1ère STMG 11. Le fonctionnement de l'épreuve écrite.
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 03 septembre 2015, 20:26 - Lien permanent
Voyons ensemble le sujet qui est tombé l'an dernier et parlons-en!
Par Muriel Tostivint (lycée Marie Laurencin, Mennecy (91)) le 03 septembre 2015, 20:26 - Lien permanent
Voyons ensemble le sujet qui est tombé l'an dernier et parlons-en!
Commentaires
Vous trouverez le sujet à l'adresse suivante:
http://www.site-magister.com/sujets...
Lisez le sujet et envoyez un smiley par texte qui traduira vos impressions de lecture face à chaque texte (le smiley vous représente en train de lire le texte).
Vous justifierez ces smileys par au moins trois arguments.
:/ : j'ai pas compris pourquoi faire un aussi long texte pour la description d'une pieuvre. je ne l'ai pas trouvé intéressant.
:( : enfant. le texte est triste, faisant penser a la belle et la bête.
:/ : Je n'ai pas accrochée sur ce texte. Il ne m'a pas intéressé plus que ça.
:( : Je n'ai pas aimé ce texte, je le trouve un petit peu enfantin, et ennuyant.
:/ : Le texte est triste, et je préfère les textes joyeux.
Texte 1 :
:|
-suspens jusqu'à la fin du texte
-répugnant
Texte 2 :
:s
-intriguant
- relation complice entre le lion et la fille
Texte 3:
- Le texte est triste
:O
Dans ce texte, je ressens l'horreur qu'il éprouve, de la panique au moment ou cette chose l'attrape, du dégoût a la description de cette fameuse chose.
<3 :D
ce texte est agréable, car je peux ressentir l'amitié forte qui lie cet animal et cet homme. le comportement de ces deux êtres est extraordinaire. je peux constater un équilibre mental que ce soit l'animal ou l'homme.
:^)
Nous avons apprécié ce texte car il y avait du suspens et le lecteur tenu en haleine .
On peut se mettre a la place du personnage et de vivre en même temps que lui la scène
texte 2
;)
nous avons aimé ce texte car il y a un rapport homme animal assez beau, ça montre l'amitié entre un prédateur et un homme.
texte 3
:j
nous avons trouver ce texte assez original mais triste car c'est un homme mi ours,
le texte de Victor Hugo n'est pas très agréable , les douleur que subissent cet hommes ont l air atroce .
le texte de joseph Kessel est agréable a lire , on peut ressentir la joie et la nostalgie que les deux êtres dégagent .
le texte de Joy Sorman est plutôt triste
:/ Gilliat sent une sensation sur lui mais ne parvient pas à savoir ce que c'est , une sensation embetante pour lui , l’effroi est présent dans ce texte
:)
_C'est une texte joyeux qui rappelle au lion King son enfance en compagnie de Bullit
On peut les comparer à deux frères qui se retrouvent après de longues années , c'est comme de la fraternité
Texte 1
:/ ?
-incompréhension jusqu’à la fin
-répugnant
Texte 2
:/
Je n'ai pas aimer le texte
Texte 3:
Le texte est triste et pas très passionnant
1-En lisant ce texte j'ai ressentis du dégoût :
- L'auteur emploie des mots repoussant "gluant "," Viscosité"...
-Il implique aussi le mal,la souffrance : "souffrance inouïe","collées à sa chair, cherchaient à lui boire le sang.","affreuse et bizarre douleur"...
-
2-J'ai trouvé ce texte touchant :
-Il y a de l'affection entre l'homme et le lion
-
:/
- j'ai apprécié le suspense
-je ne savais pas quoi penser de cette bête
-mais j'ai aimé la fin
texte 2
:)
- j'ai aimé la relation entre l'homme et le lion
-j'ai aimé aussi le faite que même si le lion est retourné à la vie sauvage, il ne l'ai pas oublié
-ainsi que le "combat" qui donne de l'action
texte 3
:(
-je suis partagé entre le dégout pour les humains et la tristesse envers cet ours
TEXTE A: Je trouve que ce texte est plutôt intéressant car on ne sait pas réellement ce qui attaque Gilliat et ça laisse un certain suspens. :-)
TEXTE B: J'ai bien aimé ce texte car la sorte d'amitié entre l'homme et le lion était bien représenté avec cette "affrontement amicale" qui ce finit en rire et ou le lion ne veut pas mettre toute sa force pour ne pas blesser son ami. :-)
:( TEXTE A : Je trouve ce texte ennuyeux, il ne m'a pas intéressé par je n'est pas compris. Le vocabulaire aussi, je ne l'ai pas compris. ce teste ne m'inspire pas, il ne m'a pas donner l'envie de le lire a nouveau et le comprendre
ce texte est vraiment étrange et je n'est pas aimé le fait que l'auteur fasse une description de la créature durant une vingtaine de ligne :(
TEXTE B : ce texte m'a plu du fait que la relation entre le lion et l'homme soit amicale, j'ai aussi bien aimé le fait que l'homme parle au lion et qu'il y est une sorte de dialogue entre le lion et l'homme :-)
TEXTE C :
texte 1
(>'.'<)
- je me posais des questions tout le long.
- je le trouvais bizarre.
- mais j'étais quand même intrigué pour connaitre la fin.
texte 2
(>^o^<)
- c'est mignon leur relation
- je ne comprenais pas par moment
- le lion reste fidèle à la personne qui l'à recueilli
texte 3
-c'est triste pour l'homme
:-/ Parce que le texte angoisse " L'angoisse, à son paroxysme" et que tout au long du texte la situation s'accentue
8-O J'ai choisis ce smiley car le texte me plonge dans l'intrigue,suspens et il y a une progression au fil de l'histoire. Au début on vois que le personnage est agrippée par quelque chose puis au fil de l'histoire il se trouve recouvert de cette chose, et n'arrive pas à s'en débarrasser. Au final on se demande si il va s'en sortir.
:-o L'auteur fait une description de la créature qui s'empare petit a petit de Gilliat , ce qui à mon sens fait monter la tension chez le lecteur qui le rend un peu " angoissé " ce demandant ce ce qu'est cette chose.
O-) bon texte, j'aime le fait que l'auteur ai argumenté jusqu'à la fin du texte pour qu'on découvre au final que c'est la Pieuvre dont il parlait.
le texte est court mais il contient beaucoup de nuances pour dire à quoi ressemblais la pieuvre
:-/ on ressent une angoisse dans la lecture du texte. On se sent présent au moment de l'action.
"L'angoisse, à son paroxysme3, est muette." ligne 12.
"Ces yeux voyaient Gilliatt. " Ligne 21
TexteA: 8-O surpris car c'est un pêcheur solitaire qui premièrement survit seul et comme le dit le texte "Ce qu'il éprouva en ce moment, c'est l'horreur indescriptible." donc il y a une forme de courage et le personnage est aussi héroïque car il survit a plein de chose a la fois .
:-) je trouve la description du texte intéressante. L'auteur décrit bien en détail l'histoire du pêcheur, on ressent bien que le personnage est angoissé et a peur.
Texte A : :-/ car avant même de savoir que c'est une pieuvre, le texte nous laisse beaucoup trop d'indices. je ne suis pas très surprise. Néanmoins la description de la douleur et des tentacules s'agrippant a Gilliatt sont très bien détaillé.
Texte 1: :-| ce texte m'a peux inspiré, il était un peu confus je ne l'ai pas forcement bien compris.
Texte 2: :-) j'ai beaucoup aimée ce texte car il nous montre un enchainement assez violent pour finalement finir par un enchainement tranquille et aimant.
:-| la description de la pieuvre faire ressortir le dégout de Gilliatt mais il n'est pas passionnant
Venant de Victor Hugo ce texte ne m'a pas inspiré de plus. Je m’attendais à une révélation de cet animal un peu plus incroyable. Peut être par ce que j'ai pas lu toutes les parties et que l'histoire pourra me plaire par la suite... Mais pour ce début je suis déçu en quelques sortes. :-/
;(' Je suis triste pour lui car il devait vraiment avoir peur de la pieuvre comme :"L'angoisse, à son paroxysme, est muette. Gilliatt ne jetait pas un cri.", de plus je compatie fortement car il ne pouvait se débattre tel que :"un effort désespéré pour retirer son bras". texte A
8-O Je suis choquée par rapport à la douleur et aux sentiments que Gilliat ressent, en quelques secondes il est passé de la surprise à la frayeur en passant par la douleur. Je ne comprend pas le comportement de la tante qui ne fait presque rien pour enlever la pieuvre.
Texte A : 8-O parce que ce qu'il décrit est très précis ses descriptions font froid dans le dos par exemple : " Ces lanières, pointues à leur extrémité, allaient s'élargissant comme des lames d'épée"
Je trouve que ce texte est aussi très violent a cause des mot qu'il emploi tel que "douleur, compressant, lame, etc..."
