Samedi 24 janvier 2009 6 24 /01 /2009 14:08

S'il était encore une fois, que ferais-tu ?

Imitation du poème de Georges Jean, "Le temps des contes"

Ce poème est lié à la séquence sur le conte merveilleux. Les élèves l'ont étudié pour être capables de le réciter devant les camarades.

Entre-temps, je leur ai demandé de  passer, comme Alice au pays des merveilles, "de l'autre côté du miroir" : qu'auraient-ils fait, eux, à la place des héros de notre enfance ? S'il était encore une fois
Nous partirions à l'aventure,
Moi, je serais une amie de Cendrillon
Et nous boirions le thé ensemble
Et toi, tu seras mon chat Kati
Ensemble, nous irions voir
Mon ami Riquet à la houppe
Qui s'était embelli depuis
Animaux et fées nous entouraient
Parcourant les océans immenses
S'il était encore une fois
Vers les forêts d'Amazonie
Cendrillon, Riquet, animaux et fées
Courrions vers la cabane du Petit Poucet,
Celui-ci avait grandi depuis
S'il était encore une fois
Tous ensemble nous marcherions ver l'horizon
Et là, quelqu'un tout rouge
C'est le Petit Chaperon Rouge
Je prendrais mon sac
Et j'assommerais le loup
 Qui avait été  méchant
Puis, je ferais la morale au Petit Chaperon Rouge
Qui n'a pas écouté sa maman
Je l'appellerais Bernadette
Comme une petite pâquerette
Qui s'épanouit
Dans les vergers de Kati.

                                                   Z. A

S'il était encore une fois
Je serais la femme de Barbe-Bleue
Et ma vie en dépendrait
Si je n'avais pas prier Dieu
 
S'il était encore une fois
Avec mon petit pot de beurre
J'irai voir Riquet à la houppe
Malgré sa grande laideur
 
S'il était encore une fois
Je cracherais des diamants
Pour que le marquis de Carabas
Puisse sauver la Belle au Bois dormant
 
S'il était encore une fois
J'irai voir Monsieur Perrault
Inspiré par Ma Mère l'Oye
Qui joue avec les mots
 
                                   Carla
Si j'étais le chat botté,
J'irais directement voir l'ogre,
Et au lieu de le transformer en souris,
Je le transformerais en fourmi.
Je dirais à ses invités,
De voir là-bas si j'y suis.
Mais il me dirait où est ce M. Ogre,
Alors je leur dirais: Qu'il est en Mongolie!
Quoique s’il rencontrait Le petit poucet,
Il leur dirait la vérité et,
Adieu la vie de château.
Et mon partenaire
Serait Riquet à la houppe,
Il tuerait le loup,
Et protégerait grand-mère,
Contre les amis du loup.
Et je créerais
Un robot
Qui tuerait les méchant,
Rien qu'en les touchant.                                       
Zineddine  

Si j’étais le Petit Poucet, 

Je sauverais mes frères
Et nous irions trouver refuge chez Blanche Neige,
Avec les sept nains.
Si j’étais la marraine de Cendrillon,
Après l’avoir aidée,

J’irais sauver le Petit Chaperon rouge et sa grand-mère,
Sans oublier la femme de Barbe Bleue.
Si j’étais Cendrillon,
Je marierais mes sœurs,
Au Marquis de Carabas et au Petit Poucet.
Aidée par mon amie, la cadette qui crache des diamants,
Je veillerais à ce qu’elles ne manquent de rien.
L.V.

S'il était encore une fois,
Je serais la Belle au Bois Dormant
Et toi tu serais le Prince Charmant
Je dormirais pendant cent ans
Dans un château orné de piquants
Et toi tu viendrais me délivrer
Dans mon château hanté
M. H.



Le rêve du Chat botté




Si j’étais fée
Je cacherais des princesses sous des peaux d’âne,
Je transformerais citrouilles en carrosses
J’endormirais le château de l’ogre

Et  je chasserais encore et  toujours des  souris
                                           F.G.

Si j’étais le chat botté

Je dormirais toute la journée,
Pendant que mon Maître
travaillerait aux champs,
Moi je rêverais de manger des
souris bien grosses.

                                              B. R.               

S’il était encore une fois.

Nous ferions le tour du monde.

Moi je serais Riquet à la houppe.

Et toi tu serais La Barbe bleue.

Nous irions voir les fées.

Elles nous jetteraient un sort pour que nous nous

Envolions voir le Petit Chaperon rouge.

Pour lui voler son petit pot de beurre et sa tartelette.

Mais en chemin, nous rencontrerions le loup

Et là, on le chasserait et il disparaitrait à tout jamais.

 Louis

S’il était encore une fois

Nous partirions à l’aventure

Moi je serais l’aîné 

Et je ferais tout pour me réconcilier avec ma sœur

Puis nous partirions

Pour rencontrer  le chat botté



Nous boirions du thé 

Celui-ci nous amènerait vers le monde réel

Nous irions voir  le président

Et je perdrais une dent

Nous serions bien 

Mais les habitants

se seraient moqués de nous

Et nous retournerions dans notre monde réel.



Emilie

Les élèves connaissent la différence entre "mélioratif" et "péjoratif". Dans le conte Les Fées de Charles Perrault, la cadette et l'aînée sont décrites en opposition, ce qui donne à lire deux portraits, l'un péjoratif et l'autre mélioratif :

..

"Il était une fois une veuve qui avait deux filles : l'aînée lui ressemblait si fort d'humeur et de visage, que, qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses, qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et, en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse."

...

Voici les portraits que les élèves eux-mêmes ont imaginés en s'aidant d'une fiche de vocabulaire complémentaire :

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Il était une fois deux frères chats qui ne se ressemblaient pas du tout. L'aîné s'appelait Loulouti Croquetta et le cadet s'appelait Bout-de-Chou. Loulouti Croquetta avait une grande pupille bien noire et était très gourmand. A chaque fois qu'il voyait un bol de lait que la voisine avait laissé près de la fenêtre, il se léchait ses grosses babines touffues.

