16 mars 2013

Une Aventure Parisienne

  Cette nouvelle : Une aventure parisienne écrite par Guy de Maupassant (né le 5 août 1850 au château de Miromesnil et décédé le 6 juillet 1893 à Paris) dont les personnages principaux en sont une femme de province et un célèbre écrivain, parut le 22 décembre 1881 dans la revue Gil Blas avant d'être publiée dans le recueil Mademoiselle Fifi en 1882.

   L'histoire se déroule tout d'abord en province, où le narrateur nous présente une mère de famille dont la situation est irréprochable. Mariée et mère de deux enfants, elle suit une vie droite et sereine. Prise d'une envie de liberté, d'évasion et de curiosité, elle décide de se rendre seule à Paris, prétextant une visite dans la famille. Rêvant de débauches, d'aventures et d'excès; elle pense à cette vie parisienne libertine, aux mille romances sous le sommet de la tour Eiffel. Au cours d'un passage chez un antiquaire, elle y rencontre un célèbre écrivain à qui le marchand tente de vendre un vieil objet décoratif japonais. Indécis devant le prix du bibelot, elle mène une surenchère afin de le lui offrir. L'écrivain, étonné, est séduit par son audace et sa volonté d'engager une telle entreprise. Elle lui propose ensuite de passer le reste de la journée en sa compagnie. L'occasion pour elle de tenter plusieurs approches : promenade dans les bois, dîner au restaurant, pièce de théâtre... Ils terminent finalement la soirée dans le lit de l'artiste. Mais rien ne s'y passe à toute surprise. En effet, célèbre, il est habitué à des amantes. Des courtisanes pleines d'adresse et d'élégance dans ce domaine qu'est l'amour, elle..., n'est qu'une banale petite provinciale. Le dévisageant pendant son sommeil, elle constate les imperfections de cet homme. Aux premières lueurs du jour, elle s'enfuit, avant de s'effondrer tout en sanglotant au creux de son propre lit.

   Le cadre et le contexte de l'histoire sont crédibles, le narrateur y mentionne d'ailleurs le défaut que peut être la curiosité chez la gente féminine. Je trouve que l'idée d'exploiter cette thèse semble plausible. L'histoire peut se dérouler dans la vie réelle. Je qualifierai donc cette nouvelle de réaliste.

   J'ai bien aimé cette nouvelle, je recommanderais de la lire car celle-ci est agréable à lire, de plus l'écriture fluide nous plonge facilement au coeur de l'histoire, une rencontre parisienne bercée d'illusions... Mais je la déconseillerais aux détracteurs de la romance.

P. Amandine 2nde 4

  

14 mars 2013

ADIEU

Cette nouvelle fut publié le 18 mars 1884 dans Gil Blas , sous la signature de Maufrigneuse, puis publiée dans le recueil Contes du jour et de la nuit en 1885.
Les deux personnages principaux sont Henri Simon et Pierre Carnier deux vieux amis.
Cette nouvelle se déroule dans un café à Paris.
Pierre Carnier et Henri Simon sont deux amis qui discutent dans un café. Ils constatent qu'ils ont beaucoup vieillit et regrettent leurs jeunesses, c'est alors que Pierre se lance dans un récit ou il raconte sa rencontre avec une jeune femme mariée à Étretat, où il a vécu une belle histoire qui dura 3 mois avant de partir en Amérique le coeur brisé de la quitter. Douze ans aprés en se rendant chez des amis, il la retrouva par hasard dans le wagon. Elle l'a reconnu mais lui non. L'âge l'avait beaucoup changer, et il regrettait le temps ou elle était si belle. Il réalisa alors que le temps changé les gens, et que il était devenu vieux.
Je qualifierais cette nouvelle de réaliste parce qu'elle parle de la vieillesse ce qui touche tout le monde, tout le monde fini par vieillir.
La fin n'est pas attendu car il aurait très bien pu rester sur l'histoire d'amour qu'il a vécu avant de partir en Amérique sans jamais la revoir. Cependant cette fin reste ouverte car cela arrive de retrouver un amour de jeunesse après plusieurs années passés.
Oui je recommande cette nouvelle à mes camarades car je la trouve mignonne et qu'elle nous concerne tous.
Célia B. 

