15 février 2013

le chevalier cachée

       Après avoir était humiliée à la fête de la Pentecôte, Béatrix en profita  pour s’enfuir. Elle prit son cheval, ses armes, et s’en alla dans la forêt.  Elle erra dans les bois pendant trois jours. Quelques jours plus tard, elle aperçut un royaume. Béatrix ignorait à qui il appartenait mais décida de s’y rendre. Pendant que Béatrix le visitait, elle entendit une annonce faite par un jongleur : « Tous les chevaliers sont invités au tournois  par le comte de Blois. Que tous se  voulant y participer ce rendent dans la grande place au lever du soleil, il y aura une grande  récompense attribuée au gagnant ». Béatrix était très contente à l’idée de participer à ce tournois car elle adorait se battre, et puis il y avait une récompense et personne ne savait  ce que cela allait être; c’est ce qui la motiva encore plus.     

     Le lendemain matin, aux premières lueurs du soleil,  Béatrix se rendit sur la grande place. Il y avait foule. De nouveau elle entendit une annonce : «Tous les chevaliers présents doivent en premier lieu passer l’épreuve suivante : vous devrez réussir à casser une bûche de bois pour pouvoir  participer à la suite». Béatrix était très angoissée de ne pas réussir.   En plus de cela, tous ses adversaires semblaient si forts. Quand ce fut à son tour de casser la bûche, elle s’avança puis elle leva une main vers le ciel, comme pour demander une aide divine, et mit toutes ses forces dans son geste. Béatrix frappa la bûche avec une telle  violence quelle se cassa en deux. Tout le monde était très impressionné. Quelques heures plus tard, tous les participants étaient passés et seul vingt personnes avaient réussi.
     

       La deuxième épreuve consistait à arriver dans les cinq premiers devant la cathédrale de Bénévent, en partant de la grande place de Beaulieu, ce qui faisait une très grande distance à parcourir. Tous les coups étaient permis. A la ligne de départ, Béatrix aperçut un chevalier qui n’arrêtait pas de la regarder depuis le début du tournoi, mais pour l’instant, le plus important pour Béatrix, c’était de ne pas perdre son casque pendant la course. Au risque de dévoiler son identité et ainsi d’être mise au cachot.
Quand le signal de départ fût donné par le jongleur, tous les chevaliers piquèrent leurs chevaux avec leurs éperons et partirent à toute vitesse. Dans une ruelle, Béatrix aperçut deux chevaliers qui se battaient à l’épée, alors elle en profita pour prendre de l’avance, mais malheureusement le chevalier qui l’observait apparut de nulle part et se jeta sur elle. Ils tombèrent tous les deux de leurs montures. Puis le mystérieux chevalier sortit son épée et Béatrix fit alors de même. Elle remarqua que son adversaire visait sa tête alors elle la protégeait du mieux qu’elle put, mais l’un des coups du chevalier avait réussi à atteindre son casque. Alors les cheveux roux de Béatrix se dévoilèrent, mais heureusement son visage , lui,  resta couvert. Le chevalier la regarda attentivement puis remonta sur son cheval sans dire un mot. Béatrix se demanda s’il n’avait pas reconnu la femme qui se cachait derrière le casque. Elle remonta à cheval et se dirigea vers la cathédrale. Elle arriva troisième. Le premier arrivé était ce mystérieux chevalier qu'elle avait affronté. Maintenant il ne restait plus que cinq chevaliers.
      

     Pour la troisième épreuve, les cinq chevaliers devaient sauter par-dessus un fossé très profond avec leurs chevaux. La légende disait que celui-ci était habité par une créature sauvage, et que jusqu’à ce jour une  seul personne avait réussi à le traverser. Tous les chevaliers étaient passés mais n’avaient malheureusement pas réussis sauf le mystérieux chevalier. Il ne restait plus que Béatrix. Elle monta sur sa monture et se dirigea vers le fossé,  puis elle ferma les yeux et son cheval sauta par-dessus, elle avait à peine ouvert les yeux quelle entendit la foule applaudir et crier de joie. Elle comprit alors qu'elle avait réussi la troisième épreuve.