Bout-de-Chou, quant à lui, était très fin, très agile, au poil ras et savait quoi faire dans des situations urgentes. Loulouti Croquetta était un persan lilas crème trapu, au visage noble, aux yeux étincelants, avec une queue en panache si épaisse qu'elle balayait le sol en donnant de grands coups de vent. Ses vibrisses, toutes bicolores, en noir et blanc, étaient si longues qu'il hésitait toujours avant de passer dans un espace entre deux murs. Quant à Bout-de-Chou, c'était un chat robuste, costaud, tigré noir et blanc. Sa petite truffe rose et son "M" tracé sur son front lui donnaient l'air d'un chaton inoffensif. Il avait un petit nez retroussé entièrement blanc, et, vers son ventre, des poils ondulés et plus longs. Il était doté de magnifiques petites chaussettes blanches, et, de même couleur, un adorable petit bavoir et une culotte. Ses coussinets étaient également roses, et ses pattes n'étaient jamais sales. En outre, Loulouti Croquetta n'aimait pas sortir quand il pleuvait. Mais pourquoi ne pas profiter d'un si beau temps ensoleillé? Pendant la journée, il dormait, mangeait et allait faire des promenades. Quand il revenait, ses pattes étaient toutes sales, car il avait pataugé dans la terre encore humide malgré le beau temps ; il avait quelques poussières dans ses vibrisses, toujours une petite blessure soit sur son coussinet carpien, son coussinet métacarpien ou alors l'un de ses coussinets digitaux, et ses poils d'oreilles étaient tout frisottés. Mais Bout-de-Chou se tenait toujours bien propre et en bonne santé.

Ces deux chats n'évoquent pas du tout les mêmes caractéristiques; l'aîné a pour principal trait de caractère d'être paresseux et non motivé pour la vie, et celui du cadet et d'être fin et vaillant. Ces deux frères n'ont certainement pas les mêmes intentions et n'accompliront pas les mêmes actes sur le chemin de leur vie.

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Isis

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Leuk et Diargogne

Leuk à un visage rond, le teint bronzé, les cheveux blancs, le front lisse, les sourcils en accent circonflexe et noirs, les yeux noirs grands ouverts, le nez court délicat, les joues lisses, les oreilles grandes décollées, les lèvres fines le menton rond. Son corps est tout droit. Leuk est très costaud et grand, il est aussi intelligent et très serviable .

Diargogne à un visage rond, le teint blafard, les cheveux noirs, le front bombé, les sourcils droits et bien dessinés, les yeux noirs et petites, le nez minuscule,les joues creuses, les oreilles petites et ouvertes, les lèvres très fines, le menton pointu. Diargogne est obèse, courtaud et croit qu'il est intelligent.

Shalini

(inspiré du conte Les belles histoires de Leuk le lièvre, de L.S. Senghor et Abdoulaye Sadji).

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.La jolie fille aux cheveux auburns, aux yeux noisette et au teint bronzé était longiligne et portait un tee-shirt qui laissait apercevoir son ventre plat et de fines hanches. Malheureusement, son caractère était tout autrement car elle était égoïste, médisante et avare.

.Ce pauvre homme au visage épais, au teint blafard et aux cheveux clairsemés était ramassé sur de courtes jambes et marchait de façon dégingandée à travers la ville. Il était un peu repoussant à voir mais très généreux, aimable et affectueux.

Mathilde

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1er portrait (péjoratif) :

Elle a un visage carré et le teint clair, ses cheveux  sont blancs et crépus. Son front est long, ses sourcils en accent circonflexe et ses yeux noirs. Elle a aussi un nez écrasé, les oreilles décollées et sans oublier son menton avancé.

2ème portrait (mélioratif) :

Elle a un visage rond et lisse, un teint frais, des cheveux roux et ondulés et un front lisse. Cette jolie fille a aussi les yeux couleur noisette, des sourcils bien marqués, un nez délicat, des oreilles collées, des lèvres fines et un menton rond.

Gaëlle

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Méchate était une fille qui s’est obstinée à embêter tout le monde. Son idée de jeu c’était avec toute sa bande d’humilier sa soeur. Elle avait des cheveux longs qui avaient une couleur de foin moisi. Elle avait un front bombé et gros (comme le ventre d’une baleine). Ses sourcils étaient arqués et broussailleux. On ne pouvait pas vraiment distinguer ses yeux mais on voyait plutot des creux. Son nez était écrasé. Ses joues étaient pâles et creuses et ses oreilles étaient décollées (ils ressemblaient à un choux). Ses lèvres étaient pincées et son menton était avancé et rond. Elle était égoïste comme un renard (dans son avenir il n y avait que de mauvaises surprises).
Sa soeur était tout le contraire de Méchate, elle aimerait que sa joie se répartissent dans les coeurs de tout le monde, mais Méchate est toujours là pour tout ruiner Ses cheveux étaient longs, blonds et doux. Son front était lisse et pâle. Elle avait des sourcils en accent circonflexe, mais bien dessinés. Ses yeux étaient de couleur noisette. Son nez était court, délicat, droit et fin. Ses joues étaient lisses et pâles. Ses lèvres étaient fines. Elle était aussi pure que la neige.

David

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Portrait Mélioratif

John est un garçon de taille normale. Il a de beaux cheveux blonds et de magnifiques yeux d’un bleu perçant. Sa peau est mate et douce comme celle d’un bébé. Le contraste entre sa peau halée et ses yeux bleus est à la fois sublime et déconcertant.

C’est un garçon sincère et honnête qui a de vraies valeurs dans la vie. Il ne ferait de mal à personne. C’est quelqu’un d’intègre.

John est le portrait craché de son père. Malgré cette ressemblance il est le souffre-douleur de son grand-frère Juan.

Portrait Péjoratif

Juan est géant. Il a des cheveux longs qui ruissellent de gras. Son teint est maussade et il a les yeux bouffis. Il a un nez tellement pointu on dirait un bec de perroquet.

Juan est désagréable, mal poli, orgueilleux et arrogant. Il s’en prend aux plus petits que lui, c’est à dire tout le monde tellement il est géant. Il est tout particulièrement odieux avec John.

