classeur numérique des 1ères ST2S1 - Commentaires2017-03-13T08:49:53+01:00Académie de Versaillesurn:md5:216e8f8ba79be725bd237b09affc1803Dotclear"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - profurn:md5:52d61ab68c914c697a1a1daa4e945dbc2016-06-05T14:25:45+02:002016-06-05T13:30:33+02:00prof<p style="text-align: justify;">Proposition de synthèse de toutes vos remarques.<br />
<a href="http://blog.ac-versailles.fr/classeurnumerique/index.php/post/30/05/2016/Je reprends les axes que vous aviez dans votre devoir et les sous-parties que vous suggérez dans vos commentaires" title="Je reprends les axes que vous aviez dans votre devoir et les sous-parties que vous suggérez dans vos commentaires" rel="nofollow">Je reprends les axes que vous aviez...</a></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>I) Un univers intime et familier</strong><br />
<em>A) L'évocation d'un passé heureux.</em><br />
Dès le début du poème on comprend que l'on rentre dans un univers intime grâce à l’emploi du déterminant possessif "notre" dans le titre. <strong>Eluard semble s'adresser directement à Nusch</strong>, qui est sa femme, il emploie plusieurs fois les pronoms personnels « tu » , « Notre vie tu l'as faite » v.1 et « nous » , « ce que nous aimions »v6 et 7. De plus, Eluard interpelle sa femme « notre vie tu l’as faite» v1 comme si elle était encore vivante. <strong>Il évoque sa vie d'autrefois</strong> pleine de joie, de liberté sans cette présence encombrante de la mort : "Aurore d'une ville un beau matin de mai"V2 "Notre vie disais-tu si contente de vivre/ Et de donner la vie à ce que nous aimions".V5/6 L’image de l’Aurore associée à la naissance du jour donc de la vie et le mois de mai qui évoque le printemps montrent à quel point Eluard associe Nusch au bonheur et à la vie. <strong>Le ton adopté par Eluard est celui d’une conversation intime</strong>, en témoignent la simplicité du vocabulaire, des images et l’absence de ponctuation.</p>
<p style="text-align: justify;"><em>B) La mort comme rupture</em><br />
<strong>Le passé heureux vacille tout à coup</strong> sans crier gare. Le titre du poème « Notre Vie » se centre en fait sur l’évocation d’une mort, celle de Nush. On le perçoit dès le premier vers : « Notre vie tu l’as faite, elle est ensevelie »v1 <strong>L’image de la vie entre en opposition avec celle de l’ensevelissement </strong>qui rappelle l’enterrement. Même opposition dans les vers 2 et 3 : « Aurore et mai » v2 qui évoquent la clarté et l’horizon se heurtent à l’image du « poing refermé » associée autant à la violence qu’à la nuit. Eluard reprend à la fin du poème ce thème de l’ensevelissement grâce à l’image du masque : « masque de neige/ masque d’aveugle » l’hiver et la cécité deviennent des évocation de la mort, d’autant que ces deux images se situent au début et à la fin d’un vers comme pour mieux évoquer l’impression de l’ensevelissement.. Le thème de la rupture se perçoit par les différentes tensions que l’on retrouve dans le poème : tension entre le passé et le présent, entre la lumière et l’obscurité, entre la vie et la mort, entre la parole et le silence. <a href="http://blog.ac-versailles.fr/classeurnumerique/index.php/post/30/05/2016/A vous de relever des exemples significatifs dans le texte poyr chacune de ces oppositions" title="A vous de relever des exemples significatifs dans le texte poyr chacune de ces oppositions" rel="nofollow">A vous de relever des exemples sign...</a></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>II) La souffrance du poète</strong><br />
<em>A) La mort intrusive ou la présence encombrante de la mort</em><br />
