Pour ceux qui ont égaré le papier rendu avec les copies, voici le code couleur explicité.
Le stylo noir
Ainsi, tout ce qui est en noir correspond à du repérage sur votre copie : il ne s'agit pas d'une erreur.
Le stylo rouge
En revanche, le rouge va signaler des erreurs, qui concernent l'expression et l'orthographe.
Le turquoise
Il signale un problème de méthode.
Soit c'est une partie qui devrait être rédigée (généralement un titre). Soit, une indication vous explique ce qui ne va pas.
Le violet
Il permet de repérer des problèmes liés à la compréhension du texte. Si c'est barré, c'est que c'est faux. Sinon, il peut y avoir une remarque qui explique le problème.
Là, c'est une erreur qui ne se reproduira sans doute pas à l'identique sur un autre texte. Cependant, il est utile de relire le texte et ses éventuelles annotations pour comprendre à quel moment on a raté l'information. Si c'est une erreur fréquente, il peut être utile lors des contrôles ou au bac de faire un relevé précis des éléments factuels sur son brouillon : qui ? où ? quand ? quoi ? comment ? pourquoi ?
Le surligneur vert
Il indique des problèmes d'analyse.
Vous avez repéré quelque chose dans le texte (un procédé, une idée, un thème) mais vous n'avez pas analysé : il faut donc ajouter ce qu'apporte au texte l'élément relevé. Cela peut être un sous-entendu, une connotation péjorative ou méliorative, un effet sur le registre (par exemple comique, tragique, dramatique, épique), une prise de distance, la préparation d'une métaphore (champ lexical de la guerre dans un texte qui parle de cuisine)...
Le surligneur jaune
Enfin, le surligneur jaune signale les problèmes de formulation liés aux citations.
Pour citer, il faut introduire la citation dans la phrase, souvent à l'aide d'un verbe introducteur. Par exemple, si on veut citer le vers de Du Bellay "Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,", on peut écrire :
On relève "Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage," (v.1).
Le poème s'ouvre sur un alexandrin qui évoque le héros de l'Odyssée de Homère : "Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage," (v.1).
Dès le premier vers, "Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage," l'épopée mythique est convoquée par le poète.
On remarque dans le vers 1, "Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage," l'évocation du héros de l'épopée d'Homère
On peut aussi ne citer que la figure de style relevée :
On relève la comparaison "comme Ulysse" au vers 1.
On remarque la comparaison "comme Ulysse" au vers 1.
On note la comparaison "comme Ulysse" au vers 1.
Le poète utilise une comparaison "comme Ulysse" au vers 1.