Entraînement 1. Question de corpus.

http://www.site-magister.com/sujets15.htm#gene

https://framindmap.org/c/login

http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/wp-content/uploads/sites/57/2015/12/CR-12_le_vocabulaire_pour_l_analyse_d_un_texte.pdf

 

Commentaires

1. Le 13 septembre 2016, 10:25 par Noémie & Pauline

Le corpus comporte quatre textes de la même période, issus de la fin de la moitié du XIX siècle. Nous étudierons trois poèmes dit provocateur; "J'aime l'araignée" , "le pou", "le Peigne" et "Le crapaud".

2. Le 13 septembre 2016, 10:25 par Blandine et Margot

Le corpus comporte quatre textes: "Le pou", "J'aime l'araignée", "Le crapaud" et "Le peigne" tous quatre écrits à la fin du XIXème siècle et appartenant à un recueil de poèmes.

  Pour commencer, on constate que la totalité de ces textes concernent un animal ou un objet
3. Le 13 septembre 2016, 10:25 par OLIVARES Emma et RUZIC Jelena

Le corpus présente quatre textes tous issus de la deuxième moitié du XIXe siècle et sortant d'un recueil poétique. Ils ont également la particularité d'avoir des noms peu communs : "J'aime l'araignée" de Victor Hugo (1856) ; "Le Pou" de Lautréamont (1869) ; "Le crapaud" de Tristan Corbière (1873) ; "Le Peigne" de Germain Nouveau (1887).

4. Le 13 septembre 2016, 10:25 par Sophie L

Le corpus présente quatre textes du XIXe siècle. Ces texte présente des similitudes dans leur titre tel que " J'aime l'Araignée " par Victor Hugo "Le Pou " de Lautreamont et " Le Crapaud " de Tristan Corbière

5. Le 13 septembre 2016, 10:25 par Laura et Isalyne.

Le corpus comporte quatre textes.
Les textes datent de la deuxième moitié du XIXème siècle, ce sont des extraits de recueil poétiques. Ces poèmes parlent de choses négatives tels que des animaux connotés négativement ou objets considérés comme sales. En quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?

6. Le 13 septembre 2016, 10:25 par SIX Lucie

Le corpus présente quatre textes "J'aime les araignées" de V.Hugo," Le Pou" de Lautréamont, "Le crapaud" de T.Corbière et "Le peigne" par G.Nouveau tous écrit au XIXe siècle. Ces quatre poèmes parlent d'animaux qualifier de répugnant ou d'objet du quotidien en les glorifiant, les élevant au dessus des Hommes. Cette provocation est

7. Le 13 septembre 2016, 10:26 par edwin et jeanne

Le corpus présente 4 textes dans lesquels les auteurs mettent en œuvre la provocation envers les lecteurs. Les textes datent de la fin du XIXe siècle. Les auteurs font l'éloge d'éléments détestés, comme par exemple : "j'aime l'araignée, j'aime l'ortie parce qu'on les hait" dans le texte L'araignée par Hugo.

8. Le 14 septembre 2016, 12:35 par Latiriss Soukaïna et Bouret Sophie

Ce corpus comporte 4 poèmes écrits au 19 ème siècle. Les textes "J'aime l'araignée" de Victor Hugo(1856),« Le Pou », écrit par Lautréamont en 1869,"Le Crapaud" écrit par Tristan Corbière(1873) et "Le peigne" par Germain Nouveau en 1887 sont tous des poèmes jugés provocateurs.En quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?

9. Le 14 septembre 2016, 12:35 par ludivine et rema

« J'aime l'araignée », Victor Hugo ;« Le Pou », Lautréamont ;« Le Crapaud », Tristan Corbière ;« Le Peigne », Germain Nouveau, sont tout les quatre des poèmes de la fin du XIXe siècle. les titres de Ces quatre ouvrages sont des extrait de recueils dont le titre semblent être plus valorisant que les titres qui leurs sont propres.
serait-il une manière de provoquer le lecteur ? En quoi ces poèmes sont-il provocateurs ?

10. Le 14 septembre 2016, 12:35 par léo

Ce corpus comporte quatre poèmes datant chacun de la deuxième moitié du XIXè siècle. Ces différents textes mettent en scène soit un animal, ou un objet qui vont souvent etre confronté face à une image dégradée de l'homme.

11. Le 14 septembre 2016, 12:35 par Capucine et Emma

Ce corpus comporte quatre poèmes de la fin du XIXe caractérisés par leur provocation évidente. Ainsi, "J'aime l'araignée" de Victor Hugo, "Le pou" de Lautréamont, "Le crapaud" de Tristan Corbière et "Le peigne" de Germain Nouveau mettent en scène

12. Le 14 septembre 2016, 12:36 par coline et lucie

Ce corpus comporte 4 poèmes datant de la seconde moitié du XIXème siècle : « J'aime l'araignée » de Victor Hugo, « Le Pou » de Lautréamont, « Le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le Peigne» de Germain Nouveau.

13. Le 14 septembre 2016, 12:36 par Mériam et Anaïs

Ce corpus comporte 4 textes du XIXe siècle, "J'aime l'araignée" de Victor Hugo, "Le pou" de Lautréamont, "Le crapaud" de Tristan Corbière, "Le peigne" de Germain Nouveau. Ces textes parlent d'animaux connotés négativement.

14. Le 16 septembre 2016, 13:45 par madame Baudry

Séance: rédiger la réponse à une question transversale.
1) l'introduction (un seul paragraphe)
- PRÉSENTER les textes efficacement en partant des points communs et des différences visibles dès les titres de corpus. (voir première séance de cours).

- REPRENDRE LA QUESTION POSÉE: ici: les textes provocateurs.

2) le développement.

- un paragraphe par partie.

- des citations mais surtout une réponse cohérente et argumentée à la question.

- une comparaison des textes entre eux.

3) la conclusion (un seul paragraphe)

- RESUMER rapidement le propos

- FAIRE RESSORTIR une autre problématique possible pour le corpus proposé.

15. Le 17 septembre 2016, 21:58 par mme baudry

Introduction.
- Ce corpus comporte x textes.
- Ces x textes, bien que différents par ............... ont un thème commun :
- D’ailleurs, x d’entre eux ont un titre.........
- On remarque aussi qu’il s’agit de x poèmes/ extraits de pièces de théâtre/ romans.
- Nous allons ici définir l’importance ......... dans ces différents textes.
- L'enjeu principal de ces textes réside dans ... / tient au fait que......

Développement.
- Tout d’abord, il s’agit de......./ Ensuite, on remarque que/ Enfin, dans .....En effet, on assiste à ........

- Comme/ de même que  dans le texte....., le texte ....nous montre que.....En revanche, nous pouvons constater que dans le texte......./ Contrairement au texte ........, le texte ........présente le thème de ........différemment.......
- D'emblée, nous pouvons remarquer / relever / constater / signaler......
- En outre / D'autre part ... / Nous pouvons également constater que.....
- Ainsi, dans / avec / à travers l'expression « ... » nous voyons que.........
- On peut interpréter ce procédé / la présence de cette figure de style / de ce champ lexical comme le signe de ... / comme la marque que......

Conclusion:
-Enfin / En définitive / Pour conclure / Pour terminer, nous retiendrons que ... / rappelons que ... /nous pouvons souligner que ....
- Au terme de cette étude, il apparaît clairement que.....
- Il est possible, à l'issue de l'analyse, de penser au problème de ........, de faire un lien avec la notion de ........., de réfléchir à un autre point de vue sur...........

16. Le 20 septembre 2016, 10:25 par Isalyne et Laura

Le corpus comporte quatre textes.
Les textes datent de la deuxième moitié du XIXème siècle, ce sont des extraits de recueil poétiques. Ces poèmes parlent de choses négatives tels que des animaux connotés négativement ou objets considérés comme sales. Ces quatre poèmes ont un titre dérangeant : "J'aime l'araignée" ; "Le pou" ; "Le peigne" et "Le crapaud". L'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation. En quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?

Nous remarquons au premier abord la spécificité de chacun des titres des textes, les auteurs font l'éloge des éléments supposés être détestés ou mal-vu qui provoquent un certain dégoût chez les lecteurs. Leur but est de choquer, de surprendre. Dans chacun des poèmes, le poète soutient les éléments négatifs de son poème comme l'araignée ou le pou, ils se mettent à leur place et souhaitent le mal aux lecteurs : «  Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi. » ; « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. ». Ils nous surprennent avec une contradiction mélangeant haine et amour : « La mauvaise bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour ! »

17. Le 20 septembre 2016, 10:25 par Sophie L Marine

Le corpus présente quatre textes du XIXe siècle. Ces textes présentent des similitudes dans leur titre tel que " J'aime l'Araignée " par Victor Hugo "Le Pou " de Lautreamont et " Le Crapaud " de Tristan Corbière. Le titre du quatrième poème de Germain Nouveau « Le peigne » est différent.
Nous allons nous demander en quoi ces textes sont provocateurs.

Pour commencer, ces textes sont sujets d’éloge d’éléments souvent détesté par le plus grand nombre. Le premier texte met en valeur l’araignée dès le titre « j’aime l’araignée » et le répète au premier vers pour insister et donc provoquer. L’auteur veut choquer en s’opposant aux idées communes aux vers 1et 2 « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait ; » tous comme pour le texte D « le peigne est un grand seigneur » répété à presque chaque fin de strophe. Ici, l’auteur rend hommage au peigne en le personnifiant et le rendant plus important que l’humain. Les textes B met aussi en avant le pou, pourtant dénigré et en vient même à menacer le lecteur à la fin de ce poème « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. »
Le poète du texte C critique ceux dont il fait partie, les poètes comme par exemple aux vers 9 et 10 « Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue... – Horreur ! ». Nous pouvons donc observer que les poètes en veulent à la race humaine dont les poètes pour certains.

La forme poétique de ces poèmes est aussi provocatrice

18. Le 20 septembre 2016, 10:25 par Pauline Renaud et Noémie Lopez

Le corpus comporte quatre textes de la même période, issus de la fin de la moitié du XIX siècle. Nous étudierons quatre poèmes dit provocateurs; "J'aime l'araignée" de Victor Hugo, "le pou" de Lautréamont, "le Peigne" de Germain Nouveau et "Le crapaud" de Tristan Corbière. On remarque que trois de ces textes sont issus du même sujet qui caractérise des animaux détestés par l'homme, tous appart « le peigne», mais nous verrons que les quatre poèmes ont des caractéristiques communes. L'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation et nous montrerons les passages où le poète a voulu choqué le lecteur.

Tout d'abord les poètes n’hésitent pas à dénigrer ces animaux en faisant des comparaisons péjoratives comme : « L'araignée un gueux » (texte A),  « Rossignol de la boue… -Horreur » (texte C). Ils mettent en avant les aspects négatifs des animaux qu'ils font passer pour des créatures répugnantes. Dans le texte B, le poète s'en prend au lecteur, il le menace et le maudit avec « Pourquoi ils ne dévorent pas les os de votre tête », présence de misanthropie, il donne une force destructrice au pou, et l'encourage à faire du mal aux humains. Il y a une certaine fusion entre le texte B et D puisque les poètes se moquent littéralement du lecteur dans le texte B et du peigne dans le texte D, « le peigne est un grand seigneur », c'est une exagération car c'est un objet sans grande valeur, ceci engendre un jeu de provocation.

19. Le 20 septembre 2016, 10:25 par Clément

Ce corpus contient quatre textes, et , ces quatre textes ont des points communs mais aussi des différences, J'aime L'araignée, Le Pou , Le Crapaud et Le Peigne. Trois de ces titres ont un point commun : l'éloge d'animaux pesté sauf pour le Peigne qui n'est pas un animal mais un objet. Ces quatre poèmes extrait de recueil parut au XIXème siècle , leur sujet ont tous pour thème une chose : l'éloge d'éléments détestés, l'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation, et , en quoi ces textes sont-ils provocateurs.
Les éloges des éléments détestés est présente dans le texte I , le texte II , le texte III et dans le texte IV. Dans le texte un, Hugo prône son amour pour les araignées et les orties, ce qui peut paraître bizarre pour le lecteur, car , généralement l'ortie et l'araignée sont haïs. Hugo ne les aimes même pas pour ce qu'elles sont mais les aimes car elles sont détestés : « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie parce qu'on les hait ». Ce qui est provocateur, il défend ceux que tout le monde déteste

20. Le 20 septembre 2016, 10:25 par Edwin

Ce corpus comporte quatre poèmes écrits au XIXème siècle. Les textes "J'aime l'araignée" de Victor Hugo(1856),« Le Pou », écrit par Lautréamont en 1869,"Le Crapaud" écrit par Tristan Corbière(1873) et "Le peigne" par Germain Nouveau en 1887. Trois de ces poèmes ont un thème commun : les animaux détestés Les textes sont tous des poèmes jugés provocateurs. En quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?

Tout d’abord, il s’agit d’une éloge d’éléments détestés : « j’aime les araignées et l’ortie parce qu’on les hait » ici Hugo dans son texte « j’aime les araignées » s’oppose aux idées communes tout comme dans le texte de Corbière « Le Crapaud » qui éprouve de l’amour pour le crapaud qui est lui aussi méprisé par les humains, le poète éprouve de la haine contre les personnes qui l’insultent. Dans le texte de Lautréamont « Le Pou » il y a ce même thème commun d’amour d’animaux méprisés et aussi de provocation envers la race humaine « N’importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu’il te fait, ô race humaine ; seulement je voudrais qu’il te fit davantage » c’est de la misanthropie (haine pour la race humaine qui méprise le pou), le poète défend le pou fait son éloge et glorifie sa puissance. « Le Peigne » les gens disent que le peigne est sale alors que dans ce texte le poète dit qu’il est propre et que le peigne est un seigneur, donc comme dans tous les autres textes, il s’oppose aux idées communes et provoque les humains.

Ensuite on remarque que, les textes de Lautréamont, Corbière et Nouveau ont des formes de poèmes inhabituelles, le texte de Lautréamont « Le Pou » est en prose ce qui est contre la convention des poèmes standards, celui de Corbière a beaucoup de ponctuation ce qui est spécial et « Le peigne » est en forme de peigne mis en position verticale avec les vers qui représentent les strophes

21. Le 20 septembre 2016, 10:25 par Marie pomme

Ce corpus comporte quatre textes. Ces quatre textes ont un thème commun : ils font l’éloge d’éléments détestés. On remarque ainsi que trois d’entre eux, « J’aime l’araignée », « le Crapaud » et « le Pou » ont un titre commun : ils traitent d’animaux détestés du lecteur. Ces quatre poèmes sont issus de recueils différents, d’auteurs différents. La question que l’on pourrait se poser est en quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?

Tout d’abord, ces quatre textes font l’éloge d’éléments détestés : l’araignée, le crapaud, le pou et le peigne. L’auteur cherche à dégoûter lecteur : « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, parce qu'on les hait ». Victor Hugo mets en valeur contradiction à travers ses vers : l’auteur les apprécie seulement parce que le lecteur les hais, il s’oppose aux idées communes. « il s'en va, froid, sous sa pierre. » dans son poème, Tristan Corbière

22. Le 20 septembre 2016, 10:25 par margot et blandine

Le corpus comporte quatre textes: "Le pou", "J'aime l'araignée", "Le crapaud" et "Le peigne" tous quatre écrits à la fin du XIXème siècle. Ils appartiennent tous à un recueil de poèmes. Par ailleurs, on peut noter que trois de ces textes ont pour titre un animal détesté : « Le pou », « J’aime l’araignée » et « Le crapaud ». En quoi ces textes sont-ils provocateurs ?
Premièrement, on peut constater que les auteurs de ces quatre textes font l’éloge d’éléments détestés ou peu estimés, ce qui peut provoquer le dégoût chez certains lecteurs. En effet, dans les deux premiers poèmes nous pouvons remarquer que l’auteur méprise, déteste l’Homme avec « j’aime l’araignée et j’aime l’ortie parce qu’on les hait » puis « je suis déjà content de la quantité de mal qu’il te fait ». Nous pouvons également noter que dans les quatre textes du corpus, le poète se détache de l’humanité.

D’autre part, les structures inhabituelles des textes 2,3 ,4 peuvent heurter le lecteur du XIXème siècle. Pour commencer, le deuxième poème est en prose, un genre littéraire non structuré où il n’y a ni rimes ni strophes. De plus, le poème « Le crapaud » est un sonnet « inversé » puisqu’il contient deux tercets et deux quatrains, on retrouve aussi une ponctuation très prononcée, surtout dans le dernier quatrain où l’on constate une ligne composée de points afin de séparer les deux derniers vers. Enfin, le peigne

23. Le 20 septembre 2016, 10:25 par Wilfrid

Ce corpus comporte quatre textes au thême commun : L'éloge d'elements détestés. Trois d'entre eux ont un titre similaire : Le Pou , Le Crapaud , Le Peigne , mais le dernier se démarque des autres J'aime l'araignée, effectivement bien qu'il ai le sujet principal en son titre, le verbe "j'aime" le fait ressortir de ce corpus. Ces quatres textes sont des poèmes , tous sortis de receuils différents mais proche dans le temps : ils sont tous parus vers la fin du 19e siècle. Ce qui lie ces texte est bien évidément la provocation, le traitement d'objets ou animaux detestés et les mettre en valeur est un acte de provocation.

On peut remarque que ces trois poèmes traitent d'un element detesté, le pou, le crapaud et l'araignée sont eux trois des animaux répugnants , le peigne , bien qu'il soit pas detesté rest un objet insignifiant. Dans le texte de Victor Hugo, il provoque en disant "J'aime l'araignée", dans le second texte de Lautréamont , il dit "Si vous trouvez un pou dans votre route, passez votre chemin" dans le texte 3 de Tristan Corbière, il dit "Vois-tu pas son oeil de lumière" ou encore "ton soldat fidèle" en parlant du crapaud, finalement , dans le dernier texte écris par Germain Nouveau, il dit "c'est un grand seigneur". L'éloge de ces 4 éléments caractèrise une provocation de la part de l'auteur au lecteur.
Une autre forme de provocation, la forme non-conventionelle des textes. Effectivement , dans le texte 2 le poème est en prose, dans le texte 3 l'auteur ne reviens pas à la ligne pour le dialogue, dans le dernier texte, le peigne opte pour une forme originale déssinant un peigne, les strophes étant les broches. Cependant, le 1er texte opte pour la forme basique d'un poème. Le fait que ces textes sortent de l'ordinaire en leur forme constitue une provocation envers les normes.
Dans le texte 3, le poète prends la place du crapaud. Poète est une place respecté à l'époque, il désacralise la poèsie et joue avec les codes de la poésie en inversant les inverse même en commencant par deux tercet et en finissant pas deux quatrins.

