La question transversale: corpus: Pierre et Jean, La princesse de Clèves et L'Etranger.

http://www.site-magister.com/sujets27.htm#ESLib

quel texte préférez-vous? pourquoi?

Commentaires

1. Le 06 octobre 2014, 08:51 par Thomas D.

Je n'aime pas trop le texte 2 car il est embarrassant, la situation est bizarre :-/
Le texte 1 ne me plait pas trop car je ne l'ai pas trop compris, l'époque est lointaine. :-|
Du coup, je préfère le texte d'Albert Camus, car c'est le plus réaliste, celui qui est plus facile à lire, on rentre plus dedans, et Meursault m'intrigue. 8-O

2. Le 06 octobre 2014, 08:52 par JulieA_1es2

Le texte que je préfère est le Texte C : Albert Camus, L'Étranger ;-) . Car je trouve qu'il sort du lot et qu'il a un côté comique car le personnage de Meursault est un personnage décalé et bizarre. Et personnellement j'aime les gens bizarres, qui ne sont pas comme tout le monde :-D . Son indifférence et les réponses sans émotions qu'il donne sont assez intéressante, elles me surprennent car j'imagine la réaction de Marie. Malgré ça je reste focalisé sur Meursault et non Marie car ce côté je m'en fiche de tout me plait. Il a l'air dans sa bulle. 8-)

3. Le 06 octobre 2014, 08:53 par Julie C

Le texte que j'ai préféré est le texte B de Guy de Maupassant car je le trouve "original". Jean avoue a Madame Rosémilly qu'il est amoureux d'elle, au début celle-ci semble étonné "Voyons, qu'est-ce qui vous prend depuis dix minutes, avez-vous perdu la tête ?"et presque énervé car Jean gâche son moment de détente "Que vous êtes malavisé de me parler de ça en ce moment ! Ne pouviez-vous attendre un autre jour et ne pas me gâter ma pêche ?" puis finit par lui dire qu'elle est d'accord, que cela ne l'a dérange pas. Jean ce retrouve alors marié en 3 minutes de conversations. Je trouve la situation étrange mais amusante! :-)

4. Le 06 octobre 2014, 08:53 par nicolas D

Le texte s'intitulant "Pierre et Jean" . En effet le fait qu'il y ait beaucoup de dialogue et donc beaucoup de ponctuation expressive rend la lecture plus rythmé et plus agréable donc le texte est plus compréhensible comme : "Oh ! montrez-moi, disait-il, montrez-moi !" :-) . De plus le dialogue nous met directement dans la peau des personnages ce qui nous met directement dans le texte :-) .

5. Le 06 octobre 2014, 08:53 par Aurélien

Je préfère le texte B de Guy de Maupassant, "Pierre et Jean" car je trouve que c'est un texte romantique comique comme " Voyons, qu'est-ce qui vous prend depuis dix minutes, avez-vous perdu la tête ? ". Cela me fait penser à Meursault et à Marie, où là c'est Marie qui demande de se marier alors que l'autre texte, c'est Jean qui demande à se marier comme si les deux textes sont inversés peut être à cause de l'époque mais normalement c'est l'homme qui doit demander en mariage la femme.

6. Le 06 octobre 2014, 08:53 par SarahB

Je préfère le texte C, celui d'Albert Camus, car la demande en mariage est différente des autres demande, c'est a dire que sa est égale a Meursault de se marier "J'ai dit que cela m'était égal". La mariage pour lui est quelque chose de "banal". :-/ De plus cette demande est différente des autres car dans les textes A et B c'est un homme qui fait la demande de mariage et non la femme, alors que dans le texte C c'est Marie qui demande la main a Meursault. ;('

7. Le 06 octobre 2014, 08:54 par Erwan

j'ai préféré le premier texte. J'ai choisi ce texte par élimination car je n'ai pas aimé les deux autres textes. Dans les deux autres textes pour un des personnages le mariage n'a pas de sens. Dans le deuxième texte c'est
Madame Rosémilly qui accepte de se marier avec Jean presque sur un coup de tête. Elle ne prend même pas le temps de réfléchir. Et dans le texte extrait de "L'Etranger" c'est Meursault qui est complètement indifférent à la demande en mariage : " J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait." . :-|

8. Le 06 octobre 2014, 08:54 par Antoine

Je préfère le texte 2 de Guy de Maupassant. Car il est plus facile à lire surement grâce au dialogue qui rend le texte plus compréhensible et moins monotone que les deux autre texte. :-)
Le texte 1 est écrit avec un langage plus soutenu ce qui est déjà plus difficile a comprendre et la situation n’arrange pas les choses ;(' , on sent (je trouve) que c'est un livre remplie de quiproquo qui serai surement mieux dans une adaptation au théâtre LOL

9. Le 06 octobre 2014, 08:54 par Amandine

Le texte que je préfère est le texte C, celui de Albert Camus, parce que je trouve que c'est un texte assez étrange du fait que Marie demande à Meursault de l'épouser et que celui-ci répond oui comme si il s'en fichait, sans même savoir si il l'aime ou pas. Je trouve aussi que la réaction de Marie est assez étrange car elle veut bien épouser Meursault même si elle sais que celui-ci ne l'aime pas. Celui-ci réagit étrangement parce qu'il fait remarquer les autres femmes dans la rue à Marie. :-|

10. Le 06 octobre 2014, 08:54 par William

Le texte que je préfère est celui d'Albert Camus, L'Etranger. Le personnage de Meursault montre une certaine indifférence face à la proposition de Marie " J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. " ce qui est plutôt " drôle ". Ce texte paraît moins compliqué à comprendre que les deux autres :-) .
De plus, le personnage a un coté maladroit " Alors, devant mon air empêtré, ", ce qui donne envie de connaître la suite, d'en apprendre d'avantage sur ce personnage... Contrairement aux autres textes, les personnages ont l'air plus communs.

11. Le 06 octobre 2014, 08:54 par Morgan

Le texte que j'ai préféré est le texte C d'Albert Camus car je trouve que ce texte est différent des deux autres. :-) Dans ce texte, Meursault ne sais pas si il veut se marier avec Marie et il ne sais pas non plus si il l'aime. Alors que dans les autres texte les personnages sont sur de se qu'ils éprouvent. La réaction de Marie est très intéressante car elle fait comme si les sentiments de meursault à son égard étaient normale. ;-)

12. Le 06 octobre 2014, 08:54 par Maxime F

Pour ma part, je préfère le texte B, car il y a beaucoup de dialogue, cela est plus agréable à lire. Grâce au dialogue, on ressens vraiment les sentiments des personnages , ce qui nous plonge dans l'histoire.

13. Le 06 octobre 2014, 08:54 par Quentin

Le texte que je préfère parmi ces trois est l'extrait de L’Étranger de Camus. Je trouve ce texte amusant :-) . L'indifférence de Meursault rend ce texte comique à mon gout. "Elle a observé alors que le mariage était une chose grave. J'ai répondu: « Non. » ", cette citation montre bien que ce texte est amusant. En effet, la réaction de Meursault est non-appropriée à la situation, c'est ce procédé qui rend cet extrait comique.

14. Le 06 octobre 2014, 08:55 par Nabil B

Pour ma part le texte que j'ai préféré est le texte de l'étranger d'Albert Camus.
Il est celui texte est celui qu'il me plait car j'avais déjà lu le livre et le livre ma assez plu. Il me semble réaliste et surtout proche contrairement au texte A et B

15. Le 06 octobre 2014, 09:24 par Thomas D.

1] LES DEMANDES MASCULINES
2 hommes (Jean et le prince) demandent le personnage en mariage.
Les 2 femmes réagissent par pitié (texte du prince) et le texte 2 on peut prendre ça comme de l’indifférence
les personnages masculins sont sur de se qu'ils éprouvent
les textes romantiques comiques

2] LES DEMANDES FEMININES
Meursault réagis de façon indifférente et inquiétante à la demande de Marie.
normalement c'est l'homme qui doit demander en mariage la femme.

16. Le 06 octobre 2014, 09:25 par Quentin

I) Réaction des Femmes face au mariage

Émotion des personnages ?
Indifférence des personnages ?
Incompréhension des personnages ?
Acceptent-t-elles ?
Refusent-t-elles ?

II) Réaction des hommes face au mariage

Émotion des personnages ?
Indifférence des personnages ?
Incompréhension des personnages ?
Acceptent-t-ils?
Refusent-t-ils ?

17. Le 06 octobre 2014, 09:25 par Sarahb

I- Personnage masculin

- la réaction de chacun lors de la demande en mariage.
- L’indifférence de Meursault, pers intrigant
- Demande romantique ou non
- La situation de la demande

II- Personnage féminin

- Demande de mariage change, sa va du moins récent au plus récent (texte A : XVIème siècle, B : XIXème siècle, C : XXème siècle) la façon de la demande change.
- La réaction de chacune

18. Le 06 octobre 2014, 09:25 par William

I. Les différentes demandes en mariage selon les personnages.
Les textes de corpus proposent différentes façon de demande en mariage. Texte A : l'homme demande en mariage la femme. Texte C : La femme demande la main de l'homme. Texte B : plus compliqué, Madame Rosémilly donne l'idée du mariage à Jean.
- Personnage plutôt entreprenant ou pas, déterminé. Évolution des demandes à travers les siècles. Demande faite : dans les règles de l'art, rapidement ou dans le doute ça caractérise les personnes, c'est à dire : classe sociale, caractère, «  maturité »...

II. Caractères et réactions des personnages.
- Meursault : indifférent / Marie : elle veut se marier, mais elle est perdue
- M. de Clève : heureux / Mlle de Chartres : heureuse
- Jean : embarrassé / Madame Rosémilly : embarrassé mais elle a l'air de savoir ce qu'elle veut

III. Déroulement de la situation suite aux demandes.
- La réaction de Marie est très intéressante car elle fait comme si les sentiments de meursault à son égard étaient normaux .
- Texte A : tout le monde est heureux.

-Texte B : La demande n'était pas prévue, la situation est embarrassante.
19. Le 06 octobre 2014, 09:25 par Aurélien

1) – les points communs entre les 3 textes, ce sont des textes romantiques comiques de différentes époque.
- Puis dire celui qui demande en mariage l'autre et comparer ceux qui demandent et ceux qui acceptent comme Madame Rosémilly qui est une femme qui veut plaire et tout contrôler ou comme la princesse de clèves qui veut juste plaire ou comme Marie

20. Le 06 octobre 2014, 09:26 par Julie C

Dans le premier texte, M. de Clèves demande en mariage Mlle de Chartres, elle est touché par ses intentions, elle accepte sa demande. Il est « éperdument amoureux » d'elle.

Dans le texte B, Jean avoue a Madame Rosémilly qu'il est amoureux d'elle, elle est veuve, elle, ne l'aime pas, semble étonné de sa demande, puis énervé qu'il est gâché son moment de pêche, mais finit par accepté après un échange de 20 mots.

21. Le 06 octobre 2014, 09:26 par Morgan

Plan :

I- Les différentes demandes en mariage

   -texte 1

Le prince de cleve fait la demande

   -texte 2

Jean fait la demande

   -texte 3

Marie fait la demande

II- La réaction des personnages face a cette demande en mariage

    -texte 1
    -texte 2

Mme Rosémilly accèpte et en 3 minutes de conversations ils sont marier

    -texte 3

pour meursault sa lui est égal

22. Le 06 octobre 2014, 09:26 par Erwan

Intro – Pour commencer, je vais parler des personnages qui portent de l’intérêt au mariage. Et dans un second temps je vais parler des personnages qui n’attache pas ou presque pas d’importance au mariage.
I - Madame Rosémilly et Meursault sont deux personnages qui ne portent pas de vives intérêts au mariage. Madame Rosémilly qui accepte de se marier avec Jean presque sur un coup de tête : «- Voyons, qu'est-ce qui vous prend depuis dix minutes, avez-vous perdu la tête ? » . Elle ne prend même pas le temps de réfléchir. Et dans le texte extrait de "L'Etranger" c'est Meursault qui est complètement indifférent à la demande en mariage : " J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait."
II - Jean, Marie

23. Le 06 octobre 2014, 09:26 par Maxime F

1. Attitude des femmes devant la demande en mariage
-Est-ce que c’est la fille qui demande l’homme en mariage ?

Marie demande à Meursault de se marier avec lui, Mlle Rosémilly se fait demander en mariage, Mlle de Chartres demande en mariage

-Est-ce qu’elle accepte la demande ? Mlle Rosémilly accepte
-La réaction des femmes

2. Attitude des hommes devant la demande en mariage
-Est-ce c’est l’homme qui demande la fille en mariage ?
Dans le texte 2, Jean demande en mariage alors que les autres non

24. Le 06 octobre 2014, 09:26 par Amandine

-Dans le premier texte.
-Mlle de Chartres véritablement touchée par l'amour de M. de Clèves.
-Celle-ci accepte de l'épouser.
-L'époque de ce texte est lointaine.
-Mère de Mlle de Chartres accepte que sa fille épouse M. de Clèves.
-M. de Clèves fait nous fait ressentir de la peine à son égard.

-Dans le deuxième texte.
-On ressens vraiment les sentiments des personnages.
-Beaucoup de dialogue.
-Jean dit à Madame Rosémilly qu'il l'aime et qu'il veut l'épouser mais celle-ci semble étonnée au début de sa proposition et ensuite énervée.
Celle-ci accepte.

-Dans le troisième texte.
-Meursault à une attitude étrange et comique face à la demande en mariage de Marie.
-Marie à elle une réaction étrange aussi mais celle-ci nous fait ressentir de la peine car Merusault s'en fiche.

25. Le 06 octobre 2014, 09:26 par JulieA_1es2

PLAN

I- Quel est le comportement de ceux qui font leur demande en mariage qui permet ainsi de les caractériser

Texte 1 : Le prince de Clèves fait sa demande= texte difficile à la compréhension

Texte 2 : Jean fait sa demande à mme Rosémilly= romantique et direct avec un dialogue
le dialogue nous met directement dans la peau des personnages ce qui nous met directement dans le texte

Texte  3 : Marie fait sa demande à Meursault = différence avec les texte= Femme qui demande en mariage=demande en mariage est différente des autres demande

II- le comportement de ceux qui recoivent la demande permettant de les caractériser

Texte 1 :

Texte 2 : accepte la demande=Madame Rosémilly qui accepte de se marier avec Jean presque sur un coup de tête.

Texte  3 : Indifférence de Meursault= texte comique et décalé
accepte la demande mais ne l'aime pas

26. Le 06 octobre 2014, 09:26 par nicolas D

I. Attitude des hommes face à une demande en mariage.
-réaction des hommes → Pince de Clève : courageux → «  M. de Clèves ne fut retenu par aucune de ces considérations. »

-demande-t-il ?
-accepte-t-il ?

I. Attitude des femmes face à une demande en mariage
-réaction des femmes
-demande-t-elle ?
-accepte-elle ?

27. Le 06 octobre 2014, 09:26 par Nabil B

I Première demande

- Jean fait une demande en mariage
- beaucoup dialogue la demande se ressent plus
- Dans le texte B et C Meursault et Madame Rosémilly accepte mais ont l’air indifférent
II Deuxième demande

28. Le 06 octobre 2014, 09:27 par Antoine

I. La réaction des femmes face au mariage.

a. Dans le premier texte, la femme exite a travers l'homme on ne fait que parler d'elle nous ne connaissons juste son nom.

b. Dans le second texte la femme est présente, importance du dialogue, la femme a une réaction attendue et plutot classique.

c.Dans le texte d'A.C la femme joue le rôle de l'homme c'est inattendue

II. La réaction des hommes face au mariage.

a. L'homme

b. Ici l'homme « joueson role » c'est lui qui fait la demande en mariage mais cela parrait peut  « sur » et « assuré » effectivement la scene ce finit vite creant du mal etre.

c. Meursault est ici placé en tant que femme si on respecte le « protocole » le fait que ce soit absurde renforce l'étrangeté de la scene.

