Cahier de lecture de la classe
Par prof le 09 mars 2016, 12:19 - Le dernier jour d'un condamné - Lien permanent
Notez au fur et à mesure de votre lecture vos impressions, questionnements, réactions sur ce texte.
N'hésitez pas à vous servir du cahier de vocabulaire ou de la méthode d'analogie pour exprimer vos premières impressions (si ce texte avait une couleur quelle serait-elle? A quel animal vous fait penser chaque personnage?)
Bonne lecture!
Commentaires
Dans les trois premiers chapitres que j'ai lu, la première impression est que cette homme vit mal son instant présent. Il est en prison pour une raison que l'on connait pas, mais on comprend qu'il va être condamné à mort.
Le personnage donne énormément de détails sur ce qu'il voit et vit, cela montre que c'est un moment qui le marque et est important. Il fait comprendre qu'il préfére mourir plutôt qu'avoir a effectué des taches
on peut constater que l'homme préfère mourir et s'effacer de la vie, que de rester en vie et de faire des travaux forcés. il se sent coupé du monde et perd tous moyens devant le juge, il a l'impression de s'être mis toute la salle a dos. Le narrateur fournit énormément de détails et nous fait comprendre donc que cette scène de jugement est très importante.
Je trouve que l'auteur décrit énormément la scène, on peut visualiser chaque petits détails, comme le soleil que le narrateur entraperçoit à travers sa cellule, ou le fait qu'il respire et ressente certaine odeur et sensation quand il rentre dans la salle d'audience . L'utilisation du passé simple, quand il se rend dans cette salle d'audience donne un effet de brièveté.
Dans le premier chapitre on remarque que l'homme condamné vit avec une pensée qui lui ai infernale en effet on remarque que le début du texte, ainsi que la fin commence par "condamné à mort !" on observe aussi cette phrase au milieu du texte. L'auteur a structurer le texte ainsi pour montré que l'homme n'a qu’une pensée en tête.
dans les 3 premiers chapitres il y a beaucoup de détails qui rendent la lecture plus longue. De plus le lecteur est dans l'attente, on ne sais pas pourquoi le condamné est mis a mort.
Le chapitre 2 est rempli de détails "J’ouvris les yeux""Je me levai ; mes dents claquaient" ce qui montre que c'est un souvenir important de plus on observe plusieurs verbe d'action "Nous traversâmes""Nous montâmes".
On peut dire que ce que le personnage raconte est important car il évoque un souvenir "Autrefois..." si cela n'avait pas été important il ne s'en serait pas souvenu. "Maintenant" autre adverbe de temps de qu'il utilise monte que sa vie est différente " Je n’ai plus qu’une pensée, qu’une conviction, qu’une certitude : condamné à mort " Il est nostalgique , il regrette son ancienne vie.
Dans les 3 premiers chapitre, le condamné ne connais pas encore sont sort et préférerai mourir plutôt que de faire des travaux et ironie tragique, le verdict tombe, il est condamné a mort pour un crime que l'on ignore encore et il ne s'interpose pas a cette descision. dans cette prison et dans sa cellule il est enfermer mais il s'évade avec son esprit : "ce n’est qu’un rêve ! " . en entrant dans la salle d’audience il s'évade mentalement en regardant par la fenêtre: "une fenêtre était toute grande ouverte."
Dans le premier chapitre la mort semble être une obsession et presque une peur alors que dans le deuxième chapitre on remarque qu'il préférait mourir que faire des travaux forcés "plutôt cent fois la mort !"
Le premier chapitre montrent l'anxiété du personnage, nous ne savons pas pourquoi il est condamné à mort.
On dirait que le personnage (qui est le personnage principale sûrement ) ne semble pas savoir non plus.
Non ne savons pas quel jours il est, nous savons juste qu'il fait nuit, et que cela fait cinq semaines qu'il s'interroge.
Dans le chapitre deux nous savons que c'est au mois d’août, un matin. Le personnage quelques jours avant (3 jours avant) il y a eut son procès, et les hommes de loi sont considéré ici comme des corbeaux autour du cadavre (ici le cadavre c'est le personnage)
quand son procès fût terminer il fût ramené dans son "cachot" et pour lui c'est un moment de "relâchement" il est soulagé , c'est comme si ce moment pour lui étais un moment de détente.
