Ecrit d'invention. Ecrire une lettre à Jeanne Benameur.

La fin du roman est-elle réussie selon vous?

Ecrivez une lettre à l'auteure du roman pour lui exprimer votre point de vue sur la fin des Demeurées.

On vous demande 3 paragraphes de 10 lignes minimum chacun.

Commentaires

1. Le 11 mars 2016, 19:03 par mme baudry

Les Demeurées, J. Benameur, 2000. L’explicit.

Elle parle, elle, Luce.
Elle commence par son nom. Entier.
Désormais, elle commencera toujours par son nom.
Elle continue.
Elle récite dans le silence toutes les leçons qu’elle a retenues. C’est une longue litanie où tout son savoir s’entremêle.
La voix est claire.
Les mots sont vivants.

Quand elle a achevé, elle se penche, creuse dans la terre un tout petit trou.
Elle y dépose sa dent, reste un temps accroupie puis s’en va.

A la grille, La Varienne attend.
Elle n’est pas entrée.
Elle attend et personne ne lui dira de partir.

Elles se regardent.

Luce lui prend la main. Ensemble, elles rentrent à la maison.

Le lendemain, Luce reprend le chemin du village. La Varienne ne la suit pas.
La petite rentrera. Elle ne va pas à l’école. Elle va voir Mademoiselle Solange.
Luce ne s’attarde pas sur la place, ne laisse pas son regard errer vers la salle de classe. Elle va au nom de Mademoiselle Solange, elle va lui réciter ce qu’elle sait.
Les mots sont là.
Elle apprend.
Elle ne peut plus s’arrêter.
Elle apprend les mots, tous les mots. Et elle apprendra. Dans les petits livres de broderie que lui donne Madame, sur les boîtes de farine, de café, sur les morceaux de journal qui servent aux épluchures, sur les pancartes, elle apprend. Elle n’arrêtera plus.

Le monde s’est ouvert.
Chaque soir, elle brode les mots nouveaux, se les répète silencieusement.
Chaque matin, elle vient les réciter ici.
Elle n’arrêtera plus.

Les paroles de Luce s’élèvent.
Elles ne demeureront plus.
Sur la terre, jour après jour, elles portent son souffle.

2. Le 12 mars 2016, 15:35 par KK

Khemis, Jeanne Benameur

                                                                           13/03/16
                         Jeanne Benameur,

Je me permet de vous écrire cette lettre pour donner mon point de vue sur la fin de votre roman "Les Demeurées" . Sur cette fin j'ai deux opinion partager car d'un cotés oui ces une fin positive mais de l'autre c'est aussi une fin négative, tragique à mon gout.
Je m'éxplique,tout d'abord c'est une fin positive car il y a eu un changement total entre le début et la fin des deux personnage,plus précisemment la petite Luce qui à la fin du roman s'ouvre totalment  car vous dites" Elle commence par son nom" et on le sait que au début quand la maitresse lui a proposer son aider pour écrire son nom Luce ces enfuit et est tombé malade sa montre un fin positive et  le changement  du personnage car pratiquement durant tous l'explicit Luce redevient une jeune fille comme les autres qui comme vous le dite s'ouvre au monde,"Le monde s'est ouvert" contrairement au début  ou pour aller à l'école sa mère la suivé , c'était une fille totalement perdu et bouleversé car à l'école elle refusé de répondre aux question elle était compléxé et grace à la broderie mais aussi la maitresse personnage important de mon point de vu Luce redevient une vrai fille ouverte au monde.
Mon autre point de vu ces que la fin est négative voir tragique pour moi car je ne comprend pas pourquoi une si belle histoire ce termine si vite et si mal car la maitresse comme je vous l'ai dit est un personnage très importante car c'est elle qui a aidé la petite Luce quand elle ne disait pas un mots ces un personnage important aussi pour Luce car la fin de votre roman plus précisement les vers 9,10 car nous lecteur son triste parce que Luce elle aussi ces attaché a la maitresse en lui récitant toutes les leçon apprises mais surtout en lui déposant un objet auxquelle elle était vraiment attaché,sa dent. C'est pour cela que j'ai trouvé aussi cette fin négative,tragique mais aussi nostalgique.
3. Le 12 mars 2016, 17:10 par Justine

Mme Boyer Justine
51 rue Paul Cézanne
91540 Mennecy
01-69-90-05-78

Mme Jeanne Bénameur
17 Poitou-Charentes
17000 Charentes-Maritime

14/03/2016

Objet: Mon opinion sur la fin du roman des Demeurés

Madame Jeanne Bénameur,

Madame, après avoir lu votre livre les Demeurés je me permet de vous écrire pour vous félicité, cette oeuvre est vraiment plaisante à lire mais aussi pour vous donnez mon avis sur la fin du roman. J’ai beaucoup apprécier la différence entre la Luce du début qui disait que « Les mots n’ont pas lieu d’être » et la Luce de la fin qui disait que « les mots sont vivant ». Cela montre l’évolution de Luce sans que sa relation intense avec sa mère ne change parce que la Varienne est simple d’esprit, inculte et muette.
A la différence Des Souris et Des Hommes de John Steinbeck ou j’ai pu remarquer que la relation de George et Lennie est intense comme dans les Demeurés mais sans le lien familiale et pourtant leur relation change à la fin du roman quand George est obligé de tuer Lennie accusé du mettre de la femme du fils du patron où ils travaillaient. Malgré la tristesse de George que peut remarquer le lecteur, la façon dont c’était écrit laissait penser que George avait un autre choix.

De plus ce qui me fais aimer la fin du roman est la ressemblance entre l’incipit et l’excipit ou j’ai pu remarquer le même genre d’écriture entre les deux ce qui est vraiment intelligent cela rappelle le début du livre au lecteur mais aussi avec la différence du mot « Abrutie » qui était répétés quatre fois dans l’incipit montrant ainsi la conclusion de l’histoire de Luce et sa mère. En reprenant les mots du début cela montre le pur génie de votre façon d’écrire et cela donne ainsi à votre livre une originalité qui n’a pas encore été apporté à la littérature française de mon point de vue. Et pour cela je voudrais vous dire merci d’apporté un petit quelque chose qu’on ne voit pas dans les autres romans. Et de changer la forme des romans que tout les autres auteurs utilisent et qui n’apportent pas de touches personnelles comme vous avez pu faire entre l’incipit et l’excipit.

Enfin, la dernière chose qui me fais autant aimer la fin du livre c’est que j’ai pu repenser à toute l’histoire juste en lisant la dernière page du roman. Voir Luce répété les mots du savoir avec autant de plaisir alors qu’elle ne voulait pas apprendre et rester dans le même univers que sa mère, m’a fais penser aux personnes qui n’aiment pas lire mais quand ils trouvent un genre de livre qu’ils leurs plaisent ne peuvent s’empêcher le dévorer et donc de le lire avec plaisir comme quand Luce récite les mots sur la tombe de Mademoiselle Solange. Voilà à quoi me fais penser l’excipit, voilà pourquoi j’aime tant votre livre il permet aux personnes qui n’aiment pas lire de comprendre qu’on peut éprouvé du plaisir tout en lisant un livre de la littérature française. votre livre est pour moi un exemple de tout cela, un excipit à la hauteur du divertissement éprouvé tout le long de la lecture du roman alors Madame une dernière fois merci pour tout cela.

