire cette histoire, ensuite je réfléchis longuement au sujet en commençant par réfléchir aux personnages, au lieu de la scène.
Les thèmes de la science et de la technique m’ont permis d’avoir une idée bien spécifique sur cette histoire car le sujet en lui-même n’était pas très facile à traiter. Les personnages qui me sont venus tout de suite en tête sont 3 soeurs dont 2 jumelles car ma mère a 2 sœurs jumelles dont une qui travaille dans un laboratoire et sa sœur qui est malade.
Ce fut très difficile de rester concentrée sur le sujet, et ne pas trop m’éparpiller car souvent je m’étale un peu trop. Pour essayer de décrire les étapes du travail j’ai tout d’abord fait une description du lieu en mettant en avant des appareils sophistiqués : les ordinateurs, les appareils technologiques, les grandes vitrines tactiles… J’ai été inspirée par ces appareils en m’inspirant de mon imagination (pour les machines) en autres. Pour créer les vitrines tactiles et les appareils sophistiqués j’ai repensé à des séries comme (« FLASH », « GREENHOUSE ACADEMIE »).J’ai aussi mis en évidence le côté lumineux de l’espace.
Mais j’avais trop d’idées et je ne savais pas où ni quand les placer dans le texte. Suite à cela, j’ai essayé de parler des personnages, de leurs histoires et de leurs vies.
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Dans un premier temps, le fait que le sujet nous soit imposer réduit mon champ d’imagination. Mais en y réfléchissant plus longuement je décide de dénoncer un phénomène de société qui est lié au travail et donc au confort de vie. Je choisis comme personnage principal une somalienne nommée Iman, je raconte son histoire et celle de sa famille. Ils doivent quitter la Somalie. Une fois qu’ils arrivent dans un autre pays, ils vivent dans la misère et ont perdu tous leurs repères. Iman ne peut pas exercer un métier qui lui verserait un vrai salaire pour survivre. Iman pense qu’elle ne peut pas obtenir de métier car dans ce nouveau pays (la Grèce) la technologie les entoure. La difficulté de ce travail d’écriture est de rester concentrée sur le sujet donné. J’ai donc commencé à chercher les personnages ensuite j’explique comment et pourquoi ils doivent quitter leur pays. J’ai choisi la Somalie au hasard. Je fais ensuite des recherches pour inclure dans mon histoire des informations sur ce pays et ceux qui l’entourent, le Kenya précisément, car le père d’Iman est kenyan. Dans mon texte, l’armée éthiopienne traverse le Kenya pour nous envahir par les frontières Sud. J’ai donc aussi fait des recherches sur l’Éthiopie : sa localisation. J’ai aussi cherché à ajouter des mots de la langue kenyane pour apporter à l’histoire plus de culture à l’histoire. C’est donc comme cela que j’ai écrit « De la guerre à la misère ».
PHOTO_COUCOURS2.png, mar. 2018
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Lorsque j’entre dans la classe notre professeur nous dit que nous allions participer à un concours d’écriture. Je croyais que nous allions choisir notre sujet mais nous n’avons pas le choix. Je n’aime pas ce sujet… il faut parler de quelqu’un qui travaille et qui subit un déracinement. Je mets du temps à trouver l’inspiration car on est en train de parler et de rigoler avec les gens autour de moi.
Je choisis de raconter l’histoire d’un ouvrier qui habite dans un quartier qu’il déteste. Alors je me dis que la proposition d’un emploi loin de chez lui pour lui faire quitter cette ville était une bonne idée de déracinement positif, alors je commence à rédiger brouillon puis je choisis le nom de mon personnage car c’est là que je perds du temps, trouver un nom qui me convient. Je choisis Bernard et je commence à rédiger mon histoire avec mon brouillon.
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Hier, en cours de français, dans ma classe de 3ème, notre professeur de Français QUI NE M’AIME PAS nous demande d’écrire un texte sur le travail. Évidemment nous avons des contraintes qui m’énervent légèrement car nous n’avons pas la liberté d’écrire ce qui nous passe par la tête. Nous devons écrire au présent, insérer la description précise et complète d’un lieu, décrire un personnage et montrer un personnage pour qui la situation est soit positive, soit négative.