    

       La dernière épreuve  opposait Béatrix et le mystérieux chevalier était celle de la joute. Tout était enfin prêts pour l’épreuve finale, les deux chevaliers entrèrent dans l’arène et montèrent sur leurs montures. Lorsque le signal de départ fut donné, Béatrix et  le mystérieux chevalier avancèrent à toute vitesse l’un vers l’autre avec leurs lances à la main. Béatrix frappa l’armure de son adversaire tellement fort quelle se détacha de la tête au pied même le heaume se brisa. Personne n’applaudit, car ce mystérieux chevalier était en réalité un vieil homme qui devait avoir une soixantaine d’années. Il avait une peau toute ridé, des cheveux blancs crépus et secs, ses yeux étaient ronds et de couleur vert pomme, il avait un dos bossus, un énorme nez aplatit et d’une voix rauque il dit : «Je suis vieux certes, mais ce chevalier est une femme  donc la récompense me revient de droit ». Soudain une voix s’éleva dans la foule, c’était le comte de Blois qui s’exclama : « La récompense de ce tournois était de prendre ma place à la tête de ce royaume, désormais je suis trop vieux pour régner, mais il est hors de question   de confier mon royaume à une personne plus âgée que moi, et encore moins à une fille.  Pouvez-vous enlever votre heaume s’il vous plait, pour pouvoir être sûr de votre véritable identité ». Le comte de Blois avait à peine prononcé ces mots à Béatrix qu’ont l’aperçu s’en aller dans la forêt pour de nouvelles aventures.
 

le produit glissant...

C’était un jour de pluie, le chevalier Arthaud de Belle Garde, à l'allure fière,

et beau comme un prince, il était grand, musclé, aux cheveux blonds et bouclés.

Il allait aujourd’hui combattre contre un ennemi imbattable, féroce, et intrépide: Thibaut De Sombreval.

Le chevalier Arthaud se préparait, il mettait son armure: ses gants, son heaume,

son haubert, ses jambières, il prit son épée, et en deux, trois minutes,

il fût prés pour combattre. Pendant ce temps, Thibaut faisait un piège à son adversaire: il mit un produit glissant par-terre, puis, Thibaut se demanda comment est-ce qu'il allait agir.

Il eut une idée: il laissera Arthaud s'avancer vers lui, puis, son cheval glissera, et Arthaud tombera, et Thibaut le tuera.

Donc, le combat eu lieu. Arthaud s’avança vers Thibaut,mais il ne tomba pas.

Thibaut fût prit de panique, car pensant qu'Arthaud tomberait, il n'avait pas mit d'armure sur lui, ni sur son destrier.Puis Arthaud rigola car c’était Merlin qui était dans l’arène pendant que Thibaut mettait le produit glissant au sol, donc, il donna des chaussures magiques à Arthaud, puis il les mis aux pattes du cheval.

Arthaud fonça vers Thibaut, puis il lui trancha les deux bras, les deux jambes, puis, enfin, la tête. Et Arthaud fût le fidèle chevalier du château.

Fin.

Le combat de Philibert

 

       Dans une forêt près d'un lac, un chevalier appelé  Philibert de Clairefontaine accompagné de son écuyer Gontran, tout-deux se reposaient  auprès du Lac. Quand soudain ! Un chevalier mystérieux s'approcha d'eux , en le voyant ce chevalier avait un air remplit de haine, ce chevalier cria ;" Lève-toi assassin et affrontons nous ! "  Dit le chevalier à Philibert . Philibert étonné de leva pour parler du mal-entendue au chevalier. Aussitôt que Philibert se soit levé, l'autre chevalier monta sur son cheval aidé de son écuyer  .

 Philibert n'ayant aucune solution que de combattre, il enfila son armure et monta aussi sur son cheval , les deux hommes prirent  chacun une lance, puis le chevalier qui a voulue l'affrontement  se présenta avant le combat     : " Je me nomme Edmond de Sombreval . Edmond  de Sombreval est un chevalier qui vient du village d'Aiglemont. Ce village est assez riche, il est réputé pour sa bonne fortification . Plusieurs village ennemi ont éssayé  de le détruire mais grâce aux chevaliers d'Aiglemont il n'a jamais été détruit  . Edmond de Sombreval a une assez courte chevelure brune , un nez droit, des lèvres couleurs  vermeil, un joli visage, un cou droit ,un air maussade, des bras assez gros, un torse robuste et athlétique, des jambes vigoureuse et solide et un corps musculeux,robuste et athlétique . Les deux hommes se foncèrent dessus d'une violence à coupé le souffle, que au moment du choc la lance de Philibert donna un coup si puissant à Edmond qu'il en tomba de son cheval . Philibert descendit de son cheval et se fut un combat d'épées, Edmond tout secoué de d'une tel chute  s'énerva et sortit son épée Philibert sortit son épée et l'affrontement reprit mais avec les épées, ils s'échangèrent des coups si terribles qu'ils transpercent à la fois leur écus et leur haubert se démaillèrent se fut un combat si rude qu'ils se ravissent des flots de sang . Car la vigueur de leurs assaut mit leurs haubert en si piteux état, puis Edmond baissa sa garde et Philibert en profita pour lui donner le coup de grâce donc il frappa d'estoc à la jambe d'Edmond. Après une tel action se fut la fin du combat, Philibert à gagné.

