L’objectif est de limiter la chute des dominos en cascade. Pour ces troubles, le domino cérébral peut entraîner dans sa chute le domino cognitif, le domino comportemental, le domino scolaire, le domino psychoaffectif, le domino familial et le domino psychorelationnel.

 

Pour chaque trouble (attention, dyslexie/dysorthographie, dyscalculie, dysphasie, dyspraxie), Roselyne Guilloux décrit l’exemple d’un élève, aborde une mise en situation, reprend les éléments théoriques essentiels, puis liste très clairement les principaux aménagements à envisager à partir des signes observables en classe. La démarche de partenariat, le contournement des difficultés en s’appuyant sur les points forts de l’élève sont aussi abordés.

 Très clair et synthétique, cet ouvrage (rédigé par une psychologue scolaire diplômée de neuropsychopathologie des apprentissages scolaires) est une véritable mine de poche.

 

Auteur du billet : Frédéric Plessiet