Une si jeune femme qui ne voulait de mal à personne. Ha, pauvre Laly! Elle qui lorsque quelqu’un tombait ou avait besoin d’aide, proposait son aide et elle les rattrapait quoi qu’il arrive.

Aurais-je oublié de le présenter ? Clément Frévil, détective privé de père en fils Il a enquêté sur les délits les plus complexes.

 

Lundi, il a découvert le décès de Laly deux heures après qu’elle ne fut plus de ce monde grâce à un appel d’un homme qui avait eut le bon réflexe d’informer la police qu’il y avait un corps sans vie allongé sur un des huit bancs du grand parc près d’un arbre. Il était si grand ce parc qu’il avait deux entrées,celle entourée par le lion était la principale. Elle n’avait pas de manteau, avait les cheveux blonds, longs et le soleil la faisait briller. Clément, un homme vantard et prétentieux ,avait pris la charge de ce décès. Il était très petit, maigre, travaillait uniquement près de chez lui. Mais il restait tout de même quelqu’un de sociable et amical.

 

Il arriva sur place deux minutes après l’appel car il habite au 4 rue du docteur Rochard. Son complice était déjà sur place. Il s’appelle Luc. Luc est quelqu’un de très minutieux et il apportait du soin à toute les bricoles qui pouvaient aider au bon déroulement de l’enquête. Il habitait la maison qui donnait sur la fontaine de St-Brieux. Une fois sur place Clément demanda à Luc les potentielles informations sur le coupable. -Alors,quoi de neuf! Y’a-t-il des empreintes sur le corps?

-Pas suffisamment pour le moment mais je pense qu’elle a été étranglée car elle avait les mains rouges qui enlaçaient son cou; De plus nous avons affaire à un malin car il n'y avait aucun indices sur elle,répondit Luc fier du début des recherches. Clément sortait la poudre qu’il utilisait pour trouver des empreintes au moment où les équipes de polices réquisitionnées arrivèrent et le bousculèrent violemment.

“Haaaaaaa!!!!” cria Clément en chutant.

Lors de sa chute un peu de poudre se répandit sur l’arbre juste à côté du banc et laissa apparaître les traces d’une échelle qui avait dû être placé en ce lieu peu de temps auparavant. Or Clément ne vit rien en se relevant et c’est Luc qui l’interpella.

-Venez voir par ici.

-Que se passe-t-il de si important? Répondit Clément.

-Là sur le tronc!

Tout le monde présent sur place se rapprochait et Clément proposa de monter à l’arbre pour inspecter. Un policier grimpa à l’arbre et dit à tout le monde qui avaient les yeux rivés sur celui-ci.

-Fausse piste, il n’y a qu'un nid d’oiseau, répondit le policier déçu.

Clément se retourna et s’écria.

-Luc on a un autre problème, le corps a disparu!

A ce moment là, ce fut la panique et Ils cherchèrent partout.

“Stop on arrête les recherches pour aujourd’hui, on les reprendra demain ,dit Clément.

Tout le monde partit, sauf Clément. Perturbé, il remonta à l’échelle et après avoir fait partir l’oiseau il aperçut une batte de baseball. Il voulut s’en saisir mais il était trop petit donc il fut obligé de la laisser.

“Nous serions-nous trompés ?” se dit Clément en rentrant chez lui.

 

Le lendemain, les équipes revinrent dans le parc à l’endroit du crime mais Clément était déjà sur place et avait déjà repris les reccherches. Il demanda à Luc de convoquer au commissariat l’homme qui les avaient prévenus du décès de Laly pour pouvoir l’interroger. Ils partirent aussitôt vers le commissariat et l’homme arriva 15 minutes plus tard et nous expliqua qu’il arrivait tout droit de chez lui, place Glais Bizoin. Luc commença l’interrogatoire.

-Que faisiez-vous lorsque vous avez remarqué le corps de la femme morte? Demanda Luc.

-Je marchais, répondit l’homme.

-Étiez-vous seul? Demanda Luc.

-Oui.

-Où alliez-vous

-J’allais voir un match de baseball.

-Ha, se tournant vers Luc, j’ai quelque chose à vous dire. Lorsque vous êtes parti, hier, j’ai trouvé dans le nid une batte de baseball. Pensez-vous que c’est une coïncidence?

Ils retournèrent dans la pièce de l’interrogatoire pour voir le suspect qui, pendant que les deux hommes parlaient, avait disparu en direction du parc car la porte, que venaient d’emprunter les deux enquêteurs, n’avait pas été fermée convenablement.

Clément partit aussitôt à sa recherche.

“Malheur!!”,s’écria Luc en voyant Clément claquer la porte. Il essaya de le suivre mais il était déjà arriver au parc et il entrait par la porte entouré de deux statues de lion puis il traversa la mare grâce au pont chinois. Finalement, il arriva au pied de l’arbre à côté du banc. Il attendit Luc qui lui fit la courte échelle afin de grimper plus aisément et après avoir fait déguerpir l’oiseau, il découvrit une feuille de papier à la place de la batte de baseball.

-Luc...la batte a été remplacée par un mot qui dit, je cite “Beau travail mais il est trop tard!”

-Pourquoi dit-il “trop tard!”?

-Je pense qu’il dit trop tard car Laly n’est plus de ce monde et nous ne l’avons pas sauver. Attends, dit Clément, il y a marqué “Venez me prendre demain soir à l’entrée du parc”.

-Je pense que c’est un piège mais allons-y quand même.

 

Le surlendemain soir ils retournèrent au parc et virent l’homme à genoux au milieu de l’allée. Clément prit la carte d’identité de celui-ci et demanda à Luc:

-Comment s’appelait sa victime?

-Laly, oui Laly Phil !Pourquoi ?

-Car ce monsieur se nomme Maxence Phil ! Puis se tournant vers Maxence, “Pourquoi avez-vous fait ça ?”

-Je l’ai fait pour une histoire de famille.

-Pas la peine d’essayer de nous entourlouper, j’ai deviné! Lors de la fouille de Laly, j’ai découvert des places pour aller voir un match de baseball ainsi qu’un foulard de l’équipe des DODGERS. Alors que quand j’ai trouvé dans l’arbre la batte il y avait l’insigne de son adversaire du soir, soit les YANKEES. Donc il était en confrontation avec Laly et lors de leur trajet vers le stade de la place St-Pierre il a dû la tuer,dit Clément.

-Oui et aujourd’hui je regrette donc je me suis livré à vous, répondit Maxence.

-Vous avez bien fait mais vous serez bien puni tout de même.

Chacun rentra chez lui sauf Maxence qui termina sa nuit en prison.

 

Cabioch Gurvan