Edmond de Sombreval demanda le nom de son opposant , Philibert répondit :" Je me nomme  Philibert de Clairefontaine ." :" Comment ! Tu ne te nomme pas Galaad  de Sombreval !" S'étonna  Edmond. :" Pourquoi ." Demanda Philibert. :"Ce chevalier est mon frêre,mais il a tué ma bien-aimé et on ma dit qu'ils est passé par ici ! Excusez ma  maladresse!" Dit Edmond, :"Ce n'est pas grave." Rétorqua Philibert. Comme Edmond était gravement blessé , son écuyer l'emmena pour se faire soigner .Les deux chevaliers se dirent adieu.

                                                            FIN  

14 février 2013

Le combat de Garin du Lac


 

   C’était un beau jour de printemps, ensoleillé, mais Garin ne s’arrêtait pas pour autant de s’entrainer à l’épée et à jouter. Il parcourait la forêt sur son brave destrier quand il rencontra un faible paysan, assez âgé qui était assez grand, roux, et avec de grands pieds très larges; il était en balade sur son palefroi, Garin l’interpella :

 -Bonjour, dit Garin, je ne vous ai jamais vu ici, que faites-vous ?

-Ca ne se voit pas ? Je me balade sur mon palefroi et puis, d’ailleurs, part de la, ici c’est mon territoire, répondit le paysan.

-Ici, ce n’est pas plus chez toi que chez moi, répliqua Garin, si tu veux rester ici seul, alors il faudra me battre à l’épée vu que ton cheval n’est pas un cheval de bataille.

-Mon cheval est tout à fait capable de combattre, rétorqua le paysan.

-Alors commençons le combat, dit-Garin.

   Les deux hommes se préparèrent, le paysan n’avait point d’armure, Garin fut serviable et lui en prêta une, qu’il avait gagné au comte de Champagne lors d’un terrible duel.

   Quand le paysan fut prêt, les deux hommes s’élancèrent et Garin commença à attaquer et d’un coup, il brisa sa lance en deux mais l’armure du paysan n’eut guère de fissure. Le paysan tomba tout de même de son cheval ce qui fut plaisir à Garin car il n’avait pas envie de se battre avec un bout de bois. Garin, étant un preux chevalier, descendit de son cheval et sortit son épée. Le paysan fonça sur Garin en essayant de lui porter des coups sur le plastron mais Garin se défendit en essayant de toucher le haubert de son adversaire. Garin fut étonné du courage de son adversaire car il combattait en s’engageant et en prenant des risques.                                                                                                                                                           

   Les deux combattants se donnaient de si terribles coups qu’on aurait pu entendre le son des épées touchant les armures à dix kilomètres à la ronde. Garin se faisait dominer par un vieux paysan qui le frappait de plus en plus fort. Puis Garin fou de rage et en sang, avec des entailles dans le pied, sauta et donna un terrible coup sur le casque de son adversaire qui fut brisé. Le paysan tomba au sol, à moitié assommé et en sang se releva puis asséna un coup sur le bras de Garin, avant de tomber, mais cette fois sans se relever. Garin partit sans rancœur sur son destrier, laissant à terre le vilain qui ne se relèvera jamais et qui mourut dans « son territoire. »

le tournoi de Bretagne

                                                  LE TOURNOI DE BRETAGNE

Ce matin au château, la cour se prépare pour le grand tournoi annuelle. Guilhem lui aussi se prépare ; il ne veut surtout pas manquer ce grand événement. Il a fait entièrement nettoyer son armure ; du heaume aux solerets et ses armes ; son épée, son écu et sa lance. Il veut être parfait car la récompense n’est pas simple broderie, bourse ou même chevalets. Le vainqueur des épreuves aura le privilège et l’honneur d’affronter Arthur le roi.