Anna

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C’est une grande femme au port altier. Elle est mince et longiligne. Son visage est élégant, ses traits sont fins et elle a un beau teint mat. Sa chevelure est épaisse, ses cheveux sont noirs et lisses. Elle a le front bombé et les sourcils bien dessinés. Ses grands yeux noisette et très brillants éclairent le haut de son visage. Au milieu de celui-ci, on trouve un nez fin et délicat, entouré par des joues pleines et veloutées. Ses oreilles sont petites et percées par des créoles. De ses lèvres gourmandes sort une voix mélodieuse.Tout en elle respirent le douceur et la générosité.

Louis

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C’était l’histoire de deux petits frères cochons qui habitaient dans la ville de Cochonville.

L’un d’eux était beau, bien rosé, de plus, bon, généreux et si gentil qu’il était aimé de tous. Il rendait service, volontiers, aux habitants de sa ville.

Malheureusement, son frère était tout le contraire.

Il était très laid et d’un rose sale. Il n’était vraiment pas aidé par la nature. Son comportement devenait insupportable pour les voisins et ils le haïssaient car il était arrogant et orgueilleux .

Luiza

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La gentille : une fille qui avait des cheveux blonds, lisses et très longs. La gentille a un visage rond et fin.  Elle avait aussi un teint bronzé et le front lisse. Le nez est court et droit. La fillette avait des joues creuses, les oreilles collées et allongées. Les lèvres sont fines et minces. Elle a aussi le menton avec une fossette, les yeux noisette, les sourcils fins et arqués.

Le méchant : un garçon qui  avait les cheveux courts, sales et noirs. Il a le visage carré et long, le teint est foncé, frais. Le garçon a le front bas et étroit , les sourcils mal dessinés, les yeux vairons. Son nez est bosselé, ses joues granuleuses, les oreilles sont décollées . Ses lèvres sont boudeuses et fines. Le menton est en avant et  pointu.

Gwenaëlle

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Portrait péjoratif:

Au teint verdâtre, l'ogre, avec ses cheveux ondulés, ressemblait à un personnage étrange. Comme la plupart des ogres, ses oreilles étaient collées à son visage déformé et ses yeux, écarquillés, lui donnaient l'apparence de quelqu'un de suspicieux. Très musclé et costaud, il se déplaçait à une allure d'escargot, traînant ses jambes d'une épaisseur impressionnante. Curieusement, il se montrait toujours armé d'une lance, sûrement pour effrayer les malchanceux qui essaieraient de l'attaquer. Quand à son caractère, cet ogre était d'un égoïsme intolérable, plein de haine et de jalousie envers ceux qui n'étaient pas aussi laids que lui.

Portrait mélioratif:

La personne en question était une sorcière d'une bonté extraordinaire qui récompensait tous ceux qui lui prouvaient être honnêtes. Sur son visage tendu, pas une trace de vieillesse ni de souffrance. Elle avait l'habitude de soulever un sourcil bien dessiné ou le coin de ses lèvres fines chaque fois qu'elle récitait un sort bénéfique, ce qu'elle faisait régulièrement. Quand on l'apercevait, les gens riches et pauvres, adultes et enfants, se précipitaient à sa rencontre pour assister au commencement des merveilles qu'elle déclencherait. Compréhensive, elle éprouvait même un peu de tendresse pour l'ogre au teint verdâtre.

Laure

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Le gagnant était très élégant, serviable, il avait les cheveux longs,
blonds, et bien coiffés en brosse. Il faisait très bonne impression.
Il se tenait droit et il était extrêmement poli et respectueux.

Le perdant était ramassé sur son siège, un gros cigare à la main.
Rien que par son visage , on devinait qu'il était grincheux et rabougri. Il était chauve et irrespectueux de son entourage.

Stevan.

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La cadette avait les cheveux blonds et fins. Ces cheveux faisaient ressortir son visage rond et ses lèvres minces et rouges. Son menton était simple et rond. Ses yeux bleus faisaient ressortir son visage. Elle était petite et mince. Elle avait une voix toute douce elle était compréhensive et affectueuse. Même si sa beauté était exceptionnelle elle n'avait pas tout, il lui manquait d'amour de la part de sa mère et un peu d'argent.

L’aînée avait des cheveux en forme de serpents ses cheveux était gras et sales. Ses cheveux faisaient ressortir son visage laid, long et ovale. Son menton  était pointu et ridé. Ses yeux verdâtres, rendaient son visage sombre. Elle était obèse et musclée. Mais sa jalousie et son égoïsme la rendaient beaucoup plus odieuse.

Charlotte

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Tony a un visage carré et épais, souligné d'un teint blafard avec des cheveux poivre et sel bouclés et un front ridé. Ses sourcils sont broussailleux et en accent circonflexe, avec au-dessous des yeux noirs enfoncés et globuleux, au-dessus d'un nez écrasé et bosselé. Il a des joues creuses et pâles et des oreilles collées et grandes. Ses lèvres boudeuses sont soulignées par un menton fuyant et rond. C'est une personne très égoïste et irritante que l'on aimerait ne pas avoir comme frère.

Paul, le frère de Tony, a un visage lisse et élégant, souligné par un teint bronzé et des cheveux châtains et lisses. Son front lisse, ses sourcils bien dessinés, son nez délicat, ses yeux noisette, étincelants et ses joues lisses en font un personnage très joli. Ses lèvres fines et son menton rond, aussi bien que le reste du visage, cachent une grande amabilité et une aussi grande volonté.

Julien

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Le Petit Chaperon Rouge :

Le Petit Chaperon Rouge est une petite fille aux cheveux châtains et aux yeux noisette. Sur sa petite tête ronde, elle porte toujours une petite cape rouge. Elle parle avec une voix douce et aigue
qui reflète totalement son honnêteté. Elle est très généreuse et visite souvent sa grand-mère pour lui offrir des cadeaux. Sa figure, couverte de taches de rousseur rend son innocence évidente.

Le loup :

Le loup est un méchant personnage au pelage gris et sale. Il est extrêmement mince et son long nez pointu le rend encore plus moche. Mais ce qui le distingue le plus est cette odeur infecte qu’il émet quand il ouvre sa bouche. Il est extrêmement bête et très gourmand. Sa voix rauque suppose qu’il a mangé trop de légumes (et pas assez de viande) cette saison. Je suis extrêmement surpris que le petit chaperon rouge n’ait rien remarqué ou a été trop poli pour le faire.

