Entretien d'un père avec ses enfants de Diderot.

Si cette oeuvre était une couleur, un animal et un plat...A vous!

Commentaires

1. Le 30 septembre 2012, 19:34 par Valentine Rascol.

Si cette œuvre était un plat se serait un plat sucré salé. Le sucré pour la conscience et le salé pour la loi.
Si cette œuvre était un animal se serait un zèbre , car il a deux couleurs. Le blanc pour la conscience et le noir pour la loi. Car dans son livre Diderot ("le moi") voudrait donner l'héritage aux indigeants tandis que le testament indique que les bénéficiaires sont des personnes riches.
Si cette œuvre était une couleur se serait le vert car elle représente l'espoir et l'espérance que l'on retrouve dans les écrits de Diderot durant le siècle des Lumières. Diderot comme Montesquieu ou Voltaire luttaient contre l'obscurantisme .

2. Le 02 octobre 2012, 20:52 par Nour dana

Si ce livre était un plat, (une salade) il possederait beaucoup d'ingredients car il y a plusieurs histoires et sentiments exprimés dans cette œuvre comme la gentillesse ,la loyauté ,le regret... SI ce livre etait une couleur, Ce serait le blanc car il représenterait la pureté et le vœu de toujours bien faire des hommes bon comme le père et le chapelier. Si ce livre était un animal, Ce serait un Lyon car il représente la force et le pouvoir. Ce qui pourrait définir le curé de Thivet ou le père bouin et leurs fortes influences...

3. Le 03 octobre 2012, 14:03 par Robin De Sousa

Pour commencer, si ce livre était une couleur, cela serait le blanc car la couleur blanche est neutre et simple ce qui pourrai nous faire penser à la loi.
Ensuite, si ce livre était un animal, cela serait l,éléphant, car cet animal est intelligent et il émet des sentiments tout en restant calme.
Enfin, si ce livre était un plat cela serait du poisson avec du riz car ce plat est plutôt sain et traditionnel.

4. Le 03 octobre 2012, 15:10 par Lucille Houllier

Si cette œuvre était une couleur se serait la couleur rouge car c'est la couleur de la guerre ( joute verbal ) et ce serait le sang des pauvres versé pour les riches.
Ensuite si cette œuvre était un animal se serait un aigle car il représente la grande sagesse ( le père de Diderot ou le père Boin), l'autorité et le pouvoir (le Frémin) , et le courage ( le père qui voulait bruler le testament).
Enfin si cette œuvre était un plat, il serait épicé ( des fajitas) car il y a des arguments contraire et le "Moi" agresse ( presque ) le Docteur.

5. Le 03 octobre 2012, 16:33 par Flora Kelekian

Tout d'abord, si cette oeuvre était une couleur, se serait le gris. C'est le juste milieu entre "bien" et "mal" et c'est cette idée que l'on retrouve chez tous les personnages, ainsi que dans leurs opinions... ( le chapelier, le père, ont d'un coté l'impression qu'ils ont eu raison mais de l'autre, éprouvent des remords. )
D'autre part, si cette oeuvre était un animal se serait le caméléon car les personnages changent d'avis, se posent des questions et associent à la fois, loi, conscience, croyance et devoir.
Enfin, si cette oeuvre était un plat se serait un canard à l'orange ( le canard est d'apparence banale, animal de basse-cour et fade au goût quand il est seul ; mais peut-être très savoureux lorsqu'il est associé à un fruit sucré. ) Ainsi, ce mélange démontre que des affaires banales ( héritage ) peuvent être pimentées par des éléments imprévus, qui sortent de l'ordinaire.

6. Le 03 octobre 2012, 16:35 par Flora Kelekian

Tout d'abord, si cette oeuvre était une couleur, se serait le gris. En effet, c'est le juste milieu entre "bien" et "mal" et c'est cette idée que l'on retrouve chez tous les personnages, ainsi que dans leurs opinions... ( le chapelier, le père, ont d'un coté l'impression qu'ils ont eu raison mais de l'autre, éprouvent des remords. )
D'autre part, si cette oeuvre était un animal se serait le caméléon car les personnages changent d'avis, se posent des questions et associent à la fois, loi, conscience, croyance et devoir.
Enfin, si cette oeuvre était un plat se serait un canard à l'orange ( le canard est d'apparence banale, animal de basse-cour et fade au goût quand il est seul ; mais peut-être très savoureux lorsqu'il est associé à un fruit sucré ). Ainsi, ce mélange démontre que des affaires banales (héritage) peuvent être pimentées par des éléments imprévus, qui sortent de l'ordinaire.

7. Le 03 octobre 2012, 16:53 par Vincent Flores

Si cette oeuvre était une couleur, ce serait le blanc qui représente la loi juste ou injuste. Le blanc représente aussi la morale et l'éthique.
Si c'était un animal, ce serait un panda. Ses taches noires représenteraient l'execution de la loi sans penser à son opinion alors que son pelage blan représenterait la justice et la bienfaisance sans penser aux lois injustes.
Si c'était un plat, ce serait un mille-feuilles avec sa pâte dure qui représenterait la loi inflexible et sa crème qui représenterait la non conformité aux lois.

8. Le 03 octobre 2012, 17:31 par Marie-Elise Haddad

Si ce livre était une couleur il serait gris comme le ciel gris d’un orage d’automne car cela représente cette cruauté permanente envers les pauvres, le faite que tout l’héritage aille aux personnes riches alors que ce sont les indigents qui en auraient bien besoin.
Puis, si ce livre était un plat, ce serait un plat comme le canard à l’orange, un plat complètement contradictoire, comme le « moi » et le docteur Bissei qui ont des opinions très différentes sur la notion de sauver un crimminel.
Et enfin si ce livre était un animal ce serait un rhinocéros car il est imposant. Tous les animaux, petits ou grands, le respectent, il correspond très bien aux deux personnages, le père Bouin et le curé Thivet qui ont une grande influence et qui sont très imposants.

9. Le 03 octobre 2012, 17:43 par Alan Kassa

Si cette œuvre était une couleur ce serait le gris car c'est pour moi le meilleur représentation en couleur de deux idées qui s'opposent
Si cette œuvre était un animal ce serait un corbeau car il incarne le noir de cet ouvrage
Si cette œuvre était un plat ce serait un plat chaud-froid: le chaud serait pour les lois et le froid la liberté

10. Le 03 octobre 2012, 17:52 par Charline Gourgues

Premièrement, si cette oeuvre était une couleur ce serait le gris parce que dans le livre on retrouve toujours deux théories qui s'opposent, soit il faut respecter la loi mais cela nous semble injuste; soit c'est notre conscience qui nous pousse à enfreindre la loi : c'est notre éminence grise ! La vie est donc ni toute blanche ni toute noire c'est un mélange de contradictions.
De plus, si cette oeuvre était un plat ce serait des roses des sables car leurs formes irrégulières rappellent la forme du texte théâtre-récit.Et lorsque l'on en mange trop cela devient écoeurant, on a la même impression avec le livre si on lit trop de pages d'un coup il devient pénible et ennuyeux.
Enfin si cette oeuvre était un animal ce serait une girafe car ses nombreuses taches noires sur sa peau jaune rappellent les différentes annecdotes, histoires ou problèmes racontés par l'auteur. Son long cou majestueux nous fait également penser au langage soutenu utilisé par Diderot mais aussi au registre philosophique du texte qui donne une impression de puissance et de noblesse.

11. Le 03 octobre 2012, 18:14 par Maryne Fribourg

Tout d’abord, si cette œuvre serait une couleur, ce serait le blanc. En effet, cette couleur est le symbole de l’innocence, de la paix, qui fait référence à la justice dont on parle beaucoup dans ce livre, mais aussi car c’est la couleur de la colombe qui, elle-même, est l’emblème de la paix.
Ensuite, s’il s’agissait d’un animal, ce serait une chouette. D’une part parce que c’est l’un des symboles de la philosophie (il s'agit d'un conte philosophique) et d’autre part, elle représente la sagesse (il est question de "sagesse de la loi", d'après le père de Diderot).
Enfin, si ce serait un plat, il pourrait s'agir d'un dessert, tel que des fraises à la chantilly; les fraises, au goût sucré et légèrement acide, peuvent représenter le côté "tendu" des différents débats. Le mélange des deux saveurs peut aussi faire penser au dilemme qui est de savoir s'il faut respecter la loi, ou l'enfreindre.

12. Le 03 octobre 2012, 18:17 par Lucile Dassy

Si ce livre devait être une couleur, il serait gris : mélange du blanc pour la justice, l’esprit et la morale, et du noir pour les remords ou la culpabilité que peuvent ressentir les différents personnages.
S’il devait être un animal, il serait un cygne : doté de deux aspects contradictoires (en apparence noble, harmonieux et pur, il peut faire preuve de méchanceté et de froideur), on peut l’assimiler aux personnages qui ne savent que faire entre respecter les lois ou suivre leur propre conscience (la raison ou les sentiments). Plus généralement, ce texte peut nous sembler simple (un échange de points de vue entre les personnages) mais est cependant beaucoup plus profond (l’écriture utilisée comme «arme de combat » par Diderot).
Enfin, si cette œuvre devait être un plat, elle serait une assiette landaise : composée de multiples ingrédients avec des goûts, des textures et des couleurs différentes tout en restant organisée, elle représenterait la diversité des opinions des personnages menant un débat structuré.

13. Le 03 octobre 2012, 18:23 par Fortuny Benoît

Si cette œuvre était un annimal ce serai l'hyppocampe car il est évident que ce sois la femmelle qui porte les enfants, alors que dans le cas présent c'est le contraire, ce qui appuis le faite de contadiction.
Si cette œuvre était une couleur ce serait le gris car c'est pour moi le meilleur représentation en couleur de deux idées qui s'opposent
Si cette oeuvre étais un plat ce serai un plat sucré-salé.

14. Le 03 octobre 2012, 18:51 par Coutteel Malcolm

Pour commencer, si ce texte etait une couleur ce serait le gris car dans ce livre il y a un débat argumenté notament par le choix de suivre la loi ou de suivre sa conscience.Je trouves que cette couleur represente bien le mélange des deux idées.
Ensuite si c'etait un animal ce serait un morse car c'est un animal calme et reflechis mais il peut devenir agressif pour defendre sa cause comme le "moi" dans ce texte.
Pour finir si c'etait un plat je pense que je pencherai plus vers un bon poulet au curry , a la fois simple mais épicé comme les debats , ils partent d'une idée simple mais sont vraiment approfondis par les arguments de chacun.

15. Le 03 octobre 2012, 19:00 par Tcheupi Kamga Xavier

Si cette oeuvre était une couleur selon moi ce serait la couleur grise qui est le mélange du blanc et du noir qui sont tout deux des couleur opposée mais qui tout deux forment le juste milieu entre ce que l'on considère de bien ou de mal.
Par la suite si cette oeuvre était un animal ce serait le lion qui pour moi représente la justice car il est le seule dans la savane a pouvoir juger et condamner les autres animaux .
Et pour finir si cette oeuvre était un plat sa serais un plat très épicé avec beaucoup de piment brûlant car pour moi cela représente les conséquences de se mettre au dessus des lois et de vouloir faire la justice soit même.

16. Le 03 octobre 2012, 19:02 par Marie-Anais Do Rozario

Si cette oeuvre était une couleur ce serait le gris car c'est le mélange du blanc, couleur de la sagesse (Docteur Bissei) et le noir, couleur de l'opposition ("moi"), cela représente donc deux thèses qui s'opposent.
Si cette oeuvre était un plat ce serait un plat avec un grand mélange de n'importe quoi, c'est à dire les différentes thèses présentent dans le livre.
Si cette oeuvre était un animal ce serait un aigle car il symbolise la grande sagesse, l'autorité, le pouvoir et la communication. Car le texte est en grande partie un dialogue, le père représente l'autorité et la sagesse.

17. Le 03 octobre 2012, 19:12 par Roxane Dos Santos

Tout d'abord, si cette oeuvre était une couleur, ce serait le rouge car il incarne la chaleur, le feu autour duquel discutent le père de Diderot, ses enfants et leurs invités, au sujet d'histoires personnelles. Il évoque également la colère de Diderot ("Le Moi") envers le médecin de son père, le Docteur BISSEI. Il perd son sang froid face à lui lorsqu'ils débattent sur l'éventualité de sauver un patient criminel.
Ensuite, si cette oeuvre était un animal, ce serait un caméléon qui change de couleurs selon son environnement. Dans ce livre, on assiste en effet à de nombreux dilemnes entre le père de Diderot, ses enfants et des personnes extérieures qui confrontent leurs points de vue religieux, philosophiques ou légaux.
Pour finir, si cette oeuvre était un plat, ce serait une salade de fruits mélangeant des saveurs acides, amères et sucrées. L'acidité symboliserait le choix du père de Diderot d'avoir hésité à honorer le voeu du défunt curé. L'amertume représenterait son regret de ne finalement pas avoir brûlé le testament léguant l'héritage aux indigents. Enfin, le sucré exprimerait la pensée philosophique de Diderot, sage et raisonnable.

18. Le 03 octobre 2012, 19:32 par Karim Samuel

Pour commencer, si ce livre devrait être comparé a une couleur pour ce serait le gris.
Le blanc représenterais la justice et le noir pour la culpabilité des différents personnages
Ensuite, si cette oeuvre étais un animal ce serait un caméléon, le caméléon a la faculté de changer de couleur et dans ce livre les personnes ce contredise sans cesse
Pour finir, si cette oeuvre étais un plat ce serait un plat chaud et épicé comme le dialogue permanent tout au long du texte

19. Le 03 octobre 2012, 19:56 par Malory Gouverneur

Tout d'abord, si cette oeuvre était une couleur, ce serait le gris car c'est une couleur qui représente le mélange entre la loi (blanc) et son avis personnel (noir).
Puis, si cette oeuvre était un plat, ce serait une pizza. La pâte représenterait la loi, toujours la même, sur laquelle on peut mettre les ingrédients que l'on veut, notre avis.
Enfin, si cette oeuvre était un animal, ce serait un poisson car il ouvre beaucoup la bouche pour ne rien dire comme la conversation qui part dans tous les sens sans vraiment aboutir.

20. Le 03 octobre 2012, 20:26 par Delsalle Alizée

Si cette œuvre était un plat, ce serait des lasagnes dont les différentes couches qui composent le plat correspondraient aux différents cas et anecdotes exposés dans l’histoire.
Si cette œuvre était une couleur, ce serait le blanc car il est le résultat d’un mélange de plusieurs couleurs, et donc dans le livre cela correspondrait au mélange des différents points de vus.
Si cette œuvre était un animal, ce serait un coq car il représente la puissance et l’agressivité, qui sont présentes dans le dialogue.

21. Le 03 octobre 2012, 20:39 par Cyprien Richard

si cette oeuvre était une couleur se serait du bleu car le bleu est plutôt neutre mais fais un peu référence a la convivialité qui peut faire penser a une discussion en famille
si cette oeuvre était un animal se serait un tigre car le tigre est agressif
si cette oeuvre etait un plat se serait une choucroute car on ne sait pas trop sur quoi tombé.

22. Le 03 octobre 2012, 20:46 par Oèl Neyod

Pour le commencement, si cette oeuvre de Diderot devrait s'associer à une couleur, cette dernière serait le bleu, symbole de la tolérance, de la bonté et d'un contrôle réfléchi, reflétant ainsi la spiritualité du Père qui, selon moi, est le personnage le plus essentiel à l'oeuvre. En effet, tout au long du récit, il réfléchira à deux fois avant d'agir sans suivre stupidement la loi, répondra toujours avec respect, et sera doté d'une extrême compassion (lorsqu'il doit annoncer la triste nouvelle aux miséreux légataires, il nous annonce qu'il n'avait jamais autant souffert de sa vie). Les autres personnages, bien qu'essentiels au déroulement de l'intrigue, me paraissent bien moins équilibrés et sains (Le moi est arrogant, parfois agressif, la soeur ne parle que trop peu...).

 Ensuite, si ce conte philosophique devrait être un animal, je le comparerai avec une baleine à bosse, être vivant réputé pour son chant grave, mélodieux et extrêmement tonitruant, symbolisant ainsi la force des différentes joutes verbales pouvant faire polémique car elles parlent toutes,sans exceptions, de l'aspect de la loi, qui peut paraître soi absurde, soit égalitaire, juste en fonction du contexte dans lequel elle est employée. Ce conte dénonce alors l'instabilité de la loi, qui peut profiter au plus bon comme au plus mauvais, tout est question de textes et de la façon dont on se sert de ces textes, ne laissant ainsi plus place à la véritable justice.
 Pour finir, si cette oeuvre avait l'incongruité d'être un plat, elle serait une pizza, mais pas n'importe quelle pizza, une pizza où  vous auriez le pouvoir d'y ajouter n'importe quel ingrédient, et qui restera toujours exquise, car c'est ce qui se ressent à la lecture de ce conte, des personnages rentrent dans l'action, d'autres en sortent, quelques un reviennent, les sujets des combats oratoires, bien que tournant autour de la loi, sont bien différents, uniques, mais malgré tout ce mélange, toute cette troupe de protagonistes dans un si petit récit, l'oeuvre reste agréable à lire car nous pouvons facilement prendre part à ces dialogues argumentés, en nous forgeant notre propre opinion, en nous imaginant répondre à tous ces personnages.
23. Le 03 octobre 2012, 21:13 par Czubek Perrine

Si ce roman devrait être une couleur se serait le gris, mélange homogéne de blanc et de noir comme le pour et le contre d'enfreindre la lois dans cet ouvrage.
S'il devrait etre un plat se serait une ratatouille où pleins de choses se mélangent pour représenter les différentes histoires racontées sans cesse entre-coupées par d'autre et qui donne l'impression au lecteur de se perdre dans cette masse, de ne plus retrouver ni le début ni la fin de chaqu'une d'entre elle.
S'il devrait etre un animal se serait un hérisson. Petite bete mignonne en apparence mais qui se roule en boule et pique lorsqu'il doit se défendre ( ici les different personnages qui révélent leur agressivité pour défendre leur thèse).

