Thierry Jonquet commence à écrire pour raconter l’horreur. Nous sommes plongés dans un univers de dégoût en raison de l’accumulation de différents évènements répugnants.

                Lorsqu’on lit le titre on s’attend à une histoire proche de La Belle et La Bête de Madame de Prince de Beaumont qui est loin d’être similaire à l’œuvre de Jonquet  car ce conte raconte une histoire d’amour alors que celle de Thierry Jonquet raconte une histoire policière.

               Le récit se déroule dans le sens inverse de ce à quoi s’attend le lecteur. En effet dès le début, on s’aperçoit que l’histoire est déjà tracée car très vite on connaît le coupable. Cela remet en question les codes du roman policier.  L’histoire prend tout son sens uniquement à la fin, ce qui crée un effet de surprise. La chute est étonnante, en effet elle est bouleversante car ce n’est pas à cela que l’on s’attend lorsqu’on lit le livre. On se rend compte que l’intégralité de l’histoire était basée sur un fait imaginaire.

Attention, les apparences sont parfois trompeuses…

BK, Méloush", Zaza" et Tiloush" (2A)