2nde 4: écrit d'invention.

 Racontez la scène finale du point de vue de Jeanlin.

Commentaires

1. Le 22 janvier 2014, 09:16 par Camelia

Alors c'est bon il s"en va après tout ce qu'il a fait pour nous . Il n'a pas l'air d’être touché par son départ au contraire. Il ne préviens personne et s'en va le sourire au lèvres en plus. Il n'est même pas venu me dire au revoir a moi le plus jeune mineur, franchement sa ne se fait pas. Mais quelle sera la réaction des autres mineurs du fait de son départ soudain et même secret... Lâche, traître, manipulateur pour certains, héros ou même envoyé de Dieu pour d'autres toute personne aura une vision positive ou négative de lui lorsqu'ils sauront qu'il est parti. Pour moi c'est un héros un exemple a suivre dans la vie, il est arrivé sans argent ni rien, a travailler avec nous sans pression. En lui une chose m'aura marquer, le fait qu'il nous ai montré qu'on se faisait marcher sur les pieds sans s'en rendre compte, il nous a ouvert les yeux sur ça et nous a permis de nous révolter, voila pourquoi je dis que c'est un héros je lui en serait reconnaissant a vie. Une mine de dédommager bientôt il n'en existera plus et fini cette vie de souffrance, de travail sans cesse je pourrais vivre ma jeunesse tranquille. En y réfléchissant, pourquoi je ne ferais pas comme lui, pourquoi je ne m'en irais pas, fuir la misère, le travail après tout je n'ai rien a perdre j'ai perdu la quasi-totalité de l'usage de mes jambes je m'en fiche un peu du reste maintenant, on pourra s'occuper de moi la-bas sans que personne ne connaisse mon vécu je changerais d'identité comme ils font dans les films et puis si je pars maintenant personne ne doutera que c'est moi qui est tuer le soldat. Mais non, c'est impossible pour moi de partir, je n'ai pas d'argent rien a peine pour me nourrir je suis sale, mal en point a quoi sa sert autant assumer tout ça et garder espoir sur le fait qu'on reçoivent des dommages et intérêts après tout ce qu'on a fait et que toutes les mines soit éliminés. Et en plus de sa il est bourgeois d'origine lui, il arrivera la-bas et aura l'aide de tout le monde la-bas alors que moi si j'y vais je n'aurais personne je suis un simple mineur ayant des parents mineurs, des grands-parents mineurs, des ancêtres mineurs une famille de mineurs quoi... Bon le train viens de partir trop tard pour moi je vais mourir mineur moi et rester mineur a vie, Etienne je ne t'oublierais jamais, tu es pour moi un héros et qui sais un jour tu viendra peut-être me sauver en prison... A bientôt ou bien Adieu ;-(

2. Le 22 janvier 2014, 14:39 par Maud

"Mère me dit d'oublier. Comment pourrais-je ? Cette défaite n'a fait que des morts, et nous a enfoncé encore plus dans notre misère. Père me disait d'être très, très courageux ... Je l'ai fais. Je n'ai pas eu peur. Non. J'ai eu mal, trop mal. Et c'est pire que d'avoir peur.
Pendant que je trie ces maudits cailloux, je regarde ma mère, et le reste des mineurs. Alors, c'est comme ça ? On va rester ici pour toujours, et je mourrais sous-terre en suffoquant ... En plus, depuis la mort des nôtres, ils ont tous le même regard froid et vide. Comme des âmes errantes; ça m'attriste de les voir ainsi ... Moi qui croyais si fort à notre liberté.
La pire, c'est ma mère : elle regarde les cailloux comme de vulgaires jouets ! Un vrai mort-vivant ! Je ne l'envie pas, ma mère; je préfère qu'on me coupe ce qui me reste de mes jambes, plutôt que d'être à sa place !
Pendant que je confectionne des tas, un bruit de pas sur le gravier attire mon attention : je vois Lantier, seul, se diriger vers la sortie.
Je le regarde aller, et je me dis que je donnerais n'importe quoi, à ce moment-là, pour être à sa place : retrouver l'usage de mes jambes, prendre ma besace et m'enfuir de ce cimetière ! M'enfuir je ne sais où, mais là-bas, au moins, j'arriverais peut-être à oublier, comme mère me l'a incité ! Je pense qu'elle serait d'accord avec moi, pour qu'on s'en aille tous les deux à la place de Lantier !
Avec espoir qu'il me remarque, je fais du bruit avec la caillasse, et je frotte mes mollets sur le sol. Je voudrais crier, l'assommer à coups de cailloux, et prendre sa place ! Ne serait-ce que pour un instant ! Et si je crie, que penserais mère ? Elle me prendrait pour un traitre, un lâche ! Non ... Je cherche juste à vouloir vivre une "vraie" vie !
Enfin ... Alors que je me sens poussé des ailes, Lantier disparut dans le chemin de gravier. Ses pas s'étouffèrent dans le silence. Et puis, moi, je redescendis sur terre, pour trier mes cailloux ..."

