De la lune à la plume...

A cette époque la mode évolue énormément :

A partir des années 1800, les femmes commencent à porter des robes « à la grecque » à la taille haute remontée sous les seins et largement décolletée que couvre une veste courte appelée « spencer » ou un long châle de cachemire.

Par la suite, dans les années 1820, le corset apparaît et adopte la forme d'un cône. Les manches deviennent de plus en plus bouffantes et les chapeaux prennent des proportions gigantesques, couverts de plumes et de rubans.

Ensuite, dans les années 1830, la silhouette féminine évolue peu, les femmes ont les épaules dénudées par le décolletée « bateau » et elles ont les jupes qui bouffent grâce à un jupon de crin qui recouvrent la chaussure et les chapeaux immenses disparaissent.

Puis, dans les années 1840, la silhouette féminine se simplifie : le jour, les femmes éliminent les accessoires trop voyants et portent des robes unies de couleur sombre , le soir, elles arborent un grand décolletée avec des volants et des rubans de dentelles a la jupe gonflée de crin et des fleurs et bijoux à profusion. Les bottines lacées font leur apparition.

Par ailleurs, dans les années 1850, le velours fait son apparition et les robes retrouvent une certaine simplicité. Le corsage se porte toujours et les manches sont très larges et ouvertes.

Dans les années 1860, le drapé fait son retour sur les robes mais aussi sur les capes, châles et pèlerines. Les manches s'aplatissent pour l'hiver mais reste larges pour l'été. Les bottines vernis son de plus en plus présente. Les chapeaux s'élargissent et le manteau se porte court.

Vers, les années 1870, les chapeaux deviennent petits, ils sont surtout garnis de fleurs, de rubans ou de voiles. Les manteaux sont amples et longs. Les femmes emmènent des ombrelles l'été pour leurs vacances.

Dans les années 1880, la broderie est très présente sur les jupes et les manteaux. Le drapé reste aussi très présent. Les chapeaux gagnent en extravagance. Les gants se portent toutes la journée et sont simples montant sur la manche. La montre est l'accessoire de la décennie,

Introduction : Les femmes au XIXème siècle n'avaient pas la même place dans la société que les hommes. Celles-ci ont longtemps été considérées comme étant de simples "ménagères" seulement bonnes pour faire des enfants. Cependant, cette situation changea très légèrement à partir du XIXe siècle.

Personnages:

-George Sand (son vrai nom est Aurore Dupin) Elle est

-Louise Michel

-Maria Deraismes

Vidéo sur La condition féminine à la fin du 19e siècle 

Article Wikipedia sur la Place des femmes en France en 1848

http://www.infofemmes.com/v2/p/Se-documenter/Historique-du-droit-des-femmes/60

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_du_statut_de_la_femme

https://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9minisme#XIXe.C2.A0si.C3.A8cle

A cette époque la mode évolue énormément:

A partir des années 1800, les femmes commencent à porter des robes " à la grecque" à la taille haute remontée sous les seins et largement décolletée que couvre une veste courte appelée "spencer" ou un long châle de cachemire.

Par la suite, dans les années 1820, le corset apparait et la jupe adopte la forme d'un cône. Les manches deviennent de plus en plus bouffantes et les chapeaux prennent des proportions gigantesques, couverts de plumes et de rubans.

Ensuite, dans les années 1830, la silhouette féminine évolue peu, les femmes ont les épaules dénudées par le décolletée "bateau" et elles ont les jupes qui bouffent grâce à un jupon de crin qui recouvrent la chaussure et les chapeaux immenses disparaissent.

Puis, dans les années 1840, la silhouette féminine se simplifie: le jour, les femmes éliminent les accessoires trop voyants et portent des robes unies de couleur sombre, le soir, elles arborent un grand décolletée avec des volants et des rubans de dentelles à la jupe gonflée de crin et des fleurs et bijoux à profusion. Les bottines lacées font leur apparition.

Par ailleurs, dans les années 1850, le velours fait son apparition et les robes retrouvent une certaine simplicité. Le corsage se porte toujours et les manches sont très larges et ouvertes.

Dans les années 1860, le drapé fait son retour sur les robes mais aussi les capes, châles et pèlerines. Les manches s'aplatissent en hiver mais restent larges pour l'été. Les bottines vernies sont de plus en plus présentes. Les chapeaux s'élargissent et le manteau se porte court.

Vers les années 1870, les chapeaux redeviennent petits, ils sont surtout garnis de fleurs, de rubans ou de voiles. Les manteaux sont amples et longs. Les femmes emmènent des ombrelles l'été pour leurs vacances.

Dans les années 1880, la broderie est très présente sur les jupes et les manteaux. Le drapé reste aussi très présent. Les chapeaux gagnent en extravagance. Les gants se portent toute la journée et sont simples et montant sur la manche. La montre est l'accessoire de la décennie.

Dans les années 1890, le chapeaux est orné de plumes ou de rubans. Le manteau se porte très long. Le satin est orné de velours et les paillettes sont à la mode. Le bracelet et le collier sont les accessoires essentiels.

Chez les hommes, le vêtement évolue au cours de la décennie:

En 1840, les hommes portent le chapeau haut de forme qui perd progressivement en hauteur et en ampleur. Les vêtements passent d'une mode ajustée à une mode flottante, présentée comme de la négligence dans la presse. Ils portent des vestes à larges revers. Les gilets sont élégants et brodés, les pantalons se portent amples et couvrant les 3/4 du pied. De nombreux accessoires sont présent: binocle, canne, montre à gousset...

En 1850, l'habit noir fait la loi: la veste a une coupe large et se porte avec une cravate blanche cachant jusqu'au col de la chemise. Le gilet est droit et discrétement orné aux boutons. Le pantalon peu large tombe droit sur une botte vernie.

"Le Trône de fer" est le premier livre de la série qui porte le même nom que ce roman; l'histoire se déroule sous le point de vue de plusieurs personnages à la fois, changeant de point de vue à chaque chapitre de fait qu'il y a une multitude de personnages "principaux".L'ambiance médiévale est assez particulière, car, parfois, des choses extraodinaires interviennent comme des dragons ou autres bêtes fantaisistes...

    L'histoire débute vraiment avec la mort d'un personnage qui nous est d'abord inconnu; au fil de l'histoire, on est ammené à en savoir plus sur cet homme et les raisons de sa mort, plutôt mystérieuse.

Au début de la lecture, on s'y perd un peu avec tout les personnages: on à l'impression de "se noyer" sous les noms, tellement il y en a. Avec le temps on finit par s'y habituer et à connaître tout sur tout les personnages du roman.

La collection se répartit à peu près sur 13 volumes, chacun de 400 pages environ;l'écriture est très petite et le texte devient de temps en temps difficile à lire.

                                                            La série qui s'inspire de ces romans va bientôt sortir sa troisième saison en fin mars,correspondant à peu près au 6eme tome de la collection.