:-) c'est un texte prenant avec beaucoup de suspense, car l'auteur décrit étapes par étapes ce qui arrive au personnage principal ( " une deuxième lanière ... " , " une troisième lanière ..." )
:-| J'ai choisis ce smiley car le texte plonge au cœur de l'action , se qui rend confus.
Le texte évoque la "souffrance" a travers le personnage.
Intrigué , on a envie de connaitre la suite de l'histoire et comment va t' il se séparer de la pieuvre...
Cours du 11 sept,
Deux objectifs:
1) utiliser un logiciel de carte mentale
2) la méthode de la question transversale
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Lire la première question transversale. Relisez les textes du corpus en utilisant une carte mentale pour organiser vos idées texte par texte dans un premier temps.
Après avoir construit votre carte mentale pour organiser votre réponse, vous rédigerez au choix la réponse à la question 1 ou 2 en spécifiant votre choix au début de votre réponse.
Vous devrez utiliser les termes du lexique de l'analyse littéraire distribués en classe.
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QUESTION 1:
Pour commencer nous pouvons constater que dans le texte 1 et 3, les relations entre l'homme et l'animal sont négatives, conflictuelles. Dans le texte 1 la violence, le danger sont présents, tel est le cas dans "cherchait a boire son sang". C'est une situation de chasse : proie/prédateur. L'homme ressent du dégout. Dans le texte 2 la domination et la souffrance sont a l'appel. c'est une situation d'exploitation, l'homme exhibe l'animal.
En second lieu, nous pouvons repérer que dans le texte 2 la relation entre l'homme et l'animal est positive, amicale. L'homme et l'animal font partis de la même famille comme on peut le voir dans les expressions "mon fils", "mon garçon" et ont une relation très complice, ils jouent ensemble comme on peut savoir dans l'expression "frotta son mufle sur le visage de l'homme". Et cette amitié forte laisse a penser qu'elle va durer.
Question 1:
Pour commencer, nous pouvons constater que dans le premier et le troisième texte, la relation homme-animal est négative, il y a de la violence et de la souffrance. Dans le premier texte, la surprise et l'angoisse et présente grâce à cette citation : "Tout à coup, il se senti saisi", le dégout est décrit à travers la souffrance de l'homme. La violence se caractérise à travers l'expression "il cherchait à lui boire le sang". La souffrance y est inouïe. dans le texte 3, la domination est présente à travers cette citation "je suis muselé et enchainé", nous voyons que l'ours, qui est le narrateur, transmet son émotion au lecteur.
Dans un second temps, dans le deuxième texte, La relation est amicale, familiale. Ils s'amuse comme des enfants, ils jouent tout les deux. On peut dire que le lion et l'homme font parti de la même famille, qu'il se connaissent depuis toujours grâce à l'expression "mon fils, mon enfant". La complicité entre les deux protagonistes est présente avec la citation "Il frotta son mufle sur le visage de l'homme", La relation semble durable et forte.
Question n°1:
Dans le texte n°1 et n°3 nous pouvons constater que les relations mises en valeurs sont négatives et conflictuelles. D'emblée, nous pouvons constater la violence nous pouvons relever : "cherchait a lui boire le sang, le danger avec l'expression : "comme des lames d'épée, la douleur avec "une souffrance inouïe, comparable à rien, dans l'expression "tout à coup il se sentit saisit, nous pouvons remarquer de la surprise et de l'angoisse, mais nous pouvons aussi constater que dans le texte n°1.
Dans le texte n°3, tout d'abord nous pouvons repérer qu'il y à de la domination et de l'esclavage grâce a l'expression "je suis muselé et enchaîné", mais aussi l'exploitation tel est le cas lorsque que l'homme veut exhiber l'animal.
Dans le texte n°2, nous pouvons constater dans l'expression "frotta son mufle contre le visage de l'homme" nous voyons que la relation entre l'homme et l'animal est complice et amicale, du jeux, grâce à la citation " l'homme et le lion roulèrent ensembles", mais nous pouvons aussi constater que la relation entre l'homme et l'animal est familiale, enfantine car l'homme appelle le lion "mon fils" et "mon garçon", ce qui prouve que l'homme a de l'affection pour le lion et que leur relation est forte et durable.
Question 1
D'emblée on peut remarquer que le texte 1 et le texte 3 ont une relation négative, tandis que le texte 2 se concentre principalement sur une relation amicale et positive.
Effectivement, dans les textes 1 et 3 le champs lexical est basé que sur la violence, la peur, la souffrance et la domination :
"exhiber; cohue";"glacé";"gluant";"âpre"...
Alors que dans le texte 2, on peut observer que la relation entre l'homme et l'animal est totalement différente. Tout d'abord le champs lexical n'est basé que sur l'amour et la complicité. L'homme considère le lion comme son fils et le surnomme "mon garçon".
On remarque donc que les deux textes sont en totale opposition notamment de la relation entre l'homme et l'animal, mais aussi de l'époque.
question 1:
D'emblée nous pouvons constater que la relation entre l'animal et l'homme est forte , dans deux sens différent car le 1er et 3ème texte mettent en évidence la violence de l'animal , il met en valeur son agressivité , le narrateur va même jusqu'à dire que l'animal à chercher à lui boire le sang (txt1) .
Ensuite , nous pouvons mettre l'accent sur le 2ème texte , le narrateur met en valeur l'amitié forte qu'il y a entre les deux personnages ,il cite "le lion et l'homme roulèrent ensemble","l'homme qui avait abrité son enfance
Question 1:
Pour commencer, nous pouvons constater que dans le texte 1 et le texte 3 met en relief des relations négatives, conflictuelles tel que la violence, la domination et la souffrance.
On peux relever dans le texte1 de la violence tel que "cherchaient a lui boire le sang", du danger: "comme des lames d'épées", de la douleurs avec l'expression "une souffrance inouïe, capable a rien". S'ajoute a cela de la surprise, de l'angoisse et du dégoût.
On peux constater dans le texte 3 que l'homme se fait exploiter et est un esclave avec la citation: "je suis mené, muselé et enchaîné" ou bien "L'homme exhibe l'animal"
Dans un second temps, nous pouvons constater que le texte 2 est opposé au texte 1 et 3 car les relations homme animal sont positive et amicale. En effet l'homme et l'animal sont complice.
Pour commencer, nous allons nous penchés sur le texte 3 et le texte 2 ou les animaux sont réellement personnifiés à l'en contre du texte 1. Tout d’abord, sur le Lion et l' Ours nous pouvons constater que eux deux ont des sentiments, le Lion lui évoque des appellations affectueuse : "Mon fils" ainsi qu'il désire jouer.
question 1:
On peut constater dans le texte 1 que les relations entre l'homme et l'animal sont des relations assez violente tel est le cas dans "cherchait a lui boire le sang".
on peut aussi observer que dans le texte 1 et le texte 3 il y a des points communs, les relations sont négatives et conflictuelles car nous pouvons repérer qu'il y a de la violence, de la domination et de la souffrance.
dans le texte 2, nous pouvons remarquer que les relations sont positives et amicale, par exemple avec les expressions "mon garçon" "mon fils". l'animal est complice, tel est le cas dans "frotta son mufle sur le visage de l'homme". cela fait ressortir le fait qu'ils ont une relation forte et durable.
Question 1 :
I. On peut observer dans ces textes qu'il y en a deux qui ont beaucoup de points communs. Le texte 1 et le texte 3. On peut voir dans ces deux textes de la domination, plus présente dans le texte 3, j'ai relevé "je suis muselé et enchaîné". D'entrée de jeu, nous pouvons repérer que dans le texte 1, il y a beaucoup de violence, qui ce fait bien illustré par "cherchait à lui boire le sang". On peut aussi observer aussi de la souffrance avec l'expression "une souffrance inouïe".
II. Dans le texte 2
Question transversale (2015)
question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
Tout d'abord, nous pouvons repérer que dans le texte 1 et 3 les homme et les animaux on une relation négatives et conflictuelles. En effet, on retrouve dans ces deux dernier la violence, la domination et la souffrance. On peut le remarqué plus encore par la citation suivante "souffrance inouïe" du texte 1, ou l'homme se fait attaqué par l'animal, et "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête" du texte 2, ou l'animal, ici, est mal traité par les passent.
j'ai choisi la question 1:
Question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits
On peut relever dans ce texte 1 que les relations négatives et conflictuelles entre l'homme et l'humain sont de même que dans le texte 3. Dans ces 2 textes, sont mis en valeurs la violence, la domination et la souffrance. Dans le texte 1, la souffrance se traduit par "une souffrance inouï" et dans le texte 3 il n'y a pas de situation précise mais le fait que l'ours fasse le tour du quartier muselé et trainé par "un bourreau" fait ressortir les sentiments de douleur sur se personnage. les 2 texte évoque aussi une caractère de domination. dans le texte 1, la pieuvre domine le pécheur en l’empêchant de s'enfuir. Quand au texte 2, l'ours est dominé par son maître, Il l'a enchainer et l'exhibe dans les rues de la ville.
