Des plaisirs et des jours

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05 mars 2015

Une traversée du Nil (Alice D.)

     Un jour, Tahoser se trouvait dans une barque, sur la rive gauche du Nil, parce que celle-ci suivait Poëri (son âme sœur).
     Avant de se retrouver ici, Tahoser avait suivi le jeune homme pour découvrir où il allait se rendre le soir car elle pensait qu'il allait voir une femme (elle était très jalouse car elle l'aimait très fort).
     Elle continuait sa traversée et elle se trouva soudainement face à lui. Mais tout à coup, la barque du beau garçon déviait à cause du fameux courant du Nil, et sa petite barque se fracassa contre un énorme rocher. Tahoser avait plongé pour le sauver, la jeune fille se sentait faible à ce moment précis. Elle se dit qu'avec cet acte de bravoure, Poëri serait peut-être reconnaissant et qu'il l'aimerait enfin. Elle réussit à le sortir de l'eau sain et sauf avec les dernières forces qu'elle avait en elle.
     Pour ce geste, le jeune homme lui demanda sa main. Tahoser était si joyeuse qu'elle tomba au sol, mais bien sûr, c'est Poëri qui l'a rattrapée (c'était à son tour de sauver quelqu'un maintenant). Plus tard, ils se sont mariés joyeusement. Elle était la jeune femme la plus heureuse du monde même si elle ne saurait jamais la vérité: "Pourquoi traversait-il le Nil en pleine nuit ?". Mais peu importe pour Tahoser, elle avait réalisé son rêve (être avec Poëri).
     Poëri et Tahoser logeaient dans le beau palais qu'elle avait depuis de nombreuses années.
     Ils sont heureux et ils espéraient que cela aller durer encore longtemps, se disaient-ils en se tenant la main très fort (ils vivaient le parfait amour). 

Une traversée du Nil (Elsa)

      Alistair, un jeune garçon de 15 ans, voulait découvrir le château du Roi. Il était décidé alors, il sauta dans une barque. Le courant était très fort et les crocodiles très nombreux. À cause du courant, sa barque s'embourba dans un ruisseau. Il dut donc quitter sa barque et continuer sa traversée à la nage. Plongé dans le noir, celui-ci nageait et les moindres bruits lui faisaient peur.
     Il était proche  de l'arrivée quand un hippopotame lui fit face. Le jeune garçon se débattait depuis longtemps face au monstre quand un vieux villageois passant par là tua l' hippopotame. En sortant du Nil  l'adolescent voulait le remercier mais celui-ci avait disparu, alors il continua son chemin et trouva le château du Roi.  

Une traversée du Nil (Marine)

     Louis et Romy devaient arriver chez leurs parents avant le jour, leur parents habitaient de l'autre coté du Nil. Vers le soir, ils allèrent tous les deux près du Nil afin de le traverser en barque, mais ils furent très surpris car il n' y avaient aucune barque devant eux. Ils réfléchirent puis se mirent d'accord sur une solution: traverser le Nil à la nage !

     Romy avait très peur mais elle fut vite encouragée par son frère. Au bout d'une demi-heure de nage, ils étaient épuisés. Ils rencontrèrent des hippopotames qui avaient l'air inoffensifs alors ils montèrent dessus et il avancèrent tranquillement. Mais tout à coup, ils virent un grand arbre avec de grandes branches remplies de ronces, ils furent obligés de continuer à la nage pour ne pas faire de mal aux animaux.

     Tout à coup, ils regardèrent le soleil se lever et il comprirent qu'ils étaient presqu'arrivés. Ils virent aussi, non loin d'eux, leurs parents qui les attendaient sur la rive, alors ils se mirent à nager très vite. Ils étaient enfin arriver ! Ils embrassèrent leurs parents et rentrèrent chez eux !

04 mars 2015

Interview de Mérimée (Eva)

Journaliste: Bonjour.
Mérimée: Bonjour.
Journaliste: Alors, parlez-moi un peu de vous, comment vous appelez-vous ?
Mérimée: Je m'appel Prosper Mérimée.
Journaliste: Quand êtes-vous né ?
Mérimée: Le 28 septembre 1803.
Journaliste: Et où avez-vous passé votre vie ?
Mérimée: J'ai passé ma vie à Paris, mais j'ai beaucoup voyagé en Espagne, en Corse, en Italie et Orient. J'ai d'ailleurs écrit un livre au sujet de mon voyage en Espagne et un autre au sujet de mon voyage en Corse.
Journaliste: Comment a été votre enfance, que faisaient vos parents ?
Mérimée: Mon enfance a plutôt été paisible. J'ai grandi au milieu de la bourgeoisie parisienne. Quant à mes parents, ils avaient tous deux des métiers respectables. Ma mère était artiste peintre et mon père a été professeur de dessin à l'école polytechnique, avant de devenir secrétaire-adjoint à l'école des beaux-arts.
Journaliste: Bien, ce sera tout, merci d'avoir répondue à mes questions.
Mérimée: Il n'y a pas de quoi.