Henry

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Il était une fois deux soeur que tout opposait. L’ainée ressemblait fort à son père, avec son nez épaté, ses yeux louchant et globuleux, ses cheveux crépus, sa bouche toute tordu et son double menton. Toute les parties de son corps (en particulier le ventre) étaient très enveloppés. Comme lui elle était d’humeur très colérique. Tous deux étaient orgueilleux, méchants, égoïstes, malpolis et de plus ils étaient très laids.

Quand à la cadette, elle avait hérité de la beauté de sa mère avec sa peau chocolat au lait, ses beaux cheveux noirs ondulés, ses yeux d’un bleu profond, son charmant petit nez en trompette, ses belles lèvres naturellement rouges, et pour couronner le tout, un petit grain de beauté juste en haut de sa lèvre supérieure. Le son de sa voix était si  mélodieux qu'à chaque fois qu'elle parlait, tout le monde croyait entendre une douce symphonie. La mère et la fille étaient toutes les deux joyeuses en toutes circonstances, aimables, polies , serviables, intelligentes et surtout très jolies. Cela rendait fou de rage le père et l’ainée qui étaient dépourvus de ces qualités.

Juliette D

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Merlin au pays enfantin !

IL était une fois deux jeunes enfants dont leurs parents furent morts le jour de l’anniversaire du cadet.
Le cadet, le souffre-douleur de son frère, a de beaux yeux bleu clair et si vifs que l’on pourrait le prendre pour un ange, ses cheveux sont d’un blanc scintillant, sa peau est douce! Il est la fierté de sa famille : il est généreux et patient, respectueux mais humoriste, que son nom lui donne du courage : Merlin; on l’acclame à chaque coin de rue.
Tandis que son frère est une honte, il est si menteur,s i méchant, si radin que les villageois ne cessent de le huer. Il est comme le diable : ses yeux sont rouge sang, ses cheveux sont aussi noirs que le plumage d’un corbeau, son nez est gros, ses pommettes sont lisses mais ses pupilles sont tellement noires que son visage n’exprime aucun sentiment. Son nom est cruel : Malfra.

Pablo.

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Il était une fois un gentil, aimable, honnête petit garçon qui
s'appelait Jean-Claude. Il aidait les personnes âgées, il préférait
aller étudier que jouer. A chaque fois que les enfants l'invitaient à
venir jouer au football, il disait non car il préférait aider sa maman
à nettoyer la vaisselle. Il avait un frère qui s'appelait Crutus. Il
était d'une cruauté horrible, personne ne l’aimait, en bref c'était
"le diable" en personne. Il tapait les petits, volait des jeux et il
rackettait son frère, ses amis, enfin tous ceux qui passaient devant
lui. Les gens avaient tous peur de lui, ils étaient effrayés rien qu'à
l'idée de sortir .Tout le monde se demandait quel serait son avenir...

Jérémy

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Elle avait de longs cheveux roux et lisses, le visage fin et le teint clair. Ses yeux bleu-gris et son regard brillant caractérisaient bien sa bonté, sa générosité et sa douceur.

Elle était bien étrange avec ses cheveux poivre et sel hérissés sur sa tête, son teint blafard et ses yeux vairons. sa bouche, sévère et pincée, montrait son caractère dur et avare. Elle avait toujours l'air irrité par l'on ne savait quoi.

Andréa

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Anastasia avait les cheveux lisses et noirs,

les yeux d'une couleur semblable

et le nez en trompette qui faisait

ressortir ses lèvres pincées.

Elle avait aussi le menton pointu,

le teint clair,

une silhouette très petite

et les sourcils

en accent circonflexe.

Elle était impatiente, égoïste, méchante

et avait une jalousie folle pour la beauté de sa soeur cadette...

Sa soeur, qui se nommait Marguerite,

avait les yeux verts étincelants,

les joues pâles et creuses mais lisses,

le visage élégant et une silhouette mince et fine.

Elle avait, avec toutes ses qualités de beauté,

une amabilité, une bonté,

une franchise, une générosité

et une honnêteté telles qu'elle

était la plus aimée du village.
Ninon

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C'est un homme d'une trentaine d'années. Des cheveux châtains, courts et bouclés entourent une tête carrée et bronzée. Ses traits sont fins : il possède un nez droit, deux yeux ronds, bleus et pétillants, des petites oreilles, de fines lèvres et il a des sourcils bien dessinés. Son large sourire marque ses joues bien rasées d'une fossette. Son allure est sportive : il est costaud, musclé, robuste, souple, mince et fort grand. Il dégage une grande force mais aussi une grande douceur. Il est bon et généreux, toujours prêt à aider. C'est un homme d'une cinquantaine d'années. Sa tête ronde et blafarde est encadrée par des cheveux clairsemés, longs, noirs, gras et rabattus au-dessus du crâne pour cacher une calvitie. Ses traits sont grossiers avec un nez bosselé, deux petits yeux noirs perçants, enfoncés dans leurs orbites, des grandes oreilles boursouflées et une bouche mince qui cache mal des dents en mauvais état. Ses épaules sont recourbées sur un corps chétif et osseux. Sa poitrine siffle à chaque expiration. Ses gestes saccadés reflètent sa fourberie. Il se met vite en colère, est irritable et peut être violent.

Jean

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Il était une fois deux sœurs jumelles. L'une avait un visage épanoui et ses yeux avaient un effet étincelant, puis avec cela ils avaient une magnifique couleur bleu ciel. Ses cheveux étaient d'une resplendissante couleur auburn. Son nez avait une jolie forme, il était plutôt fin. Et ses joues étaient lisses comme une feuille de papier. L'autre avait un visage maussade et ses yeux étaient ternes, puis avec cela ils avaient une horrible couleur gris foncé. Ses cheveux étaient ternes tout comme ses yeux, ils étaient poivre et sel. Elle avait le nez en trompette. Et ses joues étaient fripées comme une fleur fânée.