Tout en se rappelant son passé de liberté (on remarque des le début du texte une sorte de nostalgie du personnage? et une mélancolie assez prononcée) , il parle de l'obsession vis a vis de l’idée de mourir sur la guillotine qui le hante depuis sont arrivée. (chap 1)
1er chapitre:
on comprend que l'homme va mourrire, que il n'a plus que cette idée en tête il appuis bien sur le faite que son corps est condamné (en prison) mais que son esprit et en prison dans une idée . Mais on comprend aussi que avant d’être condamné c'etais un homme épanouis et heureux il dit "être libre" on ne sait pas encore pourquoi il est condamné.
Dans le premier chapitre on remarque qu'un homme va mourir et cette pensé le hante plus que tout. Au paravent cet homme était heureux et libre "j’étais un homme comme un autre homme" On voit qu'il était bien dans sa vie que c’était une belle et heureuse vie avant d’être condamné "C’étaient des jeunes filles, de splendides chapes d’évêque, des batailles gagnées, des théâtres pleins de bruits et de lumière"
Il est seul dans la cellule, il s'enferme dans l’angoisse et la souffrance morale.
De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il raconte les circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal. ( nous pensons a une certaine forme de tragique ).
Le condamné semble accepter les décisions prises a son sujet . Il ne regrette pas trop de choses dans cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive . (chap 3)
dans le chapitre 1 on remarque que le narrateur parle beaucoup de la pensé, il l'a représente de manière pessimiste.
Dans le chapitre II on comprend très vite que c'est un procès important et que beaucoup de gens viennent y assister "une nuée de spectateurs" On remarque aussi beaucoup de détails sur l'ambiance
dans un premier temps on ne sais pas pourquoi l'homme est en prison, il n'aime pas sa vie, il a peur. La scène est de d'écrite de façon à faire comprendre au lecteurs qu'elle est importante.
dans le deuxième chapitre il y a énormément de détail sur le temps, la météo, qu'il fait dehors, la décision du jury est longue et détailler, l'auteur veux faire durer le suspense.
Et quand les juges dit qu'il est condamné à mort c'est pour le prisonnier un choc, car il pensait qu'on allait le libérer, de part une belle matinée d’août.
La foule réalise une "révolution"
Il sera mort dans dix semaines. Dans le chapitre trois
pour lui il est devancer, pour lui il doit être mieux traité car il à été éduquer, il est raffiné. Il se dit être brutaliser. Avec ces mots, cela montre que le personnage ne semble pas conscient d'être en prison et qu'en prison c'est comme cela que l'on traite les personnes qui ont transgresser la loi. Il se croît peut- être innocent.
Dans le premier chapitre on voit que le personnage
est stréssé, on ne sait pas pourquoi il est condamné.
il n'y a aucune précision sur la date.
et quand il retourne dans le cachot il à l'air soulagé que son procès soit passé
Tout d'abord la première phrase du roman est :"condamné à mort !" se qui donne tout de suite le ton du roman.
Au long des chapitres on aperçoit
que l'homme préfère mourir plutôt que de rester en vie et de faire des travaux forcés.
Le personnage donne une multitude de détails sur ce qu'il peut apercevoir, cela montre que c'est un moment très important. Il fait comprendre qu'il préfére mourir plutôt qu'avoir a effectué des taches.
De plus les détails de son incarcération sont pour le moment inconnu...
D'Après les 3 premiers chapitres le condamné est renfermé dans la solitude(gradation de toujours...).
Il repense a ses souvenirs, on voit que le condamné s'acharne sur les détails mais à perdu la notion du temps à certains moment.(C’était un jour....)
On a l'impression qu'un mauvais souvenir le suit.
J'ai l'impression qu'il s’échappe la réalité en décrivant l'exterieur("ciel bleu","fenêtre","j'aime le soleil"....)
Dans le 1er chapitre, il dit que sa mort en est une conviction et une certitude : il dit que "cette pensée est toujours là, qu'elle est infernale, Elle se glisse sous toutes les formes où mon esprit voudrait la fuir, se mêle comme un refrain horrible à toutes les paroles qu’on m’adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot ; m’obsède éveillé, épie mon sommeil convulsif, et reparaît dans mes rêves sous la forme d’un couteau."
Il n'arrive pas à se défaire de cette pensée qui l'envahit
chapitre 2
c'est un procès qui attire beaucoup de spectateurs, le personnage n'a pas de nom et il a peur il n'a pas pu dormir les deux premières nuit.
l’écrivain est très précis sur les détails de l'ambiance avec le soleil, les soldats.. cela permet de mieux visualiser la scène. On ne sait toujours pas se que le condamné a fait donc on ne peut pas porter de jugement sur la réaction de la foule ni des jurés.