3. Le 22 janvier 2014, 15:05 par Aurélie

Mon retour à la mine était difficile. La Compagnie m’avait trouvé un travail malgré la perte de l’usage de mes jambes lors d’un accident dans la mine durant la révolte du coron. J’étais alors trieur de charbon. Ce jour, alors que j’effectuais mon travail, en plein soleil, assis devant l’entrée de la mine, un visiteur passa près de moi et s’en alla au loin. Au premier abord, il m’a semblé que cet homme était l’un des nouveaux propriétaires de la mine avec son costume rouge propre, ses chaussures non souillées et son sac semblable à du cuir. Un homme qui avait dû se faire insulter à l’intérieur du bâtiment de la mine. Mais plus il s’éloignait, plus je reconnaissais sa démarche, sa posture, son habit qui l’avait accompagné le premier soir où il était arrivé au Voreux pour demander du travail. Cet homme je pensais le connaitre, il nous avait guidé, moi pourtant enfant et tout le coron, il nous avait fait rêver à un monde meilleur. Il travaillait dans mon équipe lors de mon premier travail à la mine, il me surprenait dans les champs en compagnie de Bébert et Lydie, il dormait sous mon toit lorsque mon frère était parti vivre avec Philomène, il m’avait aidé à cacher le corps d’un soldat que j’avais tué comme je l’avais hébergé dans ma taverne lorsque les mineurs étaient tous contre lui. Cet homme partait maintenant, comme un voyou, dans ses habits propres, vers d’autres aventures sûrement plus importantes que la misère qu’il laissait derrière lui. Pas même un regard lors de son passage à mes côtés. M’avait-il seulement remarqué ou pensait-il déjà à ses rêves futurs avec Pluchart ? Cet homme, je n’étais pas le seul à le connaitre, cet homme était Etienne Lantier.

4. Le 22 janvier 2014, 15:36 par Aurélien

Etienne suivit la route absorbé par ses pensées, une expression heureuse sur le visage ...

Le voreux avait repris son activité, les mineurs étaient redescendus, ils cherchaient de nouveau le charbon, tandis que moi, à la surface, j'étais assis à trier le charbon autour d'autres mineurs (des vieux, des "cassés" comme moi). Tout d'un coup, je le vis, il partait comme un lâche, un meurtrier qui laissait derrière lui tant de victimes.
Le soleil paraissait à l'horizon glorieux, c'était un réveil d'allégresse dans la campagne. Un flot d'or roulait de l'Orient à l'Occident, sur la plaine immense. Cette chaleur de vie gagnait, s'étendait en un frisson de jeunesse où vibraient les soupirs de la terre, le chant des oiseaux, tous les murmures des eaux et des bois. Il faisait bon vivre, le vieux monde voulait vivre un nouveau printemps encore ...

Et pénétré de cet espoir, je le voyais marcher d'un pas lent et regardait de droite à gauche de la route, je croyais qu'il était inquiet pour les mineurs alors que le soleil commençait à réchauffer la terre. Pourquoi ne venait-il pas travailler à la mine ? Est-ce qu'il avait peur des regards hostiles des mineurs ou peut-être avait-il trouvé un autre travail, un travail meilleur ? ou alors partait-il parce qu'il pensait avoir échoué ?

Mais moi, j'avais besoin de lui pour me consoler parce j'avais perdu mon père, ma soeur, mon frère, l'usage de mes jambes, même mon grand-père avait perdu la raison. J'avais beaucoup perdu dans cette grève bien plus que certains. J'avais besoin d'un nouveau père, d'un nouveau frère et, lui, me quittait sans un regard.