Mes sincères salutations

Justine Boyer

4. Le 13 mars 2016, 09:12 par mme baudry

Travail sérieux! Continuez comme cela.
Attention cependant, au niveau du genre de la lettre:
- ce n'est pas vraiment une lettre officielle à un supérieur hiérarchique par exemple. Donc, une adresse plus simple, comme "chère madame" est meilleure.
- de même au niveau de la signature, inventez-vous un nom.

5. Le 13 mars 2016, 11:45 par Camille

Madame Benameur,

Bonjour, je vous écris cette lettre pour vous faire part de mes impressions et de mon opinion sur la fin de votre roman " Les Demeurées".
Pour ma part j'ai aimer la fin de votre roman, j'aime beaucoup la façon dont Luce à évoluer, le fait qu'elle aille sur la tombe de Mademoiselle Solange pour lui récitée ses leçons est une preuve de son évolution et que grâce à Mademoiselle Solange elle sortira du silence et acceptera d'apprendre c'est aussi un bel hommage à Mademoiselle Solange, qui s'est rendue malade pour Luce.

En revanche même si la fin de votre roman me plait, j'aurais préféré que Mademoiselle Solange ne meurt pas, pour qu'elle continue de faire évoluer Luce. C est un personnage que je trouve important dans le livre puisque c'est elle qui va aller chez Luce pour lui donner des cours. C est mademoiselle Solange qui va permettre à Luce de s'ouvrir au monde et non de rester dans le monde muet de sa mère.

Pour finir j'aurais aimé savoir ce que devient Luce. Comment va-t-elle évoluer ? Ce qu'elle va devenir ? Si elle va retourner à l'école ou non ?
J'aurais aimé avoir plus d'informations sur la vie future de ce personnage qui est attachant. Mais en même temps le fait de ne pas savoir nous permet d'imaginer la fin que l'on souhaite pour Elle.

Bien à vous, une lectrice

6. Le 13 mars 2016, 14:23 par Tom G

Jeanne Benameure

Chère madame,
Je vous écris aujourd'hui, concernant votre roman "les demeurées", que j'ai trouvé, je dois vous l'avouer, un peu étrange au départ. Quoiqu’il en soit, je souhaiterais souligner l’excipit de celui-ci, qui m’a paru très intéressant et positif, j’ai pu constater le chemin parcouru par la petite Luce notamment lorsqu’elle se rend sur la tombe de madame Solange.
Les phrases que vous employez dans l’incipit "les mots non pas lieu d'être » «Elle va le regard qui bute sur le monde» sont totalement contradictoires avec celles de l’excipit «Sur la terre, jour après jour, elle porte son souffle» «les mots sont là » ce qui indique que Madame Solange a incontestablement changé la petite Luce tout au long du roman, en l'ouvrant au monde extérieur à travers la transmission de son savoir.
Selon moi, on peut comparer le rôle de Madame Solange à celui d’un philosophe des lumières. Elle a réussi à sortir Luce de "l'ignorance" comme les philosophes ont pu éclairer la société du 18 ème siècle sur la manipulation dont elle était victime.
Cet excipit est aussi beau que tragique, d’un côté il y a la mort de Madame Solange qui m'a personnellement choqué, et que je n'ai pas comprise ; Pourquoi un personnage aussi important meurt-il ? Je me suis retrouvé comme perdu ; et puis il y a Luce qui, sur la tombe de Mme Solange lui rend ce dernier « hommage » en récitant ses leçons, et en déposant sa dent , un objet auquel elle est très attachée, j'ai ressenti une certaine nostalgie, j'ai repensé a tous ces moments qu'elles avaient eu ensemble et j’ai eu beaucoup de peine pour Luce.
Cette œuvre que je trouvais étrange, m’a enthousiasmé et je vous en remercie.
Au plaisir de vous lire à nouveau.
Antoine Léger.

7. Le 13 mars 2016, 14:30 par Isaline

Isaline Domart
36 rue Charles d'Orleans
91540 Mennecy

Jeanne Benameur
55 rue de la Paix
33000 Bordeaux

Dimanche 13 Mars 2016,

Chère Madame Benameur,

Madame, je vous écris aujourd'hui pour vous exprimer ma plus grande admiration à votre égard. J'ai lu tous vos livres, et j'ai particulièrement aimais "Les Deumeurés". Je tiens à vous donner mon opinion sur celui-ci et plus particulièrement sur la fin.

Contrairement à certains, j'ai trouvé la fin positive,car dès le début, on remarque que Luce et la Varienne souffrent du regard des autres et de leurs moqueries. Mais à la fin, on ressent qu'elles sont respectées des autres, et malgré la mort de la maîtresse elles semblent plus apaisées. De plus la question que vous nous posez , "Abrutie aussi ?" à l’égard de Luce est en suspens durant tout le texte mais éclairci à la fin. En effet,il me semble,que Luce a du mal à se détacher de sa mère, mais semble prendre son envol quand elle commence à s'instruire. Je comprends à ce moment là, que la petite n'est pas demeurée mais a simplement du mal à s'ouvrir aux autres. Après avoir fini ce livre, j'ai compris que Luce allait évoluer, grandir et pouvoir vivre une vie normale malgré l'handicap de sa mère.

De plus, ce que j'ai particulièrement appréciais dans votre livre, c'est la relation entre la mère et la fille. Elles semblent inséparables, mais ce qui m'a le plus surpris, c'est qu'elles se protègent toutes les deux. J'ai du mal à percevoir qui est la mère et qui est la fille, et c'est cela qui fait tout le charme de leur histoire. La Varienne veut protéger sa fille du monde extérieur et souhaite la garder que pour elle. Tandis que Luce veut préserver sa mère et la rassurer, notamment à la fin quand Luce lui prend la main pour rentrer à la maison. Pour moi, le geste de Luce voulait dire que celle-ci ne retournera plus à l'école mais qu'elle n’oubliera pas non plus sa maîtresse. A ce moment là, mère et fille semblent plus unies que jamais et semblent enfin se comprendre.

Et enfin, ce qui m'a particulièrement frappé dans votre écriture, c'est la façon dont vous aligné vos mots. Du début jusqu'à la fin de votre roman. Les mots sont comme hachés, les phrases entrecoupées. Dès le début j'ai vraiment étais plongé dans l'univers des personnages et cette façon d'écrire vous démarque vraiment des autres romans. J'ai comme l'impression que cette manière d'écrire vous relie à vos personnages.

J’espère que vous prendrez en compte ma lettre et si le temps ne vous manque pas, de répondre.
Votre plus grande admiratrice,
Maria Colia.

8. Le 13 mars 2016, 15:03 par Deluce M

DELUCE Marylène
91540 Mennecy
13/03/2016

       Cher Mme Benameur,

Je tient à vous remercier pour votre fabuleuse œuvre intitulé "Les Demeurées". Je l'ai trouvé très intéressante car elle nous fait réfléchir sur la vie et le ressenti de cette famille dans la société. Ce qui m'a le plus toucher dans cette histoire, c'est la petite Luce. On ne sait pas de quel côté elle va aller; vers l'école pour apprendre et avoir une place dans la société ou plutôt resté dans l’ignorance et resté avec sa mère qui est demeurée et donc ignorante. Ce dilemme, dans la tête de la petite, est des plus captivent. En effet car la petite est très attaché à sa mère, comme tout enfants. Si elle choisi d'apprendre, cela signifierai qu'elle va abandonné sa mère. Mais sachent ceci, il lui reste le choix de ne pas exploité ses capacité, qui se montre pourtant plus que satisfaisante, et se refusé d'apprendre, ce qu'elle fait au début de l'histoire.
Mais ce qui m'a fait d’avantage aimé ce livre c'est le retournement ce situation, quand la petit décide finalement de renoué le lien avec l’apprentissage par la broderie à la fin, et fait le choix d'apprendre pour sa professeur.
Alors Mme Jeanne Benameur, merci encore à vous.