Tout d'abord dans le chapitre I, le personnage principal a l'air de rêvasser distrait, il pensait à de jolis filles et du beau temps ce qui pour lui évoque un rêve infernal quelques instants après il se réveille et se rend compte que ce dernier se réveille face à la réalité....
Dès le début du premier chapitre le sort de cette homme est évoqué "condamné à mort" on sait déjà ce qu'il va lui arriver . De plus on peut voir une répétition de "toujours" avec une accumulation des faits "seul avec elle" " glacé" "courbé" il ressent de la peine et vit dans la peur. Dans les trois chapitres on ne connait pas la raison de sa mise à mort ce qui nous laisse dans l’incompréhension totale. Le second chapitre est basé sur plusieurs détails de sa journée mais aussi sur ce qu'il ressent "mes dents claquaient" "mes mains tremblaient" il est représenté comme un faible "mes jambes étaient faible" de plus au début du chapitre 2 on à l'impression qu'il va s'en sortir, qu'il sera libre avec le champ lexical de la nature " ciel "J’aime le soleil."
Je suis d'accord avec toi Stacey mais pour le thème de la nature je pense plus qu'il cherche un moyen de se protéger de le vérité. Comme avec la foule qui est pour moi représenter comme des vautours, ils veulent le verdict et que le condamné tombe."C’était par une belle matinée d’août." fait apparaitre le morceaux de ce récit comme un souvenir grâce au temps de l'imparfait.On voit bien que le personnage souffre comme la dit plusieurs personnes.(courbé...)Mais la phrase qui trouble le plus pour moi est une du chapitre 1:
"Autrefois, car il me semble qu’il y a plutôt des années que des semaines, j’étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée"On a de la pitié,de la sympathie pour lui.
dans le premier chapitre on dirai que l'homme commence par se remettre en question car il lui semble quil étais un homme comme les autres sa montre quil n'est pas tres sur des le début de lui. Il a un esprit très imaginatif vu quil réfléchie souvent et quil pense souvent également on voit bien que c'est lui qui raconte sa propre histoire car il la vécu c'est écrit a la première personne et il y a des élément qui sont plus important que d'autre l'homme a une sorte de pensé qui le poursuit et qui ne veut pas le laché quoi quil fasse l'homme ne pourra pas échappé a son destin car une voix lui chuchote des le début quil sera condamné a mort
dans le chapitre 2 l'homme va expliqué comment se passe sont procès les gens le respectai pas a se quil décrivait quand les gens le voilai, mais l'homme on sent quil a également peur et quil n'est pas bien pendant se proces
dans le chapitre 3 l'homme qui étais condamné a morts ne cessai de pensé et de se posé des questions et de sotto répondre a lui même on dirai quil est vraiment seul a
lui même et quil peut compté sur personne il veut montré en parlant que ceux qui voulais une longue vit ny parvenais pas car il avais lu quelque part que tous les hommes sont condamné a mort donc sa veut dire que beau sil aura faire ou dire il sait quil sen sortira pas
Dans le deuxième chapitre, on note que les détails sont beaucoup présent cela fait durer sa condamnation. Il sait qu'il va mourir mais il essaye de se rassurer en pensant à des choses positives "une belle matinée d'août". A plusieurs reprises il prononce l'adjectif "beau/belle", en effet il cherche a transformé cette condamnation en quelque chose de moins sinistre. De plus, il fait un contraste entre sa condamnation et le temps qu'il fait dehors" Comment une idée sinistre aurait-elle pu poindre parmi tant de gracieuses sensations ?", en effet, pour lui, quelqu'un qui vit un malheur va de paire avec un temps maussade. Tout cela n'a pas de sens pour lui, le beau temps signifie la liberté "Inondé d’air et de soleil, il me fut impossible de penser à autre chose qu’à la liberté". Au début de ce chapitre, on peut pensé que le personnage n'avait plus d'espoir mais à la fin il en a "l’espérance vint rayonner en moi" et "confiant, j’attendis ma sentence comme on attend la délivrance et la vie." On peut dire que dans ce chapitre le temps joue un rôle important pour le personnage car il a permis de redonné espoir en lui, d'ailleurs on remarque qu'on parle plus du temps qu'il fait que le personnage lui-même.
Dans le premier chapitre il pèse une atmosphère sinistre , on se sent comme emprisonné rien qu'avec la structure du texte qui commence et fini par "condamné a mort" .On observe que le prisonnier est aliéné par ses pensées "Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids !"dès le début du texte on sent que le prisonnier est obsédé par ses pensées. Avant son esprit étais plein de fantaisie "Je pouvais penser à ce que je voulais, j’étais libre." Depuis qu'il est enfermé c'est comme si son esprit lui aussi étais en cage "mon esprit est en prison dans une idée". Cette penses est tellement intense qu'il en fais des cauchemar "et reparaît dans mes rêves sous la forme d’un couteau."