13 mars 2013

Le baiser

La date de parution est le 14 novembre 1882

Les personnages principaux sont la petite nièce de Collette, son mari et Colette

Le lieu se déroule en partie dans la maison de la petite nièce de Colette, mais sinon comme on parle de baisez, il n'y a aucun endroit fixe.

Le mari de la petite nièce de Colette l'abandonne et en ne sachant plus quoi faire face au manque que lui procure son mari, elle écrit à sa grande tante Colette qui lui explique que les baisers sont un art dont il ne faut pas abuser et dont on n'est pas obligé d'apprécier, mais que l'amour est délicat.

Ce paragraphe est réaliste, car c'est une nouvelle sur notre vie, qui est réelle et non inventé.

Oui la fin est attendue. C'est une fin fermée, car elle a fini de donner son point de vue.

Oui je le recommanderai à tous ceux qui aiment les histoires ou les poésies d'amour, car elle est très enrichissante sur ce sujet et je l'ai personnellement beaucoup aimé.

A. LINA

L'Aveugle

 

  • L'aveugle est une nouvelle de Guy de Maupassant parue le 31 mars 1882 dans la revue Le Gaulois, puis dans le recueil Le Père Milon en 1889. La nouvelle se déroule à la campagne et le personnage principal est un fils de paysan aveugle, dont on ne connait pas le nom, devenu le soufre-douleur de son entourage.
  • Le narrateur raconte la vie misérable d'un paysans aveugle. L'aveugle avait vécu à peu près convenablement, jusqu'à la mort de ses parents. Mais à leurs mort, il fut receuilli par sa soeur et devint très vite le soufre-douleur de la famille. Ils lui donnaient à regret la soupe, juste assez pour qu'il ne mourût point et lui reprochaient son inutilité. L'aveugle n'avait connu aucune tendresse et ne réagissait jamais sous l'injure. Après manger, il ne remuait plus jusqu'au soir, il ne faisait pas un geste, pas un mouvement, se qui avait le don d'exasperer son entourage. Pour divertir et amusé les voisins, la famille de l'aveugle organisait des petits spectacles où l'on fit de ses repas des heures de plaisir pour les invités et de supplice pour lui. Ils lui faisait mâcher des bouchons, du bois, des feuilles ou même des ordures, qu'il ne pouvait distinguer à cause de son horrible infirmité. Voyant qu’il ne réagissait pas, la famille se lacèrent de ces plaisanteries, le gifla et le frappa sans cesse. N'importe qui avait le droit de le frapper, meme le personnelle de maisons s'y mettaient. Le misérable ne savait où se cacher et avait sans cesse les bras étendus pour éviter les coups. Ensuite, ils l'obligea à mendier. Son beau-frère l'emmenait sur les routes les jours de marché dès le lever du soleil, et il venait le chercher à la tomber de la nuit. Mais l'aveugle ne rapportait pas un sou. Finalement, un hiver, son beau-frère l'emmena très loin de la ferme pour mendier et ne revint pas le chercher à la tomber de la nuit, affirmant aux autres qu'il ne l'avait pas trouvé. Après de longues heures d'attente, saisi par le froid, se sentant mourir l'aveugle s'était assis au milieu d'une plaine et ne se releva plus. Son cadavre sera retrouvé à moitié dévoré à la fin de l’hiver. Les oiseaux lui avaient dévoré les yeux.
  • Ce récit est réaliste, car on entend souvent dans les journaux que des personnes handicappées sont maltraitées par leurs proches, car souvent ils ne peuvent pas se défendre à cause de leurs handicape.
  • La fin est bien attendue, car la famille de l'aveugle ne s'est jamais cachée qu'ils voulaient se débarasser de lui, et la dernière phrase du récit est : "Sa mort fut un soulagement pour tous ceux qui l'avaient connu".
  • La fin est fermée car l'aveugle est mort et sans le personnage principal, le récit ne peut plus continuer.
  • Ce qui ma plu dans ce récit, c'est le fait que le texte n'était pas très long et plutôt facile à comprendre, mais je ne recommande pas cette nouvelle à un de mes camarades de classe, car cela ne ma pas interessée et ma fait perdre mon temps, car je m'attendais à cette fin tragique.
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                                                                                                                                                                                                                    K. DIREN, 2nde4