DELUCE.

9. Le 13 mars 2016, 15:03 par Quentin

Quentin
a Jeanne Bénameur
13/03/16

Chère Madame,

 Je tenais a vous écrire pour dans un premier temps vous félicitez sur l'oeuvre. En effet, votre message étant de mettre le lecteur a la place d'un handicapé mentale par écrit était vraiment original et astucieux. Mais ce n'est pas tout je tenais également vous écrire pour exprimer mon avis sur la fin du roman. Il est vrai malgré que votre style d’écriture était vraiment exemplaire, la fin du roman m'a laissé dubitatif.
 En effet, au début du roman la petite Luce est isolée du monde extérieur, attachée a sa mère. Il est vrai qu'au début du roman on s'interroge sur le fait que la petite Luce est handicapée mentale ou non. Plus on avançait dans le roman plus la petite Luce s'ouvrait au monde et cela grâce a l'aide de Mademoiselle Solange qui tenait a cœur d'aider Luce mais qui se sentait responsable également.Le début du roman m'a beaucoup plus pour cette raison, on voulait savoir se que Luce allait devenir et par quels moyens Mademoiselle Solange allait y arriver.
 Pour se qui est de la fin du roman, c'est une fin tragique, je ne m'attendait pas du tout a se que Mademoiselle Solange décède de cette façon, je voulais savoir se que la petite Luce allait devenir. Effectivement a la dernière page du roman la petite Luce c'est ouvert au monde mais se n'est que le début. Avec la mort de Mademoiselle Solange j'aurais tendance a penser que la petite Luce se renfermerait sur elle même se sentant même coupable par la suite. J'aurais aimé avoir la suite justement pour voir l’évolution de Luce.

Je vous adresse mes sincères salutations

10. Le 13 mars 2016, 16:07 par Ben R

Bonjour Jeanne Benameur,

Je souhaite vous remettre mon ressenti suite à la lecture de votre premier roman pour adulte "Les Demeurés", plus particulièrement de la fin de l'histoire.

Pour commencer j'ai fortement adoré la fin car Luce s'est extraverti par rapport au début où elle était toujours introverti pour dire inséparable avec sa mère, ainsi elle est une personne exemplaire en surmontant la peur qu'elle a toujours connu et que l'on connait quand une situation est inhabituel donc un personnage fort évoluant tout au court du livre arrivant pour moi comme un personnage complètement différent mais positif à la fin de l'histoire sortant du silence. Ce que j'ai aimé aussi parallèlement est la réflexion que vous avez émise de mon point de vue à travers ce livre est, qu' il faut oser pour évoluer, même si cela est dû un peu grâce à l'institutrice mademoiselle Solange.

Deuxièmement il y a une chose que je n'aurai pas voulu que sa arrive est la mort de mademoiselle Solange celle qui a pu permettre à Luce de sortir du silence et de lui apprendre le savoir, pour moi on peut dire qu'elle est représenté un peu comme un ange faisant que du bien. De plus cette mort à la fin reste triste car il y a eu une grande affinité et volonté entre les deux.

Cordialement le Prince Benjamin.

Mes salutations sincères Jeanne Benameur.

11. Le 13 mars 2016, 17:13 par mme baudry

Commentaire 2: une bonne idée de dire que c'est à la fois une fin positive et une fin nostalgique. Cependant, beaucoup de fautes. 12/20
Commentaire 3: le dernier paragraphe est intéressant. Attention, on ne demandait pas de comparer avec des souris et des hommes cependant. 12/20
Commentaire 5: un texte un peu court mais très agréable à lire. 11/20
Commentaire 6: un bon texte. Bonne référence culturelle. 15/20
Commentaire 7: réflexion personnelle de très bonne qualité sur le livre. 16/20
Commentaire 8: trop court. Il y a aussi une mauvaise lecture du sujet. Il faut analyser la fin du roman. 8/20
Commentaire 9: un ensemble un peu maladroit mais des efforts de réflexion. 11/20
Commentaire 10: trop court. De plus, la lettre manque vraiment de clarté. Il faudrait des phrases plus courtes. 8.5/10

12. Le 13 mars 2016, 17:25 par Tony.B

Madame Benameur,

Tout d'abord, je tenais à vous remercier pour le temps que vous accorderez à lire cette lettre. je tenais à vous écrire pour vous donnez mon point de vue sur la fin de votre roman "les demeurées".

La fin du roman m'a beaucoup touché et m'a énormément plu car Luce est beaucoup plus ouverte aux autres contrairement au début du roman où elle était très renfermée sur elle-même, plus le roman avançait, plus la petite Luce s'ouvrait aux autres.
J'ai aussi énormément apprécié la relation mère-fille, en effet, on peut se demander qui est qui, la fille peut paraître plus mature que sa mère, qui la suit partout.
Luce, à la fin du roman, à pût dire tout ce qu'elle avait sur le cœur et ce qu'elle n'a jamais pût dire à travers les mots qu'elle à appris pendant le roman.

La mort de mademoiselle Solange est une chose qui m'a assez déplu, car pour Luce, elle était comme une deuxième mère, comme un ange gardien qui veille sur elle, j'aurais préféré qu'elle ne meurt pas, qu'elle soit toujours la pour elle, je veux savoir ce que la petite Luce serait devenue si mademoiselle Solange ne serait pas morte. J'aurais même penser que Luce se serait encore plus renfermé sur elle-même et que tout les efforts de mademoiselle Solange serait vain.

Au début, je me sentais un peu "perdu", comme si je n'étais pas à ma place, mais au fur et à mesure de l'avancement du roman, j'évoluais avec Luce, mon avis à changé et c'est ce qui m'a plu. J'étais un peu rebuté par la façon d'écrire et l'alignement des phrases, mais j'ai finis par m'y habituer et même à l'apprécier.

Mes sincères salutations

T.Benetreault

13. Le 13 mars 2016, 19:16 par Maraval Alicia

MARAVAL Alicia
6 rue du Maréchal
91750 Chevannes
13/03/206



Bonjour chère madame Benameur, je vous écris pour vous faire part de mon opinion sur la fin de votre livre "Les Demeurées". Mais avant cela laissez moi vous dire que j'ai beaucoup appréciée cette lecture car je la trouve très intéressante, mais je trouve également qu'elle dégage une sorte de suspense, car Luce est-elle demeurée comme sa mère? C'est se que nous allons donc découvrir a la fin de l'œuvre. Tout au long du roman nous voyons que Luce souffre beaucoup du regard des autres, c'est une jeune fille très isolée du reste de ses camarades. La scène qui m'a le plus intriguée je pense, est lorsque son institutrice Madame Solange écrit son nom de famille au tableau, et que la petite Luce prend peur et s'enfuit de la classe. C'est alors que j'ai compris que son nom de famille faisait référence à son père qu'elle ne connaît pas. J'ai trouvé cette scène très intéressante car on ressent la souffrance de la petite.

