Cet extrait de Céline , voyage au bout de la nuit publié en 1932, il s'agit d'un roman en prose écrit pendant la première guerre mondiale, Céline Louis festouches est né à courbevoie,il s'engage volontier pour participer à la guerre en 1914, traumatisé par la guerre, il est parti s'installé en Afrique en 1915, il obtient un prix Renaurdot en 1936 après son retour en France.
Dans ce passage Céline dénonce la guerre de manière surprenante il utilise des mots familiers pour démontrer les atrocités vaincu au front pendant la guerre.
Nous pouvons nous demander comment Céline dénonce les horreurs de la guerre dans ce roman ? Premièrement nous allons voir le violence et souffrances subit par les hommes pendant la guerre et deuxièmement nous allons aborder un langage familiers .
Nous voyons que les hommes vivent un enfer <nous étions jolis!Décidément, je le concevais,je m'étais embarqué dans une croisade apocalyptique > ligne ( 15-16) le narrateur montre que la guerre étais catastrophique, désastre, cet aspect est accentué de plus avec des questions rhétorique et des point d'exclamation <abominable erreur ?> (l 24), <qu'on s'était trompé > (l 26) et < horreur en quittant la place De Clichy?> Céline choquer par ce qui se passe à la guerre est regrette même d'être là pour vivre ces malheurs.
Le traumatisme de Céline est exprimer de manière étonnante nous voyons avec < c'était donc un monstre > ( ligne 1), < j'en étais assuré, pire qu'un chien > et <cette imbécilité infernale > laisse avoir que Céline exprime sa haine, son désespoir d'être dans cet endroit.
Nous pouvons conclure que Céline cherche à nous faire entre dans l'histoire avec des utilisations de <On> et <nous > pour ressentir leurs mal-être, il présente l'homme comme un animal,sans coeur ni émotions.
Contrairement à Montherland qui présente la guerre comme une idéal de défendre son pays, Céline dit le contraire.