Eloïse

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(péjoratif)

Mon premier personnage a un visage triste, le teint rose comme un cochon, le front haut comme le cou d'une girafe, les sourcils broussailleux, les yeux vairons rouge et vert, le nez écrasé comme celui d'un sanglier, les joues granuleuses comme celles d'un hamster, les oreilles grandes comme des feuilles de choux, le menton pointu comme le bec d'une autruche. Il a le corps chétif et n'est pas habile. Il est violent et impatient.

(mélioratif)
Sa sœur a le visage épanoui, le teint bronzé, les cheveux raides et bruns, le front lisse, les sourcils bien arqués, de beaux yeux noisette, le nez fin, les joues lisses, les oreilles petites comme des feuilles de betterave, le menton droit comme ses doigts. Elle est forte et agile comme un singe. Elle est douce et patiente.

Pierre

        Bonjour ! Je vous fais lire aujourd'hui les parodies de fables proposées par les élèves. Une parodie consiste à détourner de façon humoristique le texte d'un autre auteur. On peut modifier le niveau de langage, mettre en place un comique de situation ou de répétition, provoquer des chutes ...
        Laissons couler l'encre de leurs plumes ...




Le Loup et La Cigogne

Un loup avait faim
Il se pressa vers un os en courant
Et glissa sur une peau de banane.
Une cigogne arriva.
Quand elle entendit des cris.
Elle vit un os et s’approcha.
Le Loup encore au sol cria :
« - Touche pas à mon os !
- Mais je ne compte pas te le voler, rit-elle
- Mouaih, chuchota t-il. »
Elle finit par aider le loup à se relever.
Puis il se précipita sur l’os
Et l’engloutit d’une seule bouchée et cria :
« - Hm, c’est bloqué ! »
La cigogne ricana et l’aida,
En plongeant son bec dans le gosier du loup.
« - Bon maintenant donnez moi votre salaire, dit-elle
J’ai tout de même rentré mon bec dans votre gosier !
- Non, mais vous rigolez
Vous m’avez bien aidé et je vous en remercie.
Toute façon vous êtes égoïste.
Les loups sont des gros gloutons.
                                                        Maëllys

Le Corbeau et le Renard

Un vieux Corbeau, sur un arbre paumé 

Tenait dans son clapet un Cheese Burger

 Un renard renifla l'odeur

 Il engagea la conversation

 " Coucou ! Salut vieux Corbeau.

 Que vous êtes vieux ! Très vieux !

 Sans mentir, si vos rides

 Ressemblent à votre odeur et à votre voix...

 Vous serez Shrek en personne ! "

 Après ces vannes, le Corbeau s'irrita,

 Pour lui prouver le contraire

 Il chanta une chanson de BB Brunes : " Dis-moi ! Si tu..."

Sur ceux, le Cheese Burger se ramassa au sol

Le Renard l'attrapa et dit : " Veillard,

 Retiens ceci, chaque vantard

 Se fait avoir à chaque fois

 Ce cours vaut ce Cheese Burger qui sort tout droit du Mcdo ! "

 Le vieux Corbeau lança des injures

                                Il jura qu'il avait une plus belle voix que le Renard, peut-être jaloux.

                                                                                                                 Zabeen

Le Corbeau et le Renard

 Maître Corbeau, sur son arbre perché,
    Tenait en son bec un roblochon.
Maître Renard, par l'odeur alléché,
       Lui tint à peu près ce langage :
      "Salut ! M'sieur du Corbeau,  Que tu m'as l'air joli! Que tu me sembles beau! Sauf ton pelage!
Sans mentir si votre ramage,
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le singe des hôtes de ces bois ."
A ces mots le Corbeau se sentit si humilié ,
        Qu'il en lâcha son fromage.
        Le Renard s'en saisit, et dit :" Mon mauvais Monsieur,
Apprenez que tout mauvais flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute :
        Cette leçon vaut bien un roblochon, sans doute."
Le Corbeau, honteux et confus,
          Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
                                        Mallaury

"Les Voleurs et l'Ane" livre premier.

Pour un Ane chipé deux chipeurs se fritaient: L'un deux voulait le conserver pour son dîner, Et l'autre voulait le vendre pour arrondir ses frais. Pendant que des paires de claques se perdaient, Et que les champions sentaient la douleur et songeaient à se défendre.

Comme si ça ne suffisait pas un troisième pickpocket arriva,

Qui s'empara du maître Aliboron qui pleura.

L'Ane, c'est quelquefois une contrée de même pas un hectare,

Les pickpocket sont tel ou tel prince rare accompagné d'une fanfare.

Comme le Transylvain, le Turc et Hongrois,

"J'en avais déjà deux et ça ne suffisait pas car le troisième cochon arriva.

J'en ai marre de cette marchandise à la noix".

Par aucun d'eux la province sera soumise:

Un quatrième voleur surgit, et les calma net,

En saisissant, bien-sûr, le Baudet.

                        Hemmings

Le Corbeau et le renard

Un jeune corbeau, sur son canapé perché,

Tenait en son bec une chouquette.

Monsieur Renard, vaguement intéressé,

Lui dit avec un air de poète :

« Bonjour monsieur le corbeau !

Sincèrement, il me faudrait un escabeau

Pour arriver à la cheville de ce que vous faites

Ou plutôt à la socquette

Car ici vous êtes le roi. »

À ces mots le corbeau roucoule sur son pavois

Et pour remercier, prend son porte-voix.

La chouquette tomba, et renard dessus se rua.

Même s’il est carnivore, celui-ci la dévore :

«  Scrunch, scrunch, pour vous je suis trop fort

Il faut bien avouer

Que vous vous êtes fait attraper.

Ne faites pas cette tête

Vous n’y laissez qu’une chouquette ! ».

                                                                            L.V.