J'ai aimer la fin du livre car nous voyons que la Variènne et sa fille son plus soudée que n'importe qui, elles veillent chacune l'une sur l’autre. Car oui dans la ville ou demeure celles-ci il le faut bien. La mère et sa fille sont rejetées et insultées. C'est aussi pour cela que j'ai aimer lire cette œuvre, car vous nous montrez les injustices et les discriminations des handicapés dans la société d'aujourd'hui. Mais à la fin du roman nous comprenons qu'en réalité Luce est loin d’être abrutis aussi. On se demande même si elle n'est pas surdouée !

Pour finir, j'ai pris plaisir à lire votre livre, mais j'ai malheureusement été déçus par le destin tragique qu'a eu Madame Solange.. Car voyez-vous j'ai trouvé ce personnage particulièrement attachante. Elle a tout fait pour essayer de comprendre et instruire la petite Luce. En réalité a la fin de cette œuvre, on a d'un coté une fin tragique mais également une prise de conscience de la part de Luce. Car grâce a la mort de son institutrice on remarque que la petite prend son envol dans la société. Mis à part la mort de Madame Solance j'ai trouvé que le geste de Luce, quand elle vient déposer sa dent et réciter ces leçons sur sa tombe était très émouvant. Luce se détache et prend du recul vis à vis de sa mort en lui donnant sa dent. C'est ce qu'il m'a plus, c'est une façon très noble de lui dire adieux... à sa façon.



Je vous remercie d'avoir pris en compte ma lettre,
Une de vos admiratrices.
Alicia Maraval

14. Le 13 mars 2016, 19:25 par Nico

Nicolas
à Jeanne Benameur
le 13/03/2016

Chère madame Benameur,

  Tout d'abord bonjour madame, j'aime beaucoup ce que vous faites autant que par votre façon d'écrire que par vos idées, votre imagination. Je tenais a vous communiquez mes impressions a la suite de la fin de cette œuvre.
  J'ai aimé cette œuvre malgré la difficulté que j'ai eu a la lire et a la terminée. La fin elle m'a particulièrement touché et plu, d'une part parce que les deux personnages principaux, La Varienne et sa fille Luce, sont deux personnages plutôt renfermés et réservés qui ne laisse paraitre aucunes émotions. En effet la petite Luce est très attachée a sa dent qui est pour elle un objet de très grande importance. Elle dépose celle-ci sur la tombe de sa maitresse décédée, ce qui montre que sa maitresse était quelqu’un d'important pour la petite ce qui m'a touché.
  D'une autre part, cette fin m'a touché parce que la petite Luce récite ses leçons sur la tombe de sa maitresse qui est un moment très marquant dans cette œuvre je trouve que c'est une bonne fin pour un livre comme celui-ci c'est comme un aboutissement, un objectif accompli. Parce qu'au début du livre la petite Luce refusait de répondre aux questions posées par sa maitresse et cette fin montre que la petite a réussi a apprendre et à réciter ses leçons.

Je vous adresse mes plus sincères salutations.

N.El Chico

15. Le 13 mars 2016, 19:56 par Guendouzi Zeïneb

G********* Z*****
à Jeanne Bennameur
le 13/03/16
Chère Madame,
Je vous écris cette lettre pour tout d'abord vous dire que je suis émotionné par votre parcours, en effet, vous avez eu une enfance difficile du aux violences de la second guerre mondiale ce qui aurait pu vous bouleverser, mais non. Suite à une petite recherche sur vous, je suis notamment impressionnée par le faite que vous aviez grandi avec la langue arabe, mais que malgré ceci vous êtes, ici en France une très grande écrivain française. De plus, je tiens a vous parler de la fin de votre œuvre « les Demeurées », une œuvre qui a marqué la littérature française et qui d’ailleurs a obtenu le prix Unicef.

Cette fin est tragique. Tragique car nous pouvons comprendre à travers vos mots une mort, mais pas n’importe qu’elle mort, celle de mademoiselle Solange qui joue un grand rôle dans la vie de nos personnages principaux « La Varienne et Luce », elle sera la cause de l’évolution de Luce. Cette fin funeste, alarmante est survenue d’un coup, je ne la voyais pas arrivé du tout. En général, « la mort » donne un aspect d’obscurité, ferme une histoire… tandis que vous, vous avez fait d’elle un rebondissement dans la vie de Luce.

Ce n’est pas tout, cette fin remplie d’émotion a aussi un aspect de liberté, d’ouverture au monde pour Luce ; car « grâce » à la mort de mademoiselle Solange, Luce a enfin su prononcer son prénom, réciter ses leçons alors qu’au début du livre on pouvait remarquer qu’elle fuyait toutes questions en y répondant pas… Finalement, malgré la mort, cette finalité de l’histoire reste touchante. A travers les actes de Luce, nous pouvons constater qu’elle détient une détermination importante afin que la maîtresse soit fière d’elle.

Comme tout œuvre, il y a un message ou une morale et je pense que celle-ci est « il ne faut pas attendre un mort pour agir ». Est-ce ce message que vous voulez faire passer ?

Dans l’attente d’une réponse de votre part (ou pas), je vous prie de bien croire, Madame, en mes sentiments les meilleurs.

Mlle G********

:-o  :-o  :-o  :-o  :-o
16. Le 13 mars 2016, 20:25 par Noëla

Madame Benameur,

Après avoir lu votre roman "Les demeurées", je souhaite vous donner mon impression sur la fin de ce roman, très plaisant à lire même si il est quelques fois compliqué.
Mon avis est mitigé mais je dirais que la fin de votre roman m'a plu. Premièrement car on voit l'évolution de Luce à la fin, elle est moins introvertie qu'au début, elle se dévoile beaucoup plus. Puis il y a beaucoup de "suspens" car on ne sait pas dans quelle direction Luce va t elle se dirigée. Et malgré qu'elle soit très attachée à sa mère, on voit à la fin qu'elle décide d'apprendre. Même si c'est une fin tragique car Solange meurt, cela a permis à Luce de s'extravertir. Mais cela est dommage, j'aurais préférer qu'elle ne meurt pas car elle reste un personnage important pour Luce, elle est très attachée à madame Solange. C'est une fin très touchante pour le lecteur, et la relation qu'à Luce et sa mere est très appréciable. Au début j'ai eu du mal à comprendre certaines choses mais au fur et à mesure du roman, j'ai beaucoup apprécier voir Luce évoluer, et particulièrement à la fin.
Mes sincères salutations Madame, et merci d'avoir lu cette lettre.

Manon Lebis

17. Le 13 mars 2016, 21:27 par Ryan.P

13//06/2016 R.Pondia

Jeanne Bénameur

Chère madame, si j'écris cette lettre c'est pour vous parler de la fin de votre roman « Les Demeurées » qui est à la fois positive et négative. J'ajoute que votre roman aborde un sujet intéressant mais que lecture a été plutôt compliqué pour ma part.