Le tournoi va bientôt débuter. Aucuns chevaliers ne manque à l’appel et Arthur commence son discours :                                                                                                  « _ Aujourd’hui est un grand jour pour nous. Les chevaliers les plus vaillants du royaume de Bretagne se sont donnés rendez-vous en ce lieu. Il sont venue de loin pour participer : de Bourgogne, du compté de Hainaut d’Anjou mais aussi de Basse Loraine. Parmi ces participants se dissimulent de grande personnalités :  Gauvain, Tristan, Perceval,Yvain, Lancelot et bien autres. »

 

La première joute oppose Guilhem de Boutefeu à Godefroy dit Tailleferre. Guilhem monte sur son coursier et Godefroy en fait autant. Les deux chevaliers sont prêt à foncer l’un sur l’autre. La les trompettes retentissent, les deux cavaliers s’élancent, abaissent leur lance et se percutent violement. Mais Guilhem réussit finalement à désarçonner son adversaire, il descend alors de son cheval et les deux hommes brandissent leur épée et se rue l’un sur l’autre. Alors une lutte sans merci et sanglante s’engage. Leur heaume s’envole et leur haubert commence à se fissurer. Les coups sont essentiellement portés à la tête, au ventre et à la poitrine. Guilhem donne des coups à la fois puissant et rapide que Godefroy réussit souvent à parer. Mais ceux-ci sont si violent que son haubert part en éclat accompagné de sang. Malheureusement Guilhem est à bout de force tous comme Godefroy ; ils ont perdue trop de sang, n’ont plus de protection et ne tiennent presque plus debout tellement leurs jambes ont reçue de puissants coups. Guilhem profitant d’un moment d’inattention de son adversaire s’abat sur lui et lui assène un coup d’épée. Godefroy chancèle puis s’effondre à terre. Guilhem gagne mais perd connaissance suite à ses blessures. Il ne pu continuer le tournoi.

Lancelot gagna le tournoi et vaincu Arthur. 

                                                                                                                                                FIN.

 

Le combat d'Aymeric

   Aymeric partit donc avec quatre autres chevalierssur le chemin qui serpentait les terres et les forêts vers l'entre de la bête.Pendant son voyage, il rencontrit plusieurs voleurs mais il gagnait à chaque fois.C'est alors qu'il rencontra un minotaure .Il leurs dit:"Approchez, je ne vais pas vous manger!"

    Aymeric sentit aussitôt le danger et engagea le combat. Deux des chevaliers qui l'accompagnaient furent jetés au solpar le minotaur enragé. Aymeric fonça  dans la bataille, lanc au point et entailla la cuisse du monstrequi rugit. Il se retourna et avec sa massue, fracassa la jambe du cheval de notre hérosqui roula à terre pour défendre sa monture bléssée. Armé d'une masse, il escivait les coups rageux de son adversaire.      Les deux autres chevaliers vinrent lui porter secours. Ils plantèrent leurs épées dans le dos de la bête,qui, en se retournant,frappa à la tête un des deux chevaliers;se qui brisa son heaume et fut désarçonné. Aymeric donna alors un coup fatal d'une grande violence dans le crâne du minotaure qui s'écroula à terre dans un bruit sourd. Aymeric avait gagné mais eu une apperçut du voyage qui l'attendait.

FIN

13 février 2013

REDACTION SUR LE COMBAT D’UN CHEVALIER

Au château de Camelot, Roland s’ennuyait.  Il avait soif d’aventures. Il fit ses adieux au roi Arthur et partit sur son fidèle destrier avec son écuyer.

 

         Le soir, après avoir chevauché toute la journée, il s’endormit dans une clairière. Vers minuit, il fut réveillé par des bruits de sabots. C’étaient des chevaliers. Ils voulaient s’arrêter pour se reposer. Roland s’approcha doucement puis se cacha derrière un arbre. Ils parlaient assez fort si bien qu’il entendit leur conversation : ces chevaliers étaient en chemin pour assassiner le roi Arthur !

Roland, effrayé par ses propos monstrueux, décida de les suivre dès leur réveil.