24. Le 03 octobre 2012, 21:21 par Corentin Gautier

Si cette oeuvre était une couleur, ce serait le gris : le mélange du blanc, symbolisant la loi et le noir qui correspond à la pensée des personnages qui est parfois en contradiction avec la loi.
Si c'était un animal ce serait un lion, qui représente la loi, la justice qui doit toujours être respectée.
Si c'était un plat ce serait une salade qui représenterai les lois et les avis différents abordés dans cette oeuvre :
A chaque bouché, une saveur différente, à chaque page un avis ou une loi différente.

25. Le 03 octobre 2012, 22:03 par jurmand paul

si c’était un animal se serait un coq car l'attitude du "moi" et vraiment très française ( et le coq est l’emblème des français ) si c'était un plat se serrai un plat sucré salé pour le respect de l'ordre et la prise sur soi de ne pas avoir de jugement ( maturité) et si c’était une couleur ce serrait le gris : blanc pour la justice et noir pour le coté obscure du "moi" qui ne veut pas guérir un criminel

26. Le 04 octobre 2012, 07:12 par julien Giordano

Si cette oeuvre était une couleur ce serait le noir car c'est une oeuvre où la mort est souvent évoquée. (mort du chanoine vigneron)
si cette oeuvre était un animal ce serait un maki vari car son pelage est dominé par le blanc, qui rappelle le thème principale de l'oeuvre, la loi. Le peu de noir qu'il a, incarne les passages sombres de l'oeuvre.
Si cette oeuvre était un plat ce serait la choucroute car c'est un plat familial qui représente dans l'oeuvre le dialogue d'un père avec ses enfants (moi, mon frère, ma soeur) ainsi qu'avec l'abbé, le docteur et le prieur.

27. Le 04 octobre 2012, 09:48 par maxime jacquet

si cette oeuvre était une couleur se serait le gris car c'est un débat mouvementé entre la médecine et la justice
si cette oeuvre était un animal se serait un hippopotame car il est calme et impulsif
si cette oeuvre était un plat se serait un poulet a la moutarde car c 'est tendre et piquant

28. Le 04 octobre 2012, 15:46 par Madame Tostivint

Bravo pour ces portraits chinois! nous en parlons demain. Pour vous relancer dans la réflexion et l'écriture, je vous indique deux sites utiles pour la rédaction d'un article critique:
http://batailles-rois-elephants.blo...

http://cdi.ac-dijon.fr/peda/ecritur...
Vos textes sont à écrire à la suite de cette page!

29. Le 04 octobre 2012, 19:24 par Lackner Zoé

Je pense que si je devais attribuer une couleur à ce livre, ce serais le vert. En effet, le vert est le mélange de deux couleurs : le jaune, qui est une couleur chaude représenterais la justice, et le bleu, une couleur froide qui symboliserais l'injustice. De plus, le tout donnerais une couleur froide, ce qui signifie qu'en lisant le livre, il me donne pour certains cas un sentiment d'injustice qui me laisse froide. Si ce livre était un anima, se serait un âne, car chacun des personnages défend une thèse, mais aucun d'eux ne changent d'avis, trop têtus pour reconnaître leurs erreurs. Enfin, si ce livre philosophique était un plat, se serait des tortillas (plat mexicain) car ce plat est froid comme le livre de Diderot, épicé comme les arguments des personnages, et on peut aussi y mettre plein d'aliment qui donnent quand même un bon ensemble.

30. Le 04 octobre 2012, 21:46 par Giordano Sarah

Tout d'abord, si ce roman était une couleur ce serait la couleur argenté. En effet, elle montre le mélange de deux couleurs opposées qui représente les oppositions des personnages dans ce roman. De plus dans ce roman revient souvent des histoires d'argent d'où la couleur argenté (argent, écu, francs, louis...) dans les différentes anecdotes racontées.

  Ensuite, ci ce serait un animal ce serait la pie. Elle caractérise les oppositions par les couleurs de son plumage (noir et blanc). Elle est connu pour son attirance pour tout ce qui brille et pour ces vols, ce qui caractérise assez bien certains personnages. 
  Enfin, si ce roman était un plat ce serait un rôti de porc aux pruneaux, un plat sucré salé.
31. Le 04 octobre 2012, 23:06 par mathieu labarthe

si ce livre etait une couleur se serait le noire representant la robe d'un juge , qui applique la loi .
si ce livre etait un animal se serait un caméléon car il a differentes couleurs et dans le livre il ya beaucoup de dilemmes .
si ce livre etait un plat se serait une paela car c'est un plat et les personnage du texte son de la meme famille .

32. Le 08 octobre 2012, 17:28 par Frauciel tess

Diderot: Le pardon en question



Si vous cherchez à être rassuré sur l’éternité de la question philosophique de la morale face aux exigences sociales, lisez ou relisez l’œuvre de Diderot « Entretien d’un père avec ses enfants »paru en 1773. La force du propos où s'exprime tout l'esprit des Lumières n'a rien à envier à la structure du texte qui mêle une série de récits enchâssés sous la forme originale du dialogue.

L’auteur, qui s’est déjà illustré dans plusieurs ouvrages ne laissant aucun doute sur sa tolérance et son humanisme , nous invite à nous reposer la question du pardon : doit-on être condamné à vie par la société pour avoir pour une fois franchi les limites de la loi ? Un homme qui a failli dans sa vie est-il définitivement condamné ? Même si Diderot incarne le "moi"qui défend le principe de l'impossibilité pour l'homme de racheter ses fautes, l'auteur n'en dénonce pas moins la société et la justice des hommes. Le fond est puissant. Diderot comme Voltaire lutte contre l’obscurantisme et questionnent les lecteurs. Diderot se fait « l’avocat du diable », le diable étant ceux qui se rangent du coté du « moi » c'est-à-dire du coté de la loi. Rappelons que Diderot est d’autant plus concerné par la question de la faute et du pardon de la société, ayant lui-même été emprisonné quelque mois.

Il choisit habilement le conte philosophique, comme d'autres l'on fait avant lui sous l'âge d'or du siècle des Lumières, cette forme lui permettant d'échapper au risque de la censure et de séduire par la même son lectorat.
Si le propos est audacieux et la question fondamentale pour qui s'intéresse à l'Homme, la forme de cette oeuvre se distingue par son originalité. Le recours au dialogue permet à Diderot d'installer une discussion morale et philosophique sous une forme apparemment légère, le lecteur échappant à l'ennuie par le biais de ce mélange de discours directe et indirecte. Cette audace ne nuit pas du tout à la force de l'argumentation et laisse émerger l'esprit critique propre à l'époque. Loin des certitudes, l'écriture de Diderot dans cette oeuvre souligne les contradictions d'une pensée qui cherche une vérité sans jamais l'imposer. Elle est utilisée comme une arme de combat.

Vous aurez compris que ce livre appartient au registre philosophique dans toute se puissance et sa noblesse. On en ressort assurément plus dubitatif que gonflé de certitudes. En cela, Diderot atteint son but qui est de nous faire sans cesse nous interroger pour replacer toujours l'Homme au centre de toute réflexion.

33. Le 08 octobre 2012, 17:29 par Frauciel tess

Diderot: Le pardon en question



Si vous cherchez à être rassuré sur l’éternité de la question philosophique de la morale face aux exigences sociales, lisez ou relisez l’œuvre de Diderot « Entretien d’un père avec ses enfants »paru en 1773. La force du propos où s'exprime tout l'esprit des Lumières n'a rien à envier à la structure du texte qui mêle une série de récits enchâssés sous la forme originale du dialogue.

L’auteur, qui s’est déjà illustré dans plusieurs ouvrages ne laissant aucun doute sur sa tolérance et son humanisme , nous invite à nous reposer la question du pardon : doit-on être condamné à vie par la société pour avoir pour une fois franchi les limites de la loi ? Un homme qui a failli dans sa vie est-il définitivement condamné ? Même si Diderot incarne le "moi"qui défend le principe de l'impossibilité pour l'homme de racheter ses fautes, l'auteur n'en dénonce pas moins la société et la justice des hommes. Le fond est puissant. Diderot comme Voltaire lutte contre l’obscurantisme et questionnent les lecteurs. Diderot se fait « l’avocat du diable », le diable étant ceux qui se rangent du coté du « moi » c'est-à-dire du coté de la loi. Rappelons que Diderot est d’autant plus concerné par la question de la faute et du pardon de la société, ayant lui-même été emprisonné quelque mois.

Il choisit habilement le conte philosophique, comme d'autres l'on fait avant lui sous l'âge d'or du siècle des Lumières, cette forme lui permettant d'échapper au risque de la censure et de séduire par la même son lectorat.
Si le propos est audacieux et la question fondamentale pour qui s'intéresse à l'Homme, la forme de cette oeuvre se distingue par son originalité. Le recours au dialogue permet à Diderot d'installer une discussion morale et philosophique sous une forme apparemment légère, le lecteur échappant à l'ennuie par le biais de ce mélange de discours directe et indirecte. Cette audace ne nuit pas du tout à la force de l'argumentation et laisse émerger l'esprit critique propre à l'époque. Loin des certitudes, l'écriture de Diderot dans cette oeuvre souligne les contradictions d'une pensée qui cherche une vérité sans jamais l'imposer. Elle est utilisée comme une arme de combat.

Vous aurez compris que ce livre appartient au registre philosophique dans toute se puissance et sa noblesse. On en ressort assurément plus dubitatif que gonflé de certitudes. En cela, Diderot atteint son but qui est de nous faire sans cesse nous interroger pour replacer toujours l'Homme au centre de toute réflexion.

34. Le 08 octobre 2012, 17:29 par Frauciel tess

Diderot: Le pardon en question



Si vous cherchez à être rassuré sur l’éternité de la question philosophique de la morale face aux exigences sociales, lisez ou relisez l’œuvre de Diderot « Entretien d’un père avec ses enfants »paru en 1773. La force du propos où s'exprime tout l'esprit des Lumières n'a rien à envier à la structure du texte qui mêle une série de récits enchâssés sous la forme originale du dialogue.

L’auteur, qui s’est déjà illustré dans plusieurs ouvrages ne laissant aucun doute sur sa tolérance et son humanisme , nous invite à nous reposer la question du pardon : doit-on être condamné à vie par la société pour avoir pour une fois franchi les limites de la loi ? Un homme qui a failli dans sa vie est-il définitivement condamné ? Même si Diderot incarne le "moi"qui défend le principe de l'impossibilité pour l'homme de racheter ses fautes, l'auteur n'en dénonce pas moins la société et la justice des hommes. Le fond est puissant. Diderot comme Voltaire lutte contre l’obscurantisme et questionnent les lecteurs. Diderot se fait « l’avocat du diable », le diable étant ceux qui se rangent du coté du « moi » c'est-à-dire du coté de la loi. Rappelons que Diderot est d’autant plus concerné par la question de la faute et du pardon de la société, ayant lui-même été emprisonné quelque mois.

Il choisit habilement le conte philosophique, comme d'autres l'on fait avant lui sous l'âge d'or du siècle des Lumières, cette forme lui permettant d'échapper au risque de la censure et de séduire par la même son lectorat.
Si le propos est audacieux et la question fondamentale pour qui s'intéresse à l'Homme, la forme de cette oeuvre se distingue par son originalité. Le recours au dialogue permet à Diderot d'installer une discussion morale et philosophique sous une forme apparemment légère, le lecteur échappant à l'ennuie par le biais de ce mélange de discours directe et indirecte. Cette audace ne nuit pas du tout à la force de l'argumentation et laisse émerger l'esprit critique propre à l'époque. Loin des certitudes, l'écriture de Diderot dans cette oeuvre souligne les contradictions d'une pensée qui cherche une vérité sans jamais l'imposer. Elle est utilisée comme une arme de combat.

Vous aurez compris que ce livre appartient au registre philosophique dans toute se puissance et sa noblesse. On en ressort assurément plus dubitatif que gonflé de certitudes. En cela, Diderot atteint son but qui est de nous faire sans cesse nous interroger pour replacer toujours l'Homme au centre de toute réflexion.

35. Le 10 octobre 2012, 09:19 par madame Tostivint

Tess! quel bel article! quelques petits conseils même si ce que tu écris est de grande qualité: plus de références précises à l'oeuvre de Diderot et davantage de liens avec les portraits chinois ci-dessus: cela donnera un caractère plus personnel à ton texte. Au niveau de la longueur, c'est tout à fait cela que je demande. Bon courage à tous.

36. Le 10 octobre 2012, 15:10 par Robin De Sousa

Une bonne leçon:

"Entretien d'un père avec ses enfants ou Du danger de se mettre au-dessus des lois" est livre hybride théâtral/récit plutôt philosophique de Diderot, l'un des philosophe des lumières. Ce livre fut parût en 1773.
Nous, lecteur, pouvons assister tout au long du récit un longue joute verbale, un débat entre deux "camps" sur la problématique « Faut-il sauver de la maladie un criminel condamné à mort si l’on est médecin ? » nous avons alors le camps du docteur Bissei qui préfèrerait le guérir en suivant le serment d'Hippocrate, puis à l'opposé le "moi" qui symbolise le narrateur Diderot qui voudrait plutôt le laisser mourir pour l'acte qu'il aurait fais dans le passer, il veut jouer le rôle du "bon citoyen". Nous avons l'impression d'assister un cour d'école car chacun surtout le "moi" veut expliquer à l'autre pourquoi il a raison et veut donner sa morale.
Bien que le livre soit de plus en plus dur à suivre on peut y accorder de importance grâce au débat mouvementé de "moi" et du docteur. Ce qui intéressant car le lecteur n'a donc qu'une seule envie c'est d'intervenir afin de s'exprimer. On sent donc la liberté d'expression importante ce qui nous fais penser à une citation de Voltaire un philosophe des Lumières encore une fois: « Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire. »
Ce qui peut nous faire aimer ce livre c'est que ce sujet peut être encore d'actualité il nous fait évidement penser à la peine de mort.
Pour conclure, nous comprenons que ce livre appartient au registre philosophique car on peut tous avoir de différents points de vue c'est ce qui fait de ce livre un livre original et intéressant.
J'achève donc cette critique littéraire en espérant que le livre vous subjuguera. Bonne lecture!
Robin De Sousa

37. Le 10 octobre 2012, 16:13 par Lucille Houllier et Maryne Fribourg

Vous voulez développer votre esprit critique ? Prendre part à un débat ? Alors ce livre vous est destiné !
Entretien d’un père avec ses enfants est un conte philosophique, publié en 1773 et rédigé par Denis Diderot (1713-1784). Célèbre écrivain et philosophe du siècle des Lumières, Diderot était fils de coutelier de Langres, issu d’une famille d’artisans aisés. Il commence à développer ses propres pensées philosophiques, mais en 1749 il est emprisonné au château de Vincennes suite à la publication d’un de ses ouvrages matérialiste. Pendant 20 ans, il se voue à la rédaction de l’Encyclopédie (première encyclopédie française, éditée de 1751 à 1772) dont il est l’instigateur avec D’Alembert.
Diderot se lie avec Rousseau et fait la connaissance de Grimm, par son intermédiaire. Celui-ci publie l’œuvre de Diderot dans la Correspondance littéraire du 1er Mars 1771 en le faisant précéder d’un éloge.
« Entretien d’un père avec ses enfants » est un conte, portant sur la morale sociale, les problèmes de succession et les rapports de la loi à la moralité des actions. Sur son lit de mort, le père de Diderot raconte à ses deux fils, sa fille et un docteur, la difficulté qu’il a eu lors d’une affaire de legs, à trancher entre justice légale et justice morale. Mais ce ne sera pas le seul et unique débat concernant la légalité… Ce livre renferme des trésors philosophiques et une arme de combat contre la justice !

Si ce livre était à résumer en 3 mots, ce serait convaincre, persuader et délibérer !
En effet, Diderot se sert du dialogue comme d’une arme essentielle dans le combat des Lumières pour faire progresser l’esprit critique, puisque ce sont des questions/réponses qui s’enchainent sur le mode socratique, dans le but de faire émerger une vérité. Ce conte cherche à redonner vie au dialogue philosophique car il est porté sur la nécessité de devoir toujours respecter les lois et au rôle que doit jouer le « bon citoyen » dans la société, il rattache ainsi au quotidien une réflexion philosophique et morale en choisissant des exemples concrets et en impliquant les interlocuteurs, notamment par le biais de situations fictives ! Par exemple, l’un des gros dilemmes est celui de l’héritage, puisque le père de Diderot a été appelé pour régler l’héritage du curé de Thivet, il a dû faire appliquer un testament dépossédant la famille pauvre du défunt au profit de riches libraires parisiens. Ce livre est admirable car il tente de combattre contre l’injustice. Rares sont les livres dont l’intrigue est si prenante, où le lecteur peut se placer d’un coté ou d’un autre ! Il est facile de se mettre dans la peau des personnages, on prend naturellement part au débat, en rentrant dans l’histoire. En lisant cette œuvre, vous vous rendrez compte que les délibérations portant sur les divers exemples d’injustices et les éventuels manquements légitimes à la justice, sont fondées. Chaque personnage s’exprime de manière claire et précise. « Entretien d’un père avec ses enfants » est imagé par la couleur grise. En effet, c'est le juste milieu entre le "bien" et "mal" et c'est cette idée que l'on retrouve chez tous les personnages, ainsi que dans leurs opinions... (le chapelier, le père, ont d'un coté l'impression qu'ils ont eu raison mais de l'autre, éprouvent des remords). C’est une sorte de caméléon philosophique, qui change de couleurs selon son environnement, ici, selon les points de vue religieux, philosophiques ou légaux. Ce livre est rendu très séduisant grâce à l'argumentation indirecte qui détourne en partie l'attention de la censure !
Nous terminerons par vous inciter à dévorer cette merveille littéraire, en espérant qu’elle vous captivera !

