Nouveau récit collectif (4èmes 6) : votez pour le début de récit qui vous plaît le plus.
Par Mme S.Staffa le 25 septembre 2012, 22:36 - Lien permanent
Les quatrièmes 6 composent également un récit collectif.
Voici un premier début que je laisse anonyme.
« -C’est
bien du côté de Saint-Lazare que tu travailles mardi ? lui demanda son père.
-Oui, pourquoi ? lui répondit Pauline.
-Tu veux qu’on se retrouve pour déjeuner ? Cela te ferait plaisir ?
-Pourquoi pas, je connais un petit restaurant sympathique à la sortie du métro.
-On s’y retrouve mardi à midi? lui proposa-t-il.
-Ok » répondit Pauline.
Pauline est une jeune fille de 20 ans, sérieuse, travailleuse, qui aime la vie comme elle est et qui travaille dans un magasin de cuisines. Elle fait ses études à la faculté de Nanterre en économie-gestion. Sa mère travaille à la SNCF et son père est pharmacien. Son frère et sa sœur sont à l’étranger pour leurs études. Elle est donc la seule encore à la maison ne pouvant se payer d’appartement pour le moment.
Mardi arriva vite et Pauline retrouva son père sous la bulle à la sortie du métro. Ils se dirigèrent donc vers le restaurant qu’ils avaient choisi et, arrivés là-bas, commandèrent.
« -Mmm…C’est délicieux. commenta Pauline.
-En effet, je me régale. » enchérit son père.
Le repas terminé, et les ventres rebondis, ils retournèrent à leurs lieux de travail. Mais à 15h, le téléphone du bureau d’accueil de la SNCF sonna.
« -SNCF bonjour, que puis-je pour vous ? demanda la mère de Pauline à son interlocuteur.
-Maman, c’est moi, Pauline, gémit celle-ci d’une voix maladive.
-Ma chérie, qu’est- ce qu’il se passe ? Tu es malade ? s’inquiéta sa mère.
-J’ai vomi dans la voiture de ma boss qui me ramenait. Je suis à la maison. J’ai vraiment très mal au ventre.
-Bon, j’essaye de me libérer. »
20h.Théophile rentre à la maison
« -C’est moi ! Il y a quelqu’un ? »
Personne. D’habitude, il est le dernier à rentrer à la maison, c’est bizarre. Il prend le combiné et décide d’appeler sa femme.
« -Sarah ? C’est moi, où est tu ? Quoi ? J’arrive tout de suite !! » s’alarma-t-il.
Un quart d’heure plus tard, Théophile se trouvait à l’accueil de l’hôpital.
« -Pauline DOUET s’il vous plaît ? »
-2eme étage chambre 12 lui indiqua l’hôtesse.
-Je vous remercie ».
Quand il franchit la porte de la chambre, il vit d’abord sa femme assise sur une chaise puis ensuite sa fille couchée sur un lit.
« -Ca va Pauline ? Qu’est-ce-que tu as ? » l’interrogea-t-il.
Sarah répondit pour sa fille.
« -Le médecin devrait arriver d’une minute à l’autre annoncer les résultats des examens mais ce qui est sûr c’est qu’elle guérira et que son séjour à l’hôpital durera environ 2-3 mois. »
A ce moment-là on frappa à la porte.
« -Ah !! Qu’est-ce-que je te disais !! » s’exclama Sarah.
Le médecin entra et s’approcha du lit de Pauline. La mine triste, il annonça le verdict :
« -
-Oui, pourquoi ? lui répondit Pauline.
-Tu veux qu’on se retrouve pour déjeuner ? Cela te ferait plaisir ?
-Pourquoi pas, je connais un petit restaurant sympathique à la sortie du métro.
-On s’y retrouve mardi à midi? lui proposa-t-il.
-Ok » répondit Pauline.
Pauline est une jeune fille de 20 ans, sérieuse, travailleuse, qui aime la vie comme elle est et qui travaille dans un magasin de cuisines. Elle fait ses études à la faculté de Nanterre en économie-gestion. Sa mère travaille à la SNCF et son père est pharmacien. Son frère et sa sœur sont à l’étranger pour leurs études. Elle est donc la seule encore à la maison ne pouvant se payer d’appartement pour le moment.
