La perspective du tragique [Charlier Maëlys; Chiezal Mélanie; Fretin Othilie; Germond Clémence]
Par Maëlys Charlier le 06 avril 2016, 13:34 - Le dernier jour d'un condamné - Lien permanent
Nous avons analysés également au début du récit que le temps changeait. Avant que la prononciation de sa sentance soit annoncée il remarqua une belle journée de soleil où les oiseaux chantaient, "une belle matinée d'août" puis une fois annoncée le temps changea, il devint lugubre, maussade, le temps était gris, il faisait moche. Cela pourrait signifier qu'une force supérieure aurait décidé de son sort, ici la justice.
A partir du chapitre 19 nous rentrons dans une perspective résolument tragique, avec les heures qui se précises à chaque chapitre, cela va l'étouffer au fur et à mesure. Nous avons remarqués plusieurs chapitres commencent avec une heure, comme dans le chapitre13 "midi sonna" p64 ou "Pendant le peu d'heures que j'ai passées..." chapitre 16 où encore " Il est dix heures" chapitre 26 ainsi que la toute fin du livre où elle se termine avec "QUATRE HEURE".
Il y a aussi les fausses isssue, où il croit pouvoir s'échapper mais en vain. Cela le fait espérer. Nous le voyons avec l'histoire du gendarme où ils devaient échanger leurs uniforme mais au moment opportun le gendarme doute, ce qui enlève toute espérance et emprisonne le condamné dans sa destinée tragique.