Je n'avais pas eu le temps de lui en parler mais j'avais décidé que, plus tard, dans quelques années, j'irai m'excuser auprès de la famille du jeune soldat que j'avais tué. Cet acte ignoble, je l'avais commis pour lui, pour lui montrer que j'étais de son côté, que je croyais en ses belles paroles. Il avait été mon Dieu, mon idole.

En le suivant du regard, j'avais un goût amer dans la bouche. Ce soir, je demanderai à ma mère pourquoi nous laissait-il tomber ? De nouveau, je perdais quelqu'un ...

5. Le 22 janvier 2014, 16:55 par Camille

Cela faisait maintenant trois heures que je travaillais. Comme tous les jours, je triais du charbon et souvent au bout de deux trois heures, les actions répétitives que je faisais commençaient à me lasser. Cependant, je n’avais que cette solution pour pouvoir gagner ma vie.

Au loin, alors que je continuais de travailler, j’aperçus une ombre dessinant la silhouette d’un homme. Au premier abord, je n’avais pas reconnu l’identité de cet homme. Mais lorsque je jetai un second coup d’oeil dans sa direction, je remarquai que c’était Etienne. Je fus tellement pris de colère en le voyant longer la route menant aux trains que j’en oubliais de trier le charbon. Des dizaines de questions me traversèrent l’esprit, mais malheureusement, je n’avais aucune réponse concrète à y apporter. Je ne compris pas la raison de son départ; je ne pouvais qu’à ce moment émettre des hypothèses. Étienne, que je considérais presque comme un héros, n’est même pas venu voir ma mère et moi pour nous prévenir des raisons de son départ. Je trouve son attitude très lâche. Je me demandai si Etienne ne s’était pas servi de nous et de tous les mineurs, pour pouvoir être reconnus. En l’observant, mon hypothèse se confirma. Il avait l’air prétentieux et même hautain. Les liens que j’avais établis avec lui se fissurèrent lorsque je compris qu’à ses yeux je ne représentais rien. De plus il avait l’air déterminé à quitter Montsou et à ne plus jamais revenir. C’est alors qu’une larme commençai à couler sur mon visage. L’émotion que je ressentais était tellement forte que je ne pus l’expliquer. Je ne comprenais pas pourquoi, un homme si gentil qui avait voulu nous aider, s’enfuyait tel un malfaiteur.



Je dus passer outre l’émotion qui m’envahissait pour pouvoir reprendre le travail. Moi, qui avais tellement souffert lors de cette grève, je n’imaginais pas qu’Etienne puisse nous lâcher de cette manière sans avoir atteint son but.

6. Le 22 janvier 2014, 17:04 par Marion

Assis sur le sol dur, je triais du charbon. A la fin de la grève, la Compagnie m’avait trouvé ce travail, qui me semblait sincèrement inutile. Je l’aurais bien quitté sur le champ, mais c’était nécessaire pour mettre du pain sur notre table.
Cela faisait seulement quelques heures que j’avais commencé, mais mes mains étaient déjà noires de charbon. Alors je vis passer Etienne. Celui grâce et à cause de qui tout était arrivé. La grève, le soulèvement. La mort de mon père, mon frère, mes sœurs, mes amis. Je ne regrettais pas la grève. Je ne regrettais pas le saccage du Voreux. Je ne regrettais pas la mort du soldat que j’avais tué. Il avait payé pour tous les autres. Mais de voir s’en aller ainsi, en nous abandonnant, celui qui avait mis le feu aux poudres me révoltait.
Il marchait, orgueilleux, hautain, glorieux presque, vers un avenir brillant, loin de notre misère dans laquelle il avait lui-même vécu. Il nous laissait à notre sort. Il devenait comme les bourgeois, se croyait supérieur, et les autres ne s’en rendaient pas compte. Certes, il avait agi et agissait pour une bonne cause. Mais cela ne changeait rien au fait qu’il s’était servi de nous pour accroître sa popularité. Et maintenant que tout était fini, il s’en allait chercher le pouvoir.
Je n’avais qu’une envie, lui jeter une berline pleine de charbon à la tête. J’aurais voulu lui hurler qu’il n’avait pas le droit de partir ainsi, en fier général d’une armée déchue, comme s’il avait remporté une éclatante victoire. J’aurais voulu lui faire payer la mort de la moitié de ma famille et de mes amis, quand bien même il n’en était pas totalement responsable. Lui ne pensait qu’au pouvoir, il ne songeait pas une seconde au désastre et aux morts qu’il avait causés. Je voulais nous venger.
Mais à quoi bon ? Je n’étais qu’un misérable, issu d’une famille de misérables. Si ce traître que les autres admiraient voulait s’en aller à jamais, c’était peut-être mieux. Au moins, nous serions débarrassés de ce lâche qui avait fini par abandonner la grève, alors que ma famille souffrait. Oui, finalement, j’avais envie de lui crier de partir loin, très loin, là où nous ne pourrions plus jamais le revoir, qu’il aille manipuler d’autres personnes, détruire d’autres vies, ruiner d’autres familles. Nous savions nous battre désormais, nous n’avions plus besoin de lui.