Le poète s’adresse à son épouse dans son poème mais on perçoit que <strong>la mort prend le rôle d’une troisième personne </strong>qui surgit au milieu du couple. On observe alors une opposition entre deux figures féminines : celle de Nush évoquée au temps du passé, et celle de la mort qui prend toute la place : "La mort qui vient la mort qui va la mort vécu" La mort est représentée au présent "vient" au passé "vécue" et au futur "qui va". La mort poursuit le poète, il ne peut pas la fuir. Plusieurs procédés parviennent à la personnifier : la présence de la mort comme sujet de la phrase comme si elle était animée d’une intention propre : « Et la mort entre en moi comme dans un moulin »V5, « la mort a rompu l’équilibre du temps », « la mort boit et mange à mes dépens ».<strong> La présence de cette mort devient obsédante</strong> à mesure que progresse le poème : le mot « vie » domine en effet dans les sept premiers vers puis le mot « mort » prend la première place comme le montre l’anaphore V11 et 12 et le détournement du premier vers dans la troisième strophe « notre vie »V1, « Notre vie » v6 et « Morte visible » V11. Ainsi la mort prend la place de Nusch ce que suggère le parallélisme de la dernière strophe « Morte visible Nusch invisible » v11.</p>
<p style="text-align: justify;"><em>B) De la disparition au silence</em><br />
Au début du poème, le poète parle avec les pronoms à la 1ère personne du pluriel avec "notre"(v1), notre"(v6) "nous"(v7) puis le poème ne conserve que la première personne du singulier avec "mes dépens"(v10), "mon corps épuisé"(v12) "mon passé"(v15), "je fais"(v15). C’est donc à <strong>l’expérience de la solitude </strong>qu’il semble désormais appelé, lui qui se sent disparaître physiquement dans l’abîme du désespoir : chaque fin de strophe laisse percevoir cette disparition par le biais d’une gradation. On passe en effet v5 de « Et la mort entre en moi comme dans un moulin » à V10 la mort visible boit et mange à mes dépens » à V10 « mon passé se dissout, je fais place au silence ». <strong>L’épuisement physique</strong> est d’ailleurs souligné V11/12 : « plus dure/ que la faim et la soif à mon corps épuisé. » comme si l’auteur mettait en scène sa propre disparition. <strong>Le poème se clôt ainsi sur un silence tragique</strong>, celui de la parole poétique anéantie par la perte de Nusch.</p>"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - othilie et mélanieurn:md5:fd10b8f690c2ed931e9cc6d70408f3b42016-06-02T14:54:22+02:002016-06-02T13:54:22+02:00othilie et mélanie<p>2)La souffrance du poète<br />
Le poète nous fais ressentir sa souffrance en employant "la mort" et autre.Physiquement le poète est présent mais mentalement il est mort ,il est parti avec sa femme on sent sa douleur de son absence ,"Morte visible " ," mon corps épuisé" ,"Masque de neige sur la terre et sous la terre"ce vers nous fait penser au fait que le poète n'a plus aucune expressions il est vide intérieurement.<br />
"Source des larmes"il est malheureux et seul.<br />
"Mon passé se dissout je fais place au silence"il n'a plus rien a faire dans ce monde aucunes raisons de vivre .</p>"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - emmak et albaneurn:md5:3e201fe90c3b397657c998ff24c176d22016-06-02T14:52:43+02:002016-06-02T13:52:43+02:00emmak et albane<p>2) la souffrance du poète</p>
<p>la façon dont le poème a été écrit nous fait comprendre les souffrance de ce poète, on comprend qu'il n'a jamais oublié sa femme et que la mort "le hante" (vers5) "Et la mort entre en moi comme dans un moulin" (vers8) "Mais la mort a rompu l'équilibre du temps" il ne sais jamais remis du décès, il est rester traumatisé par la mort de son epouse on remarque le champ lexical de la mort</p>"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - Céline Staceyurn:md5:b07e0d1d2fd454127c066f8a00f2d54c2016-06-02T14:52:40+02:002016-06-02T13:52:40+02:00Céline Stacey<p>I/ Un univers intime et familier<br />
1)une pensée obsessionnelle</p>
<pre>le titre nous montre déjà qu'on sera dans l'intimité profonde du narrateur avec "Notre vie" "Notre vie disais-tu si contente de vivre"</pre>
<p>Le narrateur exprime ses sentiments "Source des larmes dans la nuit" mais aussi il nous emmène vers sa vie d'autrefois pleine de joie,<br />
de liberté sans cette présence encombrante de la mort " Aurore d'une ville un beau matin de mai" "Notre vie disais-tu si contente de vivre<br />
Et de donner la vie à ce que nous aimions".<br />
Aurore représente donc un oxymore face au texte lugubre.<br />
"Aurore en moi dix-sept années toujours plus claires" montre que les souvenirs les plus plaisants reste dans sa mémoire, c'est donc 17ans de fiançailles, de liberté de vivre qui s’achève.</p>
