L'Aveugle

 

  • L'aveugle est une nouvelle de Guy de Maupassant parue le 31 mars 1882 dans la revue Le Gaulois, puis dans le recueil Le Père Milon en 1889. La nouvelle se déroule à la campagne et le personnage principal est un fils de paysan aveugle, dont on ne connait pas le nom, devenu le soufre-douleur de son entourage.
  • Le narrateur raconte la vie misérable d'un paysans aveugle. L'aveugle avait vécu à peu près convenablement, jusqu'à la mort de ses parents. Mais à leurs mort, il fut receuilli par sa soeur et devint très vite le soufre-douleur de la famille. Ils lui donnaient à regret la soupe, juste assez pour qu'il ne mourût point et lui reprochaient son inutilité. L'aveugle n'avait connu aucune tendresse et ne réagissait jamais sous l'injure. Après manger, il ne remuait plus jusqu'au soir, il ne faisait pas un geste, pas un mouvement, se qui avait le don d'exasperer son entourage. Pour divertir et amusé les voisins, la famille de l'aveugle organisait des petits spectacles où l'on fit de ses repas des heures de plaisir pour les invités et de supplice pour lui. Ils lui faisait mâcher des bouchons, du bois, des feuilles ou même des ordures, qu'il ne pouvait distinguer à cause de son horrible infirmité. Voyant qu’il ne réagissait pas, la famille se lacèrent de ces plaisanteries, le gifla et le frappa sans cesse. N'importe qui avait le droit de le frapper, meme le personnelle de maisons s'y mettaient. Le misérable ne savait où se cacher et avait sans cesse les bras étendus pour éviter les coups. Ensuite, ils l'obligea à mendier. Son beau-frère l'emmenait sur les routes les jours de marché dès le lever du soleil, et il venait le chercher à la tomber de la nuit. Mais l'aveugle ne rapportait pas un sou. Finalement, un hiver, son beau-frère l'emmena très loin de la ferme pour mendier et ne revint pas le chercher à la tomber de la nuit, affirmant aux autres qu'il ne l'avait pas trouvé. Après de longues heures d'attente, saisi par le froid, se sentant mourir l'aveugle s'était assis au milieu d'une plaine et ne se releva plus. Son cadavre sera retrouvé à moitié dévoré à la fin de l’hiver. Les oiseaux lui avaient dévoré les yeux.
  • Ce récit est réaliste, car on entend souvent dans les journaux que des personnes handicappées sont maltraitées par leurs proches, car souvent ils ne peuvent pas se défendre à cause de leurs handicape.
  • La fin est bien attendue, car la famille de l'aveugle ne s'est jamais cachée qu'ils voulaient se débarasser de lui, et la dernière phrase du récit est : "Sa mort fut un soulagement pour tous ceux qui l'avaient connu".
  • La fin est fermée car l'aveugle est mort et sans le personnage principal, le récit ne peut plus continuer.
  • Ce qui ma plu dans ce récit, c'est le fait que le texte n'était pas très long et plutôt facile à comprendre, mais je ne recommande pas cette nouvelle à un de mes camarades de classe, car cela ne ma pas interessée et ma fait perdre mon temps, car je m'attendais à cette fin tragique.
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                                                                                                                                                                                                                    K. DIREN, 2nde4

                                                                                            

    Commentaires

    1. Le 17 mars 2013, 13:28 par Amandine P.

    Une nouvelle tragique de toute évidence, je suis assez émue pour l'Aveugle car ce qu'on peut lire entre ces lignes est assez cruel. Je ne pense donc pas lire cette nouvelle. Mais c'est un bon résumé.