7. Le 22 janvier 2014, 17:39 par Mathilde

Encore un matin de labeur, j'en avais assez de trier le charbon pour ces bourges ingrats ... Le soleil pointait à l'horizon mais ne me réchauffait pas assez . C'est le charbon dans les mains que je vis passer Etienne. Tout à coup mon esprit divagua, je ne pensais plus à trier, je pensais à Etienne. Cet homme mystérieux qui avait changé ma vie et celle du coron . Désormais il partait . Allait il me manquer ? Après tout il n'était pas méchant avec moi ... C'est lui qui m'a aidé lorsqu'il a fallut que je cache le cadavre de ce misérable soldat ... Enfin je ne l'appréciais pas vraiment plus que ça ... Et s'il n'était jamais venu ici ? Est ce que toute cette révolution aurait eu lieu ? Qu'aurait été ma vie en ce moment ? Toute ma famille serait elle encore en vie ? N'est ce pas lui qui a crée toute cette pagaille, qui a convaincu les hommes de se battre ? Mon père ne serait pas peut être pas mort à cette heure ci si Etienne ne lui avait jamais dit de se révolter ... Alors je commençais à le remettre en question . Au début je le voyais comme quelqu'un qui allait nous rendre la vie meilleure en nous aidant à lutter contre les bourgeois qui nous laissent dans la faim . Mon père semblait approuver ses idées et je me disais que enfin, notre vie de misère allait peut être changer ... Mais qu'en est il aujourd'hui ? Je ne me retrouve que dans de pires conditions, certains de mes frères et soeurs sont morts et mon père, lui qui avait fait confiance à Etienne est mort aussi, et tout cela est peut être la faute d'un seul homme en fait ... Etienne ... Alors je le regardais passer , toutes ces questions en tête... Avant de me dire qu'il fallait que je me concentre sur mon travail si je voulais rapporter de l'argent, et qu'avec dépit je retourne à mon charbon ...

8. Le 22 janvier 2014, 18:03 par kenza 2nd4

Pendant que je travaillais sans relache, que je souffrais pour trier ses tonnes de charbon, Etienne passa juste devant moi, sans meme me jeter un petit regard. Il a donc tout oublier ? Il a fait plutot tout comme... Il nous a tous laissé dans cette enfer, dans cette misère pendant que lui allait à Paris vivre sa propre vie alors que moi je n'ai pas d'avenir.
C'est un traitre !!! Il nous laisser croire de belles chose au sujet de notre futur mais s'en ait aller sans meme se retourner. Il se sentait fier et plus haut que nous alors que mes parents l'avait accueillis l'avais ecouter, alors que nous, nous sentons encore l'odeur de misère et que nous avons du sang sur les mains.... Avait-il vraiment envie de nous aider ? Il marchait continuellement, je le voyais disparaître peu à peu et lui n'avais meme pas vue une derniere fois mon visage de jeune adolescent handicapé a cause de ses betises. Il s'etait finalement toujours senti superieur a nous. Il s'etait servir de nous pour reussir. Moi, ma mère est seul, je n'ai plus de père ni de frère et sœur, mes jambes me serve plus a grand chose et tout cela a cuse de ses ambitions et ses idées de greve qui n'ont abouti a rien ! Il pensait donc qu'il etait notre chef. Je lui en veux, ma famille est brisé alors que je suis encore jeune, ma mere se tue au travail a cause de lui. Il n'avait pas finit son travail mais a comme laisser derriere lui des centaines d'ouvriers et leur famille dans la souffrance.