Je m'explique, premièrement ce qui est positive c'est l'évolution de la petite Luce qui n'est plus une « Abrutie » et vole de ses propres ailes. Elle a été retenu durant toute l'histoire dans l'ignorance, inculte par attachement à sa mère. On peut remarquer dans l'incipit «  la conscience est pauvre » « Les mots n'ont pas lieu d'être » qui nous montre qu'il n'y a aucun mouvement est on est déjà au stade de l'ignorance. Mais arrivé à la fin du roman dans l'explicit on peut voir « Elle parle, elle, Luce » « La voix et claire »  « Les mots sont vivants » c'est une vrai transformation, on voulais tous voir la petite Luce parler, prouver qu'elle n'es pas « abrutie », qu'elle prenne confiance en elle, et c'est ce qui arrive à la fin du roman grâce a sa maîtresse qui a fournis tant d'effort pour pouvoir y parvenir et c'est cela qui donne une fin positive et réaliste à l'histoire.

Deuxièmement sur le point négatif, c'est la mort de la Mademoiselle Solange qui rend la fin tragique, en effet la maîtresse c'est intéresser au problème de Luce dans sa famille, qu'elle a décidé elle même de prendre son cas en main pour pouvoir l'aider. Elle c'est battu jusqu'au bout jusqu’à en arriver aux désillusions, elle pensait que cette relation était trop forte pour s'y interposer qu'elle a perdu confiance en elle. Et on commence à ressentir de la pitié pour la pauvre Mademoiselle Solange qui se sentait seule maintenant. Et quand la petite Luce a commencé à parler, dire son nom la maîtresse était heureuse et voulait voir Luce mais fini par ce faire percuter par un camion et mourir.. Mise en scène dans un film cette scène aurait provoquée une vague d'émotion. Cette fin est très émouvante car Luce se sépare de sa dent à qui elle était attaché et récite ses leçon que la maîtresse tentait de lui faire apprendre. Mais elle n'est plus là pour pouvoir l'écouté. J'aurais voulu que Mademoiselle Solange sois toujours en vie pour voir Luce continuer de grandir.

                                                                                                                                  R.Pondia
18. Le 13 mars 2016, 22:45 par Prune J

Chère madame,
J'ai décidé de vous écrire à l'heure d’aujourd’hui pour vous faire part des mes impressions par rapport à la fin de votre livre intitulé les « Demeurées ».
Je devrais d'abord vous avouez que j'ai lu plusieurs livres que vous avez écrit et votre œuvre me fait rappeler votre roman « Laver les ombres ».
J'ai pu remarquer dans cette œuvre, la relation maternel assez ambiguë entre mère et fille, qui est tout à fait aussi présente dans les Demeurées.

Dans votre œuvre les demeurées nous distinguons facilement l'évolution de la petite Luce. Au début du livre nous avons une Luce renfermée sur elle même ne voulant point se détacher de son monde, restant dans l'ignorance et traitée comme sa mère. Et Au fur et à mesure de l’œuvre, étant complètement plongée dedans, c'est comme si l'on vivait son évolution, comme si nous, lecteurs, nous étions Luce.
C'est pour cela que votre œuvre, je trouve, est très intéressante et très plaisante à lire car nous sommes totalement plongés dans votre histoire et pour moi, c'est ce type d’œuvre qui me donne le goût de lire.
Je tenais aussi à vous dire que vous avez une façon d'écrire très douce, très alignés ce qui met votre œuvre en avant mais qui aussi nous plonges nous les lecteurs dans la lecture de votre roman.

Pour en revenir à votre fin de l’œuvre, je trouve que l'explicit est très positif car nous nous retrouvons avec une petite fille qui à envie d'apprendre, qui a envie de montrer ces capacités.
J'ai été assez perturbée et choquée de la mort de madame Solange car c'était une personne importante dans l'histoire, c'est bien elle qui a réussi à faire sortir Luce se « son monde, de son ignorance » et qui lui a donner l'envie d'apprendre. J'ai été aussi très touché par cette fin tragique mais aussi très forte en émotions grâce à l'hommage que vas donner Luce à Madame Solange sur sa tombe en lui déposant sa dent, qui est son objet le plus précieux.

Cela fut un plaisir de vous écrire, en espérant ne point vous avoir dérangé avec ma lettre, je vous donnes mes sincères salutations et vous remercies pour cette si belle œuvre, au plaisir de vous relire à nouveau.

                  Lina Pedro.
19. Le 13 mars 2016, 22:49 par jérémy L

chère Madame,
Je vous adresse une lettre pour exposer mon avis sur l'explicit de votre roman " Les demeurées".
Je trouve cette fin vraiment émouvante, car on y voit l'évolution de Luce et de La varienne, car Luce vient sur la tombe de Solange pour y réciter ses leçons et plus tard, d'autres choses qu'elle aura apprit, c'est comme si elle remerciait Solange, cela peut aussi ètre interprété comme un hommage à la mémore de Solange et de l'aide qu'elle a apporté a Luce.
Au fil de la lecture, j'ai pensé que la mort de Solange allait provoquer un mal être chez Luce, et qu'elle aurait abandonner l'apprentissage, car Solange était comme un tuteur pour Luce, et je fut content de lire que Luce continue d'apprendre par elle même , en lisant tout ce qu'elle voit, puis qu'elle vas les réciter sur la tombe de Solange, je trouve que malgré la mort de Solange, c'est une belle fin
Sincères salutations

Jake Peralta

20. Le 13 mars 2016, 23:09 par Anaïs Villanueva

Villanueva Anaïs
5 rue du Général de Gaulle
Paris 75008

Chère Jeanne Benameur, je me permet de vous écrire afin de vous faire part de mes pesées sur votre livre « Les Demeurées ».
Tout d’abord, on remarque dès le début que La Varienne est très protectrice avec sa fille, Luce. Ce qui m’a paru très touchant car elle ne veut pas que sa fille subisse les insultes des autres voisins. Cependant le fait qu’elle accompagne Luce jusqu’à l’école et qu’elle reste devant les grilles nous donne l’impression qu’elle en devient presque étouffante car elle ne la laisse pas explorer son savoir.
J’aimerais également que vous sachiez , Madame Benameur, que j’ai très apprécier le fait que vous fassiez durer l’intrigue tout au long de l’histoire. Cela donne au lecteur l’envie de continuer la lecture du livre jusqu’à savoir si Luce est « Abruti aussi ? ». De plus, la petite Luce est une petite fille très discrète dont personne ne soupçonne l’intelligence.
En ce qui concerne la fin de votre œuvre, j’ai été à la fois déçue de la mort de Mademoiselle Solange car je ne m’attendais pas à ce qu’un personnage aussi important dans la vie du personnage principal meurt. Mais d’autre part, c’est la mort de son institutrice qui entraîne Luce à réciter ses leçons devant la tombe de celle-ci. C’est donc à ce moment que l’on se rend compte que la petite fille n’est pas abruti comme sa mère. Nous pouvons donc dire que c’est un mal pour un bien.
En conclusion, votre livre m’a beaucoup plu, j’espère avoir l’honneur de lire votre dernière œuvre très prochainement. Une de vos admiratrice parmi tant d’autres.
Villanueva Anaïs

21. Le 13 mars 2016, 23:28 par Alicia Vellin

A Jeanne Benameur,

Bonjour, je me permet de vous écrire cette lettre pour vous faire part de mon opinion sur la fin de votre roman intitulé " Les Demeurées ".

j'ai trouvé la fin positive, car on peu remarquer l'évolution du parcours de Luce du début du roman à la fin. Luce était une petite renfermée sur elle même, elle ne peu se détacher de sa mère car elles ont un lien très fort. Mais après plusieurs péripéties, Luce se met à s'ouvrir au monde extérieur, elle se trouve une passion pour la broderie, elle réussi à écrire des mots, son prénom, et a réciter les leçons que Madame Solange lui avait apprit. Ce qui m'a le plus frappée à la fin du roman c'est en effet de voir qu'au final Luce renoue le lien avec l’apprentissage par la broderie à la fin, et fait le choix d'apprendre pour sa professeur, ce bouleversement de situation m'a beaucoup touchée.