<p>II/La souffrance du poète<br />
1)une mort terrifiante</p>
<p>La mort commence à prendre la totalité de la place dans son esprit . La mort se focalise dans son esprit jusqu’à ce que le poète la personnifie "la mort visible boit et mange à mes dépends", en effet, le personnage est comme emprisonné par son passé qui lui même représente l’idée d'un fantôme. On pourrai caractériser le vers "La mort visible boit et mange à mes dépens" comme si la mort le mangerai lui même et épuiserai son corps jusqu’à son anéantissement total(épuisé qui va vers la mort).</p>
<pre>La répétition constante de la mort montre que cela le hante, il ne pense qu'à cela.</pre>
<p>On perçoit tout au long du texte le champ lexical de la terreur, de la mort en effet dans ce texte est représenté à plusieurs reprises le mot "mort" ou un mot qui lui est synonyme on a aux vers 5,8,9,10 le mot "mort" puis aux vers 11 "Morte visible" vers 12 "mon corps épuisé" vers 14 " la nuit masque d'aveugle" et enfin dans le dernier vers "place au silence" on passe donc d'un homme épuisé ayant plus de force pour continuer puis il perd le sens de la vue "masque d'aveugle" et enfin se plonge dans le silence total donc la mort.<br />
On perçoit aussi une gradation de la mort " La mort qui vient la mort qui va la mort vécue" mais plus précisément cette expérience de la mort on le voit par les verbes utilisés le présent "vient" la mort est présente puis le futur "va" elle arrive et enfin le passé "vécue" elle est déjà apparu.En effet l'homme boit et mange mais on pourrait dire aussi que la mort boit et mange les êtres comme ci il nous emportait.</p>
<p>1)Une réalité de plus en plus sombre</p>
<p>La réalité pourchasse le poète car le Vers "mon Passé se dissout" est marquant puisque ses souvenirs joyeux sont effaces "dissout" pour laisser place au silence.<br />
L'Affection du personnage est représenter par le prénom de sa femme 'Nusch", et par "Notre Vie" qui indique que c’était leur vie a eux 2. Tout ça est marqué par la premier vers:"Notre vie" et puis a la fin:"Mon passé "<br />
Cela indique que désormais le poète restera Solitaire mais pas complétement accompagné par l’idée de la mort.</p>
<p>.</p>"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - déroty et anissaurn:md5:e9f348d059828baf205e84ca11d07f662016-06-02T14:52:04+02:002016-06-02T13:52:04+02:00déroty et anissa<p>2) une pensée obsessionnel<br />
l'auteur fait que de pensé a sa femme son amour la pensée que se n'est pas possible quel soit morte. Le faite de pensé toujours a la mort devient une obsession pour lui jusqua y veut se laissé mourrir</p>"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - Maelys et Coralieurn:md5:84af700136c112b0dc3bcbb2179b21122016-06-02T14:51:23+02:002016-06-02T13:51:23+02:00Maelys et Coralie<p>1) un univers intime et familier</p>
<pre>- Plonger dans l'intimité familiale</pre>
<p>Juste le titre nous indique que nous nous trouvons dans leur vie, on a: "notre vie" . Il nous montre qu'ils avaient une belle vie ""contente de vivre" "un beau matin de mai" jusqu'à l'aurore où nous apprenons que sa femme à été enterrée "sur laquelle la terre à renfermé son poing" ici le poing désigne Nusch. Nous comprenons que 17 années de vie commune s'achèvent "Aurore en moi dix-sept années toujours plus claires". De plus il est indiqué que sa femme a mis au monde leur enfants qu'ils aimaient tant "Et de donner la vie à ce que nous aimions".</p>
<pre>- Un souvenir effacé</pre>
<p>Il utilise le temps du passé "nous aimions" comme si depuis la mort de sa femme lui aussi à cessé de vivre. L'idée que lui aussi est mort est comfirmé par le vers 8 "mais la mort a rompu l'équilibre du temps", nous comprenons alors que le temps a été rompu tout comme sa femme lui connait une mort spirituelle.</p>
<p>2)La souffrance du poète</p>
<pre>- La personnification de la mort</pre>
<p>On voit que la mort a prit l'apparence d'une personne humaine, on a: " la mort visible, boit et mange à mes dépends"</p>
<pre>- L'expérience de la mort</pre>