Le lendemain, notre héros et son écuyer les suivirent jusqu’à un passage secret à l’arrière du château de Camelot. Roland, qui voulait protéger son roi, sortit de sa cachette et provoqua le chef du complot, en duel. Celui-ci fonça sur lui...

 

         L’adversaire de Roland, portait sur son écu le blason du Danemark : un demi-ovale jaune parsemé de cœurs avec trois lions bleus ayant une couronne sur la tête, les uns au-dessus des autres. Son heaume était gris avec des dorures, il portait un haubert sous son surcot marron et son mantel noir. Il avait un poignard accroché à sa ceinture. Son cheval avait un caparaçon noir.       

Sur l’écu de Roland était dessiné le blason de l’Angleterre : un demi-ovale rouge avec trois léopards jaunes, les uns au-dessus des autres. Sur son haubert, il avait mis un surcot marron et un mantel rouge. Il avait caché une dague dans sa botte. Son cheval possédait un carapaçon gris.

 

         Le duel commença. Ils étaient tous deux armés d’une solide lance. Ils lancèrent leurs chevaux à toute allure.

A force de se donner des coups, les écus se transpercèrent, les heaumes se cabossèrent, ils s’entaillèrent leur haubert... Leurs lances se fracassèrent.

Roland chancela. Pour suivre le code de chevalerie, son adversaire dût descendre de son cheval. Ils continuèrent le combat à pied à l’épée.

Soudain, l’adversaire de Roland l’estourbit d’un puissant coup qui l’assomma. Son écuyer vint à son secours et tenta de le réveiller. Pendant ce temps, le danois s’apprêta à lui donner le coup mortel. Roland se réveilla à temps, sortit sa dague de sa botte et para le coup. Puis, il se releva, récupéra  son épée et lui assena le coup mortel.

                                                                                                                                                              

         Les compagnons du Danois s’enfuirent à la vue du destin funeste de leur chef. Roland raconta aussitôt au roi son aventure, celui-ci le pria alors de rester auprès de lui.

Vous pouvez aussi voir dès maintenant mon exposé sur les armes et les armures des chevaliers.

Ceci est l'épisode deux, pour voir l'épisode un, cliquez ici


Rédaction (le combat)

Le lendemain de la fête chez le roi Arthur, il était temps de rentrer à la maison. Morgane s'habilla pour partir. Elle dit au revoir à toutes les personnes qu'elles connaissait puis se mit en route. Elle marcha pendant des heures quand tout à coup, elle entendit un bruit. Elle se retourna et vit un lapin. Elle continua donc son chemin Elle entendit un cri puis des pas de cheval. Cette fois, ce n'était pas un lapin mais un chevalier et sa monture. Il dit à son cheval de s'arrêter et descendit du destrier. Il faisait presque deux mètres, portait une armure qui brillait avec les rayons du soleil. Il semblait très musclé. Il tenait un bouclier que Morgane avait déjà vu. Mais où ? Tandis qu'elle se posait cette question, le chevalier sortit son épée et la tendit vers elle. Il lui lançait un défi. Morgane adorait les défis alors, elle aussi, sortit son épée, histoire de montrer à ce chevalier que les filles savent aussi se battre. Le combat fut rude mais les deux chevaliers ne cédaient pas. Les heaumes se déformaient, les mailles des hauberts s'envolaient et le sang giclait. L'adversaire de Morgane lui entailla si profondément le bras qu'elle tomba à terre. Il allait l'achever quand tout à coup, un cheval monté par un grand chevalier arriva au galop. Il trancha la tête de l'adversaire de Morgane. Elle se releva et reconnut le chevalier qui venait de la sauver. C'était Harold, celui qu'elle avait rencontré lors de son premier voyage. Que pouvait-elle faire pour le remercier ? Elle lui devait la vie. Elle ne savait que faire pour le remercier mais il lui dit qu'il n'avait besoin de rien. Il voulait juste que, quand elle rentrerait chez elle, elle ne l'oublie pas.

12 février 2013

Le combat...