Mais en général ce que j'ai le moins apprécier dans ce roman c'est la relation mère-fille qui est limite étouffante. La Varienne veut sur-protéger Luce, c'est un sentiment très fort qu'elle éprouve envers elle, qui pour moi me donne une sensation de malaise. C'était assez oser de jouer là dessus. J'avais l'impression qu'elles avaient un lien incassable, et de ce lien elles se sont isoler du monde. cela m'a un peu déplus...

Néanmoins, je retient quelques passages positifs de ce roman même si pour vous avouer, ce n'est pas vraiment mon style mais bon, toute critique est bonne à prendre.

Cordialement, Une lectrice

22. Le 14 mars 2016, 01:28 par Clem's

Chère madame Benameur,
Je vous écris pour vous faire part de mon avis concernant la fin de votre roman "Les Demeurées". Je tiens à vous rassurer je trouve la fin positive, ce qui n'est pas l'avis de tous.

Tout d'abord, votre style d'écriture mets le lecteur dans l'ambiance du livre. Dès le début, vos mots sont comme saccadés et vos phrases semblent être incomplètes, comme si elles n'étaient pas tout a fait terminées. J'entends par là, que ce style d'écriture vous démarque en bien de tout les autres auteurs contemporains. On peut percevoir un véritable travail de recherche dans le choix des mots. Je pense que ce travail de recherche, cette volonté d'éviter les phrases normales et concises dès le début peut se rapprocher du style d'écriture de Georges Perec avec son roman "La disparition" de 1969 dans lequel l'auteur n'utilise pas une seule fois la lettre "e". Ce style d'écriture aurait pu évoluer en même temps que le personnage de Luce, pour montrer une évolution continue de ce personnage, seul point négatif que j'ai pu relevé par rapport à la fin de l'œuvre, qui garde le même style d'écriture jusqu'au bout.

Ensuite, que serait-ce une critique de votre roman, si le sujet de la relation mère-fille n'était pas abordé ? Effectivement, cette relation pousse le lecteur à remettre en question les rôles des personnages, si la mère ne devrait pas être la fille et inversement. Il est évident que les deux personnages se complètent mais le plus surprenant dans votre œuvre est que les deux protagonistes se protègent mutuellement. Nous savons que Luce n'a aucune expérience de vie mis à part l'école et sa mère la Varienne, est retardée mentalement, alors on assiste à une formidable preuve d'amour tout au long du roman car ces deux personnages se protègent mutuellement sans savoir comment et c'est la que toute la beauté du roman est présente puisque les deux personnages sont incapables de réellement se défendre face aux dangers du monde qui les entoure. Cependant, on sent une union plus marquée qu'avant lorsque Luce prend la main de sa mère pour partir, en effet, elle semble prendre conscience que sa maîtresse les a quittée, et qu'elle doit continuer d'avancer avec sa mère. On peut donc en conclure que le personnage de Luce est un personnage qui a évolué tout au long de l'œuvre mais qui continuera à évoluer même après la fin du roman : "Les paroles de Luce s’élèvent.

Elles ne demeureront plus."

Enfin, Luce semble devenir adulte, je m'explique, le propre d'un enfant c'est sa capacité à s'attacher à des objets qui n'ont à la base aucune valeur. Alors, devenir adulte dans cette œuvre, ce serait de s'en détacher. Evidemment, c'est ce que Luce fait lorsqu'elle dépose sa dent devant la tombe de son enseignante, comme si elle savait que son enseignante avait tout donné pour que Luce s'instruise. Nous avons donc une réaction d'adulte venant d'une petite fille, encore une fois cela démontre que le personnage a évolué en bien et continuera d'évoluer car sa vie n'est pas terminée.

Pour finir, je dirai que la fin de votre livre est positive et est la partie la plus chaleureuse de votre œuvre.

Je vous prie d'agréer.

Guillaume Lethug

23. Le 14 mars 2016, 18:29 par Rachel

Combet Rachel
2 Bis chemin de la Grand' Mare
91890 Videlles

Jeanne Benameur
39 Rue la Fayette
75009 Paris
Lundi 14 mars 2016

                              Chère Jeanne,
  Je t'écris aujourd'hui assise sur une chaise devant la cheminée de mon salon. J'ai eu il y a peu de temps, la chance de lire ton dernier roman " les Demeurées". J'ai pu y découvrir deux personnages très attachants: " La Varienne" et sa fille "Luce". Ce sont deux êtres inséparables, presque fusionnels qui ont su me charmer et me toucher par leur quotidien bien différents des autres.
 Je vais te donner mon opinion et mon point de vue à propos de ce roman. Pour ne pas te mentir, il m'a beaucoup plu. Toute cette sensibilité relationnelle entre Luce et sa mère malgré l'absence de dialogue, m'a énormément émue. Un récit ramassé dont la profondeur n'a d'égal que l'humanité qui s'en dégage. Cette histoire prend au tripe, elle est poignante et bouleversante. Dans ce roman, je retrouve a travers le silence qui entoure les deux personnages, toute son intensité. Tu as su poser un regard sur la passion dévorante de certains professeurs pour leur métier, leur soif de faire partager leur savoir et les limites de l'enseignement.
 Ce qui est assez impressionnant, c'est de pouvoir observer le changement de comportement de la petite Luce entre le début du roman, l'incipit et la fin de ce même récit, l'explicite. Au tout début, la petite fille est dans le jardin. Elle entend sa mère se faire traiter d'abrutie sans même pouvoir intervenir. Elle est alors renfermée sur elle même et ne connaît rien du monde extérieur. Ensuite, à la fin de ce livre, je retrouve une petite Luce resplendissante, qui a une grande soif d'apprendre et qui a su s’épanouir dans le monde de l'école et du savoir. Malgré une fin assez "tragique" suite  à la mort de Madame Solange sa maîtresse, elle est également positive en nous laissant dans l'espoir d'un bon avenir pour Luce car pour le lecteur, aucune autre alternative n'est possible que d'imaginer la petite fille poursuivant ses études. Elle est heureuse de pouvoir rendre hommage à sa maîtresse en récitant toutes les leçons qu'elle a appris, depuis son premier jour d'école.
 Pour finir, j'ai également décidé de mettre en commun le début et la fin de ton roman. Il n'y a au final pas tant de différences qu'il pourrait en faire paraître. Dans l'incipit comme dans l'explicite, les deux personnages principaux de la scène sont Luce et la Varienne. Dans les deux cas, dans le début comme dans la fin, ces deux moments se ressemblent fortement dans l'ambiance qui ressort malgré un léger côté positif dans la scène final. Le lecteur ressent de la compassion et de la tristesse quand la mère se fait insulter dans le début du roman mais également dans la fin de ce même livre quand Luce nous montre  quel point elle tenait à sa maîtresse. Un peu comme une deuxième mère au final. Elle nous offre un hommage très touchant et également très émouvant. Dans les deux scènes, le côté pathétique est présent.
j'attend de tes nouvelles avec impatience, je t'embrasse, Amicalement,
                                    Rachel
24. Le 14 mars 2016, 20:14 par Sheguey Squaad