Conclusion

24. Le 20 septembre 2016, 10:25 par Emma & Jelena

Corpus – essai 1

Le corpus présente quatre textes tous issus de la deuxième moitié du XIXe siècle et sortant d'un recueil poétique. Ils ont également la particularité d'avoir des noms peu communs, pour la plupart en rapport avec des animaux: "J'aime l'araignée" de Victor Hugo (1856) ; "Le Pou" de Lautréamont (1869) ; "Le crapaud" de Tristan Corbière (1873) ; "Le Peigne" de Germain Nouveau (1887). L'enjeu principal de ces textes réside dans leur ton provocateur. Mais en quoi sont-ils provocateurs ?

Tout d'abord, on remarque une certaine admiration envers ces éléments généralement détestés, ce qui peut provoquer le dégoût du lecteur « L'araignée est un gueux » texteA, v.12, il met en parallèle la saleté de l'araignée et celle du gueux, « ne dévorent pas les os de votre tête » texteB, l.1, utilisation de termes choquants et violents, « horreur ! » texteC, v.10 et 11, le poète illustre les pensées du lecteur. Dans ces quatre textes, l'auteur s'oppose aux idées communes en provoquant délibérément le dégoût chez son lecteur à l'aide de termes agressifs.

Ensuite, nous pouvons également constater que la forme des poèmes est inhabituelle.

25. Le 20 septembre 2016, 10:26 par cait et jeanne

Ce corpus contient quatre textes, "J'aime l'Araignée", "Le Pou", "Le Crapaud", "Le Peigne". Ces quatre textes bien que différents de par leurs auteurs V.Hugo, Lautréamont, T. Corbière, G.Nouveau, ont pour thème commun : les animaux. Ils sont parus à la fin du XIXème siècle. Nous allons ici définir l'importance du caractère provocateur dans ces poèmes.

     Tout d'abord, les textes "J'aime l'Araignée", "Le Pou", "Le Crapaud" et "Le Peigne" sont tous les quatre, des éloges d'éléments détestés, où nous pouvons voir le dégoût du lecteur, puisqu'ils sont défendus par Hugo, l'araignée, en l'occurrence est un animal normalement détesté de la population, ou encore le pou, par Lautréamont

Contrairement au texte 1, la forme des poèmes est inhabituelle.
D'emblée, nous pouvons remarquer la dévalorisation du poète qui en fait la spécificité du texte 3.

26. Le 21 septembre 2016, 12:34 par leo

Ce corpus comporte quatre poèmes datant chacun de la deuxième moitié du XIXè siècle. Ces différents textes mettent en scène soit un animal, ou un objet qui vont souvent etre confronté face à une image dégradée de l'homme. Les quatre textes intitulé « J'aime l'araignée » de Victor Hugo, « Le pou » de Lautréamont, « Le crapaud » de T. Corbière ainsi que « Le peigne » de G. Nouveau.
L'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation, mais en quoi ces quatre textes sont-ils provocateur ?

D'emblée, nous pouvons remarquer la particularité de chacun des titres des textes, en effet retrouve des animaux ou des objets peu apprécié par le public voir négligé, ayant a l'encontre de l'opinion publique. Les auteurs éprouvent un sentiment d'amitié voir d'amour pour ces animaux ou objet, méprisé par les humains mais aussi un certain sentiment de haine envers les humains

27. Le 21 septembre 2016, 12:34 par Sukaina et Sophie

Ce corpus est composée de quatre textes,qui aux premiers abords semblent différents par leur sujet et leur forme mais ont en réalité un thème commun:celui de la provocation de la société. Les textes "J'aime l'araignée" de Victor Hugo(1856),« Le Pou », écrit par Lautréamont en 1869,"Le Crapaud" écrit par Tristan Corbière (1873) et "Le peigne" par Germain Nouveau en 1887 ont tous été jugés provocateurs par des éléments parfois subtils.Nous pouvons donc se demander en quoi sont-ils provocateurs

Tout d'abord nous pouvons remarqué que le texte deux et trois dégradent la race humaine. Pour commencer, nous pouvons voir dans le texte deux que le poète se montre mesquin et provoque le lecteur avec « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. ». Dans le texte trois, le poète se compare à un crapaud et se dévalorise donc avec des mots tel que « boue » et « Horreur !! ».
Le lecteur peut se sentir offusqué d'être comparer à un crapaud et d'être dominé par un être inférieur.Dans les poèmes, le lecteur paraît faible face à une espèce inférieur et mal aimé. Ainsi dans ces deux textes la race humaine est dégradée que ce soit en étant dévalorisé ou provoquer.

Ensuite, on remarque que dans les texte un et quatre que les poètes se dressent contre l'opinion publique. Victor Hugo va à l'encontre de l'opinion publique en prônant des espèces connotaient négativement «  J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, ». De plus l'auteur provoque d'autant plus les lecteurs en rajoutant « Parce qu'on les hait »

28. Le 21 septembre 2016, 12:35 par André et Pierre

Ce corpus comporte 4 poèmes, tous écrit à la fin du XIXème siècle. Ces textes présentent, dès leur titre, des points communs, comme « J'aime l'Araignée » de Victor Hugo, « le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le Pou » de Lautréamont ; en effet, ces trois textes comportent dans leur titre un animal généralement connoté négativement. Le dernier texte étudié est « Le Peigne » de Germain Nouveau. Ces quatre textes sont considérés comme provocateurs. Mais alors, pourquoi sont-ils perçus comme tel ?
En premier lieu, on remarque que les textes de Lautréamont et de Corbière présentent une image dégradée des humains. En effet, dans « Le Pou », nous pouvons relever la critique de l'auteur envers l'humanité à travers plusieurs vers comme par exemple avec « je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, , je voudrais qu'il t'en fit davantage » (l. 18). Cette critique démontre la haine du poète envers la race humaine. Dans « Le Crapaud », l'auteur exprime son dégoût d'une manière quelque peu différente ; en effet, Corbière est victime du jugement des autres en s'identifiant au crapaud, à travers le dernier vers « Bonsoir- ce crapaud-là c'est moi » (v. 14). Le poète déplore le jugement hâtif de son ami qui est basé sur l'apparence répugnante de l'animal. L'auteur critique ainsi la façon dont se comporte une majorité de l'humanité en se limitant à l'aspect physique afin de constituer leur jugement, notamment grâce ...

29. Le 21 septembre 2016, 12:35 par Coline et Lucie

Ce corpus comporte quatre poèmes datant de la seconde moitié du XIXème siècle : « J'aime l'araignée » de Victor Hugo, « Le Pou » de Lautréamont, « Le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le Peigne» de Germain Nouveau. Ces quatre textes, bien que différents par leur contenu et leur forme, ont un thème commun : la provocation. D'ailleurs, trois d'entre eux ont un titre d'animal connoté négativement. Nous allons nous demander en quoi ces textes sont provocateurs.
En premier lieu, on peut remarquer que dans les textes 2, 3 et 4 les poètes présentent une image dégradée des humains. En effet, dans le second poème, l'auteur maudit les humains de façon directe dans les dernières lignes avec « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage ». Ensuite, dans le troisième texte, le poète ne dégrade pas directement les hommes mais plus lui-même en se comparant à un crapaud

30. Le 21 septembre 2016, 12:35 par Mériam et Anaïs

Ce corpus comporte quatre textes «J'aime l’araignée» de Victor Hugo, «Le pou» de Lautéamont, «Le crapaud» de Tristan Corbière et «Le peigne» de Germain Nouveau, bien que différents par leur forme et leur sujet, ils ont un thème commun : leur caractère provocateur. D'ailleurs, trois d'entre eux ont un titre lié aux animaux «J'aime l’araignée», «Le pou» et «Le crapaud». On remarque aussi qu'il s'agit de quatre poèmes. L'enjeu principal de ces textes réside dans la forme et le langage utilisé qui vise à provoquer le lecteur.
D'emblée, nous pouvons remarquer que trois des ces textes portent un titre lié à un animal à connotation négative et qui généralement inspirent le dégoût. Nous pouvons constater que dans les textes deux et trois nous avons une image d'infériorité humaine par exemple dans le texte deux l'auteur nous dit «N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage.» on vois que l'auteur s'exclue lui même de la race humaine, il éprouve une certaine supériorité car il l'a maudit et prend plaisir à la voir souffrir et déplore même le fait de ne pas pouvoir en faire d'avantage. Le caractère provocateur ici réside dans le fait que l'auteur se sente supérieur à nous et nous considère comme des êtres inférieurs et peu important. On retrouve cette image d’infériorité humaine dans le texte trois car l'auteur dit «Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi.», il se considère lui même comme un animal et se considère donc comme un être inférieur et repoussant.

31. Le 21 septembre 2016, 12:35 par ludivine et rema

« J'aime l'araignée », Victor Hugo ;« Le Pou », Lautréamont ;« Le Crapaud », Tristan Corbière ;« Le Peigne », Germain Nouveau, sont tout les quatre des poèmes de la fin du XIXe siècle. les titres de Ces quatre ouvrages sont des extrait de recueils dont le titre semblent être plus valorisant que les titres qui leurs sont propres. Ces quatres poèmes ont tous une structure et des idée rapportées différente. serait-il une manière de provoquer le lecteur ? En quoi ces poèmes sont-il provocateurs ?

Tout d'abord on remarque que dans ce corpus de texte, nous avons des poèmes plus ou moin provocateur qui nous renvoi une image dégradé de la race humaine. « Le pou » nous confirme cette affirmation par un passage qui renvoi une image malsaine l'Homme, qui de par ces propos, suggere la souffrance de l’espèce humaine « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. ... » ici, L'autréamont évoque des termes qui connote fortement la cruauté comme le mot « mal » qui dans le contexte de la phrase est perçu comme un mot sadique. Il se place comme un être superieur, qui n'appartient pas a la race humaine « ô race humaine », nous ressentons un narcissisme profond chez le poete et un aspect mélioratif de son egau. Par le biais du poux il fait part de son dégout envers la race humaine. A l'instar, dans le pôeme « Le crapaud » les idees sont rapporté par la meme image d'un animal repugant mais les parole se divergent

32. Le 21 septembre 2016, 12:35 par Capucine et Emma

Ce corpus comporte quatre poèmes de la fin du XIXe caractérisés par leur provocation évidente. Ainsi, dès la lecture des titres de "J'aime l'araignée" de Victor Hugo, "Le pou" de Lautréamont, "Le crapaud" de Tristan Corbière et "Le peigne" de Germain Nouveau, nous pouvons remarquer que ces textes mettent en scène des animaux ou des objets généralement méprisés et insignifiants. L'enjeu principal de ces textes réside dans l'aspect provocateur désiré par les auteurs.

En premier lieu, nous constatons une image extrêmement dégradée de la race humaine. Tel est le cas dans le poème de Lautréamont où l'auteur se délecte de la cruauté que le pou peut causer ; « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage ». Le pou devient alors un animal diabolique et le poète maudit les humains. S'ajoute à cela la soumission et l’idolâtrie d'un homme pour un simple peigne dans le poème Germain Nouveau. Le lecteur éprouve un sentiment d’infériorité avec la répétition de l'expression « le peigne est un grand seigneur ».

D'autre part, les poètes ont chacun adopté une forme particulière et originale. « J'aime l'araignée » se construit sur un rythme bancal (décasyllabes et pentasyllabes alternés)

33. Le 23 septembre 2016, 10:24 par hyperion

Ce corpus comporte quatre textes écrits au XIX ème siècle. Ce sont les oeuvres "J'aime l'araignée" de Victor Hugo(1856),« Le Pou » écrit par Lautréamont en (1869),"Le Crapaud" écrit par Tristan Corbière(1873) ,et "Le peigne" par Germain Nouveau en (1887).En quoi ces poèmes sont-il provocateurs ?

Pour commencer, on peut voir que ces quatre textes font l'éloge d'élements detestés comme le pou , le crapaud mais aussi l'araignée véritablement detestés par tous le monde « j'aime l'araignée et j'aime l'ortie, parce qu'on les hait» v1 mais aussi
«L'éléphant se laisse caresser. Le pou, non. Je ne vous conseille pas de tenter cet essai périlleux», Il y'a une certaine incompréhension mais aussi un aspect contradictoire car l'auteur aime les araignées alors que tous le monde les déteste ainsi on peut voir une certaine provocation ou l'auteur incite le lecteur à caresser le pou.
De plus , nous pouvons remarquer que l'auteur veut choquer en s'opposant aux idées communes notament au texte D «Le peigne est grand seigneur », ici nous assistons a la personification du peigne en le rendant plus important que l'humain .
D'autre part , le texte B met aussi en valeur le pou pourtant dénigrée par autruie et en vient même a menacer le lecteur a la fin de ce poème

34. Le 23 septembre 2016, 10:25 par Kévin et Simon

Ce corpus comporte quatre textes poétiques datant du milieu du 19eme siècles. On peut remarquer que les textes sont rangés dans un ordre croissant par rapport à leur dates. Trois d'entre parle d'un animal détesté. En effet, le premier texte fait par Victor Hugo parle d'une araignée tandis que les suivants écrits par Lautréamont et Tristan Corbière évoque le pou pour ce premier et le crapaud pour ce second. Le dernier quant à lui écrit par Germain Nouveau parle d'un peigne. Mais en quoi ces textes ont ils un sens provocateur pour le lecteur?

  Pour commencer, l'auteur se considère différemment de l'Homme dans les textes 2 et 3. En effet, v 16: «Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi»,l'auteur se compare au crapaud pour essayer de donné une allure pathétique à celui-ci vu que ce crapaud a été critiqué pendant tout le texte le rendant inférieur à l'Homme. Cependant, le texte 2 représente  tout le contraire du crapaud. Le pou est mis en valeur et surestimé, celui-ci est vu comme supérieur à l'Homme par l'auteur. Il dit même que l'Homme devrait se méfier du pou car il pourrait détruire l'humanité ou détruire quelque chose du fort physiquement «Malheur au cachalot qui se battrait contre un pou. Il serait dévoré en un clin d’œil malgré sa taille» Ceci peut aussi faire référence au combat de David contre Goliath.
35. Le 23 septembre 2016, 10:25 par Colleen et Jordan

Ce corpus comporte quatre textes datant du XIXe siècle, nous allons ici définir l’importance de la provocation dans ces différents textes. D’ailleurs, trois d’entre eux ont un titre qui se ressemblent « Le Pou » de Lautréamont, « le crapaud » de Tristan Corbière, « J'aime l'araignée » de Victor Hugo et le dernier se démarque du corpus « Le Peigne » de Germain Nouveau. Ce dernier se différencie des autres textes car dans son titre il ne parle pas d'animaux.

     D'emblée, nous pouvons constater que ces textes font l'éloge d'éléments détestés , comme dans les textes deux et trois. L'auteur se place inférieur à l 'animal qu'il décrit,l'auteur se considère différemment de l'homme comme notamment dans Le crapaud « Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi. ». En effet, dans ce poème le poète ce compare a un crapaud il se considère donc différemment de l'homme et se compare a un animal. Dans le Texte deux Le Pou, «N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine », l'auteur fait preuve de méchanceté envers la race humaine.
36. Le 23 septembre 2016, 10:25 par William

Nous allons étudier un corpus qui comporte quatre poèmes datant de la seconde moitié du XIXème siècle. On y retrouve « J'aime l'araignée » de Victor Hugo, « Le pou » de Lautréamont, « Le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le peigne » de Germain Nouveau. Ce corpus nous présente donc quatre textes se démarquant habituellement de ce que l'on pourrait voir en provoquant le lecteur.


Premièrement, pour les textes deux et trois, l'auteur se considère différemment de l'homme. En effet, dans le texte deux l'auteur se place sur côté du pou en infériorisant les hommes qu'ils dénoncent avec haine. Cela traduit pour le poète une injustice entre le pou et l'homme « Soyez certains que, si leur mâchoire était conforme à la mesure de leurs vœux infinis, la cervelle, la rétine des yeux, la colonne vertébrale, tout votre corps y passerait  »
Ainsi ici on retrouve une provocation avec le paradoxe que l'humain devrait ce soucier de l'humain or c'est le contraire « ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fit davantage. ... »

Pareillement, dans le texte trois le crapaud

37. Le 23 septembre 2016, 10:26 par Andrélien

Le corpus comporte quatre textes parut fin XIXe siècle. Ces textes qui paraissent si différents ont pourtant tous un thème commun: Ces animaux mal vus par la race humaine excepté le peigne qui lui est un objet banale que l'on utilise au quotidien . Ces textes poétiques ont pour titre : »j'aime l'araignée », »le pou » , «  le crapaud « ; Ils sont extraits de recueils ,l'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation, En quoi ces textes sont-ils provocateurs ?

Pour commencer, ces textes sont sujets d’éloge d’éléments souvent détesté par le plus grand nombre
en effet, nous constatons que l'auteur se sent différent des hommes en valorisant le pou, le peigne , l'araignée et le crapaud, Dans le texte 2, »L'éléphant se laisse caresser. Le pou, non. Je ne vous conseille pas de tenter cet essai périlleux »v.13

38. Le 23 septembre 2016, 10:26 par Guillaume et Ewan

Ce corpus comporte quatre textes : « J'aime l'araignée » de Victor Hugo, « Le pou » de Lautréamont, « Le crapaud » de Christian Corbière et « Le peigne » de Germain Nouveau, qui datent de la seconde moitié du XIXe siècle. Les trois premiers cités parlent d'animaux tandis que le dernier parle d'un objet, le « peigne », tous ces textes semblent s'opposer à l'opinion publique. En quoi ces textes sont provocateurs ?