29. Le 06 octobre 2014, 17:27 par Léa

Le texte que je préfère est le texte de Guy de Maupassant , Pierre et Jean.
Je le trouve très comique , Jean ce jeune homme maladroit et timide paraissant enfantin contrairement a Madame Rosémilly qui est une jeune femme sûre d'elle et affirmer qui paraît bien plus mature que Jean.
Jean évoque à Madame Rosémilly l'amour qu'il éprouve à son égard , celle-ci prend cela comme une plaisanterie au départ et demande à Jean de la laisser profiter de son moment de détente puis Jean insistant Madame Rosémilly paraît comprendre que cela n'est pas une plaisanterie. Cette scène est plutôt comique.
Madame Rosémilly suppose immédiatement que Jean veut l'épouser , c'est donc quelque part elle qui évoque la possibilité du mariage. Jean accepte et les voilà marié en quelques échanges. Comme ci cela était aussi simple qu'un claquement de doigts.
C'est un texte romantique et comique , qui est étonnant et retient mon attention. C'est le seul texte qui comporte un dialogue ce qui le rend bien plus vivant. On peut plus facilement "cernés" le comportement des personnages.

30. Le 06 octobre 2014, 19:02 par Romain

Je préfère le texte 2 car j'ai lu pierre et jean(en entier) et cette scène est vivante (beaucoup de discours direct) .
Cette scène est facile a lire car elle est joyeuse en somme.
Toute personne amoureuse serait vraiment comblée si cette scène lui arrivait,c'est le meilleure des cas pour une déclaration d'amour même si elle est certes rapide (en 20 mots marier c'est même de l'express).

31. Le 06 octobre 2014, 21:10 par Maël

J'ai plus aimé le texte de Camus L'étranger , car dans ce texte leur amour est moins sérieux , on dirais que Mersault prend ça pour un jeux . Dans le texte 1 , c'est trop cérémonial et ce n'es pas spontanée . J'ai bien aimée le texte 2 aussi , avec une situation assez comique avec la demande de Jean . Dans ce texte c'est Jean qui fais la demande de mariage alors que dans le texte 3 , c'est Marie . Mais le texte 2 et spontanée pour Jean et un peu cérémonial pour Mme Rosémilly.

32. Le 07 octobre 2014, 14:44 par Aymeric V.D.R.

Parmi ces trois extraits de textes, mon préféré est le texte B de Guy de Maupassant "-Pierre et Jean".
Ce qui fait que ce texte est mon préféré est principalement la maladresse de Jean et Mme Rosemilly a la fin du texte.
En effet, Jean qui est plutôt maladroit, avoue d'un coup son amour envers Mme Rosemilly, elle ne sait pas comment réagir et ne le prend pas au sérieux. Elle est stupéfaite, voir même un peu agacé car Jean lui gâche son moment de pêche. Mais je pense qu'elle est aussi contente, qu'elle n'attendait que ça. Ce qui montre cette envie est le ait que ce soit elle qui parle de 'mariage".
Jean ne fait que lui avouer son amour, et Mme Rosemilly pense directement au mariage, comme si elle était pressée, Jean sur le moment étant un peu "niaisé" lui répond que oui.
On s’intègre très facilement dans la peau et les sentiments des personnages du fait de la présence de dialogues comparé aux 2 autres textes, et de la rapidité de la situation.

33. Le 07 octobre 2014, 15:58 par Martin

Le texte que j'ai préférée et l'extrait de l'étranger car Meursault parle de l’amour et du mariage sans tabou de manière sincère et décontractée. Cette pseudo demande en mariage de Marie est intéressante car elle est loin des clichés. En effet c’est la femme qui fait sa demande et les deux personnages ne partent pas dans un romantisme grotesque et ennuyeux comme on aurait pu le penser pour cette occasion. La conclusion de ce passage est donc la confirmation du mariage à venir de Marie et Meursault, ce qui est intriguant car cette décision est prise et Meursault dit qu’il n’aime pas Marie. C’est une fois de plus en contradiction avec les clichés du mariage.

34. Le 07 octobre 2014, 19:46 par Gladys

Le texte que j'ai preférer est le texte B de Guy de Maupassant, j'aime beaucoup le discourt direct ecrit sous forme de dialogue dans ce texte, il rend la scène plus réel et plus vivante puis Jean assume enfin son amour envers madame Rosémilly en lui disans ce qu'il ressent et c'est elle qui suggère de se marier avec lui ce qui est surprenant de sa part et donne une touche d'originialité voir une touche de comique et le retournement de situation à la fin transmet une sorte de moral : Jean est fou d'elle, il lui avoue enfin son amour , Madame Rosémilly propose donc de se marier puis quand il accepte tous les deux se rendent compte qu'ils se sont trop précipiter et n'ont donc plus rien a se dire.

35. Le 08 octobre 2014, 09:30 par Hugo

Le texte que j'ai préféré est ce lui de Guy de Maupassant, Pierre et Jean.
Je trouve ce texte vivant contrairement aux autres avec des dialogues ce qu'il le rend plus compréhensible.
Je le trouve intéressant et plutôt amusant car Jean, lors d'une partie de pèche annonce à cette femme qu'il aime et celle ci ne le prend pas au sérieux. jean insiste et Madame Rosémilly et déduisait qu'il voulait l'épouser et celui-ci acquiesça. Et voila c'étais fais en quelques minutes, en quelques paroles ils s'étaient mis d'accord et allait se marier.

36. Le 08 octobre 2014, 14:38 par Segretin

Le texte que j'ai préféré est le texte B de Guy de Maupassant car celui parait plus vivant par sa partie de pêche. Ce texte est amusant par la façon dans laquelle Jean du jour au lendemain va enfin avouer son amour a Rosémilly et fait preuve d'une maladresse incorrigible.pour sa demande de mariage.

37. Le 08 octobre 2014, 15:01 par Manon

Après avoir lu les différents corpus j'ai naturellement préféré celui de L'étranger de camus étant donner que nous avions étudier cette œuvre en classe elle ma tout de suite parue très claire , c'est pourquoi j'ai pu, plus qu'avec les autres textes comprendre le contexte et donc rentrer dans l'histoire. Ayant adorée ce livre cela me paraissait évident . La relation que Meursault entretient avec Marie m'étonne à chaque lecture, cela est tellement surprenant et peu probable que cela en devient intriguant c'est aussi pour cela que cette œuvre m'intéresse toujours autant.

38. Le 08 octobre 2014, 21:35 par AlexisM

Mon texte préféré est celui de Guy de Maupassant , Pierre et Jean , car il parait plus vivant que les deux autres. Le premier texte , parait trop "récit historique" et "vieux" pour qu'on puisse imaginer la scène clairement. Le texte de Camus est quant à lui trop absurde , qu'une personne imagine le mariage avaec tant de légèreté est trop troublant. Enfin , il ne reste que le texte de Maupassant , dont les dialogues et l'ambiance paraissent plus ou moins proche de nous , bien que le discours de madame Rosémilly est étrange et parait très 'officiel'. De plus , le personnage principal dégage une certaine naïveté qui le rend sympathique sans même le connaitre.

39. Le 08 octobre 2014, 22:03 par Thomas K.

Le texte que je préfère est celui de Guy de Maupassant , Pierre et Jean.
Parce que je trouve déjà que se texte se lit facilement car il est composé de dialogue.
Je trouve cette histoire brève mais plutôt mignonne, deux personnes qui passe un moment ,au calme, a pécher les crustacés et d'un coup le jeune déclare son amour.
Enfin le fait que Madame Rosémilly accepte d'une manière un peu inhabituelle me donne envie d'en savoir plus sur elle et sur le livre.

40. Le 08 octobre 2014, 22:22 par Sarah.V

Le texte que j'ai préféré est le texte Pierre et Jean de Guy de Maupassant car tout d'abord, ce texte est vivant par son dialogue et la partie de pêche avec Jean et Madame Rosémilly, ce qui le rend plus compréhensible.
Ensuite, la façon dont Jean annonce à Madame Rosémilly l'amour qui lui porte est assez imprévisible, ce qui rend le texte amusant car elle n'y croit pas de suite et lui va avoir à se justifier plusieurs fois avant qu'elle réalise qu'il ne ment pas.
Je trouve que c'est un beau texte en soit.

41. Le 08 octobre 2014, 23:08 par Charlotte

Je préfère le texte n°2, Pierre et Jean de Guy de Maupassant.

Je trouve que ce texte est original et plus captivant. Contrairement aux autres textes qui eux sont écrit au discourt indirect, il est écrit au discourt direct ce qui le rend plus divertissant.

Les trois textes ont pour thème le mariage, cependant dans le texte 2 le lecteur sent comme un sentiment de légèreté se dégager du texte car la question de mariage est abordé spontanément et avec une pointe d’humour « avez-vous perdu la tête ? », « Ne pourriez-vous pas attendre un autre jour et ne pas me gâter ma pêche ? ». Les mots employés dans ces passages sont des propos négatif, ce qui est en contradiction avec le mariage. Ici le mariage est pris à la légère et c’est un sujet qui peut attendre « après la pêche »… Cependant il s’agit de sentiment sincère de la part de Jean « Je n’en fait qu’une. Je vous aime ».

Ce texte se démarque des autres, cet amour est sincère, il ne s’agit pas de mariage arrangé ou d’une question sans importance contrairement au texte 1 et 3 qui eux abordent le sujet de façon très officielle, et sans sentiment.

42. Le 09 octobre 2014, 06:50 par Anne D

Bien que cest deux textes évoquent globalement le même sujet, j'ai préféré le texte deux car il est beaucoup plus apaisant le que le premier. Même si ces deux textes ont le même sujet, triste, dans le texte 2 on sent une lecture agréable, plus fluide et ce texte dégage plus de gaieté que ce premier texte particulièrement ennuyeux. :-|

43. Le 09 octobre 2014, 13:24 par Allan

Pour ma part j'ai preferé le texte de " Pierre et Jean" ayant lu le livre integrale l'année derniere j'ai deja ma préférence.

Ce texte et fluide et simple a analiser, on comprend bien le paradoxe entre le fait qu'il avoue ses "sentiments" et quen ce n'est ni le lieu ni le moments pour declarer sa flamme.
Il y a bien deux champs lexical qui s'oppose, la description du lieu de la peche et de la salété et celui de "l'amour" que porte le, personnage a sa dame.
Le fait que au debut du texte il y a une description des personnages entre eux amene bien a la comprehension du texte et donc a mon choix qui est de préférer ce texte.

44. Le 09 octobre 2014, 16:50 par Thomas K.

I. Les personnages qui demandent en mariage quelles sont leurs approches du prince de Clèves, Jean et Meursault.
II. Les réponses et les réactions suite à cette demande de Mlle de Chartres,Madame Rosémilly et Marie Cardona.
III. La différence d’attitude vis-à-vis de cette situation.

45. Le 09 octobre 2014, 16:50 par manon

Consigne :

Élaborer un plan pour répondre a cette question qui consiste a associer les personnages entre eux suivant leurs caractéristiques révéler par la demande en mariage.

1)L'amour aveuglant de Marie, Jean et M. de Clèves
2) L’indifférence de Madame Rosémilly et Meursault
3) Le refus de la Princesse de Clèves (Mlle de Chartres )

46. Le 09 octobre 2014, 16:51 par AlexisM

Plan de réponse à la question transversale :
I. Les amoureux : Le prince de Clèves , Marie et Jean.
Ils aiment rééllement l'autre personne. Cependant Jean est le seul à ne pas faire sa demande en mariage. Marie est la seule femme à faire sa demande , chose peu courante. Le Prince de Clèves lui , sort le grand jeu pour séduire mlle de Chartres.

II. Ceux qui acceptent sans amour sincère : Meursault , mme Rosémilly et la princesse de Clèves.
Ils acceptent le mariage sans enthousiasme. Meursault se fiche du mariage et de Marie et prend ceci à la légère, mme Rosémilly est la seule à proposer le mariage alors qu'elle n'a pas l'air grandement attachée à Jean et la princesse de Clèves accepte le mariage par interêt et pour satisfaire sa mère.

47. Le 09 octobre 2014, 16:51 par Alexiss G

I - Personnages respectueux des convenances
Ce sont les personnages trop respectueux des convenances qui ne sont pas spontanées.



II – Personnages Spontanés
Ce sont les personnages sans tabou de manière sincère et décontractée.

III – Personnages passifs

Ce sont les personnages qui subissent, répondent par un simple « Oui » par exemple.

Albert Camus, L'Étranger :
« Le soir, Marie est venue me chercher1 et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. »

Guy de Maupassant, Pierre et Jean :
« - Mon cher ami, vous n'êtes plus un enfant et je ne suis pas une jeune fille. Nous savons fort bien l'un et l'autre de quoi il s'agit, et nous pouvons peser toutes les conséquences de nos actes. Si vous vous décidez aujourd'hui à me déclarer votre amour, je suppose naturellement que vous désirez m'épouser.

 ll ne s'attendait guère à cet exposé net de la situation, et il répondit niaisement :
 - Mais oui. »
48. Le 09 octobre 2014, 16:51 par Martin

1) les indifférents : Meursault (cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas) et Mlle de Chartres (répondit qu'elle lui remarquait les mêmes bonnes qualités; qu'elle l'épouserait même avec moins de répugnance qu'une autre, mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne)
2) Ceux qui aiment à sens unique : Marie et prince de clèves
3) Ceux qui aiment d'une facon comique : Jean et madame rosémilly

49. Le 09 octobre 2014, 16:51 par Agathe

1)L'indifférence de Madame Rosémilly, Meursault et Princesse de Clèves :

2) L'amour que Le prince de Clèves et Marie peuvent porter:

50. Le 09 octobre 2014, 16:52 par Hugo

I) Les personnages hypocrites :
Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves
II) Les personnages amoureux :
Marie, M de Clèves, Jean, Mme Rossémily
III) Les personnages indifférents :
Meursault, Mme Rossémily

51. Le 09 octobre 2014, 16:52 par Maël

Groupe 1 : Prince de Clève, Marie , Jean
- C’est 3 personnages annoncent leur amour.
- Ils l’annoncent avec assurance.

Groupe 2 : Mlle De chatre , , Madame Rossélimy
- le mariage n’es pas pris à la légère dans ces 2 cas
- Le mariage est pris comme quelque chose de céremonial

Groupe 3 : Mersault , Jean , Mlle De Chartre
- Dans ces personnages , ils ne prennent pas au sérieux la demande
- Sois il se accepte la demande puis se rétracte.
- Sois se marie avec quelqu’un d’autre
- Donc dans ce cas au final il ne se marie .

52. Le 09 octobre 2014, 16:52 par charlotte

I- Des personnages sincères dans leur intention : Le Prince de Clèves, Jean et Marie
1) Dans le texte 1 on voit clairement que le Prince de Clèves est éperdument amoureux de Mademoiselle de Chartre il est « heureux ». Il respect les convenances.
2) Dans le Texte 2 Jean éprouve un amour sincère pour Rosémilly, « Je vous aime ». Cependant il est maladroit.