Chère Mme Benameur,

Je vous écris cette lettre qui concerne votre roman « Les Demeurées », que j'ai réussi à me procurer ,je peux vous dire que l'incipit de votre roman m'as paru assez étrange. Maintenant je voulais aussi et surtout vous parler de l'excipit de votre roman , je l'ai trouvé positif et surtout très intéressant.
Tout d'abord , la fin de ce roman est une fin positive ,elle est positive car l'histoire a entièrement changée , je m'explique, au début du roman , vous dites « les mots n'ont pas lieu d’être » or dans l'excipit vous dites « les mots sont là » , vos deux phrases que j'ai relevés sont totalement en désaccord. Cela veut en partie dire que Mme Solange a changé la petite fille Luce tout au long du roman.
Or dans une deuxième partie j'aimerais vous dire que j'ai été particulièrement déçu car je ne comprends pas et je n'ai toujours pas compris pourquoi avoir fait disparaître madame Solange qui est un personnage très important de ce roman , j'ai trouvé cette fin tragique , et à la fin j'ai été particulièrement touché par la petite Luce , qui va se rendre sur la tombe de celle-ci , va réciter ses leçons , et va poser sa dent qui lui tient à cœur .
Cette œuvre au début m'a paru étrange par rapport à son incipit mais au fur et à mesure j'ai commencé a comprendre et à aimer cette œuvre.
Merci pour cette œuvre Mme Benameur.
Sheguey Squad

25. Le 14 mars 2016, 21:00 par Maëlle

Chère Madame,
Je vous écris cette lettre pour vous faire part de mes impressions et de mon opinion sur votre œuvre « Les Demeurées » et plus particulièrement sur la fin.
Au début de votre œuvre, j’ai beaucoup ressentie de l’incompréhension suite à votre style d’écriture où l’on peut remarquer que vos phrases ressemblent fortement à des vers et qu’il n’y a pratiquement pas de dialogues. Mais au court de ma lecture j’ai commencé à apprécier ce roman,
en particulier le lien fort de La Varienne et sa fille Luce qui semble inséparable . Nous pouvons voir qu’elles se protègent toutes les deux, la mère veux protéger sa fille et la garder au près d’elle tandis que la fille s’occupe aussi de sa mère en l’aidant ou en la rassurant. La Varienne et sa fille sont comme emprisonnées mais ce qui est fabuleux c’est que malgré cela elles sont tous de même épanouies grâce à l’amour qu’elle se porte l’une pour l’autre.
Je vais à présent vous parlez de la fin de votre roman, une fin partagée puisque celle-ci est positive mais aussi négative pour son coté tragique.
Tous d’abord je la trouve positive puisque suite à la mort de sa maitresse, Mme Solange, Luce va totalement s’ouvrir et devenir plus extraverti. Nous pouvons remarquer un grand changement mental entre le début et la fin du roman, elle deviens confiante et ne reste pas dans le monde muet de sa mère.
Pour finir, je trouve cette fin tous de même négative puisque Mme Solange perd la vie alors que c’est une personne aimer par Luce. Je dois vous avouez que je ne m’y attendais pas du tout, cela m’a bien surpris. L’histoire commençait à être magnifique et une fin comme cela m’a tout de même déçu. Je vous remercie pour ce roman qui m’a beaucoup intriguée et dont j’ai pris un grand plaisir à lire.
Mes sincères salutations
M.Laurent

26. Le 14 mars 2016, 21:02 par Edwige Berthelo

Berthelo Edwige
91590 La Ferte Alais
Le 14/03/2016

A Jeanne Benameur

Madame Benameur, je me permet de vous écrire cette lettre pour vous présentez mon point de vu par rapport à votre roman intitulé "Les Demeurées" mais plus particulièrement à votre explicit qui à mon goût est positif.

Tout d'abord je souhait souligner que l'explicit est très différent de l'incipit. Ce sont deux passages très contradictoire puisque dans l'incipit nous avons pu lire des phrases tels " Elle va, le regard qui bute sur le monde", " Chaque jour, un saut infime.Chaque jour, et rien" ou encore "Les mots n'ont pas lieu d'être.Ils sont." puis dans l'explicit " Les mots sont là." et " Sur terre, jour après jour, elle porte son souffle.". Ce qui fait référence à un changement radical au cours de l'histoire.
Nous pouvons donc constatez que Madame Solange à beaucoup changer la vie de Luce et a eu un impacte positif sur elle.

De plus, votre explicit est à la fois tragique par la mort de Madame Solange, une mort soudaine à laquelle ont ne s'attendait pas, mais aussi très beau car Luce a pris son envol elle veut apprendre en hommage à sa maîtresse. Madame Solange à sortis Luce de sa vie assez statique avec la varienne.Elle est maintenant épanoui. Ce roman, fait ressortir plusieurs d'émotions, la moquerie envers la varienne et sa file dans l'incipit rend un peu triste, leur lien est très fusionnel ce qui fait ressortir le sentiment de l'amour maternel, puis la mort de madame Solange qui fait ressentir une certaine nostalgie.

Enfin, je tiens à rajouter quelques remarque concernant votre style d'écriture, votre manière d'écrire est digne de celle d'un poète. Vos phrases font ressentir le point de vue interne de la varienne.

Merci à l'intention que vous avez pu m'accorder en lisant ma lettre.

Avec tous le respect que je vous dois,
Mes sincères salutations.

Edwige Berthelo

27. Le 14 mars 2016, 21:24 par Q. Elodie

Quispe Elodie,
Benameur Jeanne
le 14/03/2016

Chère Madame Benameur,

Je vous écrit cette lettre afin de vous faire part mon opinion personnelle de votre oeuvre, "les Demeurées", dans lequel ce fut un roman plaisant à lire .
J'ai en effet beaucoup aimé votre roman, et particulièrement la fin car elle se termine, je pense assez bien. La Varienne et la fille terminent par gagné le respect de leur entourage, alors qu'au début du roman, elles subissent les moqueries. De plus, au cour de ce roman, la petite commence à s'ouvrir aux autre, alors c'était aussi une petite fille réserver qui d’ailleurs a du mal a se détacher de sa mère souffrant d'un handicap.
De plus, la petite Luce change peu à peu grâce à sa maîtresse qui s'appelle Solange, elle aide Luce a être plus ouverte aux autres. Lorsque Solange meurt, c'est un moment très triste, car c'était un personnage très important du roman. C'est en effet elle qui aide Luce a évoluer pour qu'elle puisse grandir normalement et avoir plus tard une vie normal.
Enfin, ce qui m'a aussi plus dans votre oeuvre et votre style d'écriture, les phrase entre coupé qui lie le lecteur aux personnages, ce qui rend donc votre roman agréable a lire.