  Tout d'abord, l'auteur se considèrent différent de l'homme comme dans les textes deux et trois qui  s'opposent, car dans « Le pou », l'animal cité est considéré comme plus fort que l'homme, un parasite que l'homme ne peut vaincre alors que dans « Le crapaud », l'auteur se rabaisse a un animal  repoussant, bruyant, qui ne donne pas un aspect très positif de lui
39. Le 23 septembre 2016, 10:28 par serpil brieuc

Le corpus comporte quatre textes ; « le pou », « J'aime l'araignée », « Le crapaud »et « le peigne ». Ce sont des textes qui datent de la fin du XIXes. Trois d’entre eux ont un titre qui se réfèrent a des animaux ( un pou, une araignée et un crapaud), quant au dernier il est différent puisque sont titre fait référence a un objet (le peigne). Ces quatre textes présente un thème commun, ce sont des textes qui provoquent le lecteur.
Nous allons donc nous demander en quoi ils le sont.

        Dans un premier temps, le poètes n’hésitent pas a dénigrer les animaux en faisant des comparaison péjoratives comme : « l’araignée un gueux » dans le texte A, « rossignol de la boue ,,- horreur » dans le texte C. Ensuite, ils mettent au premier plan les aspect négatifs de ces créatures qui font ressentir un sentiment de degout chez l'Homme.
40. Le 23 septembre 2016, 14:44 par Lou & Mathilde A

Ce corpus comprend quatre texte, tous issus du XIX siècle. Dont les titres, pour trois d'entre eux sont des animaux repoussants : «J'aime l'araignée» de Victor Hugo, «Le Pou» Lautréamont, «Le Crapaud» de Tristan Corbière. Pour «Le Peigne» de Germain Nouveau, on ne nous parle pas d'un animal, mais d'un objet dont on fait un éloge. On peut donc ce demander en quoi ces textes sont provocateurs.

Tout d'abord, on peut voir que le poète valorise des éléments en général méprisés, dans le texte un, «J'aime l'araignée», par exemple au vers 1 et 2 Victor Hugo écrit «J'aime l'araignée et j'aime l'ortie parce qu'on les haies» c'est un passage provocateur parce qu'il est entre en contradiction avec les lecteurs, il cherche aussi à les choquer, pour que qu'ils ressentent de la pitié envers des animaux que l'on méprise habituellement. Comme pour le premier, le texte deux, fait l'éloge d'un animal: le pou. Il s'en prend directement a la race humaine, en défendant cet insecte avec les vers «N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage.» Cette citation à pour but de choquer.

41. Le 23 septembre 2016, 14:44 par Lucy duon et Mélanie Belayachi

Ce corpus comporte quatre textes du XIX siècle, « l'araignée » de Victor Hugo tiré de « les Contemplations » , « Le Pou » de Lautréamont dans « Les Chants de Maldoror » , «  Le Crapaud » de Tristan Corbière paru dans « Les Amours » et enfin «  Le Peigne » de Germain Nouveau dans «  Valentines ». Bien que différents par leurs formes ont tous un thème commun : la provocation. Nous allons ici définir l'importance des éléments méprisés dans ces différents textes. Nous allons étudier en quoi ces textes sont provocateurs.

Tout d'abord, nous allons parler des éléments méprisés dans le texte un, deux et trois. On peut voir dans le texte un de Victor Hugo qu'il y a un passage contradictoire "J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, / Parce qu'on les hait" V1-2, ici Hugo cherche à choquer le lecteur qui normalement déteste les araignées et dans ce cas ressent de la pitié pour elles. Tout comme le texte deux de Lautréamont qui souhaite choquer le lecteur en souhaitant que le pou fasse plus de mal à l'humain "je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage" V10.
Ensuite, nous observerons les comparaisons des éléments aux personnes qu'il faudrait aimer, comme dans « L'araignée » avec "J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait" V1-2 où le poète cherche à nous faire partager son opinions d'aimer les araignées parce que justement on les déteste. Également dans le texte trois de Corbière dans « - Un crapaud ! – Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! » V7-8 le poète affiche la face effrayante du crapaud en essayant de nous faire oublier l'idée de peur du crapaud.

42. Le 23 septembre 2016, 14:45 par Laetitia et Jana

Ce corpus est composé de quatre textes provocateurs de la fin XIX siècle. «  J'aime l’araignée » écrit par Victo Hugo ; « Le Pou » écrit par Lautréamont ; «  Le Crapaud » écrit par Tristan Corbière et « Le Peigne » de Germain Nouveau . Ces textes sont tous des œuvres destiné a choquer, indigner,révolter le lecteur. Le fait de mettre en avant des animaux ou des objets inintéressant font toute la complexité et l'originalité de ces textes. Dans un développement construit et argumenter nous nous efforceront de répondre à la question suivante :En quoi ces textes sont-ils provocateurs ?

Tout d’abord, dans les textes de Victor Hugo, de Lautréamont et de Tristan Corbière les auteurs font une description élogieuse d'animaux pourtant répugnant et sans intérêt.

43. Le 23 septembre 2016, 14:45 par Aurélien et Nicolas

Ce corpus comporte quatre textes, ils appartiennent tous à la fin XIXè siècle.
Nous avons donc « J’aime les araignées » de Victor Hugo, tiré des « Contemplations » puis « Le pou » de Lautréamont, « Le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le peigne » de Germain Nouveau. Ces quatre textes, bien que différents par leur formes ont un thème commun :
Ce sont des textes provocateurs, d’ailleurs trois d’entres eux comportent un titre avec un « animal ». On remarque aussi qu’il s’agit de 4 extraits de différents recueils de poésie. On ne nous parle pas d’animaux mais d’un objet dont on fait un éloge. Et nous verrons en quoi peut-on se demander pourquoi ces textes sont provocateurs.

Tout d’abord, il s’agit de voir que l’auteur met en avant les idées généralement méprisés, par exemple dans le texte 1, où Victor Hugo écrit : « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie, parce qu’on les hait » (v. 1-2) qui est un passage normalement contradictoire du fait qu’il dit qu’il aime les araignées et les orties alors que l’on doit plutôt ressentir de la pitié pour les êtres que l’on déteste. D’autre part, dans le texte 2 de Lautréamont, on peut constater que l’auteur met en avant le pou, en disant qu’il souhaite que les poux fassent plus de mal à la race humaine d’après cette citation : « N’importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu’il te fait, ô race humaine ; seulement je voudrais qu’il t’en fît davantage. ». Ensuite, on remarque dans le texte 3 de Tristan Corbière

44. Le 23 septembre 2016, 14:45 par Mathilde B. et Camille

Ces quatre textes, bien que différents par leur forme ont un thème commun : ce sont des textes provocateurs qui appartiennent tous au XIXe siècle. D’ailleurs trois d’entre eux ont pour sujet principal les animaux : « J’aime l’araignée » de Victor Hugo, « Le pou » de Lautréamont et « Le crapaud » de Tristan Corbière. Le quatrième texte a un sujet différent des trois autres car celui-ci met en valeur est objet du quotidien : « Le peigne » de Germain Nouveau. L’enjeu principal de ces textes réside dans la présence de provocation. En quoi ces textes sont-ils provocateurs ?

Tout d’abord on remarque que les poètes mettent en valeur des animaux peu aimés dans les textes un, deux et trois. Victor Hugo veut choquer le lecteur en lui faisant ressentir de la pitié envers des êtres détestés, « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie, parce qu’on les hait » v.1-2. Tandis que dans le poème de Lautréamont il y a une forte présence de méchanceté et de sadisme, le poète se place du côté des poux et y apporte une certaine admiration comme on le remarque au vers 10 « Je suis déjà content que la quantité de mal qu’il te fait, ô race humaine ; seulement je voudrais qu’il t’en fit d’avantage ». Enfin dans le texte de Tristan Corbière, le poète donne une image négative de lui-même en se comparant à un crapaud « Bonsoir- ce crapaud-là c’est moi ».
De plus les différents poètes compare les éléments à des personnes qu’il faudrait aimer.

45. Le 23 septembre 2016, 14:45 par Thibaud et Charles

Ce corpus présente quatre textes de la fin du XIX siècles. Nous allons étudier ces poèmes "J'aime l'araignée" de Victor Hugo, "le pou" de Lautréamont, "Le crapaud" de Tristan Corbière et"le Peigne" de Germain Nouveau. Ces trois textes qui ont un thème commun « les animaux détestés » ou encore le quatrième qui nous parle d’un objet pas très important. Ces textes ont été écrits pour choquer le lecteur. En quoi ces textes sont provocateurs ?

          Tout d’abord, dans ces quatre textes les poètes valorise les éléments détestés qui provoquent un dégoût du lecteur notamment avec « j’aime l’araignée et j’aime l’ortie parce qu’on les hait ». Ici Hugo s’oppose a l’idée général des lecteurs, tout comme Corbière dans son poème « Le Crapaud » qui éprouve un amour envers cet animal que les lecteurs n’apprécient pas forcément.
           Ensuite, dans les trois derniers textes nous avons une forme de poème inhabituelle.

Par exemple dans le texte de Corbière nous avons une innovation avec le sonnet inversé qui nous démontre bien que l’auteur a voulu provoquer le lecteur.

46. Le 23 septembre 2016, 14:46 par Virgile et Maël

Tous les textes on été écrit vers la fin du XIXème siècle. Les titres font tous référence à des animaux ou objet mal aimé, banal de la société, ils sont provocateurs. Ce sont tous des poème qui sont tiré de recueilles. Les titres sont dérangeant : « J’aime l’araignée » ; « le peigne » ; « Le crapaud » et « Le peigne ». En quoi ces textes sont provocateurs ?

  Pour commencer, dans les textes 1, 2 et 3 les poètes valorisent des éléments méprisés. Dans le premier texte Hugo dit aimer l’araignée et l’ortie : « j’aime l’araignée et l’ortie parce qu’on les hait ». Il fais l’éloge de ces être normalement méprisé. Dans le deuxième poème l’auteur est en admiration des poux, il se range même a leur côté, il les défend : "je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage", ce vers montre que le poète est favorable aux poux, c’est donc provocateur.
  Ensuite, les poètes comparent les éléments a des personnes qu’il faudrait aimer. Dans le texte « j’aime l’araignée » Hugo fait ressentir de la pitié pour l’araignée alors qu’on la déteste normalement: «Parce qu'elles sont toutes deux victimes de la sombre nuit ». Dans le texte le peigne l’auteur compare le peigne a un grand seigneur : « Oui le peigne est un grand seigneur ». 
  Enfin, la forme de ces textes est provocatrice. Le poème «  le crapaud «  est un sonnet inversé ce qui est une infraction au code du poème classique
47. Le 23 septembre 2016, 14:46 par Sarah Badier et Elise Bonneau

Ce corpus comporte quatre textes qui ont été écrit au XIXe siècle. D'ailleurs, ces poèmes ont des titres négatifs car « J'aime l'araignée », « le pou » et « le crapaud » parlent d'animaux que les personnes n'affectionnent pas particulièrement. Les textes « j'aime l'araignée », « le crapaud », « le pou » et « le peigne » sont des poèmes extraits de recueil. Nous allons ici définir l'importance de la provocation dans ces différents textes. Nous allons donc nous demander en quoi ces textes sont-ils provocateurs.

D’emblée nous pouvons remarquer que les poètes Hugo, Lautréamont et Corbière valorisent un élément méprisé qui sont ici l'araignée « j'aime l'araignée et j'aime l'ortie, parce qu'on les hait », le pou « je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait,ô race humaine ; seulement je voudrais qu'il t'en fit d'avantage » et le crapaud « vois-le, poète tondu, sans aile, rossignol de la boue ». Les poètes veulent choquer les lecteurs avec des idées négatives et contradictoires. Les poètes des textes 1 et 2 veulent que les lecteurs ressentent de la pitié pour les animaux qu'on déteste normalement et dans le texte 3, le poète se compare lui même à un « rossignol de la boue ».
Dans les textes d'Hugo, de Corbière et de Nouveau, les poètes veulent nous faire aimer des animaux ou des objets que l'on apprécie pas ou qui n'ont pas de valeur pour les lecteurs. Dans les textes 1 et 4, il y a une contradiction car on veut nous faire aimer des choses que nous n'avons pas l'habitude d'aimer.

48. Le 27 septembre 2016, 09:57 par Wilfrid

Ce corpus comporte quatre textes au thème commun : L'éloge d'éléments détestés. Trois d'entre eux ont un titre similaire : Le Pou, Le Crapaud , Le Peigne , mais le dernier se démarque des autres J'aime l'araignée, effectivement bien qu'il ai le sujet principal en son titre, le verbe "j'aime" le fait ressortir de ce corpus. Ces quatre textes sont des poèmes, tous sortis de recueils différents mais proche dans le temps : ils sont tous parus vers la fin du XIXe siècle. Ce qui lie ces textes est bien évidemment la provocation, le traitement d'objets ou animaux détestés et les mettre en valeur est un acte de provocation.

On peut remarque que ces trois poèmes traitent d'un élément déteste, le pou, le crapaud et l'araignée sont eux trois des animaux répugnants, le peigne, bien qu'il soit pas déteste reste un objet insignifiant. Dans le texte de Victor Hugo, il provoque en disant "J'aime l'araignée", dans le second texte de Lautréamont, il dit "Si vous trouvez un pou dans votre route, passez votre chemin" dans le texte trois de Tristan Corbière, il dit "Vois-tu pas son oeil de lumière" ou encore "ton soldat fidèle" en parlant du crapaud, finalement, dans le dernier texte écris par Germain Nouveau, il dit "c'est un grand seigneur". L'éloge de ces quatre éléments caractérise une provocation de la part de l'auteur au lecteur.
Une autre forme de provocation, la forme non-conventionelle des textes. Effectivement, dans le texte deux le poème est en prose, dans le texte trois l'auteur ne reviens pas à la ligne pour le dialogue, dans le dernier texte, le peigne opte pour une forme originale dessinant un peigne, les strophes étant les broches. Cependant, le 1er texte opte pour la forme basique d'un poème. Le fait que ces textes sortent de l'ordinaire en leur forme constitue une provocation envers les normes.
Dans le texte trois, le poète prend la place du crapaud. Poète est une place respecté à l'époque, il désacralise la poésie et joue avec les codes de la poésie en inversant les inverse même en commencent par deux tercet et en finissant pas deux quatrains.

Pour conclure, on peut dire que ces quatre textes sont provocateurs envers le lecteur mais aussi envers les normes de la poésie à l’époque. Il est possible, à l'issue de l'analyse, de se poser la question, la provocation est-elle seulement revendicatrice ou aussi un effet de style. Les auteurs ont-ils de vraies idées à faire passer ou ne provoquent-ils seulement pour l’originalité du texte.

49. Le 27 septembre 2016, 10:07 par Sophie L. Marine

Le corpus présente quatre textes du XIXe siècle. Ces textes présentent des similitudes dans leur titre tel que " J'aime l'Araignée " par Victor Hugo "Le Pou " de Lautréamont et " Le Crapaud " de Tristan Corbière. Le titre du quatrième poème de Germain Nouveau « Le peigne » est différent. Nous allons nous demander en quoi ces textes sont provocateurs.

Pour commencer, ces textes sont sujets d’éloge d’éléments souvent détesté par le plus grand nombre. Le premier texte met en valeur l’araignée dès le titre « j’aime l’araignée » et le répète au premier vers pour insister et donc provoquer. L’auteur veut choquer en s’opposant aux idées communes aux vers 1 et 2 « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait ; » tous comme pour le texte D « le peigne est un grand seigneur » répété à presque chaque fin de strophe. Ici, l’auteur rend hommage au peigne en le personnifiant et le rendant plus important que l’humain. Les textes B met aussi en avant le pou, pourtant dénigré et en vient même à menacer le lecteur à la fin de ce poème « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. »
Le poète du texte C critique ceux dont il fait partie, les poètes comme par exemple aux vers 9 et 10 « Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue... – Horreur ! ». Nous pouvons donc observer que les poètes en veulent à la race humaine dont les poètes pour certains.

La forme poétique de trois de ces poèmes est aussi provocatrice. Le texte B est en prose, cette forme est plutôt utilisée pour un texte qu’un poème, cela pourrait être pour insister sur la longévité du pou et sa puissance dans le temps et ainsi de prouver sa domination sur l’homme. Le troisième texte est lui aussi d’une forme non conventionnelle. En effet, il est en sonnet inversé. Ce qui est aussi provocateur que le sujet de ce poème, c’est-à-dire, qu’il veut faire tout l’inverse de ce qui dans les normes et donc aimer ce que tout le monde déteste et faire ce qui n’est pas conforme. Et le dernier, lui, est plus long que la majorité des poèmes. De plus, il est en forme de peigne comme pour insister sur l’élégance du peigne et son importance.

Pour conclure, ces sont provocateur d’une part par leur sujet détestables et pour la plus part, leur forme ne suivant pas les règles classique du poème, qui, à cette époque était très importante. Il est possible, à l'issue de l'analyse, de penser aux problèmes auxquels les poètes ont du faire face pour autant détester les lecteurs.

50. Le 27 septembre 2016, 10:12 par Emma & Jelena

Le corpus présente quatre textes tous issus de la deuxième moitié du XIXe siècle et sortant d'un recueil poétique. Ils ont également la particularité d'avoir des noms peu communs, pour la plupart en rapport avec des animaux: "J'aime l'araignée" de Victor Hugo (1856) ; "Le Pou" de Lautréamont (1869) ; "Le crapaud" de Tristan Corbière (1873) ; "Le Peigne" de Germain Nouveau (1887). L'enjeu principal de ces textes réside dans leur ton provocateur. Mais en quoi sont-ils provocateurs ?

Tout d'abord, on remarque une certaine admiration envers ces éléments généralement détestés, ce qui peut provoquer le dégoût du lecteur « L'araignée est un gueux » texteA, v.12, il met en parallèle la saleté de l'araignée et celle du gueux, « ne dévorent pas les os de votre tête » texteB, l.1, utilisation de termes choquants et violents, « horreur ! » texteC, v.10 et 11, le poète illustre les pensées du lecteur. Dans ces quatre textes, l'auteur s'oppose aux idées communes en provoquant délibérément le dégoût chez son lecteur à l'aide de termes agressifs.