38. Le 10 octobre 2012, 16:57 par RIchard-Malcolm

Le pardon :
Le livre "entretien d'un père avec ses enfants" évoque la difficulté de choisir entre laissé mourir un meurtrier ou le soigner. C'est un roman hybride entre le théâtre et le récit écrit par Diderot, parut en 1773.
Il est issus d'une famille d'artisan aisé Il commence a développer ses propres idées philosophiques mais il est emprisonné au château de Vincennes a cause de l'un de ses ouvrage marqué par le matérialisme
Il a vécut au siècle des lumière, il choisit d'écrire des comptes philosophiques pour éviter le censure et a aussi dirigé l'écriture de l'encyclopédie pendant 20 ans.
Diderot nous a déjà montrer par plusieurs ouvrages sa tolérance et son humanisme.

Le roman est un débat qui oppose la justice a la morale, le docteur face au moi, le docteur suis l'éthique imposé par son travail et par le serment d'Hippocrate alors que le moi joue sur le coter morale de l'affaire. Dans ce livre Diderot traite aussi l'un des grand dilemmes que celui de l'héritage comme dans l'affaire de l'héritage du curé de Thivet dont l'héritage devrai aller a la famille du défunt, qui sont pauvre et cela les aiderais grandement mais le père Diderot retrouve un testament dans lequel il est écrit que le curé cede sa fortune a de riche libraire parisien

Pour nous cette oeuvre pourrais etre symboliser par un plat, une couleur et un animal.
- pour le plat se serait une choucroute car le texte est tres diversifier et l'on tombe sur plusieurs saveur.
- pour la couleur se serait du gris pour montrer la neutraliter ressenits dans ce texte, on retrouve des arguments immorale (noir) et morale (blanc) qui donne une teinte grise qui est un juste milieu.
- pour l'animal se serait un morse car c'est un animal calme et reflechis mais il peut devenir agressif pour defendre sa cause comme le "moi" dans le debat avec le docteur.

Nou vous conseillons de prendre le temps pour lire cette ouvrage car c'est une oeuvre passionnante, unique et qui vous fera beaucoup réfléchir...
nous espérons qu'il vous sera aussi agréable a lire qu'il l'a été pour nous !

39. Le 10 octobre 2012, 17:53 par Charline Gourgues

Vous avez des problèmes d’insomnies ? Vous avez beau avoir essayé tous les remèdes possibles et inimaginables mais rien à faire vous ne fermez pas l’œil de la nuit ? J’ai votre solution ! Je vous conseille de lire « Entretien d’un père avec ses enfants ou Du danger de se mettre au dessus des lois » de Diderot.

En effet, Denis Diderot est un écrivain français renommé, il a dirigé l’Encyclopédie pendant 20 ans, c’est également un grand philosophe des Lumières qui s’illustre dans de nombreux combats contre l’injustice. Malheureusement son livre « Entretien d’un père avec ses enfants ou Du danger de se mettre au dessus des lois », que Grimm publie dans la Correspondance littéraire du 1er mars 1771, n’est pas à la hauteur des espérances attendues ni du talent de son auteur !



Dans cette œuvre Diderot raconte une soirée passée en famille autour du foyer convivial ; son père, sa sœur et son frère ainsi que d’autres convives qui font leur apparitions durant l’intrigue tentent de répondre à cette question « Faut-il respecter la loi même lorsqu’elle est injuste ? ». Chacun leur tour ils évoquent différents cas concrets pour trouver une solution à ce dilemme.



Certes c’est un texte très moraliste et philosophique, cela fait réfléchir le lecteur cependant quand une personne désire lire un roman ou un livre c’est pour se reposer, se détendre et apprécier la lecture et non se retrouver face à du « chinois » ! En effet, le vocabulaire ancien employé n’est pas à la portée de tous et les syntaxes de phrases sont souvent incompréhensibles ; on est obligé de s’arrêter toutes les cinq lignes pour chercher la définition d’un mot dans un dictionnaire ! Ce n’est pas un plaisir mais plutôt une corvée !

De plus il y a beaucoup trop de personnages : Moi, sa sœur, son frère, son père, le docteur Bissei, le père Bouin, Mme d’Isigny, un géomètre … On en oublie la moitié et leurs apparitions soudaines en plein milieu d’une intrigue n’arrangent pas la chose ! En effet, le lecteur doit faire part d’une grande concentration car les différentes anecdotes sont entrecoupées et interrompues, on perd donc facilement le fil de l’histoire ! C’est un immense labyrinthe, le lecteur ne se rappelle pas par quel chemin il est venu ; c’est un véritable casse tête !

Ce livre est également une intrigue très répétitive toujours basée sur le même style de construction : un personnage expose une situation problématique, un débat prend donc lieu. Chaque interlocuteur argumente et défend son point de vue seulement aucun des deux ne change d’avis et accepte l’opinion de l’autre. Prenons l’exemple du Docteur Bissei qui a dû aller à l’encontre des exigences naturelles de sa conscience, comme le lui imposaient les règles déontologiques de sa profession, en soignant un homme dont il connaissait les crimes. Il a donc respecté le Serment d’Hippocrate alors que le « moi » est catégoriquement opposé à cette façon d’agir et déclare qu’il aurait laissé mourir le patient au lieu de lui apporter ses soins. On est donc face à des personnages têtus et peu sympathiques. De plus on se retrouve avec deux thèses complètement opposées, le lecteur est par conséquent pris à parti, il représente le juge qui doit donner son verdict seulement c’est impossible car chaque histoire est un dilemme cornélien ! Le lecteur se sent partagé, frustré, indécis, il ne peut pas faire de choix. Ce livre met donc le lecteur mal à l’aise, dans une position inconfortable ce qui n’est pas un point positif !



L’auteur parle aussi beaucoup de religion avec par exemple le cas du chanoine Vigneron, dont la famille de Diderot a été tentée de cacher la mort, pour ne pas perdre un canonicat, une distinction qui n’avait pas encore été attribué au moment du décès. Cependant, cela n’est plus d’actualité comme l’a dit le philosophe allemand Nietzsche « Dieu est mort », en effet, au jour d’aujourd’hui nous vivons dans une civilisation où les croyances n’influencent plus nos actes et nos façons de penser. Il faut donc moderniser ce livre qui date de l’âge de pierre !

Les sujets de certaines des anecdotes se ressemblent fortement. On y retrouve souvent un problème d’argent ou d’héritage avec une constante opposition entre les pauvres et les riches. Par exemple, le père de Diderot explique que pour l’ héritage du curé de Thivet, il a dû faire appliquer un testament dépossédant la famille, pourtant très pauvre, du défunt au profit de riches libraires parisiens, ou bien, le chapelier soumet à l’auditoire son propre cas : après le décès de sa femme, aux soins de laquelle il a consacré sa jeunesse, il ne lui reste que des dettes. Il ne sait pas s’il doit rendre une partie de sa dot aux héritiers de son épouse, ou enfreindre la loi et s’approprier l’héritage, qu’il estime avoir mérité. On a donc deux histoires très similaires, le lecteur a l’impression de se relire ! Il y a trop de répétitions dans l’œuvre ce qui la rend agaçante à la longue !

Par conséquent, même si ce conte philosophique ne contient qu’une quarantaine de pages,  au bout des quinze premières  déjà on suffoque tellement c’est harassant ! C’est un livre que l’on commence mais que jamais on termine ! Parfait pour trouver le sommeil !
40. Le 10 octobre 2012, 17:57 par Charline Gourgues

Vous avez des problèmes d’insomnies ? Vous avez beau avoir essayé tous les remèdes possibles et inimaginables mais rien à faire vous ne fermez pas l’œil de la nuit ? J’ai votre solution ! Je vous conseille de lire « Entretien d’un père avec ses enfants ou Du danger de se mettre au dessus des lois » de Diderot.

En effet, Denis Diderot est un écrivain français renommé, il a dirigé l’Encyclopédie pendant 20 ans, c’est également un grand philosophe des Lumières qui s’illustre dans de nombreux combats contre l’injustice. Malheureusement son livre « Entretien d’un père avec ses enfants ou Du danger de se mettre au dessus des lois », que Grimm publie dans la Correspondance littéraire du 1er mars 1771, n’est pas à la hauteur des espérances attendues ni du talent de son auteur !



Dans cette œuvre Diderot raconte une soirée passée en famille autour du foyer convivial ; son père, sa sœur et son frère ainsi que d’autres convives qui font leur apparitions durant l’intrigue tentent de répondre à cette question « Faut-il respecter la loi même lorsqu’elle est injuste ? ». Chacun leur tour ils évoquent différents cas concrets pour trouver une solution à ce dilemme.

Certes c’est un texte très moraliste et philosophique, cela fait réfléchir le lecteur cependant quand une personne désire lire un roman ou un livre c’est pour se reposer, se détendre et apprécier la lecture et non se retrouver  face à du « chinois » ! En effet, le vocabulaire ancien employé n’est pas  à la portée de tous et les syntaxes de phrases sont souvent incompréhensibles ; on est obligé de s’arrêter  toutes les cinq lignes pour chercher la définition d’un mot dans un dictionnaire ! Ce n’est pas un plaisir mais plutôt une corvée !

De plus il y a beaucoup trop de personnages : Moi, sa sœur, son frère, son père, le docteur Bissei, le père Bouin, Mme d’Isigny, un géomètre … On en oublie la moitié et leurs apparitions soudaines en plein milieu d’une intrigue n’arrangent pas la chose ! En effet, le lecteur doit faire part d’une grande concentration car les différentes anecdotes sont entrecoupées et interrompues, on perd donc facilement le fil de l’histoire ! C’est un immense labyrinthe, le lecteur ne se rappelle pas par quel chemin il est venu ; c’est un véritable casse tête !

Ce livre est également une intrigue très répétitive toujours basée sur le même style de construction : un personnage expose une situation problématique, un débat prend donc lieu. Chaque interlocuteur argumente et défend son point de vue seulement aucun des deux ne change d’avis et accepte l’opinion de l’autre. Prenons l’exemple du Docteur Bissei qui a dû aller à l’encontre des exigences naturelles de sa conscience, comme le lui imposaient les règles déontologiques de sa profession, en soignant un homme dont il connaissait les crimes. Il a donc respecté le Serment d’Hippocrate alors que le « moi » est catégoriquement opposé à cette façon d’agir et déclare qu’il aurait laissé mourir le patient au lieu de lui apporter ses soins. On est donc face à des personnages têtus et peu sympathiques. De plus on se retrouve avec deux thèses complètement opposées, le lecteur est par conséquent pris à parti, il représente le juge qui doit donner son verdict seulement c’est impossible car chaque histoire est un dilemme cornélien ! Le lecteur se sent partagé, frustré, indécis, il ne peut pas faire de choix. Ce livre met donc le lecteur mal à l’aise, dans une position inconfortable ce qui n’est pas un point positif !



L’auteur parle aussi beaucoup de religion avec par exemple le cas du chanoine Vigneron, dont la famille de Diderot a été tentée de cacher la mort, pour ne pas perdre un canonicat, une distinction qui n’avait pas encore été attribué au moment du décès. Cependant, cela n’est plus d’actualité comme l’a dit le philosophe allemand Nietzsche « Dieu est mort », en effet, au jour d’aujourd’hui nous vivons dans une civilisation où les croyances n’influencent plus nos actes et nos façons de penser. Il faut donc moderniser ce livre qui date de l’âge de pierre !

Les sujets de certaines des anecdotes se ressemblent fortement. On y retrouve souvent un problème d’argent ou d’héritage avec une constante opposition entre les pauvres et les riches. Par exemple, le père de Diderot explique que pour l’ héritage du curé de Thivet, il a dû faire appliquer un testament dépossédant la famille, pourtant très pauvre, du défunt au profit de riches libraires parisiens, ou bien, le chapelier soumet à l’auditoire son propre cas : après le décès de sa femme, aux soins de laquelle il a consacré sa jeunesse, il ne lui reste que des dettes. Il ne sait pas s’il doit rendre une partie de sa dot aux héritiers de son épouse, ou enfreindre la loi et s’approprier l’héritage, qu’il estime avoir mérité. On a donc deux histoires très similaires, le lecteur a l’impression de se relire ! Il y a trop de répétitions dans l’œuvre ce qui la rend agaçante à la longue !

Par conséquent, même si ce conte philosophique ne contient qu’une quarantaine de pages,  au bout des quinze premières  déjà on suffoque tellement c’est harassant ! C’est un livre que l’on commence mais que jamais on termine ! Parfait pour trouver le sommeil !
41. Le 10 octobre 2012, 18:01 par Marie Anais Do Rozario & Alizée Delsalle

Faut-il respecter la loi même lorsqu’elle est injuste ?

Vous aimez les débats, réfléchir à des choses du passé, imaginer quels auraient été les autres solutions à ses débats , alors le livre « Entretien d’un père avec ses enfants » de Denis Diderot est fait pour vous ! Ce livre a été paru en 1773 mais je vous assure qu’il écrit d’une façon fluide. Ce livre est un conte moral, entre récit et théâtre, entre questions sur des sujets encore d’actualité.

Diderot (1713-1784) n’en ai pas à son premier roman pourtant celui là a quelque chose de particulier. En effet il s'agit d'un dialogue entre le père de moi (soit l'auteur), sa soeur, son frère et un docteur. Ces cinq personnages principaux nous font part d’un débat sur la loi qui a mené à plusieurs interrogations comme « Doit-on sauver un homme au passé criminel ? » ou bien sur le testament du père. Nous pouvons donc comparer ce livre à un mélange de couleur dont le tout donnera du gris car tout au long du livre nous assistons à un affrontement entre la sagesse du père et à l’opposition des autres. Ce livre amène votre réflexion au sommet pour les plus passionnés... Seulement pour les personnes qui n’aiment pas réfléchir lorsqu’ils lisent un livre, puisque pour eux la lecture est un moyen de détente, alors il n’est pas adapté à votre opinion. Car dans ce livre beaucoup de questions s’accumulent comme une pizza où l’on ajouterait des ingrédients au fur et à mesure. Le personnage n’est autre que le père car il fait preuve d’une grande sagesse, d’une incomparable autorité, d’un pouvoir suprême (référence à la prêtrise) et d’un immense courage… Toutes ces qualités ne peuvent être comparées qu’à un aigle !!!

Pour résumé ce livre n’est pas destiné à tout le monde mais seulement à ceux qui aiment la réflexion. A la question « Faut-il respecter la loi même lorsqu’elle est injuste ? » beaucoup répondront sans jugement mais lorsque vous lisez le livre votre opinion est s’en doute changée. Alors je vous conseille de prendre le temps de réfléchir en lisant ce livre puisqu’il mérite réflexion et non distraction !

42. Le 10 octobre 2012, 18:20 par Lucile Dassy

ENTRETIEN INTEMPOREL AVEC DIDEROT

Denis Diderot (né en 1713 et mort en 1784), fils de coutelier né à Langres, est destiné à une vie religieuse. Cependant, celui-ci part pour des études à Paris où il commence alors à se créer son identité littéraire à travers des réflexions philosophiques qui lui sont propres. Il devient alors une des figures emblématiques des philosophes des Lumières. En 1771, son œuvre culte Entretien d’un père avec ses enfants est partiellement publiée dans la Correspondance Littéraire de Grimm, puis paraît entièrement en 1773 dans Contes moraux et nouvelles idylles de D… et Salomon Gessner. Comme un mélange de plusieurs saveurs, de plusieurs goûts, contenus dans seulement quelques pages, cette œuvre soulève des questions et une réflexion intemporelle.
Faut-il respecter la loi même lorsqu’elle crée les injustices ? Est-il nécessaire de toujours devoir respecter les lois et de jouer le rôle de « bon citoyen » dans la société ? C’est autour de ces questions qu’un père et ses trois enfants débattent par le biais d’opinions opposées, interrompus par de nombreux protagonistes (comme l’abbé, le chapelier, le géomètre, le prieur etc) qui prennent également part à cette discussion morale. En plus de ces intervenants, l’auteur invite le lecteur à participer au débat, en tant que personnage invisible et indispensable, que chaque intervenant essaie de convaincre par ses idées. L’intervention de chaque interlocuteur, la diversité des propos, apportent une grande vivacité au dialogue, comme un goût acide, un élément qui pimente une œuvre comme un plat. Un réel chef d’œuvre littéraire !
A mi-chemin entre le dialogue et le conte philosophique, cette œuvre incontournable de la littérature française possède deux types d’argumentation, soit deux grandes armes littéraires utilisées par Diderot (« moi » dans le texte) : une argumentation directe, modélisée par le dialogue (« MON PERE : et qu’en dit la philosophie ? – MOI : La philosophie se tait où la loi n’a pas le sens commun… »), et une argumentation indirecte, modélisée par le genre du conte (« C’était en hiver, nous étions assis autour de lui, devant le feu, l’abbé, ma sœur et moi.»). Cette dualité permet à l’auteur de passer à travers la censure. Diderot ne cherche pas ici à apporter au lecteur les réponses aux questions qu’il génère ni à lui prouver une quelconque puissance d’esprit, comme le lion montrant aux autres animaux sa supériorité et sa force, mais cherche à ce que le lecteur prenne du recul vis-à-vis de son rapport à la loi. Il ne s’agit donc pas seulement de pointer les injustices du doigt, mais aussi de se poser les bonnes questions par rapport à celles-ci. Différencier justice légale et justice morale. Savoir que la justice peut créer l’injustice. On retrouve alors ici l’universelle marque du siècle des Lumières, soit le fait de placer l’Homme, ses créations et ses questionnements au centre des débats tout en gardant le principe de tolérance.
A son époque, Diderot a posé à travers ce livre un questionnement qui est toujours d’actualité ce que témoigne de la profondeur de sa réflexion et de la grandeur de son talent. C’est alors un entretien intemporel; Diderot pourrait en débattre avec ces mêmes personnes aujourd’hui encore. Une œuvre immanquable !

43. Le 10 octobre 2012, 19:03 par LABARTHE Mathieu ; JACQUET Maxime

Faut-il toujours respecter les lois pour etre juste ?