Il était une fois dans un chanteau en Aquitaine un roi qui voulait donner sa fille en mariage. Il hésitait entre deux chevaliers. Un jour les deux chevaliers étaient convoqués à la cour du roi qui leur annonça que pour les départager il y aura une joute et que le vainqueur  épousera  sa fille. Lundi matin les deux chevaliers étaient habillé d’un surcot, d’un mantel, d’un heaume, d’une épée  et d’un écu .L’un des chevaliers se nommé Perceval de Courteland  dit le Brave .Il était beau, grand, courageux, intelligent et  courtois t. Il avait les yeux bleus,  les cheveux marron et un sourire charmeur. L’autre chevalier se nommé Lancelot de Montelune  dit Tuemouche. Il avait un petit visage un nez fourchue et un menton pointue .Il avait les yeux vert les cheveux marrons et gras Le tournois se déroulé dans une petite ville prés du château du roi. Tout le monde parlait de lui comme quelqu’un de sal qui ne se lave jamais. Tout le royaume encourage le brave heureusement que d’autre personne qui ne vive pas  au château était là et qu’ils encouragent Tuemouche sinon personne ne l’encouragerait. Le combat venait juste de commencée que tuemouche avait déjà perdu son heaume, le combat était sanglant. Tuemouche reçu deux coup dont un dans la jambe et un dan l’épaule. Il y avait du sang partout par terre. Le brave ne reçu que des coup faible dans la main et dans la bras. Le combat avait commencé il ya trente minute que Tuemouche reçu un grand coup d’épée dans le cœur, il tomba raide mort par terre. Le roi désigne Perceval de Courteland  gagnant. Il épousa Astride  la fille du roi. Ils vécurent heureux et hure beaucoup d’enfant.

                                                                            

 

11 février 2013

Le duel sans merci

 Le duel sans merci

      Benoît d'Aiglemont se promenait dans la forêt à la recherche d'un gîte pour y passer la nuit.Il revenaît du château du roi Arthur.C'était le printemps, il y avait un grand soleil qui illuminait la forêt . Des bourgeons fleurissaient tout autour de lui, les oiseaux chantaient si fort qu'ils n'entendaient même pas son beau palefroi marcher.

  Quand soudain, il aperçut un chevalier qui ne lui était guère inconnu . Quand il se rapprocha, il vit son pire ennemi ; Hardouin de Mortelande que l'on surnommait sang de bœuf car il était très fourbe . Il avait une grosse tête, des cheveux noirs et gras que l'on observait sur sa nuque qui n'était pas protégée par son casque. Son visage était plat, il ressemblait fortement à celui d'un diable, sa peau était rugueuse et elle était couverte de boutons. Il avait un gros nez, des petits yeux de chouette surmontés de sourcils touffus, des joues très creuses, une fine bouche avec des lèvres jerçées, des dents noires que l'on observait quand il respirait. Il avait aussi un double menton. Mais Hardouin de Mortelande était très grand, très bien armé son armure recouvrait toutes les parties de son corps omit son visage. Il avait aussi un casque qui avait l'air très résistant. Il avait aussi un grand bouclier bleu, une longue épée et une lance. Son cheval était un grand palefroi, sa robe de couleurs bai était radieuse. Ce chevalier était très connu de tout le peuple car il avait plusieurs fois incendié des villages entiers et pillé des pauvres. Personne n'avait réussi à le blesser ni même le mettre à terre.

  C'était une trop belle occasion pour la laisser passer et Benoît se précipita sur lui et la bataille commença. Armé chacun d'une solide lance, ils échangèrent des coups si terribles qu'ils se transpercèrent leurs écus, les hauberts se démaillèrent, les lances se fendirent et éclatèrent, les tronçons volèrent en l'air. C'est alors que Benoît frappa d'un grand coup sur la tête d'Hardouin que son casque se brisa et étourdi par celui-ci, il tomba à terre. Benoît comme il était un preux chevalier descendit de son cheval. pendant ce temps Hardouin se releva, il arriva par derrière et donna un grand coup d'épée dans le dos découvert de Benoît. Le sang coulait à flot de son dos mais il continua le combat. Il réussit après plusieurs dizaines de minutes, à mettre un coup si violent dans l'épaule de Hardouin, qu'il la lui transperça. Hardouin qui ne pouvait donc plus manier l'épée car il ne pouvait pas utiliser son bras qui le faisait souffrir, il abandonna le combat. Benoît voyant qu'il abandonnait, arrêta le combat et d'après les règles de chevalerie emmena le cheval d'Hardouin et toutes ces armes encore en bon état. Il repartit aussitôt trouver un gîte pour se faire soigner et passer la nuit en laissant Hardouin en plein milieu de la forêt sans armes et sans cheval.


FIN          


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