Ensuite, nous pouvons également constater que la forme des poèmes est inhabituelle. En effet, le texteB est en prose, et présenté comme un extrait de roman, « d'un seul bloc ». De ce fait, on ne distingue pas les rimes et les effets de style propre à la poésie classique. Contrairement au texteC, d'une forme plus traditionnelle, bien que particulière en son genre. C'est un sonnet mais écrit à l'envers : il commence par les deux tercets et se termine par les deux quatrains. Il y a également beaucoup de ponctuation « ...Il chante. -Horreur !! - Horreur pourquoi ? » et cette ligne de points, qui donne un aspect surprenant au texte. Enfin, le dernier texte est doté d'une forme singulière rappelant celle d'un peigne. Chaque vers correspondrait à une dent de ce peigne. Dans ce trio de textes, l'auteur joue avec la forme de son texte pour surprendre le lecteur.

Au terme de cette étude, il apparaît clairement que l'auteur cherche à dégoûter et à surprendre son lecteur, non seulement par les mots en utilisant un vocabulaire choquant, étonnant mais aussi par la forme, en employant des procédés originaux comme la ponctuation. Il est possible à l'issue de cette analyse, de penser au problème de la censure, et à la réaction des lecteurs du XIXe siècle.

51. Le 27 septembre 2016, 10:16 par Edwin

Ce corpus comporte quatre poèmes écrits au XIXème siècle. Les textes "J'aime l'araignée" de Victor Hugo(1856),« Le Pou », écrit par Lautréamont en 1869,"Le Crapaud" écrit par Tristan Corbière(1873) et "Le peigne" par Germain Nouveau en 1887. Trois de ces poèmes ont un thème commun : les animaux détestés Les textes sont tous des poèmes jugés provocateurs. En quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?

Tout d’abord, il s’agit d’une éloge d’éléments détestés : « j’aime les araignées et l’ortie parce qu’on les hait » ici Hugo dans son texte « j’aime les araignées » s’oppose aux idées communes tout comme dans le texte de Corbière « Le Crapaud » qui éprouve de l’amour pour le crapaud qui est lui aussi méprisé par les humains, le poète éprouve de la haine contre les personnes qui l’insultent. Dans le texte de Lautréamont « Le Pou » il y a ce même thème commun d’amour d’animaux méprisés et aussi de provocation envers la race humaine « N’importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu’il te fait, ô race humaine ; seulement je voudrais qu’il te fit davantage » c’est de la misanthropie (haine pour la race humaine qui méprise le pou), le poète défend le pou fait son éloge et glorifie sa puissance. « Le Peigne » les gens disent que le peigne est sale alors que dans ce texte le poète dit qu’il est propre et que le peigne est un seigneur,donc comme dans tous les autres textes, il s’oppose aux idées communes et provoque les humains.

Ensuite on remarque que, les textes de Lautréamont, Corbière et Nouveau ont des formes de poèmes inhabituelles, le texte de Lautréamont « Le Pou » est en prose ce qui est contre la convention des poèmes standards, celui de Corbière a beaucoup de ponctuation ce qui est spécial et l’auteur ne revient pas à la ligne pour le dialogue « Le peigne » est en forme de peigne mis en position verticale avec les vers qui représentent les broches. Le fait que leurs formes font d’eux des poèmes qui sortent de l’ordinaire font des textes provocateurs.
Dans le texte 3, le poète prend la place du crapaud, alors que le poète était respecté à son époque il joue avec la convention de la poésie en inversant et aussi en commençant par deux tercets et en finissant par deux quatrains.

Au terme de cette étude, il apparaît clairement que tous ces poèmes sont provocateurs envers les lecteurs et envers les normes poétiques, mais puisque les normes ne sont pas respectées et puisque les auteurs s’opposent aux idées communes et donc provoquent les « humains », il est possible, à l'issue de l'analyse, de faire un lien avec la notion de censure des poèmes.

52. Le 27 septembre 2016, 10:20 par Noémie LOPEZ et Pauline RENAULD

Le corpus comporte quatre textes de la même période, issus de la fin de la moitié du XIX siècle. Nous étudierons quatre poèmes dit provocateurs; "J'aime l'araignée" de Victor Hugo, "le pou" de Lautréamont, "le Peigne" de Germain Nouveau et "Le crapaud" de Tristan Corbière. On remarque que trois de ces textes sont issus du même sujet qui caractérise des animaux détestés par l'homme, tous appart « le peigne», mais nous verrons que les quatre poèmes ont des caractéristiques communes. L'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation et nous montrerons les passages où le poète a voulu choqué le lecteur.

    Tout d'abord les poètes n’hésitent pas à dénigrer ces animaux en faisant des comparaisons péjoratives comme : « L'araignée un gueux » (texte A),  « Rossignol de la boue… -Horreur » (texte C). Ils mettent en avant les aspects négatifs des animaux qu'ils font passer pour des créatures répugnantes. Dans le texte B, le poète s'en prend au lecteur, il le menace et le maudit avec « Pourquoi ils ne dévorent pas les os de votre tête », présence de misanthropie, il donne une force destructrice au pou, et l'encourage à faire du mal aux humains. Il y a une certaine fusion entre le texte B et D puisque les poètes se moquent littéralement du lecteur dans le texte B et du peigne dans le texte D, « le peigne est un grand seigneur », c'est une exagération car c'est un objet sans grande valeur, ceci engendre un jeu de provocation.
    Ces trois poèmes comportent des formes inhabituelles, le texte B « Le Pou » de Lautréamont est un poème en prose, il n'a pas de structure particulière par rapport aux autres . Le poète fait abstraction des règles de base de la poésie. Dans le texte C « le Crapaud »  de Corbière est un poème où la ponctuation est omniprésente, le poète ne semble pas savoir ce qu'il veut dire, et utilise donc des points pour rallonger ses vers comme le fin du poème :
«Non : il s'en va, froid, sous sa pierre.

.........................................................
Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi.»
C'est une structure particulièrement étrange et qui rajoute une difficulté à la lecture. Dans le texte D « Le Peigne » de Nouveau est un poème avec la même répétition « le peigne est un grand seigneur » à chaque fin de strophe. Le poète a voulu faire un jeu en représentant chaque strophe par les dents du peigne. Il a également beaucoup de ponctuation comme dans le texte C « Le Crapaud ».

    Pour terminer nous retiendrons que ces quatre poèmes ont des similitudes comme les sujets qu'ils ont en commun (animaux détestés par l'homme), les poètes ont voulu à travers les poèmes donner une image dévalorisante des ces créatures répugnantes, ce qui peut être interprété comme provocateur. Les structures des poèmes sont différentes mais se rejoignent par leurs spécificités. Les poètes en veulent aux lecteurs comme dans « Le Pou » : « pourquoi ils ne dévorent pas les os de votre tête », les poètes évoquent un jeu de provocation, ce qui amène à choquer le lecteur. Montrer que ces poètes s'attirent les foudres du lecteur.
53. Le 27 septembre 2016, 10:20 par Isalyne et Laura

Le corpus comporte quatre textes.
Les textes datent de la deuxième moitié du XIXème siècle, ce sont des extraits de recueil poétiques. Ces poèmes parlent de choses négatives tels que des animaux connotés négativement ou objets considérés comme sales. Ces quatre poèmes ont un titre dérangeant : "J'aime l'araignée" ; "Le pou" ; "Le peigne" et "Le crapaud". L'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation. En quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?

Nous remarquons au premier abord la spécificité de chacun des titres des textes, les auteurs font l'éloge des éléments supposés être détestés ou mal-vu qui provoquent un certain dégoût chez les lecteurs. Leur but est de choquer, de surprendre. Dans chacun des poèmes, le poète soutient les éléments négatifs de son poème comme l'araignée ou le pou, ils se mettent à leur place avec «  Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi. » et souhaitent le mal aux lecteurs à travers la citation « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. ». Dans ces poèmes, la race humaine est méprisée et dévalorisée par l'auteur dans « Mon beau peigne, je vous embrasse, Et je suis votre serviteur. » ce n'est pas l'objet qui sert l'humain, mais l'humain qui sert l'objet. Ils nous surprennent avec une contradiction mélangeant haine et amour avec « La mauvaise bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour ! ».

D'autre part, nous remarquons la forme inhabituelle de ces poèmes. Le premier poème de Victor Hugo est le seul poème ayant une forme considérée comme appropriée aux règles de l'écriture. Les poèmes « Le pou » et « Le crapaud » sont tous les deux des textes non versifiés, de plus « Le crapaud » est sous forme de dialogue, ils s'adressent à nous et semblent vouloir nous provoquer à travers leurs écrits comme dans « Vois-tu pas son œil de lumière… Non : il s'en va, froid, sous sa pierre. » on pourrait penser que l'auteur souhaite nous faire culpabiliser. Nous pouvons interpréter en outre que le poème « Le peigne » est en forme de celui-ci, ici, les vers représentent les dents de l'objet : on peut interpréter ce procédé comme une forme de provocation comique : l'auteur va jusqu'à représenter sous forme de poème l'objet décrit.

Au terme de cette étude, il apparaît clairement que l'auteur cherche à provoquer les lecteurs à travers ces poèmes. C'est pourquoi nous pouvons maintenant nous demander pourquoi cherchaient-ils à nous provoquer ? Peut-être cherchaient-ils à faire évoluer la mentalité des lecteurs, ou bien cherchaient-ils simplement à faire polémique à leur époque.

54. Le 27 septembre 2016, 10:21 par SIX Lucie

Le corpus présente quatre textes "J'aime les araignées" de V.Hugo," Le Pou" de Lautréamont, "Le crapaud" de T.Corbière et "Le peigne" par G.Nouveau tous écrit au XIXe siècle. Ces quatre poèmes parlent d'animaux qualifier de répugnant ou d'objet du quotidien en les glorifiant, les élevant au dessus des Hommes. Cette provocation est notable dans la forme des poèmes et leur spécificité que nous allons étudier.

Ces poèmes parlent d'animaux et d'objet de façon glorifier, le texte "J'aime les araignées" révèle seulement avec son titre que les araignées, animaux communément détester son apprécier de l'auteur. Dans "Le Crapaud" Corbière s'oppose a la haine envers le crapaud "Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son œil de lumière", il le défend tout en le décrivent de manière péjorative pareil au poème de V.Hugo. Il y annonce tout de même a la fin que "ce crapaud-là c'est moi". Aussi dans "Le Pou" Lautréamont défend le pou et méprise le lecteur. L'auteur est "content de la quantité de mal qu'il te fait ô race humaine ; seulement je voudrait qu'il t'en fît d'avantage", cette partie agressive du poème ce retrouve aussi chez G.Nouveau avec "Le peigne". Il y répète a chaque strophe que " Le peigne est un grand seigneur ", il le glorifie en le donnant le nom de seigneur et va même jusqu’à contredire le lecteur "Non..., le peigne est un grand seigneur." Il y sous-entend que lui seul détient la vérité et que tout autre qui ne pense pas comme lui on tord. Il glorifie tellement le peigne qu'il ce décrit lui-même comme son esclave dans le vers "Je suis vote serviteur ".

55. Le 27 septembre 2016, 10:22 par Pape clément V

Ce corpus contient quatre textes, et , ces quatre textes ont des points communs mais aussi des différences, J'aime L'araignée, Le Pou , Le Crapaud et Le Peigne. Trois de ces titres ont un point commun : l'éloge d'animaux pesté sauf pour le Peigne qui n'est pas un animal mais un objet. Ces quatre poèmes extrait de recueil parut au XIXème siècle , leur sujet ont tous pour thème une chose : l'éloge d'éléments détestés, l'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation, et , en quoi ces textes sont-ils provocateurs.
Les éloges des éléments détestés est présente dans le texte I , le texte II , le texte III et dans le texte IV. Dans le texte un, Hugo prône son amour pour les araignées et les orties, ce qui peut paraître bizarre pour le lecteur, car , généralement l'ortie et l'araignée sont haïs. Hugo ne les aimes même pas pour ce qu'elles sont mais les aimes car elles sont détestés : « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie parce qu'on les hait ». Ce qui est provocateur, car les lecteurs détestent les araignées et les orties tout comme dans le texte « le pou » ou il fait l'éloge du pou et son pouvoir destructeur si on leur donnerait ne serait-ce qu'un peu plus de pouvoir « Soyez certains que, si leur mâchoire était conforme à la mesure de leurs vœux infinis ». Ce qui est encore plus provocateur dans ce texte ,c'est l'auteur qui veut blesser l'espèce humaine «je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. » Dans le texte 3, l'auteur met en scène un crapaud qui est un animal qui a des conotations négatives (animal repoussant , sale ) et en fait l'éloge comme les 2 précedents « Voit-tu pas son œil de lumière » ou encore « ton soldat fidèle ». Dans le texte 4, l'auteur fait l'éloge d'un peigne avec la répétition à chaque fin de strophe avec «le peigne est un grand seigneur », ce qui peut-être considéré comme provocateur par le lecteur est l'éloge d'un objet banale avec un intérêt nulle.
Ce qui peut aussi être considéré comme provocateur est la forme des texte II, III et IV. En effet, mis à part le texte I, le reste des textes ont des formes particulières hors des normes habituelles de l'époque. Le texte II est sous forme de prose ce qui peut faire penser aux lecteurs que l'auteur n'a fait aucun effort quant à la forme de ce texte. Dans le texte III, on remarque beaucoup de ponctuations et les dialogues ne sont pas espacés et une forme déstructuré dont le lecteur n'a pas l'habitude ( sonnet inversé) , on peut considéré que cette forme est provocatrice car elle remet en cause les normes poétiques de l'époque. Dans le texte IV, ce texte à lui aussi une forme inhabituelle qui peut faire penser à un peigne justement avec ses strophes ressemblant à les dents du peigne et sa longueur inhabituelle.
Au terme de cette étude, il apparaît clairement que ces IV textes sont provocateurs dans leurs fonds et dans leurs formes. On pourrait aussi soulever une différente problématique : la défense et l'éloge de la pauvreté

56. Le 27 septembre 2016, 10:23 par jeannette et cait dans la place

Ce corpus contient quatre textes, "J'aime l'Araignée", "Le Pou", "Le Crapaud", "Le Peigne". Ces quatre textes bien que différents de par leurs auteurs V.Hugo, Lautréamont, T. Corbière, G.Nouveau, ont pour thème commun : les animaux. Ils sont parus à la fin du XIXème siècle. Nous allons ici définir l'importance du caractère provocateur dans ces poèmes.

    Tout d'abord, les textes "J'aime l'Araignée", "Le Pou", "Le Crapaud" et "Le Peigne" sont tous les quatre, des éloges d'éléments détestés, où nous pouvons voir le dégoût du lecteur. En effet, les animaux sont défendus par Hugo, l'araignée, en l'occurrence est un animal normalement détesté de la population, ou encore le pou, de Lautréamont, l'est tout autant que le crapaud par Corbière, mais à leur façon, ils nous démontrent qu'ils n'éprouvent pas de dégoût vis-à-vis d'eux; dans le premier poème "j'aime l'araignée et j'aime l'ortie, parce qu'on les hait", ainsi que le second poème "je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine; seulement je voudrais qu'il t'en fit davantage.", où une certaine misanthropie, c'est-à-dire l'art de détester et de mépriser la race humaine, est identifiée derrière le propos de l'auteur, on peut considérer ça comme une menace assez explicite.

Contrairement au texte 1, la forme des autres poèmes est inhabituelle.

D'emblée, nous pouvons remarquer la dévalorisation du poète qui en fait la spécificité du texte 3.

57. Le 27 septembre 2016, 10:25 par Marie Pomme

Ce corpus comporte quatre textes. Ces quatre textes ont un thème commun : ils font l’éloge d’éléments détestés. On remarque ainsi que trois d’entre eux, « J’aime l’araignée », « le Crapaud » et « le Pou » ont un titre commun : ils traitent d’animaux détestés du lecteur. Ces quatre poèmes ont été écrits à la fin du XIXé siècle. La question que l’on pourrait se poser est en quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?
Tout d’abord, ces quatre textes font l’éloge d’éléments détestés : l’araignée, le crapaud, le pou et le peigne. « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, parce qu'on les hait » : Victor Hugo met en valeur une contradiction à travers ses vers : l’auteur les apprécie seulement parce que le lecteur les hait, ce qui fait de lui un texte provocateur : ils s’opposent aux idées communes. De plus, dans le texte C de Tristan Corbière, l’auteur écrit « il s’en va, froid, sous sa pierre.» : le poète s’identifie au crapaud et le lecteur est dégoûté ce qui nous montre le côté provocateur du poème. Dans le texte B de Lautréamont, le poète écrit « tout votre corps y passerait ». Içi, il nous menace et nous méprise, deux formes évidentes de provocation. Ensuite, dans le texte D « Le peigne », Germain Nouveau fait l’éloge d’un peigne, un objet banal du quotidien, en lui donnant une grande importance : « le peigne est un grand seigneur. ». On peut voir que dans ces quatre poèmes, l’auteur cherche à provoquer le lecteur. Nous pouvons aussi remarquer que trois de ces textes ont une forme inhabituelle. Le poème « Le Pou », par exemple, est écrit en prose, ce qui contre les normes du poème traditionnel. De ce fait, l’auteur fait une action provocatrice vis-à-vis du lecteur. Dans le texte D, le poème « le peigne » est long et adopte une forme de peigne par ses strophes parallèles et régulières, représentant les dents du peigne.

58. Le 27 septembre 2016, 10:26 par Théotrapédule

Le corpus présente quatre textes datant de la deuxième moitié et fin du XIX° siècle est font tous l'éloge d'animaux ou d'objets connotés négativement ou n'ayant rien de poétique. Les poèmes « Le pou », « Le Crapaud » et « Le peigne » ont tout trois une forme inhabituelle ; « le pou » est en prose ce qui était encore peu utilisé à l'époque, « le crapaud » comporte beaucoup de ponctuation et la forme du poème « le peigne » ressemble à des dents de peigne par ses nombreuses strophes.