Mes sincères salutations

28. Le 14 mars 2016, 21:58 par Renzullo antoni

Antoni renzullo
Cite georges clémenceau
91750 chevannes

                                                                        Jeanne benamaur
                                                                         18 rue benash

Dimanche 13 mars 2016,
Je vous écris aujourd'hui , un dimanche soir pour vous exprimer mon opinion sur la fin de votre meilleur livre à mon goût "Les demeurées"

J'ai trouvé cette fin réussie car premièrement elle satisfait les lecteurs en leur donnant une évolution et un changement positif des deux personnages principale. En effet la fille au début de l'histoire ne voulait pas s'ouvrir au monde , elle refusait d'apprendre ses leçons mais à la fin du livre elle recite toutes ses leçons cela prouve qu'elle c'est interessé et ouverte au monde extérieur.
La mère, elle au debut est plutôt isolée et trop dépendante de sa fille alors que à la fin elle devient moin isolée et elle ne suit plus sa fille ce qui montre qu'elle n'est plus dépendante et qu'elle lui laisse sa liberté .

En second lieu j'ai trouvé cette fin réussie grace a la maitrise et l'expérience de l'auteure. En effet l'auteure a ce don de plonger les lecteurs dans l'histoire et de faire qu'ils s'attachent au protagonistes . Personnellement je trouve que l'auteure a fini son oeuvre en beauté grâce a son propre style d'écriture qui provoque un sentiment de satisfaction lors de la reussite des personnages .

29. Le 14 mars 2016, 22:59 par Terrassin

Lucie TERRASSIN
à Jeanne Bennameur
le 14/03/16

Chère Madame Bennameur,
Je vous écris cette lettre afin de vous transmettre mes ressentis en rapport à votre roman, intitulé "Les Demeurées" mais plus particulièrement à votre explicite qui m'en sort beaucoup d'ondes positifs aux qu’elles ont ressent vraiment l’implication du lecteur par vous même, le narrateur.

Pour commencer j'aimerai vous parlez de votre incipit qui je peux vous dire m'as paru assez étrange et confus dont la façon est raconté l'histoire, mais plus précisément le style d'écriture ou les phrases ressemblent plutôt à des vers, puis pratiquement pas de dialogue est prononcé.

Mais après mettre mis dans la lecture j'ai me suis remarquée l’enthousiasme que j'avais à lire votre roman comme si je ne pouvais plus en sortir. Ce qui m'a vraiment montré la beauté de ce livre est comme l'amélioration que Luce à fait. C'était une petite renfermée sur elle même, elle ne pouvait pas se détacher de sa mère par leur lien si fort comme si elle en était condamné mais fur et à mesure du temps après plusieurs péripéties, Luce se met à s'ouvrir au monde extérieur, la petite Luce qui n'est plus une « Abrutie » et vole donc de ses propres ailes. La petite n'est donc pas demeurée mais a simplement du mal à s'ouvrir aux autres ce que le lecteur peux ne pas comprendre au début, mais peut comprendre à la fin. Ce que le lecteur ressent est du bonheur pour cette enfant qui semble heureuse désormais. C'est une très belle histoire qui en vaut le coup d'être réellement félicité.

Mais ce qui m'a fait d’avantage aimé ce livre c'est le retournement de situation, quand la petite décide finalement de renoué le lien avec l’apprentissage par la broderie à la fin, et fait le choix d'apprendre pour sa professeur en allant après sa mort chaque jour sur sa tombe réciter ses leçons ce qui est vraiment beau et qui me touche réellement moi lecteur.

Pour finir j'aurais aimé savoir ce que devient Luce et sa mère. Comment va-t-elle évoluer ? Ce
qu'elle va devenir avec sa mère ? Vont t-elle toujours tenir ce lien aussi fort ?

Je vous adresse mes sincères salutations, en vous remerciant et en espérant que vous ayez le temps de me répondre..

Une admiratrice.

30. Le 17 mars 2016, 11:05 par mme baudry

29: de bonnes idées mais il y a beaucoup de fautes (surtout au début! ) qui rend le texte souvent in compréhensible. 10/20
28: trop vague. manque d'approfondissement de la réflexion. 8/20
27: texte trop court. il faut 3 paragraphes distincts. Trop superficiel. 9/20
26: travail sérieux mais la lettre aurait dû être davantage centrée sur le texte de la fin (comme tu le fais au début de la lettre). 12/20
25: attention au sujet: qui porte tout de même sur la fin du texte. cependant, c'est un travail sérieux et sensible. 12/20
24: texte trop court mais un ensemble cohérent. 11/20
23: un texte sensible et bien écrit. attention au fait de tutoyer. cela ne semble pas très approprié. 16/20.

31. Le 17 mars 2016, 11:25 par Anaïs

Madame Benameur,

Je vous écrit cette lettre afin de vous faire part de mon opinion concernant la fin de votre roman "Les Demeurées" sachez tout d'abord que la mort de Mademoiselle Solange était pour moi quelque chose d'inattendu. En effet, cet événement sort le lecteur de la relation mère-fille qu'entretiennent Luce et La Varienne de ce roman. Et qui fait le sujet principale de ce roman.

Cependant, je suis partagé entre deux avis: la fin de ce roman est tragique. Luce est très affecté par la mort de Mademoiselle Solange, tout comme le lecteur qui a eu le temps de s'attacher à ce personnage. De plus, au vu de la réaction de la fillette à l'entente de cette triste nouvelle, on pourrait même penser qu'elle se sent coupable de ce qu'il s'est passé.

Ces éléments font que la fin de ce roman est négative. En revanche cela pourrait également être une fin heureuse. Un des objectifs de votre roman était de savoir si oui ou non, Luce est coupable d'apprendre à provoqué chez elle un déclic, qui va la pousser vers le monde extérieur, ainsi qu'à l'apprentissage de ses leçon qu'elle va aller réciter sur la tombe de Mademoiselle Solange. Ce qui est pour moi un belle hommage de sa part.

Fauché Anaïs

32. Le 17 mars 2016, 12:00 par mme baudry

22: un bon niveau de réflexion même si la lettre n'est pas centrée sur la fin du roman (attention à respecter le sujet). La référence à Pérec est intéressante même si je ne pense pas que J. Bénameur soit vraiment dans la même démarche ludique. 14/20. Évitez d'utiliser des pseudos quand on vous note, merci!!
21: un texte trop court qui ne prend pas assez en compte le sujet (sur la fin du roman). Cependant, une bonne réflexion finale et l'expression intéressante d'un point de vue personnel. 11/20
19: le sujet est respecté, c'est bien!! le problème, c'est que c'est vraiment trop court!! c'est dommage. 11/20
18: des connaissances, un texte sensible. C'est bien. Attention à rester tout de même concentrée sur le sujet. 14/20
17: travail sérieux. Attention à être plus dans l'analyse que dans le résumé cependant. 14/20
16: texte trop court. manque d'approfondissement et d'analyse. C'est dommage. 8.5/20
15: travail sérieux, c'est bien. Il n'est pas sur que Jeanne Bénameur veuille faire passer un message au lecteur. Bon niveau de réflexion. 15/20
14: un ensemble trop superficiel même si les pistes données sont bonnes. cela manque d'approfondissement, c'est dommage. 10/20
13: un bon devoir, les idées sont clairement exprimées et sensibles. 15/20
12: attention aux contre-sens qui montrent que l'oeuvre n'a peut-être pas été lue assez précisément. 8.5/20.