Je ferme tout de suite les yeux afin d’imaginer une histoire à la fois réelle mais aussi originale. C’est très facile pour moi, j’ai beaucoup d’imagination et je me sers aussi de mon vécu car je me suis inspiré d’un SDF auquel je souris toutes les fois où je le vois dans le métro. Après avoir trouvé mon idée, je vais très vite pour écrire parce que j’ai une méthode qui me permet d’écrire l’histoire en même temps que j’imagine son déroulement avec des images dans ma tête.
A la fin de mon texte je réalise que je n’ai pas conjugué les verbes au présent mais à l’imparfait et au passé simple, je suis vert de rage : je dois tout remettre au présent ! Après avoir réalisé cette tâche, je lis mon texte qui me plait : je suis fier ! Malheureusement, suite à une décision du PROFESSEUR, nous avons dû écrire ce pu**** de travail qui m’a désespéré puis qui m’a plu lorsque j’ai appris que nous pouvions donner notre avis HONNETEMENT et SINCEREMENT : ça a refait ma journée !!!:):):):)
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Pour trouver l’idée de mon histoire j’ai cherché un métier que je connais un minimum dans la vie de tous les jours. Je réfléchis longtemps jusqu’à ce que je trouve le métier de contrôleur dans le bus. Pourquoi ce métier ? Parce que je prends le bus presque tous les jours et les contrôleurs je les vois quelques fois.
Je m’inspire de la réalité pour écrire mon texte car ça m’aide beaucoup et je trouve que c’est plus facile que d’imaginer, ensuite je prends ma feuille et fais un schéma que le professeur nous a appris à réaliser. C’est une technique pour nous aider à construire une histoire et à ne pas nous perdre.
Après la conception de mon schéma j’essaye d’imaginer un objet qui peut révolutionner ce métier, le rendre plus facile car le sujet est d’inventer une histoire ou nous mettons en scène un ou plusieurs personnages pour qui la science et la technique changent le travail.
Pour m’aider à imaginer l’objet je me pose des questions sur le travail que j’ai choisi. Comment les contrôleurs de bus peuvent contrôler les gens plus vite et plus efficacement ? J’ai une idée, un gadget qui peut analyser tous les passagers dans le bus et dire s’ils fraudent ou pas. J’ai mon idée, il ne me reste plus qu’a inventer une histoire à partir de cet objet et montrer qu’il rend ce métier plus facile.
Mon personnage principal, je l’appelle Michel, car je m’inspire de la vie de tous les jours pour trouver ce nom, et mon entraîneur de Basket s’appelle Jean-Michel. Je trouve que ce nom colle bien avec mon personnage. A la fin de mon histoire je mets une sorte de petite morale qui dit : Peut-être qu’un jour les robots nous remplaceront et les humains n’auront plus rien à faire...
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Un travail d'écriture en classe de 3° c'est exprimer ce que l'on ressent et laisser notre imagination prendre le dessus. Moi quand je fais un travail d'écriture j'essaye de trouver une histoire en rapport avec le sujet demandé.
Les questions que vous pouvez vous poser c'est : comment ai-je eu l'idée de l’histoire ?, comment j'ai travaillé ?, mes difficultés ?, mes facilités ? etc...
D’abord je me pose la question de savoir de quoi mon histoire va parler après je me demande où mon histoire va se passer combien de personnages ils y aura et quel serait le rapport avec le travail.
Comme je parle portugais je voulais que mon personnage vienne d'un pays qui parle cette langue. Je ne sais pas pourquoi je ne prends pas mon pays d'origine, mais bon. Je décide qu'il y aurait trois sœurs avec une particularité aux yeux, qu'elles habiteraient au Brésil, dans des favelas avec leur mère, qu'elles deviendraient mannequins, riches et elles feraient le tour du monde.
Je prends une feuille double, j’ouvre ma trousse je prends mon crayon à papier et je commence à faire le brouillon. Puis je rédige mon histoire en sautant des des lignes. Au début c’est un peu dur de trouver l'inspiration en plus j'ai peur de ne pas faire assez de lignes car le prof en demande une trentaine mais à la fin j'en fais 64 ! Je suis très heureuse d'avoir fini mon histoire et je la trouve intéressante.