  En quoi ces textes sont provocateurs ? Ces textes peuvent avoir l'air provocateur par leur propos et leur façon de le dire. Par exemple avec « le pou » ;« N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine je voudrais qu'il t'en fît d'avantage. » ce qui montre une forte misanthropie du poète, ce qui a pu choquer.
59. Le 27 septembre 2016, 10:28 par margot et blandine

Le corpus comporte quatre textes: "Le pou" (2), "J'aime l'araignée"(1), "Le crapaud"(3) et "Le peigne"(4) tous quatre écrits à la fin du XIXème siècle. Ils appartiennent tous à un recueil de poèmes. Par ailleurs, on peut noter que trois de ces textes ont pour titre un animal détesté : « Le pou », « J’aime l’araignée » et « Le crapaud ». En quoi ces textes sont-ils provocateurs ?

 Premièrement, on peut constater que les auteurs de ces quatre textes font l’éloge d’éléments détestés ou peu estimés, ce qui peut provoquer le dégoût chez certains lecteurs. En effet, dans les poèmes « Le pou », « J’aime l’araignée » et « Le peigne » on note que les poètes dévalorisent la race humaine et son idéologie. En effet, on peut relever dans le texte 1 (j’aime l’araignée) que l’Homme va à l’encontre des idées humaines, « j’aime l’araignée et j’aime l’ortie, parce qu’on les hait » il s’oppose aux idées communes, on a donc une nouvelle perception des animaux mal-aimés. Ensuite dans le poème « Le pou » l’auteur écrit « je suis déjà content de la quantité de mal qu’il te fait », là encore ,le poète met en valeur le pou ce qui va contre les idées de la société puisque c’est un animal dont on doit se « séparer ». Quant au peigne, lui seul est considéré dans le texte avec « Lui le peigne est un grand seigneur ».    
  De plus, on constate que dans les poèmes « Le crapaud » et « Le peigne », que l’auteur se dévalorise lui-même. Par exemple, dans le texte (4), le poète se soumet au peigne qui n’est qu’un objet, donc il se rabaisse face au peigne ; dans le texte (3) le poète dit « Bonsoir - ce crapaud là c’est moi »  on remarque bien qu’il se compare (voire se caractérise) à un animal que notre société perçoit comme gluant, sale et laid. Nous pouvons également noter que dans ces deux textes du corpus, le poète se détache de l’humanité

Enfin, les structures inhabituelles des textes (2), (3), (4) peuvent heurter le lecteur du XIXème siècle. Pour commencer, le deuxième poème est en prose, un genre littéraire non structuré où il n’y a ni rimes ni strophes. De plus, le poème « Le crapaud » est un sonnet « inversé » puisqu’il contient deux tercets et deux quatrains, on retrouve aussi une ponctuation très prononcée, surtout dans le dernier quatrain où l’on constate une ligne composée de points afin de séparer les deux derniers vers. Enfin, le poème « Le peigne » est structuré de façon à ce que les vers et strophes forment les pics du fameux peigne. Aussi, dans ce poème, on relève un vocabulaire familier tel que « il se fiche ».
Pour conclure, nous retiendrons que ces quatre poèmes peuvent choquer dû au fait de la perception, en général, différente de celle que la société nous inflige. Cela peut alors nous faire réfléchir à notre point de vue
qui est anticonformiste.

60. Le 28 septembre 2016, 12:32 par léo

Ce corpus comporte quatre poèmes datant chacun de la deuxième moitié du XIXè siècle. Ces différents textes mettent en scène soit un animal, ou un objet qui vont souvent etre confronté face à une image dégradée de l'homme. Les quatre textes intitulé « J'aime l'araignée » de Victor Hugo, « Le pou » de Lautréamont, « Le crapaud » de T. Corbière ainsi que « Le peigne » de G. Nouveau.
L'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation, mais en quoi ces quatre textes sont-ils provocateur ?
D'emblée, nous pouvons remarquer la particularité de chacun des titres des textes, en effet retrouve des animaux ou des objets peu apprécié par le public voir négligé, ayant a l'encontre de l'opinion publique. Les auteurs éprouvent un sentiment d'amitié voir d'amour pour ces animaux ou objet, méprisé par la plupart mais aussi un certain sentiment de haine envers les personnes n'appréciant pas ces choses :  « plaignez la laideur, plaignez la piqure, Oh, plaignez le mal », « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage ». L'auteur utilise egalement des comparaisons assez originale pour décrire « l'ortie est une couleuvre », « rossignol de la boue » qui donne un aspect assez péjoratif a ces betes. Ensuite malgré la taille de « liliputien » du pou, l'auteur a voulu personnifié le pou en lui donnant un aspect de grandeur, « si leur machoire était conforme à la mesure de leurs vœux infinis » mais aussi en le mettant en confrontation avec un cachalot « il serait dévoré en un clin d'oeil ». De meme, on retrouve cette glorification du peigne comparé a un « seigneur », on a l'impression que le peigne représente un objet luxueux contrairement a l'opinion publique,
Pour conclure, nous retiendrons que ces 4 poèmes pas si différent les uns les autres expriment chacun une opinion ayant a l'inverse des convictions de la société, tout en ayant un aspect provocateur envers la race humaine voir meme en la mettant a égal avec ces objets ou animaux ou encore pire ! En la dénigrant.

61. Le 28 septembre 2016, 12:33 par Soukaina et Sophie

Ce corpus comporte 4 poèmes écrits au 19 ème siècle. sont tous des poèmes jugés provocateurs.En quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?

Ce corpus est composée de quatre textes,qui aux premiers abords semblent différents par leur sujet et leur forme mais ont en réalité un thème commun:celui de la provocation de la société. Les textes "J'aime l'araignée" de Victor Hugo(1856),« Le Pou », écrit par Lautréamont en 1869,"Le Crapaud" écrit par Tristan Corbière (1873) et "Le peigne" par Germain Nouveau en 1887 ont tous été jugés provocateurs par des éléments parfois subtils.Nous pouvons donc se demander en quoi sont-ils provocateurs

Tout d'abord nous pouvons remarqué que le texte deux et trois dégradent la race humaine. Pour commencer, nous pouvons voir dans le texte deux que le poète se montre mesquin et provoque le lecteur avec « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. ». Dans le texte trois, le poète se compare à un crapaud et se dévalorise donc avec des mots tel que « boue » et « Horreur !! ».
Le lecteur peut se sentir offusqué d'être comparer à un crapaud et d'être dominé par un être inférieur.Dans les poèmes, le lecteur paraît faible face à une espèce inférieur et mal aimé. Ainsi dans ces deux textes la race humaine est dégradée que ce soit en étant dévalorisé ou provoquer.

Ensuite, on remarque dans les texte un et quatre que les poètes se dressent contre l'opinion publique. Victor Hugo va à l'encontre de l'opinion publique en prônant des espèces connotaient négativement «  J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, ». De plus l'auteur provoque d'autant plus les lecteurs en rajoutant « Parce qu'on les hait ». Il se montre abusif en rajoutant ce vers. Il se doute que l'opinion publique n'aime pas les araignées et les orties mais il en rajoutent pour les provoquer encore plus. Alors que Victor Hugo aime les parias, Germain Nouveau, lui, prône le peigne. Il le met sur un piédestal «Mais le peigne est un grand seigneur ». Il le défend « Quoi ? l'on ose dire à voix haute ». Il dénonce même la race humaine d'être coupable de blesser sa royauté : « À qui la faute ? À son auteur ? ».

Pour finir, on ne peut pas passer outre le fait que la forme des poèmes est non commune, ce qui brise les règles de la tradition poétique. Les auteurs Lautréamont, Tristan Corbière et Germain Nouveau défit les lois de la poésie. Pour commencer, le poème « Le Pou » n'est pas écrit en vers mais en prose, c'est un paragraphe où l'on ne peut pas identifier directement les rimes. Quand à « Le Crapaud », ce texte est écrit en rime certes mais il contient énormément de ponctuation « Un chant dans une nuit sans air... », « – Horreur !! - »,
« Non : il s'en va, froid, sous sa pierre. ;......................................................... ». Nous avons l'impression que le poète oublie le fait qu'il écrit un poème et qu'il doit respecter certaine règles. De plus, le poète à certainement fait exprès de changer la forme du sonnet qui est fait de deux quatrains et de deux tercé en les inversant. Enfin, dans le poème « Le Peigne », Germain Nouveau à subtilement mis forme son poème en forme de peigne.
« La serviette est une servante,
Le savon est un serviteur,
Et l'éponge est une savante ;
Mais le peigne est un grand seigneur.

Oui, c'est un grand seigneur, Madame,
Des plus nobles par la hauteur
Et par la propreté de l'âme.
Oui, le peigne est un grand seigneur ! »

Pour conclure, au terme de cet étude, nous avons clairement mis en évidence la provocation présente dans ces quatre textes. Que ce soit en dégradant la race humaine, en défiant les traditions poétiques ou même en s'opposant à l'opinion publique. Ces quatre cherchent à remettre en cause les techniques d'écriture de la poésie de leur temps.

62. Le 28 septembre 2016, 12:35 par MANON ET TANIA

Ce corpus comporte quatre textes. Parmi eux trois ont un thème commun : des animaux détestés par le lecteur. « J'aime l'araignée » de V.Hugo , « Le pou » de Lautréamont et « Le crapaud » de T.Corbière. Et le dernier texte « Le peigne » de G.Nouveau. Ce sont des textes fin XIXème siècle.
L'enjeu principal est de démontrer en quoi ces textes sont provocateurs.

Tout d'abord, nous voyons que le poète fait l'éloge d'éléments supposés être détestés par l'humain.
Il prend le contre-pied de la société pour provoquer. Dans le premier texte Hugo fait l'éloge de l'araignée et de l'ortie dès le premier vers avec « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie ». Dans le deuxième texte le poète parle du « Pou » et prend parti pour ce dernier « Malheur au cachalot qui se battrait contre un pou ». Et dans le troisième l'auteur met en avant le crapaud.

Puis on retrouve dans chacun des textes la présence de provocation sous forme d'une image dégradée des humains. Dans le premier texte l'auteur nous montre que il aime l'araignée et l'ortie parce que la société ne les aime pas , ou en a une mauvaise image « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie parce qu'on les hait » . Le second texte quant à lui nous fait part du désir du poète : il souhaite que le pou fasse d'avantage de mal à l'être humain «Ô race humaine, seulement je voudrais qu'il t'en fit d'avantage ». Dans le troisième texte au dernier vers « Bonsoir-ce crapaud-là c'est moi », l'auteur compare clairement l'humain au crapaud , il veut montrer que le crapaud vu comme un animal hideux et repoussant se rapproche beaucoup de l'homme et que la race humaine n'est pas si parfaite qu l'on veut bien le penser.

Nous pouvons également constater que ces textes sont provocateurs par leur forme et leur vocabulaire. Dans le texte 2 comme dans les textes 3 et 4 la forme choque, provoque et étonne le lecteur avec pour « Le pou » une présentation qui s'éloigne de la poésie traditionnelle : il est en prose. Le « Crapaud » présente beaucoup de ponctuation, qui perturbe le lecteur dans sa lecture. De plus l'auteur casse les codes de la poésie en inversant les règles du sonnet, il commence par les deux tercets puis fini par les quatrins. Il ajoute à cette forme provocatrice, un vocabulaire provocateur avec « horreur » présent plusieurs fois. Et dans « Le peigne » , la forme du poème s'apparente à un peigne. De plus nous avons une répétition à la fin de chaque strophe avec « le peigne est un grand seigneur », qui peut énerver le lecteur.

Pour conclure on peut dire que c'est quatre poèmes sont tous provocateurs, soit par leur titre et l'éloge faite aux éléments détestés par la plupart des gens soit par leur forme un détail très prenant qui prête à surprendre le lecteur. Ils sont aussi provocateurs car les auteurs ont choisi de dénigrer volontairement la société dans laquelle ils vivent. Au terme de cette analyse il est possible de rapprocher ces textes avec l'idée de censure.

63. Le 28 septembre 2016, 12:35 par coline et lucie

Ce corpus comporte quatre poèmes datant de la seconde moitié du XIXème siècle : « J'aime l'araignée » de Victor Hugo, « Le Pou » de Lautréamont, « Le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le Peigne» de Germain Nouveau. Ces quatre textes, bien que différents par leur contenu et leur forme, ont un thème commun : la provocation. D'ailleurs, trois d'entre eux ont un titre d'animal connoté négativement. Nous allons nous demander en quoi ces textes sont provocateurs.
En premier lieu, on peut remarquer que dans les textes 1, 2, 3 et 4 les poètes présentent une image dégradée des humains. En effet, dans le second poème, l'auteur maudit les humains de façon directe dans les dernières lignes avec « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage ». Ensuite, dans le troisième texte, contrairement au texte précédent le poète ne dégrade pas directement les hommes mais plus lui-même en se comparant à un crapaud. On le constate avec le dernier vers : « Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi. ». Enfin, dans le quatrième texte, l'auteur joue en quelque sorte sur les nerfs du lecteur et peut le lasser avec la répétition à la fin de chaque strophe : « Le peigne est un grand seigneur » Cependant, le texte 1 n'est pas provocateur à proprement parler, il veut seulement faire réagir le lecteur. Il prend le contre pied de l'opinion commune.
En second lieu, ces textes sont aussi provocateurs par leur forme. En effet, dans le texte 2, on observe que c'est un poème en prose et non en vers. Ensuite, dans le texte 3, la forme n'est pas conventionnelle, au lieu d'écrire un sonnet classique, le poète à inversé l'ordre des strophes. Enfin, le texte 4 peut paraître provocateur de par sa forme au sens propre du terme. Il est vrai que si l'on regarde le poème dans l'ensemble, on remarque qu'il s'apparente à un peigne.
En définitive, les textes étudiés sont plus ou moins provocateurs, que ce soit par leur forme ou leur contenu.

64. Le 28 septembre 2016, 12:35 par Mériam Anaïs

Question de corpus

Ce corpus comporte quatre textes «J'aime l’araignée» de Victor Hugo, «Le pou» de Lautéamont, «Le crapaud» de Tristan Corbière et «Le peigne» de Germain Nouveau, bien que différents par leur forme et leur sujet, ils ont un thème commun : leur caractère provocateur. D'ailleurs, trois d'entre eux ont un titre lié aux animaux «J'aime l’araignée», «Le pou» et «Le crapaud». On remarque aussi qu'il s'agit de quatre poèmes. L'enjeu principal de ces textes réside dans la forme et le langage utilisé qui vise à provoquer le lecteur.
D'emblée, nous pouvons remarquer que trois des ces textes portent un titre lié à un animal à connotation négative et qui généralement inspirent le dégoût. Nous pouvons constater que dans les textes deux et trois nous avons une image d'infériorité humaine par exemple dans le texte deux l'auteur nous dit «N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage.» on vois que l'auteur s'exclue lui même de la race humaine, il éprouve une certaine supériorité car il l'a maudit et prend plaisir à la voir souffrir et déplore même le fait de ne pas pouvoir en faire d'avantage. Le caractère provocateur ici réside dans le fait que l'auteur se sente supérieur à nous et nous considère comme des êtres inférieurs et peu important. On retrouve cette image d’infériorité humaine dans le texte trois car l'auteur dit «Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi.», il se considère lui même comme un animal et se considère donc comme un être inférieur et repoussant.
Nous remarquons que dans les textes deux, trois et quatre que ceux-ci ont une forme et un vocabulaire provocateur. Pour commencer, le texte deux «Le Pou» n'est pas sous forme de vers il a été écrit comme un texte banal, le vocabulaire est plutôt moqueur et négatif comme «lilliputien», «pourquoi ils ne dévorent pas les os de votre tête, et qu'ils se contentent d'extraire, avec leur pompe, la quintessence de votre sang», «C'en est fait de vos doigts. Ils craqueront comme s'ils étaient à la torture». Pour le texte trois «Le Crapaud» on peut remarquer que la forme est originale car il est sous forme de sonnet inversé, il commence par deux tercés et fini par deux quatrains, aussi la ponctuation est assez déstructurée, le vocabulaire est péjoratif car il mêle un être majestueux à une situation dégradante «Rossignol de la boue...» aussi le terme «Horreur» revient très souvent. Pour finir le texte quatre «Le peigne» la forme est originale par le fait que le poème ressemble lui même à un peigne, le vocabulaire est plutôt basé sur la soumission d'un homme à son peigne qu'il considère comme «un grand seigneur».
Pour conclure nous pouvons souligner que le principal point commun entre ces quatre textes serait la provocation, quelle soit dans leur forme ou leur vocabulaire, quelle soit humaine ou animal la provocation est omniprésente. Il est possible, à l'issue de cette analyse de dire que les poètes prennent la défense d'êtres mal aimés et considérés comme inférieurs en se mettant à leur place et en défendant leur cause. Aussi on retrouve toujours ce caractère de supériorité et d’infériorité qui caractérise soit le poète soit l'objet ou l'être mal aimé.

65. Le 28 septembre 2016, 12:35 par Emma et Capucine

Ce corpus comporte quatre poèmes de la fin du XIXe caractérisés par leur provocation évidente. Ainsi, dès la lecture des titres de "J'aime l'araignée" de Victor Hugo, "Le pou" de Lautréamont, "Le crapaud" de Tristan Corbière et "Le peigne" de Germain Nouveau, nous pouvons remarquer que ces textes mettent en scène des animaux ou des objets généralement méprisés et insignifiants. L'enjeu principal de ces textes réside dans l'aspect provocateur désiré par les auteurs.

En premier lieu, nous constatons une image extrêmement dégradée de la race humaine. Tel est le cas dans le poème de Lautréamont où l'auteur utilise l'humour noir pour se délecter de la cruauté que le pou peut causer ; « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage ». Le pou devient alors un animal diabolique et le poète maudit les humains. S'ajoute à cela la soumission et l’idolâtrie d'un homme pour un simple peigne dans le poème Germain Nouveau. Le lecteur éprouve un sentiment d’infériorité avec la répétition de l'expression « le peigne est un grand seigneur ». Il écrit avec une emphase ridicule. Victor Hugo adopte un style direct qui s'adresse directement au lecteur et aspire à l'amour et à la compassion avec des vers tels que « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, / Parce qu'on les hait ; » ou « Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, / Oh ! plaignez le mal ! ». Il considère que tous les êtres, qu'ils soient laids ou repoussants, ne doivent pas être rejetés par les humains, ce qui place le lecteur en tant que coupable.