Entretien d'un père avec ses enfants est écrit par Diderot (1713 - 1784) en 1773 et rééditer par Flammarion en texte intégral en 2010.
Diderot est l'un des auteurs les plus significatif du mouvement européen du 18ème siècle appelé "les Lumières". Ce mouvement intellectuel s'interroge de manière permanente sur le fonctionnement de la société, rejette les grand principes moraux, politiques, religieux et législatifs les plus commun afin de trouver la voie du bonheur et de la liberté humaine.

Dans cette oeuvre, Diderot incite le lecteur a la reflexion autour d'une question centrale : la loi doit elle toujours etre respecter meme lorsque son application est injuste?

L'auteur permet au lecteur de comprendre sa reflexion en utilisant une serie de petit recit avec differents personnages mis en situation .L'utilisation du dialoguie facilite ainsi la comprehension , donne du rythme a la lecture et met le lecteur en scene . Par exemple un medecin doit il soigner un assassin au risque que celui ci recidive ? Ou bien un homme qui a donne sa vie a sa femme pour la soigner et la cherie peut il legitimement garder son heritage pour solder ses dettes et s'autoriser a vivre ?

Voici deux illustration que utilise Diderot pour faire converser et mettre en perspective les idees contradictoire .

La question centrale entre justice , ideal et morale reste un sujet de pleine actualite et cette reflexion devrait etre la notre de maniere quotidienne sans pour autant y rechercher une forme de verite.

44. Le 10 octobre 2012, 20:06 par Lackner Zoé

En quoi "Entretien d'un père avec ses enfants" est t'il un roman different des autres contes philosophiques ?

"Entretien d'un père avec ses enfants" a été écrit par Denis Diderot (1713 - 1784 ).Diderot est un grand philosophe du siècle des lumières et a dirigé la célèbre "Encyclopédie" possédant des articles philosophiques.

"Entretien d'un père avec ses enfants" est un roman philosophique où Denis Diderot est lui même un personnages de l'histoire. Le récit est entre la pièce de théàtre et l'histoire raconté ce qui est original. En effet, le nom des personnages qui vont prendre la parole est indiqué mais le texte contient aussi des passages narratifs.

L'histoire raconte une des soirées que passent D. Diderot, sa soeur, son frère ( qu' il surnomme "l'abbé" ) et son père, quand ce dernier etait encore vivant (mais qui, je pense, allait bientôt mourir ). Le père, homme de sagesse et de confiance, respecté de tous, raconte à ses enfants des situations où il a dû débattre avec des hommes sur la loi et ses injustices.

Je ne sais pas si le récit est réel ou en partie inventé car, bien que les personnages aient existés ( ou du moins pour la famille de Denis Diderot ), les faits n' étaient peut être pas réels.
Le texte est dense et le récit progresse rapidement ce qui ne le rend pas ennuyeux.
Quand le lecteur lit le livre, il rentre directement dans l'histoire. Le lecteur prend part aux débats et choisit une des thèses défendues, les débats pourraient être d'actualité (ex: Père Bouin, le Docteur Bissei...) . Les arguments des débats sont, de plus, interessants et variés.
Les personnages ne laissent pas indifferents le lecteur. Pour ma part, je me suis attachée à certains personnages et d'autres m'ont énervée.

Pour conclure, "Entretien d'un père avec ses enfants" se démarque des autres livres philosophiques que j' ai lu ( "Candide" et "Microméga" ). Il est plus accessible que les autres qui sont moins entraînants et plus difficiles à comprendre, Diderot veut sans doute toucher plus de monde.

45. Le 10 octobre 2012, 20:18 par Marie Anais et Alizée (final)

Faut-il respecter la loi même lorsqu’elle est injuste ?

   Vous aimez les débats, réfléchir à des choses du passé, imaginez quels auraient été les autres solutions à ses débats , alors le livre « Entretien d’un père avec ses enfants » de Denis Diderot est fait pour vous ! Ce livre a été paru en 1773 mais je vous assure qu’il est écrit d’une façon fluide. Ce livre est un conte moral, entre récit et théâtre, entre questions sur des sujets encore d’actualité.
   Diderot (1713-1784) n’en est pas à son premier roman pourtant celui là a quelque chose de particulier. En effet il s'agit d'un dialogue entre le père de moi (soit l'auteur), sa soeur, son frère et un docteur. Ces cinq personnages principaux nous font part d’un débat sur la loi qui a mené à plusieurs interrogations comme « Doit-on sauver un homme au passé criminel ? » ou bien sur le testament du père. Nous pouvons donc comparer ce livre à un mélange de couleur dont le tout donnera du gris car tout au long du livre nous assistons à un affrontement entre la sagesse du père et à l’opposition des autres. Ce livre amène votre réflexion au sommet pour les plus passionnés... Seulement pour les personnes qui n’aiment pas réfléchir lorsqu’ils lisent un livre, puisque pour eux la lecture est un moyen de détente, alors il n’est pas adapté à votre opinion. Car dans ce livre beaucoup de questions s’accumulent comme une pizza où l’on ajouterait des ingrédients au fur et à mesure. Le vrai personnage principal n’est autre que le père car il fait preuve d’une grande sagesse, d’une incomparable autorité, d’un pouvoir suprême (référence à la prêtrise) et d’un immense courage… Toutes ces qualités ne peuvent être comparées qu’à un aigle !!!
   Pour résumer ce livre n’est pas destiné à tout le monde mais seulement à ceux qui aiment la réflexion. A la question « Faut-il respecter la loi même lorsqu’elle est injuste ? » beaucoup répondront sans jugement mais lorsque vous lisez le livre votre opinion est s’en doute changée. Alors je vous conseille de prendre le temps de réfléchir en lisant ce livre puisqu’il mérite réflexion et non distraction !
46. Le 10 octobre 2012, 20:35 par Malory && audrey

Réflexion :

Entretient d’un père et ses enfants ou Du danger de se mettre au-dessus des lois est écrit par Denis Diderot. Diderot est une des figures emblématiques des Lumières. Ce roman est un conte philosophique mêlant récit et théâtre pour permettre une réflexion moral concrète et efficace. Ce texte est parut dans la Correspondance de Grimm en 1771. De plus, ce conte philosophique met en évidence une question : Faut-il respecter la loi même lorsqu’elle est injuste ? Tout au long du texte, le père de Diderot et ses enfants (dont Diderot en tant que « moi ») vont tenter de répondre à cette question tout en étant constamment interrompu par de nombreuses visites tel que le docteur Bissei ou encore le Géomètre qui ne feront qu’ajouter leur avis et lancer de nouveaux débats.

Diderot choisit d’écrire son ouvrage sous forme de conte philosophique ce que lui permet de d’échapper à la censure tout en séduisant le lecteur. De plus, il décide d’utiliser un dialogue délibératif : les personnages exposent leurs arguments et c’est ensuite au lecteur de décider. L’utilisation du dialogue est aussi une technique osée utiliser par l’auteur pour rendre ses arguments plus pertinent et installer un certain rythme au récit.

Ce livre puisent sont intérêt dans le fait que tous les points de vue y soit abordés. Ce texte peut être illustré par le gris car on y trouve un parfait équilibre entre le « bien » et le « mal » dans les opinions des personnages. De plus, les sujets traités dans l’œuvre ont encore de l’impacte aujourd’hui comme par exemple la joute verbal sur « faut-il sauver un patient malgré sont passé criminel » qui fait toujours débat sous le nom d’euthanasie.

Pour terminer, nous vous conseillons de lire cette œuvre qui vous fera énormément réfléchir sur plusieurs mœurs de la société en rapport avec la loi.

47. Le 10 octobre 2012, 20:36 par Marie-Elise Haddad

Diderot, tout un débat.
Denis Diderot (1713-1784) célèbre écrivain et philosophe du siècle des Lumières, publie en 1773 l’entretien d’un père avec ses enfants.
Cet entretien n’est ni un roman ni une fable c'est un conte, alors partez pour une histoire ni trop longue ni trop courte. Vous serez emmené dans un tourbillon de dialogues entre des personnes tellement vraies.
Dès les premiers mots vous allez vous demander où vous êtes, le rideau se lève et tour à tour les personnages, un père, une sœur, un frère, un abbé et Diderot lui-même, sont mis en scène. Le magnifique jeu d’alternances des débats vous séduira. Ces entretiens, qui malgré les deux siècles qui nous séparent de celui-ci, sont toujours aussi contemporains.
Un homme, quelque soit sa sagesse ou sa justesse, a-t-il le droit de décider en son âme et conscience, prendre une décision, changer le cours d’une vie, d’un passé, par son action ou doit il se référer à la loi et laisser les hommes de lois décider ?
Là est la question qui se pose tout au long de ce récit qui met en scène autant d’acteurs différents de la société que d’événements, à chacun ses certitudes et ses réponses La spontanéité des réactions immédiates des acteurs au style direct vous séduira.
Vous serez pris par cet échange qui nous donne à réfléchir sur les points de vue des uns et des autres sans jamais pouvoir décider de la meilleure solution.
Ces mots au final peuvent laisser un gout amer de « non solution », nous dire que la justice n’est pas toujours celle que l’on pense et qu’il n’est pas aisé de la rendre. Vous pourrez choisir votre position !
Lire ce livre va vous emmener à appréhender différemment les décisions de justice et leur limite.

Il s’agit là d’un livre philosophique à lire impérativement.
48. Le 10 octobre 2012, 20:43 par dana nour

Si vous vous ennuyer, et que vous etes à cour de lecture que vous rechercher un conte philosophique ou vous voulez développer votre morale d'esprit ou tout simplement vous voulez vous rendre plus intelligent ?....

 Le conte "Entretien d'un père avec ses enfants" ou du "Danger de se mettre au dessus des lois" est le conte idéale pour vous.                                                            
Ce conte est apparu en 1773  et c'est un texte hybride contenant du récit et du dialogue.     
 Nous sommes alors à ce fameux siècle des lumières  qui est un mouvement culturel, scientifique et surtout philosophique dont Denis Diderot a appartenu.
   Denis Diderot (1713-1784) n'est pas tout de suite devenu auteur , il  fait des études à Paris et succède les universités.                                                                    En 1746, il fait confiance à son savoir et publie sa première œuvre: "les pensées philosophiques" qui sera jeté au feu par le parlement.

En 1747, il prend la direction de « l'Encyclopédie » avec d'Alembert.
Il publiera ensuite de nombreuses œuvres dont "jacques le fataliste", "La religieuse"......

   Mais comment développer sa liberté d'expression et son esprit philosophique  quand on est sans cesse surveiller?

C'est ce que Diderot a dut subir durant toute sa vie....

    Dans son conte (qui n’est en réalité pas un conte) "Entretien d'un père avec ses enfants", Diderot décide de redonner vie au dialogue philosophique.

En effet durant tout le texte, chaque sujet amène a un dialogue mouvementée et vivant entre les personnages ce qui peut faire penser à un couscous algérien très épicé :-) .

  On en a un vrai exemple dans le passage entre le "Moi" et le docteur, ils débattent alors sur la question "Peut-on sauver et doit-on soigner un homme au passé criminel?" le docteur est alors persuader de sa thèse, il est fidèle au serment d'Hippocrate et à la déontologie médicale, il doit guérir son patient sans préjugés.

En revanche le "Moi" lui cherche à absolument convaincre son ami que s'il sauve un criminel, celui-ci peut récidiver et devenir un danger pour la société. Le "Moi" veux montrer qu'il se comporte en bon citoyen qui doit honorer le république et devoir toujours respecter les lois.
Ce débat peut-être qualifié de "joute verbale" entre deux adversaires et c'est un débat éthique (moral) et polémique.
En effet, Diderot se sert du dialogue comme d’une arme essentielle dans le combat des Lumières pour faire progresser l’esprit critique, puisque ce sont des questions/réponses qui s’enchainent dans le but de faire émerger une vérité juste.
Par ce genre d'écriture, en tant que lecteur on se sent intéressé et on développe notre propre avis sur la question, c'est ça la philosophie, elle nous fait réfléchir.

     Son titre :"Entretien d'un père avec ses enfants" est appelé ainsi car c'est sur son lit de mort que le père de Diderot raconte à ses deux fils, sa fille et un docteur, le choix difficile qu'il devait faire lorsqu'il s'occupait une nuit d'une paperasse de papier et qu'il découvrit le testament du curé de thivet qui lui recommandait de donner son héritage aux légataires universels les frémin, des riches libraires et non pas à des dizaines de miséreux pauvrement vêtu.

A ce moment là, le père de Diderot qui était un homme bon, juste et aimé de ses concitoyens eut un grand mal à choisir entre sa conscience qui pourrait être représentée par la couleur bleu(pour le néant, le calme ,la décision entre le bien et le mal) , qui lui indiquait d'aider les pauvres et son devoir(qui pourrait être représenter par la couleur blanche (pour la loi stricte et inviolable).
Si ce livre était un animal, je pense que ce serait un papillon malin car chaque homme sur terre possède un avis propre à lui-même qui s'est forgé par son expérience personnelle et il est difficile de le changer. Mais lorsqu'il est partagé avec d'autres personnes (lors d'un débat par exemple), la nymphose vient et on "s'épanouit" en défendant son propre avis et en écoutant également l'avis des autres.

  Durant tout le texte des opinions différentes sont partagés mas elles font souvent  intervenir: la moralité, la conscience, le devoir, la loyauté, le pouvoir, la réflexion, la sagesse, l'autorité, la croyance, le regret, le pardon, la justice, l'argumentation.......

C'est ce qui fait de ce conte un réel conte philosophique.

Maintenant,

Si vous aimez beaucoup réfléchir moralement.....                                                         
 Compliquez toutes les questions des  débats  les plus simples.......

Et n'en jamais voir la fin ....Ce texte est fait pour vous!!!!!!!

49. Le 10 octobre 2012, 20:47 par Dos Santos Roxane

Diderot en question

Entretien d'un père avec ses enfants, aussi appelé Du danger de se mettre au-dessus des lois, est un livre au registre philosophique, rédigé par Denis Diderot. Cet auteur et philosophe célèbre du siècle des Lumières publia son œuvre en 1773. Né en 1713, il était fils de coutelier de Langres, issu d’une famille d’artisans aisés. Il refusa une carrière ecclésiastique pour se consacrer entièrement au développement de ses propres réflexions philosophiques, à Paris. Il écrira de nombreux romans, se passionnera pour le théâtre, deviendra critique d’art et publiera des ouvrages de philosophie et de science. En 1749, un de ses ouvrages, marqué par le matérialisme, lui vaudra d’ailleurs un séjour en prison au château de Vincennes. Quelques mois plus tard, il sera libéré et durant vingt longues années, il rédigera lui-même près de mille articles de l’Encyclopédie, luttant sans cesse contre la censure.

Alors que le père de Diderot vit ses derniers instants, ses fils et sa fille, ainsi que leurs différents invités discutent, autour du foyer familial, d’histoires personnelles. Ce livre original raconte une série de dilemmes. Plus particulièrement celui du Père de Diderot qui, autrefois, eu un véritable cas de conscience. Il fut en effet tourmenté au sujet d’un testament découvert par hasard. Il douta alors entre honorer le vœu d’un défunt curé ou au contraire, brûler ce testament léguant ainsi l'héritage aux indigents. Tout au long du roman, il hésite longuement à se mettre au dessus des lois en laissant le legs aux démunis quitte à en éprouver une grande culpabilité ou bien suivre la justice en donnant l’héritage aux riches tout en acceptant une vie de remords.

Cet ouvrage de Diderot vous fera certainement réfléchir et développer votre esprit critique grâce à de multiples questions d’éthique. Cette œuvre recèle de questions morales, philosophiques et légales. C’est une véritable joute verbale, un combat entre plusieurs adversaires. À travers toutes sortes d’injustices, les différents orateurs offrent des points de vue contradictoires et défendent leur thèse avec vigueur. Vous, lecteurs, pourrez prendre partie à ces débats animés et argumentés et ainsi conforter votre propre opinion en la partageant inévitablement avec l’un des protagonistes, comme si vous participiez personnellement à ces combats oratoires.

Lecteurs, vous pourrez aisément vous identifier à l’un des nombreux personnages. Le père de Diderot, par exemple, incarne l’autorité ; Diderot, la pensée philosophique ; le Père Bouin et le Curé de Thivet, la sagesse et l’influence. Si vous cherchez un livre où la monotonie n’existe pas, et bien ce conte philosophique est fait pour vous. En effet, cette œuvre hybride, mélangeant théâtre et récit, reprend la tradition des dialogues philosophiques antiques de Socrate, évitant toute trace d’ennui.

Vous pourrez également vous penchez sur l’une des questions existentielles présentes dans ce livre. Le médecin du père de Diderot, le Docteur BISSEI, ainsi que Diderot lui-même, débattent de l'éventualité de soigner un patient criminel. Sur cette simple interrogation, Diderot perd son sang froid face à son interlocuteur. Comment cette question du quotidien a-t-elle bien pu mettre Diderot dans un tel état, alors qu’il incarne dans ce roman la sagesse et la raison ? Pour le découvrir, ainsi que pour découvrir le choix du père de Diderot, il ne vous reste plus qu’à vous procurer cette œuvre ! Elle renferme encore bien des surprises, n’hésitez donc pas à la lire et la relire !