Le dernier paragraphe fait ressentir au lecteur les sentiment du condamné avec le discours descriptif "(...)avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s’entr’ouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l’horrible réalité qui m’entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons pâles de ma lampe de nuit, dans la trame grossière de la toile de mes vêtements, sur la sombre figure du soldat de garde dont la giberne reluit à travers la grille du cachot,(...).
Pour finir je ne suis pas d’accord avec Derothy en effet le personnage ne semble pas se remettre en question il se rappelle juste les pensées de son passé.
Le titre du roman suivi de la première phrase du roman nous met directement dans l'ambiance, le personnage, qui est sans nom et dont l'on ne connaît pas la raison de sa condamnation nous parait étrange, car ses émotions et ses ressentiments changent à toute allure, comme s'il jouait entre le bien et le mal, le soleil et la nuit, la prison et la liberté, il paraît incompréhensible, mais il paraît surtout innocent
La tonalité de ce roman paraît tragique, car son destin est écrit, tracé "condamné à mort"
Dans le 3éme chapitre , on sent que le prisonnier a perdu espoir , il n'a pas peur de la mort , et il ne regrette pas" Et puis, qu’est-ce que la vie a donc de si regrettable pour moi ?" .On dirait que la prison la transformer il dit en effet qu'il étais raffiné" moi qui suis raffiné par l’éducation, être brutalisé des guichetiers et des gardes-chiourme(...)" .
La dernière phrase peut peut être montrer que le prisonnier ne veut plus en parler "Ah ! n’importe, c’est horrible !"
le condamné se remémore un livre qu'il avait lu comme Nicolas dans la classe de neige "Les hommes, je me rappelle l’avoir lu dans je ne sais quel livre où il n’y avait que cela de bon, les hommes sont tous condamnés à mort avec des sursis indéfinis". De plus, la peur et l'angoisse du condamné est accentuer car depuis le début il ne cesse de se poser des questions comme par exemple au chapitre 6 : "une intelligence qui avait compté sur la vie, une âme qui ne s’est point disposée pour la mort ?" et il se remet un peu trop souvent en question "n’y a-t-il pas en moi une tempête, une lutte, une tragédie ?". Ainsi ces procédés montre que c'est un personnage réfléchi.
On note aussi que le cadre spatio-temporel est précis car on sait combien de jour il lui reste a vivre. On relève aussi qu'il a une femme, une mère , une fille l’évocation de sa famille peut ainsi accentuer l’émotion du lecteur pour qu'on ait de la compassion même si l'on ne connait toujours pas la raison de sa condamnation (dans le chapitre 9)
On peut voir que dans le chapitre 4 la prison de Bicetre est représentée de loin comme un château " cet édifice a quelque majesté" mais de plus près ce "chateau" est en fait délabré. Dans le chapitre 5 l'auteur insiste sur les détails de cette scène, le jour où le condamné est à peine arrivé.
A travers ces chapitres ainsi que les détails de plusieurs scènes l'auteur cherche à susciter de la pitié puis même aller jusqu'à émouvoir le lecteur
Ce début de récit nous en dit peu sur cet homme qui est un condamné à mort emprisonné à la prison de Bicêtre dans l'attente de son exécution et dont on ignore le crime qu'il a pu commettre.
Ses cauchemards et la pensée de son exécution agitent son sommeil mais à peine sorti de sa léthargie, le lieu dans lequel il se trouve qui est un lieu carcéral lui rappelle cette "horrible réalité qui l'entoure" : "Condamné à mort !".
L'attente de son exécution ne cesse de l'angoisser et c'est pour lui, un lourd fardeau qu'il tente de calmer en essayant de parler de la pluie et du beau temps avec le guichetier.
Je suis entierrement d'accord avec @kadiatu et @bychel qui montre que dans le dernier jour dun condanné c'est tres sinistre et se que dit @kadiatu en montrant que le personnage eesaye de positivé ces derniers jours je trouve cette idée tres juste. Mais @pearl c'est pas une ambiance d'etre condamné mais je suis daccord quand tu dit que la destiné est tragique c'est meme évident. @sophie c'est très bien se que tu dit l'homme est condamné mais on dirai juste pour le plaisir ou juste parseque c'est quelqun qui na pas le choix et en incapassité de parole par apport au autre sa vie me parait compliquer il n'a pas le choix il est obliger d'affronter les évènement tels quil se présente quil est raison ou tord restera toujours un tord a son égard sa c'est sur
se que dit @kent1 dudu est pour moi juste car condamné a mort donne un ton comme il dit @kent1 dudu mais on pourrai meme se donné une vague idée de l'histoire sans meme commencé la lecture comme la classe de neige sauf que pour la classe de neige on immaginerai pas des le début que sa a une fin tragique.