D'autre part, les poètes ont chacun adopté une forme particulière et originale. « J'aime l'araignée » se construit sur un rythme bancal (décasyllabes et pentasyllabes alternés) qui peut symboliser l'imperfection de la création. « Le pou », quant à lui, est un texte en prose. En outre, pour « Le peigne », Germain Nouveau choisit d'écrire long et organisé de telle sorte que chaque strophe représente une « dent » de peigne. Volontairement, il cherche à provoquer un ennui chez le lecteur pour rappeler la banalité du thème choisi. En revanche, « Le crapaud » est provocateur de par sa forme de sonnet inversé, sa ponctuation abondante et la répétition de courtes phrases ; ce fait est bien illustré par « – Horreur !! – Horreur pourquoi ? ». Tristan Corbière va à l'encontre des règles de la poésie classique pour aborder un sujet futile.

Au terme de cette analyse, il apparaît clairement que chaque poète adopte des techniques diverses et uniques pour exprimer leur esprit critique. Néanmoins, on peut souligner qu'ils construisent leurs œuvres sur des formes originales. Le vocabulaire employé ainsi que le ton adopté attaquent et rabaissent la race humaine. Pour clore cette étude, nous pouvons donc nous interroger sur la nature des motivations qui ont poussé ces poètes à aller à l'encontre de l'opinion publique et des normes poétiques de l’époque. Est-ce seulement une volonté de créer une polémique ou un réel désir de défendre une cause personnelle ?

66. Le 28 septembre 2016, 12:35 par ludivine et rema

« J'aime l'araignée », Victor Hugo ;« Le Pou », Lautréamont ;« Le Crapaud », Tristan Corbière ;« Le Peigne », Germain Nouveau, sont tout les quatre des poèmes de la fin du XIXe siècle. Ces quatre poèmes ont tous une structure et des idée rapportées différente. Les titres de chaque textes évoquent un animal « repoussant » serait-il une manière de provoquer le lecteur ? En quoi ces poèmes sont-il provocateurs ?

Tout d'abord on remarque que dans ce corpus de texte, nous avons des poèmes plus ou moins provocateurs qui nous renvoient une image dégradé de la race humaine. Le poème « Le pou », nous confirme cette affirmation par un passage qui renvoi une image malsaine de l'Homme, qui de par ces propos, souhaite la souffrance de l’espèce humaine « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. ... » ici, L'autréamont évoque des termes qui connotent fortement la cruauté comme le mot « mal » qui dans le contexte de la phrase est perçu comme un mot sadique. Il se place comme un être supérieur, qui n'appartient pas a la race humaine « ô race humaine ». Par le biais du pou il fait part de son dégoût envers la race humaine. A l'instar du texte, le poème « Le crapaud » les idées sont rapporté par la même image d'un animal répugnant mais les paroles divergent. De plus, avec la ponctuation « agressive » et « insistante » du poème, le poète nous fait par de sa réel répulsion. Il exerce un jeu de ponctuation originale pour son temps.
« Rossignol de la boue... – Horreur ! - » Ici, les points de suspensions, les tirets et les points d'exclamations, nous égarent de la structure classique d'un poème, cet effet de concentration de ponctuation ne nous facilite pas la lecture, elle en deviendrai même gênante. Une autre forme d'attaque envers l'homme dans le texte de Victor Hugo «  j'aime l'araignée », il compare l’araignée a un être chétive, tel un « gueux », un pauvres, mépriser, rabaisser et exclus de la société. Il dénigre complètement l’être dont il parle et le dévalorise. Le poème le « Le peigne » renvoi une forme de provocation différentes mais a la fois très proche. La structure poétique, est en totale relation avec l'explicité du poeme en lui meme. Les vers sont disposés sous forme de peigne avec des octosyllabes, répartis dans un ordre régulier. Il est provocateur de part sa mise en valeurs constantes, le Peigne est omnipresnet et ne parle que de lui meme, il place son auteur dans une situation d,'inferiorité et d,'admiration profonde, on peut remarquer dans certains vers qu'il utilise comme servente, la « serviette »

67. Le 28 septembre 2016, 12:36 par Pierre et André

Ce corpus comporte 4 poèmes, tous écrit à la fin du XIXème siècle. Ces textes présentent, dès leur titre, des points communs, comme « J'aime l'Araignée » de Victor Hugo, « le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le Pou » de Lautréamont ; en effet, ces trois textes comportent dans leur titre un animal généralement connoté négativement. Le dernier texte étudié est « Le Peigne » de Germain Nouveau. Ces quatre textes sont considérés comme provocateurs. Mais alors, pourquoi sont-ils perçus comme tel ?
En premier lieu, on remarque que les textes de Lautréamont et de Corbière présentent une image dégradée des humains. En effet, dans « Le Pou », nous pouvons relever la critique de l'auteur envers l'humanité à travers plusieurs lignes comme par exemple avec « je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, , je voudrais qu'il t'en fit davantage » (l. 18). Cette critique démontre la haine du poète envers la race humaine. De la même manière, dans « Le Crapaud », l'auteur exprime son dégoût d'une manière quelque peu différente ; en effet, Corbière est victime du jugement des autres en s'identifiant au crapaud, à travers le dernier vers « Bonsoir- ce crapaud-là c'est moi » (v. 14). Le poète déplore le jugement hâtif de son amie qui est basé sur l'apparence répugnante de l'animal. Contrairement à Lautréamont, Corbière utilise ici sa différence comme une fierté et l'affiche sans complexe.
Ensuite, nous pouvons trouver une structure et un vocabulaire assez provocateur dans ces 4 poèmes. Premièrement, nous relevons une forme plutôt particulière dans ces textes. Tout d'abord, le deuxième texte opte pour un format d'écriture en prose. Corbière, écrit quant à lui sans revenir à la ligne lors des dialogues et ponctue son texte de manière insistante voir étouffante par son omniprésence. D'autre part, Germain Nouveau a choisi un format plus long, tout en écrivant son poème dans une forme rappelant la silhouette d'un peigne. Il n'y a que Victor Hugo qui écrit de manière traditionnelle.
Nous remarquons également qu'à plusieurs reprises les auteurs interpellent directement le lecteur grâce à des exclamations ou des interrogations. Nous pouvons le voir grâce par exemple à « O sort ! Fatal nœuds ! » dans « J'aime l'araignée », « -Horreur !- » dans « Le Crapaud » ou encore « Oui, le peigne est un grand seigneur ! » dans le texte de Nouveau. Seul « Le Pou » fait exception à cette remarque.
Pour conclure, nous relevons donc plusieurs aspects par lesquels ces textes sont provocateurs, tant par leur forme que par leur contenu. Nous sommes alors en droit de nous demander si leurs auteurs ont craint la censure lors de l'écriture de leurs œuvres ?

68. Le 28 septembre 2016, 12:37 par Clement C et Antoine B-R

Ce corpus comporte quatre poèmes, parus dans la seconde moitié du XIXe siècle. "L'araignée" de Victor Hugo, "Le crapaud" de Tristan Corbière, "le Pou" de Lautréamont et "Le peigne" de Germain Nouveau présentent des animaux ou des objets et les personnifie , voire , les glorifie au détriment de l'être humain.
Nous allons essayer de comprendre en quoi personnifier des objets ou des animaux est ou était provocateur, ainsi que pourquoi ces auteurs l'on fait.
On ressent le coté critique de l'auteur envers les humains notamment dans "Le peigne", dans ce texte, le poète fais une véritable déclaration d'amour et de respect envers son peigne. Le fait est que le poète glorifie le peigne"Mais le peigne est un grand seigneur ... Oui, le peigne est un grand seigneur !" L'homme s'efface et laisse place au peigne, le peigne est comme la personne la plus importante sur terre, alors qu'il n'est qu'un objet. Le poète ira jusqu’à se soumettre à son peigne."Et je suis votre serviteur." Le peigne est personnifié et même défié(seigneur=possible référence à Dieu) au détriment de l’être humain devenue adorateur du peigne.
A l'inverse dans "le Pou", le poète n'est pas un adorateur du pou, mais il déteste l'humanité et se sert du pou comme une menace envers la race humaine. Il exalte la menace et les désir de sévices du pou, seulement freiner par sa taille"Pourquoi ils ne dévorent pas les os de votre tête,... c'est parce qu'ils n'en ont pas la force". Le pou est ici vue dans son for intérieur comme un être surpuissant assoiffer de violence et de sang."Malheur au cachalot qui se battrait contre un pou. Il serait dévoré en un clin d’œil""C'en est fait de vos doigts. Ils craqueront comme s'ils étaient à la torture" Le poète met en garde le lecteur face au pou"Si vous trouvez un pou dans votre route, passez votre chemin " Il cherche à terrifier l'humain, qu'il méprise souhaitant sa souffrance."Je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage." Le poète hais l'homme et "le Pou" est comme un exutoire pour son mépris.

69. Le 28 septembre 2016, 18:20 par mme baudry

68: attention à na pas perdre la question de vue et de faire un commentaire de chaque texte. Il faut comparer les textes entre eux.
67: contresens sur le texte du pou qui s'adresse directement au lecteur. Attention à ramener les remarques à la question posée.
66: de grandes incohérences au niveau de l'expression. de plus, la méthode n'est pas acquise. On ne demande pas d'étudier les poèmes les uns après les autres.
65: très bien.
64: bien. Cependant, manque d'ouverture finale. Le dernier paragraphe du développement n'est pas directement mis en lien avec la question.
63: bien. Manque d'ouverture finale, c'est dommage.
62: bien. cependant, contresens sur le texte de Corbière qui n'accuse pas vraiment la société. Il faut expliquer cette idée de censure.
61: contresens sur le texte de Corbière. Trop de citations et manque d'ouverture. Cependant, un bon niveau de réflexion global.
60: problème de méthode malgré de bonnes remarques: les auteurs et les textes sont différents! or, on croit en te lisant que ce sont les mêmes textes. De plus, trop de fautes de construction: copie à relire.

70. Le 28 septembre 2016, 22:25 par mme baudry

59: bon niveau de réflexion. Évitez les parenthèses. Ouverture en conclusion peu claire.
58: bon début mais inabouti. Attention à la présentation.
57: bien mais inachevé. Point de vue du lecteur bien adopté.
56: phrases trop longues: un peu confus au niveau de la formulation. Écrit inabouti.
55: un début confus: attention à la clarté de l'expression écrite. Mais, par la suite, une étude bien approfondie. Ne pas utiliser les chiffres romains pour désigner les textes. Insister davantage sur la comparaison entre les différents textes.
54: bonne insertion des citations, ce qui donne de l'élégance au texte. Attention cependant aux fautes. Écrit inabouti.
53: bien. Exercice compris.
52: pas de citation dans la conclusion. Attention à la rédaction. Parfois, des phrases incomplètes ou incohérentes.
51: un effort pour respecter la méthode mais un manque de cohérence d'ensemble et des analyses un peu superficielles. Attention aux connecteurs logiques (à utiliser plus souvent!).
50: bien. Attention à la rédaction tout de même. Le lien avec la censure est à expliciter davantage.
49: bien. Cependant, l'analyse du "crapaud" est assez confuse. assez bonne conclusion.
48: bien, exercice compris.

71. Le 30 septembre 2016, 10:21 par Colleen et Jordan

Ce corpus comporte quatre textes datant du XIXe siècle, nous allons ici définir l’importance de la provocation dans ces différents textes. D’ailleurs, trois d’entre eux ont un titre qui se ressemblent « Le Pou » de Lautréamont, « le crapaud » de Tristan Corbière, « J'aime l'araignée » de Victor Hugo et le dernier se démarque du corpus « Le Peigne » de Germain Nouveau. Ce dernier se différencie des autres textes car dans son titre il ne parle pas d'animaux.

D'emblée, nous pouvons constater que ces textes font l'éloge d'éléments détestés , comme dans les textes deux et trois. L'auteur se place inférieur à l 'animal qu'il décrit,l'auteur se considère différemment de l'homme comme notamment dans Le crapaud « Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi. ». En effet, dans ce poème le poète ce compare a un crapaud il se considère donc différemment de l'homme et se compare a un animal. Dans le Texte deux Le Pou, « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine », l'auteur fait preuve de méchanceté envers la race humaine. Donc la provocation présente, dans les textes deux et trois,nous prouve que les auteurs ne se considère pas comme humains mais comme des animaux détestés mais qu'ils « admirent » et éprouvent de la méchanceté envers la société.

Ensuite, nous pouvons également constater que la forme des poèmes est inhabituelle. En effet, le texte deux est en prose, il est composé « d'un seul bloc ». On ne peut donc pas distinguer clairement les rimes et les vers de la poésie classique. Le texte trois, lui, a un aspect classique mais est spécifique en son genre. Il est composé de deux tercets puis de deux quatrains. On peut donc en conclure que ce sonnet est écrit à « l'envers ». On peut aussi remarquer la présence de nombreuses marques de ponctuation comme par exemple : « Rossignol de la boue... – Horreur ! - ». D'autre part, le texte quatre nous pouvons remarquer que la structure du poème peut faire penser à un peigne. Pour conclure, ces trois textes nous montre encore une fois la provocation dont les auteurs nous font part en ne respectant aucun « code » de la poésie classique.

Pour terminer, nous retiendrons que les auteurs sont provocateurs d'une part parce qu'ils ne se considère pas comme des humains mais comme des animaux, ils ressentent aussi de la méchanceté envers la société française et d'autre part, en ne respectant pas les règles de la poésie du XIXe siècle. En parallèle à cela nous pouvons donc comprendre et expliquer la censure de ces textes. Nous pouvons donc nous demander si c'est une rébellion envers la poésie et la société française.

72. Le 30 septembre 2016, 10:22 par Kévin et Simon

Ce corpus comporte quatre textes poétiques datant du milieu du 19eme siècles. On peut remarquer que les textes sont rangés dans un ordre croissant par rapport à leur dates. Trois d'entre parle d'un animal détesté. En effet, le premier texte fait par Victor Hugo parle d'une araignée tandis que les suivants écrits par Lautréamont et Tristan Corbière évoque le pou pour ce premier et le crapaud pour ce second. Le dernier quant à lui écrit par Germain Nouveau parle d'un peigne. Mais en quoi ces textes ont ils un sens provocateur pour le lecteur?

  Pour commencer, l'auteur se considère différemment de l'Homme dans les textes 2 et 3. En effet, v 16: «Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi»,l'auteur se compare au crapaud pour essayer de donné une allure pathétique à celui-ci vu que ce crapaud a été critiqué pendant tout le texte le rendant inférieur à l'Homme. Cependant, le texte 2 représente  tout le contraire du crapaud. Le pou est mis en valeur et surestimé, celui-ci est vu comme supérieur à l'Homme par l'auteur. Il dit même que l'Homme devrait se méfier du pou car il pourrait détruire l'humanité ou détruire quelque chose de plus fort physiquement «Malheur au cachalot qui se battrait contre un pou. Il serait dévoré en un clin d’œil malgré sa taille» Ceci peut aussi faire référence au combat de David contre Goliath.
 
  Ensuite, les auteurs des textes 1,2 et 4 cherchent à valoriser l'élément au centre de leurs textes rendant ces textes provocateurs. Pour le premier texte, Victor Hugo cherche à nous donner une image plus méliorative de l'araignée. En effet, celui-ci place souvent le verbe aimer dans son poème comme le prouve le titre «  J'aime l'araignée ».  On peut voir une opposition du texte à l'opinion publique avec le champ lexical de la pauvreté « gueux », « victime », « pauvre » … Cette opposition sert à changer le point de vue du lecteur vis à vis de l'araignée rendant ce texte provocateur. Il est tout le contraire du texte 4, qui met le peigne en avant dès le début. Le texte de Germain Nouveau cherche à donner une allure noble au peigne en créant une répétition inhabituelle. Le texte compare le peigne à la noblesse pouvant irriter les lecteurs riches pouvant ce sentir rabaissés. Ce n'est néanmoins beaucoup moins agressif que le texte 2 avec un pou surpuissant, omniprésent et dangereux pour l'Homme. Le texte 3 est assez différent puisqu'il valorise et dévalorise le crapaud. Il est comparé à un rossignol qui désigne la pureté mais couvert de boue le rabaissant.
  Pour conclure, au terme de cette analyse, nous avons remarqué que ces 4 textes ont un point commun, la provocation mais que chacun d'entre eux l'expriment différemment. Les textes 1,2 et 4 mettent en valeur leur élément principal alors que le texte 3 ne valorise pas toujours le crapaud, le rabaissant même plus bas que ce qu'il est.
73. Le 30 septembre 2016, 10:24 par Romain

Ce corpus comporte quatre textes écrits au XIX ème siècle. Ce sont les oeuvres "J'aime l'araignée" de Victor Hugo(1856),« Le Pou » écrit par Lautréamont en (1869),"Le Crapaud" écrit par Tristan Corbière(1873) ,et "Le peigne" par Germain Nouveau en (1887).En quoi ces poèmes sont-il provocateurs ?

     Pour commencer, on peut voir que ces quatre textes font l'éloge d'élements detestés comme le pou , le crapaud mais aussi l'araignée véritablement detestés par tous le monde « j'aime l'araignée et j'aime l'ortie, parce qu'on les hait» v1 mais aussi,«L'éléphant se laisse caresser. Le pou, non. Je ne vous conseille pas de tenter cet essai périlleux», Il y'a une certaine incompréhension mais aussi un aspect contradictoire car l'auteur aime les araignées alors que tous le monde les déteste ainsi on peut voir une certaine provocation car l'auteur incite le lecteur à caresser le pou.