Interview de Mérimée par un journaliste (Julie et Camille)

« Bonjour, commence à dire le journaliste en s'adressant au célèbre écrivain.
- Bonjour.
- Comment allez-vous ?
- Très bien et vous ? 
- Merci, très bien ! Je vais vous poser quelques questions si vous le voulez bien ? 
- Oui, bien sûr, allez-y .
- Alors... quand êtes-vous né ?
- Le 28 septembre 1803 à Paris . 
- Racontez-moi un peu votre vie, si ce n'est pas trop indiscret...
- Je suis issu d'une famille bourgeoise parisienne cultivée. Ma mère est artiste peintre et mon père professeur de dessin à l'école polytechnique puis secrétaire adjoint de l'école des beaux arts. J'ai étudié au lycée Impérial Napoléon puis j'ai fait une licence de droit à Paris en 1823, j'avais donc 20 ans. 
- Très bien ... Racontez-moi vos premiers succès.
- Mes premiers succès ont été deux supercheries littéraires qui sont : le théâtre de Clara Gazul paru en 1825 et la Guzla en 1827.
- Merci bien pour ce moment passé ensemble. Je vous souhaite une bonne fin de journée et à bientôt, au revoir !
- Au revoir, merci à vous! »

Une interview de P. Mérimée (Sarah et Laura)

Journaliste: Bonsoir M. Mérimée.
P. Mérimée: Bonsoir
Journaliste: De quel milieu de vie êtes vous ?
P. Mérimée: Je suis issu de la bourgeoisie parisienne.
Journaliste: Qu'est-ce qui vous a donner envie d'écrire?
P. Mérimée: Bah, vous savez, ma mère est artiste peintre et mon père professeur de dessin à  l'école polytechnique, il a ensuite été secrétaire adjoint de l'école des Beaux-Arts à Paris.
Journaliste: Quelles études avez-vous faites?
P. Mérimée: J'ai été au lycée impérial de Napoléon, puis en 1823 j'ai fait une licence de droit à Paris.
Journaliste: Comment votre carrière a-t-elle débutée?
P. Mérimée: Ma carrière a débuté par la rédaction d'une tragédie en prose sur Cromwell  et d'un Roman, La Bataille. En 1824, le journal le Globe publie 4 de mes articles non signés consacrés au théâtre espagnol.
Journaliste: De quoi est composée la suite de votre œuvre?
P. Mérimée: Oh, j'ai ensuite écrit des nouvelles, des romans et des notes de voyage.
Journaliste: Quand êtes-vous mort et à quel âge?
P. Mérimée: Je suis décédé le 23 Septembre 1870, à l'âge de 66 ans.
Journaliste: Et bien merci, nous sommes ravis d'en savoir un peu plus sur vous.
P. Mérimée: De rien, au revoir.

Interview de Prosper Mérimée (Clément et Bilal)

Journaliste : Bonjour monsieur Mérimée. Merci d'avoir accepté cette interview.

Mérimée : Je suis ravi.
Journaliste : Vous êtes né le 28 septembre 1803, vous avez étudié au lycée imperial Napoléon et vous avez suivi des études de droit. Vous avez été récemment élu à l'Académie française et vous venez de publier Carmen. Vous avez à nouveau choisi de nous présenter une nouvelle, pourquoi ce choix ?
Mérimée : La nouvelle est un exercice de style qui me correspond. C'est court, réaliste, vif et elle se prête très bien à mes récits. J'ai déjà beaucoup écrit pour le théâtre avec le théâtre de Clara Gazul et j'ai aussi écrit un roman historique avec ma Chronique du règne de Charles IX. Cela faut plusieurs années déjà que j'écris des nouvelles et Carmen n'est pas ma première nouvelle. Vous avez peut être lu Colomba ou d'autres ?
Journaliste: Columba ? Oui, cette nouvelle se déroule en Corse. Vous avez beaucoup voyagé, en Italie, en Corse, en Orient et en Espagne. Carmen est-elle une oeuvre en hommage à l'Espagne ?
Mérimée : Oui j'aime beaucoup les voyages. Je parle plusieurs langues, le russe, l'anglais, le grec et l'arabe. Je suis déjà allé deux fois en Espagne avant d'écrire Carmen. Je connais bien la culture de ce pays et j'ai été inspiré par les aventures des bandits chevaleresques.
Journaliste: Vos parents vous ont-ils influencé dans le choix de devenir écrivain ?
Mérimée : Sans doute. J'ai pris une autre voie que la peinture, mais l'écriture reste un art. La différence c'est que j'utilise des mots.
Journaliste : Lors de la publication de Carmen, vous avez été critiqué tant par le public que par des auteurs. Comment supportez vous ces critiques ?
Mérimée : J'assume complètement mon travail. On dira que j'ai un style direct, que je suis brusque et que je ne prends pas le temps pour décrire mes personnages. Peu importe, je ne cherche pas à copier.
Journaliste: Très bien, vous êtes né un an après le célèbre écrivain Victor Hugo qui vous a fait une critique plutôt négative qu'en pensez-vous ?
Mérimée: Je pense que toutes les personnes de ce monde ont le droit de critiquer n'importe qui. Donc non, cette critique ne m'a pas choqué. Je ne suis ni triste, ni joyeux, je fais simplement mon travail.
Journaliste: Bon, parlons de votre famille pouvez vous nous la décrire ?
Mérimée: Ma mère enseignait la peinture. Je me rappelle beaucoup de la gravure me représentant à l'âge de 5 ans et mon père était avocat au parlement mais il peignait beaucoup de tableaux. Il finit par renoncer à la peinture pour se consacrer à l'enseignement.
Journaliste : Très bien, merci d'avoir participé à notre interview.
Mérimée : Merci.

