Tout d'abord, l'intrigue se déroule à la gare centrale de Rio de Janeiro. Le personnage principale qui est une femme au fort caractère nommé Dora va, suite à de nombreuses péripéties, se retrouver à voyager avec un enfant du nom de Josué à la recherche du père de ce dernier. Dans ce film, selon les souhaits du réalisateur Walter Salles, l'écriture qui apparait sous forme de lettre ou carte postale qu'on enverrait à destination d'un quelconque individu semble renfermer les joies, les doutes, les craintes voire même les attentes de la personne qui décide d'envoyer cette lettre. Je pourrais même dire qu'elles sont transmetteuses d'émotions. D'ailleurs, j'ai remarqué que les émotions émises par  les lettres varient tous au long du film pour finir par refléter le contraire des de celles mises dans les premières enveloppes. Au début, ce film présentait Dora à travers son métiers qui consistait à écrire des lettres pour des personnes analphabètes. Chacun de ces clients semblait à la recherche d' une chose précieuse voire essentielle au bon déroulement de leurs vies comme le plus souvent un proche. Alors qu'à la fin, Dora écrit elle même sa lettre pour Josué où elle y met ses émotions les plus sincères et les plus touchantes qu'elle ne lui avait pas déclaré pendant le film. C'est aussi sur cette lettre qui marque la séparation entre Josué et Dora que le film s'achève.

Pour conclure, je préconise amplement ce film car il m'a fait découvrir touts les aspects cachés à première vue que l'on peut rencontrer dans une lettre. Ce n'est pas seulement une feuille blanche contenant des mots mais un nouvel univers inconnu qui est exploité de plusieurs façon dans le cinéma à appartenant à la grande panoplie que représente l'écriture.