D'autre part , le texte B met aussi en valeur le pou pourtant dénigrée par autrui et en vient même a menacer le lecteur a la fin de ce poème « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage » le pou voudrait que la race humaine souffre plus .
De plus , nous pouvons remarquer que l'auteur veut choquer en s'opposant aux idées communes notament au texte D «Le peigne est grand seigneur », ici nous assistons a la personification du peigne en le rendant plus important que l'humain et un sentiment de soumission qui impregne le texte en le rendant ainsi provocateur. Dans le texte C , nous assistons à un dénigrement du crapaud le rendant ainsi detesté au yeux de tous le monde notament avec la citation « Rossignol de la boue » qui désigne un oxymore puis l'horeur que les personnes éprouvent a son égard.
Ainsi , dans les texte A nous pouvons voir la hantise de toutes les personnes «  l'arraignée » qui est décrite dans le texte avec pleine de dégouts

74. Le 30 septembre 2016, 10:25 par Andrélien

Le corpus comporte quatre textes parut fin XIXe siècle. Ces textes qui paraissent si différents ont pourtant tous un thème commun: Ces animaux mal vus par la race humaine excepté le peigne qui lui est un objet banale que l'on utilise au quotidien . Ces textes poétiques ont pour titre : »j'aime l'araignée », »le pou » , «  le crapaud « ; Ils sont extraits de recueils ,l'enjeu principal de ces textes réside dans la provocation, En quoi ces textes sont-ils provocateurs ?

Pour commencer, ces textes font éloge d’éléments souvent détesté par le plus grand nombre . En effet, nous constatons que les auteurs se sentent différent des hommes en valorisant le pou, le peigne , l'araignée et le crapaud. On perçoit une ressemblance entre le texte 2 et 3 .Dans le texte 2, »je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine « (vers 20- 21) Dans ce vers nous constatons que l'auteur de sent différent des humains, de plus il prend parti du pou, en nous affirmant qu'il éprouve de la satisfaction lorsque le pou nous fait du mal.Comme dans le texte 2 , l'auteur s'identifie à un crapaud « Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi. »( vers 14) Nous constatons une animalisation de l'auteur à un crapaud, c'est comme ça qu'il exprime sa différence envers les humains. En revanche, les textes 2 et 3 comportent des différences, en effet dans le texte 2 l'auteur accentue sa haine vers le lecteur comme s'il voulait se venger de quelque chose, contrairement au texte 3 l'auteur transmet un sentiment de culpabilité car l'homme répugne le crapaud, il nous montre donc que ce crapaud là nous fait de la peine voir même de la pitié.

Ensuite, nous remarquons que dans les textes 1,2 et 4 les auteurs valorisent l'araignée, le pou et le peigne. Dans ces textes, en valorisant et en défendant l'araignée le pou et le peigne, les auteurs provoquent le lecteur en allant dans le sens inverse de la réflexion du lecteur. Dans le texte 1 dés le premier vers « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait «  l'auteur est contradictoire avec les humains qui eux répugnent les araignées alors que dans ce passage il démontre qu'il les aime parce qu'on les hait.

75. Le 30 septembre 2016, 10:25 par greg et julie

« J’aime l’araignée » de V.HUGO, « Le pou » de LAUTREAMONT, « Le crapaud » de T.CORBIERE et pour finir « Le peigne » de G.NOUVEAU, datant de la même période : fin XIXème siècle. Ces quatre poèmes bien que différents par leur structure poétique parle majoritairement d’animaux détestés par les hommes d’ailleurs trois d’entre eux ont un titre portant le nom d’un animal excepté « Le peigne » qui lui est un objet. L’enjeu principal de ces textes réside dans la provocation. En quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ?

Tout d’abord on remarque que l’auteur se considère différemment de l’homme comme on le voit dans le texte deux car l’auteur méprise les hommes, il est du côté du pou « O race humaine, seulement, je voudrais qu’il t’en fit d’avantage » on voit très bien ici que l’auteur provoque explicitement les hommes, il veut leur destruction en faisait passer le pou pour un animal extrêmement dangereux. En revanche dans les textes trois et quatre l’auteur se met en position d’infériorité par rapport à l’homme dans le texte trois et par rapport à l’objet dans le texte quatre se qui reste provoquant mais beaucoup moins que dans le texte deux. Dans le texte trois la provocation est sous entendue par l’auteur qui se met dans la peau du crapaud « ce crapaud-là c’est moi » l’auteur ne se considère donc pas comme un homme et se décrit de manière péjorative « poète tondu » en se dévalorisant de lui-même avec « il s’en vas froid sous sa pierre » il se fait donc passer pour la victime, un animal que personne ne considère.

Ensuite on voit que dans les textes un et quatre le poète valorise l’élément dont il parle. Dans le texte un, le tout premier mot du poème « J’aime » exprime l’affection pour l’araignée ainsi que pour l’ortie. L’auteur prend partie pour l’araignée en exagérant la façon de penser des hommes envers les araignées « Parce qu’elles sont maudites, chétives » il a donc pitié de l’araignée il l’a met alors en avant. Pour finir dans le texte quatre le poète met le peigne sur un pied d’estale en comparant le peigne à un « grand seigneur » il accentue ce vers en le repetant a chaque fin de strophe tout au long du poème. Le poète dans ce texte se met en position de soumission « je suis votre serviteur » pour accentuer l’importance qu’il donne au peigne.

Pour conclure, au terme de cette étude on voit clairement différent aspect de la provocation. On peut alors se demander si ces poèmes ont pu être censurés?

76. Le 30 septembre 2016, 10:25 par serpil et brieuc

QUESTION DE CORPUS

Le corpus comporte quatre textes ; « le pou », « J'aime l'araignée », « Le crapaud »et « le peigne ». Ce sont des textes qui datent de la fin du XIXes. Trois d’entre eux ont un titre qui se réfèrent a des animaux ( un pou, une araignée et un crapaud), quant au dernier il est différent puisque sont titre fait référence a un objet (le peigne). Ces quatre textes présente un thème commun, ce sont des textes qui provoquent le lecteur. Nous allons donc nous demander en quoi ils le sont.

Dans un premier temps, le poètes n’hésitent pas a dénigrer les animaux en faisant des comparaison péjoratives comme : « l’araignée un gueux » dans le texte A, « rossignol de la boue ,,- horreur » dans le texte C. Ensuite, ils mettent au premier plan les aspect négatifs de ces créatures qui font ressentir un sentiment de dégoût chez l'Homme contrairement au poème "le peigne" qui dans celui ci est rendu plus important que l'homme.

Dans un second temps, ce qui a pu heurter les lecteurs sont les structures inhabituelles des textes 2,3,4. Le deuxième poème est en prose qui est un genre littéraire non structuré qui ne contient ni strophes ni rimes, cela a pu être utiliser pour insister sur la longévité du pou et sa puissance dans le texte. Le texte 3 est un poème ou la ponctuation est omniprésente. l'auteur ne semble pas savoir ce qu'il veut dire. De plus ce texte est un sonnet inversé, c'est a dire qu'il est composé de 2 tercets et 2 quatrains. Le texte 4 répété a chaque fin de strophe la même phrase "le peigne, est un grand seigneur".

Pour conclure, il apparaît clairement que l'auteur cherche a dégoûter son lecteur, son but était vraiment de provoquer la population de l'époque. Tout d'abord en utilisant un vocabulaire choquant mais aussi en utilisant des procédés d'écriture peu commun. A l'issue de cette analyse nous pouvons faire un lien avec la censure au XIXe siècle.

77. Le 30 septembre 2016, 10:26 par anne divine tiouarn

Ce corpus comporte quatre poèmes écrits au XIX ème siècle. Ces quatre poèmes bien que différent par leurs présentation on un thème commun leurs titre ; "J'aime l'araignée" de Victor Hugo(1856),« Le Pou » écrit par Lautréamont en (1869),"Le Crapaud" écrit par Tristan Corbière(1873) ,et "Le peigne" par Germain Nouveau en (1887).D'ailleurs trois d'entre eux porte le nom d'un animal abhorrer mis appart «Le peigne ». En quoi ces poèmes sont-il provocateurs ?
Pour commencer le poète se considère différent de l'homme car lui il apprécie tout ces animaux haï par l'humain comme « le pou » et « le crapaud » . Dans le texte A , il est dit «  la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage » L'auteur souhaite que l'humain souffre pour qu'il se soit moqué de lui.
Ensuite , on peut voir que ces quatre textes font l'éloge d’éléments détestés comme le pou , le crapaud mais aussi l'araignée véritablement détestés par tous le monde « j'aime l'araignée et j'aime l'ortie, parce qu'on les hait» v1 mais aussi«L'éléphant se laisse caresser. Le pou, non. Je ne vous conseille pas de tenter cet essai périlleux», Il y' a une certaine incompréhension mais aussi un aspect contradictoire car l'auteur aime les araignées alors que tous le monde les déteste ainsi on peut voir une certaine provocation ou l'auteur incite le lecteur à caresser le pou.
De plus , nous pouvons remarquer que l'auteur veut choquer en s'opposant aux idées communes notamment au texte D «Le peigne est grand seigneur », ici nous assistons a la personnification du peigne en le rendant supérieur à l'humain .
D'autre part , le texte B met aussi en valeur le pou pourtant dénigrée par autrui et en vient même a menacer le lecteur a la fin de ce poème.

Pour conclure les quatre poèmes dénigre l'humain et ce moque de lui en le comparant sois a des animaux sois a des objets . En terme de cette étude il apparaît clairement que ses poèmes sont contradictoire ils mettent en avant des animaux détester . On peut a l'issue de cette analyse faire un lien avec la notion d'animalisations , les animaux et le peigne représentent des traits de personnalité des humains et en font la satire .

78. Le 30 septembre 2016, 10:27 par Yoann et Marco

Le corpus présenté ici comporte quatre textes : « J’aime l’araignée » de Victor Hugo, « Le Pou » de Lautréamont, « Le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le Peigne »  de Germain Nouveau. On peut observer que rois des quatre textes ont un titre portant le nom d’un animal peu apprécié par les personnes en général, et l’autre porte le nom d’un objet : le peigne. On peut constater que ces quatre textes sont des poèmes datant tous de la deuxième moitié du XIXeme siècle. Ici nous allons définir l’importance de l’aspect provocateur de ces textes.
 
 
Tout d’abord nous pouvons observer que dans les textes 2 et 3 les auteurs se considèrent différent de l’Homme, dans  »Le Pou » l’auteur se sent supérieur a l’Homme et souhaite que le pou fasse souffrir la race humaine comme le montre « N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage. » au lignes 9 et 10. Dans le « Le Crapaud »  l’auteur se sent inférieur a l’Homme car il se compare au crapaud comme le montre la ligne 14 avec « Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi »  et se sent a la fois rejeté par l’Homme car il est plus intelligent et incompris : « Vois-tu pas son œil de lumière... » (Ligne 12).
On constate ensuite que dans tout ces textes les auteurs valorisent l’élément dont ils parlent. Dans tout les poèmes les auteurs parlent d’un animal, objet banal que tout le monde rejette, ils leur donnent de l’importance en écrivant un poème faisant leur éloges alors qu’ils sont habituellement ignorés. En effet dans « J’aime l’araignée » l’auteur a de la pitié pour l’arachnide, il dit qu’il l’aime pour se différencier de l’Homme : « J’aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait », ce qui peut être perçu comme provocateur. Dans le poème de Lautréamont, l’auteur décrit ici le Pou comme un guerrier, plus fort qu’un Cachalot même avec sa petite taille comme le montre « Malheur au cachalot qui se battrait contre un pou. Il serait dévoré en un clin d’œil, malgré sa taille ». Dans « Le Peigne » l’auteur considère l’objet comme un Seigneur au dessus de lui « Car le peigne est un grand seigneur. Et je suis votre serviteur ». Au contraire dans le « Le Crapaud » nous pouvons observer un mélange de valorisation et de dévalorisation du poète envers l’animal. L'auteur valorise le crapaud en le disant plus intelligent que l'Homme : «  Vois-tu pas son œil de lumière.. ». Dans le « Rossignol de la boue... » Corbière fait ici une antithèse en valorisant le crapaud en le comparant au Rossignol et puis le dévalorise en rajoutant « de la boue ». Toutes ces valorisations montre donc que les auteurs considère ces objets et animaux supérieur a l'Homme, ce qui est provocateur.
Tout les poèmes mis a part celui de Victor Hugo ne respecte pas pas les codes de la poésie classique : « Le Pou » est un poème en prose. « Le crapaud » intègre beaucoup de ponctuation même dans les vers il y a des tirets. Dans « le peigne » la disposition des vers peut nous faire penser aux dents d'un peigne. C'est une provocation à la poésie classique.

Ces textes sont provocateurs car les auteurs se différencient de l'Homme, ils valorisent l’élément dont ils parlent , et critique la forme traditionnelle des poèmes.

79. Le 30 septembre 2016, 10:27 par William

Nous allons étudier un corpus qui comporte quatre poèmes datant de la seconde moitié du XIXème siècle. On y retrouve « J'aime l'araignée » de Victor Hugo, « Le pou » de Lautréamont, « Le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le peigne » de Germain Nouveau. Ce corpus nous présente donc quatre textes se démarquant habituellement de ce que l'on pourrait voir en provoquant le lecteur, déformant les formes traditionnelles d'un poème, et valorisant des éléments détestés.

Premièrement, pour les textes deux et trois, l'auteur se considère différemment de l'homme. En effet, dans le texte deux l'auteur se place du côté du pou en infériorisant les hommes qu'ils dénoncent avec haine. Cela traduit pour le poète une injustice entre le pou et l'homme « Soyez certains que, si leur mâchoire était conforme à la mesure de leurs vœux infinis, la cervelle, la rétine des yeux, la colonne vertébrale, tout votre corps y passerait » Ainsi ici on retrouve une provocation avec le paradoxe que l'humain devrait ce soucier de l'humain or c'est le contraire « ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fit davantage.» Pareillement, dans le texte trois le crapaud, le texte nous montre que l'auteur se compare différemment de l'homme. Il préfère même se rabaisser à un crapaud, animal dégoûtant comme le montre l'oxymore : « rossignol de la boue » l'auteur ne se donne pas une image très positive de lui, il se dénigre. Dans ces deux textes l'auteur se compare alors différemment de l'homme en l'infériorisant d'une part avec le pou et en le dénigrant d'une autre part avec le crapaud ce qui provoque le lecteur. C'est perturbant de voir un auteur ne pas se ranger du côté de sa propre race et l'insulter.

Deuxièmement, pour l'ensemble des textes le poète valorise l'élément dont il parle. En effet, dans le texte « J'aime l'araignée » de Victor Hugo, l'auteur met en avant l'araignée bien plus que l'homme. Cela en est même une plaidoirie pour cet animal généralement détesté par l'homme. C'est paradoxale. Il veut qu'on plaigne le mal qu'elle nous fait, il veut qu'on ne la blâme pas. En parallèle, le texte deux «Le pou » de Lautréamont met aussi en valeur son élément. L'auteur désigne le pou comme un animal bienfaisant, c'est normal si il nous fait du mal c'est pour sa survie et vu que l'homme est méchant avec cet animal incompris l'auteur veut aussi que cet animal nous fasse du mal. Dans le texte trois « Le Crapaud » c'est un mélange de valorisation et dévalorisation on y voit des éléments valorisant comme « son œil de lumière » et dévalorisant comme « Rossignol de la boue » l'auteur se rabaisse à un crapaud et le met en valeur car il compare l'homme à cet animal donc cela créer un rapprochement. C'est une animalisation de l'homme. Enfin, dans le texte quatre « Le Peigne » l'élément est complètement sous les éloges de l'auteur il fait d'un peigne un grand seigneur et l'homme son vassal. Le peigne est sublimé il faut y faire attention mais l'homme on s'en fiche. Pour conclure ces quatre poèmes sont provoquant car l'homme est mis de côté, un peu moins dans le texte trois mais de toute façon il est rabaisser à un animal dégoûtant.

Dernièrement, une critique de la forme traditionnel d'un poème est visible sur les textes deux trois et quatre. On y voit que le texte du pou est écrit en prose alors qu'un poème est censé être écrit en vers donc cela provoque le lecteur. Dans le texte trois le poème possède beaucoup trop de ponctuation avec des points d'exclamation qui rend le texte agressif et provoque le lecteur et le texte quatre provoque aussi le lecteur avec un texte qui personnalise un objet commun de l'homme et qui le fait passer pour un grand seigneur c'est très donc très perturbant pour le lecteur ce qui le provoque dans un sens.

Pour conclure, les quatre poèmes sont des poèmes très irritant pour le lecteur. Les auteurs se considère tous à leurs manières différemment de l'homme en valorisant les éléments dont ils parlent et ne respectent pas les formes traditionnelles des poèmes classiques en désobéissant aux règles strictes que comporte normalement ceux-ci. Ces poèmes sont donc très provoquant et ne donne pas envie de les relire.

80. Le 30 septembre 2016, 14:37 par Virgile et Maël

Tous les textes on été écrit vers la fin du XIXème siècle. Les titres font tous référence à des animaux ou objet mal aimé, banal de la société, ils sont provocateurs. Ce sont tous des poème qui sont tiré de recueilles. Les titres sont dérangeant : « J’aime l’araignée » ; « le peigne » ; « Le crapaud » et « Le peigne ». En quoi ces textes sont provocateurs ?