50. Le 10 octobre 2012, 21:33 par Corentin et julien

Vous êtes captivé ou intéressé par la philosophie des lumières, alors ce livre est pour vous !
Le livre Entretient d’un père avec ses enfants ou du danger de se mettre au-dessus des lois a été écrit par Denis Diderot (1713-1784), célèbre philosophe des lumières, en 1773. Il s’est illustré dans le roman et le théâtre mais il est également connu pour son grand ouvrage, l’encyclopédie, qui expose l’ensemble des connaissances universelles de façon méthodique.
Pour bien comprendre les enjeux du texte il faut rappeler que les philosophes des lumières remettent en cause les autorités politiques mais aussi religieuses. Ils combattent contre les injustices et défendent l’idée de tolérance, la liberté de pensée et la liberté d’écrire. Entretient d’un père avec ses enfants est un conte philosophique qui aborde la question « Faut-il respecter la loi si celle-ci est injuste ». Autour d’un feu de cheminée le père de Diderot, ses enfants et leurs invités, s’efforcent de répondre à cette question.
A travers ce conte, Denis Diderot accentue l’esprit des philosophes des lumières et redonne vie au dialogue philosophique qui progresse grâce à un jeu de questions et de réponses. Il dénonce les injustices dans un cadre réaliste. Parmi les interlocuteurs qui animent le dialogue, Diderot a choisi de faire intervenir l’abbé et le prieur pour représenter la religion et le magistrat pour représenter la politique. Il utilise les autres protagonistes afin de donner et de développer plusieurs exemples d’injustices. Au siècle des lumières la politique et la religion sont remises en cause. Ce livre symbolise le combat des lumières car les différentes joutes verbales pouvant faire polémique, parlent toutes, sans exceptions, de l'aspect de la loi, qui peut paraître honnête, soit inégalitaire, juste en fonction du contexte dans lequel elle est employée. Au tout début de ce livre le père fait le récit de la succession du curé de Thivet et fait part de son hésitation à brûler un testament qui était manifestement injuste.
Ce conte philosophique que rédige Diderot permet au lecteur de réagir et de réfléchir sur les différents cas d’injustice qui existaient à l’époque à la fois sur le plan religieux et politique.

51. Le 10 octobre 2012, 23:21 par paul jurmand

<entretien d'un père avec ses enfants ou du danger de se mettre au dessus des lois> est un livre écrit par Denis Diderot ( parut en 1773) ce roman est un mélange de récit et de théâtre,constitué pour une grande part de dialogues.
Le sujet est intéressant : l'oeuvre traite de l'opposition entre la justice et la morale .
Diderot est issu d'une famille d’artisan ( aisé). C' est un philosophe opprimé, enfermé un temps au château de Vincennes à cause d'un ouvrage marqué par le matérialisme . Il est est devenue l'un des philosophes des lumières ( au XIXème siècle) grâce à ses idées
prônant la tolérance et l humanisme. Il est réputé pour avoir dirigé l'écriture de l'encyclopédie pendant 20 ans .
Le roman expose le débat qui oppose la justice à la morale .Ces notions sont représentées dans le texte par le docteur et le "moi" .Le médecin utilise le serment d’Hippocrate pour soutenir sa thèse : son travail est de soigner les gens et non des les juger ; chacun doit
rester à sa place et chaque métier a sa signification. Tandis que le"moi" qui représente la morale utilise comme arguments pour soutenir ses idéaux le "sentimentale" ,"les émotions" .Il s'appuie sur un fait et demande au médecin sa réaction en pareille situation: une
personne qu'il a soignée, récidive ou tue un de ses proches . Mais le médecin qui respecte son serment d'Hippocrate et qui croit en la justice lui expose une autre vision des chose,puisqu'il ne partage pas son opinion . Le "moi" finit par s'emporter un peu et tente de se
mettre même à la place du médecin pour lui prouver son erreur de jugement.Mais malgré cela, chacun reste sur ses positions .
Si je devait mettre un adjectif pour les définir je choisirais: "sagesse" pour le docteur et pour le "moi" ce serrait "obtus" .
Si je devais représenter cette oeuvre par un portrait chinois ( plat , couleur , animal) pour moi ce serrait:
-le gris:mélange du blanc de la justice et du noir de la morale.
-le chien car il est le meilleur ami de l'homme et que dans le texte le docteur est "bon",puisque' il est prêt à sauver tous ses prochains,même un criminel . Mais le chien peut aussi devenir agressif et perdre son sang froid quand il s'agit de défendre son territoire comme
le fait le "moi" pour son opinion.
-du poulet tandori avec du riz ,car le riz et le poulet se marient très bien et symboliseraient donc les idées du docteur ( le medecin soigne et le juge décide des sentence) .L'un sans l'autre sont un peu sans intérêt ,alors que les 2 assemblés font un ensemble succulent.
Quant au tandori,il représenterait le "moi" car le poulet est bon mais l’épice dessus est très piquante comme le "moi" qui au début est calme et explique son point de vue sereinement et d'un coup s’énerve pour l'expliquer et se bloque sur son idée et n’écoute rien
d'autre ( le poulet bon au début et le tandori qui attaque le palet juste après le bon goût du poulet).
je vous conseille de vous procurer ce livre au plus vite car il est intéressant et que nous nous sommes déjà tous posé la question de ce qu'on ferait dans ce cas .Donc de voir les points de vue des personnages est vraiment instructif. De plus on s'identifie forcément à un
des personnages , ce qui permet de rentrer dans l'histoire facilement. En d'autres termes ce livre est prenant .

52. Le 11 octobre 2012, 09:59 par Bouvard Océane - Rascol Valentine

Entretien d'un père avec ses enfants ou La loi semble t-elle injuste ?

Si vous aimez les contes morales, philosophiques, échangeant plusieurs idées allant jusqu'à l'injustice de la loi, alors cette œuvre est fait pour vous !

Entretien d'un père avec ses enfants , œuvre de Diderot , édité part Etonnant Classique et parut pour la première fois en 1771 dans la correspondance de Grim. Diderot est un auteur du siècle des lumières il a aussi diriger la célèbre Encyclopédie pendant 20 ans. Cette œuvre parle d'un père qui raconte à ses enfants de nombreux récits ? Il parle essentiellement du cas de la conscience auquel Diderot est confronté dans son passé. Il est appelé pour régler l'héritage de curé de Thivet destiné à une famille très pauvres malheureusement il tombe sur un testament lui ordonnant le contraire, il doit donc donner l'héritage a de riches libraires parisiens.

Entre conscience et loi que doit-on choisir ?

Pour ma part j'ai beaucoup apprécier cette œuvre mélangeant idées jugement et loi. Dans ce livre beaucoup de questions s’accumulent en effet nous avons l'impression de déguster une pizza tout au long du récit. La pâte serait la loi qui reste inchangée et les ingrédients représenteraient les différents points de vue des personnages.
Je trouve que la réflexion du père de Diderot est très intéressante, on dirait même que c'est une torture d'esprit. Il n'arrive pas à choisir entre ça conscience (donner l'héritage aux pauvres) et la loi (qui lui dit de donner cette héritage à une riche famille libraire parisienne). Cette réflexion progresse par un jeu de questions réponses qui s'enchaînent dans le but de faire émerger une vérité. Diderot utilise une argumentation de manière direct et sans prendre le risque d'ennuyer le lecteur. Cependant un lecteur qui ne prend pas le temps de bien réfléchir durant la lecture de cet œuvre, ne pourra effectivement pas comprendre la moral dissimuler sous cette joute verbale.
Si nous comparons cet œuvre à une couleur se serait du gris (mélange de noir et de blanc) le noir qui représenterait la loi immoral, souvent injuste et le blanc pour la conscience et la moralité. Toute fois le philosophe rappelle que même si les lois sont imparfaites et mal adaptées aux cas particuliers, elles sont pour les hommes indispensables.

Pour conclure, je vous conseille fortement cet œuvre qui se démarque des autres livres philosophiques que j' ai lu comme Candide. En effet elle est le résumé parfait de loi, justice et conscience.

Le lecteur peut facilement s'identifier a l'un des personnages selon son point de vue. Qui choisirais la loi ? Qui choisirais la conscience ?

53. Le 11 octobre 2012, 10:07 par Bouvard Océane - Rascol Valentine

Entretien d'un père avec ses enfants ou La loi semble t-elle injuste ?

Si vous aimez les contes morals, philosophiques, échangeant plusieurs idées allant jusqu'à l'injustice de la loi, alors cette œuvre est fait pour vous !

Entretien d'un père avec ses enfants , œuvre de Diderot , édité part Etonnant Classique et parut pour la première fois en 1771 dans la corespondance de Grim. Diderot est un auteur du siècle des lumières il a aussi diriger la célèbre Encyclopédie pendant 20 ans. Cette œuvre parle d'un père qui raconte à ses enfants de nombreux récits ? Il parle essensiellement du cas de la conscience auquel Diderot est confronté dans son passé. Il est appelé pour régler l'héritage de curé de Thivet destiné à une famille très pauvres malheuresement il tombe sur un testament lui ordonnant le contraire, il doit donc donner l'héritage a de riches libraires parisiens.

Entre conscience et loi que doit-on choisir ?

Pour ma part j'ai beaucoup apprécier cette œuvre mélangeant idées jugement et loi. Dans ce livre beaucoup de questions s’accumulent en effet nous avons l'impression de déguster une pizza tout au long du récit. La pate serait la loi qui reste inchangée et les ingrédients représenteraient les différents points de vue des personnages.
Je trouve que la réflexion du père de Diderot est très intérrésante, on dirait même que c'est une torture d'esprit. Il n'arrive pas à choisir entre ça conscience (donner l'héritage aux pauvres) et la loi (qui lui dit de donner cette héritage à une riche famille libraire parisienne). Cette réflexion progrèsse par un jeu de questions réponses qui s'enchaînent dans le but de faire émerger une vérité. Diderot utilise une argumentation de manière direct et sans prendre le risque d'ennuyer le lecteur. Cependant un lecteur qui ne prend pas le temps de bien réfléchir durant la lecture de cet œuvre, ne pourra effectivement pas comprendre la moral dissimuler sous cette joute verbale.
Si nous comparons cet oeuvre à une couleur se serait du gris (mélange de noir et de blanc) le noir qui représenterait la loi immoral, souvent injuste et le blanc pour la conscience et la moralité. Toute fois le philosophe rappelle que même si les lois sont imparfaites et mal adaptées aux cas particuliers, elles sont pour les hommes indispensables.

Le lecteur peut facilement s'identifier a l'un des personnages selon son point de vue. Qui choisirais la loi ? Qui choisirais la conscience ?

Pour conclure, je vous conseille fortement cet œuvre qui se démarque des autres livres philosophiques que j' ai lu comme Candide. En effet elle est le résumé parfait de loi, justice et conscience.

54. Le 11 octobre 2012, 12:30 par madame Tostivint

Bon bon bon....En tout cas, il y a du travail!
Je vous conseille de lire le texte de Charline, le meilleur à mes yeux pour l'instant: bonne tonalité, le point de vue du lecteur est bien exploité.
Bonne sortie demain.
Madame Tostivint.

55. Le 11 octobre 2012, 13:55 par Doyen Fortuny

Fortuny Benoit
Doyen—Clément Léo
1ère S7
Critique de Entretien d’un père avec ses enfants, ou du danger de se mettre au dessus des lois, de Diderot

Entretien d’un père avec ses enfants, ou un joyeux mélange :

Quoi de meilleur qu’un conte philosophique de Diderot mélant la loi et la raison donnant un mélange onctueux et subtile ! Dans ce nectar de la littérature française par excellence, Diderot nous conte l’entretien d’un père et de ses trois enfants autour d’un bon feu, dans lequel appraîtront différents personnages et débats philosophique tous portant sur le dilème du choix entre la loi et la raison.

 Dans ce magnifique conte, l’élément essentiel du récit est  le père de Diderot, en effet, tout au long du récit, il réfléchira à deux fois avant d'agir sans suivre stupidement la loi, répondra toujours avec respect, et sera doté d'une extrême compassion. Par exemple, lorsqu'il doit annoncer la triste nouvelle aux miséreux légataires : « …et, tout au travère de ce tumulte, c’était les cris aigus des enfants qu’ils partagaient, sans savoir pourquoi, le déséspoir de leurs parents, qui s’attachaient à leurs vêtements et qui en étaient inhumainement repousés. Je ne crois pas avoir jamais autant souffert de ma vie. », comment ne pas être en admiration devant un tel personnage sensible, fort, qui vit pour les autres avant de vivre pour lui-même. Dans chaque débat, son avis est primordiale et on l’attend avec impatience. Lorsqu’il n’intervient pas, on peut voir comment les autres se débrouillent, comme lors du débat entre le Moi et le docteur Bissei où à la fin, le débat est moin pertinant et n’aura pas avancé car aucun des deux n’a réussi  à convaincre l’autre.

De plus, à la lecture de ce resplendissant texte, nous avons l’impression de manger une pizza ,mais pas n'importe quelle pizza, une pizza où vous auriez le pouvoir d'y ajouter n'importe quel ingrédient, et qui restera toujours exquise, car c'est ce qui se ressent à la lecture de ce conte, des personnages rentrent dans l'action, d'autres en sortent, quelques un reviennent, tout ce mélange fait ressentir au lecteur une délicieuce dégustation car même si ce mélange paraît compliqué à premier abord, il est finalement accéssible à tous de par sa clarté et la simplicité de ce language commun malgrés le fait que le livre à étais ecrit au 18eme siecle.
En outre, l'oeuvre reste agréable à lire car nous pouvons facilement prendre part à ces dialogues argumentés, en nous forgeant notre propre opinion, en nous imaginant répondre à tous ces personnages, venant du fait que les sujets des joutes oratoires sont encore d’actualité, ce sont donc des sujets polémiques, qui peuvent faire grand bruit, c’est pourquoi nous prenons grand plaisir à la lecture de ce conte.

Pour finir, le personnage du Moi est très intéréssant car on lui observe une certaine évolution. En effet, au début du récit, il exprime une certaine arrogance et paraît donc peu apréciable : « Mais, docteur, lui répondis-je, si après votre belle cure… », ainsi il se moque ouvertement du docteur pour lequel on peut attacher une certaine affection. Par la suite, on remarque que le Moi n’appelle plus son frêre « l’abbé », mais « Mon frêre » cela prouve qu’il devient plus réfléchit, le lecteur éprouve donc une satisfaction à cette évolution. De plus le Moi se fait ignorer : « -Moi : Il y a des lois ! Quelle lois ? –Mon père : Et vous, monsieur le mathématitien, comment résolvez-vous ce problème ? » On prend alors beaucoup de plaisir à voir le Moi se faire humilier de la sorte.

En conclusion, si vous compter participer à de multiples débats excellemment structurés, où vous pourrez dévoiller votre point de vue sans tabout ni honte, sans bouger de votre canapé, vous n’aurez qu’a lire Entretien d’un père avec ses enfants, ou du danger de se mettre au dessus des lois, vous serez alors partit pour une autre existance.

PS: version non final, en attente de correction des fautes d'ortographes et de syntaxes!!!!!!!!!!!

56. Le 11 octobre 2012, 19:53 par Doyen Fortuny le retour

Entretien d’un père avec ses enfants, ou un joyeux mélange :

 Quoi de meilleur qu’un conte philosophique de Diderot mêlant  loi et raison, donnant ainsi un mélange onctueux et subtile ! Dans ce nectar de la littérature française par excellence, Diderot nous conte l’entretien d’un père et de ses trois enfants qui conversent autour d’un bon feu. Tout au long de l’intrigue apparaîtront différents personnages et débats philosophique, tous portant sur le dilemme du choix entre la loi et la raison.
 Dans ce magnifique conte, l’élément essentiel du récit est le père de Diderot, en effet, tout au long de l’œuvre, il réfléchira à deux fois avant d'agir sans suivre stupidement la loi, répondra toujours avec respect, et sera doté d'une extrême compassion. Par exemple, lorsqu'il doit annoncer la triste nouvelle aux miséreux légataires : « …et, tout au travers de ce tumulte, c’était les cris aigus des enfants qu’ils partageaient, sans savoir pourquoi, le désespoir de leurs parents, qui s’attachaient à leurs vêtements et qui en étaient inhumainement repoussés. Je ne crois pas avoir jamais autant souffert de ma vie. », Comment ne pas être en admiration devant un tel personnage sensible, fort, qui vit pour les autres avant de vivre pour lui-même. Dans chaque débat, son avis est primordial et on l’attend avec grande impatience. Lorsqu’il n’intervient pas, on peut voir comment les autres se débrouillent, notamment  lors du débat entre le Moi et le docteur Bissei, où, finalement, même si chacun des deux personnages nous exprime son opinion, aucun n’aura convaincu l’autre, ils n’auront donc pas progressé, ceci renforçant encore une fois l’importance du père.

De plus, à la lecture de ce resplendissant texte, nous avons l’impression de manger une pizza ,mais pas n'importe quelle pizza, une pizza où vous auriez le pouvoir d'y ajouter n'importe quel ingrédient, et qui restera toujours exquise, car c'est ce qui se ressent à la lecture de ce conte, des personnages rentrent dans l'action, d'autres en sortent, quelques un reviennent, tout ce mélange fait ressentir au lecteur une délicieuse dégustation car même si il paraît compliqué à premier abord, il est finalement accessible à tous de par sa clarté et la simplicité de ce langage commun malgré le fait que le texte est été écrite au 18eme siècle.
En outre, l'œuvre reste subtilement agréable à lire car nous pouvons facilement prendre part à ces dialogues argumentés, en nous forgeant notre propre opinion, en nous imaginant répondre à tous ces personnages, venant du fait que les sujets des joutes oratoires soient encore d’actualité, ce sont donc des sujets polémiques, qui peuvent faire grand bruit, c’est pourquoi nous prenons grand plaisir à la lecture de ce conte.

Pour finir, le personnage du Moi est très intéressant car on lui observe une évolution particulière. En effet, au début du récit, il exprime une certaine arrogance, est irraisonnable, il paraît donc peu appréciable : « Mais, docteur, lui répondis-je, si après votre belle cure… », on observe ici qu’il se moque ouvertement du docteur pour lequel on peut attacher une certaine affection. Par la suite, on remarque que le Moi n’appelle plus son frère « l’abbé », mais « Mon frère » cela prouve qu’il devient plus réfléchit, qu’il lui montre un certain attachement qu’il n’éprouve pas au début de la trame scénaristique, le lecteur éprouve donc une satisfaction particulière à cette évolution positive. De plus, on peut remarquer que le Moi se fait quelques fois ignorer : « -Moi : Il y a des lois ! Quelles lois ? –Mon père : Et vous, monsieur le mathématicien, comment résolvez-vous ce problème ? » Cela peut paraître dérangeant, voir choquant, mais finalement on éprouve une certaine satisfaction à la vue de cette humiliation car ceci est, dans des débats de tel envergure, un véritable coup à l’estomac. Si vous êtes sujet à quelconque sadisme, la lecture de ce passage vous réjouira à coup sûr.