II- Un personnage hypocrite : Mademoiselle de Chartres

III- Des personnages peu investis : Meursault et Rosémilly

53. Le 09 octobre 2014, 16:52 par yanis

Group 1 : Marie, jean , prince de Clève ;
car c’est personnages prouves est assumes leur amour
Groupe 2 : Meursault , madame Rosmilly , mille de chartre :
C est personnage doivent faire des choix, mais le font pas de la même façons.
Ce choix est basée sur le mariage
Groupe 3 : Meursault, jean
C est personnage ne prennent rien au sérieux

54. Le 09 octobre 2014, 16:52 par Gladys

1) Mademoiselle de Chartres et Meursault, Leur amour envers leurs conjoint n'est pas réel, ils acceptent de se marier pour faire ' plaisir ' et reste indifférent à cela.
2) Le prince de Clève, Marie et Jean, ils sont eperdument amoureux de leurs partenaires et sont d'accord pour s'engager.
3) Madame Rosémily n'est pas amoureuse de Jean et va commettre un retournement de situation surprenant en lui proposant de l'épouser car pour elle si il l'aime c'est qu'il doit forcémen

55. Le 09 octobre 2014, 16:53 par Segretin

I) L'amour dépordant de Marie, le prince de Cléves et jean
II) L'indifférrence de l'amour de Meursault, madame Rosémilly et Mademoiselle de Chartres
III) Conclusion

56. Le 09 octobre 2014, 16:54 par Romain

I- Personnage cérémonial
Prince de Clèves,Madame Rosémilly : trop cérémonial et ce n'es pas spontanée.
II- Personnages indifférents/passif

      Mademoiselle de Chartres, Meursault : mariage n'est pas grand chose.

III- Personnages naïf/maladroit
Marie,Jean : heureux et ne comprend pas ce qui ce passe.

57. Le 09 octobre 2014, 16:55 par Sarah.V

I - L'amour de Marie, Jean et le prince de Clèves

II - L'indifférence de Meursault, Madame Rosémilly et Mlle de Chartres

58. Le 09 octobre 2014, 16:55 par Allan

Vous comparerez ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves; Jean et Madame Rosémilly; Meursault et Marie.

Elaborez un plan pour répondre à cette question qui consiste à associer le personnages entre eux suivant leur caracteristiques :

1) Les arnaqués :M. de Clèves et Jean qui tentent tout deux leur chances auprès de leur « futur » dames, les deux personnages amènent a un plan comique puisque Clèves et sûr d'avoir la main de Mlle de Chartres mais au final il ne sait pas qu 'elle n'a pas le moindre sentiments pour lui et Jean qui declare sa flamme pendant une partie de pêche.

2)Le contrat :Madame Rosémilly et Mlle de Chartres en effet ces deux personnages présentent une vision assez conventionel que l'on peut qualifier comme un contrat et une affaire a regler.
Les sentiments ici ne sont pas apparemment de la situation.

59. Le 15 octobre 2014, 18:58 par Mme Baudry

Séance du 16 oct. Rédiger la réponse à la question transversale.
- une introduction: en une seule phrase qui présente la question posée;
- le développement:

  • quand vous citez le texte A, le texte B et le texte C pour la première fois, précisez le titre, l'auteur et la date du texte
  • un paragraphe par partie
  • citations à l'appui:

brèves et peu nombreuses (3, 4 maximum)
attention à l'insertion de ces citations:http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/IMG/pdf/76_bien_rediger_et_inserer_des_citations.pdf

citation analysée

  • connecteurs logiques
  • utiliser le lexique de l'analyse littéraire: http://www.lyc-descartes-montigny.ac-versailles.fr/IMG/pdf/12_le_vocabulaire_pour_l_analyse_d_un_texte.pdf

- la conclusion; deux phrases:

  • 1ère phrase: reprendre l'élément essentiel de la réponse selon vous
  • ouverture sur le texte qui peut le plus frapper en justifiant la réponse.
60. Le 16 octobre 2014, 16:53 par AlexisM

Ce corpus de trois textes présente trois demandes en mariage peu communes. Nous analyserons la façon dont elles sont faites pour en déduire les caractéristiques des différents personnages, leurs différences, leurs ressemblances.

Dans un premier temps, nous nous attarderons sur les personnages amoureux. Ils sont au nombre de trois : Le prince de Clèves du roman du même nom de madame La Fayette paru en 1678 , Marie du roman « L’Etranger » d’Albert Camus paru en 1942 et enfin Jean du texte « Pierre et Jean » de Guy de Maupassant paru en 1888. Parmis eux, seul Jean ne fait pas lui-même la demande en mariage , bien qu’il aime sa future femme : « Non je n'ai pas perdu la tête. Je vous aime, et j'ose, enfin, vous le dire. » C’est assez étonnant, on s’attendrait plutôt à ce qu’il soit demandeur et il en est lui-même surpris : « ll ne s'attendait guère à cet exposé net de la situation, et il répondit niaisement »

. Le Prince de Clèves, lui, annonce son amour de manière presque chevaleresque à la princesse de Chartres, un amour sincère qu’il veut réciproque : « Ce qui troublait sa joie, était la crainte de ne pas lui être agréable, et il eût préféré le bonheur de lui plaire à la certitude de l'épouser sans en être aimé. » Cependant, il changera finalement d’avis et épousera une femme qui n’éprouve finalement rien de spécial pour lui, et qui « l'épouserait même avec moins de répugnance qu'une autre, mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne. » L’amour du Prince de Clèves aura donc été plus fort que ses valeurs initiales. Enfin, Marie, jeune femme éprise d’amour pour Meursault, étrange héros de l’Etranger, prend les choses en main et demande elle-même à Meursault de l’épouser. Le fait que la femme fasse la demande est assez troublant, on ne s’y attend vraiment pas, et les réactions de Meursault appuient ce coté, lui qui dit « que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. » Cependant, Marie , éperdumment amoureuse , accepte les défauts de Meursault bien qu’elle en soit consciente , et « que peut-être un jour je la dégoûterais pour les mêmes raisons. »

De l’autre coté , nous avons donc trois personnages qui acceptent l’idée du mariage sans grand enthousiasme , sans réels sentiments. En premier il y a donc Meursault qui se fiche totalement du mariage et prend un tel évenement à la légère : « Elle a observé alors que le mariage était une chose grave. J'ai répondu: « Non. » ». Il affirme même, de façon très maladroite « Elle voulait simplement savoir si j'aurais accepté la même proposition venant d'une autre femme, à qui je serais attaché de la même façon. J'ai dit : « Naturellement. » » On a du mal à cerner ce personnage. En deuxième , madame Rosémilly , totalement différente , est le seul personnage de cette partie à faire la demande en mariage. Un autre personnage dur à cerner, qui affirme « - Ah ! que vous êtes ennuyeux, disait la jeune femme; mon cher, il ne faut jamais faire deux choses à la fois. » aux premières avances de Jean, avant de proposer d’une manière très officielle sa demande en mariage , sans pour autant affirmer ses sentiments : « Mon cher ami, vous n'êtes plus un enfant et je ne suis pas une jeune fille. Nous savons fort bien l'un et l'autre de quoi il s'agit, et nous pouvons peser toutes les conséquences de nos actes. Si vous vous décidez aujourd'hui à me déclarer votre amour, je suppose naturellement que vous désirez m'épouser. » Elle a un côté « dur » qui contrase totalement avec sa situation de jeune veuve qu’on pourrait imaginer détruite, triste …Le dernier personnage est melle de Chartres , jeune princesse qui subit le mariage qui l’unit au prince de Clèves. En effet , c’est sa mère à qui « ce prince fit parler; elle reçut la proposition qu'on lui faisait et elle ne craignit point de donner à sa fille un mari qu'elle ne pût aimer en lui donnant le prince de Clèves. » Mlle de Chartres est donc victime d’un mariage interessé , et n’a pas son mot à dire là-dessus. Elle épouse donc un homme pour qui elle n’a aucune « inclinaison particulière ».

Au final , les personnages des différents romans sont quasiment décris par ces quelques phrases. Ces demandes en mariage exposent leur personnalité de manière assez importante , et on apprend à les connaitre grâce à elles. Le texte de madame de La Fayette est d’ailleurs le plus frappant , tant c’est un mariage faux et dénué d’amour dans un sens.

61. Le 16 octobre 2014, 16:55 par Maël

Nous allons comparer les demandes en mariages en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves, Jean et Mme Rosémilly , Mersault et Marie .
Dans c’est trois textes, nous pouvons voir des personnages sincères dans leur intention. Dans le corpus de texte, nous remarquons que Le prince de Clèves, Jean et Marie annonce leur amour. Chaque un des personnages l’annoncent avec une certaine assurance comme on peut le voir dans le textes de Guy de Maupassant , Pierre et Jean paru en 1888 « - Non je n'ai pas perdu la tête. Je vous aime, et j'ose, enfin, vous le dire. « , Jean avoue a Madame Roséllimy qu’il l’aime , Jean l’annonce de façon spontanée et avec assurance. De même, Marie fait ça demande en mariage a Mersault dans le texte de L’Etranger d’Albert Camus paru en 1942. Dans ce texte, c’est la femme qui fait la demande ce qui es l’inverse habituellement. Alors que dans le texte de Madame de La Fayette , La princesse de Clèves paru en 1978 , c’est le prince de Clèves qui fais sa demande en mariage . Avec assurance et spontanée de même que Jean ou bien Marie. Ce qui rapproche c’est 3 personnages, c’est eux même qui font la demandes et puis il l’annonce avec spontanéité et assurance.

Ce qui change de Mersault et Mme Rosémilly . qui ne sont pas très investis .  Dans le premier cas , Mersault prend ça avec ironie « mais que sans doute je ne l'aimais pas » dans cette citation Mersault montre ça désinvolture et dis a Marie qu’il veut bien se marie avec elle mais il ne l’aime pas . Mais après cette annonce, Mersault prend conscience et demande a Marie  si elle veut allez dîner avec lui chez Céleste. Il se passe de même dans Pierre et Jean, ou Mme Roséllimy qui essaie d’éviter la situation. Elle essaie de changer de sujet mais Mme Rosémilly change de posture en voyant l’insistance de Jean. Mme Roséllimy s’intéresse a la demande de Jean. Enfin, elle s’occupe des préparatifs du mariage sans qu’elle ne parle de sentiments. Mme Roséllimy gère ça comme une affaire.

Nous pouvons voir que dans chaque une des situations les personnages arborent la question de la demande en mariage de façon très différente. Le texte qui peut le plus attirer est le texte de Pierre et Jean de Guy de Maupassant car la situation peut faire sourire . Le fait que Mme Roséllimy fasse passer ça comme une affaire tandis que Jean fait une demande sincère et maladroite.

62. Le 16 octobre 2014, 16:55 par yanis

Nous allons étudier d’abord la réaction des femme portant sur le mariage
Dans le premier texte de : Madame de La FAYETTE, La Princesse de Clèves, 1678.
On voit que la femme existe est présente a travers l homme le sujet de discussion est fixer sur la femme est la femme a l aire indifférente alors qu’elle connaît juste sont nom
Dans le second texte de ; Guy de MAUPASSANT, Pierre et Jean, 1888 la femme a une réaction inattendus sobre on pourrais même dire qu’elle a l’aire même pas réaliser se qu’on lui demande
Dans le troisième texte de : Albert CAMUS, L'Étranger, 1942. Marie a l’air désorienter est ne c est pas quoi faire car les parole de meursault sont vague est imprécise.
Dans le second texte nous parlerons du dialogue entres les femme est les homme
Dans le premier texte A nous voyons que cela a l’aire d’un mariage arranger car il n’y a pas de présence d’un dialogue.
Dans le texte B le dialogue est présent est nous voyons que le discours n’est pas sérieux entre les deux personnages est que le femme prend sa sur le thon de l’humour comme par exemple « - Voyons, qu'est-ce qui vous prend depuis dix minutes, avez-vous perdu la tête ? »
Dans le texte C nous voyons un dialogue vague car on peut apercevoir que marie est amoureuse de meursault alors que lui reste neutre est sobre au question de marie on peux voir dans cette citation du texte « Le soir, Marie est venue me chercher1 et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait » que meursault n’a pas l’aire enthousiasme a l’idée de se marier. Pour lui cela est banale est a l’aire indifférent a sa proposition.

Dans c’est trois texte ont voit que les homme n’ont pas l’aire emballer dans l’idée de se marier est que les femme veulent leur mariage alors que a la base des chose c’est l’homme qui doit demander la mein dune femme

63. Le 16 octobre 2014, 16:56 par Agathe

Ce corpus de trois texte présente trois demande de mariage différentes. Nous allons analyser celle-ci en cherchant les similitudes et les différences.

Pour commencer nous allons observer les différentes relations entre les personnages qui eux sont amoureux et sincère. Le Prince de Clèves , Jean et enfin Marie du roman de «  Albert CAMUS, L'Étranger, 1942 » sont classé dans les personnages amoureux.
En effet, Le Prince de Clèves personnage du roman «  Madame de la Fayette, la princesse de Clèves » en 1678 est éperdument amoureux de mademoiselle de Chartres. Malheureusement cette amour n'est pas réciproque malgré que le Prince de Clèves respecte les convenances. « il faisait paraître tant de sagesse pour son âge que, si elle sentait son inclination portée à l'épouser, elle y consentirait avec joie. ». Pour ce qui est du roman de « Guy de Maupassant, Pierre et Jean, en 1888 » Jean est lui aussi sincère avec Rosémilly. Malgré que celui-ci soit très maladroit « Pardon, mais je ne pouvais plus me taire. Je vous aime depuis longtemps. » la belle accepta ca demande même si celle-ci était un peu troublée par cette demande peu commune. Quand à Marie, amoureuse de Meursault, elle ne passe pas par quatres chemins et lui fait sa demande. Elle voit que Meursault n'est pas amballé par cette demande mais insista quand même.

Ensuite nous allons observer un personnage qui n'a rien à voir avec les trois personnages précédent, c'est Mademoiselle de Chartres. Ce personnage qui n'a aucune volonté d'épouser Le Prince De Clèves acceptera car elle sera forcé. Elle n'éprouve aucun amour à son égard mais devra quand même lui faire croire qu'elle à des sentiments sincère pour lui. « Mlle de Chartres répondit qu'elle lui remarquait les mêmes bonnes qualités; qu'elle l'épouserait même avec moins de répugnance qu'une autre, mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne. »

Enfin, parlons donc de Meursault et de Rosémilly qui ne sont pas vraiment investis dans leur relation. Dans chacun des deux textes, on peut observer une forte ressemblance entre ces deux personnages. En effet, ils ne prouvent pas vraiment leur amour à leur conjoint. Prenons Meursault par exemple. Ce personnage qui n'est ni contre ni pour son union avec Marie acceptera tant bien que mal. « J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. »

Pour Rosémilly quand à elle, elle prend cela pour une blague. Elle ne prend pas au serieux cette demande et se rend compte au fur et à mesure l'amour que lui porte Jean. Elle acceptera quand même, même si cette amour n'est pas vraiment sincére et honnête. On pourrait même croire qu'elle accepte  cette demande pour faire plaisir à Jean. « Moi, je veux bien, dit-elle. Je vous crois bon et loyal. »

En conclusion, nous pourrions dire que dans chaque roman, aucun des personnages n'a trouvé chaussure à son pied. Le texte le plus frappant serai « L'étranger de Albert Camus » car Marie très amoureuse Meursault lui porte un amour qui n'est pas réciproque.