Le Chêne et le Roseau
 
Un dit un jour à un roseau
"- Vous n'avez vraiment pas de chance:
Quand se pose sur vous un petite moineau,
Il vous oblige à faire la balance
Et à mettre la tête dans l'eau.
Pendant que, contre les tempêtes
Je résiste sans baisser la tête.
J'ai un tronc très costaud,
Qui résiste au coups de marteau.
Vous avez un ventilateur, j'ai un éventail.
Mais si je vous servais de paravent
Vous auriez moins peur du vent.
Je gagnerais cette bataille
Contre cet air glaçant.
Manque de chances, là où vous naissez
Nous avons peu de risques de nous croiser.
En bref, vous n'avez pas de pot
-Ne vous en faites pas, répondit le roseau
Je n'ai encore aucun soucis
Je n'est pas de problème avec les vents
Car de toutes façons je plie
Pendant que vous êtes là, résistant
Restant droit comme un i
Mais attendons.Quand il dit ceci
Du bout du monde, arrive
Le plus horrible des vents
Que l'on ait vu de tous les temps.
Le roseau courbe, l'arbre dérive, 
Le vent souffle encore plus fort
Et finit par déraciner
Celui qui disait résister
Qui le disait encore et encore.
 
                                 La Fontaine > Carla

Le Corbeau et le Renard

Maître Corbeau du haut de son perchoir,
Mangeait son Kebab du samedi soir.
Maître Renard qui avait une faim de loup,
Voulait bien en manger un petit bout !
- Comment allez-vous Corbeau ?
Quel beau smoking noir !
Si jamais vous ne chantez pas faux, Vous êtes prêt pour la "nouvelle star".
Et en pensant à toutes ses groupies, Le Corbeau qui s'y voyait déjà,
Mangeait son kebab du samedi soir.
Oublia son kebab et lui dit :
- Hé ! Corbeau, il ne faut pas faire la tête,
C'est ce qui arrive lorsqu'on attrape la grosse tête.

-Vous m'avez pris pour une poire,

Jamais je n'aurais dû vous croire,
Dit le malheureux CorbeauTout nigaud en lui tournant le dos.

Coline




   LE LIEVRE ET LA TORTUE  


Ca sert à rien de gambader : il faut partir au coup de sifflet.
Le lièvre et la tortue vont vous faire un reportage dans notre émission "histoire vécue".
   << - He ! Miss carapace au dos ! j'te parie que toi qui as la lenteur d'un escargot
t'es pas cap d'arriver
la prems contre moi, maître du galop !
- Ce sont des manières petit galopin, je relève le défi pour 25 pépins, tu seras vite un petit débris!
- c'est ce qu'on va voir poulette mais fait gaffe accroche toi à ta mobilette
La tortue se prépare pour le coup de départ tandis que mister lapin ramène un coussin.- Que fais-tu là, on fait la course ou quoi !- Ho! t'en fais pas j'ai tout mon temps avec toi j' peux partir quand les poules auront des dents !>>
   Pendant que monsieur dort à poing fermé , la tortue se dépêche pour passer la ligne d'arrivée 
quand l'animal aux grandes oreilles d'un coup se réveille, 
il voit la tortue franchir le monde des winners alors mister va a 200 à l'heure...
il est trop tard, il n'avait qu'à franchir le départ avant de sombrer dans des rêves
ou des cauchemars. 
Depuis chaque jours il doit lui donner des carambars et lui nettoyer ses armoires.



   Conclusion : Ca sert à rien de gambader il faut partir au coup de sifflet.
Regardez la tortue , elle
qui est winner , elle a beaucoup de bonheur, tandis que le lièvre qui est le looser,
 il a beaucoup de malheur.

Lucille





Une laitière s'en allait au marché
Et, avec son pot sur la tête, elle sautillait
"Quand j'aurai vendu mon lait,hé hé
Je pourrai m'acheter un chien sur Ebay
Qui m'fera gagner des concours de beauté
Puis je le revendrai très cher
Et je deviendrai millionnaire!"
Elle sautait de plus en plus haut
Et le pot d'lait sauta aussi

Le lait se répandit
Tant pis!

Joséphine 

Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait dans son bec un disque de 50 (fifty) cent,
Le meilleur chanteur américain. LeRenard arriva devant l'arbre où se tenait le Corbeau,
Et il ouvrit la parole en lui disant:
<< Eh toi s'il te plaît rends-moi mon disque cela m'a coûté toutes mes économies! Insista le Renard.
-Déja si je puis me permettre très cher vous m'appellerez dès maintenant Maître Corbeau.

-Bon! Maître Corbeau, je n'ai que 11 ans et si ma mère apprend cela elle va vraiment me crier dessus parce qu'elle va encore me dire que je ne fais pas attention à mes affaires, alors j'espère que je ne serai pas obligé de vous supplier par terre, annonça le Renard. -Je suis d'accord mais à une condition, je puis l'écouter, dit le corbeau.
-Si cela vous rend si heureux, alors je veux bien.
-Oh mais c'est quoi comme style de musique,
c'est vraiment très fort,
je ne puis pas écouter encore plus,
c'est horrible comme musique!
Je préfère écouter de la musique classique, un bon morceau de Mozart, dit le Corbeau.

-Comme style de musique c'est du RAP,
je vous remercie encore de m'avoir donné le disque. Le Corbeau voulait lui faire une reflexion
mais le Renard ne le prit pas de ce sens là.
Moralité Il faut faire attention à ses affaires parce qu'on peut les perdre et même des fois ne plus les retrouver.

                                                                                                    Benjamin M.

Le Lièvre Et La Tortue

Ca ne sert à rien de courir : il ne faut pas se précipiter.
Le Lièvre et la Tortue en sont une preuve.