                                                                                            

    12 mars 2013

    Comment on cause

    • publié le 29 novembre 1887
    •  personnages principaux : il y a Mme A , Mme B , M C , M D et M E

    •  Lieu: la scène se passe autour d'une table à thé dans un salon.
    •  résumé:
      Mme A et B et M C,D et E sont réunis autour d'une table à thé . Ils parlent des femmes qui trompent leurs maris , ils colportent les ragots entendus et débattent de ce sujet.

    •  Ce récit est réaliste car c'est une discussion qui peu avoir lieu dans la vie réelle. Qui n'a jamais entendu une conversation pareil ?

    •  En fait l'histoire est coupée net par un aveu particulier de Mme A. C'est une fin fermée car aucune suite ne peut être envisagée. De plus la fin est inattendue car ils parlent de tromperie et finalement Mme A dit qu'elle ne trompe pas son mari mais seulement quant il l'embrasse elle pense à quelqu’un d'autre.

    • Je ne recommande pas cette nouvelle. Je l'ai trouvé ennuyeuse du fait que le sujet " la tromperie " ne nous attire pas a cause de notre jeune âge.
      A. rachel

    10 mars 2013

    amour

    Amour est une nouvelle de Guy de Maupassant publiée en 1886,dont les personnages principaux sont Karl de Rauville et son cousin . la scène se déroule dans une  forêt.

      En lisant son journal le narrateur prend connaissance d'un fait divers: un crime passionnel. Cette histoire lui remémore un souvenir de jeunesse partagé avec son cousin karl .A cette époque  les deux jeunes hommes étaient passionnés par la chasse et avaient entrepris par une nuit d'automne glaciale , fusil a l'épaule de partir a l' affût des palmipèdes afin de les chasser. Tout au long de la nouvelle le narrateur décrit son amour de la nature appréciant chaque sensation cutanée que les éléments naturelles lui procurent. Le conteur voue une véritable passion pour l'eau, les marais qu'il se plait a détailler tout au long de la nouvelle. Au petit jour alors que les deux jeunes hommes songeaient a partir ils virent tournoyer une sarcelle au dessus de leur tête que le narrateur n’hésista pas à abattre . alors que l'oiseau femelle était au sol le narrateur se rendit compte que le mâle continuait a tourner autour d'eux et a gémir signifiant ainsi sa détresse et son désespoir d'avoir perdu sa moitié . Le narrateur n'aurait jamais pu imaginer qu'une telle souffrance était possible de part d'une simple bête. Ce dernier éprouvant des remord au vue cette scène terrible son cousin karl n'hésita  point a abattre froidement le mâle au désespoir . 

    • je qualifierais cette nouvelle réaliste car les chasseurs se disent souvent passionné par la nature sans que cela les empêche d'abattre des animaux sans raison valable .
    • la fin n'était pas attendu car je pensais que Karl n'allait pas abattre la bête ,j étais même sure qu'il allait avoir le même sentiment que le narrateur au moment ou il éprouvait des remords .
    • la fin est assez ouverte car on  peut imaginer que les deux chasseurs peuvent tirer une leçon de cette journée et nous n’envisagerons plus jamais leur journée de chasse de la même façon . 
    • cette nouvelle était très intéressante car j'ai pris du plaisir à la lire.Je dirais même qu'il m'a un peu ému par le faite de voir que même des animaux peuvent éprouver quelques choses,voir un sentiment fort tel que l'amour .