En conclusion, si vous compter participer à de multiples débats excellemment structurés, où vous pourrez dévoiler votre point de vue sans tabou, honte ou accusation, sans bouger de votre cher fauteuil que vous chérissez tant lors de vos période d’apathie extrême face à la sainte télévision, vous n’aurez qu’à lire Entretien d’un père avec ses enfants, ou du danger de se mettre au-dessus des lois, vous serez alors partit pour une autre existence.

57. Le 11 octobre 2012, 19:53 par Doyen Fortuny le retour

Entretien d’un père avec ses enfants, ou un joyeux mélange :

 Quoi de meilleur qu’un conte philosophique de Diderot mêlant  loi et raison, donnant ainsi un mélange onctueux et subtile ! Dans ce nectar de la littérature française par excellence, Diderot nous conte l’entretien d’un père et de ses trois enfants qui conversent autour d’un bon feu. Tout au long de l’intrigue apparaîtront différents personnages et débats philosophique, tous portant sur le dilemme du choix entre la loi et la raison.
 Dans ce magnifique conte, l’élément essentiel du récit est le père de Diderot, en effet, tout au long de l’œuvre, il réfléchira à deux fois avant d'agir sans suivre stupidement la loi, répondra toujours avec respect, et sera doté d'une extrême compassion. Par exemple, lorsqu'il doit annoncer la triste nouvelle aux miséreux légataires : « …et, tout au travers de ce tumulte, c’était les cris aigus des enfants qu’ils partageaient, sans savoir pourquoi, le désespoir de leurs parents, qui s’attachaient à leurs vêtements et qui en étaient inhumainement repoussés. Je ne crois pas avoir jamais autant souffert de ma vie. », Comment ne pas être en admiration devant un tel personnage sensible, fort, qui vit pour les autres avant de vivre pour lui-même. Dans chaque débat, son avis est primordial et on l’attend avec grande impatience. Lorsqu’il n’intervient pas, on peut voir comment les autres se débrouillent, notamment  lors du débat entre le Moi et le docteur Bissei, où, finalement, même si chacun des deux personnages nous exprime son opinion, aucun n’aura convaincu l’autre, ils n’auront donc pas progressé, ceci renforçant encore une fois l’importance du père.

De plus, à la lecture de ce resplendissant texte, nous avons l’impression de manger une pizza ,mais pas n'importe quelle pizza, une pizza où vous auriez le pouvoir d'y ajouter n'importe quel ingrédient, et qui restera toujours exquise, car c'est ce qui se ressent à la lecture de ce conte, des personnages rentrent dans l'action, d'autres en sortent, quelques un reviennent, tout ce mélange fait ressentir au lecteur une délicieuse dégustation car même si il paraît compliqué à premier abord, il est finalement accessible à tous de par sa clarté et la simplicité de ce langage commun malgré le fait que le texte est été écrite au 18eme siècle.
En outre, l'œuvre reste subtilement agréable à lire car nous pouvons facilement prendre part à ces dialogues argumentés, en nous forgeant notre propre opinion, en nous imaginant répondre à tous ces personnages, venant du fait que les sujets des joutes oratoires soient encore d’actualité, ce sont donc des sujets polémiques, qui peuvent faire grand bruit, c’est pourquoi nous prenons grand plaisir à la lecture de ce conte.

Pour finir, le personnage du Moi est très intéressant car on lui observe une évolution particulière. En effet, au début du récit, il exprime une certaine arrogance, est irraisonnable, il paraît donc peu appréciable : « Mais, docteur, lui répondis-je, si après votre belle cure… », on observe ici qu’il se moque ouvertement du docteur pour lequel on peut attacher une certaine affection. Par la suite, on remarque que le Moi n’appelle plus son frère « l’abbé », mais « Mon frère » cela prouve qu’il devient plus réfléchit, qu’il lui montre un certain attachement qu’il n’éprouve pas au début de la trame scénaristique, le lecteur éprouve donc une satisfaction particulière à cette évolution positive. De plus, on peut remarquer que le Moi se fait quelques fois ignorer : « -Moi : Il y a des lois ! Quelles lois ? –Mon père : Et vous, monsieur le mathématicien, comment résolvez-vous ce problème ? » Cela peut paraître dérangeant, voir choquant, mais finalement on éprouve une certaine satisfaction à la vue de cette humiliation car ceci est, dans des débats de tel envergure, un véritable coup à l’estomac. Si vous êtes sujet à quelconque sadisme, la lecture de ce passage vous réjouira à coup sûr.

En conclusion, si vous compter participer à de multiples débats excellemment structurés, où vous pourrez dévoiler votre point de vue sans tabou, honte ou accusation, sans bouger de votre cher fauteuil que vous chérissez tant lors de vos période d’apathie extrême face à la sainte télévision, vous n’aurez qu’à lire Entretien d’un père avec ses enfants, ou du danger de se mettre au-dessus des lois, vous serez alors partit pour une autre existence.

58. Le 11 octobre 2012, 19:59 par Doyen Fortuny le retour

Entretien d’un père avec ses enfants, ou un joyeux mélange :

 Quoi de meilleur qu’un conte philosophique de Diderot mêlant  loi et raison, donnant ainsi un mélange onctueux et subtile ! Dans ce nectar de la littérature française par excellence, Diderot nous conte l’entretien d’un père et de ses trois enfants qui conversent autour d’un bon feu. Tout au long de l’intrigue apparaîtront différents personnages et débats philosophique, tous portant sur le dilemme du choix entre la loi et la raison.
 Dans ce magnifique conte, l’élément essentiel du récit est le père de Diderot, en effet, tout au long de l’œuvre, il réfléchira à deux fois avant d'agir sans suivre stupidement la loi, répondra toujours avec respect, et sera doté d'une extrême compassion. Par exemple, lorsqu'il doit annoncer la triste nouvelle aux miséreux légataires : « …et, tout au travers de ce tumulte, c’était les cris aigus des enfants qu’ils partageaient, sans savoir pourquoi, le désespoir de leurs parents, qui s’attachaient à leurs vêtements et qui en étaient inhumainement repoussés. Je ne crois pas avoir jamais autant souffert de ma vie. », Comment ne pas être en admiration devant un tel personnage sensible, fort, qui vit pour les autres avant de vivre pour lui-même. Dans chaque débat, son avis est primordial et on l’attend avec grande impatience. Lorsqu’il n’intervient pas, on peut voir comment les autres se débrouillent, notamment  lors du débat entre le Moi et le docteur Bissei, où, finalement, même si chacun des deux personnages nous exprime son opinion, aucun n’aura convaincu l’autre, ils n’auront donc pas progressé, ceci renforçant encore une fois l’importance du père.
 De plus, à la lecture de ce resplendissant texte, nous avons l’impression de manger une pizza ,mais pas n'importe quelle pizza, une pizza où vous auriez le pouvoir d'y ajouter n'importe quel ingrédient, et qui restera toujours exquise, car c'est ce qui se ressent à la lecture de ce conte, des personnages rentrent dans l'action, d'autres en sortent, quelques un reviennent, tout ce mélange fait ressentir au lecteur une délicieuse dégustation car même si il paraît compliqué à premier abord, il est finalement accessible à tous de par sa clarté et la simplicité de ce langage commun malgré le fait que le texte est été écrite au 18eme siècle.

En outre, l'œuvre reste subtilement agréable à lire car nous pouvons facilement prendre part à ces dialogues argumentés, en nous forgeant notre propre opinion, en nous imaginant répondre à tous ces personnages, venant du fait que les sujets des joutes oratoires soient encore d’actualité, ce sont donc des sujets polémiques, qui peuvent faire grand bruit, c’est pourquoi nous prenons grand plaisir à la lecture de ce conte.

 Pour finir, le personnage du Moi est très intéressant car on lui observe une évolution particulière. En effet, au début du récit, il exprime une certaine arrogance, est irraisonnable, il paraît donc peu appréciable : « Mais, docteur, lui répondis-je, si après votre belle cure… », on observe ici qu’il se moque ouvertement du docteur pour lequel on peut attacher une certaine affection. Par la suite, on remarque que le Moi n’appelle plus son frère « l’abbé », mais « Mon frère » cela prouve qu’il devient plus réfléchit, qu’il lui montre un certain attachement qu’il n’éprouve pas au début de la trame scénaristique,  le lecteur éprouve donc une satisfaction particulière à cette évolution positive. De plus, on peut remarquer que le Moi se fait quelques fois ignorer : « -Moi : Il y a des lois ! Quelles lois ? –Mon père : Et vous, monsieur le mathématicien, comment résolvez-vous ce problème ? » Cela peut paraître dérangeant, voir choquant, mais finalement on éprouve une certaine satisfaction à la vue de cette humiliation car ceci est, dans des débats de tel envergure, un véritable coup à l’estomac. Si vous êtes sujet à quelconque sadisme, la lecture de ce passage vous réjouira à coup sûr.
 En conclusion, si vous compter participer à de multiples débats excellemment structurés, où vous pourrez dévoiler votre point de vue sans tabou, honte ou accusation, sans bouger de votre cher fauteuil que vous chérissez tant lors de vos période d’apathie extrême face à la sainte télévision, vous n’aurez qu’à lire   Entretien d’un père avec ses enfants, ou du danger de se mettre au-dessus des lois, vous serez alors partit pour une autre existence.
59. Le 11 octobre 2012, 19:59 par Doyen Fortuny le retour

Entretien d’un père avec ses enfants, ou un joyeux mélange :

 Quoi de meilleur qu’un conte philosophique de Diderot mêlant  loi et raison, donnant ainsi un mélange onctueux et subtile ! Dans ce nectar de la littérature française par excellence, Diderot nous conte l’entretien d’un père et de ses trois enfants qui conversent autour d’un bon feu. Tout au long de l’intrigue apparaîtront différents personnages et débats philosophique, tous portant sur le dilemme du choix entre la loi et la raison.
 Dans ce magnifique conte, l’élément essentiel du récit est le père de Diderot, en effet, tout au long de l’œuvre, il réfléchira à deux fois avant d'agir sans suivre stupidement la loi, répondra toujours avec respect, et sera doté d'une extrême compassion. Par exemple, lorsqu'il doit annoncer la triste nouvelle aux miséreux légataires : « …et, tout au travers de ce tumulte, c’était les cris aigus des enfants qu’ils partageaient, sans savoir pourquoi, le désespoir de leurs parents, qui s’attachaient à leurs vêtements et qui en étaient inhumainement repoussés. Je ne crois pas avoir jamais autant souffert de ma vie. », Comment ne pas être en admiration devant un tel personnage sensible, fort, qui vit pour les autres avant de vivre pour lui-même. Dans chaque débat, son avis est primordial et on l’attend avec grande impatience. Lorsqu’il n’intervient pas, on peut voir comment les autres se débrouillent, notamment  lors du débat entre le Moi et le docteur Bissei, où, finalement, même si chacun des deux personnages nous exprime son opinion, aucun n’aura convaincu l’autre, ils n’auront donc pas progressé, ceci renforçant encore une fois l’importance du père.
 De plus, à la lecture de ce resplendissant texte, nous avons l’impression de manger une pizza ,mais pas n'importe quelle pizza, une pizza où vous auriez le pouvoir d'y ajouter n'importe quel ingrédient, et qui restera toujours exquise, car c'est ce qui se ressent à la lecture de ce conte, des personnages rentrent dans l'action, d'autres en sortent, quelques un reviennent, tout ce mélange fait ressentir au lecteur une délicieuse dégustation car même si il paraît compliqué à premier abord, il est finalement accessible à tous de par sa clarté et la simplicité de ce langage commun malgré le fait que le texte est été écrite au 18eme siècle.

En outre, l'œuvre reste subtilement agréable à lire car nous pouvons facilement prendre part à ces dialogues argumentés, en nous forgeant notre propre opinion, en nous imaginant répondre à tous ces personnages, venant du fait que les sujets des joutes oratoires soient encore d’actualité, ce sont donc des sujets polémiques, qui peuvent faire grand bruit, c’est pourquoi nous prenons grand plaisir à la lecture de ce conte.

 Pour finir, le personnage du Moi est très intéressant car on lui observe une évolution particulière. En effet, au début du récit, il exprime une certaine arrogance, est irraisonnable, il paraît donc peu appréciable : « Mais, docteur, lui répondis-je, si après votre belle cure… », on observe ici qu’il se moque ouvertement du docteur pour lequel on peut attacher une certaine affection. Par la suite, on remarque que le Moi n’appelle plus son frère « l’abbé », mais « Mon frère » cela prouve qu’il devient plus réfléchit, qu’il lui montre un certain attachement qu’il n’éprouve pas au début de la trame scénaristique,  le lecteur éprouve donc une satisfaction particulière à cette évolution positive. De plus, on peut remarquer que le Moi se fait quelques fois ignorer : « -Moi : Il y a des lois ! Quelles lois ? –Mon père : Et vous, monsieur le mathématicien, comment résolvez-vous ce problème ? » Cela peut paraître dérangeant, voir choquant, mais finalement on éprouve une certaine satisfaction à la vue de cette humiliation car ceci est, dans des débats de tel envergure, un véritable coup à l’estomac. Si vous êtes sujet à quelconque sadisme, la lecture de ce passage vous réjouira à coup sûr.
 En conclusion, si vous compter participer à de multiples débats excellemment structurés, où vous pourrez dévoiler votre point de vue sans tabou, honte ou accusation, sans bouger de votre cher fauteuil que vous chérissez tant lors de vos période d’apathie extrême face à la sainte télévision, vous n’aurez qu’à lire   Entretien d’un père avec ses enfants, ou du danger de se mettre au-dessus des lois, vous serez alors partit pour une autre existence.
60. Le 11 octobre 2012, 20:41 par vincent Flores

Entretien d’un père avec ses enfants ou Du danger de se mettre au-dessus des lois : un roman philosophique toujours d’actualité !

Denis Diderot, né en 1713 et mort en 1784 est une des figures emblématiques du siècle des Lumières autant pour ses œuvres littéraires que pour sa participation a l’Encyclopédie. Avec cette œuvre, situé entre le roman et le conte philosophique, Diderot va vous faire réfléchir autour d’une question délicate : Faut-il respecter la loi même si elle nous paraît injuste ? Que vous aimiez les dialogues ou les romans narratifs vous prendrez vite gout à ce roman car il est en effet constitué à la fois de dialogues entre différents protagonistes et de passages racontés par Diderot, le « Moi ».

En plongeant dans ce livre, vous tomberez dans une véritable salade de fruits à la fois acide, amère et sucrée grâce à la diversité des opinions de chacun. Autour d’un feu de cheminée le père de Diderot, ses enfants et leurs invités, s’efforceront à débattre sur des situations et ce qu’ils auraient fait, à choisir entre justice légale ou justice morale. Vous pourrez tenter de combattre l’injustice car l’auteur vous invite en effet à prendre part naturellement au débat. Dans cette œuvre captivante, les visites des différents personnages comme le docteur Bissei ou le géomètre ne feront que dynamiser le récit et vous lancer dans de nouveaux débats passionnants. Il vous sera facile de vous glisser dans la peau des personnages pour vous placer d’un coté ou de l’autre. En réfléchissant avec les personnages leurs idées et leurs convictions différentes, vous pourrez changer d’avis tel un caméléon.

En conclusion, ne vous attendez pas à avoir des réponses aux questions mais plutôt à vous poser de nouvelles questions philosophiques. Si vous avez envie de réfléchir avec Diderot sur des questions morales et philosophiques, je vous recommande vivement de livre ce livre captivant et original.

61. Le 11 octobre 2012, 21:24 par Perrine Czubek & Flora Kelekian

Diderot, la culture dans tous ses états !

   Si l'on vous annonçait que l'une des œuvres du plus grand écrivain du 18e siècle, Diderot (1713-1784), pouvait être résumée en quelques plats, animaux ou encore couleurs...nous croiriez-vous ?

Et pourtant, même si cet incomparable philosophe des Lumières semble être intouchable, nous allons vous démontrer que ce qui paraît le plus compliqué est en fait défini par les choses les plus simples !
« Entretien d'un père avec ses enfants » a été publié en 1771 par Grimm, puis en version définitive en 1773, par Meister.

      Ce récit mêle plusieurs anecdotes, entrecoupées les unes par les autres, faisant intervenir différents protagonistes : Diderot (le « moi »), sa famille et bien d'autres intervenants... Ils débattent sur un sujet passionnant et qui peut encore être considéré comme d'actualité : « Faut-il toujours respecter la loi, même lorsque celle-ci est injuste ? »
     Cet ouvrage est un conte philosophique, portant sur les problèmes de succession et la morale sociale, ce qui réveillera à coup sûr, le philosophe et débatteur qui sommeille en vous !
     Il est important pour les civilisations, tant autrefois qu'aujourd'hui, de suivre les normes de la société. C'est pourquoi chacun de ces personnages pense et agit de la même manière que les autres, dans la peur d'être rejeté ! Seul Diderot, dont l'opinion diverge de celle de ses congénères, aime à se démarquer, pour notre plus grande joie. Étant fidèle à la philosophie des Lumières, il croit en l'importance de la raison et de l'expérimentation scientifique, à l'opposé de l'idéologie religieuse. Cette différence évite la monotonie et amène le lecteur de nombreuses fois, à choisir entre le « moi » et le reste des interlocuteurs.