64. Le 16 octobre 2014, 16:56 par Alexis.g

On nous demande de comparez ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman.

 Le texte A, a été écrit par Madame de La FAYETTE, La Princesse de Clèves, en 1678.

M. Clèves utilise le champ lexical de l’amour tel que « éperdument amoureux », « douceur », à fin de séduire Mlle. De Chartres qui n’en n’a que faire comme nous le montre cette amplification « cœur très noble et très bien fait ».

 De plus ce texte entreprend des personnes cérémoniales proches d’une époque royaliste ou les mariages étaient habituellement arrangés en fonctions des besoins et des atouts que pouvait fournir les individus. . M. Clèves utilise le champ lexical de l’amour tel que « éperdument amoureux », « douceur », à fin de séduire Mlle. De Chartres qui n’en n’a que faire comme nous le montre cette amplification « cœur très noble et très bien fait ».
 En revanche dans le texte B et C, ont été écrit par Guy de MAUPASSANT, Pierre et Jean en 1888, et Albert CAMUS, L'Étranger, 1942. Ils entreprennent des personnages spontanés qui anticipent et appuient vraiment sur leurs idées, ici le mariage. Nos personnages Marie et Pierre prennent les devants et n’hésitent vraiment pas sur leur propre demande, en effet « Si vous vous décidez aujourd'hui à me déclarer votre amour, je suppose naturellement que vous désirez m'épouser. » (Texte b).
 Enfin, les personnages passifs comme Meursault et jean subissent, en effet ceux-ci non presque rien à faire et ne réponde juste aux demandent de leurs prétendante « Mais oui. » (Texte b)  « Elle voulait simplement savoir si j'aurais accepté la même proposition venant d'une autre femme, à qui je serais attaché de la même façon. J'ai dit : Naturellement. » (Texte C)
 Pour conclure, on peut dire qu’il existe 3 sortent de personnages :

 Personnages cérémonials : Mlle De Chartres et M. Clèves
 Personnages Spontanés : Marie et Pierre
 Personnages passifs : Meursault et Jean

65. Le 16 octobre 2014, 16:56 par charlotte

On nous demande de les différentes demande en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivant : Mademoiselle de Chartres et le Prince de Clèves ; Jean et Mademoiselle Rosémilly ainsi que Meursault et Marie.

Le Prince de Clèves, Jean et Marie ont la particularité d’être des personnages de roman sincère dans leurs intentions.

En effet dans le texte A, La princesse de Clèves de Madame Lafayette datant de 1678, le personnage du Prince de Clèves est éperdument amoureux de Mademoiselle de Chartres, il va jusqu’à avouer au lecteur qu’il « préféré le bonheur de lui plaire à la certitude de l'épouser sans en être aimé » (ligne 4) dans cette phrase le lecteur voit clairement que les sentiments du Prince sont sincère, il utilise des mot tel que « bonheur », « épousé » et « aimé », ce qui nous fait pensé qu’il a beaucoup réfléchit à la question. L’emploi du mot « certitude » nous renforce dans l’idée qu’il ne veut pas l’épouser si elle ne l’aime pas en retour. Ce personnage respect les convenances et choisit bien le moment et la situation pour avouer ses sentiment contrairement au texte B, Pierre et Jean de Guy de Maupassant datant de 1888, et au texte C, l’Etranger de Albert Camus datant de 1942. Le personnage du texte B et du Texte C, Jean et Marie, ne respecte pas les convenances et ne choisissent pas le moment propice afin de déclarer leur flamme. On peut donc conclure que Marie et Jean sont des personnages impulsifs : ils agissent en fonction du moment et de leurs pensées. Dans le texte B, Jean exprime ses sentiments « Je vous aime » (ligne 7) par une phrase courte et lourde de sens, ce qui ressemble fortement à Marie du texte C, formule son ressenti « et m’a demandé et je voulait me marier avec elle » (ligne 1), avec « me marier avec elle » on comprend que c’est la femme qui fait la demande contrairement au texte A et C.

Mademoiselle de Chartres est un personnage qui subit la demande en mariage.
En effet dans le texte A, le lecteur à face à lui un personnage victimisé qui ne s’intéresse pas au Prince de Clèves « elle l’épouserait avec moins de répugnance qu’un autre, mais qu’elle n’avait aucune inclination particulière pour sa personne » (ligne 12-13), de plus dans cette phrase avec l’expression « aucune inclination particulière pour sa personne », le lecteur comprend clairement que Mademoiselle de Chartres n’aime pas de Prince de Clèves et ne veut pas l’épouser. Contrairement au texte B ou Rosémilly accepte sans condition et de manière imprévue la demande en mariage de Jean, c’est même elle qui évoque le mariage « Si vous vous décidez aujourd’hui à me déclarer votre amour, c’est que naturellement vous voulez m’épouser ».

Avec ce corpus on peut clairement apercevoir que le lecteur se trouve face à des personnages de personnalité proche mais totalement diférentes. Cependant le texte qui attire le plus l'atttion du lecteur est le texte B avec son humour, sa naïveté et son sérieux en un sens.

66. Le 16 octobre 2014, 16:56 par Romain

Nous allons associés les personnages entre eux suivant leurs caractéristiques révéler par la demande en mariage.

Tout d’abord il y a le  Prince de Clèves et Madame Rosémilly  sont des personnages trop  cérémoniaux et ce n'es pas spontanée. Ils ont un côté très formelle envers le mariage sans trop pensée aux sentiments. Le lecteur reste assez surpris par le sérieux de ces personnages alors que le mariage est basé sur les sentiments.

Mademoiselle de Chartres et Meursault présentent une certaines vérité envers leur demande en mariage. Ils disent clairement qu’ils ne sont pas amoureux de la personne qui les demande.
Ils représentent
Marie et Jean sont heureux et ne comprennent pas vraiment ce qui ce passe. Ils sont dépassée par les événements en quelque sorte car ils disent leur sentiments et la suite s’enchaîne assez vite.
Le texte le plus marquant est Texte C : Albert CAMUS, L'Étranger, 1942 . Car ce texte est le plus choquant.

67. Le 16 octobre 2014, 16:58 par Allan

Introduction: Parmis les textes A, B et C nous allons comparez les demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves; Jean et Madame Rosémilly; Meursault et Marie.

Parmis les textes il y a des personnages sincères dans leur intentions,  comme Le Prince de Clèves issue du Texte A : Madame de La FAYETTE, La Princesse de Clèves, 1678. En effet, Dans ce texte on voit clairement que le Prince de Clèves est éperdument amoureux de Mademoiselle de Chartre il est dit dans le texte "donner de l'espérance à un homme aussi éperdument amoureux que l'était ce prince".

Il y a aussi Jean qui declare sa flamme pendant une partie de pêche dans le Texte B : Guy de MAUPASSANT, Pierre et Jean, 1888, et il est lui aussi fou amoureux comme il est dit dans le texte "Non je n'ai pas perdu la tête. Je vous aime, et j'ose, enfin, vous le dire."Enfin il y a Marie qui ne pense qu'a une chose, construire un futur avec le personnage de Meursault quand il dit "elle m'a demandé si je voulais me marier avec elle".

En revanche d'autre personnages ressentent de l'indifférence comme Meursault dans le texte C : Albert CAMUS, L'Étranger, 1942. Et Madame Rosémilly dans le texte B. En effet, ces personnages ne prennent pas au sérieux la demande et leur amour envers leurs conjoint n'est pas réel, Madame Rosémilly accepte de se marier pour faire ' plaisir ' et reste indifférente à cela. Meursault quant a lui reste neutre sans prise de conscience de se qu'evoque le mariage, ils sont tous deux "hypocrites" dans leur "amour".



Pour finir, il y a des personnages qui prennent se mariage comme un contrat comme Mlle de Chartres dans le texte A et Madame Rosémilly dans le Texte B : Guy de MAUPASSANT, Pierre et Jean, 1888 .

En effet ces deux personnages présentent une vision assez conventionel que l'on peut qualifier comme un contrat et une affaire a regler. Comme il est dit dans le texte "Elle répondit qu'elle lui remarquait les mêmes bonnes qualités; qu'elle l'épouserait même avec moins de répugnance qu'une autre, mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne".

Les personnages forment des groupent de personnes qui ont soit differents sentiments soit des points en communs. Le texte B : Guy de MAUPASSANT, Pierre et Jean, 1888 reste le plus marquant pour moi du fait de son coté realiste.

68. Le 16 octobre 2014, 16:58 par Aymeric V.D.R.

Pour notre question transversale, nous allons étudier trois extraits de textes, traitant sur le thème du mariage, nous comparerons ces demandes en mariage en regroupant les personnes.

Les trois extraits de texte étudié sont : « La Princesse de Clèves » de Madame de La Fayette, « Pierre et Jean » de Guy de Maupassant, et, « L’étranger » d’Albert Camus. Nous commencerons par étudier les personnes amoureuses, ceux qui font leur demande en mariage.
Dans le texte de « La Princesse de Cléves » c’est le Prince de Cléves qui fait sa demande en mariage a Mlle de Chartres, il est « éperdument amoureux » et lui en fait part lorsque l’occasion se présente à lui. Il attendait ce moment avec impatience « sitôt que le temps de la bienséance du deuil fut passé, il ne songea plus qu'aux moyens d'épouser Mlle de Chartres. »
Dans le texte « Pierre et Jean » de Guy de Maupassant, c’est Jean qui fait sa demande en mariage à Madame Rosémilly, il lui déclare « qu’il l’aime et qu’il ose enfin lui dire », par cette amour, Madame Rosémilly ne sait comment réagir. Jean retenait de lui avouer son amour depuis longtemps, c’est un amour sincère, a un moment même il « lui jetait un baiser qui semblait tomber dessus. » ce qui prouve qu’il a trop attendu de lui dévoiler son amour, et qu’il ne veut plus attendre.
Dans le texte de « L’étranger » d’Albert Camus, la demande en mariage parait peu commune et peu préparée, c’est une demande en mariage spontané et irréfléchie. Dans ce texte, c’est Marie, une femme, qui fait sa demande a Meursault. Sans aucun préparatif, « Le soir, Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier ».
Mlle de Chartres, Madame Rosémilly et Meursault, accepte tout les trois mais sans forcément avec des sentiments, parfois même avec indifférence, c’est ce que nous étudierons dans la partie suivante.

En effet,

Conclusion

69. Le 16 octobre 2014, 16:58 par Léa

Nous pouvons mettre en relation Le Prince de Clèves présent dans le texte A, extrait issu de la Princesse de Clèves, écrit en 1678 par Madame de la Fayette ; Jean issu de l’extrait du texte B de Guy de Maupassant, Pierre et jean, daté de 1888 et également Marie personnage du texte C de L’Etranger, écrit par Albert Camus en 1942. Ce sont tout trois des personnages sincères dans leurs intentions. Dans le texte A on peut lire « sitôt que le temps de la bienséance du deuil fut passé, il ne songea plus qu'aux moyens d'épouser Mlle de Chartres » (l.2) on comprend ainsi très vite que le Prince de Clèves est éperdument amoureux de Mademoiselle de Chartres. Il respecte les convenances du mariage, il déclare son amour à la jeune fille en la demandant en mariage, mais souhaite par-dessus tout plaire à la mère de Mademoiselle de Chartres sans ça le mariage ne pourrait être possible. Jean, présent dans le texte B, éprouve un amour sincère envers Rosémilly. Il ne résiste plus à l’envie de lui avouer ses sentiments bouillonnants même si il est maladroit. Marie, personnage du texte C, ressent de très forts sentiments pour Meursault malgré le fait que pour ce dernier l’amour ni le mariage ne soit important, « Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier » on constate bien ici que Meursault est indifférent à sa demande en mariage et pourtant Marie désire toujours l’épouser. Nous ne pouvons pas douter des sentiments sincères de Marie.

Nous avons à faire à des personnages peu investis dans deux des trois textes. Premièrement, dans le texte B avec Rosémilly qui demande à Jean de ne pas lui parler de ça maintenant car elle veut se détendre. La détente de la jeune femme passe avant l’amour de Jean pourtant très sincère. Elle souhaite que cela soit régler vite. Secondement, dans le texte C Meursault qui, comme dit au dessus, n’accorde que peu d’importance à l’amour et même au mariage. Il ne souhaite pas plus que cela se marier mais si Marie le désire il le fera et si elle ne le veut pas tant pis.

Nous pouvons déduire d’une jeune femme « manipulée » par sa mère concernant Mademoiselle de Chartes dans le texte A. Elle ne désire pas épouser le Prince de Clèves et l’explique clairement à sa mère mais cette dernière ne prend pas en compte l’avis de sa fille qu’elle obligera à se marier à cet homme, « ce prince fit parler à Mme de Chartres; elle reçut la proposition qu'on lui faisait et elle ne craignit point de donner à sa fille un mari qu'elle ne pût aimer en lui donnant le prince de Clèves » on peut parler ici d’une femme hypocrite.

Dans ces trois textes pourtant différents nous pouvons y trouver des similitudes entre les personnages.

70. Le 16 octobre 2014, 16:58 par Thomas K.

Nous allons comparez ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves; Jean et Madame Rosémilly; Meursault et Marie.

Pour ça, premièrement nous allons nous focaliser sur : La réaction des femmes face au mariage.
Dans le premier texte, la femme existe a travers l'homme on ne fait que parler d'elle nous ne connaissons juste son nom, en quelque sorte la femme a à l’aire indifférente. Cet extrait est tiré du roman de Madame de La FAYETTE, La Princesse de Clèves écrit 1678, la femme est confronté à une demande de mariage arrangé, ligne
« elle reçut la proposition qu'on lui faisait et elle ne craignit point de donner à sa fille un mari qu'elle ne pût aimer en lui donnant le prince de Clèves. Les articles furent conclus». Cette phrase donne une impression officiel, sans sentiment, enfaîte on ne laisse pas le choix des sentiment à Mme de Clèves, comme l’appuie sa mère qui ne prend pas en compte les sentiments de sa fille.

Dans le second texte la femme est présente, importance du dialogue, la femme a une réaction attendue et plutôt sobre. Madame Rosémilly est le personnage du roman de Guy de Maupassant, Pierre et Jean écrit en 1888, on peut observer que la femme face à la réaction de la demande du mariage est surprenante « Nous savons fort bien l'un et l'autre de quoi il s'agit, et nous pouvons peser toutes les conséquences de nos actes. Si vous vous décidez aujourd'hui à me déclarer votre amour, je suppose naturellement que vous désirez m'épouser » ligne 21, elle à une réaction inattendu car elle répond de manière calme et concise se qui créé un dimension qui parait comique.

Dans le texte d'Albert Camus dans le roman l’Etranger écrit en 1942, la femme joue le rôle de l'homme c'est-à-dire que c’est elle qui demande Meursault en mariage qui est inattendu, ligne 1 «Le soir, Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle.» Cette une phrase qui prouve la naïveté de la situation, comme si c’était banale est comme si c’était une question peu importante dans une vie.

Et deuxièmement nous allons étudier La réaction des hommes face au mariage.

L'homme dans le premier roman contrairement à Mme de Clèves exprime clairement ses sentiments, ligne 7 « l la pressa de lui faire connaître quels étaient les sentiments qu'elle avait pour lui » On voit clairement que l’homme lui est heureux de cette situation et qu’il éprouve des sentiment vis-à-vis de la femme.