Et oui l'homme persiste en donnan chaque détail de se quil vie chaque jours et il montre bien quil préfer mourir que faire des travaux forcé car il pourrai pensée qu'en fesant des travaux forcé le turrai quand meme sil n'arrive pas a s'en échappé
comme dit @mélanie le personnage dit que sa mort est une certitude une conviction sa lui envahie l'esprit, a en croire que sa lui fait peur et quil y pense trop mais pourquoi préfère t-il mourir que faire des travaux forcé?
moi dns ma tete j'ai deux hypothèse c'est soit y veut pas faire les travaux et il sera condamné a mort vraiment sans pitié ou soit il est obliger de les faires et il tente de s'échapper et on le retrouve et on le condamne a mort sans solution
je voudrai juste ajouter qu'on ne pouvais pas échapper à la peine de mort dans le cas de cette homme comme qd on ne pouvais pas échappé a l'esclavage les guerres ou comme de nos jours au attentat. dans le cas de l'homme c'est vraiment un journal de bord pour laissé une trasse de se quil a vécu en donnant chaque détail du temps de la peine de mort cette homme aurra vecu et on lui aurra afliger des choses quil ne méritai pas comme Nelson Mandela par exemple.
Nous voyons dans le chapitre 4 le changement du lieu, dans les chapitres précédents il faisait beau, une belle matinée de mois d’août, mais depuis que nous savons qu'il a été condamné a mort le temps assombris et devient lugubre.
Dans la chapitre 7, il dit qu'il est innocent, il espère que ce qu'il écrit va servir à ce que personnes d'autre d'innocent comme lui ne souffre a l'agonie comme lui.
Mais il veut être sauver, il dit que c'est lui qu'on devrait sauver.
dans le chapitre 8, il a peur, et cette peur lui fais perdre la notion du temps.
Le personnage dans Le dernier jour d'un condamné utilise l'anaphore dans ses paroles tout comme le fait Martin Luther King dans son discours "I have dream". Martin Luther King utilise l'anaphore du mot "rêve" pour se faire entendre et comprendre comme le fait cet homme avec son idée qui rode sans cesse dans son esprit.
Victor Hugo utilise le discours indirect, implicite dans le dernier jour d'un condamné pour faire passer la loi d'abolition de la peine de mort. Chapitre 7 :
" que ce que j'écris ici puisse être un jour utile à d'autres, que cela arrête le juge prêt à juger, que cela sauve des malheureux, innocents ou coupables, de l'agonie à laquelle je suis condamné, pourquoi? à quoi bon? qu'importe?"
Je ne suis pas d'accord avec Maëlys puisque dans le chapitre 11 il dit directement qu'il a été punis pour juste cause "J'admets que je sois justement punis" .
dans le chapitre 9*
Dans le chapitre 5 le narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à améliorer ses conditions de prisonnier grâce à sa docilité et à quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l'argot pratiqué en prison. Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre
Dans les chapitres 4, 5 et 6, le narrateur raconte son transfert du palais de justice à la prison de Bicêtre. A mesure que sa condamnation se rapproche jour après jour, il note ses pensées notamment ses angoisses ainsi que des moments de sa vie carcérale. Il pourra alors lire ses écrits et peut-être convaincre les jurés de l'horreur de la peine capitale.
On remarque dans le chapitre 5 que le personnel de la prison "cause et rit, et parle" du narrateur en sa présence qu'il considère "comme une chose" et je trouve que cela accentue la solitude du prisonnier.
Le condamné nous décrit son cachot qui n'a pas de fenetre. Il decrit aussi le long coridor. Le personnage se rappelle d'un événement particulier qui a eu lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison : le départ des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet événement comme un vrai spectacle en trois actes.