Cependant, ce procédé jette parfois un froid. Ainsi, on remarque que « l'abbé » est en vérité le frère de l'auteur mais qu'il est nommé différemment par celui-ci à cause de son appartenance au clergé. Diderot l'appelle « mon frère » seulement lorsqu'ils s'adressent la parole, mais le reste du temps il redevient un « abbé », un étranger.
L'œuvre vous amènera aussi à réfléchir sur les lois. De cette façon, elle pose la question de qui est en tort, qui ne l'est pas et pourquoi ? ; à l'image du père et du curé de Thivet, ainsi qu'entre le Docteur Bisseï et Diderot.
Cette opposition peut parfaitement être associée à une certaine couleur, le gris : mélange homogène de blanc et de noir tel que le bien et le mal. Le blanc représenterait la morale, la loi, la sagesse (père de Diderot et le Père Bouin) et toute la bonté que peuvent éprouver les personnages. Enfin, le noir symboliserait la culpabilité, les remords, l'esprit fourbe, l'injustice et les avis des protagonistes, souvent en contradiction avec la loi.
L'auteur vous privilégie, lecteurs, en vous impliquant à part entière dans le débat. En effet, vous pourrez devenir actifs et participer à votre manière, en vous forgeant un avis différent !
Au final, l'atmosphère qui règne dans ce récit peut être comparé au rouge, incarnation de la chaleur, du feu autour duquel discute la famille et leurs « invités ».

On trouve des aspects culinaires non négligeables dans cette œuvre. La loi a ici, une part importante que l'on peut imager par la pâte d'une pizza ; toujours la même, inchangée. Les ingrédients que l'on ajoute symbolisent les avis et décisions divergentes des personnages.
De plus, les différentes anecdotes, élémentaires au départ mais approfondies par les arguments de chacun, font penser à une simple salade qui, après quelques touches personnelles, l'améliore et la transforme en une « salade César » !!
D'autre part, la forme irrégulière des roses des sables, rappelle le mélange théâtre-récit.
Tout lecteur a une opinion unique, comme tout aliment à sa propre saveur.
L'acidité évoque les choix difficiles que doivent faire les intervenants ( brûler ou non le testament, chez le père de l'auteur / soigner ou non le criminel pour le Docteur Bisseï ). L'amertume symbolise les conséquences, les regrets dus aux choix effectués, et le sucré, la douceur de la sœur et la sagesse du père de famille.
En tant que plat, le canard à l'orange est un très bon exemple de la complexité du récit. Le canard est d'apparence banale ( animal de basse-cour et fade au goût quand il est seul ; mais peut-être très savoureux lorsqu'il est associé à un fruit sucré ). Ainsi, ce mélange démontre que des affaires banales ( héritage ) peuvent être pimentées par des éléments imprévus, qui sortent de l'ordinaire.
Certains personnages peuvent être identifiés à des animaux. Ainsi, le « moi » apparaît comme un lion : imposant, sûr de sa thèse et de ses valeurs car nos protagonistes le supplient presque pour qu'il donne son avis. Il se tient aussi, parfois, en retrait, laissant les « lionnes » débattre !

On reconnait aussi la personnalité du hérisson (mignon en apparence mais qui se roule en boule pour piquer) et du cygne (majestueux et noble mais peut devenir froid et agressif).

Finalement, le caméléon représente la mentalité de tous car les intervenants changent toujours d'avis comme notre animal change de couleurs, en regroupant à la fois loi, conscience, croyance et devoir !

Vous l'aurez compris, cet ouvrage révèle les qualités et les défauts de l'Homme, auxquels vous pourrez vous identifiez totalement, à condition de laisser votre orgueil et vos préjugés à part, le temps d'un voyage culturel revigorant à travers le siècle des Lumières !
Bon voyage et bonne lecture....

62. Le 11 octobre 2012, 21:24 par Perrine Czubek & Flora Kelekian

Diderot, la culture dans tous ses états !

   Si l'on vous annonçait que l'une des œuvres du plus grand écrivain du 18e siècle, Diderot (1713-1784), pouvait être résumée en quelques plats, animaux ou encore couleurs...nous croiriez-vous ?

Et pourtant, même si cet incomparable philosophe des Lumières semble être intouchable, nous allons vous démontrer que ce qui paraît le plus compliqué est en fait défini par les choses les plus simples !
« Entretien d'un père avec ses enfants » a été publié en 1771 par Grimm, puis en version définitive en 1773, par Meister.

      Ce récit mêle plusieurs anecdotes, entrecoupées les unes par les autres, faisant intervenir différents protagonistes : Diderot (le « moi »), sa famille et bien d'autres intervenants... Ils débattent sur un sujet passionnant et qui peut encore être considéré comme d'actualité : « Faut-il toujours respecter la loi, même lorsque celle-ci est injuste ? »
     Cet ouvrage est un conte philosophique, portant sur les problèmes de succession et la morale sociale, ce qui réveillera à coup sûr, le philosophe et débatteur qui sommeille en vous !
     Il est important pour les civilisations, tant autrefois qu'aujourd'hui, de suivre les normes de la société. C'est pourquoi chacun de ces personnages pense et agit de la même manière que les autres, dans la peur d'être rejeté ! Seul Diderot, dont l'opinion diverge de celle de ses congénères, aime à se démarquer, pour notre plus grande joie. Étant fidèle à la philosophie des Lumières, il croit en l'importance de la raison et de l'expérimentation scientifique, à l'opposé de l'idéologie religieuse. Cette différence évite la monotonie et amène le lecteur de nombreuses fois, à choisir entre le « moi » et le reste des interlocuteurs.

Cependant, ce procédé jette parfois un froid. Ainsi, on remarque que « l'abbé » est en vérité le frère de l'auteur mais qu'il est nommé différemment par celui-ci à cause de son appartenance au clergé. Diderot l'appelle « mon frère » seulement lorsqu'ils s'adressent la parole, mais le reste du temps il redevient un « abbé », un étranger.
L'œuvre vous amènera aussi à réfléchir sur les lois. De cette façon, elle pose la question de qui est en tort, qui ne l'est pas et pourquoi ? ; à l'image du père et du curé de Thivet, ainsi qu'entre le Docteur Bisseï et Diderot.
Cette opposition peut parfaitement être associée à une certaine couleur, le gris : mélange homogène de blanc et de noir tel que le bien et le mal. Le blanc représenterait la morale, la loi, la sagesse (père de Diderot et le Père Bouin) et toute la bonté que peuvent éprouver les personnages. Enfin, le noir symboliserait la culpabilité, les remords, l'esprit fourbe, l'injustice et les avis des protagonistes, souvent en contradiction avec la loi.
L'auteur vous privilégie, lecteurs, en vous impliquant à part entière dans le débat. En effet, vous pourrez devenir actifs et participer à votre manière, en vous forgeant un avis différent !
Au final, l'atmosphère qui règne dans ce récit peut être comparé au rouge, incarnation de la chaleur, du feu autour duquel discute la famille et leurs « invités ».

On trouve des aspects culinaires non négligeables dans cette œuvre. La loi a ici, une part importante que l'on peut imager par la pâte d'une pizza ; toujours la même, inchangée. Les ingrédients que l'on ajoute symbolisent les avis et décisions divergentes des personnages.
De plus, les différentes anecdotes, élémentaires au départ mais approfondies par les arguments de chacun, font penser à une simple salade qui, après quelques touches personnelles, l'améliore et la transforme en une « salade César » !!
D'autre part, la forme irrégulière des roses des sables, rappelle le mélange théâtre-récit.
Tout lecteur a une opinion unique, comme tout aliment à sa propre saveur.
L'acidité évoque les choix difficiles que doivent faire les intervenants ( brûler ou non le testament, chez le père de l'auteur / soigner ou non le criminel pour le Docteur Bisseï ). L'amertume symbolise les conséquences, les regrets dus aux choix effectués, et le sucré, la douceur de la sœur et la sagesse du père de famille.
En tant que plat, le canard à l'orange est un très bon exemple de la complexité du récit. Le canard est d'apparence banale ( animal de basse-cour et fade au goût quand il est seul ; mais peut-être très savoureux lorsqu'il est associé à un fruit sucré ). Ainsi, ce mélange démontre que des affaires banales ( héritage ) peuvent être pimentées par des éléments imprévus, qui sortent de l'ordinaire.
Certains personnages peuvent être identifiés à des animaux. Ainsi, le « moi » apparaît comme un lion : imposant, sûr de sa thèse et de ses valeurs car nos protagonistes le supplient presque pour qu'il donne son avis. Il se tient aussi, parfois, en retrait, laissant les « lionnes » débattre !

On reconnait aussi la personnalité du hérisson (mignon en apparence mais qui se roule en boule pour piquer) et du cygne (majestueux et noble mais peut devenir froid et agressif).

Finalement, le caméléon représente la mentalité de tous car les intervenants changent toujours d'avis comme notre animal change de couleurs, en regroupant à la fois loi, conscience, croyance et devoir !

Vous l'aurez compris, cet ouvrage révèle les qualités et les défauts de l'Homme, auxquels vous pourrez vous identifiez totalement, à condition de laisser votre orgueil et vos préjugés à part, le temps d'un voyage culturel revigorant à travers le siècle des Lumières !
Bon voyage et bonne lecture....

63. Le 11 octobre 2012, 21:24 par Perrine Czubek & Flora Kelekian

Diderot, la culture dans tous ses états !

   Si l'on vous annonçait que l'une des œuvres du plus grand écrivain du 18e siècle, Diderot (1713-1784), pouvait être résumée en quelques plats, animaux ou encore couleurs...nous croiriez-vous ?

Et pourtant, même si cet incomparable philosophe des Lumières semble être intouchable, nous allons vous démontrer que ce qui paraît le plus compliqué est en fait défini par les choses les plus simples !
« Entretien d'un père avec ses enfants » a été publié en 1771 par Grimm, puis en version définitive en 1773, par Meister.

      Ce récit mêle plusieurs anecdotes, entrecoupées les unes par les autres, faisant intervenir différents protagonistes : Diderot (le « moi »), sa famille et bien d'autres intervenants... Ils débattent sur un sujet passionnant et qui peut encore être considéré comme d'actualité : « Faut-il toujours respecter la loi, même lorsque celle-ci est injuste ? »
     Cet ouvrage est un conte philosophique, portant sur les problèmes de succession et la morale sociale, ce qui réveillera à coup sûr, le philosophe et débatteur qui sommeille en vous !
     Il est important pour les civilisations, tant autrefois qu'aujourd'hui, de suivre les normes de la société. C'est pourquoi chacun de ces personnages pense et agit de la même manière que les autres, dans la peur d'être rejeté ! Seul Diderot, dont l'opinion diverge de celle de ses congénères, aime à se démarquer, pour notre plus grande joie. Étant fidèle à la philosophie des Lumières, il croit en l'importance de la raison et de l'expérimentation scientifique, à l'opposé de l'idéologie religieuse. Cette différence évite la monotonie et amène le lecteur de nombreuses fois, à choisir entre le « moi » et le reste des interlocuteurs.

Cependant, ce procédé jette parfois un froid. Ainsi, on remarque que « l'abbé » est en vérité le frère de l'auteur mais qu'il est nommé différemment par celui-ci à cause de son appartenance au clergé. Diderot l'appelle « mon frère » seulement lorsqu'ils s'adressent la parole, mais le reste du temps il redevient un « abbé », un étranger.
L'œuvre vous amènera aussi à réfléchir sur les lois. De cette façon, elle pose la question de qui est en tort, qui ne l'est pas et pourquoi ? ; à l'image du père et du curé de Thivet, ainsi qu'entre le Docteur Bisseï et Diderot.
Cette opposition peut parfaitement être associée à une certaine couleur, le gris : mélange homogène de blanc et de noir tel que le bien et le mal. Le blanc représenterait la morale, la loi, la sagesse (père de Diderot et le Père Bouin) et toute la bonté que peuvent éprouver les personnages. Enfin, le noir symboliserait la culpabilité, les remords, l'esprit fourbe, l'injustice et les avis des protagonistes, souvent en contradiction avec la loi.
L'auteur vous privilégie, lecteurs, en vous impliquant à part entière dans le débat. En effet, vous pourrez devenir actifs et participer à votre manière, en vous forgeant un avis différent !
Au final, l'atmosphère qui règne dans ce récit peut être comparé au rouge, incarnation de la chaleur, du feu autour duquel discute la famille et leurs « invités ».

On trouve des aspects culinaires non négligeables dans cette œuvre. La loi a ici, une part importante que l'on peut imager par la pâte d'une pizza ; toujours la même, inchangée. Les ingrédients que l'on ajoute symbolisent les avis et décisions divergentes des personnages.
De plus, les différentes anecdotes, élémentaires au départ mais approfondies par les arguments de chacun, font penser à une simple salade qui, après quelques touches personnelles, l'améliore et la transforme en une « salade César » !!
D'autre part, la forme irrégulière des roses des sables, rappelle le mélange théâtre-récit.
Tout lecteur a une opinion unique, comme tout aliment à sa propre saveur.
L'acidité évoque les choix difficiles que doivent faire les intervenants ( brûler ou non le testament, chez le père de l'auteur / soigner ou non le criminel pour le Docteur Bisseï ). L'amertume symbolise les conséquences, les regrets dus aux choix effectués, et le sucré, la douceur de la sœur et la sagesse du père de famille.
En tant que plat, le canard à l'orange est un très bon exemple de la complexité du récit. Le canard est d'apparence banale ( animal de basse-cour et fade au goût quand il est seul ; mais peut-être très savoureux lorsqu'il est associé à un fruit sucré ). Ainsi, ce mélange démontre que des affaires banales ( héritage ) peuvent être pimentées par des éléments imprévus, qui sortent de l'ordinaire.
Certains personnages peuvent être identifiés à des animaux. Ainsi, le « moi » apparaît comme un lion : imposant, sûr de sa thèse et de ses valeurs car nos protagonistes le supplient presque pour qu'il donne son avis. Il se tient aussi, parfois, en retrait, laissant les « lionnes » débattre !

On reconnait aussi la personnalité du hérisson (mignon en apparence mais qui se roule en boule pour piquer) et du cygne (majestueux et noble mais peut devenir froid et agressif).

Finalement, le caméléon représente la mentalité de tous car les intervenants changent toujours d'avis comme notre animal change de couleurs, en regroupant à la fois loi, conscience, croyance et devoir !

Vous l'aurez compris, cet ouvrage révèle les qualités et les défauts de l'Homme, auxquels vous pourrez vous identifiez totalement, à condition de laisser votre orgueil et vos préjugés à part, le temps d'un voyage culturel revigorant à travers le siècle des Lumières !
Bon voyage et bonne lecture....

64. Le 11 octobre 2012, 21:27 par Perrine Czubek & Flora Kelekian

Diderot, la culture dans tous ses états !

      Si l'on vous annonçait que l'une des œuvres du plus grand écrivain du 18e siècle, Diderot (1713-1784), pouvait être résumée en quelques plats, animaux ou encore couleurs...nous croiriez-vous ?

Et pourtant, même si cet incomparable philosophe des Lumières semble être intouchable, nous allons vous démontrer que ce qui paraît le plus compliqué est en fait défini par les choses les plus simples !

    « Entretien d'un père avec ses enfants » a été publié en 1771 par Grimm, puis en version définitive en 1773, par Meister.
        Ce récit mêle plusieurs anecdotes, entrecoupées les unes par les autres, faisant intervenir différents protagonistes : Diderot (le « moi »), sa famille et bien d'autres intervenants... Ils débattent sur un sujet passionnant et qui peut encore être considéré comme d'actualité : « Faut-il toujours respecter la loi, même lorsque celle-ci est injuste ? »
        Cet ouvrage est un conte philosophique, portant sur les problèmes de succession et la morale sociale, ce qui réveillera à coup sûr, le philosophe et débatteur qui sommeille en vous !
       Il est important pour les civilisations, tant autrefois qu'aujourd'hui, de suivre les normes de la société. C'est pourquoi chacun de ces personnages pense et agit de la même manière que les autres, dans la peur d'être rejeté ! Seul Diderot, dont l'opinion diverge de celle de ses congénères, aime à se démarquer, pour notre plus grande joie. Étant fidèle à la philosophie des Lumières, il croit en l'importance de la raison et de l'expérimentation scientifique, à l'opposé de l'idéologie religieuse. Cette différence évite la monotonie et amène le lecteur de nombreuses fois, à choisir entre le « moi » et le reste des interlocuteurs.
  Cependant, ce procédé jette parfois un froid. Ainsi, on remarque que « l'abbé » est en vérité le frère de l'auteur mais qu'il est nommé différemment par celui-ci à cause de son appartenance au clergé. Diderot l'appelle « mon frère » seulement lorsqu'ils s'adressent la parole, mais le reste du temps il redevient un « abbé », un étranger.

L'œuvre vous amènera aussi à réfléchir sur les lois. De cette façon, elle pose la question de qui est en tort, qui ne l'est pas et pourquoi ? ; à l'image du père et du curé de Thivet, ainsi qu'entre le Docteur Bisseï et Diderot.
Cette opposition peut parfaitement être associée à une certaine couleur, le gris : mélange homogène de blanc et de noir tel que le bien et le mal. Le blanc représenterait la morale, la loi, la sagesse (père de Diderot et le Père Bouin) et toute la bonté que peuvent éprouver les personnages. Enfin, le noir symboliserait la culpabilité, les remords, l'esprit fourbe, l'injustice et les avis des protagonistes, souvent en contradiction avec la loi.
L'auteur vous privilégie, lecteurs, en vous impliquant à part entière dans le débat. En effet, vous pourrez devenir actifs et participer à votre manière, en vous forgeant un avis différent !
Au final, l'atmosphère qui règne dans ce récit peut être comparé au rouge, incarnation de la chaleur, du feu autour duquel discute la famille et leurs « invités ».