 Pour commencer, dans les textes 1, 2 et 3 les poètes valorisent des éléments méprisés. Dans le premier texte Hugo dit aimer l’araignée et l’ortie : « j’aime l’araignée et l’ortie parce qu’on les hait ». Il fais l’éloge de ces être normalement méprisé. Dans le deuxième poème l’auteur est en admiration des poux, il se range même a leur côté, il les défend : "je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage", ce vers montre que le poète est favorable aux poux, c’est donc provocateur.                                                   Ensuite, les poètes comparent les éléments à des personnes qu’il faudrait aimer. Dans le texte « j’aime l’araignée » Hugo fait ressentir de la pitié pour l’araignée alors qu’on la déteste normalement: «Parce qu'elles sont toutes deux victimes de la sombre nuit ». Dans le texte le peigne l’auteur compare le peigne a un grand seigneur : « Oui le peigne est un grand seigneur ».                                                                                         Enfin, la forme de ces textes est provocatrice. Le poème «  le crapaud «  se présente sous forme de tercet, tercet puis quatrain, quatrain, alors que dans la poésie classique le sonnet est sous formes de quatrain, quatrain, tercet, tercet on peut dire que c’est un sonnet inversé ce qui est une infraction au code du poème classique. De plus la ponctuation de ce dernier poème déstructure le poème plus quelle ne le structure : beaucoup de «  trois petit points », de « ! », de «  - « , l’avant dernier vers est juste une ligne de points. Quand au texte «  le peigne » l’auteur utilise un registre familier : « II se f...iche un peu d'être sale » cela choque le lecteur Pour le poème «  le pou » c’est de la prose, cela montre que le poète se joue des règles de la poésie. Les formes des poèmes intensifient les paroles, les idées de l’auteur pour justement être encore plus dans la provocation.
 Pour conclure ces quatre poèmes sont provocateurs dans leurs principes, dans leurs  idées, dans leurs ponctuations et dans leurs formes, c’est un non respect du poème classique.  C’est poètes sont ils les précurseur d’un nouveau genre de poème ?
81. Le 30 septembre 2016, 14:37 par Lucy Duon et Mélanie Belayachi

Ce corpus comporte quatre textes du XIX siècle, « l'araignée » de Victor Hugo tiré de « les Contemplations » , « Le Pou » de Lautréamont dans « Les Chants de Maldoror » , «  Le Crapaud » de Tristan Corbière paru dans « Les Amours » et enfin «  Le Peigne » de Germain Nouveau dans «  Valentines ». Bien que différents par leurs formes ont tous un thème commun : la provocation. Nous allons ici définir l'importance des éléments méprisés dans ces différents textes. Nous allons étudier en quoi ces textes sont provocateurs.

Tout d'abord, nous allons parler des éléments méprisés dans le texte un, deux et trois. On peut voir dans le texte un de Victor Hugo qu'il y a un passage contradictoire "J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, / Parce qu'on les hait" V1-2, ici Hugo cherche à choquer le lecteur qui normalement déteste les araignées et dans ce cas ressent de la pitié pour elles. Tout comme le texte deux de Lautréamont qui souhaite choquer le lecteur en souhaitant que le pou fasse plus de mal à l'humain "je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage" V10.
Ensuite, nous observerons les comparaisons des éléments aux personnes qu'il faudrait aimer, comme dans « L'araignée » avec "J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait" V1-2 où le poète cherche à nous faire partager son opinions d'aimer les araignées parce que justement on les déteste. Également dans le texte trois de Corbière dans « - Un crapaud ! – Pourquoi cette peur,
Près de moi, ton soldat fidèle ! » V7-8 le poète affiche la face effrayante du crapaud en essayant de nous faire oublier l'idée de peur du crapaud.
Nous pouvons constater que trois des poèmes ont une forme provocatrice. Le texte deux n'a pas de vers donc c'est un poème en prose or, nous trouvons généralement des poèmes écrit en vers ce qui fait l'originalité de ce poème. Dans le texte trois, c'est un sonnet inversé, c'est-à-dire deux tercets et deux quatrains au lieu de deux quatrains et de deux tercets. Dans le texte quatre, Germain Nouveau utilise un registre familier « Et s'il est sale, par malheur, /II se f...iche un peu d'être sale » v.21-22

Au terme de cette étude, il apparaît clairement que ces quatre textes dévalorisent un élément qui est comparé à des personnes qu'il faudrait aimer. De plus, ces quatre textes ont une forme provocatrice. Nous pourrions effectivement nous demander pourquoi cherchaient-ils à nous provoquer ?

82. Le 30 septembre 2016, 14:41 par Lou & Mathilde A

Ce corpus comprend quatre texte, tous issus du XIX siècle. Dont les titres, pour trois d'entre eux sont des animaux repoussants : «J'aime l'araignée» de Victor Hugo, «Le Pou» Lautréamont, «Le Crapaud» de Tristan Corbière. Pour «Le Peigne» de Germain Nouveau, on ne nous parle pas d'un animal, mais d'un objet dont on fait un éloge. On peut donc ce demander en quoi ces textes sont provocateurs.

Tout d'abord, on peut voir que les poètes valorisent des éléments en général méprisés, dans le texte un, «J'aime l'araignée», par exemple au vers 1 et 2 Victor Hugo écrit «J'aime l'araignée et j'aime l'ortie parce qu'on les haies» c'est un passage provocateur parce qu'il entre en contradiction avec les lecteurs, il cherche aussi à les choquer, pour qu'ils ressentent de la pitié envers des animaux que l'on méprise habituellement. Comme pour le premier, le texte deux, fait l'éloge d'un animal: le pou. Il s'en prend directement à la race humaine, en défendant cet insecte avec les vers «N'importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait, ô race humaine ; seulement, je voudrais qu'il t'en fît davantage.» c'est une citation très violente qui montre énormément de haine envers le poète. Dans le texte trois «le crapaud c'est moi» il se compare directement a un animal répugnant et renvoie une image négative.
La provocation se ressent aussi dans la forme, l’utilisation de sonnet inversé dans le texte 3 est inhabituelle et peut être dérangeante. En effet les deux premières strophes sont des tercets alors que les deux dernières sont des quatrains. De plus le registre familier est présent dans le texte de Germain Nouveau avec l'expression «se fiche» alors qu'en général les poèmes sont écrits dans un langage plutôt soutenu. Pour finir «le pou» est écrit en prose ce qui est rare dans la poésie et donc également provocateur.

Pour conclure, ce qui ressort surtout de cette étude est la volonté de choquer le lecteur et même de le provoquer pour certains textes. On peut donc se demander qu'elles ont été les motivations des auteurs mais aussi qu'elles ont été les répercutions de ses poèmes dans une époque ou les mentalités étaient assez fermées.

83. Le 30 septembre 2016, 14:43 par Mathilde.B et Camille

Ces quatre textes, bien que différents par leur forme ont un thème commun : ce sont des textes provocateurs qui appartiennent tous au XIXe siècle. D’ailleurs trois d’entre eux ont pour sujet principal les animaux : « J’aime l’araignée » de Victor Hugo, « Le pou » de Lautréamont et « Le crapaud » de Tristan Corbière. Le quatrième texte a un sujet différent des trois autres car celui-ci met en valeur est objet du quotidien : « Le peigne » de Germain Nouveau. L’enjeu principal de ces textes réside dans la présence de provocation. En quoi ces textes sont-ils provocateurs ?
Tout d’abord on remarque que les poètes mettent en valeur des animaux peu aimés dans les textes 1, 2 et 3. Victor Hugo veut choquer le lecteur en lui faisant ressentir de la pitié envers des êtres détestés, « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie, parce qu’on les hait » v.1-2, il se place du côté de ces derniers. Tandis que dans le poème de Lautréamont il y a une forte présence de méchanceté et de sadisme, le poète défend les poux et y apporte une certaine admiration comme on le remarque au vers 10 « Je suis déjà content que la quantité de mal qu’il te fait, ô race humaine ; seulement je voudrais qu’il t’en fit d’avantage ». Enfin dans le texte de Tristan Corbière, le poète donne une image négative de lui-même en se comparant à un crapaud « Bonsoir- ce crapaud-là c’est moi ». Dans le quatrième texte Germain Nouveau compare un objet sans valeur, le peigne, à une personne de la noblesse.
Nous pouvons également constater que les textes 2, 3 et 4 ont une forme provocatrice. Lautréamont à écrit un poème en prose, il n'y a pas de vers ce qui n'est pas habituel. D'autre part Corbière ne suit pas les règles de la versification, «  le crapaud » est un sonnet inversé, en effet le texte débute par deux tercets puis est suivis de deux quatrains. A travers l'expression « Il se f...iche un peu d'être sale » dans le poème de Germain Nouveau on remarque un registre plutôt familier ce qui met en valeur la provocation de ce texte.
Pour terminer, nous retiendrons que la provocation de ces poèmes est exprimée sous plusieurs formes : le registre familier, la forme du poème ou encore la valorisation d'êtres peu aimés. Il est possible à l'issue de cette analyse de penser au problème de la censure de textes provocateurs au XIXe siècle.

84. Le 30 septembre 2016, 14:45 par Thibaud et Charles

Ce corpus présente quatre textes de la fin du XIX siècles. Nous allons étudier ces poèmes "J'aime l'araignée" de Victor Hugo, "le pou" de Lautréamont, "Le crapaud" de Tristan Corbière et"le Peigne" de Germain Nouveau. Ces trois textes qui ont un thème commun « les animaux détestés » ou encore le quatrième qui nous parle d’un objet pas très important. Ces textes ont été écrits pour choquer le lecteur. En quoi ces textes sont provocateurs ?

          Tout d’abord, dans ces quatre textes les poètes valorisent les éléments détestés qui provoquent un dégoût du lecteur notamment avec « j’aime l’araignée et j’aime l’ortie parce qu’on les hait ». Ici Hugo s’oppose à l’idée général des lecteurs, tout comme Corbière dans son poème « Le Crapaud » qui éprouve un amour envers cet animal que les lecteurs n’apprécient pas forcément. Mais aussi dans «  Le Pou »  où Lautréamont éprouve un certain sadisme envers la race humaine contrairement au  pou où l’auteur lui fait un éloge.
           Ensuite, dans les trois derniers textes nous avons une forme de poème inhabituelle.

Par exemple dans le texte de Corbière nous avons une innovation avec le sonnet inversé qui envoie une mauvaise image du poète et nous démontre bien que l’auteur a voulu provoquer le lecteur. Le poème « Le Peigne » a également une forme inhabituelle avec son texte en forme de peigne et avec « Le pou » qui est un poème en prose qui est nouveau pour l’époque.

           
             Pour conclure, nous avons remarqué que leurs principaux points communs sont la provocation sous toutes les formes. Ils valorisent également les éléments détestés par les humains et utilisent des formes de poèmes originaux pour l’époque. Les auteurs on-ils fait cela pour créer un polémique ou pour défendre une cause personnelle ?
85. Le 30 septembre 2016, 14:45 par Badier Sarah et Elise Bonneau

Ce corpus comporte quatre textes qui ont été écrit au XIXe siècle. D'ailleurs, ces poèmes ont des titres négatifs car « J'aime l'araignée », « le pou » et « le crapaud » parlent d'animaux que les personnes n'affectionnent pas particulièrement. Les textes « j'aime l'araignée », « le crapaud », « le pou » et « le peigne » sont des poèmes extraits de recueil. Nous allons ici définir l'importance de la provocation dans ces différents textes. Nous allons donc nous demander en quoi ces textes sont-ils provocateurs.
D’emblée nous pouvons remarquer que les poètes Hugo, Lautréamont et Corbière valorisent un élément méprisé qui sont ici l'araignée « j'aime l'araignée et j'aime l'ortie, parce qu'on les hait », le pou « je suis déjà content de la quantité de mal qu'il te fait,ô race humaine ; seulement je voudrais qu'il t'en fit d'avantage » et le crapaud « vois-le, poète tondu, sans aile, rossignol de la boue ». Les poètes veulent choquer les lecteurs avec des idées négatives et contradictoires. Les poètes des textes 1 et 2 veulent que les lecteurs ressentent de la pitié pour les animaux qu'on déteste normalement et dans le texte 3, le poète se compare lui même à un « rossignol de la boue ». Dans les textes 1 et 4, il y a une contradiction car on veut nous faire aimer des choses que nous n'avons pas l'habitude d'aimer comme dans l'araignée avec « plaignez la laideur, plaignez le mal, Oh ! Plaignez le mal » et dans « le peigne » avec « mais le peigne est un grand seigneur » alors qu'un peigne n'a aucune valeur pour nous. Dans le texte 2, le poète fait l'éloge du pou, il nous montre son admiration envers lui en le défendant.
Ensuite, nous pouvons voir une forme de provocation dans les formes des poèmes 2, 3 et 4, c'est-à-dire, dans le texte « le pou » il n'y a pas de vers, c'est un poème en prose, le poète veut donc faire passer un message aux lecteurs dans cette forme inhabituelle, il essaye de nous choquer pour être encore plus provocateur. Dans le texte « le crapaud », ce sont des sonnets inversés, le poète commence son poème avec des tercets au lieu de commencer avec des quatrains comme dans des formes de poèmes traditionnels et dans « le peigne » c'est un registre familier avec « sale », « teigne » ou encore « crasse », et des répétitions comme « le seigneur » alors que dans un poème traditionnel, le poète utilisera un langage plutôt soutenu.

86. Le 30 septembre 2016, 14:45 par laetita et jana

Ce corpus est composé de quatre textes provocateurs de la fin XIX siècle. «  J'aime l’araignée » écrit par Victo Hugo ; « Le Pou » écrit par Lautréamont ; «  Le Crapaud » écrit par Tristan Corbière et « Le Peigne » de Germain Nouveau . Ces textes sont tous des œuvres destiné a choquer, indigner,révolter le lecteur. Le fait de mettre en avant des animaux ou des objets inintéressant font toute la complexité et l'originalité de ces textes. Dans un développement construit et argumenter nous nous efforceront de répondre à la question suivante :En quoi ces textes sont-ils provocateurs ?

Tout d’abord, dans les textes de Victor Hugo, de Lautréamont et de Tristan Corbière les auteurs font une description élogieuse d'animaux pourtant répugnant et sans intérêt. «  J'aime l'araignée et j'aime l'ortie parce qu'on les hait » texte 1 v.1-2 «  Rossignol de la boue » texte 3 v10.

Ce qui a pour but d'interloquer le lecteur, ce dernier ne comprendra pas la raison pour laquelle les auteurs font une tel comparaison.

Ensuite les poètes compare les élément a des personnes qu'il faudrait aimer « Mais le peigne est un grand seigneur » texte 4 v.4 le fait de comparer un objet aussi insignifiant que le peigne a la personne qui est censser diriger le pays est choquant.

87. Le 30 septembre 2016, 14:46 par Aurélien et Nicolas

Ce corpus comporte quatre textes, ils appartiennent tous à la fin du XIXè siècle.
Nous avons donc « J’aime les araignées » de Victor Hugo, tiré des « Contemplations » puis « Le pou » de Lautréamont, « Le Crapaud » de Tristan Corbière et « Le peigne » de Germain Nouveau. Ces quatre textes, bien que différents par leur formes ont un thème commun :
Ce sont des textes provocateurs, d’ailleurs trois d’entres eux comportent un titre avec un « animal ». On remarque aussi qu’il s’agit de 4 extraits de différents recueils de poésie. On ne nous parle pas d’animaux mais d’un objet dont on fait un éloge. Et nous verrons en quoi peut-on se demander pourquoi ces textes sont provocateurs.
Tout d’abord, il s’agit de voir que l’auteur met en avant les idées généralement méprisés, par exemple dans le texte 1, où Victor Hugo écrit : « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie, parce qu’on les hait » (v. 1-2) qui est un passage normalement contradictoire du fait qu’il dit qu’il aime les araignées et les orties alors que l’on doit plutôt ressentir de la pitié pour les êtres que l’on déteste. D’autre part, dans le texte 2 de Lautréamont, on peut constater que l’auteur met en avant le pou, en disant qu’il souhaite que les poux fassent plus de mal à la race humaine d’après cette citation : « N’importe, je suis déjà content de la quantité de mal qu’il te fait, ô race humaine ; seulement je voudrais qu’il t’en fît davantage. ». Ensuite, on remarque dans le texte 3 de Tristan Corbière que dans une citation l'auteur se compare à un animal répugnant : «  Bonsoir – ce crapaud-là c'est moi. » ce qui donne une mauvaise image du poète.
D'emblée, nous pouvons remarquer les formes provocatrices des différents textes. Dans le texte 2, on peut remarquer qu'il n'y aucun vers mais que ce poème est écrit en prose, ce qui est une provocation car l'auteur ne respecte pas les règles de versification. D'autre part, dans le texte 3, le sonnet est inversé, cela peut être choquant pour le lecteur car Tristan Corbière ne reprend les règles d'écritures du sonnet. Pour terminer, dans le texte 4 de Germain Nouveau, le registre du poème est familier d'après la citation : « Il se f...iche un peu d'être sale » car le mot « fiche » est familier donc cela peut choquer les lecteurs et n'a pas spécialement sa place dans un texte poétique.

Au terme de cette étude, il apparaît clairement que les auteurs cherchent pertinemment à choquer et provoquer les lecteurs en valorisant quelque chose qui est méprisé. On peut se demander si les auteurs veulent faire réagir les lecteurs en les provoquant à travers ces poèmes.

88. Le 01 octobre 2016, 21:42 par mme baudry

87: un manque de rigueur global (présentation, cohérence des phrases). Cependant, des efforts.
86: un devoir inabouti, c'est dommage!
85: exercice compris. Pas de conclusion. Attention à quelques maladresses de rédaction.
84: des efforts mais manque d'approfondissement. Un contresens sur le texte du "Crapaud".
83: bien. Le rapport avec la censure est à expliciter davantage.
82: bien, exercice compris.
81: des efforts mais des répétitions et un manque d'approfondissement de la réflexion.
80: quelques bonnes idées mais un problème de vocabulaire: points de suspension, etc.

89. Le 02 octobre 2016, 13:52 par mme baudry

79: de la réflexion, de l'approfondissement dans l'analyse. Attention toutefois aux maladresses d'expression (par exemple, plaidoirie au lieu de plaidoyer).
78: réflexion approfondie et convaincante dans la première partie du développement. La seconde sur la forme est plus superficielle. Pas d'ouverture en conclusion.
77: une bonne ouverture sur la satire. Cependant, pas de réflexion sur la forme et un manque de cohérence dans l'analyse.
76: tout ne semble pas tout à fait compris. L'analyse dans la premier paragraphe est assez confuse. Cependant, des efforts à poursuivre.
75: très bien. Ouverture à approfondir.
74: inabouti mais de la réflexion. Le principe de l'exercice est compris.
73: manque de cohérence d'ensemble. Il faudrait respecter un plan. Texte inabouti.
72: une réflexion très fine avec de bonnes références. cependant, pas d'analyse de la forme.
71: assez bonne conclusion et 2ème partie. En revanche, la première partie du développement manque de clarté.