Vers la fin du roman le narrateur pour oublir son present passe en revue ses souvenirs d'enfance et de jeunesse.Il s'arrête longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont il était amoureux et avec qui il a passé une belle soirée d'été.
dans le chapitre 4 il imagine 2 point de vu qui sont vu de loin et vu de pres avec des massifs collines chateau roi...
je peut constaté que dans le 5 chapitre il va a la messe tout les dimanches il invoque dieu en disant "O Dieu" dans le chapitre 7 donc il est croiyant, c'est jours sont tres important pour lui et dans le chapitre 9 il fait son testament sa me fait pensé a la bible ou il y a l'ancien testament puis le nouveau testament. Il ne cesse de parlé d'une petite fille sa fille car il va laissser deriere lui sil meurt sa femme et sa fille. Je constate quil narrive pas a dormir la nuit chap11 il sait pas quoi faire en atttendant le jour. il ne sait plus sil reve ou si c'est la realité y devient perdu
Dans les chapitres 7, 8 et 9, le narrateur se rend compte qu'il ne lui reste environ qu'une semaine à vivre voire moins, vu les délais nécessaires prononcés pour le pourvoi en cassation et la construction de l'échafaud. Il rédige un écrit dans lequel il se dit "condamné aux frais" dont il ne laissera aucun argent à ses proches parce que sa mère n'en a pas besoin et de santé fragile, elle mourra de douleur. De même pour sa femme, il pense qu'elle deviendra folle. Puis sa fille, Marie, est innocente et "ne pense à rien".
Pour ma part, je trouve cela injuste que l'on puisse dire de telles choses : "on les déshonore, on les ruine ; c'est la justice" sur ces femmes innocentes n'ayant rien avoir avec le crime commis par le prisonnier qui, je pense, ont juste le "défaut" d'être un proche du narrateur malgrè que cela soit de l'ironie.
Pour finir, je pense que le fait que le narrateur puisse s'exprimer a pour but de faire passer un message qui est de lutter contre la peine de mort en faisant part des angoisses, des ressentiments et de la vie quotidienne d'un condamné.
Dans les chapitre 10, 11 et 12, le narrateur décrit son cachot en précisant qu'il est d'une surface d'environ 2,5 mètres carrés, sans fenêtre et qu'une lucarne est percée dans la porte où un garde l'observe jour et nuit. Il découvre que les murs sont couverts d'écritures d'anciens détenus condamnés à mort ayant été dans ce cachot et ceux-ci étaient tous des meurtriers auxquels le narrateur succèdent dans ce cachot.
Lorsqu'il découvre le nom de ces anciens détenus, des images cauchemardesques lui viennent en tête et sucitent de l'angoisse et un malaise au point qu'il ne sait plus si ces hallucinations sont imaginaires ou pas : "Rêve, vision ou réalité, je serais devenu fou, si une impression brusque ne m'eût réveillé à temps." (chapitre 12).
Dans les chapitres 13, 14, 15 et 16 :
Tout d'abord, le narrateur raconte qu'un matin en se réveillant, "la prison était pleine de bruit.". En effet, c'était le ferrement des forçats décrit comme si que cela était un spectacle. On retrouve ici, le champ lexical du théâtre : "Vous serez seuls dans votre loge, ...." ; "Cétaient des prisonniers, spectateurs de la cérémonie en attendant leur jour d'être acteurs." ; "acclamations et applaudissements" (chapitre 13). Se retrouvant à l'infirmerie, le narrateur se voit dans un grand lit et vit à la fenêtre la foule de forçats pour leur départ au bagne de Toulon.
De retour dans son cachot, le narrateur se rend compte qu'il aurait pu s'évader lorsqu'il était à l'infirmerie mais il n'a pas pu. Il faisait beau, il se souvient qu'il a entendu une jeune fille chantée une complainte au langage argotique dans laquelle on a l'impression qu'il a pu s'y identifier.
En écoutant cette jeune fille, le narrateur désespère mais pense tout de même à s'évader, à fuir cette vie pour, à mon avis, retrouver sa famille. *
Ensuite, le narrateur imagine sa fuite mais la réalité prend le dessus et il est trop tard. Son exécution va avoir lieu "C'est pour aujourd'hui !" lui dit le guichetier (chapitre 19).
Un huissier lui rend visite afin de lui annoncer que "L'arrêt sera exécuté aujourd'hui en place de Grève ....", ce qui amplifie le désespoir du narrateur. Il ne cesse de penser à sa fille, Marie qu'il n'a pas vue depuis longtemps tout en appréhendant comment va se passer sa mort.
Plus l'heure de son exécution approche, plus cette montée d'angoisse augmente. Il tente de penser à autre chose en étant nostalgique et se remémore des souvenirs de jeunesse comme ses années scolaires et notamment comme l'a dit Emma K, ses émois amoureux avec une jeune andalouse, Pepita : "... avec ses grands yeux et ses grands cheveux, sa peau brune et dorée, ses lèvres rouges et ses joues roses." qui est apparemment un souvenir marquant pour le narrateur.
