Des plaisirs et des jours

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Collège Saint Simon 4ème 2 › A la rencontre d'un personnage des "Trois mousquetaires"

Fil des billets

28 janvier 2015

Portrait d'Aramis (Julie)

    J'avais croisé Aramis à plusieurs reprises. Cet homme était âgé d'une petite vingtaine d'années. Il se prénommait Aramis. Aramis est un mousquetaire de la garde du roi commandée par Mr. de Tréville. Aramis avait des yeux noirs, des joues roses et si veloutées qu'elles étaient aussi douces qu' une pêche en automne. Il avait aussi une moustache qui soulignait sa lèvre supérieure avec une rectitude parfaite et il avait des dents d' une blancheur inouïe car il en prenait le plus grand soin. Aramis était de nature timide, il était réservé et ne montrait pas beaucoup ses sentiments. Il ne parlait pas beaucoup et les seules fois ou il parlait, c était lentement. Aramis était un des meilleurs mousquetaires avec ses amis Porthos, Athos et d'Artagnan.

    Un jour que nous étions à un bal donné par le roi, nous discutâmes avec Aramis qui était saoule. Il nous raconta l'une de ses histoires:
"J'ai une histoire à vous raconter! dit Aramis." Ses amis se mirent à l'écouter attentivement. Il poursuivit: "un ami à moi rencontra une très belle femme . Ils vivaient le parfait amour, raconta Aramis d' un air très triste et avec un air rêveur." Les invités qui l' écoutaient trouvaient que cette histoire était sans importance mais ils continuèrent de l' écouter. Aramis raconta qu'un jour, pendant que son ami et sa femme étaient en train de chasser, la femme tomba de son cheval. Son mari s'approcha d'elle et découvrit une fleur de Lys tatouée sur son épaule. Ce signe était la marque des voleurs, il signifiait que sa femme avait déjà volé auparavant. L'ami d'Aragmis la pendit pour la punir de sa traitrise et il resta seul et triste jusqu'à la fin de ses jours. Aramis racontait cette histoire comme s'il l' avait vécue. Il s' y croyait tellement qu'il était à la fois triste et en colère. Les invités comprirent que c'était lui, le mari qui avait été trahi par sa femme et ils compatirent avec lui. Quand le bal fut fini et les invités rentrèrent chez eux.

21 janvier 2015

Anne d'Autriche (Tessa)

          J'avais croisé la reine un soir où je travaillais dans l'auberge du village. Nous étions seules toutes les deux. Elle devait avoir entre vingt-six et vingt-sept ans. J'étais éblouie par sa beauté: sa démarche était celle d'une déesse, ses yeux jetaient des reflets d'émeraudes, sa bouche, petite et vermeille, était gracieuse dans le sourire. Sa peau etait citée pour sa douceur et son velouté.

         Après l'avoir comtemplée j'entamais la discussion:
« Bonjour, dis-je.
- Bonjour.
- Alors qu'est-ce qui vous fait venir dans ce village loin de vos terres? lui demandais-je.
- Mélez-vous de vos affaires! Allez plutôt me chercher un verre, ordonna-t-elle.
Je lui ai apporté un verre, puis deux, puis trois, puis quatre verres jusqu'à ce qu'elle commence à me parler.
Je vais tout vous raconter, mon épou, le roi, je ne l'aime pas, mais je ne peux pas le montrer, mon pays compte sur moi...
- Pourquoi est-ce que vous ne l'aimez plus?
- Je ne l'ai jamais aimé. Mon mariage est un mariage forcé mais il empire les choses: il couche avec chaque femme qu'il croise. »
Après quelques instants de réfléxion, elle se rendit compte de ce qu'elle venait de m'avouer et elle s'en alla.

Ma rencontre avec Constance Bonacieux (Maéva)

       J'avais croisé Constance Bonacieux à plusieurs reprises car elle était, elle aussi, très proche de la reine Anne d'Autriche. En effet, je suis proche de la reine car je fais partie, comme Constance, de ses servantes et du petit nombre de personnes auquel elle peut se confier. Lorsque je ai vu Constance pour la première fois, je lui ai donné environ vingt-cinq ans. Cette femme était très belle. Elle avait des cheveux bruns et de magnifiques yeux bleus aussi profonds que le fond des océans. Ils brillaient au soleil comme de l'argent. Constance avait aussi des dents blanches et bien alignées, ainsi qu'un magnifique teint marbré de rose et d'opale comme le couché du soleil.  