    07 mars 2013

    ''Ce cochon de Morin ''

       Je me glissai entre mes draps, très contrarié, très agié, et très penaud, sachant bien que je ne dormirais guère, cherchant quelle maladresse j'avais pu commettre, quand on heurta doucement ma porte.
        Je demandai : "Qui est là ?".
        Une voix légère répondit : "Moi".
        Je me vêtis à la hâte ; j'ouvris ; elle entra. "J'ai oublié, dit-elle, de vous demander ce que vous prenez le matin : du chocolat, du thé, ou du café ?".
        Je l'avais enlacée impétueusement, la dévorant de caresses, bégayant : "Je prends... je prends... je prends...". Mais elle me glissa entre les bras, souffla ma lumière, et disparut.

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    04 mars 2013

    Apparition de Guy Maupassant

    Apparition publié  dans  le Gaulois du  4 avril 1883 puis  publié  dans  le recueil  Claire de  Lune. Dans cette  nouvelle  nous avons   trois  personnages  principaux , tout d' abord  il  y a  le vieux  marquis  de  la Tour-Samuel dont  le personnage  qui raconte  son expérience donc l'  histoire  ensuite  il y a  son ami mystérieux que  l'on connait  pas  le  nom et  cette fameuse  femme  fantôme  que  je  suppose  que c 'est  la  femme de  son ami.
    L'étrange  expérience  du vieux  marquis de la Tour-Samuel se  passe  en  1827 au  mois de juillet dans  un château environ à cinq lieue de Rouen .
    C ' est l' histoire  du vieux marquis  qui rencontre  son vieux ami complètement par hasard  ,  son ami lui expliquant sa terrible  histoire dont  la mort de sa  femme  ensuite  son ami lui demanda  un service  qu'il accepta pour  lui faire  plaisir . Le  jour après cette  rencontre  il alla dans  le château  monta dans  la chambre  pour prendre ce qu'il devait  prendre  et  il fut  victime d'une  étrange expérience  qui le hanta toute  sa vie  .


    • ce récit  est  un récit  fantastique  car  il est  basé  sur  une chose irréelle . Cette  semble  incroyable que  le lecteur est  plongé  dans  un profond doute  ,  le personnage  raconte  son histoire  avec une  incroyable sincérité il parait réellement effrayé , hanté par  cette  expérience  qu'il a pu subir  "obsession de sa vie " .Le  personnage évolu beaucoup pendant  cette  nouvelle  il est effrayé  parce qu'il est pas rationnel dont  tout ce qui est surnaturel et  ce que  l'on  peut pas  expliquer . Et  aussi  par rapport à la description de  la femme   plutôt  assez  normal une femme au  long cheveux  noirs  habillée d'une robe  blanche  mais  ce qui la rend  surnaturel  c 'est  que  le fait  qu'elle  soit  glacée  et  aussi  le  fait qu'elle  disparaît  soudainement  dans  l'armoire  sans  laisser  de trace  et  l' armoire  se  retrouve  fermée  à  clé alors qu'au départ elle  était  entrouverte . 
    •  je  pense que  la fin pour la femme fantôme était attendue  dans  le  sens qu'elle apparaisse  d'un coup et qu'elle disparaisse de la même façon  mais ce qui  m' a surpris c' est  la disparition sans  explication de son ami ..
     oui  je  la  recommanderais  bien à  un camarade  de  ma classe  car  je trouve que cette  nouvelle  est  intéressante ,  elle  nous plonge  dans  un doute  incroyable  on se laisse vraiment  prendre  par l' histoire car  on se met  réellement à  la  place du  personnage donc  je  pense  qu'elle vaut  vraiment  le coups d'être  lu.
     Julia G. 

    Cri d' Alarme

    Cette nouvelle de Maupassant a été publiée le 23 Novembre 1886 (Dans l' ancien quotidien Gil Das et ensuite dans Contes Divers(1886)).
    Elle est écrite sous forme d' une lettre dont l' action se déroule à Paris et met en scène trois personnages : L'auteur de la lettre(Le narrateur), sa maîtresse et Mme de X.



    La maitresse du jeune auteur voulant se «griser» lui demande de dîner chez lui.

    Après avoir bien bu et s' être enivrée, elle lui fait des confidences sur son mari et sur les hommes avec qui elle a eu des relations. Elle lui avoue aussi qu'elle l' a voulu comme amant dès qu'elle l' a vu la première fois, mais qu'elle a failli s' en lasser à cause de l' attente.