Je suis d'accord avec Stacey le bute est d’émouvoir le lecteur.
Le destin s'acharne sur lui.On ne décrit pas sa faute pour qu'il soit en prison.Il se met à rêver de s’échapper.
De plus dans un de ses rêves direction l'Angleterre ses chances de s’évader son brisé.
Également à partir du chapitre 36 on peut voir que ce sont les souvenirs qui domines. Il veut s’évader de la réalité et de sa futur mort. On a de la peine au dernier chapitre car il attend un espoir qui ne viendra jamais.
Je suis d'accord avec Sophie dans les chapitres 7 à 9 on peut voir que le condamné se rend compte qu'il ne lui reste plus beaucoup de jour avant sa condamnation. Le chapitre 8 est totalement consacré au manque de sa famille surtout de sa fille. Dans le chapitre 10 il décrit avec précision son cachot de plus dans le chapitre 11 il s'attarde sur les écritures sur les murs mais à la vue d'un dessin d'un "échafaud" il est pris de panique sans raison aucun détail n'est précisé sur cette scène. Il découvre les noms des criminel mais c'est surtout "papavoine" qui l'a surpris celui qui a tué des enfants c'est à partir de ce moment là qu'il est pris de peur, peu de la mort et des tombeaux.
Durant tout le long du texte,le condamné à mort ressent plusieurs et différentes sensations qu'elles soient physiques ou corporelles.
Victor Hugo fait de la peine de mort une expérience.
Cette condamnation est pour le condamné tellement insoutenable, qui'il s'en fait une idée fantastique.
Dans le premier chapitre, on peut voir qu'il ne supporte pas l' idée de mourir " toujours glacé de sa présence" "courbé sous son poids". L'idée de perdre la vie le pèse et l’obsède. Il ressent de la peur " je viens de m’éveiller en sursaut".
Dans le second chapitre, il est inquiet, il éprouve le sentiment de la terreur, de l' ennui et de la fatigue.
Dans le chapitre 22, il se sent faible " ma tête était lourde et mes jambes faibles". Il ressent du bien être lorsqu'il est a l’extérieur " j'ai respirer, cela ma'a fait du bien".
Victor Hugo minimise le crime et centre le texte sur l’expérience de la mort.
Durant le texte les lieux varient et l'espace aussi.
Le personnage, qui est prisonnier et le narrateur de sa propre histoire.
Dès le début du livre, le personne énonce qu'il est dans un cachot puis dans une cellule à Bicetre. À partir du chapitre 10, le narrateur nous décrit le cache dans lequel il vit, sans fenêtres sans aucune clarté.. Il décrit aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont réservés aux condamné à la peine capitale. Puis lors d'une nuit il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule pleins d’inscriptions, traces laissées par d’autres prisonniers. Dans le chapitre 14, le prisonnier se retrouve dans l'infirmerie, dans laquelle se trouve une fenêtre. Lorsqu'il revient dans sa cellule, il se met à pensées qu'il a pu s'évader. Dans le chapitre 22, le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Dans le chapitre 25, il change encore de cellule. Le narrateur est surpris de voir un homme prendre les mesures de la cellule: la prison va être rénovée dans six mois.
enfin dans le chapitre 48 il est dans une chambre d'hôtel.
Peux t-on dire le l'espace se rétrécit ? Pas tellement les lieux dans lesquels le prisonnier va, changent tous de dimensions,étroit, grand, sombre, lumineux...
Très belle analyse Faustine. Ce que l'on peut en conclure c'est que la notion d'espace est primordiale dans l'oeuvre. Elle est le signe d'un enfermement réel et d'un enfermement psychologique. Le prisonnier est enfermé dans l'idée qu'il va mourir.
Pauline, Emma, Marine et Océane, ce que vous écrivez est juste. Victor Hugo n'aborde pas la mort comme une idée mais comme une expérience. Avez-vous d'autres exemples à donner à vos camarades pour montrer l'importance du corps dans le texte?
Nous nous sommes intéressé a l'expression de la solitude chez le personnage du condamné. Tout dans le texte accentue la solitude du personnage. Tout d'abord, il écrit un journal intime puisqu'il n'a personne a qui parler. Le journal est souvent le premier recourt d'un personne seule. Le narrateur décrit sa cellule en l'associant à un tombeau, la tombe préfigure le cahot, cette sinistre "boite de pierre".