Ici l'homme « joue son rôle » c'est lui qui fait la demande en mariage mais cela parait peut  « sur » et « assuré » effectivement la scène ce finit vite créant du mal être. « Je n'en fais qu'une. Je vous aime. »

On peut comparer des similitudes entre ces trois textes qui montrent les grandes différences des attitudes entre les différents personnages, comme dans le second texte qui nous montre clairement les différences des deux personnages qui un est maladroit et l’autre sérieux et docile.

71. Le 16 octobre 2014, 16:58 par Sarah.V

Nous allons comparer les trois textes en mettant en évidence les caractéristiques des personnages.

 Dans ces trois demandes en mariage, on peut voir que les personnages possèdent des similitudes flagrantes. En effet, les personnages Le Prince de Clèves, Marie et Jean éprouvent un amour fort envers leurs futurs époux. Le Prince de Clèves, dans le texte A écrit par Madame DE LA FAYETTE, paru en 1678 et extrait du roman La Princesse de Clèves, est amoureux de Madame Rosémilly. Il décide de lui faire part de son amour et de son souhait de l'épouser. On voit que c'est un amour fort et passionel : "il la pressa de lui faire connaître quels étaient les sentiments qu'elle avait pour lui et il lui dit que ceux qu'il avait pour elle étaient d'une nature qui le rendraient éternellement malheureux si elle n'obéissait que par devoir aux volontés de madame sa mère". Le Prince de Clèves serait anéanti par le fait que l'amour de la Princesse de Clèves ne soit pas réciproque, son amour est donc fort et sincère. Dans le texte B écrit par Guy de MAUPASSANT extrait du roman Pierre et Jean et parut en 1888, on remarque également l'amour de Jean pour Madame Rosémilly, qui est une amie de sa famille, et ce dès le début du texte. En effet, on voit que Jean à un côté légèrement enfantin face à Madame Rosémilly, il ne sait pas comment s'y prendre pour lui annoncer qu'il est amoureux d'elle. Tout comme le Prince de Clèves, on voit que cet amour est sincère car cette dernière va le contredire, en croyant qu'il ment. Or, Jean va lui faire comprendre qu'il ne ment pas "Pardon, mais je ne pouvais plus me taire. Je vous aime depuis longtemps".
 Face aux demandes de mariages des différents personnages évoqués dans la première partie, Madame Rosémilly, Meursault et la Princesse de Clèves vont réagir d'une manière assez indifférente. En effet, dans le texte A, Madame Rosémilly va accepter la demande du Prince de Clèves sans éprouver de sentiments envers lui : "[...] mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne". Elle l'épouserait comme elle épouserait un autre homme. Meursault, dans le texte C, réagit de la même façon que Madame Rosémilly. Il accepte la demande de Marie sans y porter grande attention, pour lui le mariage n'a pas une grande importance : "J'ai dit que cela m'était égal". On voit qu'il n'éprouve aucun sentiment envers Marie car cette demande ne lui fait aucun effet.
Les personnages ont donc plus ou moins des caractéristiques en commun.
72. Le 16 octobre 2014, 16:59 par Gladys

Nous allons s'intérésser aux différentes demandes en mariage en mettant en évidence les points communs de chaques personnages.

Nous allons montrer les personnages qui sont amoureux de leur partenaire et qui sont d'accord pour s'engager en effet dans le texte A écrit par Madame de La FAYETTE, " La Princesse de Clèves " en 1678 nous constatons que le prince de Clèves est un personnage éperdument amoureux de Mlle de Chartres l.22 " un homme aussi éperdument amoureux ". Cette homme est heureux de vouloir épousé cette femme pour qui il n'espere qu'une chose c'est de lui plaire l.8 " Il eut préféré le bonheur de lui plaire " puis si elle venais à accepter sa demande il en serait ravi. Le texte B écrit par Guy de Maupassant, " Pierre et Jean " en 1888, met en évidence un personnage, Jean, qui avoue son amour au grand jour a Madame Rosémilly l.14 " Je vous aimes, et j'ose, enfin vous le dire " Jean est un personnage qui est maladroit à cause de l'amour qui lui porte et accepte de s'engager.
Ensuite, le texte C écrit par Albert Camus " L'etranger " en 1942 montre que Marie semble aimé de tout coeur Meursault au point de lui proposer de l'épouser l.14 " Elle a déclaré qu'elle voulait se marier avec moi " elle n'attend qu'une chose c'est de s'engager avec l'homme qu'elle aime malgrès l'indiférence qu'il lui porte.

Ensuite, nous allons constater les personnages qui sont indifférents à cette proposition ainsi que leur amour qui n'est pas réel. Dans le texte A, Mlle de Chartres est une femme qui n'est pâs hypocrite, elle assume pleinement que le prince de Clèves ne lui plait pas l.28 " qu'elle l'épouserait même avec moins de répugnance qu'une autre " en revanche Mlle de Chartres reste indifférente à cette proposition puis elle accepte tous de même de l'épouser comme si elle chercher a ne pas decevoir malgrès que son amour envers le prince n'existe pas. Dans le texte C, Meursault est égalerment indifférents à la proposition de Marie, pour lui tout dépend d'elle l.2 " J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. " Il avoue même qu'il ne l'aimer peut etre pas l.4 " sans doute je ne l'aimais pas ", cette proposition n'a aucune importance au yeux de Meursault mais si Maire le désirait, il pourrait se marrier.
( manque de temps pour Madame Rosémilly )

Dans ses textes qui sont pourtant différents nous pouvons contaster que plusieurs personnages se ressemblent et dont certains on quelques point communs en partangeant les mêmes avis.

73. Le 16 octobre 2014, 16:59 par Martin

Nous allons parler des demandes en mariage dans ces trois textes en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages.

Il semble que dans chaque texte, l’un des deux conjoint concerné est amoureux de l’autre, plus ou moins à sens unique. Dans le texte C provenant de L’étranger de Camus, paru en 1942, Marie semble aimer Meursault d’un amour assez fort je pense car il fleurte avec la haine comme on le sent dans la phrase « elle a murmuré que j'étais bizarre, qu'elle m'aimait sans doute à cause de cela mais que peut-être un jour je la dégoûterais pour les mêmes raisons ». On voit bien que Marie aime Meursault et elle ne semble pas comprendre pourquoi car l’amour ne s’explique pas. Dans le texte B qui vient de Pierre et Jean de Maupassant qui est sorti en 1888 c’est Jean qui est amoureux de Madame Rosémilly et dans le dernier texte A Madame de La FAYETTE, La Princesse de Clèves, 1678 c’est M de Clèves qui aime Mademoiselle de Chartres « Le chevalier de Guise2 lui avait donné quelque sorte de jalousie ». La jalousie nait bien souvent de l’amour, on peut donc affirmer qu’il l’aime.

Certains personnages sont également indifférent. En effet dans le texte A Meursault parle de son hypothétique mariage et de son amour pour Marie avec sincérité mais aussi avec la plus grande indifférence, par exemple quand il dit « Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier ». Bien qu’il ne montre pas d’enthousiasme, Meursault ne refuse pas le mariage, il est simplement indifférent. Nous retrouvons ce meme cas de figure dans le texte B avec Mme Rossémily, « Moi, je veux bien, dit-elle. Je vous crois bon et loyal. Mais n'oubliez point que je ne voudrais pas déplaire à vos parents. ». Dans cette phrase on sent encore de l’indifférence, elle ne semble pas parler avec le cœur mais penser surtout au cotès cérémonial. Epouser ne la dérange pas mais il ne semble pas y avoir de flamme dans ces paroles.

Les demandes en mariage et sentiments de chaque personnages les caractérisent d’une manière différentes pour chaque groupe de personnes. Je pense que le texte le plus frappant et celui extrait de l’étranger où l’on distingue bie l’amour de Marie et l’indifférence de Meursault.

74. Le 16 octobre 2014, 16:59 par Hugo

On nous demande de comparer ces demandes en mariage en mettant évidence la façon dont elles caractérises les personnages des romans.

D’emblée nous pouvons remarquer les différentes demande en mariage selon les personnages dans ces trois textes. Dans le texte A, intitulé La princesse de Clèves de Madame de La FAYETTE publié en 1678, nous remarquons que c’est l’homme, M. De Clèves qui demande en mariage la femme, Mlle De Chartres. Dans le texte B, intitulé Pierre et Jean de Guy de MAUPASSANT, publié en 1888, la situation est un peu plus compliqué puisque Jean avoue à Mme Rosémilly l’amour qui lui porte et celle-ci en déduit directement qu’il parle de mariage, « Si vous vous décidez aujourd'hui à me déclarer votre amour, je suppose naturellement que vous désirez m'épouser. » Les codes de la demande en mariage sont brisés et on pourrait avoir l’impression que le mariage ne se fait pas par amour, mais par obligation. Ensuite, dans le texte C, intitulé L’Etranger, D’Albert CAMUS, publié en 1942 c’est Maire, une amie de Meursault qui demande celui-ci en mariage, il accepte sans grande volonté, peut-être pour être gentil et ne pas la blesser.

Nous allons maintenant nous pencher sur les réactions des personnages suite à la demande en mariage.

Dans ces trois textes, les personnages sont plutôt entreprenant ou pas, Marie, texte C et le prince de Clèves texte A sont amoureux et désirent se marier, Jean avoue ses sentiments a Mme Rosémilly et celle-ci évoque la possibilité du mariage, et les voici marier en quelques mots seulement. M. de Clèves, amoureux de Mlle De Chartres la demande en mariage mais celle-ci avoue à sa mère qu’elle ne désire pas se marier avec lui. Sa mère Mme. De Chartres lui impose le mariage et sa fille subit sa décision. Du point de vue de la mère, c’est pour le bien de sa fille qu’elle fait cela et non par hypocrisie. Certaines demandes sont donc faites dans les règles de l’art et d’autres moins mais reste tout autant importante.

Au final, nous nous apercevons que les demandes en mariages sont complètements différentes mais tout aussi intéressante. Le texte le plus intéressant est d’après moi le texte B, car les réactions des deux personnages sont d’avantage surprenante et intéressante à exploiter.

75. Le 16 octobre 2014, 16:59 par Segretin

On nous donne de réfléchir à la question suivante : Vous comparerez ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves; Jean et Madame Rosémilly; Meursault et Marie.

Le texte de A de Madame de la Fayette, le texte B de Guy de Maupassant et le texte C d’Albert Camus ont dans leur texte des personnage sincere dans leur intention. Dans le texte A, on comprend très vite que le prince de Clèves est fou amoureux de Mlle de Chartres. « sitôt que le temps de la bienséance du deuil fut passé, il ne songea plus qu'aux moyens d'épouser Mlle de Chartres. » ainsi le prince de Clèves ayant subit une triste nouvelle ne vas pas l’empécher d’épouser sa bien aime. Dans le texte B, jean ayant Madame Rosémilly dans ses plus profond penser, il a décide de lui avouer son profond amour pour elle.  « Je vous aime, et j'ose, enfin, vous le dire » ainsi il montre sont amour a Madame Rosémilly. Dans le texte c, Marie propose a Meursault de l’epouser. « Marie est venue me chercher1 et m'a demandé si je voulais me marier avec elle », marie appris son courage a deux mains et a decider de passer a l’action.

En effet, le Prince de Cleves, Jean et Marie sont des personnes ayant du cœur mais étant très maladroit dans leur demande, Jean va demander Mlle Rosemilly en mariage tres maladroitement, quand t-au prince de Cleves il va faire une demande en mariage une femme qui va malheuresement pas eprouver les meme sentiment que lui et enfin Marie va faire une demande un homme qui ne l’aime pas plus que sa.
Les personnages comme Jean, Marie et le Prince de cleves vont tomber sur des personnes n’etant pas compatisant a leur demande. En outre, on peut constater que Madame Rosémilly, Meursault et Madame de Chartres sont des personnes peu compatisant.

On peut constater que les personnages de Meursault et Madame Rosemilly ne sont pas serieux. Dans le texte B et C de Madame Rosemilly et de Meursault sont des personnage prennent le mariage a la legere « Que vous êtes malavisé de me parler de ça en ce moment ! Ne pouviez-vous attendre un autre jour et ne pas me gâter ma pêche ? »(texte B) et « Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois1, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. » (texte c) Il accepte la demande mais se retracte et il pourrait se marier avac n’importe qui.

76. Le 16 octobre 2014, 16:59 par Segretin

On nous donne de réfléchir à la question suivante : Vous comparerez ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves; Jean et Madame Rosémilly; Meursault et Marie.

Le texte de A de Madame de la Fayette, le texte B de Guy de Maupassant et le texte C d’Albert Camus ont dans leur texte des personnage sincere dans leur intention. Dans le texte A, on comprend très vite que le prince de Clèves est fou amoureux de Mlle de Chartres. « sitôt que le temps de la bienséance du deuil fut passé, il ne songea plus qu'aux moyens d'épouser Mlle de Chartres. » ainsi le prince de Clèves ayant subit une triste nouvelle ne vas pas l’empécher d’épouser sa bien aime. Dans le texte B, jean ayant Madame Rosémilly dans ses plus profond penser, il a décide de lui avouer son profond amour pour elle.  « Je vous aime, et j'ose, enfin, vous le dire » ainsi il montre sont amour a Madame Rosémilly. Dans le texte c, Marie propose a Meursault de l’epouser. « Marie est venue me chercher1 et m'a demandé si je voulais me marier avec elle », marie appris son courage a deux mains et a decider de passer a l’action.

En effet, le Prince de Cleves, Jean et Marie sont des personnes ayant du cœur mais étant très maladroit dans leur demande, Jean va demander Mlle Rosemilly en mariage tres maladroitement, quand t-au prince de Cleves il va faire une demande en mariage une femme qui va malheuresement pas eprouver les meme sentiment que lui et enfin Marie va faire une demande un homme qui ne l’aime pas plus que sa.
Les personnages comme Jean, Marie et le Prince de cleves vont tomber sur des personnes n’etant pas compatisant a leur demande. En outre, on peut constater que Madame Rosémilly, Meursault et Madame de Chartres sont des personnes peu compatisant.

On peut constater que les personnages de Meursault et Madame Rosemilly ne sont pas serieux. Dans le texte B et C de Madame Rosemilly et de Meursault sont des personnage prennent le mariage a la legere « Que vous êtes malavisé de me parler de ça en ce moment ! Ne pouviez-vous attendre un autre jour et ne pas me gâter ma pêche ? »(texte B) et « Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois1, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. » (texte c) Il accepte la demande mais se retracte et il pourrait se marier avac n’importe qui.

77. Le 16 octobre 2014, 16:59 par manon

On nous demande de comparez ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont chacune caractérisent les personnages.

    
    Une première lecture suffit à faire ressortir que les intentions du Prince de Clèves dans le texte A dont le titre est La Princesse de Clèves  écrit par Madame de La Fayette en 1678, Jean dans le texte B, Pierre et Jean dont l’auteur est Guy de Maupassant écrit en 1888 ainsi que Marie qui apparaît dans L’étranger D’Albert Camus paru en 1942, sont sincères.

Tout d’abord parce que les personnages paraissent éperdument amoureux, comme dans le texte A « un homme aussi éperdument amoureux que l'était ce prince » l12-13 ainsi que le texte B « je ne pouvais plus me taire. Je vous aime depuis longtemps. » l16 cet amour authentique ce ressent également dans le texte C a la ligne 7 « elle a murmuré qu'elle m'aimait ». De plus tout ces personnages se dévoilent à leurs compagnons en transmettant leurs sentiments.