    Pour elle il y a 2 sortes d' hommes: Les timides (comme le narrateur) qui finissent par lasser les femmes et les Entreprenants qui sont attrayants pour celles-ci car il faut y faire attention.

    Le narrateur, curieux, lui demande si elle a souvent été embrassée, sa maitresse pleine de mépris lui répond que toutes les femmes l'on souvent été et qu'il n' a qu'à essayer avec Mme de X.

    Ensuite, sous l'emprise de l' alcool son amante fait une crise de nerf et entreprend de dévaster le salon.

    Quelques jours plus tard, L' auteur ne pense plus aux confidences de sa maitresse, quand soudain, durant une soirée, il rencontre Mme de X. Il la raccompagne chez elle, et après quelques tentatives de la charmer, il essaye de l'embrasser. Elle le repousse car elle veut faire attention à sa coiffure («on embrasse pas une femme avec une coiffure comme la mienne»)

    L' auteur avoue à la fin de sa lettre qu' il se demande que font les hommes entreprenants avec les femmes.

    Je qualifierais cette nouvelle de réaliste car elle n' est pas basée sur quelque chose d' irréelle ou de fantastique. Elle ne contient que des choses possibles dans la vie courante et est présentée sous forme d' une lettre ce qui renforce ma conviction que cet écrit est réaliste.

    La fin est inattendue car après les confidences que lui avait faites sa maitresse, je pensais que l' auteur réussirait à embrasser Mme de X. Cependant, la fin est ouverte: on peut imaginer qu' il reverra Mme de X sans sa coiffure sophistiquée et qu'elle se laissera embrasser cette fois ci. (son refus n' était pas définitif)

    Je ne recommanderais pas cette nouvelle car elle m'a ennuyée. Ce n' est pas le genre de littérature que j'apprécie habituellement et donc je peux difficilement y donner un avis positif.

    Yanis M. 2°4 

    03 mars 2013

    La Chevelure

    La Chevelure (13 mai 1884)

    Le personnage principal est un collectionneur dont on ne connait pas le nom.

    C'est le journal d'un collectionneur qui est lut par une personne qui lui rend visite dans l'asile où il a été interné. Ce collectionneur, bourgeois célibataire, est obsédé par les meubles anciens et plus particulièrement par leurs histoire et leurs anciens propriétaires. Il achète un jour, un meuble qui le fascine. Les jours passent et il a presque l'impression de lier une relation avec cet objet. Puis, il découvre une cachette dans un tiroir, dans laquelle se trouve une tresse de cheveux blond qui appartenait a une femme, il y a très longtemps. Il se pose alors de nombreuses question sur l'histoire de cette relique. Pendant des mois, il garde cet objet précieusement. Mais un soir, il croit voir le fantôme de la propriétaire des cheveux dont il tombe fou amoureux. Il amène ça tresse partout avec lui, comme ça maitresse. Mais quelqu'un découvre cette relation peut commune et le collectionneur fini dans un asile.

    Je qualifierais cette nouvelle de fantastique et de réaliste, car on ne sait pas si il a réellement vu la revenante ou si il est fou. Mais je pencherais plus vers le fantastique, car il a une preuve matériel pour son histoire.

    La fin me semble inattendue, car je pensais que la tresse était inventée par le collectionneur. On peut penser que le visiteur va lui aussi succomber au charme de ce que peut représenter cette tresse, puisqu'il repart avec, cette fin est donc ouverte.

    je recommande de lire cette nouvelle, qui m'as paru très intéressante, et qui laisse, à la fin, libre cours à l'imagination. De plus, ce texte est court et très facile a lire.

    M. Ysalis 2nde4

    28 février 2013

    Autres Temps

    Ce texte fut publié le 14 juin 1882 dans le quotidien Gil Blas, il a été écrit par G. Maupassant sous son pseudo Maufrigneuse.