QUESTION N°2:
Dans ces différents textes, nous pouvons constater que l'animal est comparer à un personnage romanesque.
Le texte 2 et le texte 3 mettent en relief la personnification.
Le thème de l'animal personnifié est omniprésent dans les textes 2 et 3.L'animal a la fonction de narrateur,c'est le personnage principal.Dans le texte 3, le lecteur découvre l'histoire à travers les yeux de l'ours.
S'ajoute à cela le pied d'égalité entre l'homme et l'animal dans le texte 2, ce fait est bien illustré par " ne firent qu’une toison "l.2, "une mêlée
confuse et toute sonore de rires et de grondements "l.21, "intelligence égale à celle de Bullit "l.16.L'analyse de la citation « avec un rauque halètement de fatigue et de joie »l.1 montre bien que l'animal fait ressortir des sentiments.
Ensuite, nous pouvons mettre l'accent sur la comparaison de l'ours à un sauveur dans le texte 3 avec l'expression "sauve-moi, emmène-moi avec toi" l.9;
Tout d'abord nous pouvons constater que chacun des textes met en valeur une relation homme animal qui peuvent être négative comme les textes 1 et 3 ou positive tel que le texte 2.
En effet, dans les textes 1 et 3 nous pouvons remarquer de la domination.
Question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
Dans les textes 1 et 3 on peut remarquer des relation plutôt négatives et conflictuelles . En effet, dans le texte 1 l'homme est maltraités par la bete qui lui fait des tortures inssuportables, tandis que dans le texte 3 c'est la bete qui est maltraité par l'homme qui le musele et l'enchaine tout en l'humiliant en faisant de lui un animal de foire .
Dans le texte 2 , contraiment aux textes 1 et 3 , la relation est positif et amical . Effectivement
Question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
Tout d'abord, nous pouvons repérer que les relations entre l'homme et l'animal dans le texte 1 et le texte 3 sont liées, les deux personnages entretiennent une relation conflictuelle. Cependant, dans l'expression "une souffrance inouïe" du texte 1, on perçoit la douleur que l'animal afflige à l'homme, alors dans l'expression "je suis muselé et enchainé" du texte 2 nous pouvons constaté que la relation homme/animal est la domination et l'exploitation. Le liens des deux textes est donc entretenu par la violence entre les deux personnages.
Dans le texte 2, nous pouvons constater que la relation entre le lion et l'homme est plus familiale.
Question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
D'emblée, nous pouvons constater qu'il y a un mauvais contact entre l'homme et l'animal. On peut remarquer que dans le texte 1 comme dans le texte 3 la relation est douloureuse mit en évidence par "une souffrance inouïe", on peut relever dans le texte 1 "c'est l'horreur indescriptible"
Question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
I. un mauvais contact entre l'homme et l'animal.
On peut relever dans ces textes, qu'il y a un mauvais contact entre l'homme et l'animal. En effet dans le texte 1 et 3, nous pouvons voir que les relations sont très douloureuses, voir angoissantes cela donne une sensation de malaise chez le lecteur.
Les relations entre l'homme est l'animal sont différentes dans les extraits. Dans le texte 1 et 3 il y a une mauvaise relation entre les 2. Dans le texte 3 l'homme transformé en ours se sent mal , le narrateur se sent soumit ( "je suis mener , museler et enchainé" ) , frustrer. Le narrateur explique son histoire de son point de vus comme si on était en lui et que l'on voyait ce qu'il se passait a travers ses yeux . Il montre une énorme humiliation ( "je recois une pierre a l'arrière de la tete")
Nous allons vous définir les relations entre l'homme et l'animal exprimées dans l'extrait B Joseph Kessel "Le Lion" de 1958.
Question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
Tout d'abord, nous pouvons repérer qu'il y a un mauvais contact entre l'animal et l'homme dans le texte 1 et 3.On peut observer que dans le texte 1 il y a de la souffrance entre l'homme et l'animal avec l'expression "Une souffrance inouïe" . De plus le contact entre l'homme et l'animal est très tactile et physique
Question 1
D'entrée de jeu, nous pouvons repérer que la relation entre l'homme et l'animal sont différentes dans les 3 extrais.
Dans le texte 1, la relation entre l'homme et l'animal est inconnue. L'homme ne connait pas la bête à qui il à a faire. Ceux qui met en valeur l'angoisse chez le lecteur.
Les relations entre l'homme et l'animal varie selon les textes. Dans le premier et le troisième texte les relation avec l'animal sont similaires, il y a un mauvais contact entre les deux personnages. On remarque des deux côtés un contact douloureux ''une souffrance inouïe". Alors que dans le texte 2 le rapport entre l'homme et l'animal est complètement différent, ils entretiennent une relation paternel, complice
D'emblée nous pouvons constater que dans le texte 2 et 3 l'animal est proche d'un personnage romanesque. En effet dans le texte 2 le lion porte un nom ,"King". En second lieu nous pouvons constater qu'il est intelligent...
Question n°1 : Comment peut-on définir les relations entre l'homme et l'animal ?
Dans cet extrait on peut observer des relations très différentes les unes des autres.
Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
Tout d'abord , nous pouvons repérer que le texte 2 est different des deux autres car là la relation est fusionnel comme le dis le texte "Bullit procure a Patricia la joie de retrouver King" D'après le texte 1 on en définis que la relation entre l'homme et l'animal est paternel
Question n°1 :
Pour commencer, nous pouvons repérer que dans les textes "Le lion" de Joseph Kessel et "La peau de l'ours" de Joy Sorman l'animal est proche de l'homme
Question n°1 :
Nous définirons dans le texte B les relations entre l'homme et l'animal. D'emblée, nous pouvons constater que le lion King est amical avec les humains mis en valeur
Dans les textes 2 et 3 on peut voir que les deux animaux ont à eux des caractéristiques bien humaines qu'ils ont pour l'un acquis et pour l'autre né avec. Dans le texte 2 l'auteur a mis en avant une rivalité amicale " Alors, garçon, tu veux voir qui est le plus fort ? Comme dans le bon temps ?" Ici on voit bien que l'homme parle avec un air amical et détendu, il n' pas peur de cet animal " Et Bullit savait ce que le lion attendait.
Les textes les plus intéressants:
36
44
46
Attention, dans la rédaction, pas de plan apparent I, II...
il faut être plus précis en parlant des textes: parler davantage des situations et des personnages en citant leur nom par exemple.
Attention aussi aux parenthèses pour les citations: à éviter. Revoir l'insertion des citations.
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Vous rédigerez entièrement la réponse à la question transversale choisie avec introduction, développement et conclusion.
Notre corpus se compose de trois textes qui appartiennent à des siècles différents. L’extrait de Victor Hugo issu des Travailleurs de la mer date du XIX ème siècle, celui de Joseph Kessel tiré du Lion date du XX ème siècle et celui de Joy Sorman tiré de La peau de l’ours date du XXI ème siècle. L’intérêt principal du corpus et de montrer la relation qui peut exister entre un homme et un animal selon ces textes.
Pour commencer nous pouvons constater que dans le texte 1 et 3, les relations entre l'homme et l'animal sont négatives, conflictuelles. Dans le texte 1 la violence, le danger sont présents, tel est le cas dans "cherchait à boire son sang". C'est une situation de chasse : proie/prédateur. L'homme ressent du dégoût. La domination et la souffrance sont a l'appel, on peut le voir dans la citation suivante « souffrance inouïe » dans le texte 1. Dans le texte 3 c'est une situation d'exploitation, l'homme exhibe l'animal, comme on peut le voir à travers cette citation "je suis muselé et enchaîné". Nous voyons que l'ours, qui est le narrateur, transmet son émotion au lecteur. Il n'y a pas de situation précise mais le fait que l'ours fasse le tour du quartier muselé et traîné par "un bourreau" fait ressortir les sentiments de douleur sur se personnage. Dans le texte 1, la pieuvre domine le pécheur en l’empêchant de s'enfuir. Quand au texte 3, l'ours est dominé par son maître.
En second lieu, nous pouvons repérer que dans le texte 2 la relation entre l'homme et l'animal est positive, amicale. L'homme et l'animal font partis de la même famille comme on peut le voir dans les expressions "mon fils", "mon garçon". La complicité entre les deux protagonistes est présente avec la citation comme on peut savoir dans l'expression "frotta son mufle sur le visage de l'homme". Et cette amitié forte laisse à penser qu'elle va durer.