9. Le 22 janvier 2014, 18:03 par kenza 2nd4

Pendant que je travaillais sans relache, que je souffrais pour trier ses tonnes de charbon, Etienne passa juste devant moi, sans meme me jeter un petit regard. Il a donc tout oublier ? Il a fait plutot tout comme... Il nous a tous laissé dans cette enfer, dans cette misère pendant que lui allait à Paris vivre sa propre vie alors que moi je n'ai pas d'avenir.
C'est un traitre !!! Il nous laisser croire de belles chose au sujet de notre futur mais s'en ait aller sans meme se retourner. Il se sentait fier et plus haut que nous alors que mes parents l'avait accueillis l'avais ecouter, alors que nous, nous sentons encore l'odeur de misère et que nous avons du sang sur les mains.... Avait-il vraiment envie de nous aider ? Il marchait continuellement, je le voyais disparaître peu à peu et lui n'avais meme pas vue une derniere fois mon visage de jeune adolescent handicapé a cause de ses betises. Il s'etait finalement toujours senti superieur a nous. Il s'etait servir de nous pour reussir. Moi, ma mère est seul, je n'ai plus de père ni de frère et sœur, mes jambes me serve plus a grand chose et tout cela a cuse de ses ambitions et ses idées de greve qui n'ont abouti a rien ! Il pensait donc qu'il etait notre chef. Je lui en veux, ma famille est brisé alors que je suis encore jeune, ma mere se tue au travail a cause de lui. Il n'avait pas finit son travail mais a comme laisser derriere lui des centaines d'ouvriers et leur famille dans la souffrance.

10. Le 22 janvier 2014, 19:46 par Marie-A 2ND4

Assis parterre j'aperçois une silhouette passer. Proche de moi je pus reconnaître Etienne.Pendant que les ouvriers continués leurs travail sans relâche, lui, s'en alla. C'est sur il ne reviendra pas. Il a été présent pour moi mais va-t-il me manquer. s'est un lâche puisque son départ se fait en silence, il aurait pu avoir pour titre héros mais son plan a échoué nous menant plus bas que terre. Il s'en va laissant ma mère triste sans mari ni repère. Fuir était donc sa solution il se sent fier car il s'est servit de nous pour réussir. Par sa faute ma famille est détruite mais il faut se l'avouer nous somme plus fort maintenant.

11. Le 22 janvier 2014, 20:00 par Clément

Jeanlin étais en train de trier le charbon et son voisin lui dit:
-Regarde qui es qui s'en va.
-Bon débarra,dit-il en crachant dans la direction d'Etienne.
Jeanlin se mis a pencer:
-"Etienne Lantier, ce fourbe, sans vois, sans destin, sans objectif, juste semé la terreur là ou il passe. Si je suis dans cet états là, tout sa c'est de ta faute toi, Etienne Lantier. Regarde le, la, il doit être fière de lui, maintenant que je suis comme ça, et que tout le monde est morts. Ah toi, Etienne Lantier, je te hais plus que tous.Dieu te punira mon amis. Ces sur cette marche que nos chemins se sépare Etienne Lantier. je n'ai qu'une phrase a te dire!"
Et la, Jeanlin se mit a parler à haute voix."je te souhaite beaucoup de malheur Etienne Lantier"
Son voisin se mit a rire et a lui répéter la même phrase 3 fois. Etienne entendis, s’arrêta, et repris sa route sens même se retourner.

12. Le 23 janvier 2014, 11:39 par Zekoooooooooooooooo

"Jeanlin triait les charbons devant la gare de Montsou comme à son habitude tout les jours pour nourir lui et sa mère. Depuis qu'il a perdu ses jambes, il ne peut rien faire d'autre."

  Je n'ai plus la conscience tranquille, pour chaque charbon que je trie, je vois un crâne de soldat. Mais tout ça je le dois à une personne. Etienne. Ce traitre, c'est à cause de lui si j'en suis là. J'aurai voulu lui mettre des coups de pieds. Mais à ce moment là, devinez qui passe par la gare... Etienne Lantier. Une envie de meurtre me monta à la tête. Je voulus l'appeler, mais je ne sais pourquoi ma voix resta muette. Il a tellement retourner sa veste que je pense que tout les mineurs veulent le tuer. Peut-etre se fera-t-il écraser par le train... Je le vis monter dans le train, il séloigna... Je ressenti un profond sentiment de haine, et j'espérais qu'il ne reviendrait jamais.