<p>"La mort qui vient la mort qui va la mort vécue" en décomposant ce vers ont peut voir, la mort qui vient signifie que sa femme vas mourir, la mort qui va signifie que sa femme est morte comme si la mort l'avait emporté, puis la mort vécue qui s'apparente à une expérience douloureuse, car le couple la vécue ensemble.</p>"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - déroty et anissaurn:md5:28a6e835103f458d62649c0c295399ff2016-06-02T14:47:43+02:002016-06-02T13:47:43+02:00déroty et anissa<p>1) un univers et familier<br />
En parlant d'un univers intime dans le poème:<br />
dans le titre "notre vie" montre l'intimité du poème car c'est sa vie amoureuse qui se fini par la mort de sa femme. "notre vie" est évoqué 3 fois dans le titre dans la première strophe et dans la deuxième strophe donc jamais deux sans 3 c'est comme un rappel et que sa été importante</p>"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - clemenceurn:md5:5ba2ba4c90b209224cca87b8a4d3b8e92016-06-02T14:46:02+02:002016-06-02T13:46:02+02:00clemence<p>1) un univers intime et familier<br />
1éré sous partie: la mort comme une rupture</p>
<pre>Pour compléter le commentaire 55: Au début du poème, le poète parle avec les pronoms à la 1ère personne du pluriel singulier avec "notre"(v1), notre"(v6) "nous"(v7) puis le poème va vers la première personne du singulier avec "mes dépens"(v10), "mon corps épuisé"(v12) "mon passé"(v15), "je fais"(v15) nous avions aussi un indice de la rupture au premier paragraphe "entre en moi"(v5).</pre>"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - emma et albaneurn:md5:6f9bf99b5db02b576991718ac46c5d562016-06-02T14:44:25+02:002016-06-02T13:44:25+02:00emma et albane<p>1) un univers intime et familier</p>
<p>des le début du poème on comprend que l'on rentre dans un univers intime grâce a l’emploie du déterminent possessif "notre" dans le titre.<br />
le poète nous "confis" ces terreurs on le remarque au champ lexical de la terreurs et de la mort a plusieurs moment du poème le mot mort est employer, on a aux vers 5,8,9,10 le mot "mort" puis aux vers 11 "Morte visible" vers 12 "mon corps épuisé" vers 14 " la nuit masque d'aveugle" et enfin dans le dernier vers "place au silence", l'utilisation du point de vue interne nous fais encor plus ressentir le coter familier de ce poème.<br />
la mort est un sujet que nous pouvons qualifier d'intime,<br />
la mort a une place importante dans se poème comme si c'etais elle qui dominait (vers5) "Et la mort entre en moi comme dans un moulin" (vers10) "La mort visible boit et mange à mes dépens".<br />
dans ce poème il s'adresse a son épouse poète exprime ses sentiments, ce qu'il ressent envers sa femme " Source des larmes dans la nuit masque d'aveugle " la fin du poème a une tonalité tragique "mon passe se dissout je fais place au silence" comme si la mort a enfin réussie a prendre le dessus, que enfaite il ne peut rien contre elle.</p>"Notre vie" Le temps déborde, Paul Eluard - emma et albaneurn:md5:a8df517c9c71bfb2ceefb9638d594f722016-06-02T14:44:09+02:002016-06-02T13:44:09+02:00emma et albane<p>1) un univers intime et familier</p>
<p>des le début du poème on comprend que l'on rentre dans un univers intime grâce a l’emploie du déterminent possessif "notre" dans le titre.<br />
le poète nous "confis" ces terreurs on le remarque au champ lexical de la terreurs et de la mort a plusieurs moment du poème le mot mort est employer, on a aux vers 5,8,9,10 le mot "mort" puis aux vers 11 "Morte visible" vers 12 "mon corps épuisé" vers 14 " la nuit masque d'aveugle" et enfin dans le dernier vers "place au silence", l'utilisation du point de vue interne nous fais encor plus ressentir le coter familier de ce poème.<br />
la mort est un sujet que nous pouvons qualifier d'intime,<br />
la mort a une place importante dans se poème comme si c'etais elle qui dominait (vers5) "Et la mort entre en moi comme dans un moulin" (vers10) "La mort visible boit et mange à mes dépens".<br />
dans ce poème il s'adresse a son épouse poète exprime ses sentiments, ce qu'il ressent envers sa femme " Source des larmes dans la nuit masque d'aveugle " la fin du poème a une tonalité tragique "mon passe se dissout je fais place au silence" comme si la mort a enfin réussie a prendre le dessus, que enfaite il ne peut rien contre elle.</p>