Pour conclure, nous retiendrons que la relation entre un homme et un animal peut tout a fais être positive et complice ou au contraire négative et conflictuelle. Le texte qui me semble plus frappant est le texte 2 car cette amitié est extraordinaire, rare et à la fois magique.
Les textes traités sont issus de siècles différents :
Le premier texte est écrit au XIXe siècle (1886) par Victor Hugo, c’est un extrait de « Les Travailleurs de la mer deuxième partie »
Le deuxième est lui issu de « Le Lion deuxième partie » écrit par Joseph Kessel au XXe siècle (1958)
Le troisième a été écrit lui au XXIe siècle (2014)
Dans ces trois textes l’animal est présent, il est mis en valeur tout au long des textes soit positivement ou négativement.
D'emblée nous pouvons constater que la relation entre l'animal et l'homme est forte, dans deux sens différent car le 1er et 3ème texte mettent en évidence la violence de l’animal, il met en valeur son agressivité, le narrateur va même jusqu'à dire que » l'animal à chercher à lui boire le sang » (txt1), que l’homme a peur de l’animal : « l’angoisse, à son paroxysme, est muette »
Ensuite , nous pouvons mettre l'accent sur le 2ème texte , le narrateur met en valeur l'amitié forte qu'il y a entre les deux personnages ,il cite "le lion et l'homme roulèrent ensemble","l'homme qui avait abrité son enfance » la relation est aussi familiale , comme des frères et sœurs . La relation semble durable et forte.
Pour conclure nous retiendrons, que deux textes sont du même avis, et donc un qui est en désaccord avec ces textes car il dénonce l’amitié présente entre l’homme et l’animal. Dans les deux autres textes les animaux sont représentés comme méchants, l’homme a peur…
Tout d'abord,Les textes ici présent sont de siècles différents.Le premier texte, celui de Victor Hugo intitulé "les travailleurs de la mer" à été écrit au XIXème siècle.Le second texte, "Le lion", à été écrit au XXème siècle par Joseph Kessel et enfin le troisième texte, à été écrit par Joy Sorman appelé "la peau de l'ours" au XXIème siècle. Les trois texte mettent l'animal en avant. L'intérêt principal de ce corpus est l'étude et l'analyse de la relation entre l'homme et l'animal dans ces textes.
Pour commencer, nous pouvons constater que dans le premier et le troisième texte, la relation homme-animal est négative et conflictuelle, il y a de la violence et de la souffrance. Dans le premier texte, la surprise et l'angoisse et présente grâce à cette citation : "Tout à coup, il se senti saisi", le dégout est décrit à travers la souffrance de l'homme. La violence se caractérise à travers l'expression "il cherchait à lui boire le sang". La souffrance y est inouïe. dans le texte 3, la domination est présente à travers cette citation "je suis muselé et enchainé", nous voyons que l'ours, qui est le narrateur, transmet son émotion et le sentiment de douleur sur ce personnage.
Dans un second temps, dans le deuxième texte, La relation est amicale, familiale. le lion et l'homme s'amuse comme des enfants, ils jouent tout les deux. On peut dire que le lion et l'homme font parti de la même famille, qu'il se connaissent depuis toujours grâce à l'expression "mon fils, mon enfant". La complicité entre les deux protagonistes est présente avec la citation "Il frotta son mufle sur le visage de l'homme", La relation semble durable et forte.
Pour conclure, nous retiendrons que la relation entre l'homme et l'animal peut varier. Le texte 1 et 3 montre que l'animal est possiblement un être dangereux, violent tandis que dans le texte 2, la relation est amicale, ce qui laisse penser que l'animal peut être un compagnon ou un ami.
Question 1:
Notre corpus se compose de 3 textes de siècle différents, nous avons le texte de Victor Hugo, Les travailleurs de la mer, écrit au XIXe siècle. Le texte de Joseph Kessel, Le Lion, écrit au XXe siècle, et enfin, le texte de Joy Sorman, La Peau de l’ours, écrit au XIXe siècle. Ces 3 textes parlent des relations entre l’homme et l’animal. Le Premier texte fait référence à une pieuvre, dans le second texte à l’amitié entre un homme et un lion et dans le dernier texte, d’un homme ours.
Pour commencer, nous pouvons constater que le texte 1 et le texte 3 met en relief des relations négatives, conflictuelles tel que la violence, la domination et la souffrance.
On peux relever dans le texte1 de la violence tel que "cherchaient a lui boire le sang", du danger: "comme des lames d'épées", de la douleurs avec l'expression "une souffrance inouïe, capable a rien". S'ajoute a cela de la surprise, de l'angoisse et du dégoût.
On peux constater dans le texte 3 que l'homme se fait exploiter et est un esclave avec la citation: "je suis mené, muselé et enchaîné" ou bien "L'homme exhibe l'animal". Nous voyons que l'ours, qui est le narrateur, transmet son émotion au lecteur, le fait que l'ours fasse le tour du quartier muselé et traîné par "un bourreau" fait ressortir les sentiments de douleur sur se personnage.
Dans un second temps, nous pouvons constater que le texte 2 est opposé au texte 1 et 3 car les relations homme animal sont positive et amicale. En effet l'homme et l'animal sont complices. On peut dire que le lion et l'homme font parti de la même famille, qu’ils se connaissent depuis toujours grâce à l'expression "mon fils, mon enfant". La complicité entre les deux protagonistes est présente avec la citation "Il frotta son mufle sur le visage de l'homme". La relation semble durable et forte.
Pour conclure, nous pouvons dire que le texte de Victor Hugo et de Joy Sorman sont communs, la relation entre l’homme et l’animal est négative et conflictuelle. Tandis que dans le texte de Joseph Kessel les relations homme/animal sont positives et amicale.
Tout d'abord,Les textes ici présent sont de siècles différents.Le premier texte, celui de Victor Hugo intitulé "les travailleurs de la mer" à été écrit au XIXème siècle.Le second texte, "Le lion", à été écrit au XXème siècle par Joseph Kessel et enfin le troisième texte, à été écrit par Joy Sorman appelé "la peau de l'ours" au XXIème siècle. Les trois texte mettent l'animal en avant. L'intérêt principal de ce corpus est l'étude et l'analyse de la relation entre l'homme et l'animal dans ces textes.
Pour commencer, nous pouvons constater que dans le premier et le troisième texte, la relation homme-animal est négative et conflictuelle, il y a de la violence et de la souffrance. Dans le premier texte, la surprise et l'angoisse et présente grâce à cette citation : "Tout à coup, il se senti saisi", le dégout est décrit à travers la souffrance de l'homme. La violence se caractérise à travers l'expression "il cherchait à lui boire le sang". La souffrance y est inouïe. dans le texte 3, la domination est présente à travers cette citation "je suis muselé et enchainé", nous voyons que l'ours, qui est le narrateur, transmet son émotion et le sentiment de douleur sur ce personnage.
Dans un second temps, dans le deuxième texte, La relation est amicale, familiale. le lion et l'homme s'amuse comme des enfants, ils jouent tout les deux. On peut dire que le lion et l'homme font parti de la même famille, qu'il se connaissent depuis toujours grâce à l'expression "mon fils, mon enfant". La complicité entre les deux protagonistes est présente avec la citation "Il frotta son mufle sur le visage de l'homme", La relation semble durable et forte.
Pour conclure, nous retiendrons que la relation entre l'homme et l'animal peut varier. Le texte 1 et 3 montre que l'animal est possiblement un être dangereux, violent tandis que dans le texte 2, la relation est amicale, ce qui laisse penser que l'animal peut être un compagnon ou un ami.
Question n°1:
Notre corpus se composent de trois textes qui sont de siècles différents, le texte de Victor Hugo est du XIXème siècle, le texte de Joseph Kessel est du XXème siècle, et le texte de Joy Sorman est du XXIème siècle. Le point commun des titres c’est « l’animal » car, dans le texte de Victor H. le titre est « Les travailleurs de la mer », le texte parle d’une pieuvre qui attaque un pécheur, dans le texte de Joseph Kessel le titre est « Le lion », et dans le dernier texte, celui de Joy Sorman le titre est « La peau de l’ours ».
L’intérêt principal du corpus est de montrer les relations entre les hommes et les animaux, que ce soit une relation violente ou amicale.
Dans le texte n°1 nous pouvons constater que les relations mises en valeurs sont négatives et conflictuelles. D'emblée, nous pouvons constater la violence nous pouvons relever : "cherchait a lui boire le sang, le danger avec l'expression : "comme des lames d'épée, la douleur avec "une souffrance inouïe, comparable à rien, dans l'expression "tout à coup il se sentit saisit, nous pouvons remarquer de la surprise et de l'angoisse. Dans ce texte, la pieuvre domine le pécheur en l’empêchant de s’enfuir.
