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Screen du montage d'une des dernières scènes

Sur ce screen de la dernière scène de Destination finale, nous pouvons voir que le son de la vidéo est à un niveau plutôt faible, je l'ai mis à un niveau bas pour que l'on puisse entendre le son enregistré qui était le message vocal d'Ambre qu'Amani écoutait en sortant de la gare. Le son de la vidéo qui était donc le RER arrivant en gare a été laissé exprès afin d'avoir un univers sonore de gare, accompagné du message vocale, ce qui participe à l'univers du documentaire. C'est un mélange intéressant. De plus des personnes étaient figurants sans le savoir, je trouve cela très intéressant de filmer dans un univers dans lequel des personnes s'y trouvent (comme une gare) et se retrouvent dans le film.

Pour ajuster le son d'une vidéo et d'une musique par exemple, il suffit juste de déplacer le curseur du volume de la vidéo, et plus on le déplace vers la gauche, plus on entendra la musique, et le son de la vidéo disparaitra alors. Plus on le déplace vers la droite et plus le son vidéo prendra le dessus.

Le montage de Destination Finale a été effectué en plusieurs fois (au moins 3 après-midi plus quelques soirs), afin de voir comment les scènes de danse notamment l'entraînement d'Ambre pouvait être mis en valeur au montage, avec une musique de piano en fond sonore. Cette scène constituait la scène principal de notre film car nous avons voulu mettre en valeur le côté documentaire de la danse et des entraînements. Un travail a également était fait sur les chaussons de danse : au début la danseuse les enfile, à la fin nous pouvons voir les chaussons de danse seules, Ambre la danseuse faisant une pause avec la danse.

Ce montage a été plutôt minitieux car il a fallu fractionner les différentes vidéos afin de créer un effet dans lequel la danseuse s'entraînait durant plusieurs jours, afin de suivre le fil de l'histoire dans laquelle la danseuse s'entraîne pour préparer son audition de danse. J'ai peaufiné mon montage de toutes les scènes afin de rendre un travail plus présentable, comme la séance durant laquelle nous nous sommes toutes réunies afin d'ajouter des fondus sonores entre les scènes du vestiaire, car le son était saturé.

Le montage a parfois été compliqué car nous nous sommes rendues compte de faux raccords comme la date de l'audition qui avait été modifié lors d'un plan, d'une autre scène. Nous avions dû alors retourner cette scène. J'ai utilisé Movie Maker pour monter notre film. J'ai eu de nombreux problèmes avec celui-ci (nous ne pouvions pas scinder l'image et le son), et nous avons dû recommencer de nombreuses fois. Il ne restait pas beaucoup de temps, c'est pour cela que nous n'avons pas pu utiliser les ordinateurs de l'option cinéma.

Voici les deux plans du début et de la fin du film avec les chaussons de danse :

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Plan de début du film

 

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Plan de fin

Voici les avis sur le montage du film des différents membres du groupe :

Myriam : Je trouve qu'on ne voyait pas vraiment les étapes de progression de la ballerine mais sinon je trouve qu'il y avait de très belles scènes comme celle de danse.

Maeva : Le film était fluide, nous avons de belles scènes même si quelques unes avaient des problèmes comme dans le vestiaire par rapport au son.

Binta : Je trouve que nous avons bien réussis à faire un film compréhensif dans lequel les scènes se suivent bien et étaient logique.

Mélissa : En observant la réalisation du montage, j'ai pris conscience de la patience qu'il fallait avoir, car il y a énormément de prises, il faut faire beaucoup de tri et donc de visionnage. Il faut également savoir accorder le son à l'image.

Susan : Lors du montage, Noémie gérait bien la concordance de l'image avec la musique et le son. Elle faisait en sorte que ce soit précis, c'est à ce moment que je me rends compte que faire un film n'est pas facile et que le montage est fastidieux.

Noémie : Pour ma part je pense que le montage a bien été réalisé, en suivant le découpage technique du film. La scène de danse était la scène principale de notre film et je l'ai bien aimé. Ce qui a manqué dans notre projet est la qualité de nos rushs. Le son et certaines images saturés, des plans mal cadrés, nous aurions pu mieux faire.

Noémie CHAUVEL ; Susan KALUME BIYA ; Mélissa CHARRIEAU