   Malheureusement contrairement au précèdent personnages, Mademoiselle de Chartres, elle, subit le désire de sa mère qui pense a ses intérêts personnels ainsi que son futur compagnon qui lui a de réels sentiments et qui veut l’épouser. Dans le texte A, on peut donc voir que c’est un mariage arrangé que Mademoiselle de Chartres ne désire point « elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne » l16 mais celle-ci l’épousera tout de même par conventions.
   Cependant les personnage de Rosémilly et Meursault sont visiblement tres differents des autres, Rosémilly, elle est peu investis lorsque Jean lui avoue ses sentiments,  mais lui propose tout de meme de se marier car cela lui parait donc naturelle « je suppose naturellement que vous désirez m'épouser. » malgre qu’elle ne montre aucune attache a ce personnage, elle ira meme jusqu'à dire qu’elle « veut bien » sans grande détermination. En revanche Meursault dans le dernier texte lui est totalement indifferent a cette annonce « cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait ».
  La différence entre tout ces personnages est flagrante. Plusieurs sentiments sont eprouver, entre l’amour pationnel et l’indeffence l’ecart est immense.
78. Le 16 octobre 2014, 17:45 par Thomas D.

Après avoir étudier trois textes différents, on constate que les personnages sont différents, mais certaines de leurs actions se rejoignent… On nous demande de comparer ces demandes en mariage, en quoi caractérisent-elles les personnages ?
Pour commencer nous pouvons constater que trois personnages, Le prince de Clèves, du livre éponyme, ressemble en effet à Jean, personnage de « Pierre et Jean » écrit par Maupassant parut en 1888, en un point : Ces personnages sont sincères dans leurs actes, dans leurs paroles. Par exemple, le prince de Clèves serai blessé de devoir se marier avec une femme qui ne ressent rien pour lui comme le démontre cette phrase « Ce qui troublait sa joie, était la crainte de ne pas lui être agréable, et il eût préféré le bonheur de lui plaire à la certitude de l'épouser sans en être aimé. » On peut donc en déduire qu’il est sincère dans ses sentiments envers elle. Jean, le personnage de Maupassant, rejoins cette franchise avec des phrases du style « Non je n'ai pas perdu la tête. Je vous aime, et j'ose, enfin, vous le dire. ». De plus, le troisième personnage, Marie, issue du livre sorti en 1942 « L’étranger » d’Albert Camus, rejoins les valeurs de ces deux personnages masculins, en tentant tant bien que mal de demander Meursault en mariage…

En contradiction avec les trois premiers personnages, on découvre 2 autres types de personnages ; les hypocrites, et les personnages peu investis. Mademoiselle de Chartres devrait rimer avec hypocrisie. En effet, elle épouserai sans soucis le prince, mais, elle ne le ferai pas par amour. Elle dit sans scrupules « qu'elle l'épouserait même avec moins de répugnance qu'une autre, mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne ». On peut donc songer à un mariage par intérêt, un mariage blanc. Sa mère aussi, peut faire partie de la liste des hypocrites, avec cette phrase : « elle ne craignit point de donner à sa fille un mari qu'elle ne pût aimer en lui donnant le prince de Clèves. »
Pour ajouter des personnages à notre liste, nous pouvons parler des personnages non-investis. Ces derniers sont caractérisés par un déni de l’autre personnage, amoureux transit. Meursault, personnage d’Albert Camus, en est le parfait exemple, car il reste indifférent devant les avances de Marie, et réponds des choses du genre « Elle voulait simplement savoir si j'aurais accepté la même proposition venant d'une autre femme, à qui je serais attaché de la même façon. J'ai dit : « Naturellement. » » sans se soucier des émotions de cette dernière. Il ne lui demande pas ce qu’elle a à faire, comme si elle n’existait pas. Quand à Rosémilly, elle accepte soudainement la proposition de Jean, alors qu’elle n’avait jamais évoquer le fait d’une quelconque relation avec lui. Comme si le mariage n’était rien, comme si cela n’allait rien apporter à sa vie.

Cependant, dans ces textes, les trois demandes sont acceptées, malgré les différents sentiments des personnages… L’amour est elle une simple option dans le mariage ?

79. Le 16 octobre 2014, 17:52 par Nicolas B 1ES2

On nous demande de comparer les demandes en mariage selon les personnages.

Tout d’abord dans le Texte A extrait de « a Princesse de Clèves » de Madame de La FAYETTE 1678 Monsieur de Clève évoque significativement la sincérité de sa demande, tout comme Jean dans le texte B extrait de l’œuvre « Pierre et Jean » de Guy de MAUPASSANT et Marie du texte C extrait de l’Etranger de Albert Camus paru en 1942. On comprend clairement que le Prince de Clèves est éperdument amoureux de Mademoiselle de Chartre alors que le roi s’est toujours vivement opposé à chaque tentative de mariage, il semble sur, il est « heureux » et respecte les convenances, et cherche à plaire parfaitement à Mademoiselle de Chartres. Tout comme dans le texte B, Jean éprouve lui aussi une passion incontestable et sincère envers Rosémilly, il lui annonce comme par maladresse son amour, il « l’aime depuis longtemps » et ne « pouvais plus se taire ».

Par la suite on découvre un personnage parfaitement hypocrite, qui est Mademoiselle de Chartres du texte A, cette femme qui semble être « touchée de reconnaissance » annonce tout au contraire qu’elle « n’avait aucune inclination particulière pour sa personne ». Tous les éléments de la fin de ce texte convergent vers l’idée que Mlle de Clève ne laisse que paraître, même si elle consent à toutes les propositions qui ont pu lui être faites.

Pour finir, on peut mettre en évidence l’investissement minimal de deux autres personnages qui sont Meursault du texte C et Rosémilly du texte B, Meursault, sans honte, « est égal » à l’annonce qui lui est faite, Meursault pense « que cela ne signifiait rien » pour lui, ces expressions se charge d’accepter la demande sans pour autant en prendre compte véritablement, tout comme Rosémilly du texte B, qui elle aussi accepte niaisement, elle qui est veuve, la demande maladroite qui lui est faite.

On peut donc comparer les demandes mariages entre les personnages par leur comportements très différés. Certains personnage suggère une vrai inconscience vis a vis de la suite des événements et donnent une impression d’abandon au destin

80. Le 16 octobre 2014, 17:52 par xavier.c

Vous comparerez ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves; Jean et Madame Rosémilly; Meursault et Marie.

la question est de comparer les demandes en mariages de ces 3 textes, et de mettre en évidence la facon dont elles caractérisent les personnages.
Dans le premier texte « Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves »(1678). Le prince de Clèves demande en mariage Mademoiselle de Chartres. Dans le texte B, de Guy de MAUPASSANT,en 1888 Pierre et Jean, Madame Rosémilly à l’idée de mariage suite à la confession de Jean. Pour le dernier texte, d’Albert Camus « l’etranger » de 1942, c’est Marie qui demande en mariage Meursault.

Dans un premier temps nous allons voir les comportement et la situation de ceux qui font la demande en mariage,puis la réaction de ceux qui sont demandé en mariage.

Dans le premier texte, le prince de Clèves est amoureux de Mademoiselle de Chartres, Jean également de Madame Rosémilly, ces deux personnages sont certes amoureux de leur prétendante mais les sentiments qu’ils on a leur egart pourraient suffir, et le mariage ne serait pas la chose la plus importante pour eux. « il eût préféré le bonheur de lui plaire à la certitude de l'épouser sans en être aimé. » On peut voir ses réel sentiment, l’amour que porterait mademoiselle de Chartres lui suffirait donc.
Dans le second texte, Jean est en effet amoureux de madame Rosémilly, mais celui évoque seulement ses sentiment et n’a aucune pensée sur le fait d’épouser sa dame «

Je vous aime, et j'ose, enfin, vous le dire » . une preuve d’amour qui fut mal compris par mme Rosemilly.

Le texte qui m’a le plus marqué est le second, une belle preuve d’amour de Jean, mais également une incompréhension, on peut comprendre son ressentis, on a pas besoins de se marier pour aimer quelqu'un et etre sur de sentiment à l’egard de la personne qu’on aime.

81. Le 16 octobre 2014, 17:52 par Maxime F

Apres avoir étudier trois textes sur le mariage, on nous demande de comparer les personnages, leur attitudes et leurs rôles dans les demandes en mariages.

Pour commencer, nous pouvons étudier l’attitude des femmes devant la demande en mariage.
Tout d’abord, dans le texte A La princesse de Clèves de Madame de La Fayette et le texte C de l’Etranger d’Albert Camus, ce sont les filles qui demandes les hommes en mariage contrairement au « tradition » du mariage, en général se sont les hommes qui font leur demande. Exemple, dans le texte C « Le soir Marie est venu me chercher et m’a demander si je voulais me marier avec elle »
Ensuite, nous étudions dans le Texte B, Pierre et Jean de Guy Maupassant la réponse de la fille qui a été demandé en mariage. « Moi je veux bien », Mlle Rosémilly accepte la demande en mariage de Jean. Elle accepte sa demande en mariage car elle le trouve « bon » et « loyal ». Par rapport aux autres textes c’est la seule qui se marie.

Pour finir, nous pouvons étudier l’attitude hommes devant la demande en mariage.
Tout d’abord dans le texte B, c’est l’homme,Jean, qui demande à la fille, Mlle Rosémilly en mariage contrairement aux autres textes : « Je voulais savoir si vous m’accepteriez ».
Ensuite, comme dans les deux autres textes se sont les filles qui ont demandé en mariage les hommes, est ce qu’ils ont accepté ? Dans le texte A, le Prince de Cleves se marie Mlle de Chartres : « et ce mariage fut su de tout le monde » et dans le texte C Meursault accepte la demande de Marie,mais en vérité il en a rien a faire: « J’ai dis que cela m’était égal ».

En conclusion, les trois demandes en mariages sont acceptés, mais cela ne fait pas le bonheur de tout le monde… Ce qui m’a le plus surpris, c’est la réponse de Meursault à Marie, comme s’il avait accepté la demande de Marie pour lui faire plaisir

82. Le 16 octobre 2014, 17:53 par Erwan

On nous demande de comparer ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves; Jean et Madame Rosémilly; Meursault et Marie.

Dans ces trois textes certains personnages qui prennent le mariage à la légère. Meursault texte C, issue du livre L’Etranger de Albert Camus en 1942 « cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas »L.2 et Mlle de Chartres du Texte A : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves « répondit qu'elle lui remarquait les mêmes bonnes qualités; qu'elle l'épouserait même avec moins de répugnance qu'une autre, mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne » L.12. Madame Rosémilly du Texte B : Guy de Maupassant, Pierre et Jean et Meursault sont deux personnages qui ne portent pas de vive intérêts au mariage. Madame Rosémilly accepte de se marier avec Jean presque sur un coup de tête : «- Voyons, qu'est-ce qui vous prend depuis dix minutes, avez-vous perdu la tête ? » L. 9. Elle ne prend même pas le temps de réfléchir. On dirait qu’elle accepte de se marier par pitié. Et dans le texte extrait de "L'Etranger" c'est Meursault qui est complètement indifférent à la demande en mariage : « J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait »L.1.

Il y a d’autres personnages qui aiment à sens unique, qui portent de l’intérêt au mariage : Marie (texte C), prince de Clèves (texte A), Jean (texte B). Ces personnages veulent s’investir dans leur histoire amoureuse, ils veulent s’engager. Mais ce n’est pas réciproque venant de leur compagnons.

On peut conclure que tous les personnages n’ont pas la même vision du mariage, ils ne veulent pas tous s’engager et en revanche certains veulent se marier. On pourrait dire que certains personnage se marie par hypocrisie ou par pitié.

83. Le 16 octobre 2014, 17:54 par Antoine

Nous allons étudier et comparez ces demandes en mariages en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman.

Pour commencer étudions les différentes demandes en mariage.
Dans le premier texte la femme « Mlle de Chartres » est courtisé par l’homme « M. De Clèves ». Dans ce texte le « protocole » de la demande en mariage est respecté en effet c’est l’homme qui séduit la femme notamment avec : « il la pressa de lui faire connaître quels étaient les sentiments qu'elle avait pour lui » l’homme fait également la demande, il ce donne tout les moyens pour rendre amoureuse cette femme (il est déterminé). Cette demande en mariage est digne de l’époque, l’homme demande aux parents de la jeune fille.
Ensuite, dans le texte numéro deux de Guy de Maupassant, nous retrouvons a peux de choses près la même situation, l’homme qui demande en mariage la femme, ici l’homme est quelqu'un d’impatient il veut de suite savoir la réponse de la femme comme on peut le lire : « Pardon, mais je ne pouvais plus me taire. Je vous aime depuis longtemps. » et ne pense pas du tout a ce que ces parents pourrai dire notamment avec : « En avez-vous parlé à votre père et à votre mère ? - Non, je voulais savoir si vous m'accepteriez » l’homme a « évolué » depuis le premier texte tandis que la femme elle ce laisse toujours courtiser mais ne veut pas décevoir les parents de l’homme. Dans le premier texte c’était l’homme qui ne voulait pas décevoir les parents de la femme.
Dans le dernier texte nous avons une scène d’un roman absurde, en effet la scène est absurde et le « protocole » de mariage n’est ici pas respecté, c’est la femme qui demande en mariage. L’homme n’a même pas de réponse clair a cette nouvelle qui pourtant est importante.

Deuxièmement étudions la réaction des personnages.
Dans le texte un les réactions qu’attend le lecteur sont la. En effet nous n’avons pas d’effet de surprise l’homme et la femme sont heureux l’un est l’autre : « Cette reconnaissance donna à ses réponses et à ses paroles un certain air de douceur qui suffisait pour donner de l'espérance à un homme aussi éperdument amoureux que l'était ce prince. »
Dans le deuxième texte l’homme est très heureux la femme également mais après que l’homme est demandé a la femme de l’épousé, il s’installe une sensation de gène Ils se turent : « Et il s'étonnait, lui, au contraire, qu'elle fût si peu troublée, si raisonnable. »
Dans le texte de Albert Camus, la réaction de Meursault est inattendu nous sommes surpris, encore plus que dans la fin du deuxième texte. Le fait que Meursault ne réponde pas cela renforce le coté absurde de la scène et le coté « incompris » de la situation.

Pour conclure nous pouvons voire que la demande en mariage à beaucoup évolué entre les siècles, notamment pour le texte C qui reste très percutant ou la traditionnelle demande en mariage n’est pas respecté sous toute les angles.

84. Le 16 octobre 2014, 17:55 par Morgan

On nous demande de comparer ces demandes en mariages en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivant : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves ; Jean et Madame Rosémilly ; Meursault et Marie.

Premièrement, nous allons étudier le comportement de ceux qui font leur demande en mariage. Dans le texte A, La Princesse de Clèves écrit par Madame de La FAYETTE en 1678, c'est le prince de clèves qui fait sa demande. C'est un homme passionnément amoureux et lui demande sa main en étant pratiquement sur qu'elle ne sera pas refusée « il était quasi assuré qu'on ne la lui refuserait pas ». Dans le texte B, Pierre et Jean écrit par Guy de Maupassant en 1888, c'est Jean qui fait sa demande. Jean est un homme très amoureux qui peut être comparé au prince de Clèves à l’exception que lui n'est pas sur de la réponse de Madame Rosémilly. Pierre ne s'attendait pas du tout à se que Madame Rosémilly accepte sa demande et cela le trouble. Dans le texte C, L'étranger écrit par Albert Camus en 1942, C'est cette fois ci Marie qui fait sa demande. Ce qui différencie cette demande des autre textes, car c'est la dame qui fait la demande. Marie aimes beaucoup Meursault car il éprouve de l'indifférence envers son amour et cela l'attire.