Interview de Mérimée (Léa et Diane)

Journaliste: Bonjour Mérimée, je suis heureux de vous voir. Bon, commençons, avez-vous fait des études ?
Mérimée: Oui j'ai fait des études de droit.
Journaliste: Vous avez été élu à l'Académie française, n'est-ce pas. Quelle a été votre réaction suite à votre élection ?
Mérimée: J'ai été surpris, mais ça a été un honneur pour moi.
Journaliste: Je suppose que vous avez beaucoup voyagé ? 
Mérimée: Oui, j'ai fait de nombreux voyages notamment en  Orient, en Corse, en Italie et en Espagne
Journaliste: Quels ont été vos premiers succès?
Mérimée: Mes premiers succès ont été le Théâtre de Clara Gazul et la Guzla, répondit-il en buvant une gorgée d'eau.
Journaliste: Carmen a été crée en 1845, qui est Carmen ?
Mérimée: Carmen est une belle et mystérieuse bohémienne.
Journaliste: De quoi parle Carmen ?
Mérimée: Carmen parle d'une jeune gitane qui entraine dans sa chute son amant jaloux.
Journaliste: Merci d'avoir répondu a nos questions, à bientôt.
Mérimée: Au revoir.

L'interview littéraire (Rihab et Pauline)

L: Bonjour nous allons débuter l'interview.
M: Bonjour, enchanté de faire votre connaissance.
L: Qu'est-ce qui vous à inspirer pour écrire vos livres ? 
M: Mes voyages m'ont beaucoup inspirés.
L: En effet, ce sont de très belles inspirations ! 
L: Quelle était votre plus grand succès ? 
M: Mon premier grand succès était au théâtre.
L : Qu'avez vous publiez? 
M: J'ai publié des nouvelles comme la Vénus d'Ille, Colomba, Carmera...
L: Malheureusement, je n'ai lu aucune de ces oeuvres pourriez me preter la Vénus d'Ille.
M: Aucun problème.
L: Merci ce fut un grand plaisir de faire cette interview avec vous.
M: De même, Au revoir.
 
L= Laure, la journaliste 
M = Mérimée, l'écrivain 

Interview de Mérimée (Yoann et David)

Journaliste: Bonjour.
Mérimée: Bonjour monsieur. Nous pouvons commencer? enfin si vous êtes prêt...
Journaliste: Oui! pas de problème alors comment vous appelez-vous ?
Mérimée: Je m'appelle Prosper Mérimée.
Journaliste: Et pouvez-vous nous parler de votre enfance si cela ne vous dérange pas ?
Mérimée: Non cela ne me dérange absolument pas. Je suis née le 28 septembre 1803 à Paris, dans une famille bourgeoise cultivée ma mère était artiste peintre et mon père était professeur de dessin à l'école polytechnique, puis secrétaire adjoint de l'école des beaux arts.
Journaliste: Et votre formation ou l'avez-vous faites ?
Mérimée: J'ai fait mes études au lycée impérial Napoléon, puis j'ai fais une licence de droit à Paris.
Journaliste: qu'elles ont été vos premiers succès ?
Mérimée: Mes premiers succès ont été le Théâtre de Clara Gazul et La Guzla
Journaliste
: Avez vous fait des voyages lors de votre vie ?
Mérimée: Effectivement, j'ai beaucoup voyager entre Espagne, la Corse, l'Italie, l'Orient, la Côte-d'Azur.
Journaliste: Ah oui quand même! Vous avez eu une longue et belle vie!
Mérimée: Ah oui et cela m'a beaucoup plu !
Journaliste: Nous allons devoir nous quitter. Je vous remercie d'avoir répondu à nos questions.
Mérimée: Et moi je vous remercie de m'avoir accueilli sur le plateau. Au revoir et à bientôt !

Journaliste: Au revoir

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