13 décembre 2009
13déc.2009
Les groupes de travail
4 groupes qui prennent en charge une des 4 grandes parties du texte. Pour l'instant, les groupes sont fixés de la manière suivante :
Groupe 1 : le début jusqu'au mariage dans le repère
Scènes 1 et 2 (à partir de la page 10, après la scène d'ouverture des 25 Kiwis)
François, Victor, Anne-Chloé
+ Raphaëlle, Tess et Gilly
Groupe 2 : la vie dans le Repère jusqu'au meurtre de Mickey Mouse
Scènes 3-4-5
Charlotte, Morgane, Mathilde
+ Lorenzo, Adelice, Orane, Valentin
Groupe 3 : La séparation, la naissance de Noisette, jusqu'à l'arrivée des Policiers dans le Repère
Scènes 6 à 13
Marie, Benjamin,
+Juliette, Alizée, Camille, Léa
Groupe 4 : le massacre et la fuite à la campagne
Scènes 14-15-16
Angélique, Laurine
+ Ilia, Clémence, Nina, Solène.
22 novembre 2009
22nov.2009
KIWI » par Mathilde Enixon
Kiwi , nous a été présenté au théâtre 71 de Malakoff le 20 octobre dernier. Cette pièce écrite et mise en scène par Daniel Danis, raconte l’histoire d’une «famille» d’adolescents dont chaque membre porte un nom de fruit ou de légume. Le personnage éponyme de cette pièce baptisé Kiwi dès son arrivée dans cette famille, tente de survivre dans un monde où misère, drogue et prostitution font désormais partie de son quotidien.
Deux écrans, une caméra infrarouge, deux acteurs. Voici les seuls éléments qu’a choisis Daniel Danis pour représenter l’environnement de Kiwi. Tandis que les deux acteurs, jouant respectivement Kiwi et son ami Litchi, évoluent sur scène dans un noir presque complet, une caméra retranscrit sur deux écrans le jeu de scène, permettant au public d’observer leur visage en détail. Un jeu important sur le son permet de déformer les voix pour les rendre plus effrayantes, d’entendre les soupirs, les respirations. Cette mise en image des acteurs donne une dimension très sombre à la pièce et plonge les spectateurs plus intimement dans la vie de ses personnages. Ces gros plans sur les visages, les regards, créent un lien direct avec le public, à qui les protagonistes s’adressent en racontant leur histoire. Leurs récits sont parfois entrecoupés d’images d’archives illustrant des bidonvilles, des visages déformés par la douleur ou le rire, des enfants errant dans bâtiments délabrés. En choisissant d’utiliser des techniques cinématographiques, Daniel Danis se débarrasse de plusieurs problèmes de mise en scène comme faire jouer une quinzaine d’adolescents sur scène, mais donne une intensité à la pièce qui est presque déstabilisante pour le spectateur confronté à ces témoignages d’enfants sur un monde qui ne devrait pas être le leur.
Il était intéressant de voir Kiwi en ce début d’année sachant qu’il s’agit de la pièce sur laquelle nous avons choisi de travailler. Cependant il sera difficile de s’inspirer de cette mise en scène pour préparer notre travail pour des problèmes de décor. Néanmoins, en jouant cette pièce nous réaliserons peut être la première idée de Daniel Danis qui était de voir évoluer sur scène une bande d’adolescents aux noms de fruits.
Mathilde ENIXON
15 novembre 2009
15nov.2009
Quelques liens utiles sur "Kiwi"
Pour vous aider à rédiger votre critique sur le spectacle ou approfondir votre réflexion sur la pièce, vous pouvez aller voir ici :
http://www.theatre71.com/kiwi.html,
http://compagniedanieldanis.blogspot.com/
http://www.theatre-contemporain.net/spectacles/Kiwi/
ou même là :
http://regarder-pousser-ma-barbe.over-blog.com/20-index.html