Dans le texte n°3, tout d'abord nous pouvons repérer qu'il y à de la domination et de l'esclavage grâce a l'expression "je suis muselé et enchaîné", nous voyons que l’ours est le narrateur et qu’il transmet ses émotions au lecteur.
Pour conclure le point commun de ces deux textes c’est que la relation entre l’homme et les animaux on une relation négative, en effet dans ces deux textes nous pouvons constater que la violence, la domination et la souffrance sont présent.
Dans le texte n°2, nous pouvons constater dans l'expression "frotta son mufle contre le visage de l'homme" nous voyons que la relation entre l'homme et l'animal est complice et amicale, du jeux, grâce à la citation " l'homme et le lion roulèrent ensembles". Nous pouvons constater que le lion et l’homme font partit de la même famille, et qu’ils se connaissent depuis toujours grâce aux expressions « mon fils » et « mon enfant ». La relation entre l’homme et le lion semble durable et forte.
Pour résumer notre propos, nous retiendrons que dans le texte de Victor Hugo et dans le texte de Joy Sorman, la relation entre l’homme et l’animal est négative et conflictuelle, la violence est présente ainsi que le danger, la douleur, l’angoisse et la domination, alors que dans le texte de Joseph Kessel la relation entre l’homme et l’animal est durable et forte, une relation amicale et familiale existe entre ces deux personnages.
Question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
L’intérêt principal de ce corpus est de comprendre comment dans les textes 1,2 et 3 de Victor Hugo, Joseph Kessel et Joy Sorman
est représenter la personnification des personnages animaliers de ces textes.
Pour commencer, nous allons nous penchés sur le texte 3 et le texte 2 ou les animaux sont réellement personnifiés à l'en contre du texte 1. Tout d’abord, nous pouvons constater que le "Lion" et l'Ours" ont des sentiments, le Lion lui reçoit des appellations affectueuse : "Mon fils" ainsi qu'il désire jouer.Et l'ours, lui, qui est le narrateur, transmet son émotion, sa peine au lecteur. La Pieuvre du texte 1 aussi est personnifié en lui attribuant "une bouche" qui est spécifiquement humain.
Ensuite on peut constater que dans les textes 2 et 3 ces animaux possèdent une certaine intelligence: le Lion reconnait ses amis et fait comprendre à Bullit qu'il veut s'amuser avec lui. Et l'Ours sait ou il se trouve et comprend ce qu'on se sert de lui pour amuser la foule. Alors que dans le texte 1 on ne sait pas vraiment ce que pense cette pieuvre.
Pour terminer, nous retiendrons que dans les textes 2 et 3 le Lion et l'Ours possèdent une sorte de personnalité contrairement au texte 1 ou on ne sait pas vraiment ce que pense cette "Pieuvre".
les trois textes sont : le texte 1 est de Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer il date de 1866. Le texte 2 est de Joseph Kessel, Le Lion il date de 1958. le texte 3 est de Joy Sorman, La peau de l’ours, 2014. c'est trois texte ne font pas partie du même siècle, il ont tous un siècle d’écart c'est texte parle tous d'une relation homme animal.
Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
On peut voir que dans le texte 1 et le texte 3, la relation homme animal est à peut-prés similaire,les texte 1 et 3 mettent en valeur la douleur, la souffrance . En effet, on retrouve dans ces deux derniers textes la violence, la domination et la souffrance, on peut le remarqué plus encore par la citation suivante "souffrance inouïe" du texte 1, ou l'homme se fait attaqué par l'animal, et "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête" du texte 2, ou l'animal, ici, est mal traité par les passant. Dans le texte 1, la pieuvre domine le pécheur en l’empêchant de s'enfuir. Quand au texte 2, l'ours est dominé par son maître, il l'enchaîne et l'exhibe dans les rues de la ville, le " bourreau " lui fait faire un grand tour afin de le montrer au publics.
On remarque que dans le texte 2, la relation homme animal n'est pas du tout pareil que le 1 et le 3. le texte 2 met en évidence la relation complice, le lion n'est pas considéré comme un animal mais un membre de la famille a par entière " qu'est-ce que tu en dis, mon fils ?"
on peut en conclure que les texte 1 et 3 parle de la douleurs qu’éprouve le personnage face a l’animal. et le texte 2 lui en revanche est un texte plus dans la complicité homme animal ce qui donne un autre points de vu. pour ma part le texte le plus frappant est le texte 3, la douleurs d’écrite est la douleur que le personnage mi-homme mi-ours ressent, on peut se mettre ^plus facilement a ça place et donc avoir de l'empathie pour lui, on le comprend mieux.
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Ici dans notre corpus ces trois textes appartiennent à des siècles différents ainsi que des auteurs . Ici le texte 1, Les Travailleurs de la mer, a été fait au XVIII ème siècle; tandis que le deuxième texte, Le Lion, date du XIX ème siècle, et enfin La peau de l'Ours provient du XX ème siècle. Mais nous pouvons remarquer que les textes sont différents non seulement de leur forme mais aussi de la relation entre l'homme et l'animal qui est contradictoire.
"exhiber; cohue"; "glacé"; "gluant"; "âpre" ...
On remarque également que l'homme et l'animal ne sont pas égaux et ont une relation négative et conflictuelle. Effectivement ici on le démontre par la citation suivante "souffrance inouïe" du texte 1, où l'homme se fait attaqué par l'animal, et "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête" du texte 3, ou l'animal, ici, est maltraité par les passants. On constate alors que l'un prend le dessus sur l'autre.
Tout d'abord le champs lexical n'est basé que sur l'amour et la complicité.
On peut dire que le lion et l'homme font parti de la même famille, et qu'ils se connaissent depuis toujours grâce à l'expression "mon fils, mon enfant". La complicité entre les deux protagonistes est présente avec la citation "Il frotta son mufle sur le visage de l'homme". La relation est alors durable et forte et ne changera donc jamais.
On peut tout de même retenir que le texte 3 est particulièrement original et frappant. Je trouve que la personnification du personnage trouble le lecteur et valorise. De cette manière on se sent plus proche de l'animal, et on comprend ses émotions.
Question 1 :
Ce corpus est composé de trois textes, le premier est un texte de Victor Hugo qui est "Les Travailleurs de la mer" qui date de 1866. Le deuxième est un texte de Joseph Kessel "Le lion" qui date de 1958. Et enfin le troisième qui est un texte de Joy Sorman, "La peau de l’ours" de 2014. L’intérêt principal du corpus est de définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits.
On peut observer dans ces textes qu'il y en a deux qui ont beaucoup de points communs. Le texte 1 et le texte 3. On peut voir dans ces deux textes de la domination, plus présente dans le texte 3, j'ai relevé "je suis muselé et enchaîné". D'entrée de jeu, nous pouvons repérer que dans le texte 1, il y a beaucoup de violence, qui ce fait bien illustré par "cherchait à lui boire le sang". On peut aussi observer aussi de la souffrance, on le remarque avec l'expression "une souffrance inouïe". Dans le texte 3, l'ours est lui même le narrateur, cela met une certaine émotion au lecteur.
Dans le texte 2, on remarque une complicité entre l'animal et l'homme. On le voit avec la citation "Il frotta son mufle sur le visage de l'homme". Leur relation semble durable et forte. Et on peut voir aussi une relation familiale et enfantine, j'ai relever les expressions "Mon fils", "Mon père".
Pour conclure nous retiendrons que dans le texte 1 et le texte, 3 il y a des relations négatives et conflictuelles avec de la violence, de la domination et de la souffrance. Alors que dans le texte 2 c'est une relation avec beaucoup de complicité entre l'homme et l'animal.
QUESTION N°2:
Notre corpus ce compose de 3 textes qui appartiennent à 3 siècles différents, le texte de Victor Hugo intitulé « Les Travailleurs de la mer » est daté du XIXème siècle, puis le texte de Joseph Kessel intitulé « Le Lion » est daté du XXème siècle, enfin, le texte de Joy Sorman intitulé « La peau de l’ours » est daté du XXIème siècle. Cependant ces différents textes en un point commun, leurs titres. Chaque titre fait référence à un animal.
Une première lecture suffit à faire ressortir le fait que l'animal est comparé à un personnage romanesque.
Le texte 2 et le texte 3 mettent en relief la personnification. S'ajoute à cela le pied d'égalité entre l'homme et l'animal dans le texte 2, ce fait est bien illustré par "ne firent qu’une toison "l.2, "une mêlée confuse et toute sonore de rires et de grondements "l.21, "intelligence égale à celle de Bullit "l.16.L'analyse de la citation « avec un rauque halètement de fatigue et de joie »l.1 montre bien que l'animal fait ressortir des sentiments.
Ensuite, nous pouvons mettre l'accent sur la comparaison de l'ours à un sauveur dans le texte 3 avec l'expression "sauve-moi, emmène-moi avec toi" l.9.L’ours exprime aussi des sentiments, tel est le cas dans « selon les jours et mon humeur, peur, fierté, indifférence ou excitation - mes émotions peinent à se fixer. » l.4.