La Tortue dit : « J’te parie 10 dollars que t’arriveras pas à bon port avant moi ».
Le Lièvre réplique violemment : « Tu crois vraiment que tu peux me battre !! ».
Le Lièvre allume une cigarette et se calme.
L’impatience des spectateurs monte.
Et tout à coup un écran de fumée apparaît.
Derrière cette fumée se cache « The King Of The Forest» qu’on surnomme
 « le lièvre qui court plus vite que son ombre ».
Il porte un gros blouson imitation cuir des années 50.
Il a de grandes chaussures aves des ressorts qui lui donnent 10 cm de plus.
Il a une casquette griffée et un vieux tampon pour ne pas se fatiguer à signer des autographes.
Le public saute partout, acclame son nom et lui jette des fleurs.
Le lièvre demande aux animaux de la forêt qui va gagner ?
Tout le public crie son nom.
Après vingt minutes d’acclamation, le public aperçoit l’ancêtre de la forêt : la tortue
Elle est habillée comme une hippie. Elle a un foulard sur sa tête, un pendentif en forme de « peace and love » et une robe longue à fleurs.
Le public l’acclame trente petites secondes, déjà trop longues pour les spectateurs.
L’arbitre leur dit : « Prêt ! Feu ! Go ! ».
Le lièvre reste sur la ligne de départ, va s’acheter une cannette de coca et du chocolat.
Il s’installe sur son transat et dit : »La séance d’autographe est ouverte ! »
La tortue part et s’avance lentement.
Le lièvre qui se repose toujours, s’aperçoit que sa concurrente s’approche de la ligne d’arrivée.
Il fonce à toute allure mais n’arrive pas à la rattraper.
La tortue dit au lièvre : « je suis peut-être plus vieille, je suis moins connue que vous mais je vous ai battu ».
Elle réfléchit quelques instants et lui dit : « Ah oui, vous avez mes 10 dollars ».
                               
                                                                             Louis


Un mobile ayant sonné tout l'été se trouva fort dépourvu quand la panne de courant fut venue.
Le mobile fit un tour de pâté de maisons mais évidemment tout le monde était en vacances à cause d’un des plus grands salons informatiques du monde.
Après une bonne heure, il trouva une maison habitée d’un ordinateur trop snob pour traîner dans des salons qui ne sont pas classés monuments historiques.
Il entra et il lui dit :
« Bonjour mon ami, comme tu le sais une panne de courant a atteint ma maison,
 pourrais-tu me prêter une prise,
que je me recharge ?
-Mais qu’as- tu fais pour oublier de te recharger ?
-Je sonnais mon ami.
-Et bien bipe maintenant !!! »
                                                                                          G.B

Maitre corbeau sur un arbre perché 

Tenait en son bec un poireau

Monsieur le renard par l’odeur alléché

Lui parla  en voulant manger sa proie :

« Et bonjour monsieur le corbeau.

Que tu es joli que tu me sembles beau

Sans mentir si ta voix 

Se rapporte à ta beauté

Tu es le roi de tous les bois »

A ces mots le corbeau  ne se sent pas de joie

Et pour montrer sa belle voix

Il ouvrit  en grand son bec et laisse tomber sa proie

Le renard le prend et dit « un bon flatteur

 vit au dépend de celui qui l’écoute

Cette leçon vaut bien un poireau sans doute. »

Le corbeau honteux et confus

Jura mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.
                               
                                                                                         Emilie

Le Corbeau et Le Renard

M. Corbeau était perché

Sur son gratt’ciel préféré

Il tenait dans son bec une saucisse

M. Renard arriva

                                                                                         Grâce à la bonne odeur !

Il lança alors la conversation

Bien décidé à avoir la saucisse :

« -Salut mon pote, dit-il

-Hm mum hum, répondit l’autre

-Tu peux répéter j’ai pas tout compris, demanda-t-il

J’crois qu’t'as un truc dans ta bouche, continua-t-il.

-Mouim hum mum, répondit M. Corbeau.

-C’est pas grave de toute façon votre voix ne vaut rien.

                                                                        Juste à casser les oreilles », sourit M. Renard

M. Corbeau devint tout vert et lâcha la belle et dodue saucisse,

Pour montrer sa belle voix.

C’est alors que M. Renard s’empara de la saucisse

Et s’en alla en chantonnant :

                                                                           « -La prochaine fois que j’aurai M. Corbeau,

Ce sera pour de l’eau !! » . 

                                                          A.P

      Ce sont les trois étapes de la création de Kandinsky. Ce sont aussi les trois mots qui ponctuent, comme les trois temps d'une valse, la visite au Musée Pompidou, à Paris (eh oui, il  existe, à Metz, une extension de ce centre. On l'appelle "le centre Pompidou-Metz" ...)
      Le Centre national d'art et de culture Georges Pompidou est situé entre les Halles et le quartier du Marais, dans le 4ème arrondissement. Il porte le nom du président français de l'époque (1977) dont le désir était de voir s'installer, au coeur du vieux Paris, un musée moderne et original rassemblant des oeuvres du XXème siècle. On y trouve des objets insolites, comme le provoquant urinoir décrété oeuvre d'art par Marcel Duchamp ,ou la peinture en trois dimensions de Georges Braque. Rassurez-vous, il y en a pour tous les goûts ...
       Les 6èmes, sur l'initiative de leur professeur d'arts plastiques, Mme Agnello, sont partis, accompagnés de leur chanceux professeur de français (oui, moi !!), faire une belle excursion dans ce lieu insolite. Munis de leur bloc de dessin, ils ont tenté d'esquisser les formes enchevêtrées de Kandinsky, après avoir écouté avec soin le discours passionné du guide.
       De retour en classe, les élèves ont tenté de décrire ce qu'ils avaient vu. Mme Juranville, le professeur-documentaliste, nous a prêté quelques ouvrages où figurent des reproductions colorées du maître : La Vie mélangée, Jaune, rouge, bleu,...

                Laissons maintenant la place aux principaux acteurs de cette aventure : Kandinsky lui-même et les jeunes visiteurs...
                                                         


                      

Pour avoir un aperçu de l'exposition, cliquez ici : lien

Jaune Rouge Bleu      

pour voir ce tableau : lien                                  

     En voyant ce tableau au Centre Pompidou, j'ai voulu me rapprocher de ce que je connaissais. 

     Dans la partie droite du tableau, un immeuble était situé sur une surface plane et opaque. Des courbes et des droites traçaient un visage de profil. Un disque qui me faisait penser à une planète, nous transportait dans l'Univers infini.

     Au milieu du tableau Jaune Rouge Bleu, un jeu s'y trouvait et une planète aussi.La partie gauche de cet oeuvre, avait trois pyramides opaques qui étaient transportées par une droite bancale et noire. Une fumée noire aussi mais transparente faisait voyager cette partie de tableau dans un endroit peut-être imaginaire.

     Il y avait un escalier, des jeux comme le morpion etc... Dans un coin de cet oeuvre, une magnifique éclipse me faisait penser à l'espace. Le fond était en dégradés.