Mardi arriva vite et Pauline retrouva son père sous la bulle à la sortie du métro. Ils se dirigèrent donc vers le restaurant qu’ils avaient choisi et, arrivés là-bas, commandèrent.
« -Mmm…C’est délicieux. commenta Pauline.
-En effet, je me régale. » enchérit son père.
Le repas terminé, et les ventres rebondis, ils retournèrent à leurs lieux de travail. Mais à 15h, le téléphone du bureau d’accueil de la SNCF sonna.
« -SNCF bonjour, que puis-je pour vous ? demanda la mère de Pauline à son interlocuteur.
-Maman, c’est moi, Pauline, gémit celle-ci d’une voix maladive.
-Ma chérie, qu’est- ce qu’il se passe ? Tu es malade ? s’inquiéta sa mère.
-J’ai vomi dans la voiture de ma boss qui me ramenait. Je suis à la maison. J’ai vraiment très mal au ventre.
-Bon, j’essaye de me libérer. »
20h.Théophile rentre à la maison
« -C’est moi ! Il y a quelqu’un ? »
Personne. D’habitude, il est le dernier à rentrer à la maison, c’est bizarre. Il prend le combiné et décide d’appeler sa femme.
« -Sarah ? C’est moi, où est tu ? Quoi ? J’arrive tout de suite !! » s’alarma-t-il.
Un quart d’heure plus tard, Théophile se trouvait à l’accueil de l’hôpital.
« -Pauline DOUET s’il vous plaît ? »
-2eme étage chambre 12 lui indiqua l’hôtesse.
-Je vous remercie ».
Quand il franchit la porte de la chambre, il vit d’abord sa femme assise sur une chaise puis ensuite sa fille couchée sur un lit.
« -Ca va Pauline ? Qu’est-ce-que tu as ? » l’interrogea-t-il.
Sarah répondit pour sa fille.
« -Le médecin devrait arriver d’une minute à l’autre annoncer les résultats des examens mais ce qui est sûr c’est qu’elle guérira et que son séjour à l’hôpital durera environ 2-3 mois. »
A ce moment-là on frappa à la porte.
« -Ah !! Qu’est-ce-que je te disais !! » s’exclama Sarah.
Le médecin entra et s’approcha du lit de Pauline. La mine triste, il annonça le verdict :
« -
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Second début
2012
« Fantastique ! Extraordinaire ! Exaltant ! L’œuvre du millénaire ! ».Ce sont ces qualificatifs élogieux qui avaient poussé David Rider à dépenser les quelques livres que sa mère lui donnait en guise d’argent de poche pour aller voir « 2012 Le Film ».Il fut tout de suite happé par l’univers du film : une fuite massive des animaux, des incidents en Asie, une prophétie réalisée. Mais, comme toujours lorsqu’il était dans le noir, le jeune homme s’endormit. Ainsi, il ne vit pas les explosions à tout va, les fissures au sol sur des milliers de kilomètres, les raz-de marée aux dimensions bibliques, mais surtout les causes de cet évènement tragique et comment les deux héros firent pour s’en sortir vivants. Ce fut le concert de claquements de dossier qui le sortit de son sommeil. Il lâcha un juron en voyant que la séance était finie et qu’il avait manqué la moitié du film, sûrement la meilleure. En sortant, son portable vibra. Mais lui était obnubilé par deux énormes taches noirâtres se rapprochant, accompagné d’un bruit strident des oiseaux. Désintéressé il répondit au téléphone : c’était Lyra. Pourtant, à ce moment-là, ce fut cette autre voix qui l’interpella, celle d’une radio, posée à côté d’un clochard dormant, ivre, qui hurlait désespérément : - On m’informe à l’instant qu’un séisme de magnitude 8.8 sur l’échelle de Richter vient de frapper la seconde ville du Japon, Ōsaka ! Je répète …
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A vous de jouer! Quel début préférez-vous?