Pour résumer notre propos, nous dirons que le thème de l'animal personnifié est omniprésent dans les textes 2 et 3.L'animal a la fonction de narrateur, c'est le personnage principal. Dans le texte 3, le lecteur découvre l'histoire à travers les yeux de l'ours. Il est le héros.
Dans cette question transversale nous allons étudier la relation entre l'homme et l'animale dans trois textes: Les travailleurs de la mer Victor Hugo, Le lion de Joseph Kessel et la peau de l'ours Joy Sorman.
question n°1: Comment peut-on définir la relation entre l'homme et l'animale exprimée dans ces extraits?
on remarque que dans le texte1 et 3 il y a une certaine domination entre l'homme et l'animale. Dans le texte 1 on remarque on remarque que l'animale domine Gilliat en lui infilgant des souffrances, c'est donc une relation violente, douloureuse, ici Gilliat joue le rôle de proie "cherchait a lui boire le sang" "souffrance inouïe". Dans le texte 3 la domination est inversé, car c'est l'homme qui domine l'animale en le trainant dans les rues au milieu d'une foule oppressante "je suis mené, muselé et enchainé à travers les rues de cette ville".
Maintenant nous allons étudier le texte de Joseph Kessel Le lion. Dans ce texte nous pouvons remarquer une très grande complicité entre le lion et Bullit, la relation est "familiale" "mon fils"garçon".La relation est aussi amicale "alors garçon tu veut voir qui est le plus fort?" .
on peut donc remarquer que chaque texte a sa propre relation homme animale Texte1: violente, douloureuse.Texte2:positive,familiale.Texte3
Dans ce corpus nous avons trois textes de siècles différents avec un premier texte du 19 e siècles, un deuxième du 20 e siècles et un troisième texte du 21 e siècles mais ils ont un point commun sur le fait que les trois textes parlent d'animaux. L'intérêt principale du texte est Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
Tout d'abord on peut remarquer que le texte 1 et et le texte 3 fait ressortir les relations négatives et conflictuelles entre l'homme et l'animal, nous pouvons repérer que dans les deux textes on met en évidence la souffrance ainsi que la violence avec l'analyse de la citation "une souffrance inouïe" montre bien que la relation entre l'homme et l'animal est négative voir même violente ce fait est bien illustré par "cherchait à lui boire le sang" dans le texte 1 et "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête" du texte 3, ou l'animal, ici, est mal traité par les passent. De même la relation soumission/dominance le texte 1, la pieuvre domine le pécheur en l’empêchant de s'enfuir. Quand au texte 2, l'ours est dominé par son maître, Il l'a enchaîner et l'exhibe dans les rues de la ville.
Ensuite, nous pouvons mettre l'accent sur le fait que le lion et l'homme font parti de la même famille, qu'il se connaissent depuis toujours grâce à l'expression "mon fils, mon enfant". La complicité entre les deux protagonistes est présente avec la citation "Il frotta son mufle sur le visage de l'homme". De même la relation semble durable et fort, tel est le cas avec l'expression « Devenu adulte, King est rendu à la vie sauvage. Lors d’une promenade en voiture dans la réserve, Bullit procure à Patricia la joie de retrouver King. ».
Pour terminer nous retiendrons que la relation homme et animal est la plus souvent porter sur une relation négative avec la souffrance, la violence et la domination mais elle peut aussi porter sur une relation positive avec une relation familiale, amicale, durable.
Les trois textes que nous allons étudier sont de siècle différent, le point commun de ces textes est qu’ils sont tous centrés sur la relation homme/animal qu’elles soient positives ou négatives.
Tout d'abord, nous pouvons repérer que la relation entre l'homme et l'animal dans le texte 1 et le texte 3 est lié, les deux personnages entretiennent une relation conflictuelle. Cependant, dans l'expression "une souffrance inouïe" du texte 1, on perçoit la douleur que l'animal afflige à l'homme, la pieuvre domine le pêcheur. A l’inverse du texte 3 où nous remarquons que cette fois l’homme domine l’animal. Dans l'expression "je suis muselé et enchaîné" nous pouvons constaté que la relation homme/animal est centrée sur la domination et l'exploitation. De plus, le fait que l’ours soit le narrateur dans le deuxième texte nous permet de percevoir ses émotions. Le lien entre les deux textes est donc entretenu par la violence entre les deux personnages.
Dans le texte 2, nous pouvons constater que la relation entre le lion et l'homme est plus positive, plus forte. L’homme considère le lion comme un membre de sa famille en l’appelant « mon fils » ou « mon enfant » les deux personnages sont très complices « il frotta son mufle sur le visage de l’homme » ; ils jouent ensemble.
Les 3 textes ne sont pas du tout de la même époque ; Ils se suivent dans le temps. Les titres des textes on bien évidemment un point commun : celle d’introduire l’animal. Les deux textes concernent la relation homme\animal.
Pour commencer, dans le texte 1, il y a un sentiment de souffrance. Dans ce texte, elle se traduit par "une souffrance inouï" par rapport a la douleur de ressent Gilliat. Ensuite, nous pouvons repérer que ce texte est semblable au texte 3 en ce qui concerne les hommes et les animaux qui on une relation négatives et conflictuelles. Dans les deux textes il y a un sentiment de soumission : dans le texte 1, la pieuvre domine le pécheur en l’empêchant de s'enfuir et dans le texte 3 il n'y a pas de situation précise mais le fait que l'ours fasse le tour du quartier muselé et traîné par "un bourreau" fait ressortir les sentiments de douleur sur se personnage. De même, dans le texte de Joy Sorman, nous voyons que l'ours, qui est le narrateur, transmet son émotion au lecteur. Pour finir, la citation "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête démontre ici, que les passants « s’acharne sur l’animal ».
Dans le texte 2 on peut dire que le lion King et l'homme font parti de la même famille, qu’ils se connaissent depuis toujours grâce à l'expression "mon fils, mon enfant". La complicité entre les deux protagonistes est présente avec la citation "Il frotta son mufle sur le visage de l'homme", La relation dans ce deuxième texte semble amicale, familiale, durable et très forte. L’homme et le lion jouent ensemble ? se comprennent et se reconnaissent.
Pour conclure
Question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
Nous allons étudié trois texte tous de siècles différents : le texte 1, de Victor Hugo , date de 1866
Dans les textes 1 et 3 on peut remarquer des relation plutôt négatives et conflictuelles . En effet, dans le texte 1 l'homme est dominé par la pieuvre qui lui fait des tortures insupportables, tandis que dans le texte 3 c'est la bête qui est maltraité par l'homme qui le muselle et l'enchaîne tout en l'humiliant en faisant de lui un animal de foire .On remarque que les deux textes parlent de relations négatives car dans le texte 1, la souffrance se traduit par l « une souffrance inouïe » et dans le texte 3 le fait d’être humilié et exhibé fait ressortir un sentiment de souffrance en nous transmettant ses émotions .
Dans le texte 2 , contrairement aux textes 1 et 3 , la relation est positive et amicale . Effectivement, on peut constater une relation forte et durable car il joue avec le lion ce qui n’est pas ordinaire . Dans ce texte , on remarque qu’il y a une grande complicité entre le l’homme et le lion mais aussi une relation pere/fils avec les passage « mon garcons, mon fils » . Le texte est joyeux .
Enfin , nous retiendrons que ces textes dont les points commun sont la relation homme/animal nous montre différents aspect de celle-ci .
Ces trois textes ne sont pas du même siècle, ils ont tous un siècle de différence mais en revanche les titres ont un point commun, ils ont tous un champ lexicale de l'animal. L'enjeu principale de ce corpus réside dans la façon dans lequel nous pouvons définir la relation entre l'homme et l'animal .
Tout d'abord nous pouvons constater que chacun des textes met en valeur une relation homme animal qui peut être négative comme les textes 1 et 3 ou positive tel que le texte 2.
Ensuite, nous pouvons mettre l'accent sur le texte 2 qui lui évoque une relation positive et amicale entre l'homme et l'animal, voir une relation père-fils car on peut voir quelques expression tel que " mon fils", "mon garçons"...
Pour terminer, nous retiendrons dans ces textes deux type de relation, une qui est négatif et violente et l'autre qui est sentimentale et complice. On peut retenir dans le texte 2 de Joseph Kessel, une amitié forte qui peut relativement toucher.
Question transversale (2015)
question 1 : Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
Pour commencer, nous allons voir les relations entre l’homme et l’animal dans 3 textes très différents.