Le condamne rejette toutes les formes d'aide qui s'offre a lui ce qui accentue cette impression de solitude.
Le prêtre par exemple a pour fonction de consoler et d'exhorter les prisonniers afin de les écouter et de les confesser. Mais dans ce cas le prêtre ne joue pas son rôle de consolateur, il est inutile.
Le deuxième personnage qui intervient est l'huissier. Celui ci fait penser au garde rustre dans Antigone " ne suis je pas malheureux? Tout mon tabac est perdu". Il dénigre la dimension sublime et insiste sur l'effet de solitude mentale et physique du personnage.
La visite de sa fille de 3 ans qui normalement aurait du le consoler, le laisse dans un état de solitude et e désespérance car celle ci ne reconnait pas son père. De plus la complainte en argot de la jeune fille le désespère il n'a qu'une envie: fuir.
Enfin un autre condamné a mort lui propose d'être son ami mais ce dernier refuse "j'ai besoin de me recueillir laissez moi". On note également que le condamne n'aime pas la foule. Toutes les tentatives d'aide et de socialisation échouent et il nous apparait plus seul que jamais. Comme l'a dit Céline le lecteur est ému par cette solitude !
Il parle à la première personne du singulier et au présent de l indicatif. Il s adresse a lui même n ayant pas d interlocuteur et on remarque aussi une atmosphère lugubre froide et sinistre ce qui accentue d autant plus sa solitude.
Il parle à la première personne du singulier et au présent de l indicatif. Il s adresse a lui même n ayant pas d interlocuteur et on remarque aussi une atmosphère lugubre froide et sinistre ce qui accentue d autant plus sa solitude.
Très juste! Je suis tout à fait d'accord avec vous.
La description des lieux rend à la création d'une atmosphère dramatique
Tout les lieux carcéraux qu'à pu visite le narrateur sont à la fois morbide et lugubre
Avec ses " quatres murailles de Pierre " et ses " huits pieds carrés " Le cachot de bicetre est une " boîte de Pierre " chapitre 10
Donc quelques soit leurs configurations, les lieux remplissent une fonction tragique
La prison est un piège voir un huit clos. Il est impossible d'y vivre normalement, mais il n'est pas non plus possible de s'en évader sauf pour aller à la mort
Gabrielle, Romain et Sophie ont analysé ce récit de Victor Hugo sur l'expression du temps.
Le titre Le Dernier jour d'un condamné est un procédé pour l'expression du temps car c'est un compte à rebours qui s'étend tout au long du récit en évoquant les derniers moments de l'existence du narrateur.
Dés l'annonce du verdict prononcé par "une belle matinée d'août" à "huit heure du matin" (chapitre 2), la vie d'avant paraît lointaine. En effet, d'après l'une des deux jeunes filles assistant au procés, l'exécution sera dans "six semaines" (chapitre 2) et en comptant les jours qui lui restent, le narrateur confirme la prévision "En tout six semaines. La petite fille avait raison." (chapitre 8). On se rend alors compte, que la notion du temps est considéré comme de la peur au point qu'il n'ose même plus compter les semaines.
Le titre du livre ne concerne que "le dernier jour" au chapitre 19 lorsque le guichetier lui annonce que l'exécution "c'est pour aujourd'hui !". Mais il arrive parfois au condamné d'évoquer une vie "post-mortem" de façon ironique afin de traduire son désespoir "... il tombait une pluie de la saison, une pluie fine et glacée à l'heure où j'écris, qui tombera sans doute toute la journé, qui durera plus que moi." (chapitre 22).
Alors qu'autrefois, le temps se déroulait de façon linéaire, il s'est figé à cause de l'unique certitude de la mort qui est devenue une obsession. La mort étant la peine capitale de ce compte à rebours, le temps devient tragique au fil de l'histoire.
Enfin, le présent dans lequel vit le condamné est autant coupé du passé que de l'avenir, il est sans futur puisque sa mort approche car plus le temps se condense, plus la fin est imminente.
La description des lieux rend à la création d'une atmosphère dramatique
Tout les lieux carcéraux qu'à pu visite le narrateur sont à la fois morbide et lugubre
Avec ses " quatres murailles de Pierre " et ses " huits pieds carrés "
Le cachot de bicetre est une " boîte de Pierre " chapitre 10
Donc quelques soit leurs configurations, les lieux remplissent une fonction tragique
La prison est un piège voir un huit clos. Il est impossible d'y vivre normalement, mais il n'est pas non plus possible de s'en évader sauf pour aller à la mort