      Un jour que nous étions à un bal donné par le roi, elle s'avança vers moi et nous discutâmes de d'Artagnan, elle déclarait:
« En ce moment-même je nage dans le bonheur très chère.
- Ah oui! pourquoi ? 
- Car j'aime un homme, il a un visage long et brun, les pommettes des joues saillantes ce qui est un signe d'astuce et des muscles très développés.
- Ne serait-ce pas d'Artagnan? Le gentilhomme félicité par notre roi lors de son exploit contre le cardinal ? lui demandais-je.
- Oui, madame c'est bien lui, le jeune apprenti mousquetaire de M. de Tréville.
- Je comprends que vous l'aimiez, affirmais-je, mais vous êtes déjà mariée à M. Bonacieux. Et si monsieur apprenait que vous étiez la maîtresse de ce jeune homme que dirait-il, qu'est-ce qu'il vous fera? Je pense qu'il risque de monter sur ses grands chevaux et de vous couper la tête!
- Qu'est-ce que vous pouvez avoir comme pensées négatives! Mon mari n'en sera strictement rien, de plus il est à la Bastille. Il le saura seulement si vous avez la mauvaise intention d'aller le voir et de lui faire part de la confidence que je vous ai faite.
- Ne vous faites pas, je ne lui dirais rien.
- Sur ce, il faut que je vous quitte, il faut que j'aille divertir Madame la Reine.
- Au revoir, à une prochaine fois, Constance! »

19 janvier 2015

A la rencontre de d'Artagnan (Rihab)

      J'avais croisé d'Artagnan à plusieurs reprises. Cet homme avait un visage long et brun. Il avait l'oeil ouvert, le nez crochu mais finement dessiné. Il avait aussi une monture: c'était un bidet du Béarn, jaune de robe.
      Un jour que nous étions à un bal donné par le roi, nous discutâmes d'Athos, de Porthos et d'Aramis, ses camarades mousquetaires. Il déclara:
« Avec mes amis mousquetaires, c'est à la vie, à la mort! Ils étaient souvent avec moi lors de mes aventures et maintenant, nous avons les mêmes ennemis: les ennemis de mes amis sont mes ennemis!
- Comme c'est touchant! m'exclamais-je, c'est une belle preuve d'amitié! Avez-vous toujours été aussi proche de vos amis?
- Non pas du tout, il y a eu beaucoup d'histoires, dit-il dans un soupir, mais c'est du passé maintenant. 
- Avez-vous des exemples ? 
- Je ne peux seulement évoque une histoire qu'Aramis a eu avec Milady, mais je ne peux pas vous en dire plus, cela est personnel...
- En effet, je m'excuse, je ne voulais pas vous mettre mal à l'aise. Je suis désolée.
- Ne vous inquiétez pas, c'est du passé, j'essaye d'oublier cette histoire comme toutes les autres! répondit-il.
- Je ne veux pas vous dérangez plus longtemps que ça, sur ce, je vous accorde un salut joyeux en espérant que je ne vous aie pas mis trop mal à l'aise.
- Je ne suis pas mal à l'aise, d'éclara-t'il avant de me saluer. »

12 décembre 2014

A la rencontre de d'Artagnan (Etienne)

     J'avais croisé d'Artagnan à plusieurs reprises. Cet homme était,  au premier abord gentilhomme, jeune et fier comme la plupart des gascons. Ses cheveux étaient magnifiques, ses yeux sublimes, sa bouche parfaitement dessinée, son torse était musclé, ses jambes était fines mais musculeuses et ses pieds superbes.

     Un jour que nous étions à un bal donné par le roi, nous discutâmes de Constance Bonacieux. Comme je la regardais s'avancer vers nous, d'Artagnan me mis en garde, il déclara d'un air enflammé:
« C'est ma maîtresse alors, si monsieur la veut, il devra me passer sur le corps!
- Hola! monsieur! calmez-vous je la trouve belle mais je vous la laisse, lui dis-je.
- Très bien, je préfère ça!!! me répondit-il en se radoucissant.
- Bon je ne vais pas vous importuner davantage, j'espère que vous resterez toujours aussi amoureux de cette jeune personne. Au revoir! m'exclamais-je avant de quitter la salle.
- Au revoir, me répondit-il sans même me jeter un regard. »