Tout d'abord, nous pouvons repérer que dans le texte 1 et 3 les homme et les animaux on une relation négatives et conflictuelles. En effet, on retrouve dans ces deux derniers la violence, la domination et la souffrance. On peut le remarqué plus encore par la citation suivante "souffrance inouïe" du texte 1, ou l'homme se fait attaqué par l'animal, et "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête" du texte 2, ou l'animal, ici, est mal traité par les passent.
Par la suite, nous verrons que les relation entre les hommes et l’animal son positive et amicale. Par ailleurs, on voit une complicité durable et forte de tel sorte que leur relation est familiale. Ce fait est bien illustré par la citation suivante "mon garçon","mon fils" ou l’homme utilise ses noms pour qualifier le lion qui avait recueilli.
On peut en conclure que les relations entre les hommes et les animaux sont différente selon le réaction de ces 2 derniers envers l’autre.
Question n°1 :
Tout d'abord, nous pouvons voir que dans le texte 1 et 3, il y a un mauvais contact entre l'homme et l'animale ; En effet, on retrouve dans ces deux textes la douleur, l’humiliation et la soumission. La citation suivante souligne l’idée de la douleur ; "souffrance inouïe" du texte 1, dans ce texte, Gilliat ce fait attaquer par la pieuvre, et notamment, on voient aussi « il était cloué », ce qui montre que l’homme est prisonnier de l’animal. Dans le texte 3, l’auteur met en évidence l’idée de soumission avec « je suis mené muselé et enchainé
Ces trois textes sont de trois siècles très différentes, malgré qu’ils soient pas du même siècle leurs titre ont des points en commun, on peut constater qu’ils parlent tous de la nature, animal
Tout d’abord nous pouvons constater que dans le texte 1 comme dans le texte 3 il y a un mauvais contact entre l'homme et l'animal. En effet, on retrouve dans ces deux derniers la douleur, la soumission et l’humiliation comme le montre les citations suivantes : "une souffrance inouï" texte 1, dans le texte 3 il n’y a pas de citation précise mais le fait que l’ours fasse le tour du quartier muselé et traîné pas « un bourreau » fait ressortir les sentiments de douleur sur ce personnage. A travers ces textes nous pouvons voir la soumission, dans le texte 1, la pieuvre domine le pécheur en l’empêchant de s'enfuir, quand au texte 3, l'ours est dominé par son maître, il l'a enchaîner et l'exhibe dans les rues de la ville.
Ensuite nous pouvons constater que le texte 2 est opposé au texte 1 et 3 car les relations homme animal sont positives et amicale. On peut même dire que le lion et l'homme font parti de la même famille, qu'ils se connaissent depuis toujours grâce à l'expression "mon fils, mon enfant". La complicité et la tendresse entre les deux protagonistes est présente avec la citation "Il frotta son mufle sur le visage de l'homme", la relation semble durable et forte.
Pour commencer , les relations entre l'homme est l'animal sont différentes. Dans le texte 1 et 3 , la relation homme/animal est négative. Dans le texte 1 , c’est la surprise et l’angoisse qui sont présentes grâce aux citations : "Tout à coup, il se senti saisi" ou encore : "il cherchait à lui boire le sang". Dans le texte 3 c’est la domination qui prime envers le personnage a travers cette citation : "je suis mener , museler et enchaîné" l'homme transformé en ours se sent très mal , soumit , frustrer. Dans ces deux 2 textes , l’homme et l’animal on une relation conflictuelle , ces texte sont remplies de violence , de soumission et de domination. Ce que l’on peut remarquer dans le texte 2 ou l’animal est mal traité par les passant : "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête" ou encore dans le texte 1 ou l’homme ce fait attaqué par ce « monstre » dans ce texte , la violence et la souffrance sont renforcées par cette citations : "souffrance inouïe".
Question 2: Animal, un personnage romanesque.
Pour commencer nous pouvons remarquer que dans les textes 1 et 3 qu'il y a un mauvais contact entre l'homme et l'animal « Une troisième lanière ondoya hors du rocher, tâta Gilliat, et lui fouetta les côtes comme une corde » texte 1 et « le bourreau la repousse violemment » texte 3. On peut également retrouver dans ces textes les champs lexicaux de la violence « fouetta » et « arracher » dans le premier texte et « violemment » et enchaîné » dans le deuxième texte.
Tout d'abord, on remarque que le texte 1 et texte 3 les relation entre l'homme et l'animal sont négatifs , il y a de la violence et de la souffrance je cite "souffrance inouïe" dans le texte 1 ou ce coup si c'est l'homme qui se fait attaquer par l'animal contrairement au texte 3 ou sait l'animal qui se fait attaquer par l'homme plus précisément les passants "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête". On peu remarquer aussi que dans le texte 3 qu'il y a une large domination mais aussi de l'humiliation envers l'animal car l'homme domine totalement l'ours , Il l'a enchaîner et l'exhibe dans les rues de la ville.
Le texte 2 est tout différent car les relations entre l'homme et l'animal sont amical voir familiale " mon fils"
Le Lion, La peau de l’ours et les travailleurs de la mer sont tout les trois des textes de siècle différents.
Les relations entre l'homme et l'animal varient selon les textes.
Dans le premier et le troisième texte les relations avec l'animal sont similaires, il y a un mauvais contact entre les deux personnages. On remarque des deux côtés un contact douloureux à travers la citation ''une souffrance inouïe". Ensuite on peut voir une domination dans chaque texte. Dans le premier texte on remarque que c’est l’homme qui est prisonnier de l’animal "il était comme cloué" alors que dans le second texte c’est l’inverse et l’animal est dominé par l’homme "je suis mené, muselé et enchaîné".
Alors que dans le deuxième texte le rapport entre l'homme et l'animal est complètement différent, ils entretiennent une relation paternel, complice comme on peut le voir dans la citation "mon fils". Un sentiment de tendresse ressort de ce texte "il frotta son mufle contre le visage de l'homme". On remarque aussi une relation amicale, fusionnelle dans laquelle il y a une rivalité enfantine.
Tout d'abord, nous pouvons repérer qu'il y a un mauvais contact entre l'animal et l'homme dans le texte 1 et 3.On peut observer que dans le texte 1 il y a une lutte entre l'homme et l’animal où l'homme est dominé par la bête, l'homme caractériserais sa souffrance comme " une souffrance inouïe ". Alors que le texte 3 on peut constater que l’animal est totalement dominé et impuissant face à l'homme car il est " muselée et enchainer ". Il est ensuite trainer par le " bourreau " dans les rues de la ville qui paraissent infini aux yeux de l'ours d'où l'expression " une promenade sans fin ". Il se sent aussi humilié face aux habitants qui ce fais bien illustré par l'expression "Je reçois une pierre à l'arrière de la tête" c'est à ce moment là qu'on ressent les sentiments de l'ours à travers sa vision.
On peut observer que dans le texte 2 la relation entre l'homme et le lion est semblable à celle d'un père et son fils, on peut dire qu'il y a une complicité paternel d'où l'expression qui nous montre qui sont très proches depuis longtemps "mon fils, mon enfant". On peut voir aussi qu'il y a une ambiance tendre entre l'homme et l’animal dans l'expression "il frotta son mufle contre le visage de l'homme"
Nous allons vous définir les relations entre l'homme et l'animal qui sont négatives et conflictuelle entre le texte A et dans le texte en les comparant. Puis dans un second paragraphe nous parlerons de la relation entre l’homme et l’animal du texte B.
Tout d'abord, dans le texte A nous pouvons constater que l’homme est « soumis » à l’animal, grâce a quelques mots phrases tels que « Impossible de couper ni d'arracher ces courroies visqueuses qui adhéraient étroitement au corps de Gilliatt » (Lignes 14). En revanche, contrairement au texte A, dans le texte B nous pouvons voir que cette fois-ci l’homme a une emprise sur l’animal, on relève « muselé et enchaîné » qui ici fais clairement référence a une soumission certaine.
Ensuite, nous pouvons souligner la relation entre l'homme et King, le lion. En effet c'est la caractéristique qui ressort le plus, on peut même appelée cette relation, une relation père fils grâce à la citation «qu'est-ce que tu en dis, mon fils ? »(Ligne 20) ou encore « mon garçon » (Ligne 12).
Pour commencer, nous pouvons repérer que dans le texte 1 et 3 les homme et les animaux on une relation négatives et conflictuelles. En effet, on retrouve dans ces deux derniers la violence, la domination et la souffrance. Puis le deuxième texte insiste sur une relation positive et amicale entre l’homme et l’animal.
En effet dans le premier texte, la souffrance se traduit par "une souffrance inouï"
Pour commencer, nous pouvons constater que dans le premier et le troisième texte, la relation homme-animal est négative et conflictuelle. Or, le deuxième texte se concentre principalement sur une relation positive. On peut constater dans le texte 1 et 3 que le champs lexical est basé que sur la violence, la souffrance, la peur et la domination. Dans le texte 1 on remarque la peur « ce qu'il éprouva en ce moment, c'est l'horreur indescriptible» ainsi dans le texte 3 remarque de la violence et de la soumission « je suis mené, muselé et enchaîné ». Le liens des deux textes est donc entretenu par la violence entre les deux personnages.