    Cette oeuvre est constituée de deux parties : dans la première on nous raconte comment les gentilhommes dépouillaient leurs maîtresses de leur argent. Cette partie de la nouvelle se passe dans le monde entier. Dans la seconde partie, il y a un procès entre une vieille femme et un jeune homme qu'elle a élevée, a qui elle a donné une ferme, en échange de faveurs du garçon, mais puisqu'il la délaisse elle veut récupérer son bien. L'histoire a pour cadre un tribunal de Normandie.

    Ce récit me parait réaliste et moderne. Cela était courant que des jeunes hommes ou des jeunes filles vendent leurs faveurs et leurs compagnies aux personnes âgées et aisées. La fin de cette nouvelle était assez évidente car la vieille femme a tort, même le tribunal l'a reconnu. Cette fin est ouverte car la plaignante peut revenir au tribunal et faire appel pour récupérer sa ferme.

    C'est une oeuvre courte, moderne et une bonne leçon de morale.

    Mélusine M. 2°4

    Consignes pour être un bon critique

    Voici un rappel des consignes indispensables pour rédiger votre billet de blog en tant que critique d'une nouvelle de Maupassant

    Que mettre dedans ?

    ·         Le titre de la nouvelle en titre du billet.

    ·         Date de parution de la nouvelle :

    ·         Personnage(s) principal(ux) :

    ·         Lieu où se déroule la nouvelle :

    ·         Résumé de la nouvelle. 

    ·         Comment qualifieriez-vous ce récit ? De réaliste ? De fantastique ? Autrement ? Expliquez pourquoi en un paragraphe argumenté s’appuyant sur la nouvelle.

    ·         La fin semble-t-elle attendue ou non ? Ouverte ou fermée ? Expliquez pourquoi.


    Le recommanderiez-vous à un camarade de classe ? Pourquoi ?

     

    N.B. : Les informations pour se connecter sur le blog en tant qu'auteur se trouvent sur la fiche support donnée en cours. Une fois votre billet écrit, n'oubliez pas de vous déconnecter de l'administration du blog.


    27 février 2013

    Billet de test

    Pour marquer l'ouverture du blog devant rendre compte de la lecture de l' "ABC Maupassant", c'est-à-dire de toutes les nouvelles de Maupassant dont le titre commence par A, B ou C par les élèves de 2ndes 4 et de 2nde7 du lycée G. Monod d'Enghien. 

    01 janvier 1970

    Le colporteur

    • Date de parution de la nouvelle: Le 8 mars 1893 (dans le Figaro)
    • Personnages principaux: Le narrateur et le colporteur
    • Lieu où se déroule la nouvelle: Près d'Asnières sur une route isolée
    • Résumé rapide de la nouvelle:

    J'errais seul, cet été, sur un chemin savoyard qui domine la rive droite du lac du Bourget. Je me dirigeais vers Paris lorsqu'un homme sortit d'un bosquet qui enferme le village de Saint-Innocent. Il portait un lourd fardeau. Nous fîmes connaissance rapidement sur le chemin car je suis resté avec lui tout au long de son trajet. En effet, les routes n'étaient pas sûrs à cette heure tardive et il me demanda de l'accompagner jusqu'à chez lui à Asnières. Sa profession était colporteur. Il voyageait beaucoup pour présenter et vendre quelques marchandises de son magasin. Nous arrivâmes alors chez lui et il m'invita à boire un verre de vin avec lui. Puis je repartis vers ma destination, Paris.

    • Je qualifierai ce récit de réaliste car dans le temps, les marchands voyageaient beaucoup pour vendre leurs marchandises dans plusieurs pays. Les voleurs et les pilleurs existaient de même ce qui montre que ces éléments sont plutôt réalistes et dans cette nouvelle, la profession de marchand est remplacé par colporteur.
    • La fin semble attendue car on connaît depuis le début que le narrateur se dirige vers Paris et à la fin il repart du domicile du colporteur pour se rendre à Paris.
    • Je ne recommanderai pas cette nouvelle à mes camarades car cette histoire est, je trouve, peu passionnante et qu'il ne se passe donc pas grand chose dans ce récit mis à part la rencontre d'un colporteur.

    Audrey L.

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