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Selon moi, le travail d’écriture consiste à mettre sur papier toutes nos pensées sur un thème prédéfinit en étant capable de faire des phrases qui ont un sens et qui nous obligeraient à employer un tout autre vocabulaire. L’histoire que j’ai rédigée m’est venue en lisant des chroniques sur mon téléphone, je me suis donc inspiré de certaines des scènes, plus je structurais mon texte plus les informations me survenais je suis donc parvenue à finalisé mon histoire assez rapidement. Je me suis rendu compte que j’avais plus de mal à mettre en œuvre ma pensée à l’écrit. Le fait de ne pas savoir rédiger ce que je voulais m’a énormément pénalisé dans mon temps.
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Mon inspiration vient toute seule, quand je rédige ma rédaction mes premières idées sont : le foot, la guerre et le changement de villes. Mes premières démarches sont de commencer sur une feuille de brouillon ou sur mon ordinateur, ensuite je commence à rédiger mes idées sur la feuille de brouillon. Dès que j’ai terminé mon brouillon, je montre à mon professeur pour savoir si mon brouillon est bon et correct, et j’attends la réponse du prof j’attends ses remarques pour voir s’ils sont positifs ou négatifs. Dès que le prof me dit ce que je dois améliorer je commence à faire la rédaction au propre. Mes difficultés en rédaction c’est de trouver l’inspiration au milieu du texte car au milieu du texte faut trouver un rebondissement dans l’histoire pour que l’histoire soit passionnante, ensuite mes facilités c’est de trouver le début et la fin de l’histoire et trouver le contexte et le décor du sujet.
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Le travail d'écriture en Français est un texte que le professeur nous donne à faire avec plusieurs idées. Il nous donne une consigne qui est plus ou moins facile à exécuter puis je me mets au travail. Pour avoir l'idée de l'histoire je réfléchis longtemps à comment je vais faire mon texte, j'ai aussi pensé à mon histoire en regardant la télévision, je demande des conseils à mes grandes sœurs, je lis des BD, etc... J’utilise un stylo de couleur bleue, je prends une feuille vierge sur laquelle j’écris mon brouillon, je prends le temps de réfléchir, je demande de l'aide à mes sœurs, je vais dans une bibliothèque pour être dans le calme complet. Les difficultés qui se mettent sur mon chemin sont les transports, j'ai pas du tout les moyens pour y aller, quand je suis chez moi c'est la guerre totale, mes sœurs chantent, mes parents se disputent, le bébé pleure tout ça m'agace beaucoup. Il y a aussi mon téléphone qui me dérange parce qu’il ne fait que sonner, et quand mon père invite des amis à lui et qu’ils parlent jusqu’à je ne sais pas quelle heure, c'est infernal.
J'ai un gros problème pour écrire le texte. Je demande de l’aide au prof qui me donne une astuce : il me passe son téléphone pour que je m’enregistre. Je pars m'isoler dans le couloir et je commence à expliquer mon texte dans les moindres détails, puis je donne le téléphone au prof. C’était mon premier jet.
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J’ai l’idée d’une histoire d’Aziz, un délinquant dans la cité, car tous les jours je vois ça et j’adore les films de trafiquants de drogue et les films de ghetto que je regarde sur netflix ou des sites internet comme La cite de dieu. Je travaille très rapidement, ce sujet m’inspire beaucoup. Pour moi ce n’est pas été difficile, au contraire c’est très facile car tout ce que je raconte, je le connais, je vois ça en vrai à coté de chez moi. Quand je suis en train d’écrire l’histoire je suis vraiment à la place du personnage. Pour moi écrire un texte sur le travail et un très bon sujet j’aime ce sujet car je suis vite inspiré. J’invente quelques truc comme les regrets de mon personnage après avoir fait, ce qu’il fait et ce qu’il fait pour se rattraper. Je me mets à sa place je me dis que dans sa situation, j’aurais tout fait pour me rattraper. Je change aussi la ville et le nom des personnages car c’est le problème de personne de savoir où ça se passe vraiment et les vrais noms et prénoms.
Présentation
Recueil de textes rédigés par deux classes de troisièmes du collège dans le cadre du concours "Écrire le travail". Les élèves ont d'abord rédigé un récit qui met en scène un personnage qui travaille. Puis, ils ont rédigé une description de leur travail d'élève qui rédige un travail d'écriture. Enfin, il ont recréé un texte original en copiant et collant des bribes de textes divers.