On trouve des aspects culinaires non négligeables dans cette œuvre. La loi a ici, une part importante que l'on peut imager par la pâte d'une pizza ; toujours la même, inchangée. Les ingrédients que l'on ajoute symbolisent les avis et décisions divergentes des personnages.
De plus, les différentes anecdotes, élémentaires au départ mais approfondies par les arguments de chacun, font penser à une simple salade qui, après quelques touches personnelles, l'améliore et la transforme en une « salade César » !!
D'autre part, la forme irrégulière des roses des sables, rappelle le mélange théâtre-récit.
Tout lecteur a une opinion unique, comme tout aliment à sa propre saveur.
L'acidité (citron) évoque les choix difficiles que doivent faire les intervenants ( brûler ou non le testament, chez le père de l'auteur / soigner ou non le criminel pour le Docteur Bisseï ). L'amertume (endive) symbolise les conséquences, les regrets dus aux choix effectués, et le sucré (melon), la douceur de la sœur et la sagesse du père de famille.
En tant que plat, le canard à l'orange est un très bon exemple de la complexité du récit. Le canard est d'apparence banale ( animal de basse-cour et fade au goût quand il est seul ; mais peut-être très savoureux lorsqu'il est associé à un fruit sucré ). Ainsi, ce mélange démontre que des affaires banales ( héritage ) peuvent être pimentées par des éléments imprévus, qui sortent de l'ordinaire.
Certains personnages peuvent être identifiés à des animaux. Ainsi, le « moi » apparaît comme un lion : imposant, sûr de sa thèse et de ses valeurs car nos protagonistes le supplient presque pour qu'il donne son avis. Il se tient aussi, parfois, en retrait, laissant les « lionnes » débattre !

On reconnait aussi la personnalité du hérisson (mignon en apparence mais qui se roule en boule pour piquer) et du cygne (majestueux et noble mais peut devenir froid et agressif).

Finalement, le caméléon représente la mentalité de tous car les intervenants changent toujours d'avis comme notre animal change de couleurs, en regroupant à la fois loi, conscience, croyance et devoir !

Vous l'aurez compris, cet ouvrage révèle les qualités et les défauts de l'Homme, auxquels vous pourrez vous identifiez totalement, à condition de laisser votre orgueil et vos préjugés à part, le temps d'un voyage culturel revigorant à travers le siècle des Lumières !
Bon voyage et bonne lecture !

65. Le 11 octobre 2012, 21:29 par Flora Kelekian

Désolée pour le bugg ;-)

66. Le 11 octobre 2012, 21:54 par Sarah Giordano

Faire sa propre justice ou suivre la loi, à vous, lecteurs, de choisir de quel côté vous prendrez part !
Cette œuvre « Entretien d’un père et ses enfants » est un conte philosophique écrit par Denis Diderot (1713-1784) et paru en 1773 par Grimm. Diderot, célèbre écrivain et philosophe français du 18ème siècle. Il créé la critique d’art (salon, 1759-1781), une nouvelle forme romanesque (Jacques le fataliste), clarifiant le rapport entre science et métaphysique. Mais il doit surtout sa gloire à l’Encyclopédie qu’il anima pendant vingt ans.
Diderot vous présente dans cette œuvre un dialogue faisant intervenir plusieurs personnages principaux tels que le père, la sœur, et le « moi » vont participer à un débat mouvementé autour d’une seule et même question : « Faut-il suivre la loi même si celle-ci fait preuve d’injustice ? ». S’ensuit alors une très longue conversation où chaque interlocuteur exprime leur propre opinion. Ils exposeront leurs idées et progresseront dans le débat afin de pouvoir arriver à une conclusion sur la question.
Ce conte philosophique parfaitement bien rédigé par Diderot, fait part de deux contradictions entre respecter la loi, s’y soumettre ou bien de suivre sa conscience et répondre de ses actes. Ces deux oppositions pourraient être imagées par une couleur telle que le gris, un mélange de couleurs opposées, où le blanc représenterait la loi et le noir serait la conscience.
De plus, cette œuvre est très intéressante grâce à la subtilité des différents caractères des personnages et de leur rôle. Le père est un personnage attachant, d’autant plus qu’il joue le rôle de conteur. Le docteur Bissei offre une réflexion intéressante sur le fait de soigner un homme dont le passé est criminel.
Enfin, derrière ce dialogue qu’a rédigé Diderot, se cache la véritable philosophie des lumières. Il dénonce, à travers les différents points de vue des convives présents, le pouvoir judiciaire. En effet, la loi est omniprésente tout au long de l’œuvre. Il inscrit ainsi une discussion morale et philosophique dans un cadre réaliste.
Pour conclure, cette œuvre ne pourra que retenir votre attention, où vous pourrez vous prendre au jeu du débat et vous mettre à la place des personnages !

67. Le 11 octobre 2012, 23:38 par Alan Kassa

La réflexion, maître-mot de cet ouvrage !
Cette œuvre est une histoire philosophique écrite par Diderot en 1773. Diderot est un célèbre philosophe du 18e siècle qui a fait ses preuves grâce à l'Encyclopédie.

Dans ce livre la problématique dominante est la suivante :
" Suivre la loi même si elle implique une injustice ?"
C'est dans cette question que sont impliqués tous les personnages du texte sous forme de longs dialogues plus ou moins animés. Ce conte philosophique mettra en œuvre toutes nos méninges et notre esprit critique face a la justice.
Dans cette histoire Diderot nous conte l'histoire d'un père et de ses 3 enfants débattants sur la justice. Chaque personnage a sa propre opinion ce qui apporte du piment a l'ouvrage et de nombreuses joutes verbales. Chaque personnage a sa propre personnalité ce qui lui permet varier les thèses des personnage et créer encore plus de contradiction dans cette famille
Dans cet œuvre le lecteur dispose d'un large panel de choix de thèse pour s'identifier a un personnage spécial comme le Docteur Bissei qui incarne la sagesse et la raison alors que le narrateur cherche plus a ce mettre au dessus des lois pour prouver sa supériorité au Docteur.
Pour finir je vous conseille donc cette œuvre qui pourrait faire plaisir a plus d'un lecteur occasionnel qui aimerais d'un conte philosophique avec des personnages plus ou moins différents

68. Le 11 octobre 2012, 23:49 par Coutteeel Malcolm et Cyprien Richard

Les lois sont elles parfaites ?
Le livre "entretien d'un père avec ses enfants" est un roman hybride entre le théâtre et le récit écrit par Diderot, parut en 1773. Diderot est issus d'une famille d'artisans français aisés. Il commence a écrire et développer ses propres idées philosophiques mais il est emprisonné au château de Vincennes a cause de l'un de ses ouvrage marqué par le matérialisme.
Il a vécut au siècle des philosophes des lumière, il en fait lui aussi partis . Il choisit d'écrire des contes philosophiques pour éviter le censure. Il est aussi celui qui a dirigé l'écriture de l'encyclopédie pendant 20 ans.
Diderot nous a déjà montrer par plusieurs ouvrages sa tolérance et son humanisme. Il s’illustre dans de nombreux combats contre l’injustice.

Le roman raconte une soirée passée en famille autour du foyer : Diderot , sa sœur , son frère et son père mais aussi quelques convives sont réunis ici et défendes leurs idées par une joute verbal . L'une des grandes questions a laquelle ils essaient de répondre est : "La loi n'est peut être pas toujours juste... doit-on la suivre aveuglement ? ". Ce roman comporte notamment un débat qui oppose la justice a la morale, le docteur face au moi, le docteur suis l'éthique imposé par son travail et par le serment d'Hippocrate alors que le moi joue sur le coter morale de l'affaire. Dans ce livre Diderot traite aussi l'un des grand dilemmes que celui de l'héritage comme dans l'affaire de l'héritage du curé de Thivet dont l'héritage devrai aller a la famille du défunt, qui sont pauvre et cela les aiderais grandement mais le père Diderot retrouve un testament dans lequel il est écrit que le curé cède sa fortune a de riche libraires parisiens. c’est un texte très moraliste et philosophique, cela fait réfléchir le lecteur , il peut se demander si il était dans une situation comme celle ci quels seraient ses actes.

Pour nous cette œuvre pourrait être symbolisée par un portrait chinois : un plat, une couleur et un animal.
- pour le plat se serait une choucroute car le texte est très diversifier et l'on tombe sur plusieurs saveurs.
- pour la couleur ce serait du gris pour montrer la neutralité ressentis dans ce texte, on retrouve des arguments qu'on pourrait qualifier d'immorales (noir) et d'autres plus morales (blanc) qui donne une teinte grise qui est un juste milieu.
- pour l'animal ce serait un morse car c'est un animal calme et réfléchis mais il peut devenir agressif pour défendre sa cause comme le "moi" dans le débat avec le docteur.

Nous vous conseillons de prendre le temps pour lire cette ouvrage car c'est une œuvre passionnante, unique et qui vous fera beaucoup réfléchir...
nous espérons qu'il vous sera aussi agréable a lire qu'il l'a été pour nous !

69. Le 12 octobre 2012, 00:01 par Tcheupi Kamga Xavier et Samuel Karime

La philosophie a l’état pure : La justice est t'elle toujours juste ?

Vous hésitez encore sur la nature du bien ou du mal  ?  Si vous aimer les débats mouvementé ? Je sais exactement ce qui vous faut : lisez donc  , « Entretien d'un père avec ses enfants »  , en moins d’une 1 h il répondra a vos attentes !

Ce livre à été écrit par Denis Diderot ( né en 1713 et mort en 1784) en 1773
Diderot est considéré comme un grand philosophe du siècle des lumière, c’est écrivain de génie possédant grand un esprit critique. Il a aussi rédigé et dirigé la célèbre "Encyclopédie" possédant de nombreux articles philosophique.

"Entretien d'un père avec ses enfants" est un énorme plat alternant pièce de théâtre et le récit ce qui donne a ce texte une forme intrigante et unique , il introduit différent personnages mis en situation grâce a des dialogues ce qui facilite considérablement la compréhension du lecteur qui peut lui même forger un opinion et de se ranger du coté d’un personnage. Mais qui ne possède pas toujours de liberté d’expression car il peut être attirée par la persuasion de certain personnage ce qui peut perturbée son choix.
Il y a combat verbale perpétuelle entre deux adversaires d’opinions opposées: « le Moi » tout dans dégressivité n'hésite pas a provoquer son interlocuteur pour mieux le déstabiliser possédant le caractère d'un bufle et fessant tout pour donner raison a son raisonnement .. Et il y a le « docteur Bissei » grande sagesse d’un aigle alliant volant au-dessus de ce que l’on appel la « la vengeance sélective » alliant à la fois, loi, conscience, croyance et devoir.
Ces procédés rendent la lecture de ce livre encore plus intense et distrayante.
Combat entre le bien et le mal, combat entre la morale et la rancœur, combat entre le blanc et le noir, la maturité ou la fougue de la jeunesse ..etc
C’est un grand combat épique d‘étique.

Tout cela nous ramène a une seule question, de quelles manières ? Quand ? Où ? Et par qui ? La justice faites ?
Vous voulez une réponse franche et concrète ? Eh bien lisez donc ce livre!

70. Le 12 octobre 2012, 00:01 par Tcheupi Kamga Xavier et Samuel Karime

La philosophie a l’état pure : La justice est t'elle toujours juste ?

Vous hésitez encore sur la nature du bien ou du mal  ?  Si vous aimer les débats mouvementé ? Je sais exactement ce qui vous faut : lisez donc  , « Entretien d'un père avec ses enfants »  , en moins d’une 1 h il répondra a vos attentes !

Ce livre à été écrit par Denis Diderot ( né en 1713 et mort en 1784) en 1773
Diderot est considéré comme un grand philosophe du siècle des lumière, c’est écrivain de génie possédant grand un esprit critique. Il a aussi rédigé et dirigé la célèbre "Encyclopédie" possédant de nombreux articles philosophique.

"Entretien d'un père avec ses enfants" est un énorme plat alternant pièce de théâtre et le récit ce qui donne a ce texte une forme intrigante et unique , il introduit différent personnages mis en situation grâce a des dialogues ce qui facilite considérablement la compréhension du lecteur qui peut lui même forger un opinion et de se ranger du coté d’un personnage. Mais qui ne possède pas toujours de liberté d’expression car il peut être attirée par la persuasion de certain personnage ce qui peut perturbée son choix.
Il y a combat verbale perpétuelle entre deux adversaires d’opinions opposées: « le Moi » tout dans dégressivité n'hésite pas a provoquer son interlocuteur pour mieux le déstabiliser possédant le caractère d'un bufle et fessant tout pour donner raison a son raisonnement .. Et il y a le « docteur Bissei » grande sagesse d’un aigle alliant volant au-dessus de ce que l’on appel la « la vengeance sélective » alliant à la fois, loi, conscience, croyance et devoir.
Ces procédés rendent la lecture de ce livre encore plus intense et distrayante.
Combat entre le bien et le mal, combat entre la morale et la rancœur, combat entre le blanc et le noir, la maturité ou la fougue de la jeunesse ..etc
C’est un grand combat épique d‘étique.

Tout cela nous ramène a une seule question, de quelles manières ? Quand ? Où ? Et par qui ? La justice faites ?
Vous voulez une réponse franche et concrète ? Eh bien lisez donc ce livre!

71. Le 12 octobre 2012, 11:29 par madame Tostivint

J'espère que tout le monde a eu le temps de poster son devoir: c'est fini!
Je vous enverrai vos notes (+ commentaires) par mail. Donc, CEUX qui ne me l'ont pas encore donné....
A lundi,
Madame Tostivint.

72. Le 16 octobre 2012, 20:13 par Robin De Sousa

Le roman que j'ai le plus aimé et que je n'oublierai sûrement pas est "L'île du Crâne" d'Anthony Horowitz paru en France en 1991. J'ai dût lire ce livre en 5ème. J'ai vraiment aimé ce livre car il n'est ni trop ni pas assez descriptif. C'est l'histoire de David Eliot il s'est fais exclure de son ancien collège, alors il alla ensuite dans un internat situé sur un petite île: " l'île du Crâne". Aussitôt, arrivé dans son nouvel établissement, il remarqua que son collège était particulièrement étrange. Il décida alors de s'enfuir de ce lieu étrange mais il s'est fais attraper à de multiples reprises. Cependant, David et nous apprenons que son internat était en faite une école de magie et c'est ainsi qu'il devient magicien. Ce roman est plein d'action et de suspense, on ne peut pas s'ennuyer en lisant ce livre.

Quant à "Vipère au poing" d'Hervé Bazin de 1948, je n'ai jamais autant détesté un livre! C'est un roman autobiographique. Ce livre n'est que descriptif! C'est tout simplement horrible; avec ses 256 pages, le narrateur dit juste qu'il n'aimait pas sa mère mais que finalement il l'aimait car elle lui ressemble parce qu'il est devenu au fur et à mesure il est devenu comme elle. Il n'y a pas un seul mot important dans ce livre; si on lit le résumé on a même pas besoin de lire ce roman: Il n'y a rien d'autre à savoir! pour conclure je n'oublierai jamais ce roman tellement je me suis ennuyer à le lire.

73. Le 18 octobre 2012, 18:19 par Malory Gouverneur

Mon roman préféré est, jusqu'à aujourd'hui, Miserere de Grangé. J'ai particulièrement aimé ce roman car l'histoire est très vite prenante et le suspens est tel qu'on ne peut pas s'arrêter de lire. De plus, on y trouve énormement de culture générale (sur le nazisme, les sectes, la torture, la musique,..).
Le roman que j'ai le moins aimé est Micromégas de Voltaire. Je n'ai pas du tout accroché à l'histoire de ce roman trop éloigné de notre réalité actuelle.

74. Le 18 octobre 2012, 19:35 par Karim Samuel

Mon roman préféré est Le Comte de Monté-Cristo, d'Alexandre Dumas.
J'ai trouvé ce roman très intriguant du début jusqu’à la fin ( 1500 pages environ ), et le suspens étais a son comble

Le roman que j'ai le moins aimé est L’entretien d'un père avec ses enfants
Je trouve qu'il y a beaucoup trop de personnages qui arrive en même temps
On se perd dans l’histoire. Tout au long de ce roman il y a des dialogues ce qui est assez plaisant au début mais à la fin cela devient lassant

75. Le 18 octobre 2012, 20:03 par Coutteel Malcolm

Un roman inoubliable : Le roman de Renart
C'est un recueil de récits médiévaux en vieux français . Il est écrit en vers , on y retrouve des récits variés et bien écrits .Ce livre m'a beaucoup plu car les histoires sont amusantes et courtes. Le fait que ce livre soit composé de plusieurs petites histoires est plus agréable à lire qu'un énorme roman...On arrive au dénouement rapidement .Le personnage principal s'appelle Renart .Il est aussi connu sous le nom de goupil. Il est rusé ,espiègle .Il incarne la ruse liée à l'intelligence et à l'art de la belle parole. Dans la plupart des récits, Renart essaie et réussit d'ailleurs très souvent à tromper les autres animaux. Ces récits utilisent ces derniers pour faire une satire des comportements humains. Chaque animal représente un caractère humain( ou un de ses travers ). Dans chaque histoire on retrouve un coté sombre ou naïf du comportement humain. Voilà pourquoi c'est un de mes livres préféré !
La planète des singes : un roman ennuyeux
J'ai vraiment été déçu par le roman , j'avais gardé un bon souvenir du film et je pensais que je l'apprécierais mais ce ne fut pas le cas... Au premier abord, il peut s'agir d'une bonne histoire de science-fiction, romancée de manière un peu naïve. Mais l'auteur français Pierre Boulle s'attarde trop sur la description et ne va pas directement à l'essentiel .C'est vraiment dommage car le récit est très bien pensé et la chute est impressionnante par la réflexion qu'elle suscite (la terre sera elle un jour dominée par une autre espèce que l'Homme ? ). Le roman montre une planète dirigée par des singes, les humains sont réduit en esclavage et traités comme des animaux. Les rôles sont inversés ! Mais les singes sont très ressemblant aux humains ,ils ont la parole ,les attitudes ,l'intelligence et la cruauté. C'est un peu comme dans le roman de Renart ,les singes représentent en réalité les caractères humains mais la façon dont est rédigée ce livre ne m'a pas plu.