    Ce que j'ai aimé  dans ce tableau abstrait, ce qu'ont ces diverses couleurs qui laissent notre imagination inventer des choses, les formes, les fusion, la puissance des traits.

    Le tableau de Kandinsky Jaune Rouge Bleu est créé

    pour nous faire rêver

    et voyager.

                                                                  Zabeen

Kandinsky a peint, en 1925, le tableau " Jaune, rouge, bleu".
Sur un fond jaune, des couleurs vives nuancées semblent danser :
rose tendre, bleu outremer, jaune primaire, rouge criard,

une vraie valse des couleurs !
Des formes géométriques, des rubans et des damiers nous laissent
imaginer des drapeaux, un personnage à chapeau, une boîte aux
lettres... Le tout semble se détacher de la toile,

nous entraînant
dans un monde coloré et abstrait.
 
                                                                             Carla

La vie mélangée
                                                                                     

pour voir ce tableau : lien
                                     
La vie mélangée, 1907, est un tableau figuratif de Kandinsky.
Il représente aupremier plan une foule de personnes sur un fond vert, différentes nuance
(vert clair, vert pastel, vert foncé, vert sombre, vert pâle, vert acide...).
Dans ce tableau on peut apercevoir
une prairie et une montagne
sur laquelle se trouve un monument de Moscouet à ses pieds un cimetière.
Les couleurs sont vives, éclatantes, étincelantes et parfois même fluorescentes.
La manière dont peint Kandinsky est particulière.
On y trouve des tâches qui s'encastrent,
différents coloris, les formes sont plutôt arrondies,
il y a beaucoup de contrastes de couleur
et une dominance de vert.

                       Coline

 Composition 9, 1936
                      

                                                       pour voir ce tableau : lien

En bas à droite de ce tableau on aperçoit plein de petits cercles.
Ils ressemblent au tableau "Quelques cercles 1926".
On aperçoit deux damiers ainsi qu'une fleur.
Quelques cercles sont dispersés dans cette oeuvre.
Il contient un fond de plusieurs couleurs rayées.
Sur ce tableau les couleurs primaires sont présentes et d'autres encore.
 
                                    Mallaury


       Jaune-Rouge-Bleu(1925)

J’ai choisi ce tableau car il avait beaucoup de formes géométriques et de couleurs aussi.
Une tête de profil dominait la peinture.
Vers la gauche du tableau, les couleurs sont transparentes,
tandis que vers la droite les couleurs sont opaques.
Au dernier plan, une sorte éclipse s’allumait.
Sur les côtés, les dégradés dégringolaient.
Au centre, un jeu d’échec se faufilait et des collines s’élevaient.
Au second plan, une fumée transparente et ondulée se déployait.
Toutes ces choses m’ont beaucoup plu, c’est pourquoi j’ai choisi ce tableau.    
                    Maëlys

 

Composition IX, 1936

Huile sur toile 113,5x195 cm

Paris, Centre Pompidou

Sur ce tableau, on voit des disques comme dans la peinture « Quelques cercles ».

Les formes, sur le plus gros disque,

font ressembler ce dernier (qui est bleu)

à la terre et ses continents.

Une forme massive, entre violet et bordeaux,

avec de grosses courbes,

est transparente sur l’une des bandes de couleurs.

Certaines bandes sont en dégradés, alors que d’autres sont faites

d’aplats de couleurs.

Sur la forme arrondie, on voit des sortes de poissons, de plantes.

À côté, on aperçoit des damiers, des sortes de claviers.

Sur un ovale, on voit une tortue,

qui peut aussi être prise pour un homme qui fume une pipe.

On peut aussi trouver des formes tracées au crayon fin,

des hommes simplifiés, des chevaux.

À gauche, on croit entrevoir une théière, puis un tapis, avec des vagues.

L’ensemble comporte beaucoup de couleurs vives (jaune, bleu, rouge, orange, vert)

et les formes sont bien dessinées.

                                         L.V.


COMPOSITION 8

                                           pour voir ce tableau  : lien

Cette œuvre est de Kandinsky. Elle a été réalisée en 1923.
Il l’appela  « Composition 8 » comme d’autres tableaux, il changea seulement le numéro.
 Il Utilisait l’eau, ce qui lui a permis d’avoir de nombreuses teintes et de couleurs

Dans ce tableau, les couleurs se mélangent avec les formes.
Il a beaucoup utilisé les formes géométriques.
Ce tableau est joyeux.
Si nous penchons légèrement la tête, on voit des montagnes
et si on tourne encore un peu
on croirait voir des gratte-ciels.
Kandinsky à beaucoup utilisé les couleurs joyeuses. J’ai choisi ce tableau pour toutes ces raisons.
                                                                                                
                                                                                                                  Louis


quelques cercles

Sur ce tableau qui s’appelle « quelques cercles »

je vois plusieurs cercles de  différentes formes (grands, petits) et de différentes couleurs (vives, sombre).

J’ai l’impression que Kandinsky a voulu représenter  l’univers.

Le fond est noir sombre.

Je trouve que les cercles sont bien dispersés.

Je vois un œil qui regarde la plus grosse planète.

Un petit cercle ou il y a juste le contour jaune.

J’aime beaucoup ce tableau car toutes  les choses de ce tableau m’inpirent à dessiner un autre  tableau de ce genre.

                                                                                                                 Emilie

composition 9, 1936

Le fond de ce dessin, se compose de rayures jaune, bleu, rouge, marron très foncé, orange et vert.

En bas à droite, il y a plein de petites planètes de toutes les couleurs, qui rappellent un autre tableau de Kandinski,

Quelques cercles, 1926.

En haut à gauche, on voit un cercle rose.

Un peu plus bas, c’est un tapis vert qui est représenté.

Vers le milieu, on pense reconnaître une grosse fraise rouge, difforme.

En bas de la grosse fraise, il y a deux damiers, qui s’apparentent à des jeux d’échecs.

A gauche des petits cercles, se sont deux libellules posées sur des petites vagues, qui sont représentées.

En haut à droite, il y a un visage de souris tenant une pipe dans sa bouche.

Bien sûr, pour voir la souris, il vous faut tourner votre tête vers la droite.

                                                                                                                        A.P