Deuxièmement nous allons étudier le comportement de se qui reçoivent cette demande . Dans le texte A c'est la princesse de clèves qui reçoit la demande elle accepte car elle trouve que le personnage du prince de clève est bon «'il y avait tant de grandeur et de bonnes qualités dans M. de Clèves », Dans le texte B, c'est Mme Rosémilly qui reçois la demande. Elle accepte sans réfléchir et ils se retrouve tout deux marier en quelque minutes de conversation. Dans le texte C c'est Meursault qui reçoit la demande. Lui n'a pas d’avis sur celle ci. Pour lui, il ne sais pas si il aime marie et si ils veut se marier avec elle.

Le texte C paraît le plus frappant car la demande en mariage et sa réponse sont hors du commun. C'est la femme qui fait sa demande et Meursault lui répond en lui disant qu'il ne l'aime probablement pas et qu'il se marierait avec elle si elle le voulais.

85. Le 16 octobre 2014, 17:55 par Thomas C

On nous demande de comparer les personnages et leurs rôles dans les demandes en mariage.
Pour commencer nous allons parler de l’indifférence de Meursault lorsque Marie Cardona lui demande en mariage puis ensuite je parlerai de l’étrange demande en mariage de Jean lors d’une journée passait à la pêche et du comportement de Jean.

Tout d’abord nous allons présenter le texte numéro 3, le texte est extrait du roman D’Albert Camus qui est l’Etranger écris en 1942. Nous voyons bien que Meursault est indifférent à cette demande en mariage, il accepte même si il n’a pas de sentiments « je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D'ailleurs c'était elle qui le demandait et moi je me contentais de dire oui », on sent bien que Meursault est indifférent et que pour lui cela ne lui fait aucuns effets. Meursault aurait aussi dis la même chose à une autre femme, ce qui démontre bien qu’il n’importe pas d’importance à Marie « elle voulait simplement savoir si j'aurais accepté la même proposition venant d'une autre femme, à qui je serais attaché de la même façon» « j'ai dit : « Naturellement. ».

Ensuite nous allons avant de parler de la demande en mariage étrange de Jean présenter le texte numéro 2, C’est un texte écris par Guy de Maupassant en 1888 qui se nomme Pierre et Jean. Dans ce texte nous pouvons apercevoir que Jean est assez mal à l’aise, il ne sait pas à quel moment le lui demander, « Jean maintenant ne trouvait rien, mais il la suivait pas à pas, la frôlait, se penchait sur elle, simulait un grand désespoir de sa maladresse, voulait apprendre.» Jean est « expressif » il lui dévoile ses sentiments, ce qu’il ressent « je n'en fais qu'une. Je vous aime » contrairement à elle qui l’évite et qui ne le comprend pas
« Voyons, qu'est-ce qui vous prend depuis dix minutes, avez-vous perdu la tête ? », il ne peut pas non plus se retenir plus longtemps « Pardon, mais je ne pouvais plus me taire. Je vous aime depuis longtemps ». Ce n’est pas officiel « en avez-vous parlé à votre père et à votre mère ? » il n’en a pas parlé à sa famille, « non, je voulais savoir si vous m'accepteriez ».
C’est cependant à la fin que Madame Rosémilly change de comportement «elle lui tendit sa main encore mouillée, et comme il y mettait la sienne avec élan »

Pour finir les comportements des personnages sont tous différents, le texte qui serait le plus marquant est le numéro 3 car nous pensons qu’il est original car la demande en mariage se passe à la pêche.

86. Le 16 octobre 2014, 17:56 par William

Nous allons étudier trois extraits traitant le même sujet qui est : la demande en mariage, ces demandes sont faîtes de façons différentes dans les trois textes caractérisant chaque personnages.

Tout d'abord nous allons aborder les différentes demandes en mariage, dans le texte A, La Princesse de Clève, écrit par Madame de La Fayette en 1678 expose deux personnages dont l'un éprouve des sentiments. Sa demande se fait auprès de la Princesse de Clève, de façon respectueuse, à travers ce passage «  lui parla de son dessein et de sa passion avec tout le respect imaginable » (l. 7 ) le mot respect est mis en valeur par l'adjectif qui le suit. Ensuite auprès de la mère de l’intéressée «  Dès le lendemain, ce prince fit parler à Mme de Chartres » (l.14 ) les protocoles sont suivis. Dans le texte B, écrit par Guy de Maupassant en 1888, intitulé Pierre et Jean. Ici, la demande en mariage est inattendue Jean, amoureux de madame Rosémilly, lui avoue ses sentiments. Par ce fait, madame Rosémilly en déduit donc une demande en mariage «  je suppose naturellement que vous désirez m'épouser » ( l. 21 )et ne laisse pas de place à une réponse négative. Jean ne lui a fait aucune demande directement car elle suppose, elle est donc faîte par Jean mais l'idée en découle des déductions de madame Rosémilly, contrairement au texte A, où tout est explicite. Opposé à ces deux extraits, le texte B d'Albert Camus, nommé l'Etranger et écrit en 1942 met en scène Meursault et Marie, un couple. Mais à notre étonnement, Marie endosse le « rôle » de l'homme selon les traditions, et souhaite se marier avec Meursault, comme il le dit «  Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle » (l. 1 ) elle a pris les devants.

Puis nous allons parler de la manière dont ses demandes en mariages peuvent caractériser les personnes. La façon dont se déroule l’événement dans le texte A nous indique que M. de Clèves est un homme respectueux et traditionnel. En effet, comme le protocole est suivi correctement ( demande faîte avec l'accord de la mère ) on peut en déduire que le prince suit les traditions qui font que l'homme demande la femme en mariage, puis qu'il se marie avec tout en demandant l'accord du tuteur . Contrairement à ce texte, le texte C est totalement opposé, ici Marie s'est presque mise à la place de Meursault, c'est une femme entreprenante qui sait donc ce qu'elle veut. Meursault, lui, porte une certaine indifférence face à cette demande. Connaissant son caractère, on peut en déduire que Marie a eu du courage. Le texte B est presque une demande comprise entre le texte A et C, car on peut voir que madame de Rosémilly en a déduis une demande en mariage sans que Jean n'évoque ce fait. Il acquiesce , c'est un homme qui ne sait pas exactement ce qu'il veut, un peu comme Meursault, car il suit ce que madame de Rosémilly lui a dit, sans pour autant le vouloir. On peut même croire qu'il a peur de la décevoir.

Les demandes en mariage peuvent donc caractériser les personnages selon les différentes façon dont elles sont faîtes, on peut ainsi en déduire si ils sont entreprenants, indifférents, voir presque « peureux ». On retient que le texte d'Albert Camus est un texte moderne, les protocoles et les règles ont changé, il n'y a plus de rôle.

87. Le 16 octobre 2014, 17:56 par nicolas d

Ce corpus traite le sujet du mariage mais une question ce pose, comment réagisse les personnages ? Cette question va nous permettre de caractériser les personnages.

Le comportement des personnages est différent. En effet les demandeurs en mariages ont tous une réaction différente.

    Dans le texte 1 de Madame de la Fayette : « la princesse de Clèves » écrit en 1678. Le demandeur en mariage donc M. de Clèves à l’air brave, le texte nous le montre grâce a de nombreuses expressions dont : « M. de Clèves ne fut retenu par aucune de ces considérations. » Cette citations proue que le demandeur n’est effrayer pas aucun obstacle. La demande est plutôt romantique cela se voit grâce à la façon d’écrire du texte, en effet le texte utilise un vocabulaire soutenus, ce qui la scène plus « belle » , romantique car cela donne un côté compte de fée malgré que le lecteur peut penser qu’il ne se connaisse à peine.
   Or dans le texte 2 de Guy de Maupassant « Pierre et jean » écrit en 1888, la réaction du demandeur en mariage est enfantine. Le demandeur s’apparente à un enfant ne voulant entendre ce sui dit la destinataire de cette demande. «  - Je n'en fais qu'une. Je vous aime. » cette citation pour que le demandeur est dans une situation enfantine. Cette situation peut faire poser de nombreuses questions sur le demandeur comme : quelle est son âge ?
    Dans le texte 3 d’Albert Camus « l’étranger » la demande est plutôt embarrassante, en effet Marie demande en mariage Meursault, or dans un cas en général c’est l’homme qui demande en mariage.

De plus elle se pose beaucoup de questionner à propos de l’amour qu’à Meursault, « Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. » ce qui prouve que la demandeuses n’est pas sur d’elle.
Le comportement des receveurs de cette demande est très diversifié.
En effet dans le texte 1 la receveuse à m’air noble, elle ne prend pas cette demande comme une chose comme une autre. En effet après une conversation avec le demandeur elle en parle directement à sa mère.

  Dans le texte 2 Mme Rosémilly ,’a pas l’ai touché par cette demande elle ce montre indifférente, un peu comme dans le texte 3, mais en moins humiliant pour le demandeur. En effet dans le texte 2 la receveuse se montre compréhensible avec le demandeur et accepte cette demande. Alors que dans le texte 3 Meursault ce montre intouché par cette évènement, on ne sait pas si il aime Marie.

Le texte le plus gênant, le plus original est pour moi le texte 3. En effet c’est a la fois le texte le plus marrant mais aussi le texte que fait poser le plus de question au lecteur.

88. Le 16 octobre 2014, 17:56 par Julie C

Nous allons comparez trois demandes en mariages, en mettant en évidence la façon dont-elles caractérisent les personnages présents, qui sont des personnages de romans.

Tout d'abord, nous allons parler des « amoureux »Marie, Jean et M. de Clèves.
Dans le texte C extrait de l’Etranger d’Albert Camus (1942), Marie est amoureuse de Meursault, tellement amoureuse qu’elle souhaite ce marier avec un homme qui ne l’aime pas « Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. » (l.1) On constate qu'au début elle semble ne pas comprendre l’intérêt d’un mariage sans amour réciproque, « Elle a observé alors que le mariage était une chose grave. J'ai répondu: « Non. » Elle s'est tue un moment et elle m'a regardé en silence. » (l.3) Mais finit par « changé » d’avis « Après un autre moment de silence, elle a murmuré que j'étais bizarre, qu'elle m'aimait sans doute à cause de cela » (l.5), « elle m'a pris le bras en souriant et elle a déclaré qu'elle voulait se marier avec moi. » (l.6) Ici c’est Marie qui fait sa demande en mariage ce qui est peu courant pour une femme, de plus elle souhaite ce marier avec quelqu’un qui ne l’aime pas.
Dans le texte B extrait de Pierre et Jean de Guy de Maupassant (1888), c’est Jean qui est amoureux de Madame Rosémilly, d’ailleurs il lui avoue cela d’une façon très direct ce qui rend le moment drôle en plus du contexte de la partie de pêche « - Ah ! Que vous êtes ennuyeux, disait la jeune femme; mon cher, il ne faut jamais faire deux choses à la fois.
  Il répondit :
 - Je n'en fais qu'une. Je vous aime. » (l.4)
Mais bizarrement ce n’est pas lui qui fait sa demande en mariage, c’est Madame Rosémilly qui lui suggère, pourtant, elle ne l’aime pas. « Si vous vous décidez aujourd'hui à me déclarer votre amour, je suppose naturellement que vous désirez m'épouser. » (l.20) Jean ne fait qu’accepter.
Dans le texte A extrait de la Princesse de Clèves de Guy de Maupassant (1678), c’est le Prince de Clèves qui  est éperdument amoureux de la Princesse, « un homme aussi éperdument amoureux que l'était ce prince» (l.10) il se soucie de savoir si elle l’aimera a son tour « et il eût préféré le bonheur de lui plaire à la certitude de l'épouser sans en être aimé. » (l.4)

Nous allons maintenant parler de l’indifférence de Madame Rosémilly, de Meursault et de Mlle de Chartres. Dans le texte C, Meursault accepte de ce marier avec Marie comme si c’était quelque chose a prendre a la légère, il ne voit dans le mariage aucuns engagements, il prend cela comme une chose anodine « « Pourquoi m'épouser alors ? » (l.2) a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. » (l.3) « Elle a observé alors que le mariage était une chose grave. J'ai répondu: « Non. »» (l.3) il est totalement indifférent à la situation.
Dans le texte B, Madame Rosémilly suggère a Jean de ce marier, après trois minutes d’échanges, alors qu’elle n’est pas amoureuse de lui. Même Jean qui lui avoue un amour sincère durant depuis longtemps ne la demande pas en mariage si rapidement, mais elle, elle le fait. Elle ne voit rien d’important dans le mariage. Quand Jean lui avoue ses sentiments elle dit seulement « Moi, je veux bien, dit-elle. Je vous crois bon et loyal. Mais n'oubliez point que je ne voudrais pas déplaire à vos parents. » Madame Rosémilly va épousez un homme parce qu’elle le trouve « bon et loyal » (l.27), ils ce retrouvent donc mariés en quinze phrases échangés, situation assez étrange.
Dans le texte A, nous avons une situation assez similaire avec le texte B dans la mesure ou Mlle de Chartres accepte d’épousez un homme seulement parce qu’elle lui trouve des qualités « Mme de Chartres lui dit qu'il y avait tant de grandeur et de bonnes qualités dans M. de Clèves » « Mlle de Chartres répondit qu'elle lui remarquait les mêmes bonnes qualités; qu'elle l'épouserait même avec moins de répugnance qu'une autre, mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne. »(l.13) elle va épousé un homme qu’elle n’aime pas parce qu’il a des qualités. La seule différence entre le texte A et le texte B est que dans le texte A le mariage arrive plus lentement, la scène ce déroule sur une durée plus longue.

On retientra donc que tous les personnages n'ont pas réagis de la même façon a la demande en mariage, ils ne voient également pas ça de la même manière. Le texte le plus marquant est le texte A, car la femme a souvent l'image de la personne toujours très amoureuse et plus « fragile sentimentalement », et de toujours croire au grand amour, mais Mlle de Chartres, elle, épousera un homme qu'elle n'aime pas parce qu'elle le trouve loyal. De plus la dernière phrase est très intéressante « qu'elle l'épouserait même avec moins de répugnance qu'une autre, mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne. »

89. Le 16 octobre 2014, 17:56 par Nabil B

Nous allons comparer trois extrait de demande en mariage, trois de façon différente. Ces demandes en mariage sont faites à des époques différentes et par différente personne.

Tout d’abord on va pour commencer étudier les deux demandes qui se rapprochent le plus, le texte A La Princesse de Clèves écrit par Madame de La FAYETTE en 1678 mettant en scène principalement Mme de Chartres et le prince de Clèves, lui qui souhaite épousé cette dame peu de temps après la mort du père de celle-ci. Le passage très similaire dans le texte A est la consultation des parents pour le mariage texte A : « Elle rendit compte à sa mère de cette conversation » et dans le texte B « je ne voudrais pas déplaire à vos parents» alors que dans le dernier texte d’Albert Camus, L'Étranger écris en 1942 mettant en scène Meursault et Marie, Meursault qui viens de perdre sa mère et Marie une ancien rencontre de Meursault. Camus ses différentier de des deux autre car c’est déjà Marie qui fait la demande et on n’entend jamais parler des parents pour ce mariage. Dans le texte B Pierre et Jean de Guy de Maupassant écris en 1888 le contexte on voit que le contexte n’est plus le même mais ils sont tout deux très similaire de part leur demande en mariage faite par l’homme (le prince de Clèves dans le texte A) et là faite par Jean. Ici la demande est inattendue car comme on le lit Madame Rosémilly est une « une amie de la famille ».