Dans le texte 2 par contre le champs lexical est joie, amour et complicité ce qui est tout le contraire des deux autres textes "L'homme est le lion roulèrent ensemble. Il y eut entre eux une mêlée confuse et toute sonore de rires et de grondements". Ainsi on peut remarquer que l'auteur a mis en avant une rivalité amicale " Alors, garçon, tu veux voir qui est le plus fort ? Comme dans le bon temps ?" on peut remarqué que l'homme prend ca à l'a rigolade et que tous ça a l'ai enfantin.
Dans les textes 2 et 3 on peut voir que les deux animaux ont à eux des caractéristiques bien humaines qu'ils ont pour l'un acquis et pour l'autre né avec. Dans le texte 2 l'auteur a mis en avant une rivalité amicale " Alors, garçon, tu veux voir qui est le plus fort ? Comme dans le bon temps ?" Ici on voit bien que l'homme parle avec un air amical et détendu, il n' pas peur de cet animal " Et Bullit savait ce que le lion attendait…
On peut relever dans ces textes, qu'il y a un mauvais contact voir une relation négatives et conflictuelles entre l'homme et l'animal. En effet dans le texte 1 et 3, nous pouvons voir que les relations sont angoissantes, on constate que dans le texte 1 l'homme est saisi de tout ses membres, il « était comme cloué » ne pouvant se débattre de l'animal en question. Dans le texte 3 l'animal est muselé et enchaîné, exposé comme une bête de foire traversant les rues, toutes ces caractéristiques font ressortir une sensation de malaise chez le lecteur. D'autre pars ces textes évoque une de la violence comme dans le texte 1, ou je cite « lui fouetta les côtes comme une corde. » ou ici l'homme est attaqué par l'animal. S'ajoute a cela dans le texte 3, ou je cite « je reçois une pierre à l'arrière de la tête » ou ici l'animal est martyrisé par les passant. On remarque que dans le texte 3, l'ours, qui est le narrateur, transmet son émotion au lecteur, comme dans le texte 1.
Nous analyserons les points communs entre le texte 1 et 3 puis nous définirons dans le texte B les relations dans les 3 textes entre l'homme et l'animal.
Pour commencer, nous pouvons étudier dans le texte où l'on peut constater dans ce texte qu'il y a un mauvais touché ce fait est bien illustré par «elle lécha épouvantablement le torse nu», de plus on peut vois voir dans le texte 1 et 3 qu'ils sont prisonniers tel est le cas par exemple «il était comme cloué», s'ajoute à cela une peur du personnage avec l'expression dans le texte 1 par «c'est l'horreur indescriptible»
D'emblée, nous pouvons constater que le lion King est amical avec les humains où l'on peut observer dans le texte avec l'expression: «il nous connaissait tous», ensuite nous pouvons mettre l'accent sur le coté paternelle à travers l'expression «mon fils», mais aussi on peut noter qu'il y a de la tendresse entre l'homme et l'animal où ce fait est bien illustré par «il nous connaissait tous».
Comment peut-on définir les relations entre l’homme et l’animal exprimées dans ces extraits ?
S'ajoute a cela une rivalité comme on peut le constaté ligne 9 "tu veut voir qui est le plus fort ? comme dans le bon vieux temps ?"
Dans les texte 1et 3 la relation est d'emblée mauvaise entre l'homme et l'animal . Le thème de la soumission est omniprésent dans le texte 1 comme dans le texte 3 mais d'une manière différente car dans le texte 1 c'est l'animal qui domine l'homme alors que dans le texte 3 c'est l'inverse c'est l'homme qui domine l'animal. On peut remarquer aussi que dans ces deux texte le thème de la douleur qui est elle même physique et psychologique est présent comme on peut le constaté dans le texte 1 "une souffrance inoule" et dans le texte 3 " je suis muselé enchainé". dans ces deux texte il a aussi le thème de la peur
D'entrée de jeux, nous pouvons repérer que le texte 1 et 3 se rapporte à un mauvais contact entre l'homme et l'animal. Ces 2 textes mettent en évidences la douleur, l'humiliation et la soumission, comme dans le texte 1 ou l'homme est prisonier de douleur par une créature inconnue. Tel est le cas dans la citation "une souffrance inouïe." Comme nous pouvons le voir ici c'est l'homme qui est maltraitée par l'animal, alors que dans le texte 3 c'est tout à fait l'inverse.
L'ours est mené, muselé et enchaîné par l'homme. Il en vient même à recevoir une pierre sur la tête. Ce qui met l'accent sur l'humiliation que peut ressentir l'animal.
Le texte 2 nous montre une relation entre l'homme et l'animal completement différentes des textes precédents. D'emblée nous pouvons constaté dans la citation "il frotta son mufle contre le visage de l'homme." que la relation est amicale , complice.
En outre nous pouvons également constater que leur relation n'est pas qu'amical mais aussi paternel car l'homme appelle le lion "mon fils" ce qui exprime l'amour et l'attention que l'homme affecte à l'animal.
68: un bon niveau, malgré quelques maladresses d'expression. Bravo. 9/10
69: le texte 3 n'est pas assez présent. 5/10
70: des phrases un peu trop longues. Sinon, c'est compris. 7/10
71: La conclusion n'est pas tellement convaincante. 6/10
73: Attention à la comparaison entre les textes 1 et 3. La présentation est aussi à revoir: il faudrait deux paragraphes dans le développement. Enfin, la conclusion ne fait pas d'ouverture. 5.5/10
74: texte assez court mais les enjeux principaux sont compris. 5.5/10
75: bonne conclusion mais le texte 2 n'est pas assez exploité. Une rédaction qui manque un peu de soin (fautes). 5/10
76: une erreur dans les siècles en introduction. Attention à la présentation et à l'insertion des citations du champ lexical. 5.5/10
77: attention à éviter le pronom "je" ici. Des répétitions. La conclusion n'ouvre pas vraiment sur une autre idée. 5/10
78: tu oublies le texte 1: quel dommage! 4.5/10
79: attention à la rédaction: la question est à introduire dans une phrase. La conclusion n'est également que partiellement rédigée. l'ensemble aurait pu être davantage approfondi. 4.5/10
80: pratiquement une seule phrase dans le premier paragraphe. La rédaction manque de rigueur et la conclusion n'apporte rien de nouveau. 4/10
98: bonne démarche de comparaison. Des maladresses cependant comme "je cite". la dernière phrase a plus un rapport avec la question 2. 8/10
99: un ensemble trop confus. Il faut faire des phrases plus courtes. 3/10
100: c'est compris, des remarques fines et pertinentes mais des fautes. 7/10
101: un bon niveau d"analyse mais des fautes: attention! 8/10
81: travail très clair et sérieux: 8.5/10
82: travail satisfaisant: la fin est un peu moins maîtrisée. 8/10
83: des erreurs grammaticales (les pronoms). L'essentiel est compris. 6/10
84: c'est dommage car les parties du développement ne sont pas assez approfondies. La méthode est cependant comprise. 6.5/10
85: attention à préciser le texte dont tu parles (2ème paragraphe du développement). Quelques faites également. 6/10
86: trop peu de contenu, texte trop court. 4/10
87: un début très maladroit. Des fautes de langue. 5/10
88: un ensemble assez désorganisé même s'il y a de bonnes idées. De plus, texte trop court. 5.5/10
89: un développement qui cerne bien la question. Dommage que ce soit si court. 6/10
90: un texte trop court; Pas assez de contenu. 4/10
91: un ensemble très confus, parfois incompréhensible. 3.5/10
92: un texte très clair et efficace: 8,5/10
93: bonne insertion des citations: 9/10
94: du soin apporté à la rédaction. Cependant, il est inutile d'annoncer le plan en parlant directement à l'examinateur "vous". 6/10
95: attention à étudier les citations en même temps que les textes. De plus, un texte trop court. Un défaut de méthode.4/10
96: attention au vocabulaire familier "rigolade". L'essentiel est compris, il y a un effort d'analyse cependant. 5.5/10
97: on ne sait pas quelle est la question traitée...3/10
8-O :-|
Je trouve que le texte n'est pas très intéressant.
Il est moins captivant et on ne s'identifie pas au personnage. De même la vie des personnages n'est pas très bien expliquée.
texte 1 :-/ je trouve que se texte fait d'une par ressentir de la colère " — Eh bien, paresseux ! tu liras donc toujours tes maudits livres, pendant que tu es de garde à la scie ?"
du mépris de la part du père envers sont fils.
de la tristesse pour Julien "En passant, il regarda tristement le ruisseau où était tombé son livre; "