Dans le dernier texte la demande nous semble plus basic, normal par rapport à nous, on peut avoir cette impression de plus proche car l’époque est moins lointaine que dans le texte A et B. Cependant c’est Marie qui fait la demande contrairement aux autres textes ou c’est Jean ou Le prince. Mais cette demande nous laisse un suspense car on n’a l’impression que Meursault est si heureux de se marier du moins il accepte sans pour autant que cela change sa vie, cette scène a l’air plus vrai dans les deux autres textes.

Enfin le texte que l’on peut trouver le plus marquant est peut être celui de Camus car la n’est pas commune on ne s’attend pas a cet réponse mais a un oui ou un non .

90. Le 16 octobre 2014, 17:56 par Quentin

On nous demande de comparer les demandes de mariage en montrant la façon dont les personnages sont caractérisés.

Les comportements des personnages qui font leur demande en mariage sont différents.
En effet, dans le texte 2 qui est un texte de Guy de Maupassant, qui se nomme Pierre et Jean et qui a été écrit en 1888, la demande de Jean à mme Rosémilly est plutôt romantique «Je n'en fais qu'une. Je vous aime » et assez brève tandis que dans la demande du texte 1 La princesse de Clèves de Madame de la Fayette écrit en 1678, la personne qui demande en mariage, M. de Clèves est assez brave « M. de Clèves ne fut retenu par aucune de ces considérations. »
Nous observons de plus que la demande de l’extrait 3 de l’Etranger écrit en 1942 par Albert Camus est faite par Marie à Meursault. Nous constatons que cette demande est différente car elle est proposée par une femme. Cette demande est également très brève « Ce soir, Marie est venue me chercher1 et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. »

Les comportements des personnages qui reçoivent la demande sont également différents.
Nous remarquons que Meursault du texte 3 qui reçoit la demande en mariage a l’air indifférent à la proposition « J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait » . Cette annonce ne semble pas perturber Meursault alors que Mme de Rosémilly prend cette nouvelle très au sérieux « Mon cher ami, vous n'êtes plus un enfant et je ne suis pas une jeune fille. Nous savons fort bien l'un et l'autre de quoi il s'agit, et nous pouvons peser toutes les conséquences de nos actes. Si vous vous décidez aujourd'hui à me déclarer votre amour, je suppose naturellement que vous désirez m'épouser. » Cette longue citation de Mme de Rosémilly nous montre qu’elle se rend compte de l’importance de cette nouvelle.

Le texte que j’ai trouvé le plus original est celui de l’Etranger car la réaction de Meursault n’est pas banale.

91. Le 16 octobre 2014, 17:57 par Amandine.A

Ici, nous allons comparer ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves; Jean et Madame Rosémilly; Meursault et Marie.

Pour commencer, nous allons parler d’un personnage d’un des textes du corpus qui est très cérémonial. Dans le texte A (La princesse de Clèves écrit par madame de La Fayette en 1672), le prince de Clèves est éperdument amoureux de Mademoiselle de Chartre « un homme aussi éperdument amoureux que l'était ce prince », celui-ci respecte tout à fait ces convenances.
Son amour pour Mademoiselle de Chartre l’aveugle.

Ensuite nous allons parler des personnages du corpus qui sont indifférents et passifs. Dans le texte C (L’Etranger écrit par Albert Camus en 1942), Meursault ne portent pas de vifs intérêts au mariage « Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. », celui-ci est alors complètement indifférent à la demande en mariage de Marie, il s’en fiche. Il accepte de se marier pour faire « plaisir » à Marie et son amour en vers elle n’est absolument pas réel. « Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. ». Dans le texte B (Pierre et Jean écrit par Guy de Maupassant en 1888), on peut en effet constater que Madame Rosémilly ne prend pas la demande en mariage de Jean au sérieux. On pourrait penser que pour elle, lorsque l’on aime une personne et que l’on lui dit, on doit obligatoirement se marier. « Si vous vous décidez aujourd'hui à me déclarer votre amour, je suppose naturellement que vous désirez m'épouser. ». Elle n’exprime pas ces sentiments, elle reste indifférente à cela. Dans le texte A, Mademoiselle de Chartres ne porte pas non plus d’importance à la demande en mariage du prince de Clèves. On pourrait croire que celle-ci l’épouse par simple compassion. « Comme Mlle de Chartres avait le cœur très noble et très bien fait, elle fut véritablement touchée de reconnaissance du procédé du prince de Clèves. »

Pour finir, nous allons parler des personnages du corpus qui sont naïfs et maladroits. Dans le texte C, on constate que c’est un amour à sens unique, Marie aime Meursault mais pas lui. Celle-ci le trouve bizarre mais décide de quand même l’épouser. « Elle a murmuré que j'étais bizarre, qu'elle m'aimait sans doute à cause de cela. ». Elle décide d’épouser un homme qui ne l’aime pas ce qui est assez étrange. Dans le texte B, Jean éprouve un amour sincère pour Rosémilly, « Je vous aime ». Cependant il est maladroit. Il ne se rend d’ailleurs pas compte de l’indifférence de Madame Rosémilly face à sa demande en mariage.

Grâce à tout cela, on peut alors bien constater que tous les personnages ne pensent pas les mêmes choses sur ce qui est du mariage.

92. Le 16 octobre 2014, 17:57 par JulieA_1es2

On nous demande de comparer ces demandes en mariage en mettant en évidence la façon dont elles caractérisent les personnages de roman suivants : Mademoiselle de Chartres et le prince de Clèves; Jean et Madame Rosémilly; Meursault et Marie.
Les textes de corpus proposent différente façon de demande en mariage. Dans le texte A : Madame de La FAYETTE, La Princesse de Clèves, c’est l'homme, Le prince de Clèves qui demande en mariage la femme, Mademoiselle de Chartes. Dans le texte B : Guy de Maupassant, Pierre et Jean, la situation est plus compliqué, c’est Mme Rosémilly qui va donner l’idée du mariage après la confession que Jean lui avait faite. Dans le Texte C : c’est la femme, Marie qui demande la main de l'homme, Meursault.

Dans un premier temps nous allons voir comment se caractérise le comportement de ceux qui font leur demande en mariage. Ensuite nous nous intéresseront aux comportement de ceux qui reçoivent la demande permettant de caractériser leur personnalité.

Tout d’abord, dans le texte 1 le prince de Clèves fait sa demande, c’est un homme fou amoureux tout comme Jean dans le texte 2. Il est presque sûr que celle-ci accepte, à l’inverse de Jean qui lui se déclare sans aucune intension de mariage au départ. On remarque une ressemblance entre ces deux personnages car les deux n’accorde pas vraiment d’importance au mariage, mais privilégie les sentiments. En effet le prince de Clèves dit clairement qu’il préférerait qu’elle l’aime plutôt qu’elle l’épouse comme cette citation le montre « la crainte de ne pas lui être agréable, et il eût préféré le bonheur de lui plaire à la certitude de l'épouser sans en être aimé. » On s’aperçoit que cette citation est claire, et qu’elle nous dévoile vraiment les pensées et les ressentis du prince. Elle est douce et romantique, et surtout elle déborde de sincérité, les emplois des mots sont doux, chaleureux et jolis comme « bonheur » « agréable ». C’est une phrase très romantique et poétique avec une rime aux mots « préféré » « épouser » et « aimé ». Quand à Jean il s’est déclaré avec un « je vous aime et j'ose, enfin, vous le dire » mais ne compter pas l’épouser il voulait plutôt voir et savoir la réaction que Madame Rosemilly aurait.
D’autre part, dans le texte 3 c’est Marie qui fait sa demande. Ce qui contraste avec les autres textes et donne une touche originale car c’est peu courant. On s’aperçoit que Marie a un très forte ressemblance avec le prince de Clèves et Jean car elle est aime avec une énorme sincérité son partenaire. En effet c’est trois personnages sont des personnages amoureux et n’ont pas honte de dévoilé leurs sentiments.

Secondement, on s’aperçoit que Mlle de Chartres et Meursault accepte sans réels sentiments. Tout deux n’aiment pas leur partenaire, Mlle de Chartres est « touchée de reconnaissance du procédé du prince de Clèves » mais elle accepte par intérêt pour satisfaire sa mère, « elle l'épouserait même avec moins de répugnance qu'un autre mais qu'elle n'avait aucune inclination particulière pour sa personne. ». Meursault lui est complètement indifférent et accepte pour faire plaisir à Marie, il y a un côté comique dans cela. Marie face au comportement de Meursault est perdu elle se demande pourquoi elle l’aimait.
Madame Rosémilly est différente des autres personnage car premièrement c’est elle qui donne allusion au mariage ce qui rappelle Martie mais elle contrairement au autres accepte de se marier avec Jean presque sur un coup de tête « Si vous vous décidez aujourd'hui à me déclarer votre amour, je suppose naturellement que vous désirez m'épouser. »
Pour finir le texte 1 et 2 ne finissent pas romantiquement, en effet dans le texte 1 le Mariage est rendus public, rien de romantique ni personnel, aucune émotion. Dans le texte 3 les deux mariés ne finissent même pas ensemble après la demande et Meursault fais même remarquer à Marie que les femmes dans la rue sont belles,

Pour conclure le texte 2 est celui qui m’a le plus marqué car c’est le plus agréable à lire, il est romantique et beau, les deux se sentait lié, marié, en vingt paroles. Ils n'avaient plus rien à se dire puisqu'ils étaient d'accord et ils demeuraient maintenant un peu embarrassés tous deux de ce qui s'était passé, si vite, entre eux, un peu confus même, n'osant plus parler, n'osant plus pêcher, ne sachant que faire.
Il sont dans leur petit monde ce qui me fait réver.

93. Le 16 octobre 2014, 17:57 par aurelien

On va comparer la demande en mariage de chaque texte en caractérisant les personnages.

On va montrer la réaction des femmes face au mariage
     Chaque auteur nous montre une caractéristique de la femme face à la demande en mariage et selon l'époque : Marie est la seule qui prouve des sentiments à Meusault par rapport aux deux autres qui l'une prouve des sentiments après avoir demandé à sa mère,     " Elle rendit compte à sa mère de cette conversation " alors que la dernière est au début surprise et indifférente et on remarque qu'elle decide elle-même de prendre la décision du mariage.

Pour finir, on contaste que les trois femmes acceptent la demande, même si il y en a qu'une qui fait la demande et une autre qui est demandée et l'autre qui est et prend la décision de la demande.
Incompréhension des personnages ?
II) Réaction des hommes face au mariage

   On contaste que les hommes sont séparés en groupe avec d'un côté, le Prince de Clèves et Jean sont tous les deux fous amoureux de Mlle de Chartres et Mme Rosémilly, tandis que Meursault aime Marie même si dans le texte, Camus nous le montre pas mais plutôt montre l'indifference de Meursault quande il dit " que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. ".

Cependant, surprise les trois hommes acceptent la demande, on pourrait penser que comme Mme Rosémilly, il refuserait mais non il accepte mais il ne comprend pas l'utilité du mariage, pour lui ce n'est pas indispensable de se marier.

III) La demande en mariage
On peut remarquer que les 3 textes sont des textes romantique de différentes époques. On peut donc penser que les auteurs voulaient donner une images différentes de la deamnde en mariage : le texte 1 respecte les règles du mariage, tandis que les deux derniers textes sont des images inversées qui se ressemble, avec deux personnages indifférents et deux autres amoureux et où c'est la femme qui demande en marige, là où dans le texte 1, c'etait l'homme qui demandait.

On essayait de développer que malgré l'époque et l'image donne l'auteur sur la demande en mariage, les texte reste des textes romantique.
Le texte le plus marquant est Pierre et Jean car c'est rythmé et les codes de la demande est inversé comme l'etranger de Camus.

94. Le 17 octobre 2014, 18:24 par Samy

Ce corpus de trois textes présente trois demandes en mariage peu communes. Nous analyserons la façon dont elles sont faites pour en déduire les caractéristiques des différents personnages, leurs différences, leurs ressemblances.

Dans un premier temps, nous nous interesserons aux personnages amoureux. Ils sont au nombre de trois : Le prince de Clèves du roman du même nom de madame La Fayette paru en 1678 , Marie du roman « L’Etranger » d’Albert Camus paru en 1942 et enfin Jean du texte « Pierre et Jean » de Guy de Maupassant paru en 1888. Tout d'abord , on constate et on rapelle que ces trois demandes en mariage surviennent dans des contextes et epoques bien differentes , la cour de Henri II , vers la fin XVIeme siecle , la petite bourgeoisie de province au XIXeme siecle ainsi que les employes ( plutot modestes ) de l'algerie sous-colonisation , au XXeme siecle .

Mlle de Chartres représente l'idéale féminin de leur époque. Elle ne partage absoluement pas ses sentiments mais le respecte beaucoup " L19 ; Elle fut véritablement touchée de reconnaissance du procédé du prince de Clèves ". Elle se confiera à sa mère pour prendre conseil mais celle çi se montrera volontairement "sourde" devant ses arguments et accepte la demande de M. de Clèves. Mlle de Chartres se sacrifiera, notament pour respecter les usages en se mariant tout de même avec lui. M. de Clèves se retrouvera face à sa grande angoisse " L8 ; il eût préféré le bonheur de lui plaire à la certitude de l'épouser sans en être aimé ".
Mlle Rosemily, une très jeune veuve, veut rebondir et continuer à avancer dans la vie loin d'un idéalisme absolue et voit dorénavant le mariage comme un partenariat, un contrat, un arrangement réciproque. Jean ne semble pourtant pas lui déplaire. Il y a même un semblant de jeu de séduction entre eux, mais peut être endurcie par la vie ; elle se montre un peu froide et pragmatique en prenant les choses en mains. " L28 ; Mon Cher ami ... jusqu' épouser ".

Marie est jeune et éperduement amoureuse de cet homme qui se montre si indifférent envers elle. " L4 ; Mais que sans doutes, je ne l'aimais pas ". Elle est jalouse, elle a surement peur qui lui échappe et pense sans doutes que le mariage est la solution.
Les différences, entre elles, sont nombreuses et fortement accentuées entre les sentiments qui les animent et la demande qui suit. Mlle de Chartres respecte son prétendant mais ne l'aime pas. On sent qu'elle subit la situation. Quant à Mlle Rosemily, aux sentiments mitigés, elle prend les choses en mains et parait vouloir controler la situation comme les rênes d'un cheval. Marie, elle, est folle amoureuse au point de tout donner, de se vider et jusqu'au dégout de lui. Peut être veut elle se marier comme pour le posséder parce qu'il est si indifférent, qu'elle sent bien qui lui "échappe".

Dans les sentiments, nous passons donc de façon croissante de la quasi-indifferente à la concilliante pour terminer avec la passionnée qui se laissera totalement consummer. Les demandes divergent sur le même shéma : du mariage subit et "arrangé" au mariage de raison puis au mariage pour emprisonner l'autre. Le texte de "L'étranger" et l'histoire de Marie m'ont le plus frappés car je pense que cet amour si fort et non payé de retour va la faire souffrir et peut être même la détruire...